Représentation hypothétique de Jésus le Nazôréen
Première Religion Mondiale le CHRISTIANISME
« N’appeler personne « Père » sur la Terre, car un seul est votre « Père » celui qui est dans les cieux. » (Épitre des Apôtres IV : 1, Matthieu XXIII : 9 )
Alors pourquoi un « Très Saint Père = le Pape », pourquoi nommé un prélat « mon Père » ?
« Notre Père qui est aux cieux … », cela fait bien partie de la prière la plus importante de toute la chrétienté !
« Que ton Nom soit sanctifié… », ton nom ce n’est pas ce nom vulgaire « Dieu », car « Dieu » il en existe des milliers, donc que « ton NOM » comme EL-SHADDAÏ qui signifie Dieu-SHADDAÏ, mais encore « Dieu au-dessus des Montagnes », cela est un « NOM » comme Très-Haut, Tout-Puissant, Roi des Âges, Éternel, Yahvé, etc.
Ce Nom est un nom « Saint » voilà pourquoi il est sanctifier qui signifie vénérer, adorer, glorifier et ce nom ce n’est pas celui de son fils, mais bien le sien à lui, le Dieu seul et unique !
Je viens en une ligne de la Bible, vous démontrer l’erreur du christianisme d’aujourd’hui, et sa déchéance.
Alors voici son histoire et votre liberté d’action car chaque humain est responsable de lui et c’est seul qu’il affrontera le Jugement du Père.
Histoire et déchéance de cette Religion
Chapitre N° 1
Un certain Galiléen –
Un hébreu – Juif en français
Voilà déjà quelques années que je vous écris sur les « Chrétiens » et leur religion. Beaucoup d’entre vous, mes semblables, ont dû penser que je n’étais capable que de critiquer cette religion et ses fidèles.
Dans un sens, ces humains n’ont pas tort, mais vu ma conscience, il m’est difficile de faire autrement car je recherche la vérité religieuse, « la vraie », et comme leur religion, le « Christianisme », est la plus importante de la Terre, avec en deuxième la religion musulmane, je suis bien obligé de faire découvrir à mes semblables toute l’hypocrisie et le mensonge de ces « religions ».
Le comble pour eux, est que je me considère comme un « Païen » et un « Infidèle », comme le conçoit le dogme chrétien et musulman, mais qu’en réalité, j’ai une certaine croyance spirituelle.
Comme vous le savez maintenant, ma croyance se limite à servir et vénérer un seul et unique « Dieu » que je nomme « EL-SHADDAÏ », qui est, entre parenthèse, le Dieu « DIEU » des « Chrétiens », en essayant de mettre en pratique ses Lois indéfectibles et les Enseignements de son Fils unique Jésus le Nazaréen, le Jésus-Christ des Chrétiens, qui n’est sûrement pas un « Dieu » comme la religion chrétienne le fait avaler à ses ouailles.
Un fait aussi, qu’il faut que je reconnaisse, je ne suis pas comme ces humains des deux sexes qui, sur le « Net » ou le « Web », écrivent des prières dans lesquelles la vénération d’un humain dont l’effigie est un morceau de pierre sculpté nommé « SAINT » accompagne leur « dieu » Jésus-Christ, fils du Dieu « DIEU ».
Certain vous cite un verset du livre « Bible », puis vous donne l’explication de ce verset au nom de leur « petit Dieu », Jésus-Christ, mais qui, en réalité, n’est que le fruit de leur pensé personnelle.
Tout ceci, vous me le pardonnerez, je ne sais pas le faire et si je viens à être dans l’obligation de l’exécuter, je l’effectue très mal car je ne peux pas commettre une action contraire à mon raisonnement intérieur, à ma conscience qui doit toujours être dans la lignée des Lois du « Dieu Unique » EL-SHADDAÏ et le l’enseignement de son Fils Bien-Aimé Jésus le Nazaréen.
Alors pour vous mes semblables, vous qui êtes à la recherche de la vérité réelle et pure, vous fidèles qui venez de plus en plus nombreux lire mes articles, moins nombreux bien entendu que si j’écrivais sur le labeur des fesses accompagnées d’images très explicites, je vais écrire la déchéance ainsi que la sournoiserie, fourberie de cette religion le « Christianisme ».
Les faits relatés ci-dessous, sont des faits indémontables car historiques et reconnus dans leur exactitude par tous les scientifiques et chercheurs spécialistes dans la matière.
Alors je sais que je vais en faire bondir beaucoup, qui, si ils le pouvaient, me lyncheraient ou me feraient rôtir contentieusement sur un magnifique bûcher en m’insultant de menteur et d’hérétique, mais malheureusement pour eux ce n’est que vérité.
Les origines du christianisme sont complexes et en grande partie méconnues. Il est difficile de se faire une idée exacte de la question. Même les plus excellents spécialistes sont divisés et ne se hasardent pas à formuler plus que des hypothèses probables.
Jésus le Nazaréen est la figure fondatrice du christianisme, sans toutefois en être le fondateur au sens historique.
Le christianisme n'est pas sorti tout formé, son élaboration fut le fruit d'une histoire et d'un mûrissement longs et complexes.
Les chercheurs spécialistes du christianisme et de Jésus le Nazaréen écrivent :
« Il faut dire que le christianisme vit d’une particularité unique dans le monde des religions : le Seigneur (Jésus de Nazareth plus communément appelé Jésus le Nazôréen) dont il se réclame appartenait à une autre religion, le judaïsme, qu’il n’a jamais eu l’intention de quitter.
L’action de Jésus visait à réformer la foi d’Israël, entreprise à laquelle les autorités religieuses de l’époque se sont opposées.
C’est à l’échec de cette réforme que le christianisme doit sa naissance. »
Référence :[ Daniel Marguerat, Enrico Norelli, Jean-Michel Poffet, éditions, Jésus de Nazareth. Nouvelles approches d'une énigme.]
« À la vérité, et considérant que Jésus le Nazôréen appartient davantage à la préhistoire du christianisme qu'à son histoire, on pourrait résumer ce parcours autour de quelques noms, théologiens évêques ou presbytres déclarés « Saint » à leur décès, figures emblématiques des moments-clés de la constitution du christianisme dans une perspective profane et diachronique.---{ caractère des phénomènes linguistiques étudiés du point de vue de leur évolution dans le temps. } Les Apôtres et premiers Disciples, puis les Pères Apostoliques qui deviendront deux siècles plus tard les Pères de l’Église et enfin l’Empereur Constantin Ier le Grand qui en fera une religion de l’Empire, sont les maçons du christianisme.
Le christianisme serait apparu selon la version la plus courante comme un mouvement de renouveau à l'intérieur du judaïsme du début de notre ère. Mais c'est en sortant de son terrain d'origine qu'il a acquis sa signification propre et son importance décisive.
Le désir se fait jour d'une morale personnelle plus austère et plus puritaine dans un monde ou un certain laxisme éthique et sexuel était monnaie courante. La recherche de fraternité dans un cercle communautaire pour faire face à une vie dure est patente. »
Philippe Camby, Poète et écrivain français de notre temps, né en 1952 … toujours vivant, … écrit :
« On commence à se douter que ce n'est pas le christianisme qui a conquis le monde antique, mais un mystère de salut fondé sur la valeur d'un sacrifice divin qui promettait la rédemption de tous les hommes de tous les temps, le salut de l'âme et la résurrection des corps »[]
C'est pourquoi la question se pose : Qui a réellement fondé le christianisme en tant que système religieux ?
Daniel Marguerat et les autres dans leur recherche sur le christianisme écrivent :
« Le mouvement de Jésus, qui ne fut au commencement qu’une secte juive de croyants messianiques, fut peu à peu poussé, autant par ses succès auprès des non-juifs que par l’hostilité de la Synagogue, à se muer en un groupe religieux autonome.
L’histoire nous montre que ce processus d’autonomisation fut long et douloureux, inégal selon les régions de l’empire romain, que l’initiative ne revient pas aux premiers chrétiens, que le divorce dura au moins quatre siècles et que les liens nourriciers avec la culture juive n’ont jamais été rompus d’un coup. »
La Bible hébraïque est l'un des deux textes fondateurs du christianisme, qui la nomme Ancien Testament ou Premier Testament[]. Le Nouveau Testament, centré sur la personne de Jésus-Christ, est le second texte fondateur.
Le Nouveau Testament sert de référence aux chrétiens sur ces questions. Que sait-on de l'Église de Jérusalem et surtout de sa doctrine ?
Et il va sans dire que les Juifs de langue araméenne lisaient leurs écrits saints en hébreu — pas en grec.
Le christianisme s'est développé à partir du premier siècle dans le contexte des communautés juives du Moyen-Orient et en particulier les communautés juives hellénisées.
Pour confirmer ce que j’écris je cite :
« Le christianisme est né d’une réforme refusée, et à proprement parler, sa figure fondatrice ne lui appartient pas. De plus, comme l’homme de Nazareth n’a laissé derrière lui aucun document écrit, les témoignages qui retracent sa vie, ses mots, ses gestes, émanent des communautés qui ont véhiculé et interprété une tradition initialement portée par ses disciples.
Reconstruire la vie du Galiléen exige de remonter en deçà de ces témoignages croyants. Voilà qui explique l’épaisseur de l’« énigme Jésus » : derrière le texte des évangiles, les chercheurs scrutent l’obscurité pour deviner qui il fut et comment il apparut à ses contemporains
La multiplicité des sources documentaires le concernant et leur précocité font de lui le personnage historique le mieux attesté de toute l’Antiquité. »
« Les premières traces littéraires se lisent dans la correspondance de l’apôtre Paul, rédigée entre 50 et 58, soit une vingtaine d’années après sa mort. A l’échelle de l’Antiquité, un aussi bref laps de temps est exceptionnel. En outre, des travaux récents s’efforcent de reconstituer le texte d’une source archaïque des paroles de Jésus à laquelle ont recouru les évangélistes Matthieu et Luc ; sa fixation littéraire remonterait aux années 50, après une période de transmission orale.
Bref, mettre en doute l’existence de Yeshouah, rabbi de Nazareth, (Jésus le Nazôréen, Jésus-Christ pour les chrétiens) va à l’encontre de l’évidence.
Viennent ensuite les évangiles, dans l'ordre d'ancienneté : Marc a été rédigé vers 65 sur la base de traditions remontant aux années 40 ; Matthieu et Luc ont été rédigés entre 70 et 80 en amplifiant Marc ; Jean date de 90-95.
Ces écrits ne sont pas des chroniques historiques ; ils font mémoire de la vie du Galiléen, mais dans une perspective de foi qui présente à la fois des faits et leur lecture théologique. »
Référence :[ Daniel Marguerat, Enrico Norelli, Jean-Michel Poffet, éditions, Jésus de Nazareth. Nouvelles approches d'une énigme.]
Un fait important à ne pas oublier.
À l’ère de Jésus le Nazaréen la Palestine était un territoire de l’Empire Romain, donc un pays occupé par un ennemi. Cette occupation, comme toute occupation génère des groupes de résistances, mais en plus dans ces provinces de religion hébraïque, l’ancien Israël, des dissensions religieuses importantes existaient ce qui formait des groupes de pensées différentes, Pharisiens, Sadducéens, Zélotes, Esséniens, Johannites du courant baptiste (disciples de Jean le Baptiste).... qui ne s’aimaient pas beaucoup et étaient prêt à prendre les armes les uns contre les autres.
Cela l’occupant devait le gérer.
Il faut tenir compte du contexte global, religieux et culturel, du bassin oriental de la Méditerranée aux deux premiers siècles
Pendant la vie de Jésus le Nazaréen, la Palestine était en ébullition.
Je reprends mes références :
« Le critère de cohérence postule que Jésus ne fut pas un être absurde ou contradictoire ; une logique doit donc être recherchée entre ses paroles et ses gestes, ainsi qu'à l'intérieur de son discours. Une logique de crise postule que toute reconstruction de la vie du Galiléen doit faire apparaître pourquoi, et sur quels points, a pu se déclencher le conflit mortel qui a opposé Jésus aux leaders religieux d'Israël.
Jésus perçoit l’aube du Royaume et inaugure ces temps derniers ; il le fait comprendre par ses paraboles et le réalise par ses guérisons.
Les titres christologiques que les évangiles décernent au Galiléen sont considérés, pour la plupart, comme le produit de la foi postpascale.
Jésus ne s’est désigné ni comme le fils de Dieu, ni comme le Messie ; les évangiles synoptiques ne placent d’ailleurs jamais cette titulature sur ses lèvres. En revanche, il est jugé vraisemblable qu’il se soit désigné sous le titre de Fils de l’Homme et se soit attribué le titre de « Fils ».
L’élément le plus marquant est la mise en valeur de la judaïté de Jésus.
Les biblistes ont en effet été conduits à repenser l’image du judaïsme ancien. Jusqu’ici, pour faire court, le paradigme [ le monde des idées chez Platon ] dominant opposait à un judaïsme étriqué, rigoriste et légaliste, la figure de Jésus vu comme le héros libre d’une religion du cœur.
Une étude plus attentive des écrits juifs du premier siècle, y compris la littérature de Qumrân, a fait émerger l’image plus exacte d’un judaïsme divers et pluriel, où chaque courant revendique âprement face aux autres la justesse de sa doctrine.
Il en ressort que Jésus fut totalement juif.
Il fut un juif marginal et provocateur, certes, mais son message et son action n’excèdent pas le cadre du judaïsme palestinien de son temps.
Je retiens aussi que Jésus n’a pas formulé de prétention messianique ; il n’a pas dit ce qu’il était, il a fait ce qu’il était – ce à quoi les premiers chrétiens ont réagi en déployant une titularisation christologique, qui est la réponse de la foi à sa venue. »
[ Réf. Daniel Marguerat, « La « troisième quête » du Jésus de l'histoire », Recherches de science religieuse 87, 1999, p.]
Dans quelques jours je vous poserai la suite une fois écrite.
En attendant prenez soin de vous et portez-vous bien !
Amicalement !
Sig : JP.G. dit « GRAND-LOUP » ou « GRANDELOUPO »