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Titre du blog : Critique réfléchie des Religions par GRANDELOUPO
Auteur : grande-loupo
Date de création : 30-04-2009
 
posté le 04-01-2015 à 16:46:07

Fêtes fin d'année, chap.N°7 - Épiphanie, Rois Mages

 

Galette, couronne des Rois

 

Les fêtes de fin

 

& début d’année

 

Une nouvelle année commence, le cycle des quatre saisons reprend son cours avec l’allongement des jours. Je souhaite que vous preniez de la force intérieure pour EL-SHADDAÏ, pour ce Dieu seul et unique car avant lui il n’en existait pas et s’il venait à disparaître l’Univers entier  disparaîtrait. J’espère qu’EL-SHADDAÏ veillera encore cette année sur moi, mais cela est moins sûr car mon temps devrait être déjà terminé sur cette Terre et je suis toujours là pour vous écrire. Alors si pendant deux mois vous n’avez plus d’écrit sur ce blog, c’est que ce Dieu aura estimé que le temps était venu de dormir en attendant ma résurrection car je serai toujours quelque chose sur cette Terre et mon double, mon enveloppe spirituelle aura été jugé, sois j’errerai comme des millions d’humains autour de la Terre et ses environs, soit je serai dans une demeure à me reposer en attendant ce retour terrestre, soit je partirai pour le néant et même la terre ne se souviendra plus de moi. Il faudra que l’un de vous prenne la relève et enseigne ses semblables avec la vérité historique sur toutes les religions, sur la puissance de ce Dieu seul et unique et surtout la vérité sur son fils engendré, je parle de Jésus le Nazaréen, tout en restant dans l’incognito, dans  l’humilité.

Ce que je viens d’écrire il fallait que je le dise car je ne suis pas éternel et je suis convaincu qu’EL-SHADDAÏ guidera l’un de vous pour me remplacer.

Portez-vous bien dans l’amour d’EL-SHADDAÏ et de son fils Jésus le Nazôréen !

 

Chapitre N° 7

 

 

L’Épiphanie, les Rois mages

 

Le Solstice d’Hiver est passé avec ces nuits les plus longues, le double du jour. Puis il y a la fête chrétienne de la Nativité instauré par l’Évêque de Rome, Libère qui officiât comme tel de 352 à sa mort en 366. Il est le premier Évêque à désigner Rome comme le « Siège Apostolique » sous le règne de l’Empereur Constance II, 337-361, dont le successeur sera Julien, 361-364, suivi de Jovien, 364-364, suivi de Valens pour l’Orient, 364-378 et Valentinien pour l’Occident, 364-367 suivi de Gratien et pour l’Orient Théodose qui réunira l’Orient et l’Occident, mais le « Siège Apostolique » sera à Constantinople.

Comme ce sont les Empereurs Romains qui sont les dirigeants de l’Église chrétienne et qui sont les « Pontifex Maximus », donc les « Pontifes » de la religion chrétienne et non l’évêque de Rome comme la chrétienté veut nous l’apprendre, je mets dans mes écrits de l’histoire pour vous prouver que cette religion c’est bâtie sur le mensonge. Non comme un religieux, mais en fin politicien il profita du cahot à la tête de l’Empire Romain pour assoir Rome comme « Siège Apostolique », ce qui lui vaudra d’être exilé en Macédoine pendant un peu plus de trois ans avant de revenir dans les grâces de Constance II.

Pendant ces trois décennies de capharnaüm impérial, les chrétiens se battaient entre chrétiens, mais aussi chrétiens contre païens, les troupes romaines impériales contre les barbares aux frontières de l’empire. De 361, mort de Constance II, à 378, la venue de Théodose 1er à la tête de l’empire, se fut une période d’assassinats, meurtres, trahisons et magouilles au sommet de l’État. La religion n’était guère mieux puisque c’était les arianismes contre les donatistes.

L’Empereur Constance II exile Libère en Macédoine, qui sera accompagné du Diacre Damase 1er, qui lui succédera après sa mort en 366. Quand Libère décède c’est un autre Diacre, Ursin qui est élu Évêque de Rome. Cela n’a pas du plaire à Damase et ses partisans qui le consacre Évêque de Rome en la Basilique de Saint Laurent de Lucine le 1er Octobre 366. Le Préfet de la ville de Rome exile Ursin et ses partisans qui sont retranchés dans une église. Ils sont attaqués par les partisans de Damase. L’échauffourée dans l’église se termine dans un bain de sang avec plus de cent trente morts.

Déjà à cette époque, les richesses de la religion chrétienne sont importantes, et les Diacres qui administrent ce trésor sont en général irréprochables et sont là pour faire fructifier ce luxe, or et pierres précieuses doivent entrer dans la besace de l’Église. Dans trois siècles c’est-à-dire dans le VIIème et VIIIème siècle sous l’Évêque de Rome, Étienne II, qui en 752, prendra le titre de « Pontife », c’est-à-dire « PAPE » quand Pépin le Bref, Roi des Francs lui offrira les premiers États Pontificaux.

Le véritable Pape de Rome est né !

On dira l’Église de Rome !

Autre hypocrisie cachée et aussi grande, si ce n’est plus. Le christianisme du IVème siècle surtout après le Concile de Nicée, avait dans son cœur la haine du judaïsme rendant ceux-ci responsable du crucifiement de leur « Dieu ». Le christianisme ne doit son essor que depuis la victoire de Constantin le Grand à la bataille du Pont de Milvius le 28 octobre 312.

Nous sommes à la veille de l’hiver et il existe quatre Empereurs pour gouverner l’empire. Les deux plus importants, Maxence et Constantin. Constantin marche sur Rome avec ses troupes pour être élu par le Sénat de Rome comme un « César Auguste » de tout l’Empire. Maxence qui, lui vit à Rome veut la même chose par le Sénat. Celui qui sera maître de la route de Rome, sera maître et protecteur de Rome. Maxence emmène ces troupes à dix kilomètres de Rome sur la via Flaminia, la route de Rome, et devant le Pont de Milvius qui enjambe le Tigre, fleuve tumultueux  il fait un autre pont avec des grande barques attachées les unes aux autres pour faire traverser ses cohortes prétoriennes qui s’installent devant le pont. Si l’on suit Eusèbe de Césarée, historien chrétien de l’époque, les forces en présences étaient de un contre dix. Constantin évaluant les forces avant la bataille et se sait perdu d’avance. Dans le ciel des nuages de haute altitude forment un chrisme, avec les deux lettres mélangées, XP, qui sont en grec les deux premières lettres du dieu chrétien. Constantin croit beaucoup en ces signes divinatoires et regardant encore le ciel il croit entendre ceci : « In hoc signo vinces » qui signifie : « Par ce signe tu vaincras ». Regardant ce ciel une troisième fois, il jure qu’il embrassera la religion chrétienne si, il a la victoire. En un mot il promet que si, il a la victoire il se fait baptiser chrétien. Un soldat de Constantin contre dix à Maxence. Constantin le grand convoque tous les chefs de bataillon et fait peindre en rouge et en grand les deux lettres XP entremêlées sur tous les boucliers de ses soldats. Ils partent au combat après plusieurs heures les troupes de Maxence reculent. Un survivant dira : « Ce n’est pas des hommes que nous avions en face de nous, mais des diables, le ventre ouvert ils combattaient encore ». Les soldats de Maxence acculés contre le pont montaient dans les barques. Des vigiles prenant peur sectionnèrent les amarres des bateaux qui furent emportés par ce fleuve tumultueux, Maxence et plusieurs centaines d’hommes perdirent la vie.

Constantin remporta une large victoire, et il respecta sa parole se faisant chrétien. En l’an 312, fin octobre, le christianisme qui ne représentait que dix pourcent de la population, devint la religion de l’empire romain.

Byzance devenait « Constantinople », aujourd’hui Istambul, ville impériale et siège de la chrétienté l’empereur étant le « Pontifex Maximus » c’est-à-dire le « Pape » de cette religion.

Donc l’Évêque de Rome, Libère constate que le christianisme n’a pas de « Dieu » naissant dans la longue nuit du 24 au 25 Décembre. Depuis le Concile de Nicée en l’an 325 de l’EC ou J-C, où le Canon Biblique fut arbitrairement choisit avec les Livres de l’Ancien Testament, et ceux du Nouveau Testament, le christianisme est devenu la religion de l’Empire Romain et les persécutions contre les chrétiens se sont arrêtées, et maintenant se sont les païens que l’on persécute.

Libère, en 354 décréta que Jésus-Christ était né un 25 Décembre comme un Dieu.

Libère affirme même avec force : « Dans la nuit du 24 au 25 Décembre un Dieu de Lumière nous ait né en la personne de Jésus-Christ pour sauver le genre humain lui offrant la vie éternelle. »

Il sera appelé « Fils de Dieu, Lumière des Lumières » qui deviendra « Fils de la Lumière » comme le Dieu romain Sol Invictus. Voilà comment, par un décret humain, est né un « dieu » en la personne de Jésus-Christ dans la nuit du 24 au 25 décembre et qui remplacera le Dieu « Sol Invictus » né lui aussi, bien avant Jésus-Christ, dans la nuit du 24 au 25 décembre sachant que l’anniversaire de « Sol Invictus » était interdit puisque païen. Seul la Nativité de Jésus-Christ était autorisée. Par là vous mesurez le degré d’hypocrisie qui existait à cette époque.

Vous mes semblables chrétiens je ne vous écris que la vérité historique rédigée dans nos livres d’histoires par des païens. Ce sont vos dirigeants, du Pape à l’Évêque, qui vous mentent !

Le Jésus-Christ des chrétiens vient de naître dans la nuit du 24 au 25 Décembre, date entrée dans le dogme de la chrétienté, ses « Haut-Fonctionnaires » sachant que c’est du « pipo » puisque c’est l’un des leur, Libère, qui en 354 décréta, arbitrairement cette date du mois de décembre.

Théoriquement d’après la loi juive huit jours après le Jésus-Christ devrait être circoncis par le Grand Prêtre responsable de la synagogue du lieu où habitent les parents. La bible ne fait aucun commentaire sur le lieu de la circoncision.

Jésus-Christ étant né un 25 Décembre, la chrétienté de tous bords en faisant grand tintamarre, huit jours après devrait être le jour de la circoncision, soit le 02 Janvier. La chrétienté Orthodoxe comme Catholique ayant basé la naissance de Jésus-Christ sur le mensonge, elle n’est pas gêné de ne pas respecter les huit jours qu’EL-SHADDAÏ impose pour la circoncision, Genèse XVII : 10-12 « Et voici mon alliance qui sera observée entre moi et vous, c'est-à-dire ta race après toi : que tous vos mâles soient circoncis. Vous ferez circoncire la chair de votre prépuce, et ce sera le signe de l'alliance entre moi et vous. Quand ils auront huit jours, tous vos mâles seront circoncis, de génération en génération. » En effet le septième jour la chrétienté célèbre une messe en l’honneur de la circoncision de Jésus-Christ.

Je suis sûr qu’un grand nombre d’entre vous à constaté que je nommais le Fils de « Dieu » « Jésus-Christ ». Comme ce que j’écrivais, était basé sur le mensonge, je ne pouvais pas inclure le Fils d’EL-SHADDAÏ, « Jésus le Nazôréen » dans cette mascarade de tromperies, duperies, donc il était normal pour moi d’écrire « Jésus-Croix », c’est ce que Jésus Christ veut dire, dans ce contexte de boue, domaine de Sammaël.

Le Jésus-Christ des chrétiens est la même personnalité que je nomme Jésus le Nazôréen, comme les prophètes l’avaient annoncé Matthieu II : 22-23,

« Mais, apprenant qu'Archélaüs régnait sur la Judée à la place d'Hérode son père, il --( Joseph ) -- craignit de s'y rendre. Averti en songe, il se retira dans la région de Galilée et vint s'établir dans une ville appelée Nazareth, pour que s'accomplît l'oracle des prophètes :

Il -- ( Jésus ) -- sera appelé Nazôréen. »

Voilà pourquoi, respectueux des prophètes, je nomme le Fils d’EL-SHADDAÏ, le dieu « Dieu » de la chrétienté, « Jésus le Nazôréen » et non Jésus-Christ qui devrait en théorie signifier Jésus-Messie, Jésus-Oint, mais qui précise Jésus-Crux, Jésus-Croix, « Jésus-Christ ».

« Épiphanie » est un mot d’origine grecque qui signifie manifestation, apparition. Le terme est bien antérieur au christianisme puisque les « Épiphanes » sont dans la culture grecque, les divinités  qui apparaissent aux hommes comme Zeus, Athéna, Hermès, Héra, Poséidon, Aphrodite, Artémis, Dionysos, Apollon, Arès, Déméter, etc, etc … qui font partie des douze Dieux de l’Olympe fête de la Rome Antique.

Pendant les quatre premiers siècles la fête de l’Épiphanie n’existe pas, seul à lieu le 6 Janvier une fête romaine païenne la fête des Lumières, où plus exactement la fête de la « Lumière » qui fait partie des Saturnales. En effet, le Solstice d’Hiver, la nuit la plus longue qui faisait approximativement le double du jour était à son apogée ainsi que les deux trois nuits qui la suivaient. Ce summum des Ténèbres finissait le 25 Décembre date d’anniversaire de la naissance des Dieux Mithra et Sol Invictus qui représentaient la « Lumières ». Ce cycle du Solstice d’Hiver finissait dans un nombre de jours hautement symbolique, douze jours et nuits à partir du 25 Décembre, douze heures, douze mois, douze dieux olympiens, et furent ajoutés à tous ceux-là par le christianisme, les douze tribus d’Israël, les douze Apôtres, ce qui faisait terminer ce cycle le 6 Janvier. C’est le moment où les jours commencent à s’allonger de façon sensible, visible par l’humain et que la promesse de la nuit solsticiale est tenu.

L’Épiphane ou l’Épiphanie est la célébration du retour manifeste de la « Lumière », cette dernière étant maître sur les « Ténèbres ». Ce cycle du Solstice d’Hiver comprenait ce jour le plus court où plus exactement la nuit la plus longue avec celles qui suivaient, où dans toute l’Europe, en Asie Mineur avec la péninsule Arabique, plus tous les pays d’Afrique du Nord dont les côtes maritime faisaient partie du Bassin Méditerranéen, les humains vénéraient les mêmes « Dieux », seul le nom changeait et pas obligatoirement. Le dieu « Lune » est mâle, tandis que le « Soleil » est femelle. En Asie Mineur, péninsule Arabique ainsi que l’Afrique du Nord le dieu lune est « Méni » et dans les iles Angles et Saxonnes le dieu lune est « Méné » et il arrive souvent que ce nom soit interverti comme en Ésaïe ou Isaïe LXV.

Dans ce cycle il y a la venue des trois Rois Mages relaté dans l’Évangile de Matthieu II : 1-2, « Jésus étant né à Bethléem de Judée, au temps du roi Hérode, voici que des mages venus d'Orient arrivèrent à Jérusalem en disant : « Où est le roi des Juifs qui vient de naître ? Nous avons vu, en effet, son astre à son lever et sommes venus lui rendre hommage. » » La Bible ne donne aucunement le nombre de ces Rois, par contre par les écrits apocryphes, la Tradition les mets au nombre de trois, représentant tous les habitants de la terre puisque l’un était blanc, l’autre d’une couleur cuivré et le troisième noir, du nom respectif de Gaspar, Melchior et Balthazar.

Théoriquement l’Épiphanie, fête chrétienne se fête le 6 Janvier, mais qui était dans l’antiquité et les quatre premiers siècles, le christianisme n’existant pas, une fête romaine importante puisqu’elle était la terminaison du cycle des fêtes du Solstice d’Hiver, Noël pour nous, et des Saturnales. En France comme en Belgique l’Épiphanie se fête le premier dimanche après le jour de l’an, par contre en Espagne le jour du 6 Janvier est chaumé.

La galette des Rois que l’on mange le jour de l’Épiphanie a son origine païenne. En effet, lors des Saturnales les romains désignaient un esclave comme « Roi » d’un jour. Les Saturnales étaient en effet une fête d’inversion des rôles afin de déjouer les jours néfastes de Saturne. Au cours du banquet, au début ou à la fin des Saturnales, selon les différentes époques de la Rome antique, au sein de chaque grande famille les Romains utilisaient la fève d’un gâteau comme « bulletin de vote » pour élire le « Saturnalicius princeps » qui signifie « Maître des Saturnales  ou Roi du désordre »

Pour assurer une distribution aléatoire des parts de galette, il était de coutume que le plus jeune se plaçât sous la table et nommât le bénéficiaire de la part qui était désignée par la personne chargée du service, d’où l’usage toujours vivant de « tirer les rois ». 

Ce gâteau devait obligatoirement être rond et de couleur jaune sur le dessus car il représentait le « Dieu » soleil, celui qui allait réchauffer la terre pour les semailles à venir.

L’Épiphanie est une fête chrétienne qui célèbre la venue du Messie, « Lumière des Lumière », « qui c’est fait chair » c’est-à-dire incarné dans le monde, mais c’est aussi l’hommage que les Rois mages lui portent. Souvenez vous de ces paroles ci-dessus dites par des Évêques voulant faire croire que leur « Jésus-Christ » est un « Dieu » puisque de par lui-même il c’est fait chair. Par vous- mêmes, chrétiens, ces paroles vous les avez entendues tout comme moi, je n’ai rien inventé ! Mais par un raisonnement « Sain » et je vais même pousser le bouchon encore plus loin, par un « Esprit SAIN », c’est EL-SHADDAÏ qui pose son spermatozoïde dans l’ovule féminin, où pour être plus clair dans l’œuf féminin, la Bible prenant le terme de « couvrir ». Par cette action « Jésus le Nazôréen » peut appeler EL-SHADDAÏ « Père », car il est vraiment son « Père » puisqu’il l’a engendré, et EL-SHADDAÏ sans mentir peut dire, ce qu’Il a fait, « Celui-ci est mon « Fils Bien-Aimé » le jour où Jean le Baptiste baptisa Jésus dans le Jourdain.

Cela prouve que Jésus le Nazôréen n’est pas un Dieu, et n’est pas « Dieu », mais qu’il est le « Fils » légitime engendré par EL-SHADDAÏ, son Père,  et que ce « Fils » peut appeler dans l’intimité ce Dieu seul et unique, El-Shaddaï, « PAPA ».

Autre chose, personnellement je suis convaincu que l’épisode du Pont de Milvius eut lieu par la volonté divine, afin d’assoir cette nouvelle religion qui après quatre siècles ne représentait que dix pourcent de toute la communauté religieuse païenne.

En 325 Constantin le Grand réuni un Concile à Nicée où, sous les conseils de son ami Eusèbe de Césarée sera formé le premier « Canon Biblique » avec l’Ancien Testament et le Nouveau Testament codex où les Livres, Lettres et Épîtres furent choisies arbitrairement. En plus des nombreux Évangiles qui circulaient dans tout le Bassin Méditerranéen et les pays limitrophes plus de deux milles Lettres et Épîtres s’échangeaient entre « Assemblées » ou « Églises »

Historiquement, quand en 325 au Concile de Nicée Constantin le Grand décréta qu’il serait le « Pontifex Maximus » du christianisme nouvellement instauré c’est-à-dire le « Pape » de cette religion de l’Empire. Eusèbe de Césarée nous écrit un peu sur l’homme et sa prestance comme chef incontesté et incontestable de cette religion.

« Constantin se connaît fort bien, et sait que les vertus qu'il possède, sont des dons du Ciel. Il porte seul la robe de pourpre pour marque de son autorité, et mérite seul d'avoir cette autorité parce qu'il implore jour et nuit le secours du Père céleste, et qu'il brule du désir de parvenir à son Royaume.

Il lève les yeux au ciel, pour y chercher l'idée de la domination, qu'il exerce sur la terre. Il garde dans l'étendue de ses États, la même forme de gouvernement, que Dieu garde dans tout l'univers. Il use du droit que Dieu a accordé à l'homme seul, d'imiter son pouvoir Monarchique.

C'est de sa main que nôtre Empereur très-chéri de Dieu, a reçu la souveraine puissance, pour gouverner son État, comme Dieu gouverne le monde. Le Fils unique de Dieu règne avant tous les temps, et régnera après tous les temps avec son Père. Notre Empereur qui est aimé par Jésus-Christ, règne depuis plusieurs années par un écoulement, et une participation de l'autorité divine. Le Sauveur attire au service de son Père, le monde qu'il gouverne comme son royaume, et l'Empereur soumet ses sujets à l'obéissance de Jésus-Christ. Le Sauveur commun de tous les hommes chasse par sa vertu divine, comme un bon Pasteur, les puissances rebelles qui volent dans l'air et qui tendent des pièges à son troupeau. Le Prince, Constantin, qu'il protège, défait avec son secours les ennemis de la vérité, les réduit à son obéissance, et les condamne au châtiment qu'ils méritent.

Avouons-donc qu'il n'y a point d'autre Empereur que le nôtre, puisqu'il n'y en a point qui soit libre comme lui, ni qui soit comme lui au dessus des parlions, et qui méprise les plaisirs, et se prive même de ceux qui sont innocents, et légitimes. Il est maître de sa colère et de son courage. Il est vainqueur non seulement des ennemis étrangers dont il a dompté l'orgueil, mais des domestiques, et de ses propres mouvements dont il a réprimé la violence, il imite Dieu comme son modèle, et le représente comme un miroir. Il représente la tempérance, la justice, la valeur, la pièce, la sagesse dont Dieu lui a donné et le commandement, et l'exemple. »

Vous constatez les éloges qu’écrivait Eusèbe de Césarée sur l’Empereur Constantin le Grand, son ami.

Bien avant le Concile de Nicée en 325, au deuxième, troisième siècle les Assemblées ou Églises se guerroyaient entr-elles pour des courants de pensés dogmatiques qui devenaient, deux décennies après, hérétiques.

En l’An 330 de l’E.C., cinq ans après le Concile de Nicée, les cinquante Codex Bibliques commandés par Constantin 1er, interpellé plus généralement sous le « Titre » de « Constantin le Grand », Empereur de l’Empire Romain et « Pontifex Maximus » de la religion de l’Empire, le « Christianisme », pour offrir à ses amis, ce Codex qui deviendra le premier « Canon  Biblique » qui comportera « l’Ancien Testament » avec quarante-six Livres, dite Bible des « Septante » ou de la « Dispersion », plus vingt-sept Livres qui comprendront quatre Évangiles, dont trois synoptiques plus, un l’Évangile de Jean suivit des vingt-deux Lettres et Épîtres, plus l’Apocalypse de Jean l’Apôtre qui formeront le « Nouveau Testament ».

Tout au long de l’année les fêtes dites chrétiennes ne sont ni plus, ni moins que des fêtes païennes déguisées. L’esprit pur originel de cette religion fut quatre siècles plus tard, bâtit sur les fondations du mensonge, devenu pierre angulaire de cette religion.

« Sortez d’elle mon « Peuple » ! », dit EL-SHADDAÏ, « car c’est la mère de l’impureté, pire qu’une « Prostituée » déguisé en « Ange de Lumière » pour la perdition d’un grand nombre ! »

Et moi Grandeloupo, je dis qu’elle se tient comme une « Mère Maquerelle », le sourire aux lèvres, fardée comme une princesse, avec un couteau planqué dans la ceinture.

Alors comme le dit EL-SHADDAÏ, sortez volontairement de cette mer de mensonges et de couardises, vous mes semblables, vous qui êtes libre de faire partie des « Enfants » d’EL-SHADDAÏ, car vous seul êtes responsable de vous !

Portez-vous bien et prenez soins de votre maisonnée !

Salutations cordiales !

Sig : JP.G. dit « Grandeloupo »