Première Religion Mondiale le CHRISTIANISME
« N’appeler personne « Père » sur la Terre, car un seul est votre « Père » celui qui est dans les cieux. » ( Épître des Apôtres IV : 1, Matthieu XXIII : 9 )
Alors pourquoi un « Très Saint Père = le Pape », pourquoi nommé un prélat « mon Père » ?
« Notre Père qui est aux cieux … », cela fait bien partie de la prière la plus importante de toute la chrétienté !
« Que ton Nom soit sanctifié… », ton nom ce n’est pas ce nom vulgaire « Dieu » car « Dieu » il en existe des milliers, donc que « ton NOM » comme EL-SHADDAÏ qui signifie Dieu-SHADDAÏ, mais encore « Dieu au-dessus des Montagnes », cela est un « NOM » comme Très-Haut, Tout-Puissant, Roi des Âges, Éternel, Yahvé, etc.
Ce Nom est un nom « Saint » voilà pourquoi il est sanctifier qui signifie vénérer, adorer, glorifier et ce nom ce n’est pas celui de son fils, mais bien le sien à lui, le Dieu seul et unique !
Je viens en une ligne de la Bible, vous démontrer l’erreur du christianisme d’aujourd’hui, et sa déchéance.
Alors voici son histoire et votre liberté d’action car chaque humain est responsable de lui et c’est seul qu’il affrontera le Jugement du Père.
Histoire et déchéance de cette Religion
Dernières lignes du précédent chapitre
Vous constaterez la contradiction de ce « Crédo », qui commence par un « Dieu seul et unique » et deux lignes plus loin, vous donne un second Dieu Jésus-Christ.
Aucun textes Bibliques, je dis bien aucun Écrits Bibliques ne stipule que Jésus-Christ est un DIEU. Du premier chapitre, premier versets au dernier chapitre, dernier verset du Nouveau Testament il n’est écrit, même supposé, que Jésus-Christ, Jésus le Nazôréen pour moi, est un Dieu égal à son Père, engendré du vrai Dieu EL-SHADDAÏ cela est une affirmation, la seule exactitude de ce « Credo ».
Le Symbole de Nicée, tel qu'il est utilisé dans la liturgie Catholique, est le résultat d'une modification opérée lors du concile de Tolède en 589, le Saint-Esprit est dit procéder du Père « et du Fils », ce qui est la source de la querelle dite du filioque et constitue l'une des causes majeures du schisme entre l'Église Orthodoxe et l'Église Catholique, la première refusant cette innovation, qu'elle juge contraire à la Foi des Pères.
Chapitre N° 6
Aberration du Credo
La traduction officielle utilisée dans la liturgie catholique est la suivante :
« Je crois en un seul Dieu, le Père tout-puissant, créateur du ciel et de la terre, de l'univers visible et invisible.
Je crois en un seul Seigneur, Jésus-Christ, le Fils unique de Dieu, né du Père avant tous les siècles.
Il est Dieu, né de Dieu, lumière, née de la lumière, vrai Dieu, né du vrai Dieu.
Engendré, non pas créé, de même nature que le Père ( même si la traduction « consubstantiel au Père » serait plus pertinente ), et par lui tout a été fait. Pour nous les hommes, et pour notre salut, il descendit du ciel.
Par l'Esprit-Saint, il a pris chair de la Vierge Marie, et s'est fait homme.
Crucifié pour nous sous Ponce Pilate, il souffrit sa passion et fut mis au tombeau.
Il ressuscita le troisième jour, conformément aux Écritures, et il monta au ciel.
Il est assis à la droite du Père.
Il reviendra dans la gloire, pour juger les vivants et les morts ; et son règne n'aura pas de fin.
Je crois en l'Esprit Saint, qui est Seigneur et qui donne la vie.
Il procède du Père et du Fils.
Avec le Père et le Fils, il reçoit même adoration et même gloire.
Il a parlé par les prophètes.
Je crois en l'Église, une, sainte, catholique et apostolique.
Je reconnais un seul baptême pour le pardon des péchés.
J'attends la résurrection des morts, et la vie du monde à venir.
Amen. »
Je crois en Dieu, en son fils Jésus-Christ, à la bienheureuse Marie toujours vierge et au Saint-Esprit, voilà en résumé le « credo » qui est le dogme central de la foi de la chrétienté.
Vous venez de lire le « Credo » de l’an 325, puis celui de l’an 381 qui sera le définitif. La gente des Prélats du christianisme catholique et orthodoxe doivent lire tous les jours ce « Credo », même aujourd’hui et peut-être certaines factions du protestantisme.
Vous constaterez comme moi, que ce texte du « Credo », inventé par l’humain n’a rien de biblique et encore moins « d’inspiration divine ». Tout est écrit, les dogmes et leurs contraires.
Vous, mes semblables chrétiens, possédez un cerveau pour la réflexion, le raisonnement, comme moi le « PAÏEN de Grandeloupo ». Même si vous jouissez de la foi, cela ne signifie en aucun cas être bornés alors comme moi vous allez être interloqué par « je crois en l’Esprit-Saint, qui est Seigneur et qui donne la vie. IL ( l’Esprit-Saint ) procède du Père et du Fils. Avec le Père et le Fils, il ( L’Esprit-Saint ) reçoit même adoration et même gloire. »
Les humains ne pouvaient pas faire mieux pour inventer, créer une « Trinité »
En premier un « Esprit-Saint » est un « Esprit » de vénération, d’adoration, de sanctification, de glorification mais sûrement pas un « Esprit-Sain », c’est-à-dire un Esprit sans tache, propre, blanc comme la neige.
Pour que l’Esprit existe il lui faut une matière qui lui donne vie, qui sera son habitat comme le cerveau et le cœur.
L’ « Esprit » est une réflexion, un raisonnement, une ou des pensés, un sentiment, toutes ses actions peuvent être mélangées et sont éphémères à moins de les écrire ou de les mémoriser dans sa mémoire. En un mot l’ « Esprit » c’est du vent, des ondes qui s’échappent du cerveau et vont vers l’infinie. C’est grâce à l’ « Esprit » que nous façonnons, modelons, sculptons, mais aussi que nous aimons, croyons, adorons un semblable ou un Dieu unique comme EL-SHADDAÏ.
Sans Esprit, nous humains, nous ne sommes rien, car nous serions dans l’incapacité de nous nourrir, de nous vêtir. Je me répète peut-être mais nous naissons et fonctionnons avec l’instinct animal, puis nous donnons naissance à l’Esprit.
Voilà l’irrationalité du christianisme avec son « Esprit-Saint » qui est Seigneur et donne la vie, car il est dans l’incapacité d’être l’un, et l’impossibilité de faire l’autre.
Jésus le Nazaréen lui-même fait constater ce phénomène après sa résurrection
Luc XXIV : 39
« Voyez mes mains et mes pieds ; c'est bien moi ! Palpez-moi et rendez-vous compte qu'un esprit n'a ni chair ni os, comme vous voyez que j'en ai. »
Jésus le Nazôréen donne bien la preuve comme quoi un « esprit » n’est pas matériel, que cela est éphémère comme le vent.
« Il procède du Père et du Fils » ce qui est complètement impossible car si, il n’y a pas de matière, donc d’Être, il n’y a pas d’Esprits, pas de Père pas d’Esprit du Père, pas de Fils pas d’Esprit du Fils, et là vous êtes obligés de reconnaître qu’il y a deux Esprits différents, puisqu’il y a deux Êtres différents. En effets le Père et le Fils sur une même chose tout en étant convergeant, penseront, raisonneront, réfléchiront différemment.
Je viens de vous démontrer en quelques lignes que l’ « Esprit-Saint » du Christianisme n’existe pas, mais que chaque Être, Père, Fils, ont un Esprit Sain de raisonnement, réflexion, pensé, sentiments, car parfait, sans tache.
Si ce qui est écrit ci-dessus, le Credo, est un enseignement de Jésus le Nazaréen et de son Père EL-SHADDAÏ, alors il faut que je me fasse « Moine » et que je renie toute la « Vérité d’Enseignement »
Car jamais je ne pourrais faire une « profession de foi » aussi hypocrite !
Déclarer « je crois en un seul Dieu … » puis deux lignes plus loin dire « je crois en son Fils engendré, né de Dieu, il est Dieu … », j’ai là, maintenant, deux « Dieux » donc je suis un menteur puisque je prie en commençant par « je crois en un seul Dieu … ».
Puis, encore trois ou quatre ligne plus loin, toujours dans la même profession de foi je récite « je crois en l’Esprit Saint qui est Seigneur et qui donne la vie … » j’ajoute un autre « Dieu » aux deux précédent avec une hypocrisie phénoménale.
Comme-ci un « Esprit » était une matière ressemblant à mon image d’humain et pouvait procréer, donner la vie ? …
Si, il n’y avait eu que « l’Esprit », comment Marie aurait-elle été fécondée ?
Obligatoirement il fallait de la matière même microscopique, comme un spermatozoïde par exemple !
Comble de ma prière, cet Esprit Saint je le mets à la même égalité que le Père et le Fils.
Je me parjure !
Je suis un blasphémateur en priant « je crois en un seul Dieu … » alors que je prie trois « Dieu » dans ma « profession de foi » qui sont à égalité, le Père « Dieu », le Fils « Dieu », le Saint Esprit « Dieu ». Cette prière, cette profession de foi, ce « Credo » n’est que contradiction, mensonge, hypocrisie.
Comment peut-on vénérer une « église », un courant de pensé comme le catholicisme, l’orthodoxie ou le protestantisme ? Toutes ces vénérations sont le début de l’idolâtrie !
Ce « credo » représente aussi la « Trinité » chrétienne avec le Père, le Fils, et le Saint-Esprit. Le christianisme primitif ne connaissait absolument pas cette « Trinité » et ne se signait pas. Il faut attendre le milieu du IVème siècle avec le dogme de la « Vraie Croix » ou de la « Sainte Croix », suite au pèlerinage en 326 d’Hélène, la mère de Constantin le Grand.
Le premier à faire allusion à une « Trinité », et encore faut-il appeler cela une « Trinité », est Théophile d’Antioche dans des écrits en trois livres, aujourd’hui nous dirions volume, le « Traité à Autolycus », dans lequel il stipule la mort de l’empereur romain Marc Aurèle en l’an 180 de J-C. grand persécuteur de ceux que l’on commence à nommé « Chrétien ».
En voici l’extrait : Livre II : XV
« La lune, au contraire décroît et périt en quelque sorte tous les mois à l’exemple de l’homme dont elle est l’image. Puis elle croît de nouveau et renaît comme l’homme qui doit ressusciter un jour.
Les trois jours qui précédèrent les corps lumineux, sont l’image de la Trinité, c’est-à-dire de Dieu, de son Verbe et de son Esprit, et le quatrième est l’image de l’homme, qui a besoin de la lumière pour que Dieu, le Verbe, l’Esprit, l’homme lui-même lui soit manifesté. C’est pour cela que les corps lumineux furent créés le quatrième jour. »
Ce texte prouve que le sens « Trinité » est plutôt aléatoire car il cite quatre noms, El-SHADDAÏ, son Verbe ou Parole, son Esprit, puis en quatrième l’homme.
En effet à l’époque se déclarer « chrétien » était très courageux et il fallait vraiment avoir la foi, car c’était subir une injure et être accusé de crime.
L’Apôtre Thomas écrivait dans son Évangile en logia de Jésus le Nazôréen : 1 : l - 2, papyrus Oxyrhynque 654, cp Mt :7 :7-8.
« Que celui qui cherche ne cesse pas de chercher, jusqu’à ce qu’il trouve. Et quand il aura trouvé, il sera troublé ; quand il sera troublé, il sera émerveillé …// … »
Je peux, pour moi-même, certifier l’exactitude de ce logia, car ayant cherché pour vous afin d’être le plus près de la vérité réelle et historique, j’ai trouvé beaucoup de textes de confirmation qui m’aideront dans mon travail pour vous amener sur le sentier d’EL-SHADDAÏ.
Je serai dans l’obligation, après l’explication de la venue « Trinitaire » du christianisme, de revenir sur la chronologie de l’enseignement de ce christianisme.
Donc, aux environs de l’an 180 de EC, Théophile d’Antioche -- ce prénom signifiant « aimé par EL-SHADDAÏ » -- associe « EL-SHADDAÏ, sa Parole, sa Sagesse », nommant cet ensemble sous le terme de « Triade ». C’est la première attestation chrétienne de la désignation de « Dieu ».
Hippolyte de Rome emploiera par la suite le mot « Triade » dans son livre « Contre Noët ».
Quelques années plus tard, Tertullien --- 155-222 --- emploiera le mot « Trinitas » dans un écrit « Contre Praxeas » qui entrera dans le lexique théologique latin, mais ne sera pas employé aux Conciles de Nicée en 325 de J-C. dit concile des cinq Patriarcats. Il condamne la gnose et l'arianisme, doctrine d'Arius sur laquelle je reviendrai plus loin.
Pour être honnête avec vous voici le texte de Tertullien contre Praxéas.
Je cite paragraphe II et III
« Ils sont trois, non pas en essence, mais en degré; non pas en substance, mais en forme; non pas en puissance, mais en espèce; tous trois ayant une seule et même substance, une seule et même nature, une seule et même puissance, parce qu'il n'y a qu'un seul Dieu duquel procèdent ces degrés, ces formes et ces espèces, sous le nom de Père, de Fils et de Saint-Esprit.
Ils prennent pour la division de l'Unité le nombre et la disposition de la Trinité -- Trinitas en grec --, tandis que l'Unité dérivant d'elle-même, la Trinité, loin de s'anéantir ainsi, est administrée par elle. Vous prêchez deux et même trois Dieux, nous crient-ils. Quant à eux, ils se disent les adorateurs d'un seul Dieu, comme si l'Unité, réduite à elle-même hors de toute raison, ne constituait pas l'hérésie, de même que la Trinité -- Trinitas en grec --, raisonnablement comprise, constitue la vérité. »
Ayant lu une partie de ce livre de Tertullien, celui-ci se lance dans une explication tortueuse pour faire admettre sa pensée d’un Dieu « Trinitaire » en considérant que le « Verbe » est le Fils de Dieu, donc est Dieu.
Je réitère ma pensé logique, votre « Fils » n’est pas vous, mais est bien un autre « Être », une autre personne. Comme nous sommes à la ressemblance de celui qui nous à créé, ce qui est valable pour nous, l’est d’autant plus pour le Père Créateur.
Il s’ensuit qu’EL-SHADDAÏ est l’unique Dieu et que son Fils est de la même substance que son Père géniteur, mais que c’est un autre « Être », une autre personne, obéissant et faisant la volonté de son Père. Lui-même, Jésus le Nazôréen reconnaît dans votre livre Bible que sans son Père il n’est rien et que tout ce qu’il fait, il le fait parce que son Père le veut bien et l’aide dans sa tâche.
Jean VIII : 28 - 29, 42, 54
« Jésus leur dit donc : « Quand vous aurez élevé le Fils de l'homme, alors vous saurez qui je suis et que je ne fais rien de moi-même, mais je dis ce que le Père m'a enseigné, et celui qui m'a envoyé est avec moi. Il ne m'a pas laissé seul, parce que je fais toujours ce qui lui plaît. »
Jésus leur dit : « Si EL-SHADDAÏ était votre Père, vous m'aimeriez, car c'est d’EL-SHADDAÏ que je suis sorti et que je viens. Je ne viens pas de moi-même, mais mon Père EL-SHADDAÏ m'a envoyé. »
Jésus répondit :
« Si je me glorifie moi-même, ma gloire n'est rien.
C’est mon Père EL-SHADDAÏ qui me glorifie, lui dont vous dites : «Il est notre Dieu», et vous ne le connaissez pas. Mais moi, je le connais et si je disais : « Je ne le connais pas », je serais semblable à vous, un menteur. Mais je le connais et je garde sa parole. »
Je reviendrai aussi sur ce thème du Père et du Fils, les humains ayant beaucoup d’imagination, un manque de logique absolue et une hypocrisie débordante.
Dans quelques jours je vous poserai la suite de ces écritures d’une logique indémontable
En attendant prenez soin de vous et portez-vous bien !
Amicalement !
Sig : JP.G. dit « GRAND-LOUP » ou « GRANDELOUPO »