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Titre du blog : Critique réfléchie des Religions par GRANDELOUPO
Auteur : grande-loupo
Date de création : 30-04-2009
 
posté le 14-03-2015 à 01:53:57

Pâque 03 Avril 2015, chap.N°4 - Pâque et non ...,les Pâques

PÂQUE, année 2015

 

Petit Texte d’introduction

Dans trois semaines c’est la Pâque pour nous les « Enfants » d’EL-SHADDAÏ. Entre les deux soirs ce vendredi 03 Avril nous mangerons la Pâque tel que Jésus le Nazôréen nous à montré. Nous mangerons une viande rôtie, non bouillie, accompagnée d’un pain sans levain que nous aurons confectionné nous-mêmes, avec un verre de vin rouge et le responsable de la tablée refera les gestes de Jésus le Nazôréen en expliquant que ce que nous faisons c’est l’autel spirituel pour EL-SHADDAÏ, afin qu’il nous pardonne toute notre imperfection et que nous acceptons toutes ses Lois et Préceptes, ainsi que tous les Enseignements de son fils Bien-Aimé, notre Roi, en particulier ce onzième commandement.

« Tu aimeras ton prochain comme toi-même »

Et juste avant ce onzième commandement, il est écrit dans les commandements donnés à Moïse sur le Sinaï :

« Tu adoreras EL-SHADDAÏ ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme, et tu … »

Contrairement à la chrétienté, nous ne mangeons pas le corps de Jésus le Nazaréen, et ne buvons pas son sang, car nous ne sommes pas des cannibales, mais la viande, le pain comme le vin représente la vie, et le vin qui représente le sang transporteur de la vie puisqu’il nourrit le corps humain, mais il est aussi la génétique de l’humain, voilà pourquoi depuis que l’humain est sur la Terre pas un seul, j’écris bien, pas un seul est pareil, d’où sa reconnaissance individuel le jour de la résurrection et il n’y aura pas d’erreur, ça c’est la justice divine !

« Entre les deux Soirs », c’est-à-dire entre le coucher du soleil et la nuit noire soit pour la longitude  de la France entre 19h30-20h et 23h30-24h.

Je reviendrai sur la signification spirituel de ce repas, disons plutôt sur cette Pâque !

 

Dernières phrases du Chapitre précédent

 

  Nous  pouvons  présumer, sans être accusé d’être téméraire ou irrationnel, que l’autre fête principale de « l’Église chrétienne » — la célébration de Pâques — ait pu être, de la même façon et pour les mêmes raisons, adaptée à partir d’une célébration similaire du dieu phrygien Attis parèdre d’Astarté -- Ishtar-- et de Tammuz lors de l’équinoxe du printemps…

«  C’est une coïncidence remarquable… que les fêtes chrétiennes et païennes de la naissance, de la mort et de la résurrection soient célébrées au même moment… Il est difficile de considérer la coïncidence comme purement accidentelle » (The Golden Bough, Vol. I, pp. 306-309).

Pour résumer ce qui est écrit ci-dessus. L’Église chrétienne romaine avait pour habitude d’absorber les fêtes païennes en leur collant un nom « chrétien », pour en faire des fêtes religieuses « chrétiennes. » Cela était fait avec l’intention de rendre le « Christianisme » plus acceptable et plus familier aux adorateurs païens que l’Église voulait attirer.

Comment les choses en sont-elles venues à cela ?

Ces écrits confirment l’hypocrisie de cette  religion, et m’encouragent à vous écrire pour dévoiler toute cette sournoiserie religieuse qui vous éloigne de la réelle vérité, en vous entraînant dans un « Enfer » spirituel.

Comme je viens de vous écrire sur le « Carême », le prochain texte sera sur la « Cène » et la résurrection

Le carême provient du paganisme et non de la Bible !

 

 

Chapitre N° 4

 

La Pâque et non …. les Pâques

 

La Cène

La « Cène », souper que Jésus le Nazaréen fit avec ses Apôtres le premier jour des « Pains sans levain », fête juive de « La Pâque » de sept jours pour ceux qui vivent dans le pays d’Israël et huit jours pour les juifs de la Diaspora.

En effet la journée du calendrier juif commence le soir au coucher du soleil et non comme dans les autres nations, au lever du soleil.

Comme il fut écrit dans les chapitres précédents, Jésus le Nazaréen, ainsi que ses Apôtres et Disciples ne faisaient aucun jeûne avant le commencement de cette fête de la Pâque. La Bible livre sacré des chrétiens l’explique bien.

Ce livre est théoriquement d’inspiration Divine, alors je voudrais que l’on m’explique ces écritures ?

Je pose les textes et je suis sûr que comme moi vous allez être étonné.

Matthieu XXVI : 1-2, 6-7

Et il advint, quand Jésus eut achevé tous ces discours, qu'il dit à ses disciples :

« La Pâque, vous le savez, tombe dans deux jours, et le Fils de l'homme va être livré pour être crucifié. »

Comme Jésus se trouvait à Béthanie, chez Simon le lépreux, une femme s'approcha de lui, avec un flacon d'albâtre contenant un parfum très précieux, et elle le versa sur sa tête, tandis qu'il était à table.

Jean XII 1-3

Six jours avant la Pâque, Jésus vint à Béthanie, où était Lazare, que Jésus avait ressuscité d'entre les morts.

On lui fit là un repas. Marthe servait. Lazare était l'un des convives.

Alors Marie, prenant une livre d'un parfum de nard pur, de grand prix, oignit les pieds de Jésus et les essuya avec ses cheveux ; et la maison s'emplit de la senteur du parfum.

Jean XI : 1-2

Il y avait un malade, Lazare, de Béthanie, le village de Marie et de sa sœur Marthe.

Marie était celle qui oignit le Seigneur de parfum et lui essuya les pieds avec ses cheveux ; c'était son frère Lazare qui était malade.

Que de désaccord dans ces textes Bibliques pour les mêmes actions !

Deux jours ou six jours avant la Pâque ce repas ?

Le repas chez Simon le Lépreux ou chez Lazare ?

Le parfum est versé sur la tête de Jésus ou sur ses pieds pour les laver ?

Que dire du parfum ?

Quel manque de concordance pour des écrits soi-disant inspirés !

Il faut savoir que les Évangiles tel que nous les connaissons aujourd’hui, sont des livres qui ont été à la merci des copistes religieux le plus souvent, et que ceux-ci ont volontairement fait des suppressions, rajouts, changements de tournure de phrases selon leurs pensées et leurs convictions. Un exemple flagrant et reconnu de tous les traducteurs et exégètes modernes. L’Évangile de Marc s’arrête au chapitre XVI et au verset 8 dans la plus ancienne version connue qui était déjà une copie. Les versets suivant sont des ajouts et non jamais été écrit par Marc puisque leur écriture commencerait vers 150 à 200 ans après J-C.

Je reviendrais sur tout ceci une autre fois.

Revenons à la « Cène », ce fameux dîner de Jésus le Nazaréen.

Histoire :

Ce repas à été institué par EL-SHADDAÏ --- pour vous chrétien Dieu, « Dieu » , et pour d’autres Yahvé, Éternel, Adonaï, Élohim --- pour que son peuple, à l’époque le Peuple du pays d’ISRAËL, commémore la délivrance de l’esclavage égyptien. [ lire l’histoire de cette libération dans les livres de la Pentateuque, la Thora  ou dans l’Ancien Testament. (Exode chap. V-XV)]

Jésus le Nazaréen, Jésus-Christ pour vous, est un hébreu de naissance dont la langue maternelle était l’araméen.

Dans les chapitres précédents, je vous ai écrit l’origine de la Pâque, mais je vais quand même faire un petit rappel, histoire de rafraîchir la mémoire.

A l’époque, bien avant les grands-parents et parents d’Abraham, au printemps on sacrifiait un agneau ou un petit bétail et avec son sang on badigeonnait l’entrée de la tente ou de la maison pour préserver la maisonnée toute l’année en éloignant les « Dieux du Mal. »

Ceux qui étaient sédentaires, c’est-à-dire cultivateurs façonnaient des galettes ou pain sans levain nommé azyme pour la fête de la moisson, et les mêmes raisons que les nomades.

La Pâque juive -- Pessah en hébreu, le sacrifice de printemps -- a pour origine une fête des bergers nomades et une fête agricole, la fête des Azymes, les Pains sans levain.

Par la suite cette fête, La Pâque, commémorera la libération du peuple juif de l’esclavage qu’il subissait en Égypte. Le mot Pessah signifie « passage ». Il désigne le passage d’EL-SHADDAÏ  qui frappa les maisons des égyptiens et épargna les israélites. Ce mot  commémore aussi le passage de la mer rouge, nommé aussi la Mer des Roseaux.

Encyclopédie juive :

« La Pâque juive, également appelée Zman Heroutenou, -- Le Temps de notre liberté --, Hag HaMatzot -- la fête des azymes --, ou Hag HaAviv -- la fête du printemps ou fête du blé chez les Karaïtes --, est une fête juive de 7 jours -- 8 jours en dehors de la terre d’Israël. -- Elle commémore l’Exode des Hébreux hors d’Égypte. Ainsi que le décrit le Livre de l’Exode, Pessa’h marque la « naissance » des enfants d’Israël, dont est issu le peuple Juif, les ancêtres des Juifs ayant été libérés du joug pharaonique et désormais libres de suivre les voies et prescriptions d’EL-SHADDAÏ. »

Dans le chapitre N°2, au petit texte d’introduction je vous ai posé le chapitre douze de l’Exode et les versets de 1 à 17, donc je vais vous poser le verset manquant et je vous invite à suivre l’abrégé ci-dessous pour la lecture de ce passage biblique.

Exode XII : 1-11

Voyons ce que dit « EL-SHADDAÏ », le Dieu d’Abraham et de ses descendants !

« Yahvé dit à Moïse et à Aaron au pays d'Égypte :

« Ce mois sera pour vous en tête des autres mois, il sera pour vous le premier mois de l'année….//

C'est ainsi que vous la mangerez : vos reins ceints, vos sandales aux pieds et votre bâton en main. Vous la mangerez en toute hâte, c'est une pâque pour  EL-SHADDAÏ  »

Puis plus loin il est écrit : Exode XII : 14-18

« Ce jour-là, vous en ferez mémoire et vous le fêterez comme une fête pour EL-SHADDAÏ, dans vos générations vous la fêterez, c'est un décret perpétuel. …//

Vous observerez la fête des Azymes, car c'est en ce jour-là que j'ai fait sortir vos armées du pays d'Égypte. Vous observerez ce jour-là dans vos générations, c'est un décret perpétuel.

Le premier mois, le soir du quatorzième jour, vous mangerez des azymes jusqu'au soir du vingt et unième jour. »

Toujours à ce chapitre Exode XII : 24

« Vous observerez cette disposition comme un décret pour toi et tes fils, à perpétuité. »

J’ai souligné ce verset car je vous le rappellerai plus avant, vu son importance capitale.

Si pour un évènement indépendant de votre volonté, vous ne pouviez respecter la Pâque le mois de Nissan la Bible dit :

Nombre 9 : 10-12, 14

« Parle aux Israélites et dis-leur : Si quelqu'un, parmi vous ou vos descendants, se trouve impur, du fait d'un mort ou est en voyage au loin, il célébrera une Pâque pour EL-SHADDAÏ.

C'est au second mois, le quatorzième jour, au crépuscule, qu'ils la célébreront. Ils la mangeront avec des azymes et des herbes amères ; rien n'en devra rester au matin, ils n'en briseront aucun os. C'est selon tout le rituel de la Pâque qu'ils la célébreront.

Si quelque étranger réside parmi vous et célèbre une Pâque pour EL-SHADDAÏ, c'est selon le rituel et les coutumes de la Pâque qu'il la célébrera. »

Tous ces écrits nous prouvent l’importance qu’EL-SHADDAÏ avait pour la fête de Pâque.

Je vous ai écrit ces versets de la Bible sur la fête de la Pâque qui existait quelque quinze siècles avant  l’événement de la Pâque de Jésus le Nazaréen, l’année de la « Cène », car la juxtaposition des faits est évidente.

Tout juif devait, en principe, aller en pèlerinage à Jérusalem célébrer la fête de la Pâque, ce que faisait Jésus le Nazaréen depuis son plus jeune âge.

Selon le rituel probablement en vigueur au temps de Jésus, le repas pascal était préparé à la fin de l’après-midi du 14 nisan. On ne pouvait consommer du pain fermenté pendant les sept jours qui suivaient. Chaque famille devait immoler au temple un agneau ou un chevreau mâle d’un an, sans défaut, et pour les plus pauvres un pigeon. Son sang était soigneusement recueilli, puis avec une branche d’hysope, on en marquait les montants et le linteau de la porte du Temple pour le pardon des péchés. Ensuite l’agneau était rôti entier sans qu’on lui brisât aucun os. Puis la famille et les convives se réunissaient dans la « chambre haute », ornée de tapis pour la circonstance. ( Lc XXII :12, Mc XIV : 15 )

Comme souvent je vous le dis, toujours se poser par l’esprit dans le contexte de l’époque du récit ou de la lecture.

Les maisons juives de l’époque étaient aménagées à l’intérieur, avec une mésaline, en étage. Le bas de plain-pied, était la pièce qui servait d’étable pour le bétail, dont une partie était réservée pour la préparation des repas. Au-dessus de l’étable, tout le tour était installé l’endroit pour manger et dormir, mais vous aviez la vue sur tout le bas. Tout l’ensemble se nommait la « chambre-haute ». I Roi XVII : 19, Juges III : 20-25 --

Les repas était consommés en famille, dans le sens large de la famille qui formait des clans. En effet pour ce jour ce sont les fils qui venaient avec leurs enfants, mais il y avait aussi des voisins si ceux-ci n’avaient pas de famille. Tout ce petit monde mangeait ensemble. Ce sont les femmes qui faisaient le service tout en étant de la tablée.

Je vous ai écrit ceci pour que vous imaginiez le repas de la « Cène »

C’était un repas qui devait obligatoirement ce fêter en famille, car le chef de famille devait conter aux enfants et à tous les convives comment EL-SHADDAÏ avait libéré leurs ancêtres de l’esclavage égyptien par la traversée de la Mer de Roseaux ou la Mer Rouge et leur pérégrination jusqu’au pays de Canaan, pays de « lait et de miel ». ( Exode XII : 14, XIII : 10 )

Maintenant faites-vous une image de ce « dîner » de « la Pâque » sachant que Pierre était marié tout comme Philippe qui avait quatre filles. Je vous cite uniquement ces deux Apôtres, car là vous ne pouvez me contredire car écrit dans le Nouveau Testament. En réalité, tous avaient femmes et enfants sauf l’Apôtre Jean qui n’a jamais connu de femme.

Tout ce qui est écrit ci-dessus est authentique et reconnu par tous les exégètes, religieux ou public, même si certains de mes semblables de mauvaise foi vont nier l’évidence.

La « Cène » tel que l’Église Chrétienne nous la décrit n’est qu’un tissu de mensonges, car elle va en contradiction avec la « LOI perpétuelle » d’EL-SHADDAÏ sur la fête de Pâque.

Je vois difficilement, même impossible, son Fils Bien-Aimé, Jésus le Nazaréen, désobéir à son Père, particulièrement pour la Pâque.  --- Le Jésus-Christ des chrétiens peut-être, sauf si ce Jésus-Christ est aussi Jésus le Nazaréen, donc la même personne.---

En effet ce jour de la Pâque, entre les deux soirs, Jésus mangeait la Pâque en compagnie de ses Apôtres qui étaient accompagnés de leur femme avec les enfants, car s’ils ne faisaient pas cela ils étaient en discordance avec la Loi d’EL-SHADDAÏ.

La Pâque, principale solennité d’Israël commence au soir du 14 Nissan, ce jour est le quatorzième après le début du mois qui commence à la Nouvelle Lune de l’équinoxe de Printemps, début du premier mois de l'année selon la Bible. Je réitère le calendrier hébreu commence une journée du coucher du soleil au coucher de soleil suivant, ce qui fait qu’une journée peux faire de vingt trois à vingt six heures. Le premier jour des « Pains sans Levain » est un jour sanctifié, donc sabbatique et c’est aussi le jour de la Pâque qui est la fin du quatorzième jour au coucher du soleil et le début du quinzième jour au coucher de soleil, mais c’est aussi le début « d’entre les deux soirs » qui commence du coucher du soleil jusqu’à la nuit noire. Selon le rituel au temps de Jésus, le repas pascal, nommé « Seder », était consommé entre les « deux soirs. »

Je réitère, les prêtres à la Pâque badigeonnaient les linteaux du Temple avec le sang d’un jeune taureau pour « le péché et non pour les péchés » car le péché fait allusion à la première transgression d’une seule et unique Loi par les deux premiers humains qui perdirent leur perfection de leur propre volonté.

EL-SHADDAÏ fit une nouvelle « Alliance » avec un nouveau « Peuple » qui sera formé, cette fois-ci, de tous les humains de la Terre, car ce n’est pas Lui qui choisira un « Peuple », mais ce sont les humains qui le choisiront, qui formeront par leur nombre un « Peuple », un « Nouveau Peuple sur toute la surface de la Terre habité ». Son propre fils, deux fois engendré, la première fois aux Cieux, la deuxième fois comme un humain, en tant que tel, mourut par la torture romaine de la crucifixion, après avoir vécut quelques décennies parfaitement sur la Terre, et son Père géniteur le ressuscita de l’Hadès, le troisième jour, soit exactement soixante douze heures après son entré dans le Séjour des Morts, sont corps ne goûtant pas aux affres de la mort, redonnant espoir à la race humaine, de recouvrer la vie éternelle.

Jésus le Nazôréen, Fils engendré d’EL-SHADDAÏ, par sa mort sacrificielle comme le petit bétail dont il est la juxtaposition, son Père le ressuscitant, devenait le « Grand Guerrier » vainqueur sur la Mort de l’humain, donnant un sang parfait à ce dernier équivalant aux deux premiers humains qui avaient un sang sans tache, sans tare avant leur transgression. Les humains qui auront la chance de la résurrection, ressusciteront avec un sang parfait.

Vous constaterez par vous-mêmes que les actions sont exactement les mêmes que le rite païen, agneau, sang badigeonné à l’entrée, pain azyme qui est du pain sans levain, même la date est pareille, puisque cela doit avoir lieu à l’équinoxe du printemps.

EL-SHADDAÏ ne fait rien au hasard, alors si, Il a choisi cette date, c’est que c’est l’époque du renouveau de la nature, de sa « Création. »

A cette ère de Moïse, parmi toutes les Nations de la terre, le « Peuple » d'EL-SHADDAÏ était la population hébraïque, ce « Peuple » que Lui, EL-SHADDAÏ, avait choisi volontairement.

En choisissant cette date, comme le printemps, il donnait un renouveau à ce « Peuple » et en même temps Il prouvait aux Nations que c’était Lui le « Dieu Unique, le Dieu Jaloux »

 Exode 34 : 14

 « Tu ne te prosterneras pas devant un autre dieu, car EL-SHADDAÏ a pour nom Jaloux : c'est un Dieu jaloux. »

Sophonie I : 18

 « Ni leur argent, ni leur or ne pourront les sauver. Au jour de la colère d’El-SHADDAÏ, au feu de sa jalousie, toute la terre sera dévorée. Car il va détruire, oui, exterminer tous les habitants de la terre. »

Deutéronome IV : 23-24

 « Gardez-vous d'oublier l'alliance qu’EL-SHADDAÏ, votre Dieu, a conclue avec vous et de vous fabriquer une image sculptée de quoi que ce soit, malgré la défense d’EL-SHADDAÏ, ton Dieu ; car EL-SHADDAÏ, ton Dieu, est un feu dévorant, un Dieu jaloux. »

Pour être certain que ce jour de délivrance, ce jour de renouveau, son « Peuple » s’en souvienne, il exigea que chaque année, à la même époque, ce « Peuple » commémore cette liberté, cette délivrance par la fête de la Pâque, et ceci à perpétuité.

Exode XII : 24

« Vous observerez cette disposition comme un décret pour toi et tes fils, à perpétuité. »

Exode XIII : 10

« Tu observeras cette loi au temps prescrit, d'année en année. »

Pendant des centaines d’année EL-SHADDAÏ veilla sur ce « Peuple » ingrat et infidèle.

Pour faire comprendre à ce « Peuple » toutes ses mauvaises actions Il lui envoya des « Prophètes »  qu’il assassina. Il l’envoya en exil sous la domination des Nations, et à son retour ce « Peuple » respecta les Lois et Préceptes d’EL-SHADDAÏ pendant quelques petites années, puis il recommença à faire ce qui déplaisait à son Dieu.

Ce « Peuple » choisi par EL-SHADDAÏ était indécrottable, alors il le livra dans la main des Nations. Le dernier Prophète qu’Il donna à ce « Peuple » fut Malachie qui prophétisa après la reconstruction du Temple de Jérusalem ( - 400 av. J-C.)

Pensant sincèrement que cette lecture tout doucement vous fortifie intérieurement pour avoir comme ces premiers humains de la « Mouvance de Jésus le Nazaréen » une foi inébranlable en EL-SHADDAÏ notre Père et notre seul « Dieu » ainsi qu’en notre Roi, notre médiateur, assesseur, mais aussi enseignant, je nomme son Fils Jésus le Nazôréen.

Prenez soins de vous et de votre maisonnée !

Salutations cordiales à Tous !

Sig : JP.G. dit « GRANDELOUPO »