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Titre du blog : Critique réfléchie des Religions par GRANDELOUPO
Auteur : grande-loupo
Date de création : 30-04-2009
 
posté le 08-03-2015 à 10:40:04

Pâque 03 Avril 2015, Chap. N° 3 - Reine des Cieux, Astarté

PÂQUE, année 2015

 

Petit Texte d’introduction

 

EL-SHADDAÏ avait dit dans l’Exode XII à son Peuple que la Pâque était un décret perpétuel. A l’ère de Jésus le Nazôréen le « Peuple » d’EL-SHADDAÏ n’existait plus. La seule chose qui restait était cette marque au fer rouge, la circoncision, qui distinguait les hébreux des autres Nations comme adorateur d’un seul « Dieu ». En 722-721 av. l’EC grande déportations des Israéliens. Les dix tribus du pays d’Israël disparaissent, c’est la Diaspora ne reste que la Judée et la tribu de Benjamin comme Peuple d’EL-SHADDAÏ. Le « Peuple » d’El-Shaddaï c’est formé en Égypte puisque ce sont les descendants de la tribu de Jacob. Quand le peuple entra en Terre Promise sous le commandement de Josué, le peuple hébreu comprenait un peu plus de cinq-cents mille homme de « pieds », en plus il faut compter femmes, enfants, vieillards, adolescents, et jeune homme n’ayant pas l’âge pour combattre. Ces humains restèrent fidèles à leur Dieu pendant plus de quatre cents ans puis ils commencèrent à être idolâtres comme leurs voisins. Depuis cette époque malgré les miracles, protection, ce peuple resta ingrat envers son Dieu. «  Vous m’avez abandonné, alors moi aussi je vous oublie, dit EL-SHADDAÏ, et je vous laisse dans les mains des Nations avec votre perversion et vous récolterez ce que vous avez semé, car je suis sourd à vos doléances, aveugle à vos pleurs,  et je n’apprécie plus vos holocaustes »

 

Dernières phrases du Chapitre précédent

 

En Palestine et en Assyrie, c'était au mois de juin, aussi disait-on de ce mois:

« C'est le mois de Tammuz. »

En Égypte, vers le milieu de mai.

« Afin de gagner les païens à un christianisme nominal, Rome poursuivant sa tactique habituelle, s'arrangea pour fondre ensemble les fêtes païennes et les fêtes chré­tiennes, et par un ajustement compliqué mais habile de son calendrier, elle n'eut pas de peine en général à faire que le christianisme et le paganisme ne se donnassent la main sur cette question comme sur beaucoup d'autres. »

Celui qui servit à faire cet amalgame fut Denys-le-Petit vers l’an 525, ap. J-C.,  auquel nous devons aussi, comme l'ont démontré des chronologistes modernes, d'avoir reculé de quatre années au-delà de sa véritable date, la date de l'ère chré­tienne, ou de la naissance du Christ lui-même.

 Le fit-il par ignorance ou volontairement ?

 

Chapitre N° 3

 

Reine des Cieux, Astarté

 

« Ce changement dans le calendrier à propos de Pâques eut les plus désastreuses conséquences. (Vol. I, p. 51, Gieseler cite comme autorité, à propos de ses déclara­tions, HUMBERGER, De epochœ Christianœ ortu et auctore (in MARTINI, Thesaur. Dissertat; JANI, Historia Aerœ Dionysianœ, Viteb. 1715 et IDELER, Chronologie). C'est aussi la déclaration faite dans presque toutes les chronologies.)

 II fit entrer dans l'Église la plus grossière corruption et la superstition la plus vile au sujet de l'abstinence du carê­me.

C'était un mauvais signe que des chrétiens ne pussent jamais songer à introduire l'abstinence païenne du carême, cela prouvait la profondeur de leur dégrada­tion, et c'était aussi la cause d'un grand mal. »

Cela menait inévitablement à une dégradation encore plus profonde.

À l'origine, même à Rome, on ne connaissait pas le carê­me avec les orgies du carnaval qui le précédaient et même lorsqu'on crut qu'il était nécessaire de jeûner avant la Pâque chrétienne, ce fut insensiblement qu'on se conforma au rite païen.

On ne voit pas trop combien de temps durait le jeûne dans l'Église Romaine avant le concile de Nicée en 325 sous Constantin le Grand. Mais ce qu'on sait d'une manière cer­taine, c'est que bien longtemps après ce Concile, il ne durait pas plus de trois semaines. 

Je cite toujours des textes d’humain beaucoup plus érudit que moi, et qui ont une certaine notoriété pour leur honnêteté.

Gieseler,( Johann Ludwig Karl, 1792-1854 historien de l’Église Chrétienne, Protestant Allemand, il publia ses premiers travaux (Historisch-kritischer Versuch über die Entstehung u. meurent frühesten schriftlichen der Schicksale Evangelien -- Historique et essai critique sur l'origine et le devenir des premiers évangiles écrits ), parlant de l'Église d'Orient au IIème siècle, à propos des coutumes pascales, dit:

« Dans cette fête de Pâques, en souvenir de la mort de Christ, les chré­tiens d'Orient mangent du pain sans levain, probablement comme les Juifs, pen­dant huit jours. Il n'y a point de trace d'une fête annuelle en souvenir d'une résur­rection, célébrée tous les dimanches. (cf. Église catholique, sect. 53, p. 178, note 35).

 Quant à l'Église d'occident à une période plus rapprochée, époque de Constantin le Grand, on se livrait pendant 15 jours à des exercices religieux sur la fête de Pâques, bien que la période du jeûne ne soit pas bien indiquée.(cf. Origines Ecclés. vol. IX, p. 94)

Les solennités de Pâques ont lieu les semaines avant et après le dimanche de Pâques, la semaine de la Passion et celle de la Résurrection. Les anciens parlent de Pâques, de la Passion et de la Résurrection comme d'une solennité de 15 jours. La loi de l'empire ordonnait 15 jours de fête, et les commandait à toute l'Église. »

Scaliger (1540-1609) cite une loi de Constantin le Grand, ordonnant deux semaines de fête pour Pâques, et la suspension de toutes les affaires légales.  (Bingham, IX, p. 95).

Voici ce que dit Socrate écrivant sur ce sujet, vers 440-450 après J.-C. :

 « Ceux qui habitent la grande cité de Rome jeûnent avant Pâques pendant trois semaines excepté le samedi et le jour du Seigneur. » (Hist. ecclés, liv. V, ch. 22, p. 234.)

Les Deux Babylone :

Avant toute écriture, il faut connaître l’importance de la déesse « Astarté » dans tout le Bassin Méditerranéen et l’Asie Mineure.

Astarté est une déesse d'origine phénicienne présentant un caractère belliqueux. Dans la mythologie égyptienne sous les Ramessides dynastie des « Ramsés », elle est la fille de Rê et une compagne de Seth. À califourchon sur son cheval, elle accompagne et protège le Pharaon.

Astarté est « Athtart » chez les Ougarites, déesse le l’amour, de la guerre et de la fertilité, comme chez les Hourrites ou elle se nomme « Shaushka », mais elle a le nom de « Ashtart » en langue punico-phénicienne. Pour les Babyloniens c’est la déesse « Ishtar » épouse de Tammuz et « Inanna » épouse de Dumuzi pour les Sumériens.

Sa descendance est Aphrodite en Grèce, Turan en Étrurie, région de la Toscane en Italie, Vénus à Rome. A Carthage en Afrique du Nord elle est « Tanit » déesse de la fertilité.

Elle forme le couple suprême avec « BAAL » et est toujours associé à lui.

Les noms Baal et Tammuz représentent le même Dieu babylonien, puisque associés à la grande déesse Astarté. Même le livre sacré de la chrétienté, la BIBLE, fait référence à ces deux personnages. Je cite :

I Samuel XII : 10

« Ils crièrent vers EL-SHADDAÏ :

« Nous avons péché, dirent-ils, car nous avons abandonné EL-SHADDAÏ et servi les Baals et les Astartés. Maintenant, délivre-nous de la main de nos ennemis et nous te servirons ! »

VII : 3-4

« Alors Samuel parla ainsi à toute la maison d'Israël :

« Si c'est de tout votre cœur que vous revenez à EL-SHADDAÏ, écartez les dieux étrangers du milieu de vous, et les Astartés, fixez votre cœur en EL-SHADDAÏ et ne servez que lui : alors il vous délivrera de la main des Philistins. »

Les Israélites écartèrent donc les Baals et les Astartés et ne servirent qu’EL-SHADDAÏ »

Dans Jérémie Astarté -- Ishtar -- est nommé la « Reine des Cieux »

Jérémie VII : 18

« Les fils ramassent le bois, les pères allument le feu, les femmes pétrissent la pâte pour faire des gâteaux à la Reine du Ciel, puis on verse des libations à des dieux étrangers pour me blesser. »

Jérémie XLIV : 16-17

«En ce qui concerne la parole que tu nous as adressée au nom d’EL-SHADDAÏ, nous ne voulons pas t'écouter, nous continuerons à faire tout ce que nous avons promis offrir de l'encens à la Reine du Ciel et lui verser des libations, comme nous le faisions, nous et nos pères, nos rois et nos princes, dans les villes de Juda et les rues de Jérusalem : alors nous avions du pain à satiété, nous étions heureux et nous ne voyions point de malheur.»

Ézéchiel VIII : 14

« Il m'emmena à l'entrée du porche du Temple d’EL-SHADDAÏ qui regarde vers le nord, et voici que les femmes y étaient assises, pleurant Tammuz. »

Par ces écrits, nous pouvons certifier que la « Reine des Cieux », Astarté, portait bien son nom et qu’elle était vénérée par toutes les « Nations », même au VIème siècle de J-C.

Je reprends les écrits.

« A la fin, lorsque le culte d'Astarté gagna la prépondérance, -- la primauté, la supériorité -- on prit des mesures pour faire observer le jeûne Chaldéen de six semaines ou quarante jours dans tout l'empire romain d'Occident. La voie fut préparée par un Concile tenu à Aurélia à l'époque de Hormisdas évêque de Rome, vers l'année 519, qui décréta que le carême serait solennelle­ment observé avant Pâques. (Dr. Meredith Hanmers, Chronographie, jointe à sa traduction d'Eusèbe, p. 592. Londres, 1636.)

 Ce fut certainement avec l'intention de faire exécuter ce décret que le calendrier fut peu d'années après modifié par Denys-le-Petit. Mais il ne pouvait pas être observé d'un seul coup. »

Nous sommes au VIème siècle, et les enseignements de Jésus le Nazaréen sont dans les oubliettes. Ce qui compte le plus pour l’Église Chrétienne, c’est d’avoir un pouvoir politique qui lui donnerait richesses et autorité absolue. Pour ce faire  l’Église doit faire des concessions avec les coutumes et croyances païennes.

De plus, en rapport avec les écrits ci-dessus, il ne faut pas oublier que le christianisme est la religion de l’Empire Romain, par déduction une religion d’État, donc une religion politique.

Toujours les « Deux Babylone »

« Voilà l’histoire de « Pâques ». Les coutumes populaires qui caractérisent encore l'époque où on la célèbre confir­ment amplement le témoignage de l'histoire sur son caractère Babylonien. Les galettes chaudes marquées d'une croix le Vendredi Saint, et les œufs coloriés de Pâques, figuraient dans les rites chaldéens, exactement comme aujourd'hui. Les galettes connues aussi par leur même nom de « buns » étaient en usage dans le culte de la Reine des Cieux, la déesse Ishtar, aux jours même de Cécrops, fondateur d'Athènes, -- Il interdit les sacrifices humains pour les dieux, et remplaça ceux-ci par des gâteaux -- c'est-à-dire vers 1500 avant l'ère chrétienne. »

« Une espèce de pain sacré, dit Bryant, qu'on avait l'habitude d'offrir aux dieux, était d'une haute antiquité et s'appelait « Boun ». »

Diogène Laerce,-- IIIème siècle de J-C.--- parlant de cette offrande faite par Empédocle, -- 490-435 av. J-C. -- décrit les différents éléments dont elle était composée, et ajoute:

« II offrit un des gâteaux sacrés appelés boun, qui étaient faits de fleur de farine et de miel. »

Le pro­phète Jérémie fait remarquer ce genre d'offrandes quand il dit :

 « Les enfants apportaient du bois, les pères allumaient le feu, et les femmes pétrissaient la pâte pour offrir des gâteaux à la reine des cieux. »

« Aujourd'hui à la fête d'Astarté, on n'offre pas des gâteaux chauds en forme de croix, on les mange, mais cela ne laisse aucun doute sur leur origine. L'origine des œufs de Pâques est tout à fait aussi claire. Les anciens Druides portaient un œuf comme emblème sacré de leur ordre. (cf. Mythologie, vol. I, p.373 - Laertius p.227 - Davies, les Druides p.208)

Dans les Dionysiaques, ou mystères de Bacchus, tels qu'on les célébrait à Athènes, la consécration d'un œuf formait une partie de la cérémonie nocturne.

Autrefois les œufs étaient en usage dans les rites religieux des Égyptiens et des Grecs, et on les suspendait dans les temples pour des cérémonies mystiques. »

Autre, je cite :

 « L’origine des œufs de Pâques est basée sur la tradition des races indo-européennes… pour elles, les œufs étaient un symbole du printempsDepuis les temps de la chrétienté, ils se virent attribuer une interprétation religieuse, devenant le symbole de la pierre du sépulcre duquel sortit le Christ pour Sa nouvelle vie après Sa résurrection » (Francis X. Weiser, Handbook of Christian Feasts and Customs, p. 233).

Les deux Babylone

On peut distinctement suivre la trace de l'usage de ces œufs depuis l'Égypte jusqu'aux bords de l'Euphrate.

Les poètes classiques sont remplis de la fable de l'œuf mys­tique des Babyloniens et voici l'histoire qu'en fait l'égyp­tien Hyginus, le savant secrétaire de la Bibliothèque Palatine à Rome, à l'époque d'Auguste, homme habile dans toute la sagesse de sa patrie :

« On dit qu'un œuf de dimensions extraordinaires tomba du ciel dans l'Euphrate. Les poissons le poussèrent au rivage, là les colombes vinrent se fixer dessus, le couvèrent, et Vénus en sortit bientôt. Elle fut appelée la déesse Syrienne, c'est-à-dire Astarté. »

De là vint l'emploi de l'œuf comme symbole d'Astarté, c'est pour cela que dans l'île de Chypre, l'un des sièges favoris du culte de Vénus ou d'Astarté, l'œuf était représenté comme étant d'une grosseur extraordinaire.

L'Église Romaine adopta cet œuf mystique d'Astarté et le consacra comme un symbole de la résurrection du Christ. Une formule de prière fut même désignée pour être faite à ce sujet par le pape Paul V,--Camille Borghèse ( 1550--1621 ) élu pape le 16 mai 1605 sous le nom de Paul V -- qui faisait ainsi prier à Pâques ses superstitieux partisans :

 « Bénis, ô Dieu, nous t'en supplions, cette création qui est la tienne ces œufs qui sont l'œuvre de tes mains afin qu'ils deviennent une nourriture fortifiante pour tes servi­teurs, qui les mangent en souvenir de notre Seigneur Jésus-Christ. »

N’oubliez surtout pas que le nom « Astarté » signifie « Pâques » dans la religion chrétienne.

 En effet, comme déjà écrit plus avant, Astarté était l’un des cultes païens les plus puissant et « l’Église Chrétienne  » dû faire des concessions pour « aspirer » ce culte dans son girond. Donc, cette Église garda les rites païens de ce culte, avança légèrement les dates pour faire coïncider les fêtes d’Astarté et de Tammuz avec la mort et la résurrection de Jésus-Christ, en changeant le nom « Astarté » en « Pâques. »  

Ceci est un exemple typique, parmi tant d’autres, de la façon dont les coutumes et symboles païens sont  « christianisés », attribuer un nom à consonance chrétienne sur une tradition païenne. Cela est fait autant pour tromper que pour permettre aux gens de se sentir « à l’aise » après avoir adopté des coutumes qui ne se retrouvent pas dans la Bible.

Voici quelques exemples :

La fête de Saint-Georges en avril a remplacé l’ancien festival païen de Parilia.

La fête de Saint Jean-Baptiste en juin a pris la place de la fête païenne de l’eau de la mi- été.

 La fête de l’Assomption de la Vierge en août a déplacé la fête de Diane.

La fête des morts, qui suit l’Halloween et la Toussaint, en novembre est la continuation, comme son nom l’indique, d’un ancien festival païen en l’honneur des morts.

La nativité du Christ elle-même a été placée au solstice d’hiver en décembre parce qu’il était désigné comme moment de la naissance du dieu soleil Mithra, dieu Romain, Sol Invinctus, période de fête de « Natalis Invicti »

  Nous  pouvons  présumer, sans être accusé d’être téméraire ou irrationnel, que l’autre fête principale de « l’Église chrétienne » — la célébration de Pâques — ait pu être, de la même façon et pour les mêmes raisons, adaptée à partir d’une célébration similaire du dieu phrygien Attis parèdre d’Astarté -- Ishtar-- et de Tammuz lors de l’équinoxe du printemps…

«  C’est une coïncidence remarquable… que les fêtes chrétiennes et païennes de la naissance, de la mort et de la résurrection soient célébrées au même moment… Il est difficile de considérer la coïncidence comme purement accidentelle » (The Golden Bough, Vol. I, pp. 306-309).

Pour résumer ce qui est écrit ci-dessus. L’Église chrétienne romaine avait pour habitude d’absorber les fêtes païennes en leur collant un nom « chrétien », pour en faire des fêtes religieuses « chrétiennes. » Cela était fait avec l’intention de rendre le « Christianisme » plus acceptable et plus familier aux adorateurs païens que l’Église voulait attirer.

Comment les choses en sont-elles venues à cela ?

Ces écrits confirment l’hypocrisie de cette  religion, et m’encouragent à vous écrire pour dévoiler toute cette sournoiserie religieuse qui vous éloigne de la réelle vérité, en vous entraînant dans un « Enfer » spirituel.

Le carême provient du paganisme et non de la Bible !

Tout au long de l’année les fêtes dites chrétiennes ne sont ni plus, ni moins que des fêtes païennes déguisées. L’esprit pur originel de cette religion fut quatre siècles plus tard, bâtit sur les fondations du mensonge, devenu pierre angulaire de cette religion.

« Sortez d’elle mon « Peuple » ! », dit EL-SHADDAÏ, « car c’est la mère de l’impureté, pire qu’une « Prostituée » déguisé en « Ange de Lumière » pour la perdition d’un grand nombre ! »

Et moi Grandeloupo, je dis qu’elle se tient comme une « Mère Maquerelle », le sourire aux lèvres, fardée comme une princesse, avec un couteau planqué dans la ceinture.

Alors comme le dit EL-SHADDAÏ, sortez volontairement de cette mer de mensonges et de couardises, vous mes semblables, vous qui êtes libre de faire partie des « Enfants » d’EL-SHADDAÏ, car vous seul êtes responsable de vous !

Portez-vous bien et prenez soins de votre maisonnée !

Salutations cordiales !

Sig : JP.G. dit « Grandeloupo »