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Titre du blog : Critique réfléchie des Religions par GRANDELOUPO
Auteur : grande-loupo
Date de création : 30-04-2009
 
posté le 01-05-2015 à 01:15:30

50 av.JC – les humains  - Vercingétorix

 

 

Notre conscience, esprit sain

 

Chapitre N°1

 

Tous peuvent venir à

 

EL-SHADDAÏ

 

Comme je vous l’écris souvent, je suis un humain comme vous, avec mes qualités et mes défauts, comme vous, je suis un humain imparfait. Je ne suis pas supérieur à vous, car comme vous, tous les jours je dois lutter contre les tentations néfastes que Sammaël me tend, nous offre, sur un plat judicieusement garni afin que chaque humain puisse puiser avec une extrême facilité.

Comme exemple ?

Aujourd’hui votre parole, par la langue, dira un peu plus de mots grossiers, ou toujours par la langue, vous aurez tendance à calomnier plus facilement vos semblables, ou si au magasin la caissière se trompe en votre faveur, ne rien dire en empochant se supplément d’argent, etc, … Une multitude de petites fautes insignifiantes, machinales qui vont s’échelonner tout le long de la journée et qui le soir dans votre lit, vous donneront mauvaise conscience envers El-Shaddaï, rendant difficile votre endormissement.

Et si vous désirez trouver le sommeil il ne vous reste plus qu’à demander pardon à El- Shaddaï de cette mauvaise journée où, les « Principes » de ce Dieu Shaddaï, votre Dieu seul et unique, ont été oubliés involontairement.

Cet exemple est valable pour moi aussi, pour d’autres fautes encore plus subtiles, plus profondes, s’approchants encore plus de ce que je pourrai appeler la « perfection ».

En, effet tous les soirs, il est bon de faire un examen de conscience de la journée. Cet examen vous permettra de corriger vos fautes, jusqu’à la disparition totale de ce ou ces péchés. El- Shaddaï est un Dieu patient, qui sait très bien que pour corriger tel péché il vous faudra beaucoup plus de temps, que pour fustiger tel autre péché, car c’est un Dieu d’amour pour ses enfants, et comme un Père il nous fait comprendre où sont nos fautes afin que nous éradiquions cette faute, ce péché de notre esprit, de notre action, de notre langage, de notre cœur.

Bien sûr que je prends exemples sur moi-même et sur ma « Petite Vieille », mon épouse depuis quarante-trois ans. Toute ma vie j’ai cherché un véritable Dieu et je ne l’ai trouvé que quand « Lui », ce Dieu unique que je prie aujourd’hui, et pour lequel je démarche auprès de vous,  a bien voulu ce faire connaître.

Un peu de recul : j’ai fait ma vie qui est loin d’être une vie de « Saint »

Il est vrai que toute ma vie j’ai cherché au fond de moi le sentier qui mène vers un « Dieu » unique, un véritable DIEU.                        

Sur cette autoroute de spiritualité j’ai écouté des personnes qui me disaient que leur « Dieu » était le Dieu unique, celui qui donnait la « Vie Éternelle ». Sans compter ceux qui me contaient que par le « Dieu Jésus-Christ » je ressusciterais et que j’aurai la vie éternelle. Alors avec tous ces Dieux qui donnent la vie éternelle qui soi-disant ressusciteraient, nous allons nous retrouver à cette résurrection plus de quarante milliards d’êtres humains qu’il faudra nourrir. Avec sept milliards d’individus, deux milliards meurent de faim, alors ! …

Oui je connaissais la nature, son fonctionnement, la vie, la mort, mais je ne connaissais toujours pas ce « Dieu » unique. Je fréquentais ces gens du « Milieu », et tous allaient à l’église blablataient à un Prélat dans le confessionnal toutes leurs « conneries », puis allaient s’agenouiller dix minutes réciter je ne sais quoi à je ne sais qui ! A la sortie du Temple froidement vous sortait :

« Tu viens Polo, on va chez le Gus ramasser un peu d’oseille voir si ces Dames ont tapiné correctement »

J’arrivais à la quarantaine et toujours pas de véritable « Dieu » Ah !... Des « dieux » !... Les humains m’en ont donné à toutes les sauces

La cinquantaine toujours pas de « Dieu véritable », mais suite à une ablation de la rate à quarante-cinq ans, en cadeau de bienvenue l’hôpital m’a offert un de ces microbes inguérissables qui vous entraine très rapidement vers « DAME MORT » que l’on nomme maladie « Nosocomiale. ». Je sais qu’il ne me reste plus beaucoup de temps à passer sur cette Terre En cinq ans le corps c’est détérioré à une vitesse phénoménale. Maintenant il me faut des béquilles, puis un lit médicalisé, un rehausseur pour les toilettes, plus l’aide d’une personne pour les toilettes intimes, enfin je suis un « légume » ou presque !

Et cette maladie que personne ne connaît !

Ce que je vous écris, c’est toujours cette période de temps entre mes quarante-cinq ans et la cinquantaine. Je n’ai toujours pas trouvé ce Dieu unique. J’ai fait jouer mes relations pour récupérer mon permis de conduire. Puis j’ai peut-être fait le mauvais choix, car désirant continuer à travailler je suis passé par la COTOREP ! … J’ignorais qu’à l’âge de la retraite ils nous coupaient tous, Ceci fait partie des injustices des Lois Françaises. Moins vous en faites et plus vous touché par l’État.

La cinquantaine était passé, le microbe continuait à faire son travail, et toujours pas de « Dieu » dans le sens où je considérais qu’il en existait bien un au-dessus de ma tête, la–haut dans cette immensité, un véritable Dieu qui soit un « Dieu », c’est-à-dire seul et unique. C’est à cette époque que, à ce Dieu, que je ne voulais pas appeler « Dieu », je demandais sans trop y croire, une chose, pas pour moi, non, mais pour mon compagnon de misère et dans les deux heures qui suivirent, je fus exaucé.

Quel fut mon étonnement !

Quelqu’un au-dessus de ma tête écoutaient mes prières et les mettaient en œuvres !

N’y croyant pas trop, il y aura bien un moment où j’aurai besoin de lui et qu’il se fera connaître comme le Seul et Véritable Dieu de tout le Cosmos, l’Univers.

Des prières j’en ai récité et des toutes faites genre « Notre Père, Mea-culpa, je vous salue Marie » Du vent ! Des Prières pour le vent !

Enfin les cinquante ans étaient déjà entamés, et juste des prémices d’un « Dieu » Enfin rien !

Le second événement allait venir beaucoup plus rapidement que je ne le pensais. La chose est vague dans mon esprit. Enfin, il advint, quelques  temps plus tard, de demander à ce « Dieu » une énormité. Je ne me souviens plus exactement, mais ce que je sais est tellement énorme qu’il était impossible pour moi qu’un « Dieu » accepta cette demande. Non n’ayez crainte ce n’est pas de l’argent, ou de gagner une grosse somme au tierce, où de quelque chose de similaire, de matériel.

Une chose est sûr, c’est que cette énormité me fut offert dans l’heure qui suivi, mon épouse en était ébahi. Ce ne pouvait-être que le véritable « DIEU » qui me poussa à ouvrir ce livre BIBLE de Jérusalem, à feuilleter les pages et à tomber exactement sur ce que je cherchais. Non pas un verset comme ces Chrétiens, Témoins de Jéhovah, Évangéliques, Adventiste du 7ème jour, Étudiant de la Bible, Scientologue, etc, non pas un verset mais un ensemble de phrases qui se succèdent le tout formant ce que je cherchais. J’appelais mon épouse et lui laissait lire les trois ou quatre feuilles.

Mon épouse :

« Mis à notre époque c’est exactement ce que tu cherchais, j’en déduis, que tu as trouvé ce que tu cherchais, le véritable « DIEU »

Pas de prière juste la pensé et le cœur et ce jour-là EL-SHADDAÏ, je ne le nommais pas ainsi me fit voir son sentier. Tu es libre de le prendre ou de continuer ton chemin.

Comme écrit plus haut, même à cette époque je n’étais pas un « Saint »

Nous relisions sans cesse ces passages bibliques, et nous nous serrâmes fort, l’un contre l’autre car ce « Dieu » avait exaucé notre prière dans l’heure où nous avions réclamé nous avions reçu.

Maintenant j’ouvrai ce livre bible, en quête de la vérité. L’Être-Suprême comme je le nommais maintenant guidait mon Esprit. Quand j’écris Esprit ici, c’est l’Esprit d’Intelligence, le Souffle de l’Être-Suprême

Job XXXII : 6-9

« Et il prit la parole, lui, Élihu, fils de Barakéel le Buzite, et il dit :

« Je suis tout jeune encore, et vous êtes des anciens. Aussi je craignais, intimidé, de vous manifester mon savoir.

Je me disais : « L'âge parlera, les années nombreuses feront connaître la sagesse. »

A la vérité, c'est un esprit dans l'homme, c'est le souffle de Shaddaï qui rend intelligent.

Le grand âge ne donne pas la sagesse, ni la vieillesse l'intelligence de ce qui est juste. »

J’avançais maintenant, non erreur, nous avancions sur le Sentier de l’Être-Suprême. Que de joie, que de bonheur !

La maladie faisait son travail !

Oui, mais l’humain que j’étais, se transforma aussi dans le sens spirituel. Que de combats personnels tous les jours il fallait engager. Pendant cette période de deux à trois ans, j’ai combattu contre « DAME MORT » et j’ai perdu beaucoup d’humains qui se considéraient des amis, disons plutôt de bonne relation.

C’est pendant cette période que je fis connaissance d’un QUIDAM qui entra dans ma vie étrangement et il resta au sein de notre demeure façon de parler. Le soir nous dissertions pendant des heures où il m’enseigna volontairement ou involontairement, le fait est que j’appris beaucoup de cet humain Bible en main, il me fit voir le NOM de ce « DIEU » unique qu’il nommait comme Abraham « EL-SHADDAÏ » qui signifie « Dieu au-dessus des Montagnes. »

Puis il m’enseigna d’autres livres considérés comme apocryphes par la religion des hommes. Grâce à cet humain et avec l’aide du « Souffle d’Intelligence » j’ai trouvé des livres remarquables.

Depuis ce temps EL-SHADDAÏ m’a donné ce qui est inimaginable pour le commun des mortels.

Moi, le voyou, homme autoritaire, bagarreur, qui a commis adultère, fornication, qui dans sa vie à connu le milieu carcéral, même dans la cinquantaine, il a fallu que je trouve le véritable « DIEU » pour que je quitte cette vie de débauche et que je me transforme sincèrement intérieurement pour que ce « DIEU » me pardonne tous ces péchés, ces fautes, car aujourd’hui je me souviens du jour où EL-SHADDAÏ a absous ces péchés et ce n’est pas une absolution d’un humain, cela je le confirme.

Je me suis même permis de lui demander une « VIE ».

JE certifie que ce Dieu EL-SHADDAÏ m’a donné la « VIE » que je lui demandais. Cet humain vit toujours, et pour les gens qui sont au courant, par le travail et le comportement de cette enfant tous disent : « Cette enfant lui a bien été donnée, elle n’a pas connue les douleurs de la délivrance, son enfant n’a jamais connu les maladies enfantines et autres, un médecin il l’ignore, maintenant à l’école elle est une des meilleurs de sa classe »

La personne intéressée ait bien obligé de reconnaître que cette enfant a quelque chose de plus que ses sœurs.

Je ne vous conterais pas toutes les choses merveilleuses que nous avons vues, mon épouse et moi, car vous nous traiteriez de menteurs, en nous prenant pour des simples d’esprits, des hâbleurs, charlatans, fanfarons, esbroufeurs, mythomanes, etc.

Une chose est certaine, si je vous écris depuis plusieurs années alors que je devrais être en terre depuis longtemps, c’est pour vous faire connaître ce Dieu seul et unique, ce Dieu SHADDAÏ, qui est le père géniteur de Jésus le Nazaréen, celui que vous nommez Jésus-Christ, ce dernier n’étant pas un Dieu, ni l’égal de son Père, mais notre Roi sur la Terre et pour le moment notre « Médiateur ».

J’ignore si tous mes semblables qui sont venus dans notre Paradis ont essayé de trouver le sentier qui mène à EL-SHADDAÏ ou l’ont tout simplement rejeté. Parmi mes propres enfants je sais, qu’il y en a un qui s’en fou royalement, que l’autre ne veut pas l’admettre et pourtant lui !..., qu’une autre est sur le chemin de l’Être-Suprême sans le savoir, quand à ma dernière fille elle pense à EL-SHADDAÏ quand cela l’arrange, comme les chrétiens, sans les idoles tel que les croix statues ou tout autres objets qui lui ferait penser à l’idolâtrie.

Je certifie qu’EL-SHADDAÏ n’est pas responsable de la maladie « nosocomiale » contracté à l’hôpital, par contre je sais qu’il est responsable de tous ces jours de vie supplémentaire et qui met dans l’étonnement les deux médecins qui me suivent, en premier notre médecin de famille qui avait prophétisé à mon épouse que je n’arriverai jamais jusqu’à soixante-cinq ans, et je suis aujourd’hui dans ma soixante-neuvième année, ce qui est pour lui incompréhensible car je vie sur cette Terre contre la logique médicinale, et il en est de même pour le spécialiste qui me suit depuis dix ans à l’hôpital.

Je vous écris cette partie de ma vie pour vous prouver qu’EL-SHADDAÏ pardonne beaucoup de péchés, mais je n’ai jamais commis le contre-nature. Si vous faites un pas vers Lui, il en fait dix vers vous, et si vous allez vers Lui avec sincérité, sans hypocrisie, il aplanît le sentier qui  mène à Lui car il désire que vous soyez son enfant, et comme un père il vous aimera, vous cajolera, et vous corrigera quand vous fauterez, tout cela je le confirme pour l’avoir vécu.

Comme je l’ai été, vous êtes seul pour faire votre choix, seul de votre décision, car comme ce Dieu que je vénère, comme nous sommes son image, son reflet, nous sommes de petit Dieu sur la Terre, nous sommes responsable de nous-même devant sa face, libre de notre choix, car contrairement à l’animal qui vie par instinct, nous pouvons réfléchir, raisonner, penser puisque nous sommes inventeur, créateur, et volontairement nous choisissons la vie ou le néant.

Croyez-vous sincèrement que la vie que nous menons sur la Terre était celle prévue par celui qui nous a créés ? … ?

Je reviendrai sur cette réflexion !

Pour ce jour je vous laisse à votre réflexion, votre raisonnement.

Portez-vous bien et prenez soins de votre maisonnée en accord avec les Lois d’EL-SHADDAÏ et les Enseignements de Jésus le Nazaréen !

Salutations cordiales à Tous !

Sig : JP.G. dit « GRANDELOUPO »