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Titre du blog : Critique réfléchie des Religions par GRANDELOUPO
Auteur : grande-loupo
Date de création : 30-04-2009
 
posté le 22-08-2011 à 06:43:24

Profession de FOI

 

Profession de FOI

 

Il y a déjà quelques années pour certains, quelques mois pour d’autres, et deux à trois mois pour les plus nouveaux, que vous Lectrices et Lecteurs, suivez assidûment les Écrits de Grandeloupo, ce Quidam que jamais vous ne connaîtrez ou verrez réellement.

Pourtant vous mes semblables je pense beaucoup à vous en espérant que chacun individuellement vous suivez les multiples sentiers qui mènent vers ce DIEU Unique, EL-SHADDAÏ

 Je suis conscient que vous n’avez plus de lecture depuis un certain temps et qu’un jour ou l’autre l’un de vous me remplacera dans les Écrits.

Pour ces moments difficiles je vous demande votre aide par votre indulgence mais aussi spirituellement.

Combien je me rencontre que mon imperfection est grande.

Je ne suis pas comme vous, au sens spirituel et je ne peux être jugé comme vous cela serait injustice.

Dans les grandes crises de douleurs comme cela est le cas en ce moments, Sammaël est là aux aguets, près à ma défaillance.

Je ne comprends pas pourquoi ce Dieu EL-SHADDAÏ m’a donné un « Paradis » sur cette Terre ou je me contente de ce que j’ai, car je ne manque de rien en tout, et qu’il me laisse souffrir de la sorte.

 Ce Dieu, mon Maître, celui que je nomme EL-SHADDAÏ, que je nomme comme Abraham, serait-il un « Dieu » machiavélique comme le Dieu des chrétiens où ses ouailles s’entre-tuent avec hardiesse au Nom de son Fils Jésus-Christ ?

Pourquoi ce « DIEU » EL-SHADDAÏ, m’a-t-il offert une partie de ce « Souffle d’Intelligence » qu’IL a donné aux douze Apôtres à la Pentecôte ? --- J’écris bien « Souffle d’Intelligence » car à peine l’ont-ils reçu, tous parlaient araméen hébreu, grec, latin, et le romain, mais aussi l’égyptien, éthiopien, pour d’autres le celte, l’Indus, le perse avec tous les dialectes de ces langues. Ils reçurent les connaissances de physique et de chimie pour les guérisons, mais le plus important, le pouvoir que Jésus le Nazaréen avait prouvé par la résurrection, ce pouvoir sur la mort prouvant ainsi que l’humain pouvait gagner sa vie éternelle sur la Terre. --- Pourquoi m’a-t-il donné l’Intelligence et la Compréhension de certain mystère des Écritures et surtout une partie de la « Sagesse » que j’acquière peu à peu ?

Pourquoi savoir tous ses enseignements pour les emmener avec soi dans le « Grand Sommeil » ?

En effet dans ces instants de faiblesses spirituelles, Sammaël m’aguiche, m’offrant richesses, femmes, festins, voyage, avec une guérison rapide de toutes mes souffrances si je reniais le seul Dieu Unique EL-SHADDAÏ.

En me lisant vous allez penser que je me tourne des films, que je suis mystique. Je suis pourtant et heureusement pour moi, sain d’esprit.

Je reviens à l’essentiel de cet écrit. Par cette lecture, vous prenez compte de tout ce que ce « Dieu » unique m’a offert. Pourtant je n’étais rien sur cette Terre. Natif Forain, mon père m’a donné son nom à ma naissance mais n’a jamais voulu me reconnaître comme son fils. Ma mère ne m’a jamais accepté comme son enfant et j’avais deux sœurs et un frère qui étaient nés avant moi. Tout ceci, ne sont que des histoires de « grandes personnes » et jamais l’enfant ne connaîtra la vérité

Moi, natif parisien, je me retrouve à l’âge de neuf ans sans savoir ni lire ni écrire avec l’accent pointu, cet accent du Var. De ma famille je connais le grand-père G. le père de mon père et sa femme et l’autre grand-mère maternelle qui m’élèvera avec mon frère et mes sœurs ; ma mère ne me portant pas beaucoup d’affection parce que je ressemblais à mon père.

Pensez un peu, un enfant de neuf ans en maternelle, section CP. Sans le savoir les enfants sont cruels et vous devez passer l’épreuve. Cela ne m’a pas empêché de passer mon Certificat d’Étude Primaire en candidat libre puisque j’avais quatorze ans dans l’année. Comme cela se faisait à cette époque, je fus baptiser, confirmer, puis communion solennelle. Donc à quatorze ans j’avais une connaissance générale de la religion, particulièrement chrétienne.

Je me suis élevé dans la rue avec les « voyous » de mon espèce que l’on nommait « Blouson Noir »

Arrivât ce qui devait arriver ! Arrêter, Dépôt, c’est la prison qui existe dans l’ile de la Cité à Paris, juste en dessous du Tribunal de Grande Instance. J’y suis resté trois semaines. Les geôles datent de la révolution française puisque les bâtiments furent rénovés après l’incendie et la mise à sac des Tuileries. Peu-importe, six par cellule, un trou dans un coin de la cellule pour les besoins naturels. Imaginez-vous ces geôles de l’époque Bonapartiste fait pour un prisonnier et vivre six dedans en attendant votre jugement, tribunal pour mineur. Selon le Juge vous vous retrouviez condamné à la vingt-et-une, ou un an de prison ferme à Fleury Mérogis, soit la totale « vingt-et-une dans une Maison de Redressement. Votre « sort » était joué à la roulette. Pour moi pas de « pot » avec un appui parentale de ma mère plus les bonnes relations de mon frère et du père de sa « chérie » j’ai eu le droit à la totale plus émancipation à seize ans. Ce qui faisait, que si j’avais l’intention de m’évadé, j’étais considéré comme un adulte. Donc peine capitale, « Merci Maman, merci fréro » Préparation militaire obligatoire, puis incorporation à Blois. Vint l’année de mon incorporation qui ce jour fut Maison de Redressement, Blois

Je fis mes trois jours complets sans jamais mettre une seule fois l’habit militaire et nous étions une quinzaine de jeune gens dans le même cas que moi. Les examens théoriques étaient obligatoires pour nous tous, certains examen sportifs étaient en dispenses, merci la PM. Nous passions notre temps aux messes des troufions et nous avions l’obligation de manger aux messes des officiers. Notre chambrée était dans une pièce faisant partie de l’infirmerie, et jamais nous ne côtoyâmes les autres appelés sauf pour la visite médicale .Aux messes de la Troupe nous demandâmes pourquoi cette séparation d’avec le reste des appelés. Le Barman et deux trois soldats nous fournir quelques explications.

« Si nous venez de La Motte Beuvron, selon le Général, qui va vous réciter tous vos exploits et palmarès ainsi que vos diplômes, vos bagarres, vos jours de « mitard » vous avez le choix entre bataillon disciplinaire en Algérie , la même chose, mais dans la Légion et le contrat est pour cinq, un avantage, si vous avez fumer un mec, plus personne ne peut plus vous rechercher et là vous dites « merde » à la gendarmerie. Et il y a le troisième cas ou selon l’humeur du Général, votre dossier, si terrible soit-il, si vos diplômes sont bons et « conséquents » ils décident tous d’un commun accord de vous rendre la liberté le soir même avec un casier judiciaire vierge, « blanc comme neige. »

Si vous retombez, pour vous c’est la Légion ou la peine capitale « Guillotine »

Par contre, vous savez que tous les jours vous êtes suivi mais que vous pouvez travailler pour votre Pays »

Je suis passé devant un Général qui n’était pas un tendre, ces vieux Généraux qui ont gagné leurs galons aux feux. Voici :

« Bonjour Monsieur !

On ne vous a rien appris à la PM, on dit mon Général !

Bonjour mon Général !

Vous avez un palmarès éloquent, en dehors des appuis familiaux, -- je ne vais pas vous énumérer le palmarès --- tête de lard, 267 jours de mitard plutôt que de céder, être obligés de passer un accord avec « monsieur » pour que cela s’arrête ! Je vais vous dire jeune homme des gens comme vous, l’armée en a dressé plus d’un. Vous êtes bon pour la Légion mais vous allez y laisser votre peau sans combattre. Pour le « pot » que vous tombiez sur un caporal un peu « con » et il y en a chez eux, vous y laisserez votre peau car vous ne voudrez pas céder. Alors qu’est-ce-que je fais de vous, surtout que vous, vous êtes majeur, condamné jusqu'à la majorité officiel.

« Si vous ne faites pas l’armée serait-ce une honte pour vous ? »

« Vous m’avez appelé, je suis là, maintenant mon sort est entre vos mains, moi je n’ai que le droit de fermer ma gueule. »

« Un peu de politesse devant son Général !

Bon vous avez des diplômes et il me semble que vous n’êtes pas un imbécile, vous connaissez la discipline, allez aux Messes je vous contacterais car nous avons un problème avec vous. »

Je partis de Blois pour le Foyer de jeune Travailleur de Chevilly la Rue car j’étais Majeur.

Et j’ai fait ma vie qui est loin d’être une vie de « Saint »

 Toute ma vie j’ai cherché au fond de moi le sentier qui mène vers un « Dieu » unique, un véritable DIEU. J’en ai écouté des personnes qui me disaient que leur « Dieu » était le Dieu unique, celui qui donnait la « Vie Éternelle ». Sans compter ceux qui me contaient que par le « Dieu Jésus-Christ » je ressusciterais et que j’aurai la vie éternelle. Alors avec tous ces Dieux qui donnent la vie éternelle qui soi-disant ressusciteraient, nous allons nous retrouver à cette résurrection plus de quarante milliards d’êtres humains qu’il faudra nourrir. Avec sept milliards d’individus, deux milliards meurent de faim, alors ! …

Oui je connaissais la nature son fonctionnement, la vie, la mort, mais je ne connaissais toujours pas ce « Dieu » unique. Je connaissais ces gens du « Milieu », et tous allaient à l’église blablataient à un Prélat dans le confessionnal toutes leurs « conneries », puis allaient s’agenouiller dix minutes réciter je ne sais quoi à je ne sais qui ! A la sortie du Temple froidement vous sortait :

« Tu viens Polo, on va chez le Gus ramasser un peu d’oseille voir si ces Dames ont tapiné correctement »

J’arrivais à la quarantaine et toujours pas de véritable « Dieu » Ah ! Des « dieux » ! Les humains m’en ont donné à toutes les sauces

La cinquantaine toujours pas de « Dieu véritable », mais suite à une ablation de la rate à quarante-cinq ans, en cadeau de bienvenue l’hôpital m’a offert un de ces microbes inguérissables qui vous entraine très rapidement vers « DAME MORT » que l’on nomme maladie « Nosocomiale. ». Je sais qu’il ne me reste plus beaucoup de temps à passer sur cette Terre En cinq ans le corps c’est détérioré à une vitesse phénoménale. Maintenant il me faut des béquilles, puis un lit médicalisé, un rehausseur pour les toilettes, plus l’aide d’une personne pour les toilettes intimes, enfin je suis un « légume » ou presque !

Éh ! Cette maladie que personne ne connaît !

Ce que je vous écris, c’est toujours cette période de temps entre mes quarante-cinq ans et la cinquantaine. Je n’ai toujours pas trouvé ce Dieu unique. J’ai fait jouer mes relations pour récupérer mon permis de conduire. Puis j’ai peut-être fait le mauvais choix, car désirant continuer à travailler je suis passé par la COTOREP ? J’ignorais qu’à l’âge de la retraite ils nous coupaient tous, Ceci fait partie des injustices des Lois Françaises. Moins vous en faites et plus vous touché par l’État.

A ce Dieu, que je ne voulais pas appeler « Dieu, je désirai lui demander une chose, pas pour moi, non, mais pour mon compagnon de misère et dans les deux heures qui suivent je fus exaucé.

Quel fut mon étonnement ! Quelqu’un au-dessus de ma tête écoutaient mes prières et les mettaient en œuvres. N’y croyant pas trop, il y aura bien un moment où j’aurai besoin de lui et qu’il se fera connaître comme le Seul et Véritable Dieu de tout le Cosmos, l’Univers.

Des prières j’en ai récité et des toutes faites genre « Notre Père, Mea-culpa, je vous salue Marie » Du vent ! Des Prières pour le vent !

Enfin les cinquante ans étaient là, et juste des prémices d’un « Dieu » Enfin rien !

Le second événement allait venir beaucoup plus rapidement que je ne le pensais. La chose est vague dans mon esprit. Enfin, il advint, quelques jours plus tard de demander à ce « Dieu » une énormité. Je ne me souviens plus exactement, mais ce que je sais est tellement énorme qu’il était impossible pour moi qu’un « Dieu » accepta cette demande. Non n’ayez crainte ce n’est pas de l’argent, ou de gagner une grosse somme au tierce, où de quelque chose de similaire.

 Une chose est sûr, c’est que cette énormité me fut offert dans l’heure qui suivi, mon épouse en était ébahi. Ce ne pouvait-être que le véritable « DIEU » qui me poussa à ouvrir ce livre BIBLE de Jérusalem, à feuilleter les pages et à tomber exactement sur ce que je cherchais. Non pas un verset comme ces Chrétiens, Témoins de Jéhovah, Évangéliques, Adventiste du 7ème jour, etc, non pas un verset mais un ensemble de phrases qui se succèdent le tout formant ce que je cherchais. J’appelais mon épouse et lui laissait lire les trois ou quatre feuilles.

« Mis à notre époque c’est exactement ce que tu cherchais, j’en déduis, que tu as trouvé ce que tu cherchais, le véritable « DIEU »

Pas de prière juste la pensé et le cœur et ce jour-là EL-SHADDAÏ, je ne le nommais pas ainsi me fit voir son sentier. Tu es libre de le prendre ou de continuer ton chemin.

Nous relisions sans cesse ces passages bibliques, et nous nous serrions fort, l’un contre l’autre car ce « Dieu » avait exaucé notre prière dans l’heure où nous avions réclamé nous avions reçu.

Alors, maintenant j’ouvrai ce livre bible, en quête de la vérité. L’Être-Suprême comme je le nommais maintenant guidait mon Esprit. Quand j’écris Esprit ici, c’est l’Esprit d’Intelligence, le Souffle de l’Être-Suprême

Job XXXII : 6-9

Et il prit la parole, lui, Élihu, fils de Barakéel le Buzite, et il dit :

« Je suis tout jeune encore, et vous êtes des anciens. Aussi je craignais, intimidé, de vous manifester mon savoir. 

Je me disais : « L'âge parlera, les années nombreuses feront connaître la sagesse. »

A la vérité, c'est un esprit dans l'homme, c'est le souffle de Shaddaï qui rend intelligent.

Le grand âge ne donne pas la sagesse, ni la vieillesse l'intelligence de ce qui est juste.

J’avançais maintenant, non erreur, nous avancions sur le Sentier de l’Être-Suprême. Que de joie, que de bonheur !

La maladie faisait sont travaille                                                                                                              

Deux, trois ans peut-être que nous connaissions ce Dieu Unique ! DAME MORT aurait déjà due faire son office, mais Elle échoua dans son œuvre faute pourtant de ne pas avoir essayé.

C’est pendant cette période que je fis connaissance d’un QUIDAM qui entra dans ma vie étrangement et il resta au sein de notre demeure façon de parler. Le soir nous dissertions pendant des heures où il m’enseigna volontairement ou involontairement, le fait est que j’appris beaucoup de cet humain Bible en main, il me fit voir le NOM de ce « DIEU » unique qu’il nommait comme Abraham « EL-SHADDAÏ » qui signifie « Dieu au-dessus des Montagnes. »

Puis il m’enseigna d’autres livres considérés comme apocryphes par la religion des hommes. Grâce à cet humain et avec l’aide du « souffle d’intelligence » j’ai trouvé des livres remarquables.

Depuis ce temps EL-SHADDAÏ m’a donné ce qui est inimaginable pour le commun des mortels. IL m’a demandé beaucoup et il m’a donné beaucoup en échange. Un jour je lui ai demandé une « VIE » JE certifie que ce Dieu EL-SHADDAÏ m’a donné la « VIE » que je lui demandais. Cet humain vit toujours, et pour les gens qui sont aux courent, par le travail et le comportement de cette enfant tous disent : « Cette enfant lui a bien été donnée, elle n’a pas connue les douleurs de la délivrance, son enfant n’a jamais connu les maladies enfantines et autres, un médecin il l’ignore, maintenant à l’école elle est une des meilleurs de sa classe »

La personne intéressée ait bien obligé de reconnaître que cette enfant a quelque chose de plus que son frère et ses sœurs

J’ignore si, ils ont fait baptiser cette enfant. Si c’est le cas, ils l’ont fait à mon insu. Si moi j’ai la torture corporelle involontaire, pour eux qui ont fait marquer aux fers rouge l’enfant d’EL-SHADDAÏ, je crains pour eux car la vengeance de ce Dieu est terrifiante

Avec tous les cadeaux { ce que vous, vous appelez bénédictions } que cet Être-Suprême nous a offert, tout ce qu’IL nous a fait voir « au-dessus des montagnes » avec « Dame Lune », la force qu’il peut donner à un humain sur les éléments en période d’orage, en plus là !, j’ai des témoins qui ce jour au sein de notre paradis ont vu la puissance qu’EL-SHADDAÏ pouvais donner à un humain. L’un des convives dit : « si un ou une collègue de travail m’avait conté ce fait, jamais je n’aurai voulu la croire et moi aujourd’hui j’ai vu »

Si je devais tout vous conter, un livre bible ne suffirait pas, de plus vous me prendriez pour un aliéné, « un dérangé des neurones n’ayant pas la lumière à tous les étages. »

J’ignore si tous mes semblables qui sont venus dans notre Paradis ont essayé de trouver le sentier qui mène à EL-SHADDAÏ ou l’ont tout simplement rejeté. Parmi mes propres enfants je sais, qu’il y en a un qui s’en fou royalement, que l’autre ne veut pas l’admettre et pourtant lui !..., qu’une autre est sur le chemin de l’Être-Suprême sans le savoir, quand à ma dernière fille elle pense à EL-SHADDAÏ quand cela l’arrange, comme les chrétiens, sans les idoles tel que les croix statues ou tout autres objets qui lui ferait penser à l’idolâtrie.

EL-SHADDAÏ, ce Dieu unique, qui m’a offert une petite partie de son « Souffle d’Intelligence », qui m’a donné la Sagesse tous les jours de ma vie, qui m’a donné la « Compréhension » des Écritures, pourquoi accepte-t-il toutes mes souffrances toutes mes douleurs ?

Que t’ai-je fais, quels péchés ai-je commis pour que tu me laisses tous les jours de ma vie en souffrances.

Cette souffrance corporelle agit sur mon esprit, qui me fait penser sûr la réalité de ton existence.

En effet, EL-SHADDAÏ qui es-tu ?

Qu’ai-je comme représentation de Toi sur la Terre, si ce n’est le reflet de mon image dans une glace en disant « voici mon créateur » ce qui est dur pour moi à admettre, car que cette image soi le reflet du Créateur, que ce soit son image au sens large, oui, mais en me regardant moi, je ne peux être El-Shaddaï.

Je retombe donc dans le néant.

Dois-je être hypocrite comme cette chrétienté et me faire une image de ton Fils que j’adorerai à ta place ?

Lui, ton Fils, mon Dieu, avec lequel je pourrai faire des effigies, là, je pourrai prier quelque chose que je vois.

Impossible pour moi !  Il serait un second Dieu

Ce serait un parjure, une honte pour moi !

Tu es l’unique Dieu EL-SHADDAÏ ! Le seul !

Mais qui es-tu ?

Tu es dans mon cœur ! Incrusté dans ma mémoire dans mes pensées !

Tu m’as donné, tu nous as donnés l’Esprit, égal au tien, car cet ESPRIT est un tout, en effet il contient la pensé de réflexion, de raisonnement, de mémoire, et la pensée de penser. Cet ensemble ESPRIT sert à être ton égal, car nous pouvons créer, inventer, modeler, avec les outils que tu as mis à notre porté sur la Terre.

Quel contraire ! Douter de Ton existence et avoir une foi envers Toi sempiternelle !

Est-ce normal pour un humain d’avoir ces pensées contradictoires, dont une est infaillible ?

C’est la foi indéracinable pour un Être dont la pensé personnelle à un doute dû à sa souffrance.

Voilà ce qui m’oblige à écrire que l’humain sans penser, c’est-à-dire sans ESPRIT, ne peut pas vivre !

Ce fait établie, EL-SHADDAÏ sans ESPRIT, comme l’ensemble cité ci-dessus, ne peut Lui non plus vivre.

Je suis obligé de reconnaître que la première matière ou plutôt substance possédait un ESPRIT dans le sens expliqué précédemment.

Moi, Grandeloupo, il y a seulement quelques instants, je doutais sur l’Être-Suprême, et maintenant je viens de vous, de me donner la réalité de son existence, par le fait qu’il est substance mais surtout par le fait qu’il possède un cerveau avec un ESPRIT dans le sens large de terme c’est-à-dire pensé, réflexion, raisonnement, mémoire, pensé de penser.

 Par ce cerveau, il y eut naissance de l’Univers dans le Cosmos, puis les Lois de physique, chimie furent établies par Lui seul et sans personnes d’autres, seulement après parvint le secret de la production par la naissance de son Fils Bien-Aimé et vient ensuite la fabrication du premier Ange du nom de SAMMËL, qui signifie le premier d’EL-SHADDAÏ, qui portera le nom de Béliar, Satanaël, Satan, Belzébuth, etc puis Michël, Gabriël, Ouriël etc furent modelés. Tout ceci fut fait grâce à l’ESPRIT général, car il a fallu penser, faire les plans, trouver la matière, puis façonner, modeler ciseler pour que ces « être » soit à la ressemblance de leur créateur.

Voilà pourquoi le premier façonné SAMMAËL se révolta contre son concepteur à cause de l’Homme en lui disant qu’il serait son égal :

« Je placerai mon trône en face du tien et je serai ton égal par l’Homme »

Qu’est ce qui put lui permettre de se révolter ?

L’ESPRIT !

Si sa matière substance à la forme, à la silhouette de son Fondateur n’avait pas possédé l’ESPRIT général, jamais cela ne serait arrivé et la Terre avec l’Homme dessus serait sûrement autre chose.

Est-ce que mes souffrances corporelles, à cause de ce « Défit » avec SAMMAËL vont durer jusqu’à ma mort ?

Depuis que je te connais EL-SHADDAÏ, Dame mort aurait pu m’emmener dix fois si ce n’est plus, alors pourquoi me donnes-tu des jours en plus ?

La prochaine fois que Dame Mort me prend pour son voyage, laisses là m’emmener que mes souffrances soient abrégées car avec elle plus de souffrances, plus de douleurs, fini ma copine Morphine pour calmer ces souffrances !

Pourquoi avoir prolongés mes jours si ce n’est pour mes semblables, si ce n’est pour dessiller leurs yeux, pour ouvrir leur ESPRIT afin que ces semblables viennent à Toi, EL-SHADDAÏ, librement de leur propre volonté, par la pensé, la réflexion, le raisonnement, etc, le tout formant l’ESPRIT, donc étant ESPRIT.

La manière dont tu me fais écrire, EL-SHADDAÏ, va poser beaucoup de problèmes spirituels à mes semblables, est-ce ta volonté ?

Si tel est le cas, alors que ta volonté se face !

Si je dois être ton Hérault pour mes semblables, alors que ta volonté se face, mais toi EL-SHADDAÏ, toi l’unique « DIEU », ce que tu m’as fait démontrer dans ces lignes, abrège mes souffrances et si par ta volonté tu me donnes des jours en plus, afin que ce petit nombre soit grand, ou peut-être cherche tu mon remplaçant, alors atténues ces souffrances, ces douleurs insupportables !

Et ma « Petite Vieille », cette femme qui me fait tous les jours les pansements de ces jambes qui dégagent une odeur de putréfaction, ou la chair est à vif, et se suintement continuel. Combien de fois l’ai-je vu pleurer en faisant les pansements sachant très bien qu’elle me ferait mal.

 Elle aurait pu me dire : « Renie ton Dieu et peut-être que cela ira mieux »

Au contraire elle me soutenait dans mes moments de faiblesse.

« Courage mon Papou, et toi avec tout ce qu’IL t’a donné, la force que tu m’as fait voir, et avec Gilles, ce jour d’orage ou nous mangions sur la terrasse et que Gilles nous a dit « Entrons » et que toi tu m’as dit textuellement « Continuons notre repas tranquillement ce n’est pas pour nous » Tu vois EL-SHADDAÏ est avec nous et tes souffrances vont s’atténues.

Quel courage à cette femme !

Je ne suis pas juge, mais moi qui vit tous les jours avec, malgré son imperfection, elle a bien mérité une « DEMEURE »

Humblement pardonnez-moi tout ce temps perdu à vous enseigner due à mes douleurs et à cet état de somnolence due à ses souffrances et pour les atténuer, prendre une dose de Morphine afin de calmer ces douleurs.

J’espère aller mieux pour vous servir.

Si EL-SHADDAÏ me laisse aller vers le Grand Sommeil c’est qu’Il aura trouvé parmi vous un humain pour me remplacer et vous guider sur ce magnifique sentier qui mène à ce seul et unique « DIEU » celui que je nomme EL-SHADDAÏ.

La traduction grec remplaçait souvent le nom divin hébreu par « SEIGNEUR » donc je vais accoler le nom d’EL-SHADDAÏ à Seigneur.

Marc XII : 28-31

Un scribe qui les avait entendus discuter, voyant qu'il leur avait bien répondu, s'avança et lui demanda :

 « Quel est le premier de tous les commandements ? »

Jésus répondit :

 « Le premier c'est : Écoute, Israël, le Seigneur EL-SHADDAÏ notre Dieu est l'unique Seigneur EL-SHADDAÏ, et tu aimeras le Seigneur EL-SHADDAÏ ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme, de tout ton esprit et de toute ta force

Voici le second : Tu aimeras ton prochain comme toi-même. Il n'y a pas de commandement plus grand que ceux-là. »

Lectrices et Lecteurs je vous remercie de votre fidélité ainsi que de votre indulgence que vous me portez, mais involontairement ceci vous fait penser à EL-SHADDAÏ, et vous fortifie sur ce sentier plein d’embûches mais aussi plein de bonheur.

Comme vous voyez, je suis comme vous imparfait pourtant avec une foi inébranlable et qui vacille de temps en temps.

Évitons les tracas de ce monde et gardons notre foi en El-SHADDAÏ

Prenez bien soins de vous et de votre maisonnée, portez-vous bien en priant EL-SHADDAÏ directement sachant que c’est son Fils Bien-Aimé qui est le relayeur. Qui mieux que lui connait l’humain terrestre, ayant vécu sur cette Terre comme un humain, en ayant les problèmes corporels et spirituels d’un humain même s’il était parfait. Il avait besoin du soutien de son Père géniteur, si non pourquoi se retirait-il seul pour prier ?, ce qui nous prouve qu’il n’était pas un « Dieu » comme veut nous le faire croire la chrétienté, car s’il était « Dieu » pourquoi se retirer seul pendant des heures pour prier son Père et lui demander la force spirituel de résister à toutes les tentations terrestres, toutes confondues.

A bientôt, je l’espère !

Salutations cordiales à Tous !

Sig : JP.G. dit « Grand-Loupo » ou « GRANDELOUPO »