Théodose Ier
Première Religion Mondiale le CHRISTIANISME
« N’appeler personne « Père » sur la Terre, car un seul est votre « Père » celui qui est dans les cieux. » ( Épître des Apôtres IV :1, Matthieu XXIII : 9 )
Alors pourquoi un « Très Saint Père = le Pape », pourquoi nommé un prélat « mon Père » ?
« Notre Père qui est aux cieux … », cela fait bien partie de la prière la plus importante de toute la chrétienté !
« Que ton Nom soit sanctifié… », ton nom ce n’est pas ce nom vulgaire « Dieu » car « Dieu » il en existe des milliers, donc que « ton NOM » comme EL-SHADDAÏ qui signifie Dieu-SHADDAÏ, mais encore « Dieu au-dessus des Montagnes », cela est un « NOM » comme Très-Haut, Tout-Puissant, Roi des Âges, Éternel, Yahvé, etc.
Ce Nom est un nom « Saint » voilà pourquoi il est sanctifier qui signifie vénérer, adorer, glorifier et ce nom ce n’est pas celui de son fils, mais bien le sien à lui, le Dieu seul et unique !
Je viens en une ligne de la Bible, vous démontrer l’erreur du christianisme d’aujourd’hui, et sa déchéance.
Alors voici son histoire et votre liberté d’action car chaque humain est responsable de lui et c’est seul qu’il affrontera le Jugement du Père.
Histoire et déchéance de cette Religion
Dernières lignes du chapitre précédent :
Constantin le Grand est personnellement très porté sur le faste, l'ostentation et désire donner à la fonction impériale, par le cérémonial, le costume et l'apparat une dimension suprahumaine. Eusèbe de Césarée affirme dans sa « Vie de Constantin » que l'empereur siège sur son trône dans une attitude hiératique et figée, ses yeux levés vers le ciel.
Toujours par Eusèbe de Césarée, quand Constantin le Grand partira en campagne contre les Perses, considérant cela comme une croisade, des évêques devront l’accompagner pour participer dans son Conseil
Suite à cette lecture, vous comprenez maintenant le faste qui existe dans la chrétienté qu’elle soit orthodoxe ou catholique.
Cette religion qui devrait faire acte de pauvreté étale sa richesse lors des grandes cérémonies religieuses comme Pâques ou Noël.
Chapitre N° 11
Constance II, Théodose
Tout ceci vient de l’ère de Constantin le Grand.
Suite à ce faste des transformations importantes vont régir cette « Église Chrétienne »
Beaucoup de dissensions naissent au sein de la communauté religieuse chacun voulant imposer son dogme pour avoir l’autorité sur toute la communauté chrétienne. Vous deveniez le chef incontesté et incontestable sur la religion mais aussi sur la politique avec les honneurs et la richesse.
Jésus le Nazaréen n’existe plus, c’est juste un « Nom » qui rapporte gloire et fortune.
Je continue l’écriture, Constantin est décédé et pour le moment c’est encore le Concile de Nicée qui fait foi avec son « Symbole des Apôtres »
Le troisième fils de Constantin, du nom de Constance II, prendra le pouvoir après le massacre de ses neveux et de ses demi-frères.
Déjà à cette époque, le christianisme n’était pas encore vraiment structuré, les responsables religieux de cette religion n’étaient pas à une magouille, voir mensonges et faux témoignages près
En voici une preuve :
Le consentement sinon la responsabilité de Constance II dans le massacre des neveux et des demi-frères de Constantin est plus que vraisemblable.
L'évêque Eusèbe de Nicomédie, partisan de Constance II, produisit opportunément un testament de Constantin, qui accusait ses demi-frères de l'avoir empoisonné, et qui incita la Garde impériale à le venger.
Constance II passe pour le premier empereur byzantin.
Il affirme tenir son pouvoir du Dieu des chrétiens et exerce un pouvoir absolu et tyrannique qui se manifeste par des attitudes hiératiques et justifie toutes les cruautés.
Lorsque Constance monte sur le trône, les circonstances ont changé, de sorte qu'il trouve face à lui un clergé chrétien organisé quoique divisé, et habitué depuis des décennies à bénéficier de la faveur impériale.
Il vit entouré d'une cour peuplée d'eunuques dirigée par le grand chambellan Eusèbe, lieu de toutes les intrigues.
Le Conseil du prince devient consistoire : les participants doivent rester debout en présence de sa majesté impériale.
Constance, qui se considère comme « l'Évêque des évêques » entend donc bien contraindre, par la force de son autorité, les prélats récalcitrants, ariens comme nicéens, à professer cette idée controversée de la supériorité et de l'antériorité du Père
Il sent que sa tâche parfois le dépasse.
N'ayant pas de fils, il se voit contraint de nommer des Césars parmi ses cousins rescapés du massacre familial de 337 pour le seconder. Il s'en sait détester et ne se résigne à les désigner que lorsque des conséquences extrêmes l'y contraignent.
En 351, Constance II nomme César en Orient son cousin Gallus pour lutter contre Magnence.
En 354, mécontent de la manière de gouverner de Gallus, il le fait exécuter.
En 355, il envoie le demi-frère de Gallus, Julien, le représenter en Gaule, avec le titre de César, pendant que lui-même réside à Milan, inquiet du danger alaman.
En 356, il publie un édit de persécution contre les païens :
« Nous décrétons la peine capitale contre ceux qui sont convaincus d'adorer les idoles. »
En 357, il vient visiter Rome, qu'il ne connaît pas, puis conduit une offensive contre les Sarmates et enfin contre les Perses.
En 360, à Lutèce, les troupes de Gaule proclament Julien Auguste, c'est-à-dire empereur à part entière.
Constance II doit se porter contre lui, quand, en 361, en cours de route, il tombe malade et décède rapidement, après avoir reçu, comme son père, le baptême d'un prêtre arien, léguant le trône à son compétiteur.
Le sens du baptême, que Jean le Baptiste instaura et que Jésus le Nazôréen confirma, n’a plus sa valeur spirituel des premiers jours, mais devient, par peur de la mort et de la vie de l’au-delà, un sacrement de passage pour avoir une meilleure « vie dans la mort ». En effet beaucoup d’humains de ce IVème siècle et des suivants se feront baptiser juste avant de mourir.
Le célèbre prélat nicéen Hilaire de Poitiers, lui aussi un temps exilé en Orient, en vient même à comparer l'empereur ayant trahi le credo de Nicée à l'Antéchrist en personne.
L'animosité de l'évêque est telle qu'il maintient un style agressif à l'encontre du Prince même après l'usurpation de Julien et la révélation de l'apostasie du nouveau souverain. Un signe que les haines entre chrétiens, nées des controverses sur la nature de la Trinité, se révèlent parfois plus vives que les tensions latentes entre chrétiens et gentils et que l’Église au sortir du règne de Constance demeure plus désunie que jamais.
Je continue les faits historiques du début de l’ère chrétienne afin de vous prouver que cette religion, la chrétienté, est une religion faite par les humains et que les Lois et Préceptes d’EL-SHADDAÏ, Dieu pour la chrétienté, ainsi que les « Enseignements » de Jésus le Nazaréen, Jésus-Christ pour la chrétienté, n’ont plus aucune valeur et que seul compte les Lois et Enseignements écrit par les humains. []
À l'exception de Valens, les successeurs de Constantin le Grand, soucieux de paix civile, observent une stricte neutralité religieuse entre les ariens et les nicéens. La défaite d’Andrinople face aux Wisigoths ariens permet aux catholiques orthodoxes de passer à l’offensive. Ambroise de Milan, voulant défendre le Credo de Nicée contre les ariens qualifie l’hérésie de double trahison, envers l’Église et envers l’Empire.
Gratien-- Empereur de 367-383
Le 19 janvier 379, Gratien proclame Auguste l’hispanique Théodose Ier, fils du grand général Théodose l'Ancien, qui réprime le soulèvement de Firmus en 375, exécuté à Carthage en 376, probablement sur l’ordre de Gratien. Théodose reçoit l’Orient.
En 380, Gratien et Théodose arrêtent les Goths en Épire et Dalmatie.
Les empereurs Théodose, pour l’Empire d'Orient et Gratien, pour l’Empire d'Occident, tous deux chrétiens, élèvent le christianisme au rang de seule religion officielle et obligatoire par l’Édit du 28 février 380, dit l'Édit de Thessalonique.
L’empereur Gratien cesse alors de porter le titre de Pontifex Maximus, souverain pontife, du culte romain.
Ce titre, Pontifex Maximus, est donné de nouveau à l’évêque de Rome des siècles plus tard.
De 388 à 391, Théodose demeura en Occident, presque toujours à Milan.
En 390, voulant mettre fin aux mœurs qui avaient jusqu'alors prévalu dans le monde antique, et imposer la morale ascétique préconisée par les chrétiens les plus radicaux, il publia une loi qui punissait de mort les homosexuels, et fit réprimer dans le sang par les troupes barbares une émeute à Thessalonique.
La répression fit sept mille à dix mille morts, selon les sources, ce qui valut à Théodose d’être excommunié par l’évêque Ambroise de Milan. Les victimes des massacres furent ici majoritairement des Romains et les massacreurs d’anciens barbares, populations au sein desquelles l’armée recrutait.
En 381, il transporte sa capitale de Trèves à Milan, auprès de l’évêque Ambroise.
À noter qu'en 381, en son honneur, la bourgade de Cularo fut renommée Gratianopolis ---devenue Grenoble ---- après avoir été dotée d'un évêché par Gratien.
En 382 il combat le paganisme et se montre très bienveillant envers l’Évêque Damas Ier. Il supprime notamment les immunités dont jouissent les prêtres et les vestales et il est le premier empereur à refuser de porter le titre de « Pontifex Maximus. » »
Gratien finit par s’orienter vers une condamnation de l’arianisme sous l’influence conjuguée de son collègue Théodose[] et d’Ambroise, il promulgue des lois antihérétiques[]. Il convoque un concile à Aquilée, en 381, dirigé par Ambroise.
Les païens, les hérétiques et les Juifs deviennent des citoyens de seconde zone, grevés d’incapacités juridiques et administratives[].
Dans une loi, Théodose précise :
« Nous leur enlevons la faculté même de vivre selon le droit romain. »[].
Cependant, le Judaïsme est la seule religion non-chrétienne à demeurer licite en 380.[]
Sur le vieux fond de judéo phobie gréco-romain[] se greffe un antijudaïsme proprement chrétien, accusant les Juifs d’être déicides et d’avoir rejeté le message évangélique.
Cela n’empêche pas Théodose de vouloir imposer à l’évêque de Callinicum en Mésopotamie de reconstruire à ses frais, la synagogue que ses fidèles ont détruite, à la grande indignation d’Ambroise de Milan.
Le christianisme primitif est oublié et les vieux démons humains ont repris vigueurs.
Ce sont les Évêques qui commandent.
En 451, le concile de Constantinople définit Dieu comme un être unique, en trois personnes éternelles, le Père, le Fils et le Saint Esprit.
L’affirmation du dogme de la Trinité. Jésus-Christ est défini comme
« Fils unique de Dieu, engendré du Père, lumière de lumière, vrai Dieu de vrai Dieu, engendré, non créé, de la même substance que le Père[] »
Comme vous pouvez le constater se sont bien les humains qui ont fait le christianisme tel qu’il est aujourd’hui, rien à voir avec les « Enseignements de Jésus le Nazaréen et des Lois perpétuelles de son Père EL-SHADDAÏ. »
Je n’invente rien dans mes écrits, les historiens sont là pour dévoiler une certaine vérité car il y a la neutralité historique des faits avec des dates.
Jésus le Nazaréen et ses « Enseignements » ne font plus autorité, mais c’est le pouvoir politico-religieux qui prime.
Le christianisme primitif n’existe plus.
Maintenant le christianisme c’est l’État et les Évêques qui en sont propriétaires. Tout ce qu’ils diront et feront au nom du christianisme « fait force de Loi ».
À partir du IVe siècle, un personnage nouveau se détache de l’évêque, le prêtre. Il obtient peu à peu le droit de baptiser, de prêcher et d’enseigner. Alors que les cités d’Occident se vident de leur population à cause des difficultés de ravitaillement et de l’insécurité, une nouvelle cellule religieuse rurale se développe au VIe siècle, la paroisse dans laquelle il officie.
Au-dessus des évêques se trouve l’évêque métropolitain qui siège dans le chef-lieu.
En 381, apparaissent des « primats » qui regroupent sous leur autorité plusieurs provinces. En Occident, Rome et Carthage, en Orient, Constantinople, Alexandrie et Antioche. Au cours du IVe siècle, le siège de Rome commence à établir sa primauté sur l’ensemble de l’Empire.
La primatie, du latin prima sedes episcoporum, est la dignité d'un « primat », évêque qui possède une suprématie, au moins honorifique, sur tous les évêques et archevêques d'une région. Le terme désigne aussi l'étendue du ressort de la juridiction ecclésiastique du primat, et le siège de cette juridiction.
Une province ecclésiastique est une circonscription administrative de l'Église catholique qui a pour origine l'organisation administrative de l'ancien Empire romain. Dans l'Empire romain tardif la province était une subdivision d'un diocèse.
Cela ne doit pas faire oublier que durant l’Antiquité tardive, l’Église n’est pas un ensemble homogène. Chaque cité a ses rites, ses saints, sa langue liturgique, reflet de la diversité de l’Empire.
A partir de maintenant l’Évêché de Rome et de Constantinople vont prendre de plus en plus d’importance sur les pouvoirs politiques.
De très grandes dissensions dogmatiques vont opposer Rome qui est l’Occident et Constantinople qui est l’Orient. Le premier deviendra l’Église Catholique de Rome, l’autre l’Église Orthodoxe de Constantinople. Les deux communautés prendront les armes les uns contre les autres. Alliance contre nature, trahison, et autres arriveront à la séparation définitive au grand schisme d’Orient en 1054.
Ce qui est écrit ci-dessus est malheureusement le reflet de la dépravation humaine. Alors réfléchissons et recherchons le véritable Dieu !
Portez-vous bien, prenant soins de vous ainsi que de votre maisonnée !
Salutations cordiales à tous !
Sig : JP.G. dit « GRANDELOUPO »