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Titre du blog : Critique réfléchie des Religions par GRANDELOUPO
Auteur : grande-loupo
Date de création : 30-04-2009
 
posté le 15-12-2014 à 04:44:12

Fêtes fin d'année, chap.N°4 - Mithra, Sol Invictus

 

Mithra Dieu de la roche

Les fêtes de fin & début d’année

Vous mes semblables, tout comme mon épouse et moi-même sommes à l’image au reflet d’EL-SHADDAÏ, ce Dieu seul et unique, donc comme lui nous avons les cinq sens, l’ouïe, la vue, l’odorat, le goût et le toucher qui sont des automatismes et en plus de cela un cerveau et un cœur où loge l’Esprit et les « Sentiments » réunissant par un fil électrique invisible ces deux organes qui travaillent ensembles et qui sont inséparables. En effet le cœur alimente le cerveau en oxygène, et le cerveau commande au cœur son fonctionnement d’automatisme, si, il arrête son commandement le cœur stoppe, si pour une chose ou une autre le cœur s’immobilise, le cerveau n’est plus alimenté en oxygène et ne peut plus fonctionner. Autre chose pour vous prouver que l’Esprit et le cœur fonctionne en binôme par les sentiments comme l’amour, la colère, le chagrin, l’anxiété, la joie, le fou-rire, car il y a une relation direct « Cœur-Esprit », comme le « gros-cœur », « gorge-serrée », « picotement du cœur ou fourmillement », etc.

Pour faire toute sa « Création » par le « Verbe » ou la « Parole », il fallait de la part d’EL-SHADDAÏ une grande réflexion avant d’ouvrir la bouche, donc un « Esprit Sain », pur, propre, limpide, cristallin, en un mot « parfait ». C’est ce qu’Il a toujours eu ! Il suffit de regarder la gestion de la Planète Terre ! Simplement le cycle de son arrosage et des cours d’eau, magnifique ! Quelle intelligence et quelle « Sagesse » ! Seul un « Esprit SAIN » peut créer une telle perfection et non un « Esprit Saint » car la vénération, glorification, sanctification, ne gère rien, il n’y a pas de sagesse, de perfection dans un « Esprit Saint », juste l’honneur.

Mais je peux écrire que l’Esprit SAIN d’El-Shaddaï  mérite d’être « Saint » comme tout son « Être ».

Je réitère, pour vous mes semblables, vous qui venez me lire de plus en plus nombreux, dans votre cœur, la sincérité, par votre « Esprit » vous recherchez la voie qui mène vers ce Dieu seul et unique, que je nomme comme Abraham, EL-SHADDAÏ, par votre « Esprit SAIN », vous faites cette recherche, car « l’Esprit-Saint » du christianisme n’existe pas, l’Esprit est éphémère, impalpable, invisible, voilà pourquoi à la Pentecôte le « Souffle d’Intelligence » d’El-Shaddaï était représenté par une flammèche qui descendait sur la tête de chaque Apôtre car c’était « l’Esprit SAIN » de ce Dieu que chacun recevait selon ce qu’il avait besoin.

 

Noël, 1er jour de l’année

Dernières phrases du chapitre précédent

Si nous raisonnons un peu, tout sur la Terre commence par quelque chose de microscopique, puis se développe jusqu’à être mature, une herbe, fleur, feuille, arbre, fruit, bestiole, animal et nous humains. Donc il est juste de penser que Jésus le Nazaréen a suivi cette évolution, même si il était dans les Cieux, car même là, cela commence par l’infiniment petit pour devenir une planète ou une étoile.

Maintenant vous comprenez pourquoi Jésus le Nazôréen n’est pas un « Dieu » et n’est pas égal à son Père, car ce dernier aura toujours une « Connaissance » plus grande que son Fils, celle du temps. En écrivant ceci je détruis le dogme de la « Sainte Trinité ».

Par « l’Ancien Testament » tout absolument tout a été dit sur l’humain, tous les exemples pour l’enseignement de ce dernier ont été écrits sans aucune exception. Il y a même des actions approuvés par ce « Dieu » difficile à comprendre comme le vol du droit d’aînesse par Jacob ainsi que sous l’influence de sa mère Rébecca et avec son aide, celui-ci prit aussi par forfaiture la bénédiction de son père à son frère Ésaü parti à la chasse, profitant de la cécité de son père, Isaac, ce choix de Moïse qui est quand même un assassin.

 

Chapitre N°4

Mithra, Sol Invictus

Je reviendrai sur Jésus le Nazôréen un peu plus loin et revenons à l’évolution de l’humain, pas la microbienne de Darwin, non par évolution je pense au spirituelle, à l’intelligence

Les Celtes, Saxons, Angles et les Nordiks, comme pour les Arabes avec leur Dieu Lune Nanna, célébraient la naissance de leur Dieu Lune, Mané, un 25 décembre.

Dans la mythologie scandinave, dont les peuples sont « Vikings » nommé aussi « Normand », Yule est le moment de l'année où Heimdall, dieu de la lumière et de la lune, fils des neuf mères appelées les vierges ou filles de Geirrendour, de son trône situé au Pôle Nord, accompagné des Æsirs, l'Ansuzgardaraiwo, revient visiter ses enfants, les descendants de Jard l’un des innombrables noms du Dieu Nordique Odin. Ils visitent ainsi chaque foyer pour récompenser ceux qui ont bien agi durant l'année, et laissent un présent dans leur chaussette. Yule est aussi une fête où les gens de leur côté, et les dieux du leur, se rencontrent pour partager un repas, raconter des histoires, festoyer et chanter. Le Yule est célébré chaque année le 21 décembre.

 Cette fête nordique et scandinave durait douze jours, du solstice d’hiver  à la nouvelle année

Isaïe LXV : 11-12

« Quant à vous tous qui abandonnez EL-SHADDAÏ, qui oubliez ma montagne sainte, qui dressez à Gad une table, qui versez à pleine coupe des mixtures pour Meni, je vous destinerai à l'épée, tous, vous courberez l'échine pour être massacrés, car j'ai appelé et vous n'avez pas répondu, j'ai parlé et vous n'avez pas écouté; vous avez fait ce qui est mal à mes yeux, vous avez choisi ce qui me déplaît. »

Pour montrer le rapport qu'il y a entre une contrée et une autre, et la persistance invétérée des anciennes coutumes, il est bon de remarquer que Jérôme de Stridon, 347 – 420 de l’EC, Docteur et Père de l’Église, commentant les paroles d'Ésaïe sur l'usage de dresser une table pour Gad et d'offrir des libations à Meni, déclare que de son temps c'était encore la coutume dans toutes les villes et surtout en Égypte et à Alexandrie, de préparer des tables et de les charger de toutes sortes de mets recherchés et des coupes contenant du vin nouveau, le dernier jour du mois et de l'année: la foule en tirait des présages sur la fertilité de l'année.

En Écosse et dans les pays Scandinaves les humains fêtaient le dernier jour de l’année, nommé Hogmanay, qui est toujours de rigueur aujourd’hui simplement que le vin nouveau est remplacé par un grand verre de whisky.

Les racines de Hogmanay remontent peut-être aux fêtes païennes du Solstice d’Hiver parmi les scandinaves, incorporant les coutumes de la célébration gaélique du nouvel an, Samhain. En Europe, elles étaient devenues les fêtes des Saturnales, un évènement festif romain de l'hiver. 

Dans le sud de l'Écosse, la communauté sait qu’à Hogmanay, ou la veille du nouvel an, parmi ceux qui observent encore les vieilles coutumes, ils préparaient une table avec des gâteaux et autres friandises qu’ils offraient, certains distribuant des galettes de gruau et de fromage à ceux qui n'en voyaient jamais, qu'à cette occasion, le tout accompagné d’une boisson forte entrant pour une large part dans le menu du jour.

Comment une légende païenne devient un culte religieux.

Adonis, d’une grande beauté, un commun des mortels Grecs, était l’amant d’Aphrodite, mais un jour Adonis, aimant chasser, parcourut la forêt et affronta un sanglier. L'animal blessé le chargea et le jeune Adonis s'effondra, blessé mortellement à la jambe. Adonis était appelé Tammuz, dieu Babylonien du Moyen-Orient et de la Syrie.

Dans bien des pays, on sacrifiait au dieu Adonis un sanglier pour expier l'injure que, d'après la légende, un sanglier lui avait faite.

La fable raconte que le Phrygien Attès, le bien-aimé de Cybèle, dont l'histoire était identifiée à celle d'Adonis, mourut de la même manière.

Aussi Diane qui, représentée ordinairement dans les mythes populaires comme une chasseresse, était en réalité la grande mère des dieux. D'après Théocrite, Vénus se réconcilia avec le sanglier qui tua Adonis, parce que le jour où on l'amena enchaîné à ses pieds, il se défendit éloquemment, en disant qu'il n'avait point tué son époux par méchanceté, mais simplement par accident.

Le jour de Noël, les Saxons du continent offraient un sanglier en sacrifice à la Déesse Soleil, à cause de la perte de son bien-aimé Adonis. À Rome il y avait une coutume semblable ; le sanglier formait le centre principal de la fête de Saturne.

Par contre au Solstice d’Hiver égyptien on offrait une oie à la déesse Osiris. Rome fut sauvé grâce aux oies sacrées de Junon qui gardaient les portes du Temple de Jupiter. En Amérique du Nord pour Noël et le Jour de l’an il doit y avoir de l’oie sur la table si l’on veut que l’année soit bonne.

Pendant le Solstice d’Hiver période sombre, nos ancêtres honoraient le dieu Saturne, Kronos et dans tout l’Empire romain les Saturnales, fête qui durait jusqu’aux Calendes, c’est-à-dire jusqu'à la nouvelle lune, qui était le premier jour du mois, soit une dizaine de jours.

Il est à noter que la fixation à la date du 25 décembre du Solstice d’hiver est due à une erreur commise par l'astronome Sosigène, lors de la réforme du calendrier à l'initiative de Jules César en l’an 46 avant l’EC qui fixa les débuts des saisons avec un retard de un ou deux jours par rapport à la réalité. Jules César en profitât pour instaurer le 1er Janus, c’est-à-dire Janvier comme le commencement de l’année nouvelle.

Virtuellement chaque civilisation possède son dieu du feu ou dieu soleil. Les Égyptiens et parfois les Romains l’appellent Vulcain. Les Grecs l’ont appelé Kronos, tout comme les Phéniciens mais ils l’appelaient aussi Saturne. Les Babyloniens l’appelaient Tammuz, Tam signifie « rendre parfait » et muz « feu », en tant que Nemrod ressuscité en la personne de son fils, Moloch ou Baal comme l’appelaient aussi les druides. Tous ces titres étaient en fait les différents noms de Nimroth, le Nemrod de la Bible, fils de Koush, fils de Cham, fils de Noé

Nemrod est considéré comme le père de tous les dieux babyloniens dont Mithra

Mithra est une divinité indo-européenne. Plusieurs documents hittites confirment son existence dès le IIème millénaire avant J.-C. Dans la Perse antique, le culte obtint une véritable importance.

Il se développa à Rome probablement à partir du premier siècle de notre ère, sans que l'on sache exactement quand et comment il fut introduit dans l'empire et s'est principalement répandu en Italie, en Grande Bretagne, sur le Rhin et le Danube.

Ce culte à Mithra, le Mithragan, avait pris beaucoup d’ampleur à Rome, et dans les garnisons ou l’on célébrait le jour de sa naissance, victoire de la Lumière sur les Ténèbres, Soleil Invaincu, Sol Invictus, un 24 ou 25 décembre avec faste.

Le culte de ce dieu Mithra, Soleil Triomphant, eut son apogée sous l’Empereur Aurélien né le 9 Septembre 214-215 et mort au mois septembre en l’an 275, il régna comme Empereur Romain de l’an 270 à sa mort en l’an 275. À la suite de la crise du IIIème siècle, l'empire était au bord de la dislocation, l'Empereur Aurélien, vainqueur de la reine Zénobie et restaurateur de l'ordre, décida d'instaurer un culte commun à tout l'Empire afin de renforcer le lien commun entre les provinces. En effet chaque cité, chaque province, restait attachée aux cultes locaux, dont les rites et les formes pouvaient varier considérablement.

Puis suite à certaines campagnes militaires, les soldats romains reviendront avec une nouvelle divinité, « Sol Invictus », Soleil Invaincu. Cette « divinité » est un mélange de la mythologie d’Apollon et d’un culte indo-européen sur la divinité de « Mithra », dieu mystère qui se serait créé lui-même à partir de la roche. Aujourd’hui en France il reste quelques vestiges de ce culte dont les Temples étaient le plus souvent des grottes naturelles décorées aux emblèmes de ce Dieu. Pour être un fidèle de ce culte au dieu Mithra, il fallait être initié par un adepte de ce Dieu.

Ce nouveau culte devait être pour cela suffisamment neutre pour être accepté par les différentes populations de l'empire romain.

Aurélien choisit pour ce faire un culte solaire, le Soleil étant censé être universel, le culte de Sol Invictus, le Soleil Invaincu, et il déclare ce « Dieu » patron principal de l’Empire romain, lui assurant une place officiel à Rome. Il lui dédie un Temple au Champ de Mars, qui sera orné avec les butins rapportés de Palmyre. Ce temple sera servi par un collège de prêtres, les « Pontifices Solis », « Pontifes du Soleil » et fit du culte de Sol Invictus une sorte de religion de l'État, et non une religion d'État, se substituant au culte impérial tombé en désuétude. Cette initiative n'annonce pas, le monothéisme, car la nouvelle divinité, loin d'être exclusive des autres, se superposait simplement aux autres cultes, et reste fondamentalement polythéiste.

Il pense qu’il est le protégé de l’astre majeur, Soleil, garant de la création et dispensateur de vie, gouverneur du Cosmos, lui, Aurélien, étant son représentant légal sur la Terre. Empereur de la théologie solaire, Aurélien entend refaire l’unité morale de l’Empire autour du Soleil, proposant à ses contemporains un monothéisme sur la divinité du Soleil, « Sol Invictus ».

Aurélien en sera le « Pontife Primat », et, en tant que tel, décrétera la date anniversaire de la naissance du Dieu « Sol Invictus » le 25 décembre.

Cette date coïncidera avec la naissance du dieu « Mithra » qui fait partie des divinités importantes de Rome.

La grande fête du Soleil Invaincu avait lieu le 25 décembre, soit la date du Solstice d'Hiver selon le calendrier Julien : c'était le « Dies Natalis Solis », « Jour de naissance du Soleil ». -- Natalis a donné Natale en italien, Noël  en français. -- »

Donc pendant cette période de fin d’année, mais aussi du début de l’Hiver, jour du Solstice, qui est la première nuit la plus longue puisqu’elle fait le double du jour, les deux où trois nuits suivantes auront le même temps, est une période festive de deux semaines. Les Ténèbres ne sont plus gagnants, la nuit perdant de son temps, la lumière reprenant ses droits, le soleil remontant pour chauffer la terre afin qu’elle soit prête pour les semailles de printemps.

Pendant cette période les humains vont vénérer, adorer, glorifier une multitude de Dieux et Déesses particulièrement une journée qui sera la journée de la « Naissance » de certaines divinités.

Nous comptons nos années à partir de l’ère commune, (EC), qui commence par « moins un plus un » le zéro n’existant pas ou si vous aimez mieux à partir de la naissance d’un certain Galiléen sur le calendrier grégorien retouché en l’an 525 de J-C. par un moine, Denys le Petit, qui fit une erreur de 7 à 5 ans avant J-C sur « l’Anno Domini Nostri Yésus Christi »

Les trente premières années, Jésus le Nazôréen fait partie des quidams. A partir de l’an 30 il commence son ministère qui durera trois ans et demi jusqu’à sa crucifixion en l’an 33 de l’EC. Les exégètes modernes pensent qu’il est né vers l’an -7 ou -5 avant J-C., avant la mort en -4 av. l’EC., d’Hérode 1er le Grand et personnellement je pense qu’il avait quarante ans quand il décéda, le nombre quarante étant hautement symbolique dans les écritures Bibliques.

Jésus le Nazaréen de son vivant avait pris avec lui soixante douze Disciples dont douze seront choisis pour être ses Apôtres. Très peu mourront de mort naturelle, et tomberont comme leur « Maître » par la torture sous les persécutions mais ils auront eut le temps de faire des Disciples que l’on nommera « Pères Apostoliques » jusqu’au milieu du deuxième siècle, et leurs « Disciples » porterons le titre de « Pères de l’Église ».

Du vivant des Apôtres ceux-ci firent parmi les hébreux de Jérusalem en premier, puis de Galilée, Judas, Samarie de nombreux baptisés dont les adeptes portaient le nom de la « Voie de Jésus le Nazôréen » la « Mouvance » de Jésus de Nazareth », « de Jésus le Nazôréen, Nazaréen, Nazarénien », tous considéré comme une secte du judaïsme. Cette évangélisation prit aussi parmi les hébreux de la « Diaspora », les hellénistes d’Asie Mineure particulièrement dans la ville cosmopolite d’Antioche de Syrie dont l’Apôtre Pierre fut Évêque jusqu’en l’an 60, remplacé par Évode quand Pierre partit évangéliser Rome. 

Nous sommes à un peu plus de la moitié du premier siècle. Dans une ville comme Jérusalem, Samarie, Tibériade, Chypre, Antioche de Syrie, Alexandrie, Rome et tant d’autres cités, il y avait plusieurs « Assemblées ou Églises » dont les responsables, les enseignants étaient des Évêques, Presbytres, Anciens qui veillaient au « troupeau » d’EL-SHADDAÏ, les baptisant en son « NOM » et non avec les paroles de forfaiture comme « baptisé au Nom du Père, du Fils, et du Saint-Esprit, plus un Amen en faisant le « Signe de la Croix », ou « Signe de Croix », signe ostentatoire de Sammaël.

En l’an 70, au mois de Septembre, le neuvième jour, jour pour jour le « Second Temple » , comme le « Premier » sous Nabuchodonosor II en 587 avant l’EC, est rasé par l’armé romaine ainsi que la ville de Jérusalem, les habitants seront massacrés sans aucune distinction, un véritable carnage et le peu de survivant seront dispersés dans tout l’Empire. Les humains de la « Mouvance de Jésus le Nazaréen » nommés aussi les « Messianistes » seront prévenus bien avant et iront se réfugier en Transjordanie dans la petite ville de Pella. Pendant presque dix ans les hébreux vont être privés de chefs spirituels de l’an 66 à 74 où un Sanhédrin verra le jour à Yavné, non loin de l’ancienne cité de Jérusalem.

Fin du premier siècle, début du second, le christianisme en tant que religion n’existe pas encore, ainsi que le terme « chrétien ». Il n’y a pas non plus de « Nouveau Testament », seul existe la traduction de « l’Ancien Testament » et d’autres écrits hébraïque sacrés en langue Grec et certainement copte demandé par le Pharaon Égyptien Ptolémée II Philadelphe à soixante douze érudits hébreux, se sera la traduction des « Septante », mais jusqu’au Concile de Nicée en l’an 325  plus de deux mille Lettres et Épîtres circuleront dans le Bassin Méditerranéen, Mer Noire et Caspienne ainsi que les pays limitrophes.

Fin du deuxième, -- 199 --, début du troisième, -- 200 --, jusqu’au début du quatrième, -- 300 --, siècle : des humains se sont aperçut que dans cette « secte judaïque » naissante et brouillon il y avait un « Nom » à se faire, ainsi qu’une notoriété avec une monnaie sonnante, en donnant un peu et en recevoir beaucoup. Les humains qui avaient la chance de savoir lire et qui entraient dans ces « Assemblées », ces « Églises », prenaient rapidement des responsabilités puisqu’ils pouvaient lire, la Lettre ou l’Épître que l’on avait reçue d’une congrégation lointaine. Si en plus cet humain avait une bonne hygiène de vie, qu’il c’était fait baptisé, il se retrouvait Presbytre ou Évêque d’une petite Assemblée. Si il était venu dans cette Église par la foi, avec un cœur sincère, sans hypocrisie, par amour pour ce Dieu seul et unique, El-Shaddaï, qu’il faisait preuve d’humilité devant ses semblables, alors aucun risque, mais celui qui commençait par ces responsabilités à prendre la grosse tête, faire le paon, et qui avait le verbe haut, alors les paroles de Jésus le Nazôréens tombaient dans les fosses, les oubliettes, et seules comptaient les paroles de cet humain qui expliquait à son auditoire comment il comprenait le verbe et les Enseignement de Jésus le Nazaréen, ainsi que les Lois et Préceptes d’EL-SHADDAÏ. Cet homme là, sur le dos de ses semblables, se faisait un « Nom avec les richesses qui vont avec » car vous aviez toujours des humains qui suivaient ces mauvais hommes comme les moutons de Panurge.

Ce qui est malheureux, c’est que j’écris la vérité !

Le christianisme n’existe pas pendant les deux premiers siècles et si l’on veut aller dans ce sens alors faut dire que le christianisme à ses tous débuts est oriental car il commence en Palestine à Jérusalem, puis en Galilée, Samarie, Judée. Pour la Diaspora ce christianisme helléniste commence à Alexandrie en Égypte, puis en Asie Mineure à Antioche de Syrie pour se propager en Séleucie, Galatie, Anatolie, Macédoine et en Grèce avec les villes de Tarse,  Troie, Corinthe, Thessalonique, Athènes, Rome ne venant que quelques années plus tard. A l’ère de Saul de Tarse, puis Jean, le christianisme est inexistant, seul existe réellement des « Assemblées », des « Églises » de la « Voie de Jésus de Nazareth », « de la Mouvance de Jésus le Nazôréen, Nazaréen », « des Messianistes » peut importe le nom qu’ils avaient pour les autorités romaines ce n’était qu’une secte du judaïsme sans grande importance, mais qui troublait l’ordre public car considérée comme des cannibales et des incestueux puisque d’un côté il mangeait le corps d’un homme et de l’autre ils se nommaient frères et sœurs.

Il faudra attendre le milieu du deuxième siècle, début du troisième pour que l’on balbutie le nom de chrétien et de christianisme. Grâce à la Diaspora juive la « Mouvance de Jésus le Nazôréen ou les Messianistes » s’étendait jusqu’en Éthiopie et en Inde bien avant Rome. Chaque « Assemblée ou groupe d’Assemblées qui portait aussi le nom d’Église » était indépendant.

Pendant tout ce troisième siècle, -- (200-299) --, presque toutes les décennies, un nouveau courant d’idée naissait et déclarait le précédent d’hérétique, ce qui, obligatoirement créait des dissensions, et les humains essayaient de faire accepter leurs concepts par les armes et les vainqueurs faisaient de leurs desseins, inspirations, des dogmes

La suite de cette écriture dans quelques jours !

Souhaitant que cette lecture vous ait été agréable, portez-vous bien et prenez soins de votre maisonnée !

Salutations cordiales

Sig : JP.G. dit « GRAND-LOUP » ou « GRANDELOUPO »