Élévation ou Ascension
L’Ascension ou l’Élévation
Pour vous mes semblables, Lectrices et Lecteurs, j’écris sur la fête chrétienne de l’Ascension qui s’avère un peu plus long que ma pensée. Donc je poserai c’est deux fêtes ensemble et en plusieurs chapitres. J’ai aussi, pour être plus près de la vérité cherché sur Internet l’éphéméride de la Palestine à l’ère de la Pâque juive. Les saisons étant un fait perpétuel, le coucher et le lever du soleil est le même maintenant qu’à l’ère de Jésus le Nazaréen. Le jour de la crucifixion de Jésus le Nazaréen l’éphéméride était : lever du soleil 6h02, coucher du soleil 19h03.
ChapN°1
Résurrection de Jésus le Nazaréen
Jésus le Nazaréen vient de décédé suite à la torture romaine de la crucifixion. En effet pour le gouvernement romain, ce Jésus déplaçant des foules juste avant la fête religieuse juive de la Pâque, était un trublion dans Jérusalem et cela ils ne pouvaient le tolérer.
Les ennemis de Jésus le Nazaréen ne venaient pas trop du pouvoir politique d’occupation de la Palestine, c’est-à-dire des romains, mais il avait plus à craindre du pouvoir religieux de Jérusalem, le Sanhédrin.
Le Sanhédrin groupe de soixante-et-onze membres qui, théoriquement, devaient représenter les douze tribus d’Israël, était une assemblée législative responsable du calendrier hébraïque, aux pouvoirs politiques importants puisqu’il avait le droit de regard sur les actions et décisions du Roi, mais aussi religieux, puisqu’il supervisait les activités du Grand Prêtre pour le Temple. A l’époque de Jésus le Nazaréen cette assemblée était composée de deux courants religieux importants les Sadducéens et les Pharisiens qui se faisaient une lutte féroce pour le pouvoir.
C’est ce pouvoir religieux qui n’appréciait pas la « Nouvelle Direction » que Jésus le Nazaréen donnait au judaïsme. Voilà pourquoi, sournoisement, ils se sont arrangés pour faire condamner ce dernier par les romains.
Depuis l’arrestation de Jésus le Nazaréen, les Apôtres, mais aussi ses Disciples se cachaient pour éviter de se faire arrêter et finir comme leur Maître, cloués sur la croix. C’est Joseph d’Arimathie qui prit possession du corps de Jésus le Nazaréen et après l’avoir enveloppé dans un linceul il le déposa dans le tombeau qu’il s’était fait tailler dans la roche, puis roula une grande pierre pour fermer celui-ci et s’en alla.
Le Sanhédrin craignant que les Apôtres dérobent le corps, scella la pierre du tombeau et installa une garde de soldat romain devant.
Le « Sabbat » en français, « chabbat » en hébreu est le jour de repos soit le septième jour. Pour les hébreux se jour de repos est le « Samedi » donc ce jour commence le vendredi après le coucher du soleil et se termine le samedi après le coucher du soleil à la vue des trois premières étoiles moyennes ce qui fait approximativement entre quarante et soixante minutes après le coucher du soleil, le jour de repos durant ainsi vingt-cinq heures environ. Le vendredi se nomme la « Parascève », ou « Préparation » car c’est le jour où l’on fait les préparatifs pour le sabbat
Matthieu XXVII : 62-63
« Le lendemain, c'est-à-dire après la Préparation, les grands prêtres et les Pharisiens se rendirent en corps chez Pilate et lui dirent :
« Seigneur, nous nous sommes souvenus que cet imposteur a dit, de son vivant : « Après trois jours je ressusciterai ! » »
Le Dimanche pour les hébreux est le premier jour de la semaine. Je vous pose toutes ces explications car cela va pouvoir déterminer le jour de la mort de Jésus le Nazaréen. Une chose est sûr, ce n’est pas un vendredi, donc le « Vendredi Saint » des chrétiens nous prouve involontairement le mensonge de toute la chrétienté avec ces « fameux jours saints ».
Matthieu XXVIII : 1-7
« Après le jour du sabbat, comme le premier jour de la semaine commençait à poindre, Marie de Magdala et l'autre Marie vinrent visiter le sépulcre.
Et voilà qu'il se fit un grand tremblement de terre : l'Ange du Seigneur descendit du ciel et vint rouler la pierre, sur laquelle il s'assit.
Il avait l'aspect de l'éclair, et sa robe était blanche comme neige.
A sa vue, les gardes tressaillirent d'effroi et devinrent comme morts.
Mais l'ange prit la parole et dit aux femmes :
« Ne craignez point, vous : je sais bien que vous cherchez Jésus, le Crucifié.
Il n'est pas ici, car il est ressuscité comme il l'avait dit. Venez voir le lieu où il gisait, et vite allez dire à ses disciples : Il est ressuscité d'entre les morts, et voilà qu'il vous précède en Galilée; c'est là que vous le verrez. Voilà, je vous l'ai dit. » »
Marc XVI : 1-2
« Quand le sabbat fut passé, Marie de Magdala, Marie, mère de Jacques, et Salomé achetèrent des aromates pour aller oindre le corps.
Et de grand matin, le premier jour de la semaine, elles vont à la tombe, le soleil s'étant levé. »
Luc XXIV : 4-12
« Et il advint, comme elles en demeuraient perplexes, que deux hommes se tinrent devant elles, en habit éblouissant.
Et tandis que, saisies d'effroi, elles tenaient leur visage incliné vers le sol, ils leur dirent :
« Pourquoi cherchez-vous le Vivant parmi les morts ?
Il n'est pas ici ; mais il est ressuscité. Rappelez-vous comment il vous a parlé, quand il était encore en Galilée :
Il faut, disait-il, que le Fils de l'homme soit livré aux mains des pécheurs, qu'il soit crucifié, et qu'il ressuscite le troisième jour. »
Et elles se rappelèrent ses paroles.
A leur retour du tombeau, elles rapportèrent tout cela aux Onze et à tous les autres.
C'étaient Marie la Magdaléenne, Jeanne et Marie, mère de Jacques. Les autres femmes qui étaient avec elles le dirent aussi aux apôtres ; mais ces propos leur semblèrent du radotage, et ils ne les crurent pas.
Pierre cependant partit et courut au tombeau. Mais, se penchant, il ne voit que les linges. Et il s'en alla chez lui, tout surpris de ce qui était arrivé. »
Je vous ai posé les versets bibliques des trois évangélistes afin que la résurrection de Jésus le Nazôréen soit le plus complet possible puisque chacun y va de son détail. En lisant ces versets cela nous permet de dire que se sont les femmes en premier qui constatent que Jésus le Nazaréen est ressuscité des morts par son Père. Cela nous apprend aussi que les Apôtres sont à onze dans un endroit de la ville de Jérusalem et que les Disciples sont dans un autre quartier de la ville.
Jésus ne monta aux Cieux tout de suite rejoindre son Père géniteur, et avant de continuer mon écriture personnelle je vais vous poser quelques versets du Disciple Luc l’Évangéliste
Luc XXIV : 13-21 --- Seul le Disciple Luc conte cette histoire ci-dessous. Nous sommes le premier jour de la semaine, le matin de bonne heure les femmes vont au tombeau pour embaumer le corps de Jésus le Nazaréen, mais celui-ci est déjà parti puisque ressuscité par son Père géniteur EL-SHADDAÏ. Ces femmes coururent prévenir les Apôtres et Disciples pour les prévenir de leur constat, mais ces derniers restent sceptiques sur l’évènement ne croyant pas les femmes. La scène ci-dessous se passe dans le début de l’après-midi de ce premier jour de la semaine, soit le Dimanche deux d’entre les Disciples ou Apôtres ayant décidés de quitter Jérusalem pour aller dans un petit bourg du nom d’Emmaüs situé à soixante stades soit à onze kilomètres environ
« Et voici que, ce même jour, deux d'entre eux faisaient route vers un village du nom d'Emmaüs, distant de Jérusalem de soixante stades, et ils conversaient entre eux de tout ce qui était arrivé.
Et il advint, comme ils conversaient et discutaient ensemble, que Jésus en personne s'approcha, et il faisait route avec eux ; mais leurs yeux étaient empêchés de le reconnaître.
Il leur dit :
« Quels sont donc ces propos que vous échangez en marchant ? »
Et ils s'arrêtèrent, le visage sombre.
Prenant la parole, l'un d'eux, nommé Cléophas, lui dit :
« Tu es bien le seul habitant de Jérusalem à ignorer ce qui y est arrivé ces jours-ci ! » -
« Quoi donc ? » leur dit-il.
Ils lui dirent :
« Ce qui concerne Jésus le Nazarénien, qui s'est montré un prophète puissant en œuvres et en paroles devant El-SHADDAÏ et devant tout le peuple, comment nos grands prêtres et nos chefs l'ont livré pour être condamné à mort et l'ont crucifié.
Nous espérions, nous, que c'était lui qui allait délivrer Israël ; mais avec tout cela, voilà le troisième jour depuis que ces choses sont arrivées ! » »
Je continue toujours le chapitre vingt-quatre de l’Évangile de Luc
Luc XXIV : 25-51 -- Je ne vais pas vous copier la Bible, mais pour la bonne compréhension je dois poser l’histoire jusqu’à son déroulement final. Là, vous ferez attention à la fin de ces versets ! Vous possédé un cerveau avec un esprit, alors je vous laisse à votre réflexion, raisonnement et constatations.
« Alors il leur dit :
« O cœurs sans intelligence, lents à croire à tout ce qu'ont annoncé les Prophètes !
Ne fallait-il pas que le Christ endurât ces souffrances pour entrer dans sa gloire ? »
Et, commençant par Moïse et parcourant tous les Prophètes, il leur interpréta dans toutes les Écritures ce qui le concernait.
Quand ils furent près du village où ils se rendaient, il fit semblant d'aller plus loin.
Mais ils le pressèrent en disant :
« Reste avec nous, car le soir tombe et le jour déjà touche à son terme. »
Il entra donc pour rester avec eux.
Et il advint, comme il était à table avec eux, qu'il prit le pain, dit la bénédiction, puis le rompit et le leur donna.
Leurs yeux s'ouvrirent et ils le reconnurent... mais il avait disparu de devant eux.
Et ils se dirent l'un à l'autre :
« Notre cœur n'était-il pas tout brûlant au-dedans de nous, quand il nous parlait en chemin, quand il nous expliquait les Écritures ? »
A cette heure même, ils partirent et s'en retournèrent à Jérusalem. Ils trouvèrent réunis les Onze et leurs compagnons, qui dirent :
« C'est bien vrai ! le Seigneur est ressuscité et il est apparu à Simon ! »
Et eux de raconter ce qui s'était passé en chemin, et comment ils l'avaient reconnu à la fraction du pain.
Tandis qu'ils disaient cela, lui se tint au milieu d'eux et leur dit :
« Paix à vous ! »
Saisis de frayeur et de crainte, ils pensaient voir un esprit.
Mais il leur dit : « Pourquoi tout ce trouble, et pourquoi des doutes montent-ils en votre cœur ? Voyez mes mains et mes pieds ; c'est bien moi ! Palpez-moi et rendez-vous compte qu'un esprit n'a ni chair ni os, comme vous voyez que j'en ai. » Ayant dit cela, il leur montra ses mains et ses pieds. Et comme, dans leur joie, ils ne croyaient pas encore et demeuraient saisis d'étonnement, il leur dit : « Avez-vous ici quelque chose à manger ? » Ils lui présentèrent un morceau de poisson grillé. Il le prit et le mangea devant eux. Puis il leur dit : « Telles sont bien les paroles que je vous ai dites quand j'étais encore avec vous : il faut que s'accomplisse tout ce qui est écrit de moi dans la Loi de Moïse, les Prophètes et les Psaumes. » Alors il leur ouvrit l'esprit à l'intelligence des Écritures, et il leur dit : « Ainsi est-il écrit que le Christ souffrirait et ressusciterait d'entre les morts le troisième jour, et qu'en son Nom le repentir en vue de la rémission des péchés serait proclamé à toutes les nations, à commencer par Jérusalem. De cela vous êtes témoins. » « Et voici que moi, je vais envoyer sur vous ce que mon Père a promis. Vous donc, demeurez dans la ville jusqu'à ce que vous soyez revêtus de la force d'en-haut. » Puis il les emmena jusque vers Béthanie et, levant les mains, il les bénit. Et il advint, comme il les bénissait, qu'il se sépara d'eux et fut emporté au ciel. » Pour être sûr de ma remarque où disons plutôt de mes remarques, je vais vous poser ce que conte Jean, fils Zébédée, celui que Jésus aimait le plus et auquel il confiât sa mère juste avant sa crucifixion. Jean XX : 19-22, 24-29 – Je vous pose ces versets de Jean, surnommé avec son frère ainé Jacques « Les fils du Tonnerre », la première série confirmant le premier jour de la semaine et la visite de Jésus le Nazaréen ressuscité à ses Apôtres afin de leur ouvrir l’Esprit pour qu’ils comprennent le sens des « Écritures » et des Prophéties. La deuxième série avec pour acteur l’Apôtre qui ressemblait le plus à Jésus le Nazaréen, au point que ceux qui les voyaient cote-à-cote pensaient qu’ils étaient jumeaux d’où le pseudonyme de « Didyme » à Judas Thomas, nommé plus couramment Jude Thomas, suite à la trahison de Judas Iscariote, Thomas ne croyant que ce qu’il voyait, et Jésus ressuscité profitant de cet Apôtre pour nous enseigner. « Le soir, ce même jour, le premier de la semaine, et les portes étant closes, là où se trouvaient les disciples, par peur des Juifs, Jésus vint et se tint au milieu et il leur dit : « Paix à vous ! » Ayant dit cela, il leur montra ses mains et son côté. Les disciples furent remplis de joie à la vue du Seigneur. Il leur dit alors, de nouveau : « Paix à vous ! Comme le Père m'a envoyé, moi aussi je vous envoie. » Ayant dit cela, il souffla sur eux et leur dit : « Recevez l'Esprit-Saint // » Mes semblables, vous qui, j’en suis convaincu, désirez faire parti des « Enfant » d’El-Shaddaï, il faut être prudent avec les « Écrits » Bibliques. Exemple ce qui est écrit juste au-dessus : « Recevez l’Esprit-Saint ». Venant de la bouche de Jésus le Nazôréen l’écriture devrait être ainsi : « Recevez l’Esprit-Sain ». Le premier rédigé signifie adorer, vénérer, glorifier, le deuxième signifie propre, sans tache, pur comme le cristal, blanc comme la neige, donc parfait. Comme souvent je l’écris « l’Esprit » est un amalgame de réflexion, raisonnement, pensé de penser, accolé aux sentiments, et qui est éphémère arrivant à la même vitesse qu’il disparaît, sauf si vous le coucher par écrit sur le papier, par la parole sur un magnétophone, par n’importe quel outil qui nous permet de garder vivant ce que nous avons dans le cerveau que l’on nomme « Esprit » Jésus le Nazaréen que fait-il ? Il leur envoie un « vent » puisqu’il souffle sur eux disant « Recevez » Pensez qu’en premier Jésus le Nazaréen par un « Souffle SAIN » offrit aux Apôtres la possibilité qu’ils comprennent Les Livres Sacrés de l’Ancien Testament mais aussi de certains Livres que la religion chrétienne considère comme apocryphe tel les « Livres d’Hénoch ». Suite de Jean « Or Thomas, l'un des Douze, appelé Didyme, n'était pas avec eux, lorsque vint Jésus. Les autres disciples lui dirent donc : « Nous avons vu le Seigneur ! » Mais il leur dit : « Si je ne vois pas dans ses mains la marque des clous, si je ne mets pas mon doigt dans la marque des clous, et si je ne mets pas ma main dans son côté, je ne croirai pas. » Huit jours après, ses disciples étaient de nouveau à l'intérieur et Thomas avec eux. Jésus vient, les portes étant closes, et il se tint au milieu et dit : « Paix à vous. » Puis il dit à Thomas : « Porte ton doigt ici : voici mes mains ; avance ta main et mets-la dans mon côté, et ne deviens pas incrédule, mais croyant. » Thomas lui répondit : « Mon Seigneur et mon Dieu ! » Jésus lui dit : « Parce que tu me vois, tu crois. Heureux ceux qui n'ont pas vu et qui ont cru. » » Toujours avec la même sincérité, pour vous mes semblables, afin de vous guider vers ce « Dieu » unique, cet Être Suprême, je me pose là question si « Thomas lui répondit : « Mon Seigneur et mon Dieu » Jésus lui dit : », n’est pas un ajout grossier de copiste un peu zélé, car ce petit morceau de contexte biblique tenterait de nous faire croire que l’Apôtre Thomas considèrerait Jésus le Nazaréen comme un « Dieu », ce qui bien sûr supprimerait l’unicité d’EL-SHADDAÏ, Père géniteur de Jésus le Nazaréen et aussi le nôtre en temps que « Père créateur ». Je vous laisse seul juge, mais reconnaissez qu’EL-SHADDAÏ éclaire bien mon « Esprit ». Toujours avec la même attention de vérité pour vous mes semblables, vous discernerez le temps qu’il y a eu entre le premier jour de la semaine, jour où sans doute Jésus le Nazaréen fut ressuscité de l’Hadès, mais également la visite le soir, avant le coucher du soleil, qu’il fit à ses Apôtres barricadés dans leur retraite par crainte des juifs, et cette seconde visite toujours au même endroit, huit jours après, où il se matérialise afin que les Apôtres le voient. Avant les prochains écrits et par la lecture de ceux-ci demandez à ce Dieu unique d’acquérir la « Sagesse », car par elle, vous avancerez sur le chemin d’EL-SHADDAÏ et votre transformation de penser et d’action sur cette Terre vous mènera vers un début de Paradis sur celle-ci et une « Demeure » dans les Cieux en attendant votre résurrection. Portez-vous bien ! Cordiales salutations à Tous ! Sig : JP.G. dit « GRANDELOUPO »
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