Pape recevant les Indulgences
Secte, Religion, Païenne, La Chrétienté
Pendant quelques chapitres je vais vous écrire la naissance d’une religion qui est aujourd’hui la première mondiale par le nombre de ses fidèles, mais aussi par tous les Ordres Monastiques ainsi que toutes les sectes se rattachant même indirectement à cette Religion-Mère qui fonctionne pour ces Dirigeants comme une secte.
Cette religion, embryon du judaïsme même si elle le nie, les écrits politiques historiques prouvant le contraire et confirmant sa naissance du judaïsme, prendra sa légitimité par un homme hors du commun des mortels un Galiléen du nom de Jésus le Nazôréen fils du charpentier de Nazareth.
Ces seules armes seront son Esprit de raisonnement, de réflexion, son Verbe, son Amour pour la race humaine, rappelant toujours les Lois indestructibles de son Père géniteur, que je nomme EL-SHADDAÏ ---{ Dieu au-dessus des Montagnes } --- comme Abram ou Abraham, son véritable NOM ayant été rendu « TABOU » par les humains, qui l'ont supprimé de tous les « Écrits », en le remplaçant par un tétragramme « YHWH. » et que cette religion nomme vulgairement « Dieu ».
Ce Galiléen fait encore aujourd’hui couler beaucoup d’encre, car entouré d’un « Mystère » inexplicable de sa naissance à sa mort, doté d'une rare « Sagesse », d’une « Connaissance » de la matière et de l’immatériel du corps humain, d’un pouvoir incommensurable et d’une « Intelligence » phénoménale.
Il s’entoura de soixante-douze « Disciples » dans lequel il choisit douze « Apôtres » qui représentaient les douze Tributs d’Israël. Après les avoir enseignés sur les Lois et Préceptes de son Père géniteur, puis sur un Enseignement personnel, il les envoyât sur la surface de la Terre pour instruire tous les humains qui vivaient sur celle-ci faisant des « Disciples », leur inculquant ce onzième commandement.
Matthieu XIX : 19, XXII : 39, Marc XII : 31, etc
« Tu aimeras EL-SHADDAÏ ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme et
« Tu aimeras ton prochain comme toi-même ! »
Mais aussi :
« Aime ton frère (semblable) comme ton âme ; veille sur lui comme sur la pupille de ton œil. » --- Papyrus Oxyrhynque I ---
Ce bel homme, à l’image de son Père et de ceux qui vivent avec lui, de caractère dur, autoritaire, d'une grande force, au verbe haut, imposant la crainte, le respect, mais aussi la gentillesse et l’amour fut tout le long de sa vie parfaite sur la Terre, un « PARANGON. »
De l'enseignement de cet homme, les humains en ont fait en à peine IV siècles { quatre cents ans } une Religion d'Idolâtre
C'est cette histoire que j'écris ! ...
Dernières lignes du chapitre précédent
En effet, les postes ecclésiastiques sont liés à des bénéfices.
Celui qui contrôle l'élection du prélat, contrôle indirectement le bénéfice[]. L'autorité universelle du Pape, proclamé par Grégoire VII depuis 1075 se heurte à l'autorité grandissante du souverain.
Le Pape peut lever des impôts réguliers ou exceptionnels dans tous les pays d'Occident.
L'Église catholique mettra, suite à la Réforme, un frein aux abus les plus criants. Néanmoins, la pratique perdure jusqu'à nos jours, encadrée d'abord par la Congrégation des « indulgences », créée par Clément VIII, 1592–1605, ses compétences sont transférées en 1908 au Saint-Office puis en 1917 à la Pénitencerie apostolique, qui en a toujours la charge.
Chapitre N° 5
Sacrements
Je cite :
« La doctrine des « indulgences » a été rappelée par le concile Vatican II puis la constitution apostolique, Indulgentiarum doctrina, de Paul VI, reprise dans le Code de droit canonique de 1983. Dans le Catéchisme de l'Église catholique de 1992, l'Église réaffirme son droit à octroyer les « indulgences », « en vertu du pouvoir de lier et de délier qui lui a été accordé par le Christ Jésus ». Elle précise que « l'indulgence » libère seulement de la « peine temporelle » du péché et non de la « peine éternelle » — c'est-à-dire de la privation de la « vie éternelle », de la communion avec Dieu.
De nouveau, elle rappelle que « l'indulgence » est accordée au pécheur non pas en vertu de ses pénitences seules, mais de la communion des saints. »
Quand je lis ces textes ci-dessus, je suis fier d’être un « PAÏEN », car cette phrase respire le mensonge, la vanité, l’orgueil. Elle est contraire aux Enseignements de Jésus le Nazaréen, Jésus-Christ pour vous.
Comment peut-on en arriver à un degré aussi important de prétention, d’arrogance ? …
Et vous, « Chrétiens », ce sont ces gens d’une insolence remarquable que vous écoutez et suivez, ces humains qui vous entraînent vers le « Néant », vers votre mort définitive.
Pourquoi continuez-vous à suivre leurs mauvais principes et cet « Enseignement » fallacieux ?
Cela est tellement simple pour vous !
La preuve je l’écris ci-dessous !
Même au Concile Vatican II, le IIème concile œcuménique du Vatican, plus couramment appelé Vatican II, est le XXIème concile œcuménique de l'Église catholique romaine. Il a été ouvert par le pape Jean XXIII en 1962 et clos sous le pontificat de Paul VI en 1965. Les paroissiens comportent encore, dans le chapitre consacré aux prières, une section sur les « indulgences. »
Ainsi, le Paroissien des fidèles publie une liste d'invocations indulgenciées : les invocations « Mon Jésus, miséricorde ! » ou « Cœur agonisant de Jésus, soyez mon amour » correspondent à 100 jours de pénitence, tandis que « Saint Joseph, patron de la bonne mort, priez pour nous » équivaut à 300 jours de pénitence.
J’ignore ce que vous allez penser en lisant ces lignes ci-dessus !
Effarant ces textes officiels de la religion chrétienne !
Avez-vous remarqué qu’un « Saint » a plus d’importance que « Jésus-Christ » puisque, invoquer une « Idole », là un saint en statue, remplace 300 jours de pénitence, alors qu’invoquer « Jésus », le fils d’EL-SHADDAÏ, de Dieu pour les chrétiens, ne supprime que 100 jours de pénitence ? …
Veuillez me pardonner, mais votre « Jésus-Christ », ne vaut pas un pet de lapin ! …
Tiens ! Comme vous considérez votre Jésus-Christ comme un « Dieu », alors c’est vraiment un minuscule « dieu » comparé aux « Saints » comme Saint Joseph ci-dessus qui lui doit être un grand « dieu » puisqu’il vaut trois fois plus ! … !
Je continue : le « BAPTÈME »
Un peu d’histoire ne vous fera pas de mal, à Vous Tous les Chrétiens !… []
Un catéchumène est dans la tradition chrétienne une personne qui n'est pas encore baptisée, mais qui s'instruit pour le devenir.
Le « BAPTÊME » à l’ère primitive du Christianisme signifiait …--- « se purifier » ---
Du Ier au IIIème siècle, il fallait, pour se faire baptiser, avoir l’âge de raison [----environ 15 ans ---] et il était fortement recommandé, conseillé même, d’être marié.
La personne se faisait « baptiser » devant un public pour que le peuple présent soit témoin de son acte volontaire. C’était un geste réfléchi, car par ce comportement devant cette assemblée, elle répudiait son ancienne vie, avec ses mœurs, ses Dieux, ses Idoles.
Sciemment elle acceptait de pratiquer les Lois et Préceptes du « TRÈS-HAUT », « EL-SHADDAÏ », Père de JÉSUS le NAZARÉEN, ainsi que tout l’enseignement de vie dicté par Celui-ci.
Par la grâce de « VOS » Dignitaires Évêques, puis Papes, Cardinaux….--- « ces MONSEIGNEURS » --- cette religion est devenue ce qu’elle est aujourd’hui ! …
Une religion pire que les religions « PAÏENNES » de l’antiquité !…
L’HYPOCRISIE, le MENSONGE, la VANITÉ, l’ORGUEIL … sont ses pierres fondamentales, sans parler de la fornication, homosexualité, pédophilie, etc … ! … !
La devise de cette religion :
« Faites ce que je vous dis, mais ne faites pas ce que je fais ! »
Histoire réelle de la naissance de notre Baptême tel qu’il se pratique aujourd’hui
AUGUSTIN d’HIPPONE,-----[ SAINT AUGUSTIN ]----- 354 - 430 -----, philosophe et théologien. [----loin, même très loin d’être un « SAINT », pour ma pensé personnelle !-----]
Dans sa jeunesse il participait allègrement aux « orgies Romaines », --- [ lire ses confessions,…truculent… ]---- puis il prend une concubine avec laquelle il reste 14 ans. Elle lui donne un fils ADÉODAT.
Augustin étudie l’astrologie, puis fait de la divination.
En 384, 386 il songea à se marier ; un riche mariage, mais il fallait attendre deux ans, la jeune fille n’ayant pas l’âge ---[ 15 ans ]--- Pour ce mariage il renvoya sa concubine.
Ne pouvant plus attendre il reprit une maîtresse.
Augustin se convertit au Christianisme à 32 ans et se fait baptiser le 25 Avril 387
Il est l’une des principales sources de la « doctrine du Péché Originel » et conseil le « Baptême » des enfants de bas âge pour supprimer ce -----« fameux PÉCHÉ »---
La formalisation du concept tient à une lecture de l'épître aux Romains, V :12 de Paul de Tarse explicitée par saint Augustin d'Hippone au IVème siècle.
Chercher l’erreur ! …
---Voici ce verset :
« C’est pourquoi, comme par un seul homme le péché est entré dans le monde, et par le péché la mort, et qu’ainsi la mort s’est étendue sur tous les hommes, parce que tous ont péché… »
Cet homme, « Saint Augustin », est un homme de guerre.
Il écrit :
« On fait la guerre pour obtenir la paix ».
Où sont les paroles de JÉSUS le NAZARÉEN :
« Tu aimeras tes ennemis comme toi même, tu ne les combattras par les armes, mais avec ton Cœur, ton Esprit, par l’amour, le respect, la bonté, la parole juste, douce et ferme à la fois … »
A la fin du XIIème siècle la mortalité infantile est considérable. Aussi la théologie évolue et autorise le baptême « quam primum »---[ dès que possible ]----. Au XIIIème siècle la pratique du « BAPTÊME » sur les nouveau-nés est généralisée.
C’est fini, le « VRAI BAPTÊME » a disparu !…!
Que reste-t-il aujourd’hui de cet engagement personnel, volontaire et pur ?……?…
Comme le disait Tertullien [ 150, 160-----230, 240 ] :
« On ne naît pas CHRÉTIEN, on le devient ! »
Plus déconcertant……!
« La CONFIRMATION »
La « Confirmation », plutôt appelée « Chrismation » est un sacrement de l'initiation chrétienne dans l'Église catholique, l'Église orthodoxe et dans certaines Églises réformées.
La « Confirmation » est le sacrement consistant à oindre d'huile « sainte » une personne baptisée afin qu'elle reçoive le don du Saint Esprit. Alors que par le baptême, le baptisé meurt et ressuscite avec le Christ, le confirmé est empli de l'Esprit Saint comme l'ont été les Apôtres le jour de la Pentecôte.
Pur invention de vos « Dirigeants », …ces Évêques, Papes, Popes, Pasteurs …
Le « Baptême » étant pratiqué à la naissance, il fallait, quelques années plus tard, confirmer ce sacrement qui n’avait plus aucune valeur d’où l’invention de cette « Confirmation » ---[ Chrismation ] ---
Là encore il faudra m’expliquer, encore une fois, qu’est-ce que c’est une huile « sainte », et ayant été moi-même confirmé comment ce fait-il que je ne fus pas plus intelligent après la cérémonie, puisque je recevais le « don du Saint Esprit »
Cette cérémonie de la chrismation, euh, « Confirmation » était complètement inconnue des premiers chrétiens et aucun Enseignement de Jésus le Nazaréen, de ses Apôtres et Disciples, ne fut dit, expliqué, écrit, même sur le Nouveau Testament.
Il faut attendre la fin du IIIème siècle et le début du IVème pour voir apparaître ce sacrement, car un « Intelligent » …, il y en a beaucoup chez les Chrétiens …, promulguât …[ sous influence Divine…. ?……. ?…soi-disant..]…, que la « Confirmation » …, etc …, etc …, …
Du VIème au Xème siècle cette « CONFIRMATION » ce faisait à Pâques avec un Évêque.
Tout comme cet autre « Intelligent », Évêque ou Prophète, qui lui aussi ……[ … sous influence Divine …]…sortit cette fameuse maxime :
--« Tu es Pierre et sur cette pierre je bâtirais mon Église » --- { Mt 16 : 18, }
…..disant avec un culot monstre que ce fut les paroles de Jésus Christ ressuscité.
Tous les exégètes ont prouvé que ce texte est un rajout grossier dans les « Écritures » car cette phrase ne représente à aucun moment la pensée de Jésus le Nazaréen et celle de ses Apôtres et Disciples.
Pour en terminé avec la confirmation, je certifie que vous ne serez pas plus intelligent après qu’avant et en plus vous ne serez pas plus près de votre Dieu, car tout est une question de conscience et de libre-choix.
La « MESSE ».
Le nom vient du latin missa (mittere, « envoyer ») qui signifie « renvoi ». C’est ce même mot qui a donné « mission ».
La « Messe », aux prémices du christianisme, était, quand un groupe de « Nazôréens » se retrouvait, la « fraction du pain » qu’il nommait « Eucharistie » ( Cf Ac 2:42 )
La « fraction » était une nécessité pratique afin de partager le pain consacré pour la communion des fidèles, et continuait à symboliser le partage et la charité fraternelle, afin que tous les assistants mangeassent à leur faim.
Dans le rituel de la Pâque juive, la fraction du pain symbolise les souffrances du peuple d’EL-SHADDAÏ, de Dieu, asservi par les Égyptiens, à la Messe, la fraction du pain symbolise de même les souffrances du Christ.
Le mot vient peut-être aussi de la formule finale de la messe :{ Ite, missa est }, « Allez, c'est l'envoi ». Par la formule { Ite missa est }, le diacre invite le peuple à partir car ce dernier a maintenant une mission d'évangélisation à accomplir après avoir été enseigné. Le peuple est « envoyé » en mission dans le monde.
La « Messe » était une réunion de croyants qui se restauraient entre eux mais qui avaient toujours en premier une pensée pour l’action que le Fils d’EL-SHADDAÏ avait fait.
A l’époque rien n’était dogmatique.
Aucun écrit dans les évangiles du Nouveau Testament ne dit qu’il faut pratiquer une messe tous les jours. Cela n’a jamais été un enseignement du « Fils de l’Homme »
Pur invention humaine.
J’ai même cherché dans les livres « Apocryphes », le mot n’existe même pas. J’ai aussi relu la « Didaché » des « Pères Apostoliques » pas une seule fois ils mentionnent la « Messe ».
Ils enseignent, quand des baptisés { le terme « chrétien » n’existe pas encore } se réunissent, qu’ils rompent le pain et qu’ils boivent du vin, en rendant « grâce » au « Seigneur ».
Ce n’est pas une « Messe » ! …
En 325 Constantin le Grand impose le repos « Dominical ».
Gélase Ier 492-496 profite de ce repos pour faire une « Messe » Dominicale, mais il faudra attendre le Concile de Trente --- 1545-1563 --- pour que cela soit inscrit dans la « Loi » Vaticane et devienne obligatoire.
Souhaitant que cette lecture vous fut agréable et bénéfique, en attendant les prochains Écrits, portez-vous bien en prenant soins de vous et de votre maisonnée.
Cordiales salutations à tous !
Sig : JP.G. dit « Grand-Loup » ou plus particulièrement « GRANDELOUPO »