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Titre du blog : Critique réfléchie des Religions par GRANDELOUPO
Auteur : grande-loupo
Date de création : 30-04-2009
 
posté le 11-03-2014 à 02:32:18

La Pâque, chap. N°1 - "Ceux qui Passent"

Ceux qui passent

 

Pâque, le 14 Avril 2014

 

Pour nous, « Enfants » de cet admirable Dieu, seul et unique, cet Être Suprême, nous allons avec joie respecter la seule et unique fête qu’il nous demande de commémorer avec allégresse chaque année, le « Jour de la Pâque ».

Oui, vous mes semblables, vous qui chaque semaine venez vous fortifier intérieurement, cherchant sans interruption le sentier qui mène vers ce Dieu unique que personnellement je nomme EL-SHADDAÏ, comme cet « Être » m’a appris à le nommer ainsi, me prouvant par les « Textes de l’Ancien Testament » que seul ce véritable « NOM » écrit comme une plénitude, comme le symbole de la perfection car écrit sept fois dans la Genèse. Par vos efforts personnels, en continuité, vous vous reconnaissez comme étant les « Enfants » d’EL-SHADDAÏ, Lui notre Père Céleste. Je ne suis pas un « Prophète », ni un « Prêtre » ou autre « Nom » dignitaire de religion ou de secte, je suis un « Quidam » comme vous tous, avec mes qualités et mes imperfections, qu’EL-SHADDAÏ a éclairé sur les « Textes Bibliques ». Pourquoi moi et pas vous cela je l’ignore, mais pour moi je considère cela comme une bénédiction et au « Jour du Jugement » la sentence sera certainement plus sévère pour moi que pour vous, ce qui n’est que justice. Cette connaissance je dois la partager avec vous, avec tous les humains qui voudront volontairement se transformer en suivant les Lois et Préceptes de ce Dieu, ainsi que tous les Enseignements de son fils Bien-Aimé Jésus le Nazaréen.

Comme toute chose porte un « Nom », nous, ses « Enfants » le nommeront donc comme Abraham, qui ignorait son véritable « Nom », nous l’appellerons « EL-SHADDAÏ », « Dieu au-dessus des Montagnes » et non, ce « Nom » vulgaire de « Dieu » employé par toute la « Chrétienté ». Mais rien ne vous interdit de le nommer par un « Nom » que vous aimez.

Son « Peuple », que lui EL-SHADDAÏ a choisi sur toute la Terre, par le signe de reconnaissance de la circoncision, qui se format en terre étrangère, en Égypte, puis le libéra de l’esclavage de ce pays, et lui fit apprendre son « NOM » au pied du Sinaï, quelle fut sa récompense ?

Des décennies de discordes entre humains de mêmes langues, priant le même Dieu, sans compter les déportations massives du peuple ainsi que les invasions successives, firent que le « NOM » disparut du langage et des « Écritures » remplacé par ce tétragramme de quatre lettres « YHWH » qui se prononcerait hypothétiquement « YAVHÉ » qui signifierait « Seigneur » tout comme « Élohim ».

Nous, ses « Enfants », nous allons en cette année 2014 lui prouver qu’il est vraiment notre Père Céleste, en respectant la seule et unique fête qu’il nous demande de commémorer, la « Pâque » et non les « Pâques » comme le célèbre le christianisme, toutes confessions entendues, c’est-à-dire pour être clair, des Catholiques, Orthodoxes, Protestants, et toutes leurs innombrables factions comme les Témoins de Jéhovah, Baptiste, Évangéliques, Scientologues, Calvinistes, Luthériens, mais aussi tous les Jésus en Sauce, les Franciscains, Dominicains, Jésuites, Carmélites, etc …

Comme à l’ère d’Abraham quatorze jours après l’Équinoxe du Printemps qui est la Nouvelle Lune, où pour nos villageois, la Lune Rousse, et pour le calendrier Hébreux le 14 Nisan, la « Pâque » sera pour nous, cette année, le Lundi 14 Avril, entre les deux soirs nous mangerons la « Pâque » comme EL-SHADDAÏ notre Dieu, le seul que nous vénérons et pas un autre, sûrement pas son Fils unique Jésus le Nazôréen le Bien-Aimé, nous le demande.

Vous savez impertinemment que je vous donnerai de plus amples détails au fur et à mesure que nous nous approcherons de la date de la « Pâque ».

 

Chapitre N°1

 

Les Hébreux, « Ceux qui Passent »

 

La Pâque, la seul fête qui existe depuis qu’El-Shaddaï dévoilât à Hénoch le parcours elliptique, dans un temps donné, de la Terre autour du soleil dans le cosmos et sa rotation sur elle-même. Il lui expliquât le fonctionnement des « Solstices », cet événement astronomique qui se produit lorsque la position du soleil vu de la Terre atteint son extrême méridional ou septentrional et les équinoxes, celles du printemps, vers le 20-22 Mars, qui annonce les semailles dû au réchauffement de la terre, et le retour des troupeaux de petits et gros bétails aux prés, celle de l’automne, vers le 20-22 septembre qui est l’époque des récoltes, de la fabrication du vin, du retour des animaux des pâturages à l’étable.

Bien avant qu’El-Shaddaï ne fixa la fête de Pâque, les humains fêtaient cet équinoxe de printemps qui était l’ère du renouveau, l’herbe poussant dans les prés, les arbres bourgeonnant, se vêtissant de mille fleurs, les oiseaux avec leurs chants mélodieux s’accouplant pour faire leur nid, la « Lumière » reprenant ses droits sur les « Ténèbres. »

Bien avant que le peuple hébreu soit connu, les humains fêtaient les équinoxes, celui du printemps pour les semailles et celui de septembre pour les récoltes. Beaucoup d’humain vivait de l’élevage de petit bétail et de basse-cour, et de l’agriculture, l’artisanat en général était pour un petit nombre d’humain tel que le forgeron, charpentier, tailleur de pierre, etc.

Éleveurs et agriculteurs s’associaient en général pour cette fête, les premiers égorgeant un bouc ou un jeune taureau comme offrande pour les « Dieux » et avec le sang de l’animal on badigeonnait les pourtours de l’entrée de la tente ou de la cabane afin que ces derniers détournassent les mauvais Esprits et protégeassent toute la famille ou le clan pour l’année.

À l'origine, il existait deux fêtes pour célébrer le printemps.

Le « Hag Ha-Pessah » : fête de l'agneau pascal, est une fête pastorale dont l'origine remonte au temps où les humains s’appelaient les « Hommes à la Tête Brune »  et n’étaient qu’un peuple de nomades qui, bien plus tard se nommeront « Hébreux », qui signifiait « Ceux qui Passent ». Nous pouvons remonter jusqu'à l’ère du père, Térakh, voir du grand-père, Nak-hor d’Abram dit Abraham.

Le mot « hébreu » qui vient d’un très vieil araméen serait la langue sacré d’El-Shaddaï d’avant la « Confusion » à la Tour de Babel, la seule langue qui existait à l’époque et qui fut éradiquer au moment du changement d’aspect des humains et de leur langage. Seul un petit nombre de juste gardât cette langue qui disparut quand même avec le temps. La légende veut que ce soit El-Shaddaï qui remit cette langue dans la bouche d’Abraham.

Ce sont les humains de l’époque qui donnèrent le nom d’ « Hébreux » au clan de Térakh, père d’Abraham car il signifiait « Ceux qui passent ». En effet ils se déplaçaient beaucoup pour faire paître leur immense troupeau de bovins, caprins, moutons.

Le rite du sang avait une valeur importante pour les humains, car ces derniers c’étaient rendu compte que sans le sang ils ne pouvaient pas vivre.  Le sang que ce soit pour l’humain ou les animaux c’était la vie. Voilà pourquoi les humains prenaient le sang de l'agneau ou du bétail sacrifié pour oindre le pourtour des portes d'entrée de la tente ou de la cabane qui était sensé éloigner les mauvais « Esprits » et protéger toute la famille de tous les dangers aussi bien spirituels que corporels.

Le « Hag Ha-Matsoth » : fête de l’agriculture qui remonte à l’origine d’Abel et de Seth, puis après le Déluge où l’on offrait une mesure de son meilleur grain aux Prêtres du Temple afin qu’ils intercèdent en notre faveur devant les « Dieux » pour que l’année soit bonne en récolte de grain. Donc à la « Pleine Lune » après l’équinoxe de « Printemps » les sédentaires façonnaient un « Pain sans levain », nommé le « Pain Azyme » qu’ils mangeaient pendant sept jours en faisant une fête le premier jour, et le septième jour.

Cette période de fête se nommait la Pâque.

Cette fête de la Pâque  avait un nom différent selon la langue, le dialecte du clan ou de la tribu ou encore du peuple, mais le résultat était le même puisque cette fête se faisait toujours à la même époque.

N’oublions pas que l’humanisation de la Terre est partie du plateau du Mont Loubard en Anatolie --- Turquie d’aujourd’hui --- qui faisait partie des montagnes Ararat où le Tigre et l’Euphrate prennent leur source. Ces deux grands fleuves se jettent dans le Golfe Persique. Toute cette région entre ces deux fleuves était très fertile. Se sera la Mésopotamie.

Nous ne sommes peut-être pas à l’ère d’Abram, mais sûrement à celle de ces géniteurs.

Faisons un peu d’histoire antique, --- une Légende ---

Dumuzi en sumérien ou Tammuz en babylonien est un Dieu-Pasteur mésopotamien, ainsi que le Dieu de la fertilité dans la religion babylonienne. C’est un berger-Roi uni à Ishtar -- qui se prononce « Easter » --, nommée aussi Astarté, déesse mythologique hermaphrodite --- qui possède les deux sexes --- babylonienne de l’amour physique et de la guerre, d’une renommée culturelle jamais égalée. Elle portera le nom de Inanna en sumérien, Aphrodite en Grèce, Turan en Étrurie, Vénus à Rome, Isis chez les Égyptiens, Astarté en Ougarit, Ashtoreth, chez les Palestiniens, Shaushka  chez les Hourrites, Ashtart en langue punico-phénicienne, etc.

Un récit mythologique oppose Tammuz ou Dumuzi à Enkimdu, dieu des agriculteurs, auquel il dispute les faveurs de la déesse Inanna, qui finit par le choisir. Cela reprend les conflits entre agriculteurs et pasteurs.

Dans une autre légende, la Descente d'Inanna ou Ishtar aux Enfers, il est choisi par sa parèdre pour la remplacer aux Enfers. Il est donc mort, et est alors considéré comme une divinité infernale. Il se fait cependant remplacer une moitié de l'année par sa sœur Geshtinanna.

Le retour de Dumuzi ou Tammuz sur terre est vu comme le début du renouveau de la nature. Cela est notamment marqué dans les rituels mésopotamiens par le Mariage sacré Hiérogamie, dans lequel les rois sumériens interprétant Dumuzi, s'unissaient rituellement à la déesse Inanna, pour marquer le retour du printemps.

Inanna ou Ishtar en Akkadien, Babylonien est considérée comme la fille du dieu ciel An ou Anu en Akkadien.

Nous pourrions dire que les événements décrits ci-dessus constituent, dans un certain sens, la fête de Pâques.

Je vous ai écrit tout ceci afin de vous faire comprendre que la « Pâque » avant d’être religieux comme nous l’entendons aujourd’hui était une fête païenne religieuse.

Pâque est bien considérée comme la fête du renouveau.

La Pâque juive -- Pessah en hébreu, le sacrifice de printemps -- a pour origine une fête des bergers nomades et une fête agricole, la fête des Azymes, les Pains sans levain.

Par la suite cette fête, La Pâque, commémorera la libération du peuple juif de l’esclavage qu’il subissait en Égypte. Le mot Pessah signifie « passage ». Il désigne le passage de « Yahweh »,-- EL-SHADDAÏ -- qui frappa les maisons des égyptiens et épargna les israélites. Ce mot  commémore aussi le passage de la Mer Rouge, nommé aussi la Mer des Roseaux.

Encyclopédie juive :

« La Pâque juive, également appelée Zman Heroutenou, -- Le Temps de notre liberté --, Hag HaMatzot -- la fête des azymes --, ou Hag HaAviv -- la fête du printemps ou fête du blé chez les Karaïtes --, est une fête juive de 7 jours -- 8 jours en dehors de la terre d’Israël. -- Elle commémore l’Exode des Hébreux hors d’Égypte. Ainsi que le décrit le Livre de l’Exode, Pessa’h marque la « naissance » des enfants d’Israël, dont est issu le peuple Juif, les ancêtres des Juifs ayant été libérés du joug pharaonique et désormais libres de suivre les voies et prescriptions d’EL-SHADDAÏ. »

Abraham, qui dans les montagnes de Harran, appela ce Dieu qu’il entendait mais ne voyait pas, EL-SHADDAÏ, qui signifie « Dieu au-dessus des Montagnes » quitta son père pour partir en Canaan.

Il eut un fils Isaac et Isaac eut Ésaü et Jacob. Jacob fut appelé Israël par El-Shaddaï car il eut douze fils qui formèrent les douze tribus d’Israël. Lia sa femme lui enfanta Ruben, Syméon, Lévi, Juda, Ysachar, Zabulon et Dina leur sœur, Rachel sa femme lui enfanta Joseph et Benjamin. Bala sa première concubine lui donna Dan et Nephtali, quant à Zelfa sa deuxième concubine elle enfanta de Gad et Aser.

Les enfants de Jacob suite à une grande famine se réfugièrent en Égypte où Joseph leur frère était « Grand Chambellan » de Pharaon. C’est dans ce pays l’Égypte que le « Peuple d’Israël » se forma. C’est de ce pays qu’El-Shaddaï délivra son « Peuple » de la servitude.

Contrairement à ce que certains de mes semblables pensent, ce Dieu ne choisit pas un « Peuple », mais la descendance d’un humain fidèle, qui devint un « Peuple ».

Comment ce Dieu seul et unique allait-il reconnaître les humains qui formeront sont « Peuple » parmi les Nations ? Il les marqua comme les éleveurs marquent leurs bêtes au fer rouge.

Je cite EL-SHADDAÏ en Genèse XVII : 1-5, 7, 9-11, 17, 19, 21

« Lorsqu'Abram eut atteint quatre-vingt-dix-neuf ans, El-Shaddaï lui apparut et lui dit :

« Je suis El-SHADDAÏ, marche en ma présence et sois parfait. J'institue mon alliance entre moi et toi, et je t'accroîtrai extrêmement. »

Et Abram tomba la face contre terre. EL-SHADDAÏ lui parla ainsi :

« Moi, voici mon alliance avec toi : tu deviendras père d'une multitude de nations.

Et l'on ne t'appellera plus Abram, mais ton nom sera Abraham, car je te fais père d'une multitude de nations

J'établirai mon alliance entre moi et toi, et ta race après toi, de génération en génération, une alliance perpétuelle, pour être ton Dieu et celui de ta race après toi. » »

« EL-SHADDAÏ dit à Abraham :

« Et toi, tu observeras mon alliance, toi et ta race après toi, de génération en génération.

Et voici mon alliance qui sera observée entre moi et vous, c'est-à-dire ta race après toi : que tous vos mâles soient circoncis.

Vous ferez circoncire la chair de votre prépuce, et ce sera le signe de l'alliance entre moi et vous. » »

« Abraham tomba la face contre terre, et il se mit à rire car il se disait en lui-même :

 « Un fils naîtra-t-il à un homme de cent ans, et Sara qui a quatre-vingt-dix ans va-t-elle enfanter ? »

« Mais EL-SHADDAÏ reprit :

 « Non, mais ta femme Sara te donnera un fils, tu l'appelleras Isaac, j'établirai mon alliance avec lui, comme une alliance perpétuelle, pour être son Dieu et celui de sa race après lui. »

« Mais mon alliance, je l'établirai avec Isaac, que va t'enfanter Sara, l'an prochain à cette saison. » »

El-Shaddaï n’ayant qu’une parole, à la date prophétique, à l’âge de quatre-vingt-onze ans, Sara, l’épouse d’Abraham, lui engendra un fils, qu’elle nomma « Isaac ». La conception d’Isaac n’est pas miraculeuse, mais dû à une relation intime. Donc il est logique de penser que Sara à cet âge avancé, avait toujours ses menstruations et comme une jeune femme son corps avait gardé le cycle de la fécondation.

Comme vous venez de le lire la circoncision n’était qu’un signe de reconnaissance de la descendance de cet humain. Cette descendance nommait leur seul et unique Dieu « EL-SHADDAÏ ». L’autre nom qui fut rendu tabou par les Grands Prêtres, il faudra attendre Moïse au Mont Sinaï pour le connaître et pour que le peuple le prononçât pendant environ cinq siècles. En effet le Nom de ce Dieu était écrit en sceau  sur un turban frontale que les Grands Prêtres étaient obligés de porter afin que le peuple puisse lire ce « Nom », qui, aujourd’hui à disparu, pas pour tout le monde.

Exode XXVIII : 36-38

« « Tu feras une fleur d'or pur et tu y graveras en intaille, comme un sceau :

« Consacré à EL-SHADDAÏ. »

Tu la placeras sur un cordon de pourpre violette, et elle sera sur le turban : c'est sur le devant du turban qu'elle sera.

Elle sera sur le front d'Aaron, et Aaron se chargera ainsi des fautes concernant les choses saintes que consacreront les Israélites, pour toutes leurs saintes offrandes. Elle sera sur son front toujours pour leur attirer la faveur d’EL-SHADDAÏ. »

Avant les prochains écrits et par la lecture de ceux-ci demandez à ce Dieu unique d’acquérir la « Sagesse », car par elle, vous avancerez sur le chemin d’EL-SHADDAÏ et votre transformation de penser et d’action sur cette Terre vous mènera vers un début de Paradis sur celle-ci et une « Demeure » dans les Cieux en attendant votre résurrection.

Portez-vous bien !

Cordiales salutations à Tous !

Sig : JP.G. dit « GRANDELOUPO »