Dur d’être les Enfants d’EL-SHADDAÏ
Notre fête de la Pâque est finie depuis une quinzaine de jours, alors que les Pâques chrétiennes viennent de se terminer il y a huit jours. J’espère que vous avez été nombreux à faire notre Pâque, car cette année, je ne sais pourquoi, un bonheur immense et une grande joie envahissaient notre humble demeure. Ce fut une magnifique soirée qui nous a beaucoup marqués car le lendemain midi nous avions l’impression d’être tout bizarre, voilà pourquoi je suis sûr qu’un nombre important de mes Lectrices et Lecteurs étaient à notre table ce soir-là, et que le Dieu unique EL-SHADDAÏ en compagnie de son Fils Jésus le Nazaréen étaient assis comme convive à notre table.
Par cette atmosphère très spéciale, nous avons la certitude qu’EL-SHADDAÏ nous a pardonné nos fautes, nos péchés et que ce n’est pas l’absolution d’un humain imparfait.
Cette Pâque m’a amené à cette réflexion.
Dans notre vie de modernisme où la religion perd de son emprise, remplacée par les jeux vidéo, la boisson alcoolisée, la drogue et le sexe pour notre jeunesse, les parents abandonnant leurs rôle primordial d’éducateur, nous nous trouvons, nous qui voulons volontairement être les enfants d’EL-SHADDAÏ, comme à l’ère d’Abraham.
En effet si nous regardons autour de nous nous ne trouvons qu’animosité, jalousie, envieux de son prochain.
Combien de nos semblables qui ne vont plus à l’Église, ne croyant plus à ses enseignements vont se marier dans ce Temple pour faire comme tout le monde. C’est pour la même raison qu’ils font marquer leur nourrisson au front du signe idolâtre de la croix par le baptême, qui, aujourd’hui n’a plus aucune signification, les Enseignements de Jésus le Nazaréen étant depuis longtemps dans les oubliettes.
Nous humains imparfaits nous nous trouvons dans cette jungle où l’impiété, l’idolâtrie, le sexe, la convoitise, l’argent règnent en maître. Les hommes ne sont plus des « hommes », et les femmes ne tiennent plus leur rôle de femme, d’épouse, arrivée à l’âge de la quarantaine elles quittent leur foyer en ne pensant qu’avec le dessous de la ceinture, voulant être l’égale de l’homme alors qu’elles savent dans leur font intérieure que jamais elles n’y arriveront, mais elles ont quand même abandonnée enfants et mari pour leur plaisir charnel et arrivée à soixante ans elles se retrouvent seules.
Ce que je viens d’écrire est faux ?
Malheureusement la vérité est là, et cela va continuer jusqu’au jour ou l’enfant ne sera plus qui est son père !
Et nous, enfants d’EL-SHADDAÏ nous devons nous battre pour rester intègre. Nous ne pouvons et ne devons représenter notre Dieu par de la matière, car comme la chrétienté, nous deviendrons idolâtres.
Voilà maintenant dix années que j’ai choisi ce Dieu invisible, que je nomme par ce nom que j’ai trouvé dans le Bible, comme Abraham le nommait, « Dieu au-dessus des Montagnes » soit EL pour « Dieu » et « SHADDAÏ » traduction au-dessus des Montagnes, son Nom.
Oui ! Il faut beaucoup de force !
Il n’est pas facile pour nous humains d’adorer un Dieu que l’on ne peut représenter, alors que sa représentation est partout, devant nos yeux, exemple quand nous regardons notre semblable dans la rue, c’est l’image de notre Dieux, quand nous regardons le ciel c’est sa force et sa puissance, et quand nous admirons la nature dans son ensemble nous voyons l’esprit et l’intelligence de notre Dieu, donc comme je l’ai écrit quelques lignes plus haut pourquoi faire une image taillée puisqu’il est partout et qu’il est tout.
Nous humains qui voulons être ses enfants, il nous suffit de l’adorer sincèrement par l’esprit, notre esprit de réflexion, de raisonnement, et notre cœur pour le remercier de tout l’amour qu’il nous donne.
Si déjà nous avons le manger, le vêtement et un toit pour nous protéger des variations du ciel, nous possédons l’essentiel, et par notre travail nous pouvons avoir le surplus qui ne doit pas nous éloigner du Dieu seul et unique, notre Dieu EL-SHADDAÏ.
Ce n’est pas parce que je prie EL-SHADDAÏ en premier, que je renie son Fils Jésus le Nazaréen ! Sans ce dernier nous n’aurions aucune espérance, cette espérance de vie éternelle sur cette magnifique Terre.
Simplement je suis son enseignement quand il nous demande de prier son Père en premier et non lui : « Notre Père qui est au Cieux, que ton NOM soit … »
Il ne sert à rien de réciter trois « Notre Père », en commettant l’idolâtrie devant un morceau de bois en forme de croix, et ne pas comprendre ce que l’on récite !
La prière doit venir du cœur, et de l’esprit par des mots sincères, les notre, avec notre façon de parler, et non des prières toutes faites que vous récitons machinalement, où le cœur et l’esprit sont absent.
Vous, Lectrices et Lecteurs, mes semblables, soyez le Nouveau Peuple de ce Dieu seul et unique, soyez, soyons ses enfants et considérons son Fils Jésus le Nazaréen, non comme un « Dieu », mais comme notre Roi, lui notre médiateur, et nous lui devons allégeance et respect en le priant comme il doit être, soumis à son Père, en faisant les volontés de celui-ci. Mais jamais il n’est l’égal de son Père qui reste notre seul Dieu.
Vous, Lecteurs, vous devez impérativement tenir votre rôle d’homme, c’est-à-dire subvenir aux biens de la maison et de votre femme, offrir une éducation digne des lois d’El-Shaddaï et des enseignements de Jésus le Nazaréen à vos enfants, la fessé juste redresse l’enfant. Je sais très bien qu’aujourd’hui le salaire de l’homme ne suffit plus à faire vivre la famille, et que son épouse doit aussi travailler, mais si la famille comporte deux ou trois enfants, l’épouse peut travailler à mi-temps et tenir son rôle de femme.
Vous, Lectrices, vous devez garder votre rôle de femme, et ce n’est pas un déshonneur d’être mère au foyer, au contraire, car si vous vivez dans les Lois d’El-Shaddaï et les enseignements de Jésus le Nazaréen, votre ménage sera riche, une femme bonne ménagère et cuisinière c’est de l’or dans un foyer. A vous femme, ayez du respect pour votre époux, car si il est l’homme de la maison, mais c’est vous indirectement qui la commandée.
Voilà quarante-trois ans que je suis avec mon épouse, et elle m’a donné quatre enfants. Comme tout couple nous avons eu des hauts et des bas, mais nous avons traversé toutes ces années ensembles et quand à quarante-sept ans j’ai été paralysé elle est restée auprès de moi.
Elle me disait qu’on ne vit pas avec le dessous de la ceinture mais avec le dessus.
De la part de nos relations ou de nos amis elle ne reçoit que des éloges, et elle est fière de sa maison. Je suis bien obligé de reconnaître que sans connaître les Lois d’El-Shaddaï et les enseignements de Jésus le Nazaréen elle a toujours tenue son rôle de femme en tout et pour elle cela n’a jamais été un déshonneur mais un honneur.
Quand elle entend une de ces filles parler à son mari, elle n’est plus étonnée si elle n’est pas heureuse.
Pensez bien à ce que je vais écrire. La femme doit soumission à son mari, et celui-ci lui doit le nécessaire pour vivre. La femme n’est pas l’égal de l’homme et jamais n’y sera mais c’est son complément. La femme ne peut vivre sans l’homme et l’homme ne peut vivre sans la femme, ils ne font qu’un car l’un a besoin de l’autre.
Le verbe étant l’homme, comme dans une phrase il faut un complément, pas de complément pas de phrase, mais aussi pas de verbe, pas de phrase.
Dans plusieurs jours je reprendrais le court de mes écris
Cette lecture est finie. Il reste vous et votre conscience pour venir vers ce Dieu que je nomme El-Shaddaï, ce Dieu unique qui, si vous le méritez, vous ressuscitera au temps voulu pour que vous viviez dans la joie et le bonheur éternellement.
Voilà un but magnifique pour vivre sur cette Terre misérable en suivant librement les Lois de ce Dieu Shaddaï et les Enseignements de son Fils Jésus le Nazaréen.
Portez-vous bien !
Salutations cordiales !
Sig : JP.G. dit « Grand-Loup » ou « GRANDELOUPO »