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Titre du blog : Critique réfléchie des Religions par GRANDELOUPO
Auteur : grande-loupo
Date de création : 30-04-2009
 
posté le 31-03-2015 à 17:46:03

Pâque, Vendredi 03 Avril 2015, chap. N° 7 - Le Jour où Jésus est mort

PÂQUE, année 2015

 

Petit Texte d’introduction

 

Aujourd’hui dernier jour du mois, dans trois jours le Vendredi 03 Avril, « Entre les Deux Soirs », nous allons fêter la « Pâque » comme notre Dieu seul et unique, celui qui porte un « Nom », un vrai, pas une vulgarité, que nous nommons avec cœur et fierté EL-SHADDAÏ, nous demande de commémorer une fois l’an. En effet grâce au sacrifice de son fils engendré, Jésus le Nazôréen, nous sommes libérés du carquois religieux, de ces Prêtes et Pasteurs fourbes, mensongers, travaillant pour Sammaël et les Siens, Roi de la Terre et de ses environs pour le moment, notre Prêtre pour toujours à la manière de Melchisédek,(Épitre aux Hébreux VII : 17) celui qui voilà plus de deux mille ans, pour nous délivrer de la transgression des deux premiers humains et pour sceller une « Nouvelle et dernière Alliance » dans le sang siège de la vie, il accepta la torture romaine de la crucifixion, afin que son Père le ressuscite pour que l’humain recouvre la vie éternelle.

Attention, vous mes semblables, nous ne sommes pas des cannibales, et dans trois jours nous n’allons pas manger le corps de Jésus, ni boire son sang comme des vampires. Nous mangerons la viande rôtie d’un petit bétail, qui représente l’immolation de Jésus sur la croix de torture qui se substitue à l’autel du sacrifice, et nous boirons le vin qui représente le sang du petit bétail, et là nous représentons les quatre coins de l’autel qui étaient badigeonnés du sang du sacrifice en expiation des péchés.

J’essaie d’être clair dans la signification de tout ce que Jésus le Nazôréen à fait pour nous les derniers quarante huit heures de sa vie, mais je reconnais que j’ai du mal à m’exprimer, veuillez me pardonner !

 

Dernières phrases du Chapitre précédent

 

Et pour compléter Matthieu XXVI : 67-68, « Alors ils lui crachèrent au visage et le giflèrent ; d'autres lui donnèrent des coups en disant : « Fais le prophète, Christ, dis-nous qui t'a frappé. » Ce sont les premiers outrages et premières invectives contre Jésus le Nazôréen, mais aussi la première prophétie à son sujet qui se réalise, EL-SHADDAÏ  parlant de son « Serviteur », et je vous invite, vous mes semblables à lire ce chapitre complet ainsi que le précédent,  cela touchera votre cœur j’en suis certain. Isaïe L : 6, « J'ai tendu le dos à ceux qui me frappaient, et les joues à ceux qui m'arrachaient la barbe; je n'ai pas soustrait ma face aux outrages et aux crachats. »

Jésus le Nazaréen est moqué comme « Prophète » à cause de ses paroles sur le Temple et sans doute plus précisément comme « Messie-Prophète », c’est-à-dire comme prétendu Grand Prêtre eschatologique qui veut établir un « Nouveau Temple ».

Le « Tribunal » était un bâtiment construit en partie sur l’esplanade du Temple et ouvrait ses portes au petit matin, soit au levé du jour et c’est là que Caïphe convoqua le Sanhédrin au complet, grands prêtres et scribes pour questionner une seconde fois Jésus le Nazôréen, car Caïphe voulait sa mort coûte que coûte. Cette seule séance solennelle du Sanhédrin fut une session formelle et définitive pour donner la mort à Jésus le Nazôréen. Tous le condamnèrent, et pour ne pas se salir les mains l’envoyèrent à Ponce Pilate, Procurateur de la Judée de l’an 26 à 36 de J-C.

 

 

Chapitre N°7

 

Le jour où Jésus est mort

 

Matthieu XXVII : 27 parle du « prétoire », qui était la résidence du Prêteur, mais là, il semble que ce soit l’ancien palais du Roi Hérode le Grand où s’installait régulièrement le Procurateur quand il montait de Césarée à Jérusalem. Ce palais était distinct de la résidence familiale des Asmonéens, qui était proche du Temple et où Hérode Antipas, fils d’Hérode le Grand, Tétrarque de Galilée  de l’an -4 av. J-C à 39 ap. J-C, reçu Jésus le Nazôréen envoyé par Ponce Pilate, Luc XXIII : 7-12, « Et s'étant assuré qu'il était de la juridiction d'Hérode, il le renvoya à Hérode qui se trouvait, lui aussi, à Jérusalem en ces jours-là. Hérode, en voyant Jésus, fut tout joyeux ; car depuis assez longtemps il désirait le voir, pour ce qu'il entendait dire de lui ; et il espérait lui voir faire quelque miracle. Il l'interrogea donc avec force paroles, mais il ne lui répondit rien. Cependant les grands prêtres et les scribes se tenaient là, l'accusant avec véhémence. Après l'avoir, ainsi que ses gardes, traité avec mépris et bafoué, Hérode le revêtit d'un habit splendide et le renvoya à Pilate. Et, ce même jour, Hérode et Pilate devinrent deux amis, d'ennemis qu'ils étaient auparavant. » Certains cherchent le « Prétoire » dans la forteresse d’Antonia, au nord du Temple, mais cette localisation ne s’accorde ni avec les habitudes des procurateurs, telles que nous les font connaître les anciens textes, ni avec l’usage du mot « Prétoire » qui ne peut se déplacer ainsi, ni avec les mouvements de Pilate et de la foule juive dans les récits évangéliques de la Passion surtout celui de Jean.

Jésus le Nazôréen est envoyé une première fois à Ponce Pilate qui, ne trouvant rien de répréhensible contre cet homme sur la loi romaine l’envoie à Hérode Antipas. Lire ci-dessus !

Hérode vêtit Jésus d’un vêtement splendide pour le ridiculiser, qui était un habit d’apparat que les princes portaient à cette époque quand il devait défiler devant le peuple, avant de se séparer de lui en le renvoyant à Pilate.

Les soldats romains de la garnison d’Hérode avant de renvoyer jésus le Nazôréen à Ponce Pilate, avec des branches flexibles d’un arbuste épineux comme il en poussait beaucoup à cette époque, façonnèrent une couronne et la posèrent avec brutalité sur la tête de Jésus en l’invectivant de toutes sortes de mots, Matthieu XXVII : 27-31 « Alors les soldats du gouverneur prirent avec eux Jésus dans le Prétoire et ameutèrent sur lui toute la cohorte L'ayant dévêtu, ils lui mirent une chlamyde écarlate puis, ayant tressé une couronne avec des épines, ils la placèrent sur sa tête, avec un roseau dans sa main droite. Et, s'agenouillant devant lui, ils se moquèrent de lui en disant : « Salut, roi des Juifs ! » et, crachant sur lui, ils prenaient le roseau et en frappaient sa tête. Puis, quand ils se furent moqués de lui, ils lui ôtèrent la chlamyde, lui remirent ses vêtements et l'emmenèrent pour le crucifier. » La chlamyde était ce grand manteau rouge que portait les romains pour se protéger des intempéries.

Les juifs s’étaient moqués de Jésus comme « Prophète », les romains le ridiculisent comme « Roi » ; ces deux scènes reflètent bien les deux aspects religieux et politique du procès de Jésus

Pour la seconde fois Jésus est présenté devant Ponce Pilate, mais cette fois ci il est avec une couronne d’épine sur la tête et comme vous le savez c’est un endroit qui saigne facilement et beaucoup. Pour la seconde fois Pilate ne trouva rien contre Jésus, mais la foule menée par les Grands Prêtres du Sanhédrin voulait la crucifixion de Jésus le Nazôréen au point de faire libérer un certain Barabbas, brigand de son état.

La foule était dans un état quasi insurrectionnel, alors Ponce Pilate infligea à Jésus la flagellation de cinquante coups de fouet et ils l’emmenèrent à la crucifixion.

Contrairement aux écrits bibliques Jésus le Nazôréen n’a pas fait exception, comme tout condamné après avoir été flagellé, il fut attaché au « patibulum », traverse de bois qui selon le bois pesait entre trente cinq et cinquante cinq kilogrammes et formait une croix avec le corps du condamné. Pour Jésus en plus du « patibulum » il fallait porter le « stripes crucis », qui est le bois ou le poteau vertical de la croix utilisée pour le supplice de la crucifixion par les romains, ce bois que l’on encochait sur place pour recevoir le patibulum ce qui faisait un Tau.

Pour Jésus le Nazaréen les romains responsables de la crucifixion durent encocher le stripes crucis pour laisser la place au « titulus » sur lequel était écrit en trois langues, latin, grec et hébreu « Jésus de Nazareth, Roi des Juifs »

Comme vous le savez depuis longtemps je fais mon possible pour écrire la vérité. Les évangiles synoptiques écrivent toutes sur un certain Simon de Cyrène qui aurait donné un coup de main à Jésus pour porter sa croix, chose impossible sachant que le « patibulum », c’est-à-dire la traverse faisait deux mètres cinquante pour le minimum à trois mètres en général voir plus car les romains mesurait l’envergure de l’humain de main à main et ajoutaient de chaque coté trente à quarante centimètres. Je vous laisse le soin d’imaginer cette croix et de voir l’impossibilité de la porter à deux. Marc XV : 21, « Et ils requièrent, pour porter sa croix, Simon de Cyrène, le père d'Alexandre et de Rufus, qui passait par là, revenant des champs. », Luc XXIII : 26, « Quand ils l'emmenèrent, ils mirent la main sur un certain Simon de Cyrène qui revenait des champs, et le chargèrent de la croix pour la porter derrière Jésus. » Quand à Jean cette scène est absente de ses écrits.

Alors, maintenant, écrivons la vérité !

Jésus le Nazaréen est attaché les bras en croix sur la « patibulum » qu’il porte et qui doit peser une cinquantaine de kilos. N’oublions pas que Jésus est aux abords du Temple et qu’il doit traverser toute la ville de Jérusalem pour aller au lieu de la crucifixion qui est le Golgotha qui signifie Lieu du Crâne. Simon de Cyrène lui est à quelques longueurs derrière Jésus le Nazaréen et porte le « stipes crucis ». Comme je le dis souvent, par notre esprit faisons nous un film de tous ces événements de l’aube au dernier souffle de cet humain. Après le couronnement, puis la flagellation, cinquante coups de fouet, les épaules et le dos devaient être lacérés et cela devait saigner. Le vêtement, plus le poids du « patibulum » sur les épaules devaient, par le frottement, occasionner d’énormes souffrances. Il fallait avoir une certaine force ainsi qu’une résistance à la douleur, sans compter que de la prison au lieu de crucifixion il y avait un minimum de deux à trois kilomètres dans les ruelles de la ville où pendant tout le parcours les humains en dehors des insultes et des crachats vous lançaient des pierres, vous frappaient avec des badines épineuses, donc arrivé au lieu de la crucifixion Jésus le Nazôréen avait perdu beaucoup de sang. Tout le long du parcours on sent la haine de l’humain contre lui. Jésus est en sang et on peut le suivre à la trace en suivant les gouttes de sang à terre.

Arrivé au Lieu du Crâne le « patibulum » est fixé au « stipes crucis », pour Jésus de Nazareth un peu en dessous pour laisser la place au « titulus » avec son inscription en trois langues. Jésus est fixé au patibulum qu’il vient de porter de la prison à ce Lieu par des clous aux poignets, puis avec un autre clou juste en dessous de la cheville prenant les deux pieds et le crucifié était élevé  entre cinquante centimètres et un mètre du sol, la hauteur de ses pieds, pour permettre au sacrificateur de casser les tibias pour que le crucifié meure avant la nuit.

Tout ce que je viens d’écrire c’est passé entre l’aube et la troisième heure. De cette heure jusqu’à la sixième heure se fut le temps de la crucifixion. Marc XV : 25, « C'était la troisième heure quand ils le crucifièrent. » A la sixième heure Jésus le Nazaréen ainsi que les deux larrons qui furent crucifiés avec lui, étaient élevés comme suppliciés. Cette action particulière est une prophétie d’Isaïe en LIII : 12, qui dit : « C'est pourquoi il aura sa part parmi les multitudes, et avec les puissants il partagera le butin, parce qu'il s'est livré lui-même à la mort et qu'il a été compté parmi les criminels, alors qu'il portait le péché des multitudes et qu'il intercédait pour les criminels. » Maintenant de loin la foule pouvait voir Jésus de Nazareth et les deux brigands sur leur croix. Luc XXIII : 33-34, « Lorsqu'ils furent arrivés au lieu appelé Crâne, ils l'y crucifièrent ainsi que les malfaiteurs, l'un à droite et l'autre à gauche. Et Jésus disait : « Père, pardonne-leur : ils ne savent ce qu'ils font. » Puis, se partageant ses vêtements, ils tirèrent au sort. » Sur le partage de ses vêtements, c’est l’accomplissement d’une prophétie que le Roi David fait dans l’un de ses chants, Psaume XXII : 19, « ils partagent entre eux mes habits et tirent au sort mon vêtement. » C’est à partir de cette heure, la sixième, jusqu’à la neuvième heure que Jésus le Nazôréen et les deux malfaiteurs agonisaient par la torture de la crucifixion. Jean XIX : 19-20, « Pilate rédigea aussi un écriteau et le fit placer sur la croix. Il y était écrit : « Jésus le Nazôréen, le roi des Juifs ». Cet écriteau, beaucoup de Juifs le lurent, car le lieu où Jésus fut mis en croix était proche de la ville, et c'était écrit en hébreu, en latin et en grec. » C’est aussi à partir de cette heure, la sixième que les ténèbres viennent sur la Terre. De cette sixième heure, depuis l’aube ce qui correspond à la moitié du jour complet soit midi pour nous jusqu’à la neuvième heure qui coïncide à la quinzième heure de la journée soit trois heure de l’après-midi, il fait nuit sur toute la Terre.

Continuons ces derniers instants par la Bible, Luc XXIII : 35-37« Le peuple se tenait là, à regarder. Les chefs, eux, se moquaient : « Il en a sauvé d'autres, disaient-ils ; qu'il se sauve lui-même, s'il est le Christ de Dieu, l'Élu ! » Les soldats aussi se gaussèrent de lui : s'approchant pour lui présenter du vinaigre, ils disaient : « Si tu es le roi des Juifs, sauve-toi toi-même ! » et Matthieu XXVII : 39-43, « Les passants l'injuriaient en hochant la tête et disant : « Toi qui détruis le Sanctuaire et en trois jours le rebâtis, sauve-toi toi-même, si tu es fils d’EL-SHADDAÏ, et descends de la croix. » Pareillement les grands prêtres se gaussaient et disaient avec les scribes et les anciens : « Il en a sauvé d'autres et il ne peut se sauver lui-même ! Il est roi d'Israël : qu'il descende maintenant de la croix et nous croirons en lui ! Il a compté sur El-Shaddaï ; qu’EL-SHADDAÏ le délivre maintenant, s'il s'intéresse à lui ! Il a bien dit : Je suis fils d’EL-SHADDAÏ ! » Pour terminer nous allons rester avec Matthieu et Jean car toute les prophéties doivent se réaliser comme l’a dit Jésus le Nazaréen à ses Apôtres et Disciples quand ils consumaient le repas de la Pâque. Matthieu XXVII : 45-46, « A partir de la sixième heure, l'obscurité se fit sur toute la terre, jusqu'à la neuvième heure. Et vers la neuvième heure Jésus clama en un grand cri : « Éli, Éli, lema sabachtani ? », c'est-à-dire : « Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné ? » Prophétie par le Roi David Psaumes XXII : 2, « Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné? Loin de me sauver, les paroles que je rugis! » Matthieu XXVII : 48, « Et aussitôt l'un d'eux courut prendre une éponge qu'il imbiba de vinaigre et, l'ayant mise au bout d'un roseau, il lui donnait à boire. » Prophétie du Roi David Psaumes LXIX : 22,  « Pour nourriture ils m'ont donné du poison, dans ma soif ils m'abreuvaient de vinaigre. » Jésus est sur la croix et apercevant sa mère avec l’Apôtre qu’il aimait le plus dit : Jean XIX : 26-27, « Jésus donc voyant sa mère et, se tenant près d'elle, le disciple qu'il aimait, dit à sa mère : « Femme, voici ton fils. » Puis il dit au disciple : « Voici ta mère. » Dès cette heure-là, le disciple l'accueillit chez lui. » Puis Jésus dit « J’ai soif », un centurion monta à ses lèvres à l’aide de sa lance une éponge imbibé de vinaigre, il prit une gorgée et expira. Matthieu XXVII : 50, « Or Jésus, poussant de nouveau un grand cri, rendit l'esprit. » Pour être complet il faut aussi ce qu’écrit Jean. Les évangiles synoptiques écrivent la Passion après le jour de la Pâque. Jean au contraire voit la Passion avant la Pâque ce qui est impossible, voilà pourquoi il écrit très peu sur le repas de la Pâque, mais il écrit qu’en même, alors pourquoi cette confusion ? Jean XIX : 31-37 « Comme c'était la Préparation, les Juifs, pour éviter que les corps restent sur la croix durant le sabbat - car ce sabbat était un grand jour -, demandèrent à Pilate qu'on leur brisât les jambes et qu'on les enlevât. Les soldats vinrent donc et brisèrent les jambes du premier, puis de l'autre qui avait été crucifié avec lui. Venus à Jésus, quand ils virent qu'il était déjà mort, ils ne lui brisèrent pas les jambes, mais l'un des soldats, de sa lance, lui perça le côté et il sortit aussitôt du sang et de l'eau. Celui qui a vu rend témoignage - son témoignage est véritable, et celui-là sait qu'il dit vrai - pour que vous aussi vous croyiez. Car cela est arrivé afin que l'Écriture fût accomplie : Pas un os ne lui sera brisé. Et une autre Écriture dit encore : Ils regarderont celui qu'ils ont transpercé. » Confirmation du Psaumes XXXIV : 21, « EL-SHADDAÏ garde tous ses os, pas un ne sera brisé. » Autre, Exode XII : 46, « On la mangera dans une seule maison et vous ne ferez sortir de cette maison aucun morceau de viande. Vous n'en briserez aucun os. » Là il s’agit du repas de la Pâque. Encore une confirmation prophétique dans Zacharie XII : 10, « Mais je répandrai sur la maison de David et sur l'habitant de Jérusalem un esprit de grâce et de supplication, et ils regarderont vers moi. Celui qu'ils ont transpercé, ils se lamenteront sur lui comme on se lamente sur un fils unique; ils le pleureront »

Nous sommes à la neuvième heure, dans le Temple le rideau qui sépare le « Saint » du « Saint des Saints » se déchire en son milieu de haut en bas, la terre se met à trembler avec force puisque les roches se fendent, les tombeaux s’ouvrent permettant la résurrection des « Justes » puisqu’ils vont se faire voir à leur proche, le tonnerre gronde. Les humains qui viennent de vociférer sur Jésus le Nazôréen ont une grande peur, se rendant compte de leur erreur, mais c’est trop tard, ils viennent d’être marqué au fer rouge car de ce jour jusqu’à la fin de leur vie ils vont s’en souvenir.

J’ai commencé ce chapitre en disant qu’il fallait quelque chose qui marque l’esprit de l’humain, et bien c’est fait, car déjà en premier, trois heures de Ténèbres, surtout à l’époque où tous les humains croyaient en plusieurs Dieux pour gérer leur journée, et plus grave encore pour les Israélites, qui par cette nuit en pleine journée voyaient la colère de leur Dieu, mais ils avaient le cœur fermé et ils ne voulaient pas admettre la messianité de Jésus le Nazôréen. Matthieu XXVII : 54, « Quant au centurion et aux hommes qui avec lui gardaient Jésus, à la vue du séisme et de ce qui se passait, ils furent saisis d'une grande frayeur et dirent : « Vraiment celui-ci était fils d’EL-SHADDAÏ » Luc XXIII : 48, « Et toutes les foules qui s'étaient rassemblées pour ce spectacle, voyant ce qui était arrivé, s'en retournaient en se frappant la poitrine. » Par ces versets nous nous apercevons de la terreur, de l’angoisse, de la peur que les humains cosmopolites de Jérusalem et des alentours avaient, car des écrits apocryphes ajoutent que quand Jésus le Nazôréen remit son esprit à son Père le ciel s’était encore obscurcit, que la terre tremblait à faire bouger les montagnes, que le tonnerre se faisait entendre avec force, que les roches se fendirent et les tombeaux des Justes s’ouvrirent.

Avant les prochains écrits et par la lecture de ceux-ci demandez à ce Dieu unique d’acquérir la « Sagesse », car par elle, vous avancerez sur le chemin d’EL-SHADDAÏ et votre transformation de penser et d’action sur cette Terre vous mènera vers un début de Paradis sur celle-ci et une « Demeure » dans les Cieux en attendant votre résurrection.

Portez-vous bien !

Cordiales salutations à Tous !

Sig : JP.G. dit « GRANDELOUPO »