Les fêtes de fin & début d’année
Cette semaine dans la nuit du 24 au 25 décembre sera la nuit de tous les menteurs de la terre. Le plus important le religieux, le christianisme avec plus de trois milliards de baptisés qui vont fêter la naissance de leur « Dieu » « Jésus-Christ », date inventée de toute pièce par l’Évêque de Rome, le Pape n’existant pas encore, encore un mensonge de la chrétienté puisque le « Pape » de cette religion était l’Empereur Romain de l’époque soit le « Pontifex Maximus », donc je reprends, l’Évêque de Rome Libère qui en 354 déclara la naissance de Jésus-Christ le 25 Décembre comme les Dieux Mithra et Sol Invictus. L’autre mensonge, celui-là païen, est le mythe, ou la légende du « Père Noël » qui passe par la cheminée amener des cadeaux aux enfants. Je reconnais que cette légende est merveilleuse et a son origine dans les pays scandinave à l’époque antique où les humains adoraient le Dieu « Odin ». On racontait aux enfants que le « Père Odin » aidé de ses Lutins montait dans son immense traineau céleste tiré par une vingtaine de renne et dans les aires parcourait toute la Scandinavie distribuant des présents aux enfants pour leur faire oublier la rigueur de l’hiver. Le dilemme pour les parents est de dire à leurs enfants qu’ils leur ont menti toutes ces années avec un Père Noël qui n’existe pas, alors que c’est une légende. Je me souviens qu’à Noël je ne touchais comme cadeau qu’une orange, mais qu’est-ce qu’elle était bonne ! Et aujourd’hui les enfants des pauvres qu’ont-ils comme cadeaux ? Quand je pense que l’un de mes enfants dépense 500€ de cadeaux par enfant, je suis écœuré !
Oui ! Je réitère, c’est la nuit du mensonge, alors vous mes semblables ne soyez pas dans le mensonge, car EL-SHADDAÏ a en horreur du mensonge, mais rien ne vous empêche de faire la fête puisque c’est une époque de réjouissances, mais dans la vérité, sens adoration du sapin et de cette crèche à son pied.
Rester dans la vérité et plus tard vos enfants seront vous remercier
Pour le moment je vous laisse à votre lecture ci-dessous, pour que vous deveniez les enfants d’EL-SHADDAÏ, et que vous ayez toujours à l’esprit que nous pouvons ressusciter sur une Terre merveilleuse où le mal n’existera plus.
Noël, 1er jour de l’année
Dernières phrases du chapitre précédent
Le christianisme n’existe pas pendant les deux premiers siècles et si l’on veut aller dans ce sens alors faut dire que le christianisme à ses tous débuts est oriental car il commence en Palestine à Jérusalem, puis en Galilée, Samarie, Judée. Pour la Diaspora ce christianisme helléniste commence à Alexandrie en Égypte, puis en Asie Mineure à Antioche de Syrie pour se propager en Séleucie, Galatie, Anatolie, Macédoine et en Grèce avec les villes de Tarse, Troie, Corinthe, Thessalonique, Athènes, Rome ne venant que quelques années plus tard. A l’ère de Saul de Tarse, puis Jean, le christianisme est inexistant, seul existe réellement des « Assemblées », des « Églises » de la « Voie de Jésus de Nazareth », « de la Mouvance de Jésus le Nazôréen, Nazaréen », « des Messianistes » peut importe le nom qu’ils avaient pour les autorités romaines ce n’était qu’une secte du judaïsme sans grande importance, mais qui troublait l’ordre public car considérée comme des cannibales et des incestueux puisque d’un côté il mangeait le corps d’un homme et de l’autre ils se nommaient frères et sœurs.
Il faudra attendre le milieu du deuxième siècle, début du troisième pour que l’on balbutie le nom de chrétien et de christianisme. Grâce à la Diaspora juive la « Mouvance de Jésus le Nazôréen ou les Messianistes » s’étendait jusqu’en Éthiopie et en Inde bien avant Rome. Chaque « Assemblée ou groupe d’Assemblées qui portait aussi le nom d’Église » était indépendant.
Pendant tout ce troisième siècle, -- (200-299) --, presque toutes les décennies, un nouveau courant d’idée naissait et déclarait le précédent d’hérétique, ce qui, obligatoirement créait des dissensions, et les humains essayaient de faire accepter leurs concepts par les armes et les vainqueurs faisaient de leurs desseins, inspirations, des dogmes
Chapitre N°5
Évêque de Rome,
Libère invente un Dieu le 25-12- 354
Cette Secte judaïque qui commence à prendre de l’ampleur n’est pas encore structurée par une centralisation.
Le judéo-nazoréisme, nazaréisme est une doctrine chrétienne et les Nazôréens furent une des premières appellations que prirent les chrétiens sur la base du titre de Nazaréen ou Nazôréen donné à Jésus.
« Ainsi s'accomplit ce que le Seigneur avait dit par les prophètes : Il sera appelé Nazôréen. » Matthieu II : 23
Actes des Apôtres II : 22
« Hommes d'Israël, écoutez ces paroles. Jésus le Nazôréen, cet homme qu’EL-SHADDAÏ a accrédité auprès de vous par les miracles, prodiges et signes qu'il a opérés par lui au milieu de vous, ainsi que vous le savez vous-mêmes, cet homme qui avait été livré selon le dessein bien arrêté et la prescience d’EL-SHADDAÏ, vous l'avez pris et fait mourir en le clouant à la croix par la main des impies, mais EL-SHADDAÏ l'a ressuscité, le délivrant des affres de l'Hadès. »
Actes des Apôtres III : 6
« Mais Pierre dit : « De l'argent et de l'or, je n'en ai pas, mais ce que j'ai, je te le donne : au nom de Jésus Christ le Nazôréen, marche ! »
Le terme judéo-chrétien désigne en premier lieu les premiers chrétiens, et plus spécifiquement ceux d'origine juive qui continuaient à observer les prescriptions de la Loi mosaïque après leur conversion au christianisme.
Le montanisme est un mouvement chrétien hétérodoxe du IIe siècle fondé par le prophète Montanus en Phrygie
Le docétisme désigne un ensemble de pensées christologiques du début du christianisme. Les théologiens docètes interprètent littéralement le verset de l’évangile selon Jean où il est écrit []que « la Parole se fit chair ». A cause de ces courants de pensé les « chrétiens » seront considérés comme des cannibales et persécutés.
Comme mouvement de pensés il y avait le priscillianisme, le pélagianisme, le nestorianisme, le monophysisme qui amèneront tous des dogmes au christianisme et qui, quelques décennies après, seront autant de doctrines condamnées comme des hérésies par les premiers conciles œcuméniques.
A tous ceux cités ci-dessus il faut ajouter le Gnosticisme, Sabellianisme, Homéisme, Anoméisme, Homoiousisme, Ébionisme et Elkhasaïsme, Cérinthiens, Symmachiens, et Esséniens.
Et les deux plus importants courants de discorde du début du christianisme, l’Arianisme et le Donatisme.
L’arianisme est un courant de pensée des débuts du christianisme, dû au théologien alexandrin de langue grecque, Arius – 256-336- né en Cyrénaïque, aujourd’hui la Lybie, dans la région des cinq cités, de l’École théologique d’Antioche de Syrie. L'arianisme défend la position selon laquelle la divinité du Très-Haut est supérieure à celle de son Fils fait homme.
Suite à sa victoire au Pont de Milvius en l’an 312, Constantin le Grand déclare le christianisme religion d’Empire. Dès lors cette religion qui stagnait à tout juste dix pourcent prit son envole et en quelques décennies devint la première religion de l’empire romain.
Quelques années plus tard, l’empereur d’Orient Valens favorise à l’inverse certains évêques ariens. Au milieu du quatrième siècle, les évêques Photin à Sirmium, Valens à Mursa en Pannonie et son voisin Ursace à Sinqidunum en Mésie sont ariens. Cet ancrage arien proche du Danube concourt à la conversion à l’arianisme des Wisigoths et des Vandales par l’évêque mi – goth, mi – grec, Wulfila.
Enfin, de 361 à 381, les trinitaires contre-attaquent. L'empereur Théodose 1er qui leur est favorable convoque le premier Concile de Constantinople qui tranche en faveur de l'orthodoxie trinitaire et antisubordinatianiste et trinitaire, selon le dogme proclamé par le Symbole de Nicée-Constantinople.
Revenons maintenant à Jésus le Nazaréen
Comme écrit plus avant EL-SHADDAÏ aime sincèrement l’humain, et il sait que tous les humains ne vivent pas que pour la luxure, mais qu’un petit nombre l’aime et le cherche sincèrement, alors à ce petit nombre il fallait lui donner un « Espoir », une sorte de récompense pour sa fidélité, et quoi de plus merveilleux que de lui redonner la « Vie Éternelle ». Oui, mais il y a cette transgression commise par des êtres parfaits, ces deux premiers humains, homme et femme, donc obligatoirement il fallait une équivalence, un humain parfait, qui soit assez fort pour résister aux attaques du Prince de la Terre, Sammaël, que les humains nommeront « Satan », pour vaincre « Dame Mort », résultante de la première transgression humaine.
Voilà pourquoi le Père, EL-SHADDAÏ, après avoir conversé avec son Fils Emmanuel, ils convinrent d’un commun accord, que lui, Emmanuel viendrait sur la Terre pour servir la cause de l’Humain. Chacune des deux parties avait pesé la dangerosité de l’action et il fallait beaucoup d’amour entre les deux et une obéissance parfaite au « Père ». En effet, pour le Fils, c’était comme une mise à l’épreuve, un test consentant, mais un test de fidélité et d’amour quand même, et pour le Père c’était de voir faillir son fils dans l’épreuve et de tout perdre, son unique Fils, mais aussi son « Défit » contre Sammaël et la perte définitive de l’humain.
Ce fut pour sauver l’Humain que, dans une nuit de fin septembre début octobre un enfant du nom de Jésus le Nazôréen, le Jésus-Christ des chrétiens, sortit de la matrice de sa mère, sans que celle-ci ne goûtât aux douleurs de l’accouchement. Étant parfaite de corps elle put donner le sein à sa progéniture, sans attendre la semaine de purification comme l’exigeait sa religion hébraïque. De plus, seul d’un corps parfait, exempt du défaut des deux premiers humains, pouvait naître un humain parfait sans la tare génétique adamique.
Luc II : 8
« Il y avait dans la même région des bergers qui vivaient aux champs et gardaient leurs troupeaux durant les veilles de la nuit. »
Cette seule phrase nous informe de la saison. Nous ne sommes pas en hiver, ni au Solstice d’Hiver puisque les bergers sont encore dans les pâturages à garder les troupeaux la nuit.
Jésus le Nazaréen, est né entre -7 à -5 avant J-C., disons plutôt avant l’EC., vers la fin du mois de Septembre ou le début du mois d’Octobre puisque les bergers sont encore dans les pâturages avec leur troupeaux la nuit, la saison des pluies n’étant pas encore là.
Adam Clarke Commentary cite volume 5, page 370, édition New York :
« Il était habituel pour les Juifs d’envoyer leurs brebis au désert aux alentours de la Pâque, et de les ramener au bercail au début des premières pluies. Pendant le temps de leur sortie les bergers les surveillaient nuit et jour. Comme ces bergers n’avaient pas encore ramené leurs brebis au bercail, on peut supposer que le mois d’octobre n’avait pas encore commencé et que, conséquemment, Jésus-Christ n’est pas né un 25 décembre, parce que les troupeaux étaient encore dans les champs la nuit. Il n’aurait pas pu naître plus tard qu’en septembre, mois de « Tishri » en hébreu. En nous basant sur ces faits seulement, l’idée d’une nativité en décembre devrait être abandonnée. Le pacage des bêtes la nuit dans les champs est un fait chronologique. »
Luc II : 9-13, 15-18, 20 voilà un style de confusion de copiste en plus de rajout grossier, car en premier le terme « Seigneur » remplace « Dieu » dans la traduction grecque, ainsi que pour les chrétiens, donc EL-SHADDAÏ pour moi, et en second « qui est le Christ Seigneur » est un ajout inadmissible de copiste car Seigneur remplaçant « Dieu » on veut vous prouvez que le Messie, Jésus le Nazaréen, est un « Dieu ». Que de fourberie pour vous éloigner de la vérité ! entre ( ) l’original
« --- Il y avait dans la même région des bergers qui vivaient aux champs et gardaient leurs troupeaux durant les veilles de la nuit.
L'Ange d’EL-SHADDAÏ – (du Seigneur) -- se tint près d'eux et la gloire d’EL-SHADDAÏ – (du Seigneur) -- les enveloppa de sa clarté. Ils furent saisis d'une grande crainte.
Mais l'ange leur dit :
« Soyez sans crainte, car voici que je vous annonce une grande joie, qui sera celle de tout le peuple. Aujourd'hui vous est né un Sauveur, dans la ville de David.
Et ceci vous servira de signe : vous trouverez un nouveau-né enveloppé de langes et couché dans une crèche. »
Et il advint, quand les anges les eurent quittés pour le ciel, que les bergers se dirent entre eux :
« Allons jusqu'à Bethléem, voyons ce qui est arrivé, que le Seigneur EL-SHADDAÏ nous a fait connaître. »
Ils vinrent donc en hâte et trouvèrent Marie, Joseph et le nouveau-né couché dans la mangeoire.
Ayant vu, ils firent connaître ce qui leur avait été dit de cet enfant, et tous ceux qui les entendirent furent étonnés de ce que leur disaient les bergers.
Puis les bergers s'en retournèrent, glorifiant et louant EL-SHADDAÏ pour tout ce qu'ils avaient entendu et vu, suivant ce qui leur avait été annoncé. --- »
Comme la lecture est vraiment plus agréable quand tout est remis dans le sens de vérité !
Comme souvent, cela c’est passé dans les Cieux avant que ce ne soit sur Terre. Comme écrit en avant, Jésus le Nazôréen est passé dans les cieux par les stades de développement jusqu’à ce qu’il soit « mature », qu’il ait l’âge de raison, l’âge où il devient responsable de lui-même, de ses actes.
Ce Dieu Shaddaï, par amour pour l’humain, envoya son Fils sur la Terre comme un humain, puisqu’il mit son spermatozoïde dans l’ovule d’une femme qui fut rendu parfaite de corps, après avoir, à l’âge de trois ans supprimé la tare adamique.
Nous sommes en 325 et le christianisme n’a pas de fête sur la naissance d’un « dieu » pendant les « Saturnales » et le « Solstice d’Hiver » en son sein.
Alors d’où vient ce nouveau « dieu », « Jésus-Christ » né un 25 décembre, lui aussi ?
Pour le moment dans tout l’Empire on fête le « Solstice d’hiver » ainsi que la naissance des divinités Sol Invictus et Mithra.
A cette époque la fête de la naissance de Jésus le Nazaréen n’existe pas.
Pourtant croyant et non croyant font tous la fête pendant une quinzaine de jours car chacun à quelque chose à fêter, les uns le sapin avec la bûche, les autres la naissance des Dieux.
Nous sommes au milieu du IVème siècle.
L’Évêque de Rome, Libère, en 354 de l’EC, décide que la chrétienté devait aussi fêter la naissance d’un « Dieu ».
Libère en déclarant officiel la naissance de Jésus le Nazaréen un 25 décembre, faisait du funambulisme, renforçant la pensée dogmatique de ceux qui considéraient Jésus le Nazaréen comme un « dieu », détournant les fêtes païennes du Solstice de l’hiver, des naissances le 25 décembre des divinités Sol Invictus et Mithra en les intégrant à une fête religieuse qui en n’était pas une, puisque non existante.
L’histoire a de temps en temps une réalité comique, car une festivité païenne devenir une fête religieuse tout en restant festive à une date où aucune fête de la dite religion existe, cela tient du « miracle » si je peux m’exprimer ainsi.
La fête chrétienne de la « Nativité » date de l’an 354.
Le 25 Décembre 354 naissait un « Dieu » créé de toutes pièces par les humains, disons plus véridiquement, généré par un humain, chef incontesté et incontestable d’une religion, le « Christianisme ». Par cet homme, Libère, cette religion naissance venait de ce concevoir un « DIEU » du nom de « Jésus-Christ » qui venait de naître un 25 décembre comme tous les « Dieux » païen de l’Empire Romain.
Tout ce que les prophètes prédirent se réalise en cet humain, car à partir de ce jour tout ce que Jésus le Nazaréen avait dit se trouvera détourné, transformé, et les écrits et paroles d’humains feront foi. Pour ceux qui ont eut la chance de lire les « Livres d’Hénoch », les « Prophéties de Moïse » et de trouver la « Sagesse » entre les lignes du « Nouveau Testament », la vérité prophétique leur éclaire l’esprit, la pensée, la réflexion et le raisonnement, car les « Écrits » sont entrain de se découvrir tout doucement.
Que celui qui possède la « Sagesse » ouvre les yeux et les oreilles !
N’oublions pas les faits historiques !
Le « Christianisme » ne prend de l’ampleur que depuis le Concile de Nicée en l’an 325, depuis que Constantin le Grand déclare le « Christianisme » comme religion de l’empire, décrétant un nombre certain de Lois en faveur de cette religion. De plus comme tous les Empereurs qui vont succéder Constantin le Grand, ils seront les « Pontife Primat » de cette religion qui aura tantôt sont siège à Rome et tantôt son siège à Constantinople anciennement Byzance, c’est-à-dire que cette religion sera pendant un temps Orientale et pendant un autre Occidentale et pendant tous ces siècles jamais, je dis bien jamais il n’y aura de « Pontife », de « Pape » à Rome, puisque se sera l’Empereur d’Empire le « Pontife Primat » ou le « Pontifex Maximus ». A Rome, comme à Constantinople, il n’y aura qu’un évêché, du IIème au VIIIème siècle. Empereur de l’Empire Romain Occidentale Gratien refusera de porter le titre de « Pontifex Maximus » et donnera certain pouvoir religieux à l’Évêque de Rome Damas 1er, mais Théodose 1er son successeur reprendra ce titre en réunifiant les deux Empires, l’Orient et l’Occident, et le siège religieux ne sera pas Rome mais Constantinople où en 381 sous son initiative et son commandement il y aura un Concile pour condamné l’arianisme pensées trinitaires difficile à comprendre comme de toute évidence la « Sainte Trinité » pilier du dogme chrétien ainsi que de l’idolâtrie chrétienne.
Tout ce que je vous écris vous ne pouvez me démentir puisque c’est l’histoire du christianisme. En 380, par l’Édit de Thessalonique le christianisme devient officiellement religion d’Empire et les persécutions s’inverse, ce sont les païens qui sont persécutés par les chrétiens, ces derniers étant aussi barbare dans les tueries et les massacres au nom de Jésus-Christ. Les « Enseignements » de Jésus le Nazôréen sont loin, dans les oubliettes !
Puisque nous sommes dans les faits historiques, continuons !
Le Nouveau Testament de la Bible ne dit rien, ceux que les humains élevèrent au rang de Saint, je parle de ces Pères de l’Église, qu’ont-ils fait pour que ce 25 décembre soit la naissance de celui qu’ils nomment « Christ » ?
En premier un condensé historique rapide de cette fête de la Nativité, c’est-à-dire Noël.
C'est après la conversion de l'Empire romain au christianisme que le 25 décembre reçut une nouvelle fonction, celle de célébrer la naissance de celui qui était maintenant appelé la « Lumière du Monde » et le « Soleil de Justice ».
En 425, l'empereur d'Orient Théodose II codifie officiellement les cérémonies de la fête de Noël, fête désormais exclusivement chrétienne
En 440, l’Évêque de Rome, Sixte III, institua la Messe de Minuit.
En 506, le Concile d’Agde fait de Noël une fête d’obligation.
En 529, l’empereur byzantin Justinien le Grand en fait un jour chômé. Progressivement, la fête de Noël fut imposée dans toutes les contrées de l'empire carolingien
En 461 en Irlande
En 604 en Angleterre
En 615 en Suisse
En 754 en Allemagne
En 865 dans les pays scandinaves
En 997 en Hongrie
A partir du XIIème siècle, Noël était devenue la plus grande et la plus populaire des fêtes de l'Occident et de l’Orient chrétien.
Les faits historiques de toutes ces fêtes chrétiennes de fin et début d’année sont des fêtes ou l’hypocrisie de cette religion est au maximum, car ce sont des Saturnales déguisées.
Vous mes semblables ouvrez les yeux, les oreilles regardez la vérité devant et autour de vous et constatez la véracité de tout ce que vous venez de lire. Prenez le chemin qui mène à ce Dieu seul et unique celui que je nomme EL-SHADDAÏ comme Abraham.
Passez cette semaine de fêtes en accord avec les Lois et Principes d’EL-SHADDAÏ, en adorant glorifiant que Lui seul et pas un autre Dieu, surtout ce piège de « Jésus-Christ » Dieu chrétien, car « Jésus le Nazôréen ou Nazaréen » comme je le nomme n’est pas un « Dieu » et jamais ne sera « Dieu », comme jamais il n’est né un 25 Décembre, alors encore une fois soyez prudent, un seul et unique « Dieu » EL-SHADDAÏ !
Portez-vous bien !
Salutations cordiales !
Sig : JP.G. dit « GRANDELOUPO »