Sortie du Tombeau
Résurrection, Ascension, Pentecôte
Prologue
Sur ce thème j’arrive déjà à trois chapitres et le quatrième est en cours d’écriture espérant qu’avec l’action qui se passa à la Pentecôte je terminerai ce quatrième chapitre et que je reprendrai le cours normal de mes écritures.
L’éphéméride en Palestine et Syrie est 19h-6h sachant que la nuit survient rapidement par rapport à la latitude de Paris représentant la France.
Plus nous nous approchons de l’équateur et plus le temps jour-nuit est rapide. Cela est valable particulièrement pour la lever et le coucher du Soleil, celui-ci s’élevant presque en même temps que le jour ou la nuit.
Sans être tatillon je peux écrire qu’en Palestine il y a dix heures de nuit et que minuit est le milieu de celle-ci. Où j’habite disons Genève la nuit tombe à environ vingt-et-une heure, et le jour se lève à cinq heure trente minutes, ce qui fait que le milieu de la nuit chez-moi se trouve à une heure et quart.
Dernières phrases du chapitre précédent.
Comme déjà écrit Jésus décède sur la croix aux alentours de quinze heures. Á ce moment là, la crainte et l’effroi tombe sur tous les être vivants, à commencer par l’humain, car tremblement de terre au point de faire exploser la roche, tonnerre, éclairs, grondements dans le ciel, le Temple dans lequel le rideau du Saint-des-Saints se déchire de haut en bas, tous ces phénomènes durant plusieurs minutes, de quoi faire réfléchir les humains de Jérusalem !
Chapitre N° 3
Fermeture du tombeau à minuit !
Donc Jésus vient de « rendre l’âme », mais il restera encore quelques heures sur la croix. Joseph d’Arimathie va le soir réclamer le corps de Jésus le Nazaréen à Pilate afin de l’ensevelir. Après vérification de son centurion l’accord sera donné à Joseph de prendre le corps de Jésus par Ponce Pilate. Ceci se passe le soir, donc après le coucher du soleil.
Vous mes semblables faites bien attention à ce que j’écris !
Ces évènements se passent le mercredi soir après le décès de Jésus le Nazaréen. Le coucher du soleil ayant eut lieu, nous commençons la journée de jeudi veille du jour des « Préparation ». C’est le soir et Joseph recouvre le corps de Jésus le Nazaréen aidé de Nicodème ce dernier ayant amené pour cent livres d’aromates, composés de myrrhe et d’aloès, ce qui correspond à environ trente-trois kilos, la livre romaine valant trois-cent-vingt-six grammes approximativement, pour momifier le corps avec des bandelettes comme le veut la Loi juive pour l’ensevelissement.
Je pense que pour préparer le corps comme le veut la Loi juive il faut un certain temps voir plusieurs heures, donc Joseph et Nicodème terminèrent leur travail dans la nuit et qu’ils fermèrent le tombeau à une heure avancée dans la nuit. Par respect pour la prophétie de Jonas il serait juste de dire que Joseph avec l’aide de Nicodème roulèrent la pierre pour fermer le tombeau sur les coups de minuit. Admettons que ce soit le cas ! De la nuit de Jeudi minuit à la nuit de Samedi-Dimanche minuit fin du « Sabbat » et début du premier jour de la semaine depuis cinq heures l’éphéméride donnant le coucher du soleil à 19h cela fait soixante douze heures, donc je peux, nous pouvons dire que Jésus le Nazaréen ressuscita à minuit ou zéro heure dans la nuit de Samedi à Dimanche.
Acte de Pilate ou Évangile de Nicodème XI : 3 à XIII : 2 -- Ceux que l’on nomme les « juifs » sont les humains qui forment le Sanhédrin, Caïphe étant le « Grand Prêtre », Joseph d’Arimathie et Nicodème faisant partie de ce Sanhédrin. L’histoire : Jésus le Nazaréen a été crucifié, et avec l’aide de Joseph d’Arimathie et de Nicodème, enseveli comme le veut la tradition juive, dans un tombeau vierge creusé dans le roc. Comme je le pense tous mes semblables non pas les écrits datant du Ier et début du IIème siècle sur les « Actes de Pilate » l’autre étant appelé « Évangile de Nicodème »
Pour une bonne compréhension je pose les « Actes de Pilate »
XI.3. « Survint un homme, appelé Joseph, membre du Conseil, il était d'Arimathie et il avait foi dans le Royaume d’EL-SHADDAÏ. Il s'approcha de Pilate et lui demanda le corps de Jésus le Nazaréen. Puis il le descendit de la croix, le roula dans un linceul tout blanc, et le plaça dans une tombe taillée dans le roc, où personne encore n'avait été mis. »
XII.1. « Quand ils surent que Joseph avait demandé le corps de Jésus, les Juifs le cherchèrent, lui et les douze hommes qui avaient soutenu que Jésus était né régulièrement; ils cherchaient aussi Nicodème et bien d'autres encore, qui étaient accourus devant Pilate pour lui faire connaître les bienfaits de Jésus.
Tous s'étaient cachés. Seul Nicodème parut devant les Juifs, parce qu'il était l'un des principaux d'entre eux. Et il leur demanda :
« Comment êtes-vous entrés dans la synagogue ? »
Et les Juifs répondirent :
« Et toi, comment y es-tu entré ? Tu es son complice, partage donc le même sort que lui dans le siècle futur ! »
Nicodème répondit :
« Qu’il en soit ainsi ! Qu’il en soit ainsi ! »
A son tour, Joseph sortit et leur dit :
« Pourquoi vous êtes-vous irrités de ce que je demande le corps de Jésus ?
Voici, je l'ai placé dans mon tombeau neuf, après l'avoir enveloppé d'un linceul tout blanc, et j'ai roulé la pierre devant la porte du caveau. Mais vous, vous avez mal agi envers ce juste, que vous avez crucifié sans remords et que vous avez même transpercé d'un coup de lance. » -- ( cf : Mt : XXVII : 57-66, Mc XV : 42-46, Lc : XXIII : 50-56, Jean XIX : 38-42.)
Les Juifs empoignèrent Joseph et décidèrent de le faire garder jusqu'au lendemain du sabbat.
« Sache bien, lui dirent-ils, que seule, l'heure nous empêche de te châtier, puisque le sabbat commence. Mais sache-le aussi, tu ne mérites pas même une sépulture. Nous jetterons ta chair aux oiseaux du ciel. »
Joseph riposta :
« Vous parlez avec l'arrogance de Goliath, qui insulta le Dieu vivant et le saint David ! Or EL-SHADDAÏ répondit par le prophète :
« A moi la vengeance ! C'est moi qui rétribuerai », dit le Seigneur.
Et aujourd'hui l'incirconcis selon la chair, mais circoncis par le cœur, a pris de l'eau et s'est lavé les mains, à la face du soleil, disant :
« Je suis pur du sang de ce juste ! »
A vous de voir ! Et vous avez dit à Pilate :
« Que son sang retombe sur nous et sur nos enfants ! »
En vérité, je crains que la colère du Seigneur déjà ne s'abatte sur vous et sur vos enfants, comme vous l'avez dit. »
Ces mots exaspérèrent les Juifs. Ils se saisirent de Joseph et l'enfermèrent dans une maison sans fenêtre, postèrent des gardes à l'entrée et scellèrent la porte derrière laquelle Joseph était captif ».
XII.2. « Au sabbat, chefs de la synagogue, prêtres et lévites convinrent de se réunir à la synagogue le jour suivant. Les délibérations commencèrent tôt : quelle mort infligerait-on à Joseph ? Ils décidèrent de le faire comparaître séance tenante. Mais quand ils ouvrirent sa porte, ils ne le trouvèrent pas à l'intérieur. Le peuple entier fut stupéfait et même saisi de terreur quand il s'aperçut que les sceaux étaient intacts et que Caïphe avait gardé la clef. Et ils n'osèrent plus lever la main sur ceux qui devant Pilate avaient pris la défense de Jésus. »
XIII.1. « Ils siégeaient encore dans la synagogue, mal remis de leur étonnement, quand arrivèrent quelques membres de la garde que les Juifs avaient demandée à Pilate, et qu'ils avaient chargée de surveiller le tombeau de Jésus le Nazôréen et d'empêcher ses disciples de venir le prendre.
Ils racontèrent les événements aux chefs de la synagogue, aux prêtres et aux lévites :
« Il s'est fait un grand tremblement, et nous avons vu un ange descendre du ciel, et il a roulé la pierre qui fermait le caveau et s'est assis dessus. Il étincelait comme la neige et comme l'éclair. En proie à une grande frayeur, nous tombâmes, à moitié morts. Et nous entendîmes la voix de l'ange : il parlait aux femmes debout près du sépulcre :
« Soyez sans crainte, vous !
Je sais que vous cherchez Jésus, le crucifié. Il n'est pas ici. Il est ressuscité selon ce qu'il avait dit !
Venez et regardez l'endroit où avait été déposé le Seigneur. Et vite allez dire à ses disciples qu'il s'est relevé d'entre les morts et qu'il est en Galilée. »
XIII. 2. « Les Juifs dirent :
« Qui étaient ces femmes à qui il parlait ? »
« Nous ignorons qui elles étaient », répondirent les gardes.
Les Juifs : « Quelle heure était-il ? »
Les gardes : « Minuit. »
Les Juifs : « Et pourquoi ne les avez-vous pas arrêtées ? »
Les gardes : « Nous étions morts de peur, et désespérions de jamais revoir la lumière du jour. Comment aurions-nous pu les arrêter ? »
Les Juifs : « Aussi vrai que vit le Seigneur, nous ne vous croyons pas. »
Les gardes dirent aux Juifs : « Vous avez rencontré en cet homme des signes aussi grands et ne l'avez pas cru. Pourquoi croiriez-vous des gens comme nous ? Mais vous avez bien fait de jurer par la vie du Seigneur, car il est vivant ! »
Les gardes reprirent : « Il paraît que vous avez enfermé l'homme qui avait réclamé le corps de Jésus ; que vous avez scellé sa porte, mais quand vous l'avez ouverte, vous ne l'avez pas trouvé. Donnez-nous donc Joseph, et nous vous donnerons Jésus ! »
Les Juifs répondirent « Joseph est rentré chez lui. »
Les gardes répliquèrent :
« Et Jésus est ressuscité, c'est l'ange qui nous l'a dit. Il se trouve en Galilée. » »
Suite à ces écrits que pouvons-nous dire ? Joseph d’Arimathie fut enfermé par le Sanhédrin, « les juifs », qui sont des Prêtres et de la tribu des prêtres, les Lévites, le jour des « Préparations », veille du « Chabbat », mais quand ils vinrent le premier jour de la semaine pour le lapider, Joseph d’Arimathie n’était plus dans sa geôle.
Imaginez-vous le spectacle ? Surtout à cette époque où les Prophètes, guérisseurs, devins, prédicateurs étaient nombreux mais aussi la croyance polythéiste, avec leurs idoles.
Anne et Caïphe, pour être certains que personne ne viendrait délivrer Joseph, avaient scellé la serrure, Caïphe gardant les clefs avec lui et postant des gardes romains en faction devant la porte !
Á l’ère de Caïphe, Ponce Pilate, Tibère empereur romain, les « Prêtres » et « Lévites » juifs ressemblaient au niveau spirituel à nos Abbés, Curés, Évêques, Cardinaux, Popes, Pasteurs, Ayatollah, Imam et autres Anciens, Ainés, Papes de notre XXIème siècle, c’est-à-dire que les fondations sont bien loin, les fidèles suivant leur religion plus par tradition, que par amour du « Dieu » de leur croyance.
Comme déjà écrit la composition du Sanhédrin est de soixante-et-onze humains. Caïphe en est le chef incontestable, mais aussi incontesté et de plus il est le « Grand-Prêtre » du Temple. Parmi le Sanhédrin, comme le dirait la Bible, il y a douze justes, plus Nicodème qui fait partie des responsables du Sanhédrin et bien-entendu Joseph d’Arimathie, ce qui nous fait quatorze justes où humains craignant EL-SHADDAÏ.
Le saviez-vous ? En terme biblique le nombre douze correspond à l’unanimité et s’il est multiplié par deux comme en Apocalypse, « vingt-quatre vieillards » c’est un « signe » de témoignage. Par contre le nombre quatorze signifie en hébreu « David » et c’est un chiffre messianique sur lequel je reviendrai, c’est une certitude.
Ce sont peut-être des « Écrits » apocryphes, que l’on doit garder caché, que l’on ne doit pas dévoiler sauf aux initiés, et pourquoi aux initiés ?
Il me semble que vous Lectrices et Lecteurs vous avez une boîte crânienne avec un cerveau à l’intérieur duquel sort « l’Esprit », puisque ce dernier est la pensé, réflexion, raisonnement relié au cœur, siège des sentiments, le tout formant l’appellation humaine « Intelligence », qui aide pour la « Compréhension et la Sagesse », mais qui n’est pas égalitaire selon les domaines de connaissance, car c’est éphémère, comme le vent, se renouvelant sans cesse jusqu’à notre dernier « Souffle de Vie », et que grâce à ce que je viens d’écrire vous êtes capable de comprendre les « Textes » apocryphes comme les initiés.
Sans esprit l’humain ne peut vivre, mais sans « Esprit » EL-SHADDAÏ n’existerait pas, donc l’Univers serait sombre, glacial et vide.
Pardonnez-moi, par mon « Esprit » je me suis égaré, donc ces livres apocryphes, que l’humain cache à ses semblables, sont et ont pour moi la même valeur que les « Écrits » dit par ces mêmes humains, inspirés divinement, donc « canoniques ».
Les exégètes et historiens, inspirée où pas, reconnaissent que toute cette littérature pieuse fut plus ou moins rognée, retranchée, ajoutée pendant plus de quatre siècles avant d’être fixée définitivement et arbitrairement.
Toujours manier les livres apocryphes avec prudence, et pourtant beaucoup de ces Évangiles, Lettres et Épîtres, non canoniques, sont plus authentiques que certains Écrits et Textes tel que l’Évangile de Thomas, Nicodème, Pierre, Protévangile de Jacques, et aussi Épître des Apôtres, Actes de Barnabé, de Pilate, les sept Lettres d’Ignace d’Antioche, de Polycarpe de Smyrne, d’Hermas le Pasteur, les Livres de Papias, etc.
Dans mes recherches personnelles pour que, de vous-même, vous vîntes vers ce Dieu seul et unique, ce Dieu que je nomme EL-SHADDAÏ, comme Abraham, j’ai ce qui s’appelle une embuche, car beaucoup de Lettres, Épîtres, Actes, même Évangiles du premier siècle avant J-C., et du premier siècle après Jésus le Nazaréen (J-C) sont traduites en Anglais Angleterre, et Américain et vous me pardonnerez, mais c’est une langue que j’ai en horreur alors même avec trois années d’étude de cette langue obligatoire, j’étais le premier de la classe en commençant par la queue. Je reconnais qu’aujourd’hui elle me fait défaut, et que je suis toujours aussi nul avec cette langue que je déteste toujours autant, et pourtant cela ne m’a pas empêché d’avoir de nombreux amis du Royaume Unis et d’Irlande.
Je suis toujours étonné que ce livre « Bible » qui selon le Pays, la langue ou encore la confession, la canonicité n’est pas la même, alors que ce Livre universel devrait être traduit et écrit pour un maximum d’humains. Un exemple la Bible Éthiopienne, traduite en « Guèze » possède les « Livres d’Hénoch, les « Jubilés » pour l’Ancien Testament avec pour le Nouveau Testament en fin d’ouvrage vous avez les Lettres d’Ignace d’Antioche, de Polycarpe de Smyrne et d’Hermas le Pasteur, pour la Bible Orthodoxe dans le Nouveau Testament vous avez le Protévangile de Jacques qui est canonique, alors je me pose la question : pourquoi ce qui est bon pour la Turquie Orientale ne serai plus bon pour la Turquie Occidentale ?
Le premier est Orthodoxe et musulman en majorité alors que le second est Occidental donc Catholique et là bizarrement le « Protévangile de Jacques » est considéré comme un livre d’hérésies, bizarre, vraiment bizarre ! Cela me prouve combien j’ai raison de vous parler d’EL-SHADDAÏ.
Indirectement Jésus le Nazaréen nous a fait voir le comportement de la « Prêtrise », puisque souvent il a eu des altercations orageuses avec les Pharisiens et Sadducéens. Je reviendrai aussi par des textes Bibliques sur cette « Prêtrises » toutes confessions confondues.
Comme la « Bible » officielle ne nous offre aucun renseignement sur l’Ascension de Jésus le Nazaréen, quarante jours après sa mort par la torture romaine de la crucifixion et non la résurrection, continuons de nous instruire par la littérature apocryphe digne de foi.
Le « Procès » d’un « Jésus » par Pilate en Syrie-Palestine fut inscrit et conservé dans les archives romaines, Justin de Naplouse en fait référence dans son « Apologie » tout comme le prêtre théologien français Jean-Pierre Lémonon qui écrit :
« En consultant les Actes de Pilate, les Romains auquel Justin de Naplouse destine son œuvre, pourront vérifier la réalisation des prophéties dans les événements qui ont marqué la passion du Christ »
L’historien romain Tacite fait aussi référence aux « Actes de Pilate » dans les « Livres des Annales » qui couvrent la période du Procès de Jésus par Pilate jusqu’à la destruction du Temple de Jérusalem en 70 de l’EC.
Ci-dessus j’ai écrit le temps passé du crucifiement de Jésus le Nazaréen à sa résurrection, avec l’ensevelissement par Joseph d’Arimathie aidé par Nicodème et quelques femmes dont la Mère de Jésus le Nazaréen.
Joseph d’Arimathie faisait partie du Sanhédrin, tout comme Nicodème, qui lui en plus de Joseph, possédait un statut important au sein du Sanhédrin.
Vous venez de finir la lecture de ces faits religieux et historiques. Je le fais pour vous mes semblables afin que par vous-mêmes vous trouvâtes ce magnifique « Sentier » qui amène EL-SHADDAÏ dans votre esprit et votre cœur.
Portez-vous bien en prenant soins de votre maisonnée !
Salutations cordiales à « Tous » !
Sig : JP.G. dit « GRANDELOUPO »