Conscience, esprit Sain
Dans les écrits qui suivent vous remarquerez que j’écris esprit « Sain », et que ce mot « sain » sera souvent écrit comme je viens de le faire. Il n’y a pas de faute d’orthographe car je parle de l’esprit « Sain », celui qui est pure sans tache, qui possède la « Sagesse » et l’ « Intelligence ».
L’autre « Saint » est une vénération, glorification, sanctification mais aucunement propre, pur, une preuve flagrante, réelle, indémontable puisque c’est l’esprit de la religion chrétienne, esprit d’idolâtrie, les fidèles se signant devant un crucifix fait de bois et devant une statue de pierre qui représente une femme.
Alors vous mes semblables dessillez vos yeux et vos oreilles pour devenir les enfants d’EL-SHADDAÏ, des enfants « Sains » et non « Saints ».
Dernières phrases du chapitre précédent
Luc XXIV : 49 -- Jésus est décédé voilà trois jours. Maintenant ressuscité par son Père, il se fait voir au onze Apôtres et après avoir mangé avec eux il leur insuffle « l’Esprit d’Intelligence » pour qu’ils comprennent les « Écritures » en attendant qu’ils reçoivent celui de son Père.
« Et voici que moi, je vais envoyer sur vous ce que mon Père a promis. Vous donc, demeurez dans la ville jusqu'à ce que vous soyez revêtus de la force d'en-haut. »
De vous-même vous constatez l’importance de l’orthographe d’un mot. Dans cet évangile de Jean, Jésus le Nazaréen souffle sur les Apôtres afin de leur ouvrir l’Esprit sur la compréhension des « Écritures », ainsi que leur sens. Là, si je sais lire, le mot « Saint » désigne la sanctification, vénération, glorification, ce qui rend le geste de Jésus le Nazaréen nul, caduc, car recevoir un « Esprit d’adoration » ne donne en aucun cas le discernement des « Textes prophétiques ». Alors Jésus le Nazôréen envoya un souffle « Sain » c’est-à-dire quelque chose qui allait rendre les Apôtres plus intelligent, j’en déduis que ce vent était un souffle pur, propre, sans tache, donc Jésus le Nazaréen a dit :
« Recevez « l’Esprit Sain » ! »
Chapitre N° VI
Souffle d’Intelligence
|
Observez bien ce qu’une seule lettre peut faire ; nous passons d’une vénération à une perfection ce qui n’est pas la même chose. Le verset 49 de Luc donnant une confirmation de ce que je viens d’écrire et même plus, il prouve que Jésus le Nazaréen n’a pas la puissance de son Père car il convainc ses Apôtres à rester dans la ville jusqu’à « qu’ils soient revêtus de la force d’en haut », cette force étant bien entendu celle d’El-Shaddaï, Père de Jésus le Nazaréen. Les Actes des Apôtres I : 3-8 C'est encore à eux qu'avec de nombreuses preuves il s'était présenté vivant après sa passion ; pendant quarante jours, il leur était apparu et les avait entretenus du Royaume d’EL-SHADDAÏ – (de Dieu pour les chrétiens) Alors, au cours d'un repas qu'il partageait avec eux, il leur enjoignit de ne pas s'éloigner de Jérusalem, mais d'y attendre ce que le Père avait promis, ce que, dit-il, vous avez entendu de ma bouche : « Jean, lui, a baptisé avec de l'eau, mais vous, c'est dans l'Esprit Saint que vous serez baptisés sous peu de jours. » Étant donc réunis, ils l'interrogeaient ainsi : « Seigneur, est-ce maintenant, le temps où tu vas restaurer la royauté en Israël ? » Il leur répondit : « Il ne vous appartient pas de connaître les temps et moments que le Père a fixés de sa seule autorité. Mais vous allez recevoir une force, celle de l'Esprit Saint qui descendra sur vous. Vous serez alors mes témoins à Jérusalem, dans toute la Judée et la Samarie, et jusqu'aux extrémités de la terre. » Quand cette scène se passe, Apôtres et Disciples sont réunis dans une même pièce, mais Jésus le Nazaréen s’adresse aux Apôtres personnellement quand il leur demande de rester à Jérusalem. Vous mes semblables, vous qui êtes sans aucun doute chrétien, je vous demande de supprimer le « t » du mot « saint » et de relire le contexte avec « Esprit SAIN » vous comprendrez que l’atmosphère qui régnait dans la pièce était tout autre et que l’on parlait de pureté et non de vénération. Toujours en restant sur le même raisonnement ! |
Les Actes des Apôtres II : 1-11 -- La Pentecôte – Jésus le Nazaréen est décédé voilà quarante jours, mais il fut ressuscité par son Père EL-SHADDAÏ, ce Dieu seul et unique, que la chrétienté par hypocrisie nomme « Dieu », n’ayant pas l’honnêteté de lui donner un « Nom », afin que son corps ne goûte pas l’odeur de la mort, car il fallait une victoire complète sur celle-ci. De sources historiques certaines, ce Galiléen fut aperçut par plus de cinq-cents humains dans tout le pays, Judée, Samarie, Galilée, etc, pendant les quarante jours qui précédèrent son « Ascension » ou « Élévation » de la Terre. Pendant cette période les Apôtres et Disciples de Jésus le Nazaréen reçurent un enseignement privé et spécial qui donnèrent aux Disciples, Apôtres compris, certains pouvoirs, dont une « Intelligence » supérieur à la moyenne humaine de l’époque, ceci est un fait établi.
Comme beaucoup de mes semblables chrétiens, vous l’êtes peut-être, ne faites pas l’erreur de penser que Jésus le Nazaréen ne se présentait qu’aux Apôtres. Jean au chapitre vingt de son Évangile parle bien des « Disciples », donc quand Jésus leur dit : « Paix à vous » il dit ces paroles à ses « Disciples » et parmi eux il y a des Apôtres.
Par le « Souffle » de Jésus le Nazaréen, Disciples et Apôtres à égalité acquièrent une compréhension des « Écritures », mais aussi de certains « Mystères » des Cieux, sans compter sur la force intellectuelle et magnétique, si je peux m’exprimer ainsi, que Jésus le Nazaréen leur transmet par ce « Souffle » surnaturel.
Pour le moment et jusqu’au jour de la Pentecôte, Disciples et Apôtres ont les mêmes connaissances, mêmes pouvoirs, à égalité. Par ce que j’ai écrit ci-dessus et ce que je vais écrire ci-dessous, vous allez, obligatoirement si vous êtes honnête avec vous-même, constater que Jésus le Nazôréen n’est pas l’égal de son Père, la différence est énorme, comme-ci vous compareriez un éléphant et une puce, donc il ne peut-être un « Dieu » comme cette chrétienté veut le faire croire à ses ouailles, les éloignant du véritable « Dieu », donc, de la résurrection et de la vie éternelle un jour sur cette Terre.
« Le jour de la Pentecôte étant arrivé, ils se trouvaient tous ensemble dans un même lieu, quand, tout à coup, vint du ciel un bruit tel que celui d'un violent coup de vent, qui remplit toute la maison où ils se tenaient.
Ils virent apparaître des langues qu'on eût dites de feu ; elles se partageaient, et il s'en posa une sur chacun d'eux.
Tous
furent alors remplis de l'Esprit
Sain(t)
et commencèrent à parler en
d'autres langues, selon que l'Esprit
leur donnait de s'exprimer.
Or il y avait, demeurant à Jérusalem, des hommes dévots de toutes les nations qui sont sous le ciel.
Au bruit qui se produisit, la multitude se rassembla et fut confondue : chacun les entendait parler en son propre idiome.
Ils étaient stupéfaits, et, tout étonnés, ils disaient : « Ces hommes qui parlent, ne sont-ils pas tous Galiléens ?
Comment se fait-il alors que chacun de nous les entende dans son propre idiome maternel ?
Parthes, Mèdes et Élamites, habitants de Mésopotamie, de Judée et de Cappadoce, du Pont et d'Asie, de Phrygie et de Pamphylie, d'Égypte et de cette partie de la Libye qui est proche de Cyrène, Romains en résidence, tant Juifs que prosélytes, Crétois et Arabes, nous les entendons publier dans notre langue les merveilles --d’EL-SHADDAÏ,--de Dieu ! »
Qu’est-ce-que
cet « Esprit-Sain(t) »
de la Pentecôte ?
Nous venons de voir par les Évangiles ce que représente cet « Esprit-Saint » chrétien qui n’a rien avoir avec le véritable « Esprit SAIN » d’El-Shaddaï, lui qui possède un « Esprit », pur, propre, sans tache, sans même l’ombre du péché, donc « SAIN » clair comme le cristal, pur comme l’or précieux.
Comme déjà écrit je ne sais combien de fois, « l’Esprit » est invisible, éphémère comme un coup de vent voilà pourquoi ce Dieu seul et unique est obligé de le représenter comme une chose visible par l’humain, mais le plus proche de ce qu’est « l’Esprit ». Voilà pourquoi El-Shaddaï a symbolisé « l’Esprit » par ce qui ressemble à des langues de feu, et, pour être plus près de la réalité je dirai des flammèches de feu, celles qui quand vous faites un grand feu, naissent avec des formes bizarres, s’élèvent et disparaissent de l’âtre.
Ces humains, les Apôtres avaient déjà reçu le « Souffle d’Intelligence », ce « Souffle » que la chrétienté nomme « Esprit-Saint », terme très mal usité par la hiérarchie de cette religion, les Écritures disant que Jésus le Nazaréen « insuffla » ou « souffla » sur eux, donc il envoya un « Vent » sur ses Disciples et Apôtres, et ceux-ci furent ouvert à la compréhension des « Écritures » et pouvaient « remettre » c’est-à-dire absoudre, gracier, acquitter un humain de ses fautes, ses péchés passés, en un mot pardonner, mais si ils refusaient ce pardon à un humain, jamais celui-ci ne serait libéré, gracié de ses fautes. Cela, avant la Pentecôte leur donnait déjà une grande puissance, car il devenait des Juges de la résurrection, des Juges Célestes. Juger ses semblables devait être une charge lourde à porter, car là, il est question de vie ou de mort, l’alternative n’existant pas, donc refuser le pardon à un humain était dans le sens moral et spirituel quelque chose d’important et il fallait être, soi-même d’une tenue irréprochable.
Je reviendrai sur ce thème en fin d’écriture car il mérite réflexion !
En plus il était important que les humains qui étaient à proximité des Apôtres discernent la transformation « d’Esprit », intellectuelle de ces douze semblables, mais avant il fallait les interloquer, surprendre, confondre, stupéfier par quelque chose d’anormal, de crainte, car ils ne pouvaient voir n’étant pas dans la pièce.
Faisons un saut de deux mille ans en arrière !
Imaginons-nous ! La maison où ont l’habitude de venir les Apôtres et Disciples doit-être un habitat cossu, imposant. Les douze Apôtres sont réunis à l’intérieur pour converser et prier, pendant ce temps, dans la rue, autour de cette demeure des humains vont çà et là à leurs vacations, quand, soudain, un grand bruit, suivit d’un coup de vent bizarrement sur cette maison uniquement les surpris, les faisant sursauter, leur regard et attention les dirigeant vers cette bâtisse où étaient les Apôtres.
Quant aux Apôtres, chacun est un témoin visuel de l’autre constatant en dehors de ce bruit assourdissant, comme un coup de vent, qu’une flammèches de feu, comme les feux follets que l’on voit la nuit dans les cimetières, de cela j’en certifie l’existence ayant assisté à ce phénomène en roulant de nuit, passant devant le cimetière de Jouet et voyant celui-ci depuis le haut de la côte la descente faisant trois kilomètres, du haut de ma cabine de camion j’avais tout le temps d’admirer cette merveille de la nature, les feux follets, donc chaque Apôtre vit comme une petite flamme descendre au-dessus de la tête de son collègue et disparaître.
À partir de cet instant, les Apôtres, sans l’avoir appris, parlaient plusieurs langues et dialectes. Les gens de la rue voyant sortir les Apôtres de cette maison furent étonné de les entendre parler leur langue maternelle, grecque, latine, persane, sans compter les dialectes. Ceci, pour les gens de la rue, était la preuve visible qu’une chose incompréhensible s’était passé à l’intérieur de cette maison et que le Dieu d’Israël les avait visités. Il ne faut pas oublier que, en plus du pouvoir du langage, de l’Intelligence, Jésus le Nazaréen leur avait déjà donné quelques jours avant par un « souffle » la compréhension des « Écritures », ils reçurent d’EL-SHADDAÏ un pouvoir beaucoup plus grand, celui de ressusciter les morts.
Cette explication ne vient pas de moi, mais des humains qui furent témoins dans la ville de Jérusalem de ce phénomène et qu’ils l’ont écrit, cela devenant un fait historique, car tous les humains de haut rang de l’époque reconnurent que les Apôtres ainsi que les Disciples de la première heure, avaient une « Intelligence » remarquable pour leur époque.
Cette lecture vous oblige à vous scruter intérieurement car elle vous a posé des questions. Alors je suis heureux, car le « Souffle d’intelligence » vient à vous !
Portez-vous bien !
Cordiales salutations
Sig : JP.G. dit « Grand-Loup » ou « GRANDELOUPO »