Dieu Babylonien
La Pâque le Lundi 14 Avril
Dans deux semaines, le Lundi 14 Avril, entre les deux soirs, nous allons fêter la Pâque comme notre Père Céleste nous le demande.
Vous mes semblables, qui chaque année me lisez au sujet de cette fête de la Pâque, où j’essaie par mes écrits de ne pas être trop répétitif, cette année, si vous avez le cœur pour, vous allez célébrer la Pâque. Je tiens à vous dire à tous que vous êtes de plus en plus nombreux à me lire, ce qui m’encourage à continuer dans cette voie de héraut pour ce Dieu seul et unique, EL-SHADDAÏ.
La Pâque représente pour nous la libération des chaines religieuses et sectaires, car nous refusons avec force l’idolâtrie chrétienne, comme l’idolâtrie de toutes les autres confessions religieuses. Contrairement à toutes ces religions, nous aimons, glorifions, vénérons, prions qu’un seul et unique « Dieu », celui que nous appelons EL-SHADDAÏ, Être Suprême, et nos prières sont retransmises par notre médiateur, assesseur, notre Roi, Jésus le Nazôréen qui n’est pas un « Dieu » puisqu’il a eu un commencement et qu’il peut avoir une fin par la volonté de son Père, cela il faut le savoir, comme il faut savoir que son Père nous a promis que son Fils règnerai au milieu de nous, par cela nous savons que ce Père ne veut pas la fin de son Fils unique.
Donc ce lundi 14 Avril nous allons commémorer notre libération spirituelle des entraves religieuses.
Explication dans les textes à venir
Par le chapitre précédent
Épitre aux Hébreux IX : 15-16
« Voilà pourquoi il est médiateur d'une nouvelle alliance, afin que, sa mort ayant eu lieu pour racheter les transgressions de la première alliance, ceux qui sont appelés reçoivent l'héritage éternel promis. »
« Telle est l'alliance que je contracterai avec eux après ces jours-là, dit le Seigneur EL-SHADDAÏ,
« Je mettrai mes lois dans leur cœur et je les graverai dans leur pensée. » »
Avant de continuer sur cette « Nouvelle Alliance », voyons ce que les responsables humains du IVème au VIème, ces Évêques déclarés « Saint » à leur mort par un conciliabule d’Évêques sous la tutelle du « Pontifex Maximus » qui était l’Empereur Romain, le « Pape » n’existant pas encore, inventèrent en instituant un jeun de quarante jours avant les Pâques
Jamais, je ne dis bien jamais, la Bible incite à faire un jeun de quarante jours avant la Pâque.
Alors pourquoi l’Église Chrétienne a institué le « Carême » qui ait une action non biblique ?
Chapitre N° 4
Carême : Action païenne babylonienne
Il n’y a aucun écrit biblique ou historique qui mentionne que Jésus le Nazôréen, les Apôtres ou l’Église primitive aient participé à une période de carême.
Pâques (ou dimanche de Pâques) est une fête religieuse chrétienne qui commémore la résurrection de Jésus-Christ, le troisième jour après sa mort par la torture romaine de la crucifixion. C'est le jour le plus saint du calendrier chrétien.
Il marque la fin du jeûne du « Carême. »
Le nom carême provient de la contraction du mot latin quadragesima, qui signifie « quarantième ». Il s'agit naturellement d'une référence au jour de Pâques, qui termine le carême.
Le carême est une période de jeûne de quarante jours que l'Église a instituée en référence aux quarante jours de jeûne effectués par Jésus-Christ dans le désert.
Matthieu IV : 1-11
Alors Jésus fut emmené au désert par l'Esprit, pour être tenté par le diable.
Il jeûna durant quarante jours et quarante nuits, après quoi il eut faim.
Et, s'approchant, le tentateur lui dit :
« Si tu es Fils d’EL-SHADDAÏ, dis que ces pierres deviennent des pains. »
Mais il répondit :
« Il est écrit : Ce n'est pas de pain seul que vivra l'homme, mais de toute parole qui sort de la bouche d’EL-SHADDAÏ »
Alors le diable le prend avec lui dans la Ville Sainte, et il le plaça sur le pinacle du Temple et lui dit :
« Si tu es Fils d’EL-SHADDAÏ, jette-toi en bas ; car il est écrit : Il donnera pour toi des ordres à ses anges, et sur leurs mains ils te porteront, de peur que tu ne heurtes du pied quelque pierre. »
Jésus lui dit :
« Il est encore écrit : Tu ne tenteras pas le Seigneur, ton Dieu. »
De nouveau le diable le prend avec lui sur une très haute montagne, lui montre tous les royaumes du monde avec leur gloire et lui dit :
« Tout cela, je te le donnerai, si, te prosternant, tu me rends hommage. »
Alors Jésus lui dit :
« Retire-toi, Satan ! Car il est écrit : C'est le Seigneur ton Dieu que tu adoreras, et à Lui seul tu rendras un culte. »
Alors le diable le quitte. Et voici que des anges s'approchèrent, et ils le servaient.
Le Carême est la période de préparation à la fête de Pâques qui est, dans le calendrier chrétien, la plus grande fête de l'année.
On appelle aussi le carême, la Sainte Quarantaine. La durée de quarante jours commémore à la fois les quarante jours et quarante nuits du jeûne de Moïse avant la remise des Tables de la Loi et les quarante jours de la tentation du Christ dans le désert entre son baptême et le début de sa vie publique, lors desquels il fut tenté par Satan, d'après les Évangiles synoptiques.
La pratique du carême remonte au IVème siècle de notre ère.
C'est durant le Concile de Laodicée qui se situe en Phrygie, Asie Mineure, en 360 que fut prescrite la « xérophagie » c'est-à-dire l'usage exclusif du pain et des fruits secs pendant le temps qui correspondait au carême. Le concile de Laodicée ordonna officiellement l’observance du carême.
Parenthèse, je n’ai pas pu résister.
Les livres du Nouveau Testament sont d’inspiration Divine, alors juste pour le plaisir :
Canon 60 décrété au Concile de Laodicée
« Canon 60
Liste les écritures retenues par l'Église, notamment les quatre évangiles canoniques constituant le nouveau testament, rejetant ainsi les autres textes dans la catégorie des Apocryphes.
À ce concile, l'Apocalypse de Saint Jean était lui aussi exclu des livres canoniques ce que ne manque pas de relever Voltaire :
« Le concile de Laodicée, tenu en 364, ne compta point l’Apocalypse parmi les livres canoniques. Il était bien singulier que Laodicée, qui était une Église à qui l’Apocalypse était adressée, rejetât un trésor destiné pour elle; et que l’évêque d’Éphèse, qui assistait au concile, rejetât aussi ce livre de saint Jean enterré dans Éphèse. »
Comique … non ? …
Au VIIe siècle, le carême fut établi dans son calendrier actuel.
Le jour de Pâques a été fixé lors du concile de Nicée (aujourd'hui İznik, en Turquie), en 325.
Les fêtes de la Pâque et des Pains sans Levain étaient observées par Jésus le Nazaréen, les Apôtres et Disciples de la première heure, et par la suite par les Églises primitives, y compris les païens qui en faisaient partie.
En instituant le « Carême » avec le « Jeudi et Vendredi Saint » et « Les Pâques » l’Église Chrétienne se fourvoie car ce sont des célébrations qui sont profondément ancrées dans le paganisme ancien babylonien.
Elles ont été instituées par le christianisme traditionnel pour remplacer la saison de la Pâque juive. En effet, malgré que le début de ce Christianisme fut un embryon de la religion judaïque, les Évêques Dirigeants tout en acceptant les écrits hébraïques Ancien et Nouveau Testaments, les rejetaient hypocritement, défaisant, tranchant, remaniant ceux-ci changeant de quelques jours les fêtes religieuses, leur donnant un autre « Nom » quand cela était possible.
Je cite l’Encyclopédie catholique 1917
« …//…Le principal but du carême est, par-dessus tout, de préparer les gens à la célébration de la mort et de la résurrection du Christ …//… Meilleure est la préparation, meilleure sera la célébration. On ne peut réellement revivre le mystère qu’avec un esprit et un cœur purifié. Le but du carême est de fournir cette purification en détachant l’homme du péché et de l’égoïsme par l’abnégation et la prière tout en suscitant en lui le désir d’accomplir la volonté de Dieu et de faire en sorte que Son royaume vienne d’abord dans le cœur de chacun.»
À première vue, cette croyance semble sincère. Toutefois, elle n’est pas en accord avec ce que dit la Bible. Une mise en garde du Disciple Saül de Tarse nommé Paul qu’il écrivit à Timothée.
« Quant aux pécheurs et aux charlatans, ils feront toujours plus de progrès dans le mal, à la fois trompeurs et trompés.
Pour toi, tiens-toi à ce que tu as appris et dont tu as acquis la certitude. Tu sais de quels Maîtres tu la tiens, et c'est depuis ton plus jeune âge que tu connais les saines Lettres. Elles sont à même de te procurer la sagesse qui conduit au salut par la foi dans Jésus le Nazôréen
Toute Écriture est inspirée d’EL-SHADDAÏ et utile pour enseigner, réfuter, redresser, former à la justice. Ainsi l'homme d’EL-SHADDAÏ se trouve-t-il accompli, équipé pour toute œuvre bonne. »
Étant donné qu’il n’existe aucune instruction biblique ordonnant d’observer le carême, quelle est donc son origine ?
Voyons les faits historiques et comment la religion chrétienne est devenue la plus grande religion « Païenne » en servant le « Maître de la Terre Sammaël qui porte les noms de Baal, Moloch, Mastéma, Béliar, Satan, Lucifer, et familièrement Diable. »
Venons-en maintenant à la fête de Pâques
Le nom « Pâques » avec un « s » en terminaison a une origine Chaldéenne et n’est pas autre chose que la traduction du nom « Astarté », l’un des titres de Beltis, la « Reine des Cieux », des Ninivites. Le mot « Pâques » se prononçait « Easter », mot usité dans la langue anglaise pour Pâques
Ci-dessous des textes du livre de Alexander Histops, « Les Deux Babylone »
« La fête dont nous parle l'histoire de l'Église sous le nom de « Pâques » aux III et IVème siècle, était une fête toute différente de celle qu'on observe aujourd'hui dans l'Église Romaine.
On l'appelait Pascha ou « La Pâque », et bien qu'elle ne fût pas une institution apostolique, elle était observée de fort bonne heure par bien des chrétiens déclarés en souvenir de la mort et de la résurrection du Christ. Cette fête s'accordait à l'origine avec l'époque de la Pâque juive où le Christ fut sacrifié. Vers la fin du IIème siècle, du temps de Tertullien, on croyait que c'était le 23 mars. »
Le mot grec qui a été traduit par « Pâque(s) » est « pascha » qui provient du mot hébreu pessa’h. Il n’existe aucun mot grec pour le mot « Pâque » et il ne peut y avoir qu’une seule signification. Il signifie toujours la Pâque — jamais les « Pâques » ! C’est pourquoi nous retrouvons un mot hébreu utilisé dans le Nouveau Testament grec.
« Cette fête n'était nullement une fête idolâtre, et n'était précédée d'aucun carême.
« Il faut savoir, dit le moine Johannes Cassianus de Marseille, écrivant au Ve siècle et comparant l'Église primitive avec celle de son époque, que l'observation des 40 jours n'existait pas, aussi longtemps que la pureté de cette église demeura intacte. » ( Première Conférence de l’Abbé Théonas, chap. 30 ).
« D'où venait donc cette observation ?
Les 40 jours de jeûne du carême étaient directement empruntés aux adorateurs de la déesse Babylonienne. Le jeûne de 40 jours au printemps de l'année est encore observé par les Yezidis ou adorateurs païens du diable dans le Kurdistan, qui l'ont emprunté à leurs anciens maîtres les Babyloniens.
II en était de même en Égypte. » ( Wilkinson, Antiquités Égyptiennes, vol. I, p. 278 )
« Ce jeûne égyptien de 40 jours, nous dit Landseer dans ses recherches Sabéennes,( vol. I, p. 112.) était expressément pratiqué en souvenir d'Adonis ou Osiris, le grand Dieu médiateur.
Chez les païens, ce jeûne paraît avoir été le préliminaire indispensable de la grande fête annuelle célébrée en souvenir de la mort et de la résurrection de Tammuz, par des larmes, puis par des réjouissances. »
Socrate de Constantinople, 380-450, historien ecclésiastique de l'antiquité, après un long récit des diverses manières dont Pâques était observée de son temps, au Vème siècle se résume ainsi.
« Nous en avons déjà assez écrit, nous semble-t-il, pour prouver que la fête de Pâques commença partout à être célébrée bien plus par habitude que par suite d'un commandement de Christ ou des apôtres. » (Hist. ecclés., liv. V, ch. 22).
Je cite toujours des extraits des Deux Babylone en ajoutant des références de confirmation.
« Chez les païens, ce jeûne paraît avoir été le préliminaire indispensable de la grande fête annuelle célébrée en souvenir de la mort et de la résurrection de Tammuz, par des larmes, puis par des réjouissances. Dans bien des pays cette mort était célébrée beaucoup plus tard que la fête chrétienne.
En Palestine et en Assyrie, c'était au mois de juin, aussi disait-on de ce mois:
« C'est le mois de Tammuz. »
En Égypte, vers le milieu de mai.
Afin de gagner les païens à un christianisme nominal, Rome poursuivant sa tactique habituelle, s'arrangea pour fondre ensemble les fêtes païennes et les fêtes chrétiennes, et par un ajustement compliqué mais habile de son calendrier, elle n'eut pas de peine en général à faire que le christianisme et le paganisme ne se donnassent la main sur cette question comme sur beaucoup d'autres.
Celui qui servit à faire cet amalgame fut Denys-le-Petit vers l’an 525, ap. J-C., auquel nous devons aussi, comme l'ont démontré des chronologistes modernes, d'avoir reculé de quatre à sept années au-delà de sa véritable date, la date de l'ère chrétienne, ou de la naissance du Christ lui-même.
Le fit-il par ignorance ou volontairement ?
Ce changement dans le calendrier à propos de Pâques eut les plus désastreuses conséquences. ( Vol. I, p. 51, Gieseler cite comme autorité, à propos de ses déclarations, HUMBERGER, De epochœ Christianœ ortu et auctore (in MARTINI, Thesaur. Dissertat; JANI, Historia Aerœ Dionysianœ, Viteb. 1715 et IDELER, Chronologie). C'est aussi la déclaration faite dans presque toutes les chronologies.)
II fit entrer dans l'Église la plus grossière corruption et la superstition la plus vile au sujet de l'abstinence du carême.
C'était un mauvais signe que des chrétiens ne pussent jamais songer à introduire l'abstinence païenne du carême, cela prouvait la profondeur de leur dégradation, et c'était aussi la cause d'un grand mal.
Cela menait inévitablement à une dégradation encore plus profonde.
À l'origine, même à Rome, on ne connaissait pas le carême avec les orgies du carnaval qui le précédaient et même lorsqu'on crut qu'il était nécessaire de jeûner avant la Pâque chrétienne, ce fut insensiblement qu'on se conforma au rite païen.
On ne voit pas trop combien de temps durait le jeûne dans l'Église Romaine avant le concile de Nicée en 325 sous Constantin le Grand. Mais ce qu'on sait d'une manière certaine, c'est que bien longtemps après ce Concile, il ne durait pas plus de trois semaines. »
Voici ce que dit Socrate écrivant sur ce sujet, vers 440-450 après J.-C. :
« Ceux qui habitent la grande cité de Rome jeûnent avant Pâques pendant trois semaines excepté le samedi et le jour du Seigneur. » (Hist. ecclés, liv. V, ch. 22, p. 234.)
Socrate de Constantinople dit le Scolastique historiographe chrétien, tout comme Théodoret 393-460, un historiographe est une personne qui lit et écrit l’histoire, avec Sozomène 375-450 et Évagre le Scolastique 536-594, tous deux historiens chrétiens reconnaissent dans leurs écris l’incohérence des jours de jeûne pour la Pâques comme pour le jour même de Pâques. La haine est tellement grande contre les juifs que les théologiens, historiographes et autres écrivains, tous chrétiens vont jusqu’à nier le jour de Pâque juif oubliant que celui qu’ils vénèrent comme un « Dieu », je nomme Jésus-Christ, est juif ainsi que ses Apôtres et Disciples. A cela nous nous apercevons de la détérioration spirituelle de cette religion et que ce sont les dogmes des humains qui font force de Lois, Jésus le Nazaréen est aux oubliettes avec ses Enseignements.
Espérant que cette lecture fut instructive et intéressante pour votre raisonnement personnel, et qu’elle vous permet de vous approcher de ce Dieu unique que je nomme comme Abraham, EL-SHADDAÏ, portez-vous bien !
Salutations cordiales à tous !
Sig : JP.G. dit « Grand-Loup » mais plus souvent « GRANDELOUPO »