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Titre du blog : Critique réfléchie des Religions par GRANDELOUPO
Auteur : grande-loupo
Date de création : 30-04-2009
 
posté le 22-08-2013 à 01:06:27

HC: N° 20 - La Femme

Pour certains de mes semblables, je tiens à préciser que je ne fais partie d’aucune SECTE quel qu’elle soit, d’aucune RELIGION quel qu’elle soit, et je suis encore moins un « Prophète », mais un humain comme vous, aussi imparfait, avec mes défauts, mes qualités, et mon caractère.

Je ne recherche que la « vérité » la « Vraie », sachant que jamais je ne la trouverai, car les humains ont détruit ce qui ne leur convenait pas.  Une chose me rassure, quand je regarde tout ce qui vie autour de moi, de l’humain à la bestiole, avec cette diversité de faune et de flore, du soleil à la pluie, avec ces orages, tornade, ces milliers de vent, etc., alors je me dis que la gestion est merveilleuse, et la « Vérité » la « Vraie » est là, devant mes yeux.

De plus, je m’efforce de mettre en pratique ce onzième « Commandement » de Jésus le Nazaréen, ce qui n’est pas toujours facile, car il m’arrive parfois de l’oublier sous l’emprise de la colère :

« Tu aimeras ton prochain comme toi-même »

Mais aussi :

« Aime ton frère (semblable) comme ton âme ; veille sur lui comme sur la pupille de ton œil. » --- Papyrus Oxyrhynque I ---

Je vais continuer sur « L’Hypocrisie Chrétienne » (H.C.), avec des enseignements écrits dans votre « Livre BIBLE »

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Je tiens à préciser qu’il est important pour vous de lire le chapitre précédent avant de lire le nouveau chapitre. La compréhension sera meilleure pour vous.

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Dernière phrase du chapitre précédent

 

NT -Des Pharisiens s'approchèrent de lui -- Jésus le Nazaréen -- et lui dirent, pour le mettre à l'épreuve :

 « Est-il permis de répudier sa femme pour n'importe quel motif ? »

Il répondit :

« N'avez-vous pas lu que le Créateur, dès l'origine, les fit homme et femme, et qu'il a dit : Ainsi l'homme quittera son père et sa mère pour s'attacher à sa femme, et les deux ne feront qu'une seule chair ?

Ainsi ils ne sont plus deux, mais une seule chair. Eh bien ! ce que Dieu a uni, l'homme ne doit point le séparer. »

« Pourquoi donc, lui disent-ils, Moïse a-t-il prescrit de donner un acte de divorce quand on répudie ? »

« C'est, leur dit-il, en raison de votre dureté de cœur que Moïse vous a permis de répudier vos femmes ; mais dès l'origine il n'en fut pas ainsi.

Or je vous le dis : quiconque répudie sa femme - pas pour «  prostitution » - et en épouse une autre, commet un adultère. »

 

H.C. -- Chapitre N° 20

 

La Femme

 

Comment se fait-il que l’Église Chrétienne n’accepte pas le « Divorce » alors que la Bible l’autorise ? ...

Voici un texte ou -- EL-SHADDAÏ -- Yahvé , lui-même parle du divorce en confirmant ce que je vous ai écrit ci-dessus

« Si un homme répudie sa femme, et que celle-ci le quitte et appartient à un autre, a-t-il encore le droit de revenir à elle ?

N'est-elle pas totalement profanée, cette terre-là ?

Et toi qui t'es prostituée à de nombreux amants, tu prétends revenir à moi !

Oracle -- d’EL-SHADDAÏ --  Yahvé.

Elle a vu aussi que j'ai répudié la rebelle Israël pour tous ses adultères et lui ai donné son acte de divorce. Or la perfide Juda, sa sœur, n'a pas eu de crainte; elle est allée, elle aussi, se prostituer.

Mais comme une femme qui trahit son compagnon, ainsi m'avez-vous trahi, maison d'Israël, oracle -- d’EL-SHADDAÏ --  Yahvé. »

L’adultère est bien compris comme de la prostitution par EL-SHADDAÏ.

Voici un autre texte ou son Fils, Jésus le Nazaréen, enseigne :NT :

« Vous avez entendu qu'il a été dit : Tu ne commettras pas l'adultère.

Eh bien ! Moi je vous dis : Quiconque regarde une femme pour la désirer a déjà commis, dans son cœur, l'adultère avec elle.

« Il a été dit d'autre part : Quiconque répudiera sa femme, qu'il lui remette un acte de divorce. »

Pour répudier, enfin employons le terme, pour divorcer, il n’y avait pas que l’adultère, car une partie de texte ci- dessus stipule bien : « Soit un homme qui a pris une femme et consommé son mariage ; mais cette femme n'a pas trouvé grâce à ses yeux, et il a découvert une tare à lui imputer … »

Comment était considéré le mariage dans l’antiquité et à l’ère de Jésus le Nazaréen ?

A partir du moment que vous vouliez faire l’amour avec une jeune femme, quinze ans à l’époque, et que celle-ci était vierge, obligatoirement il y avait mariage. C’était un déshonneur pour les parents si une fille avait des rapports sexuels avant le mariage. Celle-ci était considérée comme une prostituée. Le mariage se faisait simplement. Les parents des deux parties se mettaient en accord pour tout ce qui était financier et dote et ils annonçaient à tout le village ou le bourg que le fils prenait pour épouse la fille de …

Le festin et les réjouissances en général duraient plusieurs jours. Le religieux n’avait cours que chez les gens aisés ou connus tel que le Chef du Village ou du Bourg, les Prêtres, bien entendu, et en plus pour les hébreux les « Prophètes », le forgeron, charpentier, potier, patron pêcheur, tisserand, etc.

Dans l’antiquité judaïque le divorce est exclusivement donné par le mari. Il ne peut cependant le faire que si son épouse est consentante. Il ne peut, en aucun cas, le faire sous la contrainte ou l'influence. Il nécessite donc l'accord des deux parties, contrairement à une croyance persistante, l'un qui « donne » et l'autre qui « l'accepte. »

Chez les Romains et les Grecs, le mari divorçait aussi par répudiation, mais l’épouse répudiée partait avec sa dote, sauf en cas d’adultère.

 L’épouse pouvait, elle aussi demander le divorce en cas de maltraitance, et si cela était prouvé, l’épouse récupérait sa dote et en plus le mauvais mari devait lui payer dix-huit pourcent de la dote par année de mariage.

La répudiation de l’épouse, en dehors de l’adultère, se faisait pour les mêmes raisons qu’aujourd’hui, c’est à dire une femme qui ne tenait pas son rôle de femme, mais le divorce pour la femme était aussi autorisé, comme maintenant, si le mari ne tenait pas son rôle d’époux c’est à dire subvenir aux besoins de la famille et de son épouse.

En lisant l’histoire de l’Antiquité, nous  pouvons certifier sans nous tromper, qu’il était plus facile de se séparer entre époux, si la preuve formelle de la défaillance d’un des époux était faite, que de nos jours.

Voyons maintenant le second,

Je n’écris que des textes Bibliques, c’est-à-dire ce qui est écrit dans ce livre chrétien «  la BIBLE. »

 

LA FEMME

 

Vous constaterez de vous-même en lisant les versets bibliques écrits ci-dessous, la véracité et l’immense « sagesse » que dégagent ces écrits bibliques. Vous aurez du mal à contredire ces quelques lignes tellement elles respirent la réalité.

Il nous suffit de constater ! …

« Il en est de même de la femme infidèle à son mari qui lui apporte un héritier conçu d'un étranger.

Tout d'abord elle a désobéi à la loi du Très-Haut, ensuite elle est coupable envers son mari; en troisième lieu elle s'est souillée par l'adultère et a conçu des enfants d'un étranger.

 Telle est la conduite de la femme adultère : elle mange, puis s'essuie la bouche en disant :

 « Je n'ai rien fait de mal ! »

Peut-on porter du feu dans son sein sans enflammer ses vêtements ?

Peut-on marcher sur des charbons ardents sans se brûler les pieds ?

Ainsi celui qui court après la femme de son prochain : qui s'y essaie ne s'en tirera pas indemne.

Mais l'adultère est privé de sens, qui veut sa propre perte agit ainsi!

Car la jalousie excite la rage du mari, au jour de la vengeance il sera sans pitié, il n'aura égard à aucune compensation, il ne consentira à rien, même si tu multiplies les présents.

Toute blessure, sauf une blessure du cœur !

Toute méchanceté, sauf une méchanceté de femme !

J'aimerais mieux habiter avec un lion ou un dragon qu'habiter avec une femme méchante.

 Mieux vaut habiter en un pays désert qu'avec une femme querelleuse et chagrine.

La méchanceté d'une femme change son visage, elle fait grise mine, on dirait un ours.

Cœur abattu, visage triste, blessure secrète, voilà l'œuvre d'une femme méchante. Mains inertes et genoux sans force, telle est la femme qui fait le malheur de son mari.

Ne donne pas à l'eau un passage, ni à la femme méchante la liberté de parler.

Une femme méchante, c'est un joug à bœufs mal attaché; prétendre la maîtriser, c'est saisir un scorpion.

Son mari s'attable parmi ses voisins et, malgré lui, il gémit amèrement.

Toute malice n'est rien près d'une malice de femme que le sort des pécheurs lui advienne !

Une montée sablonneuse sous les pas d'un vieillard, telle est une femme bavarde pour un homme tranquille.

Ne te laisse pas prendre à la beauté d'une femme, ne t'éprends jamais d'une femme.

Détourne ton regard d'une jolie femme et ne l'arrête pas sur une beauté étrangère. Beaucoup ont été égarés par la beauté d'une femme et l'amour s'y enflamme comme un feu.

 Un anneau d'or au groin d'un pourceau : une femme belle mais dépourvue de sens.

 Ne convoite pas dans ton cœur sa beauté, ne te laisse pas prendre à ses œillades, car à la prostituée suffit un quignon de pain, mais la femme mariée en veut à une vie précieuse.

C'est un objet de colère, de reproche et de honte qu'une femme qui entretient son mari.

Ne te livre pas entre les mains d'une femme, de peur qu'elle ne prenne de l'ascendant sur toi

Ne va pas au-devant d'une prostituée tu pourrais tomber dans ses pièges.

 Ne te livre pas aux mains des prostituées tu y perdrais ton patrimoine.

N'arrête pas ton regard sur une jeune fille, de crainte d'être puni avec elle

C'est une calamité pour son père qu'un fils insensé, une gargouille qui ne cesse de couler que les querelles d'une femme.

Près d'une femme mariée garde toi bien de t'asseoir et de t'attabler pour des beuveries, de crainte que ton cœur ne succombe à ses charmes et que dans ta passion tu ne glisses à ta perte.

C'est par la femme que le péché a commencé et c'est à cause d'elle que tous nous mourons

Une femme qui boit, c'est un sujet de grande colère, elle ne peut cacher son déshonneur.

L'inconduite d'une femme se lit dans la vivacité de son regard et se reconnaît à ses œillades.

Méfie-toi bien d'une fille hardie de peur que, se sentant les coudées franches, elle n'en profite.

Garde toi bien des regards effrontés et ne t'étonne pas s'ils t'entraînent au mal.

Comme un voyageur altéré elle ouvre la bouche, elle boit de toutes les eaux qu'elle rencontre, elle va au-devant de toute fornication et offre son corps à l'impureté.

Devant qui que ce soit ne t'arrête pas à la beauté et ne t'assieds pas avec les femmes.

Car du vêtement sort la teigne et de la femme une malice de femme.

C’est crève-cœur et douleur qu'une femme jalouse d'une autre, et tout cela, c'est le fléau de la langue.

Mieux vaut la malice d'un homme que la bonté d'une femme, une femme cause la honte et les reproches. 

Une femme impie est donnée en partage au pécheur, une femme éhontée ne se plait que dans le déshonneur.

Une femme hardie n’est pas plus respectée qu’un chien.

Une femme criarde et bavarde est une trompette qui sonne la déroute ; tout homme, dans ces conditions, passe sa vie dans les fracas de la guerre. »

Je n’ai posé que le quart de ce qui est écrit sur la femme, mais après tous ces conseils de garde que personne n’enseigne dans la religion chrétienne, même ces « grands professeurs de théologie du Net », car soi-disant se serait du masochisme, alors que ce n’est que réalité et vérité, il ne suffit que de regarder et écouter, je vais écrire avec ce livre Bible la joie et le bonheur d’un mari qui a une « Femme », une vraie, à ses côtés.

Mais avant je ne peux résister à écrire ce merveilleux texte qui même aujourd’hui est d’une réalité étonnante.

Je réitère ceci est écrit dans votre livre Bible.

A vous de comprendre le sens

« J'ai vu, parmi de jeunes niais, j'ai remarqué parmi des enfants un garçon privé de sens.

Passant par la venelle, près du coin où elle est, il gagne le chemin de sa maison, à la brune, au tomber du jour au cœur de la nuit et de l'ombre.

Et voici qu'une femme vient à sa rencontre, vêtue comme une prostituée, la fausseté au cœur.

Elle est hardie et insolente; ses pieds ne peuvent tenir à la maison.

Tantôt dans la rue, tantôt sur les places, à tous les coins elle se tient aux aguets.

Elle le saisit et l'embrasse et d'un air effronté lui dit :

« J'avais à offrir un sacrifice de communion, j'ai accompli mes vœux aujourd'hui, voilà pourquoi je suis sortie à ta rencontre pour te chercher, et je t'ai trouvé.

J'ai recouvert mon divan de couvertures, de tissus brodés, d'étoffe d'Égypte, j'ai aspergé ma couche de myrrhe, d'aloès et de cinnamome.

Viens! Enivrons-nous d'amour jusqu'au matin !

Jouissons dans la volupté !

Car il n'y a point de mari à la maison : il est parti pour un lointain voyage, il a emporté le sac aux écus, à la pleine lune il reviendra chez lui. »

A force de persuasion elle le séduit, par le charme doucereux de ses lèvres elle l'entraîne.

Aussitôt il la suit, tel un bœuf qui va à l'abattoir, tel un fou marchant au supplice des entraves, jusqu'à ce qu'un trait lui perce le foie, tel l'oiseau qui se précipite dans le filet sans savoir qu'il y va de sa vie. »

Je continuerai ces écrits bibliques dans le prochain chapitre.

En attendant je vous laisse à vos vérifications et remarques

Portez-vous bien !

Salutations cordiales !

Sig : JP.G. dit « GRAND-LOUP » ou « GRANDELOUPO »