Tous les Saints 01-11-2014
Fête de la Toussaint
Nous sommes le jour de la fête chrétienne de la Toussaint, suivi le 2 Novembre de la fête des morts. Voilà une fête qui indirectement fait l’adoration la vénération la glorification du Roi de ce monde je parle de SAMMAËL, celui que vous considérez comme le Prince du « Mal ».
« Toussaint » jour d’abomination pour EL-SHADDAÏ, jour d’iniquité ou les humains vont prier pour des statues de pierre représentant hommes et femmes disparus.
La « Toussaint » la plus grande fête de l’idolâtrie !
Alors vous mes semblables évitez ce jour d’entrer dans vos Temples où l’idolâtrie règne en maître et ne suivez pas ce guide imposteur, votre Curé, Abbé, Évêque mais ce dernier ira officier dans un Temple de luxe comme la cathédrale.
Le lendemain vous chrétien vous devez fêter vos morts. Le plus grand jour de l’hypocrisie pour EL-SHADDAÏ, car les humains hypocritement vont aller nettoyer la tombe de leur disparu et qui restera en friche tout le restant de l’année.
Quel jour de l’hypocrisie !
Aujourd’hui 1er Novembre fête catholique chrétienne, fête de la « Grande Prostituée » qui fait boire à ses ouailles sa coupe pleine d’abominations.
Suis-je un menteur ?
Sûrement pas, car la vérité est là !...
Chapitre 2
Évêque de Rome Grégoire IV
Histoire des premiers humains de la mouvance de Jésus le Nazaréen, les « Nazôréens », « Nazaréens », « Galiléen »
Néron en 64 de l’EC, n’a jamais employé le terme « Chrétien » puisque celui-ci n’existait pas encore. Cet Empereur Romain persécuta les « Nazôréens », « Nazaréens », les adeptes de « Jésus de Nazareth », les « Messianistes », les « Galiléens » quitte à me répéter, mais jamais des « Chrétiens »
Les Nazôréens ou Nazaréens, en grec Nazôraios, sont une secte décrite en premier lieu au IVème siècle par l'hérésiologue chrétien Épiphane de Salamine. Épiphane, dans son Panarion, avait distingué ces « Nazôréens », qu'il considérait comme des hérétiques, du titre de « Nazôréen » donné par la communauté juive à Jésus et aux premiers disciples de ce dernier.
Walter de Gruyter écrit à Berlin dans<cite> La critique sociale et religieuse du christianisme des origines au concile de Nicée (45-325)</cite>, 2007, 548 p.
« Eusèbe de Césarée, Jérôme et Épiphane, ont tous les trois compris le titre de « Nazôréen » donné à Jésus et aux premiers disciples en relation avec Nazareth »
Le mot « Nazôréens » est le terme couramment utilisé dans les écrits juifs antiques (– notzrim en hébreu ou nasara en araméen –, ou judéo-chrétiens, nazôraios, en grec, comme dans les évangiles –) pour désigner tous les disciples ou tous les groupes de disciples, au moins jusqu’au IIIème siècle. Il en est de même dans la littérature arabe et musulmane ancienne, dans des textes arméniens et dans le Coran.
Jésus le Nazaréen est décédé en l’an 33 de l’EC, --(Ère Commune = EC) sans doute dans sa quarantième année, le nombre 40 ayant une grande portée symbolique dans les écritures bibliques, par la torture romaine de la crucifixion. Trois jours et trois nuits après, son Père géniteur ou biologique le ressuscitera de l’Hadès, le rendant vainqueur sur la mort comme un « Grand Guerrier », et restera encore sur Terre quarante jours, encore le nombre quarante, pendant lesquels il sera vue par plus de cinq cent cinquante humains, et il continuera à enseigner personnellement ses Apôtres. Après son ascension dans les Cieux, et la « Pentecôte », les Apôtres et Disciples auront du mal à se séparer.
N’oublions pas que cette petite communauté vivait ensemble tous les jours depuis trois ans environ. C’est Jésus le Nazaréen qui, involontairement, dirigeait ce groupe disparate d’humains, au nombre de soixante-douze, qui le suivait avec femme et enfants.
Tout ce que je viens d’écrire ci-dessus ne vient pas de mon imagination personnelle, mais sont des faits relatés historiquement. Toujours dans la réalité historique, les douze Apôtres étaient des hébreux pures souches, comme nous dirions en français, ces Apôtres étaient des juifs, par contre dans le reste des Disciples de Jésus le Nazaréen, certains étaient de source helléniste comme Étienne, Philippe, Prochore, Timon ou les évangélistes Luc et Marc.
Les quarante jours ce sont écoulés et il est temps pour Jésus le Nazaréen de quitter ce monde terrestre pour rejoindre son Père, laissant les Apôtres dans leur retraite avec leur peur de l’inconnu, car ils doivent attendre le don d’EL-SHADDAÏ qui leur sera donné dans quelques jours.
Dans la peur des représailles des autorités religieuses juives, ils c’étaient barricadés dans une grande bâtisse, se sentant orphelin, car ils savaient que maintenant ils ne verraient plus Jésus le Nazaréen sur la Terre.
En attendant ce jour de la Pentecôte, ils en profitèrent pour remplacer Judas Iscariote par Matthias après un choix et un vote fait entre ce dernier et Joseph fils d’Alphée surnommé Barnabé en français, Barsabbas ou Barnabbas nommé aussi Justus, frère de Matthieu, de Jacques dit le Petit, le Juste, le Mineur, et de Jude nommé aussi Thaddée, tous trois Apôtres de Jésus le Nazaréen.
Acte des Apôtres I : 21-26
« Il faut donc que, de ces hommes qui nous ont accompagnés tout le temps que le Seigneur Jésus a vécu au milieu de nous, en commençant au baptême de Jean jusqu'au jour où il nous fut enlevé, il y en ait un qui devienne avec nous témoin de sa résurrection. »
On en présenta deux, Joseph dit Barsabbas, surnommé Justus, et Matthias.
Alors ils firent cette prière :
« Toi, Seigneur, qui connais le cœur de tous les hommes, montre-nous lequel de ces deux tu as choisi pour occuper, dans le ministère de l'apostolat, la place qu'a délaissée Judas pour s'en aller à sa place à lui. »
Alors on tira au sort et le sort tomba sur Matthias, qui fut mis au nombre des douze apôtres. »
La Mouvance de Jésus le Nazaréen représente maintenant dix pourcent du monde religieux et stagne. Les Apôtres et premiers Disciples de Jésus le Nazôréen sont décédés. Les dirigeants des « Assemblées » sont nommés « Évêque, Presbytre où encore Anciens », se sont les « Pasteurs, les Bergers » de cette petite mouvance qui selon la région, la province est persécuté par la soldatesque romaine. L’emblème de reconnaissance est le poisson et pas une croix. Pendant les trois premiers siècles, il est certain, que les humains qui prenaient la religion de Jésus le Nazôréen ne se signaient pas par ce geste idolâtre du « Signe de la Croix ».
250 ans que Jésus le Nazôréen est décédé, les Apôtres, Disciples, Pères Apostoliques de mêmes, ces derniers sont appelés « Pères de l’Église ».
Des humains commencent à structurer cette « Mouvance des Nazôréens » sous forme pyramidale, car l’on peut se faire un « Nom » avec des richesses « sur le dos des pauvres ».
L’Évêque, le Presbytre ou l’Ancien est le chef incontesté de cette « Mouvance de Jésus » dans la Ville où il officie, c’est-à-dire qu’il reçoit chez lui ou dans un endroit assez grand pour que les humains, en général des hébreux, viennent écouter l’enseignement de vie de Jésus le Nazôréen et c’est chez lui que l’on baptise les nouveaux venus. Aux prémices cet humain enseignait la Torah, plus l’enseignement de Jésus le Nazôréen retransmis par les Apôtres, Disciples et Disciples de Disciples et Apôtres. Pendant les quatre premiers siècles jusqu’en l’an 330 plus de deux mille Lettres et Épîtres circulaient dans tout le Bassin Méditerranéen et pays limitrophes.
En effet, en l’an 325 Constantin le Grand Empereur Romain depuis l’an 312 suite à sa victoire sur Maxence sur la route principale qui venait à Rome, la « via Flamina », au Pont de Milvius, pont qui enjambait le Tibre, grand fleuve large et tumultueux, endroit ou Maxence avait réuni ses troupes, ayant attaché des dizaines de barque entre elles pour faire traverser ses légions avec tout la logistique militaire de l’époque, pensant la victoire certaine puisqu’il allait se battre dix contre un.
L’histoire conte que Constantin se savait part avance perdu. Dans le ciel il regarde les nuages d’altitude qui forme un chrisme, les premières lettres du nom de Jésus le Nazôréen. Regardant le ciel il promet que si, il a la victoire il se fait baptiser chrétien. Il fait dessiner en rouge sang le chrisme qu’il a vu dans le ciel sur tous les boucliers.
Il part au combat avec ses hommes à dix contre un, ils se battent comme des lions, comme si ils ne craignaient pas la mort, de véritables furies et au bout de six heures de combats romains contre romains Maxence recule, il est acculé contre le pont, ses troupes montent sur les barques, certains ont peur devant cette fougue où rien ne les arrêtes et coupent les amarres. Les barques partent à la dérivent entraînant Maxence dans la mort quand elles se retournent dans les eaux fougueuses du fleuve. Après plus de dix heures de combat sans merci la victoire est assuré pour Constantin le Grand qui tiendra sa promesse faisant du christianisme la religion d’Empire, et de l’empire et il devient le chef incontesté de cette religion, il est le « Pontifex Maximus » c’est-à-dire le « Pape », nous sommes en Octobre de l’an 312.
Ce sont des faits réels et historiques.
Nous sommes dans les années 250 – 300 de l’Ere Commune. – (EC)
Les enseignements de Jésus de Nazareth sont bien loin. L’enseignement des humains commence à faire office de paroles sacrées.
La fête de la « Toussaint » n’existe pas encore.
L’évêque des prémices, c’est-à-dire l’enseignant, le gardien, le surveillant du « troupeau » n’existe plus, maintenant c’est l’ÉVÊQUE, le Chef, le Noble, le Roi, celui qui s’enrichie avec l’argent des pauvres. Le « Diacre » n’est plus le serviteur de ses semblables, c’est le serviteur de l’Évêque.
On parle maintenant de l’Évêque de Rome, Jérusalem, Éphèse, Constantinople, Laodicée, Antioche, Corinthe, etc, le Pape n’existe pas, mais l’Évêque Intendant, celui qui fut choisi par tous les autres Évêques des Églises de Rome et de sa banlieue, commence à prendre une certaine importance. Comme écrit ci-dessus au départ il fut choisi par la communauté de Rome pour rassembler toutes les « églises », puis c’est élargi avec les villes avoisinantes, puis les provinces, pour devenir l’Évêque représentant l’Occident.
L’histoire est certaine le « PAPE » chrétien n’existe pas avant le milieu du huitième siècle. Le « Pape » de la chrétienté est le « Pontifex Maximus » c’est-à-dire l’Empereur de l’empire Romain.
La chrétienté démarre avec un énorme mensonge, l’Apôtre Pierre étant le troisième ou quatrième Évêque de cette ville et encore à l’ère de Pierre l’Évêque unique de Rome n’existe pas, car à Rome, il y a plusieurs « Assemblées », voilà pourquoi Pierre et le Disciple Saül de Tarse dit Paul se retrouvèrent à Rome dans les mêmes années tous deux étant Évêque d’une Église dans cette ville.
Tous ces Évêques sont déclarés « Saints » à leur mort.
Depuis les Apôtres André, Thomas, Barthélémy, et les Disciples Étienne, Saül de Tarse communément appelé Paul, Luc l’évangéliste ou Marc, puis les Pères Apostoliques, ces humains qui ont connu Jean celui que Jésus le Nazaréen aimait le plus, au point qu’il lui confiât sa mère quand il était crucifié sur cette croix engin de torture romaine, comme Papias, Ignace d’Antioche de Syrie, Polycarpe, Hermas le Pasteur, et tant d’autres, les enseignements et paroles de Jésus le Nazaréen ont bien changé, elle ne compte plus, c’est l’enseignement de ces Évêques, le Presbytre et l’Ancien ont disparu, qui fait force de Loi religieuse.
Au Concile de Nicée en l’an 325, sous la direction de Constantin le Grand et de son ami Eusèbe de Césarée, que le « Canon Biblique » sera formé.
Pendant les premières années de l’Église dite maintenant chrétienne, en effet nous sommes maintenant milieu du troisième, début du quatrième siècle, les fidèles observaient des anniversaires spéciaux pour les martyrs qui avaient été exécutés pour leurs croyances. Bientôt il n’y eut plus assez de jours dans l’année pour désigner des jours civils spéciaux pour chaque martyr individuel, alors les chrétiens observèrent un jour de fête en l’honneur de tous les martyrs.
Au cinquième siècle, les diocèses voisins commencèrent à échanger leurs fêtes, à transférer des reliques, à les diviser et à se réunir pour célébrer en commun les fêtes.
« Fréquemment, des groupes de martyrs, ce sont les humains qui étaient réunis pendant les persécutions et qui subissaient leur sort sans se rebeller, pardonnant leurs persécuteurs, souffrirent le même jour ce qui naturellement mena à une commémoration commune… Le nombre de martyrs devint si grand qu’un jour séparé ne put être assigné à chacun. Toutefois, l’Église croyant que chaque martyr devait être vénéré désigna un jour commun pour tous » (Encyclopédie catholique).
Alors, l’Église chrétienne sous l’Évêque de Rome Grégoire IV décida, avec l’appui du gouvernement de Flavius Honorius, de « blanchir » la fête romaine de Feralia du 21 février, fête des morts, et celle de Lémuria du 9 au 13 mai fête des Lémures, qui sont des spectres malfaisants.
Fatigué de réprimander les Romains pour leurs réjouissances bien arrosées soi-disant pour honorer les morts et leur spectre, et souhaitant plus de convertis, l’Évêque de Rome Boniface IV en 609 apr. J.-C., déclara que Feralia ainsi que Lémuria serait une fête chrétienne. Au lieu d’honorer tous les morts, et des spectres, ils devaient maintenant honorer seulement les « Saints » décédés. Au lieu des réjouissances et de l’alcool, ce serait maintenant un jour de prières et de méditation. Au lieu de l’appeler Feralia et Lémuria, il changea le nom en « Toussaint ». Puis il changea le jour de sa célébration du 21 février au 13 mai. Boniface IV consacra, le 13 mai 610, le Panthéon à Rome à la Sainte Vierge et à tous les martyrs, date anniversaire de la dédicace de cette église. (Encyclopédie catholique).
Pendant ce temps, les Celtes continuaient à observer la fête de leur Dieu Samain le 1er novembre sous une forme ou une autre. L’Église catholique s’en aperçut, et l’Évêque de Rome Grégoire IV ordonne que cette fête, la Toussaint, soit célébrée dans le monde entier. Pour certains, c’est à l’occasion de cette décision, prise en 835, que la fête de la Toussaint est fixé au 1er Novembre. Sur le conseil de Grégoire IV, l’empereur Louis le Pieux institua la fête de tous les saints sur tout le territoire de l’empire carolingien dont la majorité était de culture religieuse Celte.
Le jour prit le nom du Jour de tous les Saints.
Voilà comment une fête païenne Celte du 1er novembre devint une solennité chrétienne dans tout l’Empire romain et carolingien.
Là, il y a quand même matière à réflexion !
Pour vous « Chrétien », je vais faire un peu de science religieuse, mais cette science est la vôtre, celle de votre religion ---- et qui confirme tout ce que j’écris sur votre idolâtrie.
Mais combien parmi-vous sont dans l’ignorance ?
Alors, j’écris afin que vous dessilliez votre esprit !
Vous êtes responsable de vous !
Le jour de votre « Grand Sommeil », après un long voyage, pour vous rendre directement au Tribunal Céleste, vous ne pourrez pas dire : « Je ne savais pas ! »
« « --Les saints inscrits au martyrologe romain sont ceux pour lesquels l'Église déclare être sûre qu'ils sont au Paradis. Ils font donc l'objet d'un culte public dit culte de dulie lequel s'oppose au culte de lâtrie qui n'est dû qu'à Dieu.
Comment des humains aussi imparfaits peuvent-ils déclarés de telle certitude, puisqu’ils ne sont pas « Dieu », EL-SHADDAÏ ?
Je vous laisse passer ce jour de la « Toussaint » et le lendemain 2 Novembre fête des morts, mais ce jour est estompé par la « TOUSSAINT » qui pour moi est la « Grande Fête de l’Idolâtrie » qui fait la joie de SAMMAËL, Roi de la Terre et de ses environs, Prince du mal, ennemi d’EL-SHADDAÏ.
Avant les prochains écrits et par la lecture de ceux-ci demandez à ce Dieu unique d’acquérir la « Sagesse », car par elle, vous avancerez sur le chemin d’EL-SHADDAÏ et votre transformation de penser et d’action sur cette Terre vous mènera vers un début de Paradis sur celle-ci et une « Demeure » dans les Cieux en attendant votre résurrection.
Portez-vous bien !
Cordiales salutations à Tous !
Sig : JP.G. dit « GRANDELOUPO »