Première Religion Mondiale le CHRISTIANISME
« N’appeler personne « Père » sur la Terre, car un seul est votre « Père » celui qui est dans les cieux. » (Épître des Apôtres IV : 1, Matthieu XXIII : 9)
Alors pourquoi un « Très Saint Père = le Pape », pourquoi nommé un prélat « mon Père » ?
« Notre Père qui est aux cieux … », cela fait bien partie de la prière la plus importante de toute la chrétienté !
« Que ton Nom soit sanctifié… », ton nom ce n’est pas ce nom vulgaire « Dieu » car « Dieu » il en existe des milliers, donc que « ton NOM » comme EL-SADDAÏ qui signifie Dieu-SHADDAÏ, mais encore « Dieu au-dessus des Montagnes », cela est un « NOM » comme Très-Haut, Tout-Puissant, Roi des Âges, Éternel, Yahvé, etc.
Ce Nom est un nom « Saint » voilà pourquoi il est sanctifier qui signifie vénérer, adorer, glorifier et ce nom ce n’est pas celui de son fils, mais bien le sien à lui, le Dieu seul et unique !
Je viens en une ligne de la Bible, vous démontrer l’erreur du christianisme d’aujourd’hui, et sa déchéance.
Alors voici son histoire et votre liberté d’action car chaque humain est responsable de lui et c’est seul qu’il affrontera le Jugement du Père.
Histoire et déchéance de cette Religion
Dernières lignes du chapitre précédent :
Qui peut toucher, palper l’esprit ?
Personne car « l’esprit » est comme le vent !
Cela vous prouve, nous prouve que ce « Saint-Esprit » ou « Esprit-Saint » est une menterie absolue et qu’il ne peut exister !
Comme écrit avant ce sont les cardinaux qui élisent l’Evêque de Rome, et l’élection de Damase Ier s’est faite dans le sang puisqu’il y eut plus de cent trente morts. A sa mort en 384 les cardinaux élièrent Sirice Évêque de Rome en remplacement de Damase Ier.
Celui-ci affirmera la primauté de Rome sur les questions doctrinales, sacerdotales et apostoliques. Une lettre envoyée à l’Évêque de Tarragone, Himérius, par Sirice qui donnait son opinion et qui reprenait les dispositions des Conciles de Nicée en 325 et celui de Sardique en 343, fut appelés décrétale en devenant une loi pour l’ensemble de l’Église.
C’était la première fois qu’une opinion devenait loi d’où le nom de cette missive « décrétale ».
Chapitre N° 18
Mauvais Pasteurs
Les Évêques se succédèrent à Rome en prenant de plus en plus d’importance sur tous les autres évêchés. La richesse de l’Église et les fastes cérémonials prenant de plus en plus d’ampleur.
Comme souvent je le répète, l’Enseignement de Jésus le Nazôréen est dans les oubliettes, seul son « Nom » apporte gloire et fortune grâce à la trahison, l’hypocrisie, le mensonge, le meurtre ou l’assassinat.
La crosse est le bâton pastoral des évêques et des abbés, insigne de leur pouvoir.
La crosse, nommée dans l’antiquité « houlette » était un grand bâton de berger qui d’un côté était incurvé et creusé comme une gouttière, servant à jeter des mottes de terre ou des pierres aux moutons, chèvres, cabris, boucs qui s’éloignaient du troupeau, et de l’autre en forme de pointe pour piquer l’animal qui ne voulait pas marcher, mais surtout pour faciliter la marche du berger. Ce grand bâton soulageait le berger de sa station debout par appui du corps en avant comme un trépied. La partie arrondie servait à saisir aisément le petit bétail par la patte arrière, sans se baisser, ni effrayer l’animal par l’approche du berger.
Les Évêques prirent ce bâton de berger comme un symbole de leur fonction, le nom de houlette étant remplacé par « Crosse », cette « crosse » signifiant bâton de celui qui dirige, conseille, et secourt, houlette du bon pasteur, marchant à la tête du troupeau des fidèles, signe d'une autorité paternelle.
Les trois symboles de la crosse sont : solide pour soutenir les faibles, recourbé pour rattraper ceux qui s'égarent et pointue pour piquer ceux qui hésitent.
En résumé et pour finir le « Cérémonial » des Évêques donne la liste des insignes épiscopaux : l’anneau, la crosse, la mitre, la croix pectorale.
La crosse est le bâton pastoral des évêques et des abbés, insigne de leur pouvoir.
La crosse avait initialement la forme d'un tau grec T, mais à partir du XIIe siècle son extrémité supérieure a pris la forme recourbée qui est aujourd'hui la plus répandue, en volute. Cette forme est aussi celle de la houlette du berger, image très emblématique.
Dans l'Empire romain depuis Théodose, le titre de cardinalis était donné à des officiers de la couronne, à des généraux d'armée, au préfet du prétoire en Asie et en Afrique, parce qu’ils remplissaient les principales charges de l'empire.
Les cardinaux étaient à l'origine les membres du clergé de Rome, dépendants de l'évêque de Rome qu'ils avaient la charge d'élire. On distinguait trois ordres de cardinaux : les cardinaux évêques des diocèses circonvoisins, évêchés suburbicaires, les cardinaux prêtres, titulaires des paroisses ou titres de la ville de Rome, et les cardinaux diacres, responsables des diaconies romaines.
Cette prérogative de la ville de Rome ne fut réellement effective qu’à partir du VIIIème siècle. En effet sous l’empire romain depuis Constantin le Grand, ce sont les Empereurs qui sont Pontife Maximus de l’église en générale et le siège est à Constantinople qui était nommé la « Nouvelle Rome ». Ce sont eux qui décrètent les Conciles et élisent des Évêques. Seule la ville de Rome aura se statut particulier de l’élection d’un Évêque principal qui représentera tous les autres Évêques de la région romaine. Cet Évêque de Rome prendra de plus en plus d’importance et de pouvoir. Il faudra attendre l’effondrement de l’Empire Romain puis l’aide de Pépin le Bref à l’Évêque de Rome Étienne II qui lui offrit les premiers États Pontificaux ce dernier prenant illico le titre de Pontife de Rome. Le véritable premier Pape de Rome était né et ce fut cet « Étienne II ».
En 1059, au moment de la réforme grégorienne de l’Église, le pape Nicolas II définit avec plus de précision le statut des Cardinaux et leur accorda un rang supérieur aux autres évêques de l'Église. En 1179, le pape Alexandre III fit adopter par le IIIe concile du Latran la règle, encore en vigueur, de la majorité des deux tiers pour l'élection d'un nouveau pape. En 1181, les cardinaux prêtres de Rome acquirent le pouvoir d'élire seuls le pape, à l'exclusion du clergé et du peuple de Rome. Ils obtinrent par-là la prééminence sur les évêques.
Dans les tous premiers siècles, après le décès de Jésus le Nazôréen, les Évêques ne portaient aucun bâton avec eux il faut attendre le Xème ou le XIème siècle pour voir les Évêques avec ce signe d’autorité et de prestance oubliant la signification de cette « crosse » car aujourd’hui elle ne sert qu’à dévoiler la richesse de celui qui l’a en main par les sculptures en or gravées tout autour.
Ce sont de mauvais « berger » !
Et la Bible en juxtaposition avec « Israël » et la prophétie du comportement humain dans les dernières générations, décrit bien ces mauvais « Pasteurs ».
Je reconnais que ce qui va être écrit ci-dessous sera un peu long, mais c’est EL-SHADDAÏ lui-même qui peint le « Berger » et le mauvais Pasteur à Ézéchiel.
Ézéchiel XXXIV : - (---) remplace Yahvé
« Fils d'homme, prophétise contre les Pasteurs {---}, prophétise. Tu leur diras : Pasteurs, ainsi parle le Seigneur EL-SHADDAÏ (---). Malheur aux Pasteurs {---} qui se paissent eux-mêmes. Les Pasteurs ne doivent-ils pas paître le troupeau ?
Vous vous êtes nourris de lait, vous vous êtes vêtus de laine, vous avez sacrifié les brebis les plus grasses, mais vous n'avez pas fait paître le troupeau.
Vous n'avez pas fortifié les brebis chétives, soigné celle qui était malade, pansé celle qui était blessée. Vous n'avez pas ramené celle qui s'égarait, cherché celle qui était perdue. Mais vous les avez régies avec violence et dureté.
Elles se sont dispersées, faute de Pasteur, pour devenir la proie de toutes bêtes sauvages. Elles se sont dispersées.
Mon troupeau erre sur toutes les montagnes et sur toutes les collines élevées, mon troupeau est dispersé sur toute la surface du pays, nul ne s'en occupe et nul ne se met à sa recherche.
Eh bien! Pasteurs, écoutez la parole d’EL-SHADDAÏ (---).
Par ma vie, oracle du Seigneur EL-SHADDAÏ (---), je le jure : parce que mon troupeau est mis au pillage et devient la proie de toutes les bêtes sauvages, faute de Pasteur, parce que mes Pasteurs ne s'occupent pas de mon troupeau, parce que mes Pasteurs se paissent eux-mêmes sans paître mon troupeau.
Eh bien ! Pasteurs, écoutez la parole d’EL-SHADDAÏ (---).
Ainsi parle le Seigneur EL-SHADDAÏ (---).
Voici, je me déclare contre les Pasteurs. Je leur reprendrai mon troupeau et désormais, je les empêcherai de paître mon troupeau. Ainsi les Pasteurs ne se paîtront plus eux-mêmes. J'arracherai mes brebis de leur bouche et elles ne seront plus pour eux une proie.
Car ainsi parle le Seigneur EL-SHADDAÏ (---) : Voici que j'aurai soin moi-même de mon troupeau et je m'en occuperai.
Comme un Pasteur s'occupe de son troupeau, quand il est au milieu de ses brebis éparpillées, je m'occuperai de mes brebis. Je les retirerai de tous les lieux où elles furent dispersées, au jour de nuées et de ténèbres.
Dans un bon pâturage je les ferai paître, et sur les plus hautes montagnes {---} sera leur pacage. C'est là qu'elles se reposeront dans un bon pacage; elles brouteront de gras pâturages sur les montagnes {---}.
C'est moi qui ferai paître mes brebis et c'est moi qui les ferai reposer, oracle du Seigneur EL-SHADDAÏ (---).
Je chercherai celle qui est perdue, je ramènerai celle qui est égarée, je panserai celle qui est blessée, je fortifierai celle qui est malade. Celle qui est grasse et bien portante, je veillerai sur elle. Je les ferai paître avec justice.
Quant à vous, mes brebis, ainsi parle le Seigneur EL-SHADDAÏ (---). Voici que je vais juger entre brebis et brebis, entre béliers et boucs.
Non contents de paître dans de bons pâturages, vous foulez aux pieds le reste de votre pâturage; non contents de boire une eau limpide, vous troublez le reste avec vos pieds.
Et mes brebis doivent brouter ce que vos pieds ont foulé et boire ce que vos pieds ont troublé.
Eh bien! Ainsi leur parle le Seigneur EL-SHADDAÏ (---) : Me voici, je vais juger entre la brebis grasse et la brebis maigre.
Parce que vous avez frappé des reins et de l'épaule et donné des coups de cornes à toutes les brebis souffreteuses jusqu'à les disperser au dehors, je vais venir sauver mes brebis pour qu'elles ne soient plus au pillage, je vais juger entre brebis et brebis.
Je susciterai pour le mettre à leur tête un Pasteur qui les fera paître, mon serviteur David : c'est lui qui les fera paître et sera pour eux un Pasteur.
Moi, EL-SHADDAÏ (---), je serai pour eux un Dieu, et mon serviteur David sera prince au milieu d'eux. Moi, EL-SHADDAÏ (---), j'ai parlé.
Je conclurai avec eux une alliance de paix, je ferai disparaître du pays les bêtes féroces. Ils habiteront en sécurité dans le désert, ils dormiront dans les bois.
Je les mettrai aux alentours de ma colline, je ferai tomber la pluie en son temps et ce sera une pluie de bénédictions.
L'arbre des champs donnera son fruit et la terre donnera ses produits; ils seront en sécurité sur leur sol. Et l'on saura que je suis EL-SHADDAÏ (---) quand je briserai les barres de leur joug et que je les délivrerai de la main de ceux qui les asservissent.
Ils ne seront plus un butin pour les nations, et les bêtes du pays ne les dévoreront plus. Ils habiteront en sécurité, sans qu'on les trouble.
Je ferai pousser pour eux une plantation célèbre; il n'y aura plus de victimes de la famine dans le pays, et ils n'auront plus à subir l'insulte des nations.
Et vous, mes brebis, vous êtes le troupeau humain que je fais paître, et moi, je suis votre Dieu, oracle du Seigneur EL-SHADDAÏ (---). »
Quelle prophétie !... ! Une merveille d’espoir et de réalité !
Voyons maintenant ce que l’Apôtre Jean écrit dans son Évangile.
Jean X : 1-18, 25-29
« En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui n'entre pas par la porte dans l'enclos des brebis, mais en fait l'escalade par une autre voie, celui-là est un voleur et un brigand. Celui qui entre par la porte est le pasteur des brebis.
Le portier lui ouvre et les brebis écoutent sa voix, et ses brebis à lui, il les appelle une à une et il les mène dehors.
Quand il a fait sortir toutes celles qui sont à lui, il marche devant elles et les brebis le suivent, parce qu'elles connaissent sa voix.
Elles ne suivront pas un étranger, elles le fuiront au contraire, parce qu'elles ne connaissent pas la voix des étrangers. »
Jésus leur tint ce discours mystérieux, mais eux ne comprirent pas ce dont il leur parlait.
Alors Jésus dit à nouveau :
« En vérité, en vérité, je vous le dis, je suis la porte des brebis.
Tous ceux qui sont venus avant moi sont des voleurs et des brigands, mais les brebis ne les ont pas écoutés.
Je suis la porte. Si quelqu'un entre par moi, il sera sauvé. Il entrera et sortira, et trouvera un pâturage.
Le voleur ne vient que pour voler, égorger et faire périr. Moi, je suis venu pour qu'on ait la vie et qu'on l'ait surabondante.
Je suis le bon Pasteur. Le bon Pasteur donne sa vie pour ses brebis.
Le mercenaire, qui n'est pas le Pasteur et à qui n'appartiennent pas les brebis, voit-il venir le loup, il laisse les brebis et s'enfuit, et le loup s'en empare et les disperse.
C'est qu'il est mercenaire et ne se soucie pas des brebis.
Je suis le bon Pasteur. Je connais mes brebis et mes brebis me connaissent, comme le Père me connaît et que je connais le Père, et je donne ma vie pour mes brebis.
J'ai encore d'autres brebis qui ne sont pas de cet enclos, celles-là aussi, il faut que je les mène, elles écouteront ma voix, et il y aura un seul troupeau, un seul Pasteur. C'est pour cela que le Père m'aime, parce que je donne ma vie, pour la reprendre.
Personne ne me l'enlève, mais je la donne de moi-même. J'ai pouvoir de la donner et j'ai pouvoir de la reprendre, tel est le commandement que j'ai reçu de mon Père. »
Jésus leur répondit : « Je vous l'ai dit, et vous ne croyez pas. Les œuvres que je fais au nom de mon Père témoignent de moi, mais vous ne croyez pas, parce que vous n'êtes pas de mes brebis.
Mes brebis écoutent ma voix, je les connais et elles me suivent. Je leur donne la vie éternelle, elles ne périront jamais et nul ne les arrachera de ma main.
Mon Père, quant à ce qu'il m'a donné, est plus grand que tous. Nul ne peut rien arracher de la main du Père. »
Ces Évêques depuis mille huit cents ans ne ressemblent-ils pas à des loups, des voleurs et des brigands ?
Avez-vous bien lu les paroles dites par EL-SHADDAÏ et celles de son Fils Jésus le Nazôréen.
« Moi, EL-SHADDAÏ (---), je serai pour eux un Dieu, et mon serviteur David sera prince au milieu d'eux. Moi, EL-SHADDAÏ (---), j'ai parlé. »
Le serviteur David ici représente bien Jésus le Nazaréen, Jésus-Christ pour vous chrétien ! Vous êtes bien en accord avec moi, car je n’invente rien, et tous vos Prélats diront comme moi !
Donc ce serviteur David, préfigurant Jésus le Nazaréen, n’est pas un Dieu mais il est « Prince » au milieu des brebis qui représentent les « humains » et EL-SHADDAÏ sera leur Dieu.
Pour confirmer dans Jean, Jésus le Nazaréen dit bien qu’il est le bon Pasteur et qu’il n’y aura qu’un seul troupeau car il réunira toutes les brebis, soit tous les humains qui entendent sa voix pour vivre éternellement, quant à son Père il dit bien qu’il est plus grand que tout. Par cette phrase Jésus le Nazaréen reconnait qu’il n’est pas l’égal de son Père, et que celui-ci est l’unique Dieu car nul ne peut rien arracher de la main de ce Père.
Et voici une manière de le prier !
Psaumes XXIII :
« EL-SHADDAÏ (---) est mon berger, rien ne me manque.
Sur des prés d'herbe fraîche il me parque. Vers les eaux du repos il me mène, il y refait mon âme; il me guide aux sentiers de justice à cause de son Nom.
Passerais-je un ravin de ténèbres, je ne crains aucun mal car tu es près de moi; ton bâton, ta houlette sont là qui me consolent.
Devant moi tu apprêtes une table face à mes adversaires; d'une onction tu me parfumes la tête, ma coupe déborde.
Oui, grâce et bonheur me pressent tous les jours de ma vie; ma demeure est la maison d’EL-SHADDAÏ (---) en la longueur des jours. »
Je viens de vous poser la merveilleuse prophétie du Dieu seul et unique EL-SHADDAÏ, qui est aussi votre Dieu « Dieu », mais moi le païen j’arrête l’hypocrisie et je lui donne un « NOM », pas un Nom de mon invention, mais le nom qu’un pasteur de troupeaux, bien avant Moïse, du nom d’Abraham, donna à cet Être invisible à ses yeux, le jour que ce Dieu c’est fait connaître à un humain.
I Pierre II : 3-8
« Si du moins vous avez goûté combien le Seigneur est excellent.
Approchez-vous de lui, la pierre vivante, rejetée par les hommes, mais choisie, précieuse auprès d’EL-SHADDAÏ.
Vous-mêmes, comme pierres vivantes, prêtez-vous à l'édification d'un édifice spirituel, pour un sacerdoce sain, en vue d'offrir des sacrifices spirituels, agréables à EL-SHADDAÏ par Jésus Christ.
Car il y a dans l'Écriture : Voici que je pose en Sion une pierre angulaire, choisie, précieuse, et celui qui se confie en elle ne sera pas confondu.
A vous donc, les croyants, l'honneur, mais pour les incrédules, la pierre qu'ont rejetée les constructeurs, celle-là est devenue la tête de l'angle, une pierre d'achoppement et un rocher qui fait tomber »
Vous constaterez que j'ai écrit « sacerdoce sain », et que volontairement j'ai supprimé le « t », afin que le sens réel de cette phrase soit dans la pensée de l'auteur car il ne parle pas d'un sacerdoce de vénération, adoration, glorification, mais d'un sacerdoce pur, propre, sans tache.
Il y a tant à écrire sur cette plus grande religion mondiale qui est la porte-parole de SAMMAËL, Prince de ce monde pour encore un « Temps » et qui par son emblème de la croix nous prouve à nous humains éclairés et réfléchis que cette religion est idolâtre et qu’au jour de la colère d’EL-SHADDAÏ ses statues, crucifix et autres s’écrouleront comme un château de carte. Pour le moment elle entraîne avec elle la mort d’un nombre incalculable d’humains qui ne reverront jamais plus cette Terre car ils sont retournés dans le néant.
Vous mes semblables ouvrez les yeux, les oreilles regardez la vérité devant et autour de vous et constatez la véracité de tout ce que vous venez de lire. Prenez le chemin qui mène à ce Dieu seul et unique celui que je nomme EL-SHADDAÏ comme Abraham.
Portez-vous bien !
Salutations cordiales !
Sig : JP.G. dit « GRANDELOUPO »