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Titre du blog : Critique réfléchie des Religions par GRANDELOUPO
Auteur : grande-loupo
Date de création : 30-04-2009
 
posté le 01-03-2014 à 01:07:25

Secte, Religion ... Chap. N°Purgatoire et Indulgences

Purgatoire de Dante

 

Secte, Religion, Païenne, La Chrétienté

 

Pendant quelques chapitres je vais vous écrire la naissance d’une religion qui est aujourd’hui la première mondiale par le nombre de ses fidèles, mais aussi par tous les Ordres Monastiques ainsi que toutes les sectes se rattachant même indirectement à cette Religion-Mère qui fonctionne pour ces Dirigeants comme une secte.

Cette religion, embryon du judaïsme même si elle le nie, les écrits politiques historiques prouvant le contraire et confirmant sa naissance du judaïsme, prendra sa légitimité par un homme hors du commun des mortels un Galiléen du nom de Jésus le Nazôréen fils du charpentier de Nazareth.

Ces seules armes seront son Esprit de raisonnement, de réflexion, son Verbe, son Amour pour la race humaine, rappelant toujours les Lois indestructibles de son Père géniteur, que je nomme EL-SHADDAÏ ---{ Dieu au-dessus des Montagnes } --- comme Abram ou Abraham, son véritable NOM ayant été rendu « TABOU »  par les humains, qui l'ont supprimé de tous les « Écrits », en le remplaçant par un tétragramme « YHWH. » et que cette religion nomme vulgairement « Dieu ».

Ce Galiléen fait encore aujourd’hui couler beaucoup d’encre, car entouré d’un « Mystère » inexplicable de sa naissance à sa mort, doté d'une rare « Sagesse », d’une « Connaissance » de la matière et de l’immatériel du corps humain, d’un pouvoir incommensurable et d’une « Intelligence » phénoménale.

Il s’entoura de soixante-douze « Disciples » dans lequel il choisit douze « Apôtres » qui représentaient les douze Tributs d’Israël. Après les avoir enseignés sur les Lois et Préceptes de son Père géniteur, puis sur un Enseignement personnel, il les envoyât sur la surface de la Terre pour instruire tous les humains qui vivaient sur celle-ci faisant des « Disciples », leur inculquant ce onzième commandement.

Matthieu XIX : 19, XXII : 39, Marc XII : 31, etc

« Tu aimeras EL-SHADDAÏ ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme et

« Tu aimeras ton prochain comme toi-même ! »

Mais aussi :

« Aime ton frère (semblable) comme ton âme ; veille sur lui comme sur la pupille de ton œil. » --- Papyrus Oxyrhynque I ---

Ce bel homme, à l’image de son Père et de ceux qui vivent avec lui, de caractère dur, autoritaire, d'une grande force, au verbe haut, imposant la crainte, le respect, mais aussi la gentillesse et l’amour fut tout le long de sa vie parfaite sur la Terre, un « PARANGON. » 

De l'enseignement de cet homme, les humains en ont fait en à peine IV siècles { quatre cents ans }  une Religion d'Idolâtre

C'est cette histoire que j'écris ! ...

 

Dernières lignes du chapitre précédent

 

C’est aussi à ce CONCILE que fût décréter le « Pourpre Cardinalice ».

Toujours à ce fameux CONCILE, le 8 Avril 1546 ces mêmes ecclésiastiques se permirent de définir le CANON, c’est à dire le contenu considéré comme authentique des Livres de la Bible et de juger quels Livres étaient inspirés, quels Livres étaient apocryphes.

 Ils en ajoutèrent et en retranchèrent.

 Les éditions de la Bible sont désormais soumises à la censure des autorités ecclésiastiques---- { exactement comme sous Constantin Ier le Grand au Concile de NICÉE en 325 …} ----

Ce « CANON » est toujours le même aujourd’hui

 

Chapitre N° 4

 

Purgatoire et « Indulgences »

 

Sur le plan disciplinaire, il crée les séminaires diocésains, destinés à former les prêtres. Trente est l'un des Conciles les plus importants de l'histoire du catholicisme ; il est le plus abondamment cité par le Concile Vatican II, ouvert par le Pape Jean XXIII en 1962 et clos par son prédécesseur Paul VI en 1965.

A ce Concile, lors de la Vème session, le 17 juin 1546, il définit le dogme du péché originel --- [ S'il touche tous les hommes, il est effacé par le baptême : « en ceux qui sont nés de nouveau, rien n'est l'objet de la haine de Dieu. » ] ---- et confirme une autorité de la Bible spécifique au catholicisme romain, les sept sacrements, le culte des saints et des reliques.

Ce texte ci-dessus confirme bien votre « Idolâtrie » avec le culte des saints et des reliques.

Encore une Loi du « Dieu Unique », que je nomme comme Abraham « EL-SHADDAÏ », ainsi que l’enseignement de son Fils Jésus le Nazaréen, bafouée par votre religion chrétienne.

Vous Chrétiens dans vos Temples, vos Églises, on vous enseigne beaucoup de mensonges !… et volontairement vous les acceptés ! …

Jésus le Nazaréen a dit :

 « Vous entendez et vous êtes sourd !…..Vous voyez et vous êtes aveugle….. ! »

Maintenant le « PURGATOIRE »

Le « PURGATOIRE », véritable invention des Catholiques.

Le mot désignant le lieu purgatoire était inconnu avant le XIème siècle.

Un des premiers documents à mentionner ce nom est une lettre du bénédictin Nicolas de Saint-Alban au cistercien Pierre de Celle en 1176

Il fallut attendre Juin 1438 le Conseil des Pères Orientaux Orthodoxes lors de la Session VI ou le cardinal Julien Césarini reparla du « Purgatoire ».

Un décret canonique contenant une doctrine semblable est incorporée au « Décret d'Union » rédigé avant la clôture du Concile de Ferrara-Florence, lequel avait donné un court instant l’espoir de mettre fin au Grand Schisme d'Orient

 Un développement de la doctrine sur le Purgatoire se retrouva par la suite dans les canons du Concile de Trente Session XXV, qui tire l’idée de Purgatoire « des Écritures saintes » --- [ I Co 3, 12-17 et II Ma 12, 43-45 ] ----

Je vous laisse le soin d’aller vérifier sur une Bible, afin que par vous-même vous puissiez juger la fertilité stupide et aberrante de vos Dirigeants.

Tout bien réfléchi, je vous pose ces quelques lignes Bibliques

II Macchabé 12 :43-45 mais avant pour une bonne compréhension je vous pose les versets 41et 42

41- « Tous donc, ayant béni la conduite du Seigneur, juge équitable qui rend manifestes les choses cachées, se mirent en prière pour demander que le péché commis fût entièrement pardonné, puis le valeureux Judas exhorta la troupe à se garder pure de tout péché, ayant sous les yeux ce qui était arrivé à cause de la faute de ceux qui étaient tombés. »

43- « Puis, ayant fait une collecte d'environ 2.000 drachmes, il l'envoya à Jérusalem afin qu'on offrît un sacrifice pour le péché, agissant fort bien et noblement d'après le concept de la résurrection.

Car, s'il n'avait pas espéré que les soldats tombés dussent ressusciter, il était superflu et sot de prier pour les morts, et s'il envisageait qu'une très belle récompense est réservée à ceux qui s'endorment dans la piété, c'était là une pensée sainte et pieuse. Voilà pourquoi il fit faire ce sacrifice expiatoire pour les morts, afin qu'ils fussent délivrés de leur péché. »

I Corinthiens 3 : 12-17

« Que si sur ce fondement on bâtit avec de l'or, de l'argent, des pierres précieuses, du bois, du foin, de la paille, l'œuvre de chacun deviendra manifeste ; le Jour, en effet, la fera connaître, car il doit se révéler dans le feu, et c'est ce feu qui éprouvera la qualité de l'œuvre de chacun.--[ cette phrase en rouge est un rajout grossier de copiste qui n’a aucun sens dans le contexte. Vérifier par vous-même et vous m’expliquerez ce que signifie « la fera connaître » ]

Si l'œuvre bâtie sur le fondement subsiste, l'ouvrier recevra une récompense ; si son œuvre est consumée, il en subira la perte ; quant à lui, il sera sauvé, mais comme à travers le feu. [ en rouge comme ci-dessus ]

Ne savez-vous pas que vous êtes un temple -- d’EL-SHADDAÏ-- de Dieu, et que l'Esprit --- d’EL-SHADDAÏ-- de Dieu, habite en vous ?

Si quelqu'un détruit le temple d’EL-SHADDAÏ, de Dieu, celui-là, EL-SHADDAÏ, Dieu, le détruira. Car le temple d’EL-SHADDAÏ, de Dieu est sacré, et ce temple, c'est vous. »

Si dans ces textes bibliques vous arrivez à trouver un simple mot qui pourrait signifier « PURGATOIRE », veuillez me pardonner, je me fais « moine » !

Sauf erreur de ma part, il me semble que Paul écrit en comparant la matière avec le comportement et l’esprit humain. Il connaît aussi les paroles d’EL-SHADDAÏ, Dieu pour vous, qui dit en parlant de son peuple, je cite :

« Je les épurerai comme on épure l’or précieux. »

Parenthèse

Je cite les textes de vos livres car je trouve cela amusant, mais surtout navrant pour vous.

---- « « Le catéchisme pour adultes, publié par la Conférence des évêques de France en 1991 avec l'accord de la Congrégation pour la doctrine de la foi qui a donné le 23 janvier 1991 l'approbation du Saint-Siège, indique simplement ce qui suit :

« ...Pour parvenir à cette contemplation de Dieu, une « étape » de purification, appelée purgatoire, peut être nécessaire. Il ne s'agit ni d'un lieu, ni d'un temps ; on peut parler plutôt d'un état. En tout cas, le purgatoire, qui est bien une peine, n'est pas à concevoir comme une punition, par laquelle Dieu se vengerait en quelque sorte de nos infidélités. La communion avec Dieu, dans laquelle nous introduit la mort, nous fait prendre conscience douloureusement de nos imperfections et de nos refus d'aimer, et du besoin de nous laisser purifier par la puissance salvatrice du Christ.

C'est Dieu lui-même qui purifie et transforme. Mais la Tradition de l'Église catholique affirme que ceux qui sont au purgatoire bénéficient des prières et des supplications adressées en leur faveur à Dieu par leurs frères, et aussi de l'intercession des saints déjà introduits dans la béatitude de la vision de Dieu ». » » ----

Ce fameux « Purgatoire » va devenir une manne sonnante et trébuchante pour le giron de la Chrétienté avec cette invention nommée « INDULGENCE »

Dans l'Église catholique romaine, l’indulgence, du latin indulgere, « accorder », est la rémission totale ou partielle devant Dieu, El-Shaddaï pour moi, de la peine temporelle encourue en raison d'un péché déjà pardonné.

Selon la doctrine catholique, le péché est effacé par le sacrement du pardon, confession. Mais ce sacrement n'enlève pas la peine temporelle due au péché, qui se traduit généralement par un temps de purgatoire si elle n'est pas d'abord purgée sur terre par des actes de foi et de charité, actes de réparation.

Sa pratique, héritée du droit romain, remonte au IIIème siècle.

 Il s'agit alors de réintégrer dans le giron de l'Église les chrétiens ayant apostasié pendant les persécutions. Au XIIème siècle, elle reçoit une définition juridique dans les décrétales pontificales : une distinction est clairement établie entre l'absolution, réservée à Dieu, et l'indulgence, qui permet la réconciliation avec l'Église.

L'indulgence est obtenue en contrepartie d'un acte de piété, pèlerinage, prière, mortification, effectué à cette fin dans un esprit de repentir.

Comme vous venez de le lire les Enseignements de Jésus le Nazôréen sont dans les « oubliettes ». Par contre la fertilité intellectuelle des Dirigeants de la chrétienté est très grande. Les humains vont jusqu’à expliquer ce qu’EL-SHADDAÏ, Dieu, pardonne et ce que l’Église justifie.

Remplacer EL-SHADDAÏ il faut le faire !... !

Suite à la grande peste qui eut lieu dans toute l’Europe en 1347 ou 1351 et qui dura cinq ans faisant plus de vingt-cinq millions de victimes, sans compter toutes les autres épidémies, la peur de la mort et de l'enfer eurent comme conséquence le développement du culte marial, des saints, des reliques et la pratiques des « indulgences. »

 Le but est de gagner son paradis sur la terre même au prix d'un séjour au purgatoire[]. À la fin du XVème siècle, les indulgences sont un moyen de plus en plus en vogue pour réduire le nombre des années passées par une âme au purgatoire après sa mort.

N’oubliez pas que le « PURGATOIRE » est une invention humaine, mais pour vous fidèles lectrices et lecteurs, vous le savez puisque je vous l’ai déjà écrit ultérieurement.

Elle reflète l'angoisse des âmes[], par la question du salut.

Dès cette époque, on enregistre les premiers abus, la débauche de certains prêtres et moines qui vivent publiquement en concubinage, s'enrichissent avec l'argent des fidèles, principalement la simonie. Les fidèles marchandent auprès du prêtre un acte de charité, souvent sonnant et trébuchant.

[ La simonie est, pour les Chrétiens, l’achat et la vente de biens spirituels, tout particulièrement d’une charge ecclésiastique.]

Ainsi certains prélats devinrent des seigneurs, tirant des profits de la frappe de la monnaie et exerçant le droit de ban. Ils exploitèrent tous les moyens pour accroître leur puissance. Ils jouèrent sur la peur de l’enfer, extorquèrent des dons, et vendirent les sacrements.

Les charges épiscopales et cléricales, vendues, furent l’objet d’un véritable trafic. On vit même des dynasties d’évêques s’établir et de Papes. ]

Les « indulgences » sont par la suite vendues : dès que l'or tombe dans la sébile, l'âme s'échappe du purgatoire. La confusion du spirituel et du matériel accentue les phénomènes de désacralisation de cette époque. []De plus en plus, le fidèle se confesse, non pas poussé par la conscience de la foi, de sa faiblesse, mais par peur de la punition après la mort.

On monnaie également des dispenses à diverses obligations, les sommes ainsi récoltées finançant des édifices religieux ou permettant à certains prélats de mener grand train.

Ainsi la Tour de beurre de la cathédrale Notre-Dame de Rouen doit son surnom à la vente des dérogations accordées pour consommer des matières grasses pendant le carême.

Amorcée dès le XVème siècle et culminante au XVIème siècle, certains dénoncent la corruption de toute la société engendrée par le commerce des « indulgences. »

La naissance de l'imprimerie permet la diffusion d'éditions de bibles en langue vernaculaire ou si vous aimez mieux en langues vulgaires en montrant qu'elle ne fait mention ni des saints, ni du culte de la Vierge, ni du Purgatoire. Ce contact direct habitue le lecteur à avoir une relation personnelle avec les textes saints et à réfléchir par lui-même sur leur signification.

Le texte originel de la bible se trouve ainsi restauré.

A partir du milieu du XVème siècle, le pouvoir d'achat s'amenuise.

Mais ce qui affaiblit le plus l'Église catholique, c'est la perte de la sacralité. Les fidèles voient trop de fils de prêtres devenir prêtres, trop de clercs s'enrichir aux dépends des laïques, trop d'évêques vivant comme des grands seigneurs.

Les facteurs politiques ne sont pas absents non plus. Le développement des États se heurte à la puissance temporelle de l'Église. De plus en plus, les princes cherchent à intervenir dans le choix des membres du Haut-clergé, évêques, abbés.

En effet, les postes ecclésiastiques sont liés à des bénéfices.

Celui qui contrôle l'élection du prélat, contrôle indirectement le bénéfice[]. L'autorité universelle du Pape, proclamé par Grégoire VII depuis 1075 se heurte à l'autorité grandissante du souverain.

Le Pape peut lever des impôts réguliers ou exceptionnels dans tous les pays d'Occident.

L'Église catholique mettra, suite à la Réforme, un frein aux abus les plus criants. Néanmoins, la pratique perdure jusqu'à nos jours, encadrée d'abord par la Congrégation des « indulgences », créée par Clément VIII, 1592–1605, ses compétences sont transférées en 1908 au Saint-Office puis en 1917 à la Pénitencerie apostolique, qui en a toujours la charge.

Je ne fais que conter l’histoire de la religion la plus interplanétaire, celle du christianisme. Vous croyez que cela me fait plaisir d’écrire de tels textes ?... Cela me rend triste pour mes semblables, car ce qu’ils font en ce moment, moi le Païen de Grandeloupo, je l’ai pratiqué aussi.

Heureux humain que je suis aujourd’hui d’avoir ouvert les yeux ainsi que mon esprit de réflexion sur mes pratiques idolâtres, et d’avoir tout abandonné pour suivre le chemin qui mène vers le seul et véritable Dieu EL-SHADDAÏ.

Je réitère, je ne fais partie aujourd’hui d’aucune Secte, d’aucune religion de cette Terre, je mets en pratique le mieux que je peux les Lois d’EL-SHADDAÏ ainsi que les enseignements de son Fils unique, je cite Jésus le Nazaréen, mais surtout ce onzième commandement :

« Tu aimeras ton prochain comme toi-même, en particulier tes ennemis comme la pupille de ton œil. »

Faisant cela je suis, non nous sommes avec mon épouse, les plus heureux du monde et nous avons un aperçu de ce qu’est le Paradis.

Portez-vous bien et prenez soins de vous !

Salutations cordiales !

Sig : JP.G. dit « Grand-Loup » ou « GRANDELOUPO »