Conscience, esprit Sain
Dans les écrits qui suivent vous remarquerez que j’écris esprit « Sain », et que ce mot « sain » sera souvent écrit comme je viens de le faire. Il n’y a pas de faute d’orthographe car je parle de l’esprit « Sain », celui qui est pure sans tache, qui possède la « Sagesse » et l’ « Intelligence ».
L’autre « Saint » est une vénération, glorification, sanctification mais aucunement propre, pur, une preuve flagrante, réelle, indémontable puisque c’est l’esprit de la religion chrétienne, esprit d’idolâtrie, les fidèles se signant devant un crucifix fait de bois et devant une statue de pierre qui représente une femme.
Alors vous mes semblables dessillez vos yeux et vos oreilles pour devenir les enfants d’EL-SHADDAÏ, des enfants « Sains » et non « Saints ».
Dernières phrases du chapitre précédent
Tout ce que je viens de vous écrire ce n’est pas grâce à « l’Esprit-Saint », mais plutôt avec un « esprit sain », celui qu’EL-SHADDAÏ aime, car c’est lui qui éclaire mon « Esprit ».
Pour en revenir à l’évangile de Matthieu sur ce passage biblique, Jésus le Nazaréen met en garde les Prêtres Pharisiens du Temple qui font partie du Sanhédrin, sur leurs actions et l’esprit qui les guide. Donc il faut savoir si l’auteur faisant parler Jésus, pense à l’Esprit d’El-Shaddaï ou à El-Shaddaï lui-même en tant que spectre, car en premier il y a faute d’orthographe puisque « l’Esprit, la pensée, réflexion, raisonnement est SAIN » et si c’est la matière qui contient l’esprit que je viens de citer, c’est-à-dire El-Shaddaï en tant qu’être alors il est « Sain » et « Saint » car propre, sans tache, parfait, mais aussi un Dieu seul et unique que tous les humains devraient vénérer, adorer, glorifier, sanctifier pour tous les bienfaits qu’il leur offre.
En effet les Pharisiens parlant en mal d’El-Shaddaï et de ses actions blasphèment contre la personne et contre les pensées de celle-ci.
Chapitre V
Esprit SAIN, pur, parfait, sans tache
Je continue sur l’orthographe de « l’Esprit-Saint » ou « Saint-Esprit » car selon cette écriture la pensé, l’action, voir le personnage, tout devient différent.
Matthieu III : 13-17
Alors Jésus arrive de la Galilée au Jourdain, vers Jean, pour être baptisé par lui.
Celui-ci l'en détournait, en disant :
« C'est moi qui ai besoin d'être baptisé par toi, et toi, tu viens à moi ! »
Mais Jésus lui répondit :
« Laisse faire pour l'instant : car c'est ainsi qu'il nous convient d'accomplir toute justice. »
Alors il le laisse faire.
Ayant été baptisé, Jésus aussitôt remonta de l'eau ; et voici que les cieux s'ouvrirent : il vit l'Esprit de Dieu descendre comme une colombe et venir sur lui.
Et voici qu'une voix venue des cieux disait :
« Celui-ci est mon Fils bien-aimé, qui a toute ma faveur. »
Luc III : 16, 21-22
« Jean prit la parole et leur dit à tous :
« Pour moi, je vous baptise avec de l'eau, mais vient le plus fort que moi, et je ne suis pas digne de délier la courroie de ses sandales ; lui vous baptisera dans l'Esprit Saint et le feu. »
Or il advint, une fois que tout le peuple eut été baptisé et au moment où Jésus, baptisé lui aussi, se trouvait en prière, que le ciel s'ouvrit, et l'Esprit Saint descendit sur lui sous une forme corporelle, comme une colombe. Et une voix partit du ciel :
« Tu es mon fils ; moi, aujourd'hui, je t'ai engendré. » »
Jean I : 32-33
« Et Jean rendit témoignage en disant :
« J'ai vu l'Esprit descendre, tel une colombe venant du ciel, et demeurer sur lui.
Et moi, je ne le connaissais pas, mais celui qui m'a envoyé baptiser dans l'eau, celui-là m'avait dit :
«Celui sur qui tu verras l'Esprit descendre et demeurer, c'est lui qui baptise dans l'Esprit Saint. » »
Comme vous pouvez le constater l’écriture d’un mot ou d’un terme de mots avec son orthographe a beaucoup d’importance. Trois évangélistes, deux Disciples, Matthieu et Luc, et un Apôtre, Jean, sur une même action, qui est le baptême de Jésus le Nazôréen, et une confirmation céleste orale de la parenté qui existe entre cet humain et le Dieu unique de tout l’univers, par l’écriture, le sens actif n’est pas le même. D’un côté vous avez « l’Esprit-Saint », de l’autre sûrement plus réel, uniquement « l’Esprit d’EL-SHADDAÏ » comme l’écrit Matthieu, et le mot « l’Esprit » dans la transcription de Jean l’Évangéliste.
Comme déjà expliqué, ces versets confirmant l’intégrité, l’exactitude de ma démonstration précédente sur l’invisibilité de « l’Esprit », il faut que cet « Esprit » soit matérialisé en quelque chose de visible pour l’œil humain.
En lisant l’histoire du baptême de Jésus le Nazôréen, -- Jésus-Christ pour le christianisme – nous constatons que les trois écrivains se complètent pour la représentation matériel de « l’Esprit », qui, contrairement à l’iconographie, n’est pas une colombe mais un être volant ressemblant à ce volatile, descendant des Cieux pour se fixer sur un humain bien précis dont une voix Céleste le désigne comme étant son « Fils Bien-Aimé », puis se confondre avec la tête humaine et disparaître dans l’invisible.
Reportons-nous, par notre cerveau c’est-à-dire l’esprit, à cette époque, sur les bords du Jourdain où Jean, le cousin direct de Jésus le Nazaréen, baptise ses semblables dans les eaux de ce fleuve, d’où son surnom de Baptiste, et que vient le tour de son cousin pour le baptême, ce qu’il fait, et une fois cette action faite, dans l’instant, les spectateurs involontaire de ce phénomène eurent l’impression que le ciel s’ouvrait comme un livre, entendant comme une voix de tonnerre prononcer la reconnaissance de Jésus le Nazôréen comme fils, en voyant cet être volatile étincelant et resplendissant descendre sur la tête de cet homme, restant un instant immobile au-dessus de celui-ci afin que toute l’assemblée humaine servit de témoin de ce prodige, avant de disparaître.
Les humains qui vissent cette manifestation surnaturelle ont dû être secoués et les images du baptême de Jésus le Nazaréen, restèrent, certainement, longtemps marquées dans leur esprit de mémoire comme un fer rouge.
Pour le Disciple Matthieu, cet animal volant ressemblant à une colombe c’est « l’Esprit d’EL-SHADDAÏ, -- l’Esprit de Dieu pour toute la chrétienté -- » qui descend sur son Fils, ce qui signifie que son père géniteur ne lui a pas tout donné à sa naissance, et que ce Fils si puissant soit-il sur la Terre, a besoin de son père pour avoir un degré supérieur d’Intelligence et de Sagesse pour suivre son ministère.
Le Disciple Luc parle de « l’Esprit-Saint », mais si la pensée est la même que l’évangéliste Matthieu ou Marc, c’est-à-dire que Jésus le Nazaréen reçoit de la part de son père une ouverture d’esprit donc d’Intelligence comme écrit ci-dessus, il y a une faute d’orthographe importante car l’esprit d’El-Shaddaï est avant toute chose « SAIN ». Tous les exégètes savent que les Évangiles ainsi que les Lettres et Épîtres du Nouveau Testament ont été remanié par des copistes sans scrupule qui ont ajouté, retranché, ajusté des mots et des phrases. L’exemple est avéré par :
« // lui vous baptisera dans l’Esprit-Saint et le feu. »
J’ai cherché ce que cela voulait dire. Eh bien, je dois l’avouer, sur ce coup je reste un nigaud, un humain peu instruit, et j’espérais qu’El-Shaddaï éclairerait mon esprit, mais rien, le vide. Peut-être que si je décomposais ?
« Lui » représente Jésus le Nazaréen, -- votre Jésus-Christ – « dans l’Esprit-Saint », je pense dans ce que médite El-Shaddaï, mais cela est impossible car on ne peut baptiser un humain dans une méditation, encore plus dans celle du Dieu unique. De plus, le baptême signifie se laver complètement, dans un sens péjoratif, changer de vie, de comportement, d’actions, de pensés, en abandonnant tout ce qui est mauvais, pour ce vêtir d’un habit propre, sans les taches du péché.
Donc « baptiser dans l’Esprit-Saint » devrait annoncer à ses semblables que l’on change d’esprit, fini médisance, fourberie, mensonge, fornication ou adultère, rapine, pensés belliqueuses, et bien d’autres, car l’humain par le baptême essayera d’avoir un « Esprit Sain ». Maintenant je commence à comprendre si l’on emploie le mot « Sain » dans le sens de net, immaculé, pur, nettoyé, mais aussi explicite, intelligent, franc, carré, clair, ce qui est « l’Esprit » d’El-Shaddaï, un « Esprit-Sain ».
Alors que vient faire le feu ?
Le feu représente la souffrance à cause des brûlures, mais aussi la destruction complète de quelque chose, la purification par l’anéantissement, car une fois le feu passé, il ne reste derrière lui que ruine, désolation, affliction et chagrin. Je suis obligé de dire que le terme « // et le feu » est un ajout de copiste.
Si avec attention nous relisons ce verset nous pouvons même dire que l’ensemble de mot « ; lui vous baptisera dans l’Esprit-Saint et le feu » est un ajout à ce verset. A moins que ce verset ne s’écrive à son origine ainsi : « Pour moi, je vous baptise avec de l'eau, mais vient plus fort que moi, et je ne suis pas digne de délier la courroie de ses sandales car lui vous baptisera par l'Esprit Sain. »
Comme vous venez de le lire je n’ai pour ainsi dire rien fait, juste supprimé le point-virgule que j’ai remplacé par une coordination, écrit le mot « sain » sans le « t » et supprimé « et le feu », mais le sens de la phrase prend tout de suite de l’intérêt car Jésus le Nazaréen ne baptise plus « dans », mais « par », et l’Esprit n’est plus une vénération, mais une pureté, une perfection.
Tout ce que je viens d’écrire ne vient que d’un raisonnement logique et, comme à chaque fois, n’engage que moi, toutefois reconnaissez que … !
Toujours dans ce contexte d’Esprit « Saint » ou d’Esprit « Sain », Jésus le Nazôréen prévient et encourage ses Apôtres et Disciples afin qu’ils perdent ou qu’ils atténuent leur angoisse au moment où … !
Luc XII : 11-12
« Lorsqu'on vous conduira devant les synagogues, les magistrats et les autorités, ne cherchez pas avec inquiétude comment vous défendre ou que dire, car le Saint Esprit vous enseignera à cette heure même ce qu'il faut dire. »
Marc XIII : 11
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« Et quand on vous emmènera pour vous livrer, ne vous préoccupez pas de ce que vous direz, mais dites ce qui vous sera donné sur le moment : car ce n'est pas vous qui parlerez, mais l'Esprit Saint. » Deux Évangélistes, pour le premier, le Disciple Luc, c’est le « Saint-Esprit », pour le second, le Disciple Marc, c’est « l’Esprit-Saint ». Je ne vais pas recommencer l’explication que j’ai déjà écrit précédemment au sujet du « Saint-Esprit et Sain Esprit », simplement que Luc donne une explication où l’aide à la personne sera donnée par « l’Esprit d’Intelligence », donc « Saint » devrait être écrit sans le « t », soit « SAIN » car la réflexion, le raisonnement sera donné au cerveau humain, au moment de parler, où sans réfléchir la langue se déliera. Pour Marc l’explication devient un peu plus compliquée. En effet comme déroulé ci-dessus dans le troisième chapitre de Luc, il semblerait que le texte après le point-virgule soit un ajout de copiste. Ce petit bout de phrase est insidieux, voir perfide car il laisserait supposer que « l’Esprit-Saint » est une personne invisible qui parlerait à leur place. Le christianisme ou la chrétienté, comme vous voudrez, se sert de petit bout de phrase comme celle-ci pour enseigner à leurs ouailles la « Sainte-Trinité » qui est une pure invention humaine. Plus je lis et relis ce verset onze avec ce qui est avant et ce qui est après, plus je suis convaincu que cette fin de phrase est un ajout de copiste, car « mais dites ce qui vous sera donné sur le moment » et « car ce n’est pas vous qui parlerez, mais l’Esprit-Saint » soient un pléonasme déguisé, voir sournois. Il ne faut pas oublier que les Évangiles sont l’histoire authentique, historique de la vie d’un homme hors du commun, un Galiléen nommé universellement par les humains Jésus-Christ, et que moi, le païen nomme Jésus le Nazaréen ou Nazôréen, pendant une période donné, dans ce que nous nommons « Antiquité », et de l’Enseignement moral et spirituel de vie qu’il a laissé pour la race humaine. Nous ne devons pas négliger que l’Ancien Testament est aussi l’histoire d’un peuple choisit par le Dieu seul et unique de tout l’Univers, mais aussi que cet ensemble de livres renferment les Lois et Enseignements de ce Dieu pour l’humanité universelle, voilà pourquoi ce Galiléen qui n’a jamais déclaré qu’il était le Fils de ce Dieu, mais un Fils d’Homme ou Fils de l’Homme, et qui nomma toujours ce Dieu « Père », affirma de son vivant, qu’il n’était pas venue sur Terre pour abroger les Lois et Préceptes de son Père géniteur, mais les accomplir. Après ce petit rappel historique, je continue, grâce à mon cerveau, où loge mon « esprit », qui est la forme invisible de mon raisonnement, de ma réflexion, de ma pensé, le tout pesant sur mes sentiments, sur mon cœur qui est automatiquement en relation avec cet « esprit », à écrire sur « l’Esprit-Saint et Saint-Esprit » des Évangiles incorporés dans le Nouveau Testament. Jean XX : 21-23 -- Jésus est décédé. Après être ressuscité de la mort par son Père, El-Shaddaï, il rend visite à ses Apôtres. « Il leur dit alors, de nouveau : « Paix à vous ! Comme le Père m'a envoyé, moi aussi je vous envoie. » Ayant dit cela, il souffla sur eux et leur dit : « Recevez l'Esprit Saint. Ceux à qui vous remettrez les péchés, ils leur seront remis ; ceux à qui vous les retiendrez, ils leur seront retenus. » » Luc XXIV : 49 -- Jésus est décédé voilà trois jours. Maintenant ressuscité par son Père, il se fait voir au onze Apôtres et après avoir mangé avec eux il leur insuffle « l’Esprit d’Intelligence » pour qu’ils comprennent les « Écritures » en attendant qu’ils reçoivent celui de son Père. « Et voici que moi, je vais envoyer sur vous ce que mon Père a promis. Vous donc, demeurez dans la ville jusqu'à ce que vous soyez revêtus de la force d'en-haut. » De vous-même vous constatez l’importance de l’orthographe d’un mot. Dans cet évangile de Jean, Jésus le Nazaréen souffle sur les Apôtres afin de leur ouvrir l’Esprit sur la compréhension des « Écritures », ainsi que leur sens. Là, si je sais lire, le mot « Saint » désigne la sanctification, vénération, glorification, ce qui rend le geste de Jésus le Nazaréen nul, caduc, car recevoir un « Esprit d’adoration » ne donne en aucun cas le discernement des « Textes prophétiques ». Alors Jésus le Nazôréen envoya un souffle « Sain » c’est-à-dire quelque chose qui allait rendre les Apôtres plus intelligent, j’en déduis que ce vent était un souffle pur, propre, sans tache, donc Jésus le Nazaréen a dit : « Recevez « l’Esprit Sain » ! » Avant les prochains écrits et par la lecture de ceux-ci demandez à ce Dieu unique d’acquérir la « Sagesse », car par elle, vous avancerez sur le chemin d’EL-SHADDAÏ et votre transformation de penser et d’action sur cette Terre vous mènera vers un début de Paradis sur celle-ci et une « Demeure » dans les Cieux en attendant votre résurrection. Portez-vous bien ! Cordiales salutations à Tous ! Sig : JP.G. dit « GRANDELOUPO » |
Commentaires
Bravo pour la photo du jour !!!