PÂQUE, année 2015
Petit Texte d’introduction
Aujourd’hui, Vendredi 03 Avril nous allons célébrer la Pâque comme notre Dieu, que nous nommons comme Abraham, EL-SHADDAÏ, nous le demande. « Entre les deux Soirs », après le coucher du soleil soit à 20h20mn, et la nuit noire, 23h30mn 24h, nous consommerons la Pâque avec comme pour chez nous une petite entrée, puis une viande rôtie, si c’est un gigot ou une épaule d’agneau ou une autre viande possédant un os nous ferons attention a ce qu’il ne soit pas brisé, accompagné de ses légumes, avec un pain sans levain que nous aurons confectionné nous même ou commandé spécialement à notre boulanger, le tout arrosé avec un vin rouge. Au cours du repas nous demanderons la bénédiction à EL-SHADDAÏ avant de fractionner le pain, et en donner à toute la tablée, et nous ferons la même chose avant de boire le vin en demandant à notre Dieu qu’il bénisse ce vin, et nous lui demanderons qu’il daigne nous pardonner nos fautes. Tout cela sera fait par le responsable de table, et rien ne vous empêche avant de consommer le pain et le vin de faire une prière intérieure et personnelle.
Alors mes semblables il me semble qu’en huit chapitres j’ai essayé de vous faire comprendre la Pâque, car nous somme notre propre sanctuaire, et Jésus le Nazôréen nous à libéré de l’emprise religieuse, et du coup de celui de Sammaël Roi de la Terre et ses environs pour le moment, celui que la populace nomme « Prince » de ce monde.
Bonne lecture et bonne Pâque !
Qu’EL-SHADDAÏ, ce Dieu seul et unique, vous guide comme un Père aimant ses Enfants, qu’il vous bénisse, pardonnant vos fautes, tout ceci par notre médiateur et assesseur Jésus le Nazôréen notre Roi aux Cieux, et avec empressement nous attendons son investiture sur la Terre.
Dernières phrases du Chapitre précédent
J’ai commencé ce chapitre en disant qu’il fallait quelque chose qui marque l’esprit de l’humain, et bien c’est fait, car déjà en premier, trois heures de Ténèbres, surtout à l’époque où tous les humains croyaient en plusieurs Dieux pour gérer leur journée, et plus grave encore pour les Israélites, qui par cette nuit en pleine journée voyaient la colère de leur Dieu, mais ils avaient le cœur fermé et ils ne voulaient pas admettre la messianité de Jésus le Nazôréen. Matthieu XXVII : 54, « Quant au centurion et aux hommes qui avec lui gardaient Jésus, à la vue du séisme et de ce qui se passait, ils furent saisis d'une grande frayeur et dirent : « Vraiment celui-ci était fils d’EL-SHADDAÏ » Luc XXIII : 48, « Et toutes les foules qui s'étaient rassemblées pour ce spectacle, voyant ce qui était arrivé, s'en retournaient en se frappant la poitrine. » Par ces versets nous nous apercevons de la terreur, de l’angoisse, de la peur que les humains cosmopolites de Jérusalem et des alentours avaient, car des écrits apocryphes ajoutent que quand Jésus le Nazôréen remit son esprit à son Père le ciel s’était encore obscurcit, que la terre tremblait à faire bouger les montagnes, que le tonnerre se faisait entendre avec force, que les roches se fendirent et les tombeaux des Justes s’ouvrirent.
Chapitre N° 8
Jour de Pâque, notre liberté
Alors pourquoi toute cette torture et tout ce sang versé, sachant que le sang c’est la vie ?
Jésus de Nazareth, nommé Jésus le Nazôréen va au supplice de la crucifixion romaine comme l’agneau ou le petit bétail va sur l’esplanade du Temple se faire égorger par le Grand Prêtre sur l’autel du Sain pour l’expiation des péchés humains. Considérons que la croix est l’autel du sacrifice, simplement que Jésus meurt par asphyxie ce qui est de l’étouffement et cela ne va pas avec les Écritures. A moins que sa mort soit due à une perte de sang trop importante, mais son agonie dure quand même trois heures.
Avec la lance le centurion transperce le coté droit de Jésus, donc il pénètre la lance dans le foie de Jésus le Nazôréen et immédiatement de la blessure sort de l’eau et du sang. Cette réaction du corps de Jésus est hautement symbolique puisqu’il y a la purification par l’eau et la vie éternelle par le sang, le sang étant l’âme de tout être vivant. Pour l’humain, le sang siège du principe vital est sa marque personnelle de reconnaissance, son ADN, l’unique dans tout l’Univers, depuis la création de cette magnifique machine, qui comporte en elle plus de mille deux cents usines de transformation chimique, mais aussi contradictoire car le sang qui est la vie, depuis la transgression des deux premiers humains, transporte aussi la mort, la marque du « péché ».
Le sacrifice définitif de Jésus le Nazôréen eut lieu hors de la ville de Jérusalem, Épître aux Hébreux XIII : 12 « C’est pourquoi Jésus aussi, pour sanctifier le peuple par son propre sang, a souffert hors de la porte. » , comme les Grands Prêtres faisaient avec les animaux sacrifiés, Lévitique XXVI : 27, « Quant au taureau et au bouc offerts en sacrifice pour le péché et dont le sang a été porté dans le sanctuaire pour faire le rite d'expiation, on les emportera hors du camp et l'on brûlera dans un feu leur peau, leur chair et leur fiente. » pour l’expiation des péchés du peuple d’Israël, mais pour Jésus c’est pour l’expiation des péchés du monde.
EL-SHADDAÏ par amour pour sa plus belle création, l’humain, qui dès son origine avait été conçu pour vivre indéfiniment sur cette Terre, homme et femme, à l’image, au reflet de leur concepteur, qui par une transgression volontaire d’une seule Loi d’interdiction, amenèrent leur propre mort, ainsi qu’a leur descendance, envoya son propre fils engendré dans les Cieux, pour être une seconde fois engendré, mais en tant qu’humain, afin que ce dernier recouvre la vie éternelle.
Il faut reconnaître que Jésus le Nazaréen avait « fourni le bâton pour se faire frapper » par ses ennemis quand ceux-ci répétèrent cette maxime, Matthieu XXVI : 61, « Cet homme a dit : Je puis détruire le Sanctuaire d’EL-SHADDAÏ et le rebâtir en trois jours. » simplement que Jésus prophétisait la destruction du Temple, ainsi que tout ce qui le symbolisait, particulièrement le culte des hébreux, avec la disparition des « Grands Prêtres », substitué par Jésus seul, puisqu’il était, Psaumes CX : 3-4, « A toi le principat au jour de ta naissance, les honneurs sacrés dès le sein, dès l'aurore de ta jeunesse. EL-SHADDAÏ l'a juré, il ne s'en dédira point « Tu es prêtre à jamais selon l'ordre de Melchisédech.» », et par là même devenait à lui seul le Temple Nouveau par sa résurrection, après trois jours dans l’Hadès. Matthieu XVII : 22-23, « Le Fils de l'homme va être livré aux mains des hommes, et ils le tueront, et, le troisième jour, il ressuscitera. » Jésus en trois jours avait reconstruit le « Nouveau Temple Céleste », mais cela les juifs ne le comprirent pas, car ce « Temple là » devenait indestructible.
EL-SHADDAÏ en accord avec son fils, et celui-ci faisant et obéissant aux volontés de son Père, construisait la Jérusalem Céleste et ce Dieu seul et unique en était la pierre angulaire. Il savait l’humain dans sa généralité indécrottable, et pourtant sur toute la Terre païenne, comme parmi son peuple choisi, les hébreux, un petit nombre le cherchait et sans le connaître essayait de suivre ses Lois dans leur cœur, et c’est pour ce petit nombre d’humains qu’il envoya son fils sur la Terre parce que ce dernier devait mourir en répandant son sang, car le sang est l’accord de scellement de toute « Alliance », et l’Alliance qu’EL-SHADDAÏ avait fait avec les humains à l’ère de Moïse devenait caduc. Épître aux Hébreux VIII : 6-13, « Mais à présent, Jésus le Nazôréen a obtenu un ministère d'autant plus élevé que meilleure est l'alliance dont il est le médiateur, et, fondée sur de meilleures promesses. Car si cette première alliance avait été irréprochable, il n'y aurait pas eu lieu de lui en substituer une seconde. C'est en effet en les blâmant qu’EL-SHADDAÏ déclare : « Voici que des jours viennent, dit le Seigneur El-Shaddaï, et je conclurai avec la maison d'Israël et la maison de Juda une alliance nouvelle, non pas comme l'alliance que je fis avec leurs pères, au jour où je pris leur main pour les tirer du pays d'Égypte. Puisqu'eux-mêmes ne sont pas demeurés dans mon alliance, moi aussi je les ai négligés, dit le Seigneur El-Shaddaï. Voici l'alliance que je contracterai avec la maison d'Israël, après ces jours-là, dit le Seigneur El-Shaddaï : Je mettrai mes lois dans leur pensée, je les graverai dans leur cœur, et je serai leur Dieu et ils seront mon peuple. Personne n'aura plus à instruire son concitoyen, ni personne son frère, en disant : « Connais le Seigneur EL-SHADDAÏ », puisque tous me connaîtront, du petit jusqu'au grand. Car je pardonnerai leurs torts, et de leurs péchés je n'aurai plus souvenance. » En disant : alliance nouvelle, il rend vieille la première. Or ce qui est vieilli et vétuste est près de disparaître. » Le Père de Jésus le Nazôréen conclut bien une nouvelle alliance avec les humains, puisque son fils est établi pour l’éternité « Grand Prêtre » parce qu’il fut parfait sur la Terre donc supérieur à la descendance d’Aaron, les prêtres lévites pécheurs et mortels. Cette supériorité sur les prêtres lévitiques fut démontrée lors de son ministère par la remise des péchés de beaucoup d’humains.
La chrétienté par les deux premiers versets du premier chapitre de Jean voit là Jésus comme étant « le Verbe », et par la même déclare la divinité de ce dernier. Ne vous laissez pas tromper !
Il n’existe qu’un seul et unique « Dieu », c’est EL-SHADDAÏ, Père géniteur de Jésus le Nazôréen, son fils par deux fois, dans les Cieux, et humain sur la Terre, ce fils étant déjà Roi dans les Cieux en attente de son avènement sur la Terre comme Roi, le jour où Sammaël et les Siens seront endormis, le péché n’existera plus sur la Terre pour un « Temps »
Je reviens à Jésus le Nazôréen. Grâce à lui nous n’avons plus besoin de « Grand Prêtre », et encore moins de Prêtres, comme toute la hiérarchie chrétienne quel qu’elle soit, même le protestantisme qui fait aussi partie de la chrétienté, car un seul est « Prêtre » pour tous les humains c’est Jésus le Nazôréen, notre médiateur, assesseur devant EL-SHADDAÏ notre Dieu seul et unique.
Quand Jésus le Nazôréen institua l’Eucharistie, le jour de la Pâque, il le fit par des gestes solennelles et précis, bénédiction du pain puis du vin à El-Shaddaï, rappelant le rituel sacerdotal des Prêtres Hébreux quand ils immolaient pour son Père un taureau, un bouc ou tous autres animaux purs pour le sacrifice de la Pâque. Comme écrit ci-dessus Jésus le Nazaréen par sa perfection est le Grand Prêtre du Temple des Cieux, mais aussi du Temple spirituel terrestre.
Attention à ne pas confondre le symbolisme du dernier repas terrestre de Jésus, avec la réalité car quelle explication donner aux paroles de Jésus quand il dit Luc XXII : 15-16, « J'ai ardemment désiré manger cette Pâque avec vous avant de souffrir ; car je vous le dis, jamais plus je ne la mangerai jusqu'à ce qu'elle s'accomplisse dans le Royaume d’EL-SHADDAÏ. » Matthieu XXVI : 26-29, « Or, tandis qu'ils mangeaient, Jésus prit du pain, le bénit, le rompit et le donna aux disciples en disant : « Prenez, mangez, ceci est mon corps. », « Puis, prenant une coupe, il rendit grâces et la leur donna en disant : « Buvez-en tous ; car ceci est mon sang, le sang de l'alliance, qui va être répandu pour une multitude en rémission des péchés. Je vous le dis, je ne boirai plus désormais de ce produit de la vigne jusqu'au jour où je le boirai avec vous, de nouveau, dans le Royaume de mon Père. »
En plus de ces versets il y a ceux de Jean VI : 48-51, « Je suis le pain de vie. Vos pères, dans le désert, ont mangé la manne et sont morts ; ce pain est celui qui descend du ciel pour qu'on le mange et ne meure pas. Je suis le pain vivant, descendu du ciel. Qui mangera ce pain vivra à jamais. Et même, le pain que je donnerai, c'est ma chair pour la vie du monde. » », puis les versets suivant pour être complet, 53-58 « Alors Jésus leur dit : « En vérité, en vérité, je vous le dis, si vous ne mangez la chair du Fils de l'homme et ne buvez son sang, vous n'aurez pas la vie en vous. Qui mange ma chair et boit mon sang a la vie éternelle et je le ressusciterai au dernier jour. Car ma chair est vraiment une nourriture et mon sang vraiment une boisson. Qui mange ma chair et boit mon sang demeure en moi et moi en lui. De même que le Père, qui est vivant, m'a envoyé et que je vis par le Père, de même celui qui me mange, lui aussi vivra par moi. Voici le pain descendu du ciel ; il n'est pas comme celui qu'ont mangé les pères et ils sont morts ; qui mange ce pain vivra à jamais. »
Vous venez de lire ce que Jean à écrit dans son Évangile en l’an 85-95 de l’EC. Jésus le Nazaréen est décédé voilà une soixantaine d’années. La mouvance de Jésus le Nazôréen c’est développée à partir de la Galilée et de Jérusalem en particulier. Les Apôtres étaient tous des Hébreux, et la majorité des Disciples aussi, dont une petite partie était hellénisée. Mettez-vous à la place de ces humains dont le Temple, pilier et origine de leur foi, vient d’être rasé en l’an 70. En plus de cela le Nouveau Testament tel que nous le connaissons n’existe pas, seule circulent des feuillets écrits par des différents Disciples et Apôtres qui ont connu Jésus le Nazaréen. L’histoire de ce dernier ce conte de bouche à oreille, car tout l’enseignement est oral.
Pensez à ces humains qui entendent « manger le corps du Messie ou de Jésus de Nazareth et buvez son sang, car son corps est le pain de vie ainsi que son sang ». Ceux qui font cela, qui mangent de la chair humaine et boivent le sang sont considérés par leurs semblables comme des cannibales et des vampires. En lisant les versets ci-dessus au premier degré ces pensées, ces raisonnements sont normaux.
Jésus le Nazôréen à lui seul est un « Temple » et par ces actions au repas de la Pâque, avec ces paroles, lui le seul Grand Prêtre parfait, donne une plénitude de formulation en sept points qui représente cette perfection, car il se définit lui-même étant le vrai pain de vie, la vraie lumière, Jean VIII : 12, « De nouveau Jésus leur adressa la parole et dit : « Je suis la lumière du monde. Qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres, mais aura la lumière de la vie. » », la porte par laquelle entre les brebis dans le royaume de son Père, ces dernières représentent les humains, le bon Pasteur car un bon Pasteur donne sa vie pour ses brebis car elles le connaissent et lui les connaît ; la résurrection Jésus répondant à Marthe la sœur de Lazare qu’il allait ressusciter, Jean XI : 25-26, « Jésus lui dit : « Je suis la résurrection. Qui croit en moi, même s'il meurt, vivra ; et quiconque vit et croit en moi ne mourra jamais. Le crois-tu ? » » ; la route, le chemin qui par son enseignement mène à son Père, car nous connaissons son Père, EL-SHADDAÏ notre Dieu, mais aussi son Fils engendré, Jésus le Nazôréen notre Roi, qui est pour le moment en ces vingt et un siècles notre assesseur, médiateur, en attendant son « Investiture Royale » sur la Terre, et nous ne pouvons aimer l’un et ignorer l’autre, surtout que le Fils de notre Dieu seul et unique a versé son sang pour que nous recouvrions la vie éternelle ; la vraie vigne et avant toute chose voyons ce que dit Jean XV : 1-2, « « Je suis la vigne véritable et mon Père est le vigneron. Tout sarment en moi qui ne porte pas de fruit, il l'enlève, et tout sarment qui porte du fruit, il l'émonde, pour qu'il porte encore plus de fruit. », là encore l’image est explicite puisque l’humain est le sarment et le verset 5 complète bien la pensée, « Je suis la vigne ; vous, les sarments. Celui qui demeure en moi, et moi en lui, celui-là porte beaucoup de fruit ; car hors de moi vous ne pouvez rien faire. »
Jésus le Nazaréen se considère comme le pain de vie au sens spirituel car qui avale son enseignement en Esprit, acquière le Sagesse, Proverbe IX : 1-2, « La Sagesse a bâti sa maison, elle a taillé ses sept colonnes, elle a abattu ses bêtes, préparé son vin, elle a aussi dressé sa table. », versets suivant 5-6, « Venez, mangez de mon pain, buvez du vin que j'ai préparé ! Quittez la compagnie des ignorants et vous vivrez, prenez donc le chemin où se tient l'intelligence. », car la Sagesse était au commencement de tout et Jésus le Nazaréen Fils engendré d’EL-SHADDAÏ, portait la Sagesse de son Père avec un certain mystère puisqu’il se sert des définitions de la Sagesse pour dire aux humains de suivre ses voies en la recherchant, Sagesse de Salomon IX : 13-18, Proverbe IX : 1-6 et pour confirmer vous allez reconnaître que mon étude est bien faite puisque Jésus Ben Sira quelques trois siècles avant la naissance de Jésus le Nazaréen écrivit en parlant de la Sagesse, Ecclésiastiques ou Siracide XXIV : 19-22, « Venez à moi, vous qui me désirez; et rassasiez-vous de mes produits. Car mon souvenir est plus doux que le miel, mon héritage plus doux qu'un rayon de miel. Ceux qui me mangent auront encore faim, ceux qui me boivent auront encore soif. Celui qui m'obéit n'aura pas à en rougir et ceux qui font mes œuvres ne pécheront pas. », une autre traduction du dernier verset : « Ceux qui me mettent en lumière auront la vie éternelle. », et Jean dans son évangile écrit IV : 13-14, « Jésus lui répondit : « Quiconque boit de cette eau aura soif à nouveau ; mais qui boira de l'eau que je lui donnerai n'aura plus jamais soif ; l'eau que je lui donnerai deviendra en lui source d'eau jaillissant en vie éternelle. » Quelle similitude !
Faisant mes recherches pour vous expliquer la signification des derniers quarante-huit heures de Jésus, je pourrai vous écrire encore deux chapitres. Donc je vais résumer et me réserver pour l’année prochaine, à moins que j’écrive dans ce que je vous dis sur « Nom et Enseignements de Jésus le Nazôréen »
Pour moi, suite à mes recherches et une conviction intérieure certaine, Jésus le Nazôréen vécut sur la Terre une quarantaine d’année, ce chiffre étant hautement symbolique, dans la perfection absolue, sans commettre le moindre péché. Par un « Ministère » qui dura, toujours pour moi, quarante mois, c’est-à-dire un peu plus de trois ans, il se fit connaître des humains des Nations, et par là même son Père, seul et unique « Dieu » de tout l’Univers, de tout ce qui existe de l’infiniment petit à l’infiniment grand.
Ce Père qui est son « Dieu » et notre « Dieu », Jean XX : 17, offrit son propre Fils pour sauver l’Humain, par amour pour celui-ci, sa plus belle création de l’Univers, et pour cimenter définitivement la « Nouvelle Alliance », obligatoirement il fallait la marque du sang, Exode XXIV : 6-8, ce sang siège de la vie, qui est aussi l’encre du document Céleste. Voilà pourquoi il était impératif que Jésus le Nazôréen meurt en versant son sang, car sa représentativité multiple en tant que Grand Prêtre, petit bétail pour le sacrifice sans tare, ni tache, le pain et le vin de vie, et l’efficacité absolue et définitif de son sacrifie, Épitre aux Hébreux XII : 22-24, une seule et unique fois, Épitre aux hébreux IX : 11-12, 26, 28, il n’y eut personne comme lui, avant lui, comme il n’y aura plus jamais un humain comme lui, son propre sang faisait l’encre de l’écriture et sa personne le sceau pour sceller à jamais et perpétuelle cette « Nouvelle Alliance » avec un « Nouveau Peuple », Épitre aux Hébreux VII : 25-27, formé de tous les humains de toutes les Nations et peuplades.
L’essentiel c’est que le sacrifice soit accepté par EL-SHADDAÏ, en ressuscitant son Fils de l’Hadès nous avons la plus belle des réponses !
Dans son dernier repas, celui de Pâque d’après les évangiles synoptiques, en plein milieu, Jésus le Nazaréen prit sa fonction de « Grand Prêtre », Épître aux Hébreux VII : 11, 17, par des gestes précis et solennels du rituel hébreu à l’intérieur du Saint des Saints, bénédiction à EL-SHADDAÏ du pain en le rompant, et de la coupe de vin, greffe les rites sacramentels du culte nouveau qu’il instaure.
Ce soir Vendredi 03 Avril, après le coucher du soleil, soit 20H20, donc vers 21H, 21H30, le responsable de la table, homme ou femme, va répéter ces gestes de Jésus le Nazôréen, non en mémoire de « lui » comme mensongèrement toute la chrétienté le dit, mais en mémoire de notre délivrance de la « Prêtrise », ou le pain représente l’enseignement spirituel ainsi que la sagesse de Jésus le Nazôréen, et le vin représentant le sang devant EL-SHADDAÏ, ce sang répandu devant l’autel en expiation de nos péchés par le sacrifice du fils d’EL-SHADDAÏ, l’autel étant notre corps.
Voici ci-dessous les paroles prophétiques de notre Dieu seul et unique, celui que nous adorons avec sincérité au plus profond de notre conscience et de notre subconscient, celui que nous nommons EL-SHADDAÏ.
Amos VIII : 9-12,
« Il adviendra en ce jour-là - oracle du Seigneur EL-SHADDAÏ - que je ferai coucher le soleil en plein midi et que j'obscurcirai la terre en un jour de lumière.
Je changerai vos fêtes en deuil et tous vos chants en lamentations; je mettrai le sac sur tous les reins et la tonsure sur toutes les têtes.
J'en ferai comme un deuil de fils unique, sa fin sera comme un jour d'amertume. Voici venir des jours - oracle d’EL-SHADDAÏ - où j'enverrai la faim dans le pays, non pas une faim de pain, non pas une soif d'eau, mais d'entendre la parole d’EL-SHADDAÏ.
On ira titubant d'une mer à l'autre mer, du nord au levant, on errera pour chercher la parole d’EL-SHADDAÏ et on ne la trouvera pas ! »
Je regrette sincèrement de ne pas vous avoir posé toutes les explications que j’ai en tête suite à la lecture de plus d’une trentaine de versets prophétisant et expliquant les actions et geste de Jésus le Nazôréen comme son entrée à Jérusalem monter sur un ânon et puis encore cette confusion entre les évangiles synoptiques et celui de Jean sur le jour de la Pâque . ….
Ce soir soyez heureux car c’est un jour de réjouissance pour nous enfants d’EL-SHADDAÏ, car nous sommes libre de l’emprise religieuse, notre Temple c’est nous même, l’autel notre corps, le Saint des Saint notre conscience.
Alors réjouissez-vous mes semblables, chantez, dansez, mangez, buvez, priez aussi, tout cela dans l’allégresse en harmonie avec les Lois de notre Dieu et les enseignements de son Fils notre Roi !
Salutations cordiales !
Bonne Pâque !
Sig : JP.G. dit « GRANDELOUPO »