VEF Blog

Titre du blog : Critique réfléchie des Religions par GRANDELOUPO
Auteur : grande-loupo
Date de création : 30-04-2009
 
posté le 09-02-2015 à 01:19:47

Déchéance d'une ... Chap. N° 17 - Le Credo

Credo décrété en 381

 

Première Religion Mondiale le CHRISTIANISME

 

« N’appeler personne « Père » sur la Terre, car un seul est votre « Père » celui qui est dans les cieux. » ( Épître des Apôtres IV :1, Matthieu XXIII : 9 )

Alors pourquoi un « Très Saint Père = le Pape », pourquoi nommé un prélat « mon Père » ?

« Notre Père qui est aux cieux … », cela fait bien partie de la prière la plus importante de toute la chrétienté !

« Que ton Nom soit sanctifié… », ton nom ce n’est pas ce nom vulgaire « Dieu » car « Dieu » il en existe des milliers, donc que « ton NOM » comme EL-SHADDAÏ qui signifie Dieu-SHADDAÏ, mais encore « Dieu au-dessus des Montagnes », cela est un « NOM » comme Très-Haut, Tout-Puissant, Roi des Âges, Éternel, Yahvé, etc.

Ce Nom est un nom « Saint » voilà pourquoi il est sanctifier qui signifie vénérer, adorer, glorifier et ce nom ce n’est pas celui de son fils, mais bien le sien à lui, le Dieu seul et unique !

Je viens en une ligne de la Bible, vous démontrer l’erreur du christianisme d’aujourd’hui, et sa déchéance.

Alors voici son histoire et votre liberté d’action car chaque humain est responsable de lui et c’est seul qu’il affrontera le Jugement du Père.

 

Histoire et déchéance de cette Religion

 

Dernières lignes du chapitre précédent :

 

En 394, Théodose Ier fut l’auteur du décret interdisant les Jeux olympiques accusés de diffuser le paganisme.

Les jeux ne seront rétablis qu’en 1896 en Grèce.

Les temples de l'empire de Théodose sont alors fermés et la statue de la déesse Victoire est retirée du Sénat romain, ce qui provoque l'indignation chez les Romains fidèles à la tradition. Le patriarche d’Alexandrie Théophile est chargé d’appliquer l’édit de Théodose Ier, qui interdit aux païens l’accès à leurs temples et toutes les cérémonies du culte païen, dans le diocèse d’Orient. Les temples sont détruits ou transformés en églises. Les statues sont brisées ou transportées à Constantinople.

La répression fait sept mille à dix mille morts, selon les sources, ce qui valut à Théodose d’être excommunié par l’évêque Ambroise de Milan. Les victimes des massacres furent majoritairement des Romains et les massacreurs d’anciens barbares, populations au sein desquelles l’armée recrutait.

En 388 Théodose vainquit Maxime à Aquilée qui fut tué.

Par cette victoire il devenait l’empereur de l’Orient et de l’Occident. La réunification de l’empire était faite.

Il est le dernier empereur à régner sur l'Empire romain unifié.

Constantinople était le siège  principal de la religion chrétienne depuis 364 et non l’Évêché de Rome. Les empereurs romains d’Orient et d’Occident étaient les « Pontifex Maximus » c’est-à-dire « Pontife Suprême » du christianisme depuis Alexandre le Grand qui  disait être Empereur « par la volonté de Dieu et de son Fils Jésus-Christ » -- Eusèbe de Césarée, Vie de Constantin

 

Chapitre N° 17

 

Le Credo

 

Gratien en 380 refuse de porter ce titre, mais Théodose garde cet honneur en étant le chef incontesté de tout le christianisme d’Empire. Il le prouvera dans les persécutions de 380-381 contre le paganisme.

Le christianisme nicéen devenait la religion prédominante. Ce christianisme « nicéen » vient de tout ce qui a été décrété autoritairement et arbitrairement au Concile de Nicée en 325  comme le « Canon Biblique », l’adoption du « Symbole de Nicée », de la consubstantialité du Père et du Fils, de l’ordre des sièges patriarcaux, Alexandrie, Jérusalem, Antioche, Rome, de la fixation de la date de Pâques, des condamnations, des dogmes…

Par ce terme de « consubstantialité » les Évêques présents à ce Concile condamnaient les théories d’Arius d’après lequel, le Fils étant une créature, celui-ci ne pouvait être de la même substance que le Père.

Anecdote : dans ce « Canon Biblique » de l’an 325 l’Apocalypse de Jean avait été rejeté comme étant un livre hérétique. Le livre apocalyptique de Jean ne sera incorporé au « Canon Biblique » qu’un siècle plus tard après des débats houleux et, où l’Empereur romain de l’époque, Théodose II, au Concile d’Éphèse en 431, arbitrairement, le joignit au « Canon » mettant ainsi un terme à toutes discussions et polémique au sujet de ce « Livre. »

Par ce qui suit vous allez comprendre la finesse de propagande de ces Évêques en jouant sur la traduction d’un mot ajouté au dogme.

Pour confirmer son dogme, ce Concile fit le choix du mot grec « homoousios », que traduit le mot français « consubstantiel », censé évoquer l’unité et l’identité de substance, s’opposant ainsi aux ariens, qui soutenaient que Jésus-Christ était différent, « anomoios », et à ceux qui soutenaient qu’il était de substance semblable, « homoiousios », mais non identique, bien que le mot n’apparait pas dans la Septante – Ancien Testament – Ce terme fut appliqué par la suite dans l’édification du dogme trinitaire au Saint-Esprit.

La controverse survenue au cours de ce Concile est devenue célèbre, et est restée dans l'expression « ne pas varier d'un iota », c’est-à-dire de la lettre « i »[]. Les Nicéens soutenaient la thèse que le Fils était « de même substance » -- homoousios -- que le Père, tandis que les ariens soutenaient celle que le Fils était « de substance semblable » -- homoiousios -- au Père. Les deux termes ne se distinguaient en effet que par un iota.

Un peu de raisonnement et de logique.

Le Père EL-SHADDAÏ est androgyne, c’est-à-dire qu’il a le mélange des deux sexes dans sa constitution, mais n’est pas hermaphrodite, personne qui possède les deux sexes, et a engendré un Fils qu’il conçu par sa propre volonté, ce dernier étant sorti de ses entrailles.

Comme tout être formé dans un corps, cet être naîtra avec un ADN de cinquante, cinquante.

Pour le corps céleste de Jésus le Nazaréen, il avait pour moitié l’ADN de la partie mâle de son Père, pour moitié l’ADN de la partie féminine de son Père, le tout faisant une substance mâle d’une merveilleuse harmonie à la ressemblance de son Père géniteur, sans être androgyne.

Comme nous humains, nous sommes de la même substance que nos parents, la preuve est que si nous sommes noirs, notre progéniture sera noire, si nous sommes basanés notre descendance sera de même.

Par contre notre apparence sera un mélange des deux parents nous donnant un autre aspect.

Il est au Ciel comme il est sur la Terre !

Donc pour Jésus le Nazaréen, il était aux Cieux différent de son Père avec une autre silhouette, physionomie, caractère, ce qui faisait deux êtres de même substance à l’aspect distinct, comme nous humains, puisque nous sommes à leur ressemblance.

Après ces explications logiques, nous pouvons prendre la traduction « homoiousios ».

Par contre, Jésus le Nazaréen terrestre est tout autre puisqu’il a un ADN pour moitié de son Père Céleste et l’autre moitié l’ADN de Marie, sa Mère terrestre. L’explication ci-dessus est aussi valable pour Jésus le Nazôréen terrestre. En effet, il est complètement humain, ce qui est sa substance apparente, faite comme tous les autres humains, de chair et d’os.

Obligatoirement son aspect sur la Terre est pour une partie la génétique de son Père et pour l’autre la génétique de sa Mère, Marie.

 J’aurai apprécié de connaître son ADN car la moitié est Céleste, l’autre moitié est terrestre, ceci est obligatoire et  le corps de Jésus le Nazaréen ne peut déroger de cette loi de physique immuable, créé par son Père géniteur.

Aucun scientifique ne pourra me démentir sur ces Lois invariables de physique et chimie.

Pour conclure, nous pouvons certifier que Jésus le Nazaréen charnel était différent en tout de son Père géniteur, quant au Jésus le Nazôréen Céleste il est de même substance, tout en étant un mélange de substances de substance, même matière que son Père géniteur, tout en étant un être très différent en stature, caractère, esprit de raisonnement car il est sorti du néant par la volonté de son Père, ce qui fait qu’il a eu un commencement et qu’il peut avoir une fin si son Père en prenait la décision.

Cela en fait deux Êtres distinct !

Je vous ferais constater que ce sont nos parents qui nous sortent du néant, car sans eux nous n’existerions pas, rien c’est le néant.

Après cet éclaircissement, je reprends « les armoiries papales »

Dans l'Empire romain depuis Théodose, le titre de Cardinalis, soit Cardinal, était donné à des officiers de la couronne, à des généraux d'armée, au préfet du prétoire en Asie et en Afrique, parce qu’ils remplissaient les principales charges de l'empire.

Ce titre fut donné, par Théodose Ier, à des évêques qui remplissaient les charges de l’Église dans l’Empire. Ce sont eux qui avaient la charge d’élire l’Évêque de Rome.

Je reviendrai sur ce thème des Prélats de robe pourpre.

Depuis l’an 364 l’Église des chrétiens est gouvernée par les Empereurs romains Orientaux qui se succèdent. Constantinople est surnommée « la Nouvelle Rome »

Je tiens à faire remarquer aux chrétiens qu’au IIIème, IVème, Vème siècle ce sont les Empereurs Romain qui gouvernent l’Église, ce sont eux les « Pape » puisqu’ils portent le titre de « Pontifex Maximus ». Ceci nous prouve bien qu’à Rome il n’y avait que des « Évêques »

Ceci est historique ! Pour preuves !

Qui a décrété et demandé les Conciles œcuméniques ?

Le Concile de Nicée en 325 est organisé par Alexandre le Grand.

En 381 il est décrété par Théodose Ier

En 431 c’est Théodose II qui organise le Concile d’Éphèse.

Les chrétiens de l’empire romain sont divisés par deux courant de pensé. L’un est l’obéissance et la reconnaissance des dogmes du Concile de Nicée. Ce sont les « nicéens ». L’autre est le courant de pensés du prêtre Arius. La divergence des deux courants est écrit ci-dessus, auquel il faut ajouter pour les nicéens, le Fils est engendré, pour les ariens, le Fils est créé. Cette guéguerre au sein du christianisme durera jusqu’en 519.

Pour résumer de 379 à 388 nous avons deux Empereurs qui gouvernent l’Empire romain, donc l’Église chrétienne. La primauté de gestion pour la chrétienté sera l’Empereur d’Orient qui installera son siège à Constantinople et il laissera à l’Evêque de Rome une grande liberté sacerdotale. L’Empereur d’Occident, qui pour la chrétienté portera le titre de «  César ou Auguste ou les deux ensembles avec toujours le nom de Pontifex Maximus », laissera la gouvernance à Constantinople.

L’Évêque de Rome, Damase Ier, profitera de la faiblesse de Gratien pour établir une primauté du siège de Rome, prétextant le martyre de Pierre et de Paul dans cette ville. Il fera admettre à Théodose Ier que ce n’est pas la capitale dominante de l’empire, Constantinople, qui peut être la capitale de la chrétienté, mais bien Rome entant que siège apostolique.

Suite à la persécution des païens en 380-381 après l’Édit de Thessalonique qui avait fait des milliers de mort, en majorité romain, pour rallier ceux-ci à sa cause, il fit broder deux clefs comme armoirie sur les emblèmes de l’évêché de Rome, disant qu’il est le détenteur des clefs du ciel, tout comme l’était Janus et Portunus, et que ce pouvoir il le détenait du Dieu Suprême et de l’Apôtre Pierre qui le détenait de Jésus-Christ.

Les versets 18-19 du chapitre XVI de Matthieu furent très certainement ajouté au Concile de Constantinople en 381

Pour mémoire :

« Eh bien ! Moi je te dis : Tu es Pierre, et sur cette pierre je bâtirai mon Église, et les Portes de l'Hadès ne tiendront pas contre elle.

Je te donnerai les clefs du Royaume des Cieux : quoi que tu lies sur la terre, ce sera tenu dans les cieux pour lier, et quoi que tu délies sur la terre, ce sera tenu dans les cieux pour délier. » »

Damase chargea Jérôme ( saint ) de faire une nouvelle traduction scientifique de la Bible en latin. Cette nouvelle traduction portera  le nom de « Vulgate » et fera autorité dans l’Église Occidentale jusqu’à Vatican II – 1965 – avec un statut de référence quasi officiel pour tout ce qui concerne le texte biblique.

Il fera changer la langue de la liturgie qui était célébrée en grec, en latin.

Par toutes ces transformations il n’est pas difficile de faire des ajouts et des retranchements aux textes bibliques. Un exemple flagrant sur Jésus où il est accolé le terme Christ car « Christ » ne signifie plus « Messie » mais « Crux » ou « Croix » ce qui fait l’emblème de la chrétienté Jésus plus la « Croix » égal Jésus-Christ.

Il y a aussi cet ajout dans l’évangile de Luc : « Faites ceci en mémoire de moi »

Ou bien toujours dans Luc IX : 23 : « Si quelqu'un veut venir à ma suite, qu'il se renie lui-même, qu'il se charge de sa croix chaque jour, et qu'il me suive ».

Voilà le style de verset remanié

Jésus-Christ dit à ceux qui veulent le suivre « qu’il se charge de sa croix chaque jour ». Il est impossible que Jésus le Nazaréen ait dit de telles paroles car il ignore comment il va mourir. Là vous êtes poussés vers l’adoration de la croix. Le terme exact est fardeau, « qu’il se charge de son fardeau chaque jour »

Depuis Constantin, mais surtout après la découverte en 326 par Hélène de la « Vraie Croix », la croix devient l’emblème de toute la chrétienté et doit être portée sur tous les vêtements sacerdotaux.

Les Évêques, Cardinaux, Prêtres, Diacres, et Primat enfin tous ces gens d’église sont des gens de « Robe », qui se vêtissent comme les prêtres babyloniens qui officiaient dans les Temples. Au milieu du IVème siècle, l’Église dévoilait ses richesses par l’habillement de ses Prélats, particulièrement l’Évêque de Rome qui montrait la suprématie de son Église sur toutes les autres.

Le Concile de Constantinople en 381 confirme les dogmes de Nicée, mais ajoute en plus la notion du Saint-Esprit comme troisième divinité de même substance, égale au Père et au Fils recevant la même adoration et la même gloire.

La Sainte Trinité est née !... !

Suite à ce « Saint-Esprit » le « credo » de Nicée fut sensiblement changer.

Credo de Nicée en 325 :

Nous croyons en un seul Dieu Père tout-puissant, créateur du ciel et de la terre, de toutes les choses visibles et invisibles.
Nous croyons en un seul Seigneur, Jésus-Christ, le Fils unique de Dieu, né du Père avant tous les siècles, Lumière issue de la Lumière, vrai Dieu issu du vrai Dieu, engendré et non créé, consubstantiel au Père et par qui tout a été fait ; qui pour nous les hommes et pour notre salut, est descendu des cieux et s'est incarné du Saint-Esprit et de la vierge Marie et s'est fait homme. Il a été crucifié pour nous sous Ponce-Pilate, il a souffert et il a été mis au tombeau ; il est ressuscité des morts le troisième jour, conformément aux Écritures; il est monté au Ciel où il siège à la droite du Père. De là, il reviendra dans la gloire pour juger les vivants et les morts, et son règne n'aura pas de fin.

Ajout au Concile de Constantinople en 381 :

 Nous croyons en l'Esprit-Saint, qui est Seigneur et qui donne la vie, qui procède du Père, qui a parlé par les Prophètes, qui avec le Père et le Fils est adoré et glorifié ; nous croyons en Église, une, sainte, catholique universel et apostolique. Nous confessons un seul baptême pour la rémission des péchés ; nous attendons la résurrection des morts et la vie du monde à venir.

Comme vous pouvez le constater tout n’est que de l’invention humaine, rien de biblique, et de plus, contradictoire, car ce « Credo » commence par « nous croyons en un seul Dieu » et plus loin en parlant de Jésus le Nazôréen, Jésus-Christ pour vous, il est écrit « vrai Dieu issu du vrai Dieu ».

Après ces écrits officieux de la chrétienté vous constatez qu’il y a deux Dieux, donc l’unique Dieu EL-SHADDAÏ n’existe plus !

Là l’inspiration divine n’existe pas, car ce « Credo » contredit un commandement d’EL-SHADDAÏ. En effet EL-SHADDAÏ est un Dieu seul et unique donc Jésus-Christ ne peut être un Dieu.

Exode XX : 3-5

« Tu n'auras pas d'autres dieux devant moi.

Tu ne te prosterneras pas devant ces dieux et tu ne les serviras pas, car moi –EL-SHADDAÏ-- Yahvé, ton Dieu, je suis un Dieu jaloux … »

Ces versets prouvent bien que le dieu « Dieu » des chrétiens est un Dieu seul et unique !

La chrétienté et ses Hautes Sphères Dirigeantes non pas rejetées l’Ancien Testament, mais l’ont bien incorporé comme livre sacré, livre de référence, alors ? … ?

Cette religion est bien sous une influence démoniaque, influence de Sammaël, qui se nomme aussi Béliar, Prince de ce monde, car en plus, ce « Credo » est un pilier de toute la chrétienté, je dirai même mieux ce « Credo » fait partie de la pierre angulaire de cette chrétienté.

Je viens d’écrire uniquement sur le « Credo » de Nicée, mais il y a celui de Constantinople qui continue dans cette voie d’aberration car il ajoute ce troisième Dieu « Esprit-Saint », cette nouvelle « chose » étant considérée comme une personne humaine puisqu’il est déclaré « Seigneur », comme le Dieu Père et le « Dieu » Fils, et en plus « il donne la vie » et il doit être glorifié et adoré comme le Père et Fils.

L’aberration est à l’extrême quand on sait que le Père, le Fils en tant que substance vivante possède un « esprit » de raisonnement, de réflexion, de pensé, ce qui signifierait que ce « Saint-Esprit » possèderait aussi un « esprit », lui en tant quEsprit, ce qui ait une chose impossible sachant que « l’esprit » est quelque chose d’immatériel, éphémère, volatil.

En effet « l’Esprit » est la manière de penser, de réfléchir, de raisonner sur un thème, par exemple sur le Créateur, c’est une « Intelligence », et une fois tout ce déroulement accompli il ne reste qu’une partie inscrit dans la mémoire afin qu’il y ait souvenance.

Qui peut toucher, palper l’esprit ?

Personne car « l’esprit » est comme le vent !

Cela vous prouve, nous prouve que ce « Saint-Esprit » ou « Esprit-Saint » est une menterie absolue et qu’il ne peut exister !

Comme écrit avant ce sont les cardinaux qui élisent l’Evêque de Rome, et l’élection de Damase Ier s’est faite dans le sang puisqu’il y eut plus de cent trente morts. A sa mort en 384 les cardinaux élièrent Sirice Évêque de Rome en remplacement de Damase Ier.

Celui-ci affirmera la primauté de Rome sur les questions doctrinales, sacerdotales et apostoliques. Une lettre envoyée à l’Évêque de Tarragone, Himérius, par Sirice qui donnait son opinion et qui reprenait les dispositions des Conciles de Nicée en 325 et celui de Sardique en 343, fut appelés décrétale en devenant une loi pour l’ensemble de l’Église.

C’était la première fois qu’une opinion devenait loi d’où le nom de cette missive « décrétale ».

Vous venez de finir la lecture de ces faits religieux et historiques. Je le fais pour vous mes semblables afin que par vous-mêmes vous trouvâtes ce magnifique « Sentier » qui amène EL-SHADDAÏ dans votre esprit et votre cœur.

Portez-vous bien en prenant soins de votre maisonnée !

Salutations cordiales à « Tous » !

Sig : JP.G. dit « GRANDELOUPO »