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Titre du blog : Critique réfléchie des Religions par GRANDELOUPO
Auteur : grande-loupo
Date de création : 30-04-2009
 
posté le 01-09-2013 à 23:23:59

HC: N° 21 - Éloge de la femme

Pour certains de mes semblables, je tiens à préciser que je ne fais partie d’aucune SECTE quel qu’elle soit, d’aucune RELIGION quel qu’elle soit, et je suis encore moins un « Prophète », mais un humain comme vous, aussi imparfait, avec mes défauts, mes qualités, et mon caractère.

Je ne recherche que la « vérité » la « Vraie », sachant que jamais je ne la trouverai, car les humains ont détruit ce qui ne leur convenait pas.  Une chose me rassure, quand je regarde tout ce qui vie autour de moi, de l’humain à la bestiole, avec cette diversité de faune et de flore, du soleil à la pluie, avec ces orages, tornade, ces milliers de vent, etc., alors je me dis que la gestion est merveilleuse, et la « Vérité » la « Vraie » est là, devant mes yeux.

De plus, je m’efforce de mettre en pratique ce onzième « Commandement » de Jésus le Nazaréen, ce qui n’est pas toujours facile, car il m’arrive parfois de l’oublier sous l’emprise de la colère :

« Tu aimeras ton prochain comme toi-même »

Mais aussi :

« Aime ton frère (semblable) comme ton âme ; veille sur lui comme sur la pupille de ton œil. » --- Papyrus Oxyrhynque I ---

Je vais continuer sur « L’Hypocrisie Chrétienne » (H.C.), avec des enseignements écrits dans votre « Livre BIBLE »

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Je tiens à préciser qu’il est important pour vous de lire le chapitre précédent avant de lire le nouveau chapitre. La compréhension sera meilleure pour vous.

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Dernière phrase du chapitre précédent

 

Elle est hardie et insolente; ses pieds ne peuvent tenir à la maison.

Tantôt dans la rue, tantôt sur les places, à tous les coins elle se tient aux aguets.

Elle le saisit et l'embrasse et d'un air effronté lui dit :

« J'avais à offrir un sacrifice de communion, j'ai accompli mes vœux aujourd'hui, voilà pourquoi je suis sortie à ta rencontre pour te chercher, et je t'ai trouvé.

J'ai recouvert mon divan de couvertures, de tissus brodés, d'étoffe d'Égypte, j'ai aspergé ma couche de myrrhe, d'aloès et de cinnamome.

Viens! Enivrons-nous d'amour jusqu'au matin !

Jouissons dans la volupté !

Car il n'y a point de mari à la maison : il est parti pour un lointain voyage, il a emporté le sac aux écus, à la pleine lune il reviendra chez lui. »

A force de persuasion elle le séduit, par le charme doucereux de ses lèvres elle l'entraîne.

Aussitôt il la suit, tel un bœuf qui va à l'abattoir, tel un fou marchant au supplice des entraves, jusqu'à ce qu'un trait lui perce le foie, tel l'oiseau qui se précipite dans le filet sans savoir qu'il y va de sa vie. »

 

H.C. -- Chapitre N° 21

 

L’ÉLOGE de la FEMME

« Une maîtresse femme est la couronne de son mari, mais une femme indigne est comme une carie dans ses os.

Une femme gracieuse acquiert de l'honneur, les violents acquièrent la richesse.

Heureux l'époux dont la femme est excellente, le nombre de ses jours sera doublé.

Une femme parfaite est la joie de son mari, il passera dans la paix toutes les années de sa vie.

Une femme excellente est une part de choix, attribuée à ceux qui craignent le Seigneur, riches ou pauvres, leur cœur est en liesse, ils montrent toujours un visage joyeux.

La grâce d'une épouse fait la joie de son mari et sa science est pour lui une force.

Une femme silencieuse est un don du Seigneur, celle qui est bien élevée est sans prix.

Une femme pudique est une double grâce, celle qui est chaste est d'une valeur inestimable.

Comme le soleil levant sur les montagnes du Seigneur, ainsi le charme d'une jolie femme dans une maison bien tenue.

Une lumière brillant sur un lampadaire sacré, ainsi la beauté d'un visage sur un corps bien planté.

Des colonnes d'or sur une base d'argent, ainsi de belles jambes sur des talons solides.

Une femme de louage ne vaut pas un crachat, une épouse légitime est une citadelle qui tue ceux qui l’entreprennent.

Une femme pudique est délicate même avec son mari.

Une femme qui honore son époux passe pour sage aux yeux de tous, heureux le mari d’une femme excellente, car le nombre de ses jours sera doublé.

La beauté d'une femme réjouit le regard, c'est le plus grand de tous les désirs de l'homme.

Si la bonté et la douceur sont sur ses lèvres, son mari est le plus heureux des hommes.

Celui qui acquiert une femme a le principe de la fortune, une aide semblable à lui, une colonne d'appui.

Faute de clôture le domaine est livré au pillage, sans une femme l'homme gémit et va à la dérive.

Comment se fier à un voleur de grand chemin qui court de ville en ville ?

 De même à l'homme qui n'a pas de nid, qui s'arrête là où la nuit le surprend.

Une maîtresse femme, qui la trouvera ? Elle a bien plus de prix que les perles!

En elle se confie le cœur de son mari, il ne manque pas d'en tirer profit.

Elle fait son bonheur et non son malheur, tous les jours de sa vie.

Elle cherche laine et lin et travaille d'une main allègre.

Il fait encore nuit qu'elle se lève, distribuant à sa maisonnée la pitance, et des ordres à ses servantes.

A-t-elle en vue un champ, elle l'acquiert; du produit de ses mains, elle plante une vigne.

Elle ceint vigoureusement ses reins et déploie la force de ses bras.

Elle sait que ses affaires vont bien, de la nuit, sa lampe ne s'éteint.

Elle met la main à la quenouille, ses doigts prennent le fuseau.

Elle étend les mains vers le pauvre, elle tend les bras aux malheureux.

Elle ne redoute pas la neige pour sa maison, car toute sa maisonnée porte double vêtement.

Elle se fait des couvertures, de lin et de pourpre est son vêtement.

Aux portes de la ville, son mari est connu, il siège parmi les anciens du pays.

Elle tisse des étoffes et les vend, au marchand elle livre une ceinture.

Force et dignité forment son vêtement, elle rit au jour à venir.

Avec sagesse elle ouvre la bouche, sur sa langue : une doctrine de piété.

De sa maisonnée, elle surveille le va-et-vient, elle ne mange pas le pain de l'oisiveté.

Ses fils se lèvent pour la proclamer bienheureuse, son mari, pour faire son éloge :

« Nombre de femmes ont accompli des exploits, mais toi, tu les surpasses toutes! »

Je peux vous certifier la véracité des versets écrits ci-dessus, ayant cet immense bonheur au sein de notre demeure.

Comme je vous l’ai déjà écrit, étant atteint de ces « maladies nosocomiales » que les hôpitaux vous offrent gracieusement, je suis de mobilité réduite, sans compter le reste qui se détériore tout doucement sachant que personne ne peut vous guérir, car ce « microbe » qui vous mange, ils ne le connaissent pas. Vous partez plus rapidement que prévu vers le « Grand Sommeil » avec, en prime, la souffrance du corps, ce qui n’est rien comparé à la torture d’Esprit de beaucoup de mes semblables.

Donc quand je me déplace en ville quel plaisir pour moi de voir ces gens de toutes races et couleurs se déplacer volontairement pour serrer la main de votre épouse ou lui faire une bise affectueuse, avec ces paroles taquines :

 « Alors Mamou ou Jacqueline, tu sors le « Vieux », tu fais prendre l’air à ton « Gros » ! ».

 Et ils sont contents de me voir, toujours un petit mot gentil, toujours ce sentiment d’affection sans hypocrisie, que du bonheur ! …

De plus ils sont musulmans, chrétiens, protestants, certains TJ, d’autres Evangélistes, bouddhiste, etc … Maire, adjoint, patron d’entreprise, ivrogne, mendiant, « tout fou », viennent vous saluer et quérir de vos nouvelles.

Nous avons mon épouse et moi le respect de tout le monde, et nos enfants, par ricochet, sont appréciés de tous. Pourtant nous sommes de simple gens, sans fortune, avec notre petite retraite, tous savent que je suis un « Voyageur », certains de pays magrébins me surnomment le « Gitan », mais nous devons sans doute dégager quelque chose pour que tous ces semblables soient attentionnés pour nous.

Vous qui me lisez depuis plusieurs temps, je reviens sur ce que certains « Chrétiens » sur le Net affirment. Ils écrivent, je les cite :

« Dieu est miséricorde et pardonne tout »

Ils citaient ce texte pour défendre l’homosexualité en particulier. Alors, en cherchant pour vous, Lectrices et Lecteurs, des écrits d’enseignements, par hasard mon esprit fut arrêté sur le texte que je vais vous écrire ci-dessous, en me prouvant encore une fois la puissance d’ESPRIT de ce Dieu Unique, mon Maître, EL-SHADDAÏ, qui prouve à ces « braves Chrétiens », que ce Dieu, « DIEU », pour ces « Chrétiens », ne pardonne pas tout.

Livre Biblique du Siracide ou l’Ecclésiastique  chapitre 16 : 4 - 13 plus les versets 17-20

« Par un seul homme intelligent une ville se peuple, mais la race des pervers sera détruite.

J'ai vu de mes yeux beaucoup de choses semblables et de mes oreilles j'en ai entendu de plus fortes.

Dans l'assemblée des pécheurs s’allument le feu, dans la race rebelle s'est enflammé la Colère.

« EL-SHADDAÏ » Dieu n'a point pardonné aux géants d'autrefois qui s'étaient révoltés, fiers de leur puissance.

Il n'a pas épargné la ville où habitait Lot, leur orgueil lui faisait horreur.

Il n'a pas eu pitié de la race de perdition ceux qui se prévalaient de leurs péchés.

Il traita de même 600.000 hommes de pied, qui s'étaient ligués dans la dureté de leur cœur.

N'y eût-il qu'un seul homme au cou raide, il serait inouï qu'il restât impuni, car pitié et colère appartiennent au Seigneur puissant dans le pardon, répandant la colère.

Autant que sa miséricorde, autant est grande sa sévérité, il juge les hommes selon leurs œuvres.

Il ne laisse pas impuni le pécheur avec ses larcins, il ne fruste pas la patience de l'homme pieux.

Ne dis pas : « Je me cacherai pour échapper au Seigneur ; là-haut qui se souviendra de moi ? Au milieu de la foule je ne serai pas reconnu, que suis-je dans la création immense ? »

Voici : le ciel, le plus haut des cieux, l'abîme et la terre sont ébranlés lors de sa visite.

En même temps les montagnes et les fondements de la terre tremblent sous son regard.

Mais à tout cela on ne réfléchit pas; qui donc s'intéresse à ses voies ? »

Ces quelques lignes nous prouvent qu’EL-SHADDAÏ ne pardonne pas tout. Ce qu’écrivent ces Chrétiens n’est que leur invention personnelle, car le contre-nature mérite la mort définitive pour EL-SHADDAÏ ainsi que le blasphème.

L’HOMME

L’homme dans la Création

« Lorsque au commencement Dieu créa ses œuvres, sitôt faites, il leur attribua une place.

Il ordonna ses œuvres pour l'éternité, depuis leurs origines jusqu'à leurs générations lointaines. Elles ne souffrent la faim ni la fatigue et n'abandonnent jamais leur tâche.

Aucune n'a jamais heurté l'autre et jamais elles ne désobéissent à sa parole.

Ensuite le Seigneur jeta les yeux sur la terre et la remplit de ses biens.

De toute espèce d'animaux il en couvrit la face et ils retourneront à la terre.

Le Seigneur a tiré l'homme de la terre pour l'y renvoyer ensuite.

Il a assigné aux hommes un nombre précis de jours et un temps déterminé, il a remis en leur pouvoir ce qui est sur terre.

Il les a revêtus de force, comme lui-même, à son image il les a créés.

A toute chair il a inspiré la terreur de l'homme, pour qu'il domine bêtes sauvages et oiseau.

Ils reçurent l’usage des cinq pouvoirs du Seigneur « EL-SHADDAÏ », comme sixième, il leur donna l’intelligence en partage, comme septième, la raison interprète de ses opérations.

Il leur forma une langue, des yeux, des oreilles, il leur donna un cœur pour penser.

Il les remplit de science et d'intelligence et leur fit connaître le bien et le mal.

Il mit sa lumière dans leur cœur pour leur montrer la grandeur de ses œuvres.

Il leur accorda encore la connaissance, il les gratifia de la loi de la vie, il a conclu avec eux une alliance éternelle et leur a fait connaître ses jugements ; leurs yeux contemplèrent la grandeur de sa majesté, leurs oreilles entendirent la magnificence de sa voix. »

Il leur dit : «Gardez-vous de tout mal», il leur donna des commandements chacun à l'égard de son prochain.

Leur conduite est toujours devant lui, jamais cachée à ses regards.

Les hommes, conseils :

« N'abandonne pas un vieil ami, le nouveau venu ne le vaudra pas. Vin nouveau, ami nouveau, laisse-le vieillir, tu le boiras avec délices.

N'envie pas le succès du pécheur, tu ne sais comment cela finira.

Ne te félicite pas de la réussite des impies, souviens-toi qu'ici-bas ils ne resteront pas impunis.

Tiens-toi éloigné de l'homme qui est capable de tuer et tu n'auras aucune crainte de la mort. Si tu l'approches surveille-le bien, il pourrait t'ôter la vie. Sache bien que tu es entouré de pièges et que tu marches sur les remparts.

Autant que tu le peux fréquente ton prochain et prends conseil des sages.

Pour ta conversation recherche les hommes intelligents et que tous tes entretiens portent sur la loi du Très-Haut.

Que les justes soient tes commensaux ( personnes qui mangent régulièrement à la même table ) et que ta fierté soit dans la crainte du Seigneur EL-SHADDAÏ.

Un ouvrage fait de main d'ouvrier mérite louange, mais le chef du peuple, lui, doit être habile dans le discours.

Le beau parleur est redouté dans la ville et le bavard est détesté. »

La suite ressemble étrangement à certaines lectures que je fais sur le « Net » par des Chrétiens, et des humains qui se croient meilleurs que leurs semblables.

Toujours écrit dans ce Livre Bible :

Le « conseiller » et le « sage »

« Tout conseiller donne des conseils, mais il en est qui cherchent leur intérêt.

Méfie-toi du donneur de conseils, demande-toi d'abord de quoi il a besoin car il donne ses conseils dans son propre intérêt de crainte qu'il ne jette son dévolu sur toi, qu'il ne te dise :

«Tu es sur la bonne voie», et ne reste à distance pour voir ce qui t'arrivera.

Ne consulte pas quelqu'un qui te regarde en dessous et à ceux qui t'envient, cache tes desseins.

Ne consulte pas non plus une femme sur sa rivale, ni un poltron sur la guerre, ni un négociant sur le commerce, ni un acheteur sur une vente, ni un envieux sur la reconnaissance, ni un égoïste sur la bienfaisance, ni un paresseux sur un travail quelconque, ni un mercenaire saisonnier sur l'achèvement d'une tâche, ni un domestique nonchalant sur un grand travail; ne t'appuie sur ces gens pour aucun conseil.

Mais adresse-toi toujours à un homme pieux, que tu connais pour observer les commandements, dont l'âme est comme la tienne, et qui, si tu échoues, sera compatissant.

Ensuite, tiens-toi au conseil de ton cœur, car nul ne peut t'être plus fidèle.

Car l'âme de l'homme l'avertit souvent mieux que sept veilleurs en faction sur une hauteur.

Et par-dessus tout cela, supplie le Très-Haut, qu'il dirige tes pas dans la vérité.

Tel homme est habile pour enseigner les autres qui, pour lui-même, n'est bon à rien; tel homme, beau parleur, est détesté, il finira par mourir de faim, car le Seigneur « EL-SHADDAÏ » ne lui accorde pas sa faveur il est dépourvu de toute sagesse. »

« Ne blâme pas avant d'avoir examiné, réfléchis d'abord, puis exprime tes reproches.

Ne réponds pas avant d'avoir écouté, n'interviens pas au milieu du discours.

Ne t'échauffe pas pour une affaire qui ne te regarde pas et ne te mêle pas des querelles des pécheurs. »

La suite de ces écrits bibliques dans quelques jours.

Portez-vous bien !

Salutations cordiales à Tous !

Sig : JP.G. dit « GRAND-LOUP » ou « GRANDELOUPO »