La fin des temps sombres ? Pas sûr !
Le « Christianisme » ne prend de l’ampleur que depuis le Concile de Nicée en l’an 325, depuis que Constantin le Grand déclare le « Christianisme » comme religion de l’empire, décrétant un nombre certain de Lois en faveur de cette religion. De plus comme tous les Empereurs qui succèderont à Constantin le Grand, ils seront les « Pontife Primat » de cette religion, c’est-à-dire « Premier Pape », qui aura tantôt sont siège à Rome et tantôt son siège à Constantinople anciennement Byzance, c’est-à-dire que cette religion sera pendant un temps Orientale et pendant un autre Occidentale et pendant tous ces siècles jamais, je dis bien jamais, il n’y aura de « Pontife », de « Pape » à Rome, puisque se sera l’Empereur d’Empire le « Pontife Primat » ou le « Pontifex Maximus ».
Ce fait historique prouve à tous les humains qui sont honnête avec eux même que cette religion chrétienne commence dans le mensonge, car en plus de ces faits historiques que je vais continuer à vous narrer, l’Apôtre Pierre à la même époque que le Disciple Saül de Tarse surnommé Paul, étaient responsables d’une « Assemblée » à Rome et à l’époque il existait plusieurs « Assemblées » dans cette ville. Pierre devait être le quatrième ou cinquième évêque de l’Assemblée dont on ignore le quartier de la ville. Ce qui prouve que le terme « Pape » n’existait pas à cette époque, et le véritable premier « Pontife » de Rome fut l’Évêque Étienne II qui en 752 reçu de Pépin le Bref les premiers territoires de la région de Ravenne et de Lombardie qui seront déclarés États Pontificaux et c’est à la remise de ces États qu’Étienne II en profitera pour prendre le titre de « Pontife » c’est-à-dire « PAPE ». Le véritable premier « Pape » chrétien était né. Tous ces faits que je vous conte, sont historiques et contre cela personne ne peut m’insulter de menteur puisque c’est une vérité de l’histoire de notre pays, la France, mais aussi de l’Italie.
A Rome, comme à Constantinople, il n’y aura qu’un évêché, du IVème au VIIIème siècle. L’Empereur de l’Empire Romain Occidentale Gratien refusera de porter le titre de « Pontifex Maximus » et donnera certain pouvoir religieux à l’Évêque de Rome, Damas 1er, mais Théodose 1er son successeur reprendra ce titre en réunifiant les deux Empires, l’Orient et l’Occident, et le siège religieux ne sera pas Rome mais Constantinople où en 381 sous son initiative et son commandement il y aura un Concile pour condamné l’arianisme pensées trinitaires difficile à comprendre comme de toute évidence la « Sainte Trinité » pilier du dogme chrétien ainsi que de l’idolâtrie chrétienne.
En 380, par l’Édit de Thessalonique le christianisme devient officiellement religion d’Empire et les persécutions s’inverse, ce sont les païens qui sont persécutés par les chrétiens, ces derniers étant aussi barbare dans les tueries et les massacres au nom de Jésus-Christ. Les « Enseignements » de Jésus le Nazôréen sont loin, dans les oubliettes !
Puisque nous sommes dans les faits historiques, continuons !
Le Nouveau Testament de la Bible ne dit rien, ceux que les humains élevèrent au rang de Saint, je parle de ces Pères de l’Église, qu’ont-ils fait pour que ce 25 décembre soit la naissance de celui qu’ils nomment « Christ » ?
En premier un condensé historique rapide de cette fête de la Nativité, c’est-à-dire Noël.
C'est après la conversion de l'Empire romain au christianisme en l’an 325, et que l’Évêque principale de Rome, Libère qui en 354 décrètera la naissance le 25 décembre d’un nouveau « Dieu », Jésus-Christ, qui sera appelé maintenant, la « Lumière du Monde » et le « Soleil de Justice ».
En 425, l'empereur d'Orient Théodose II codifie officiellement les cérémonies de la fête de Noël, fête désormais exclusivement chrétienne
En 440, l’Évêque de Rome, Sixte III, institua la Messe de Minuit.
En 506, le Concile d’Agde fait de Noël une fête d’obligation.
En 529, l’empereur byzantin Justinien le Grand en fait un jour chômé. Progressivement, la fête de Noël fut imposée dans toutes les contrées de l'empire carolingien
En 461 en Irlande
En 604 en Angleterre
En 615 en Suisse
En 754 en Allemagne
En 865 dans les pays scandinaves
En 997 en Hongrie
A partir du XIIème siècle, Noël était devenue la plus grande et la plus populaire des fêtes de l'Occident et de l’Orient chrétien.
Les faits historiques de toutes ces fêtes chrétiennes de fin et début d’année sont des fêtes ou l’hypocrisie de cette religion est au maximum, car ce sont des Saturnales déguisées.
Pour certain il faut toujours des preuves alors en voici une ci-dessous.
Justinien Ier ou Justinien le Grand, né le 11 mai 483 en Illyrie, mort le 14 novembre 565, fut empereur byzantin de 527 jusqu'à sa mort en 565.
Justinien se conçoit comme l'élu de Dieu, son représentant et son vicaire sur la terre. Il se donne pour tâche d’être le champion de l’orthodoxie dans ses guerres ou dans le grand effort qu’il fait pour propager la foi orthodoxe chrétienne, soit dans la façon dont il domine l’Église et combat l’hérésie.
Il veut gouverner l’Église en maître, et, en échange de la protection et des faveurs dont il la comble, il lui impose sa volonté, se proclamant Empereur et Prêtre, comme un Pontifex-Maximus L’action législative de Justinien s’inscrit dans la durée, avec une attention toute particulière pour l’Église. En effet, l’empereur est un chrétien sincère et il s’estime, le dirigeant suprême de l’Église.
Le christianisme est, d’un point de vue institutionnel et juridique, religion d’État. C’est en cela qu’il règle avec une minutie pointilleuse les conditions de recrutement des membres du clergé, leurs statuts, l’organisation de l’administration des biens ecclésiastiques.
C’est lui, l’Empereur, qui gère toute l’Église de l’époque la séparation entre l’Orient et l’Occident ne sera effective qu’au XIème siècle.
Pour mémoire le 6 Janvier était fêté à la fois la Nativité, l’Adoration des Mages et le baptême de Jésus-Christ. Seule l’Église arménienne a conservé l’usage ancien de cette date.
Ces lignes sont encore une preuve que le « Pontife » de Rome, le « Pape » nommé aussi de ce titre honorifique exécrable « Très Saint Père », n’existe pas au VIème siècle. Celui qui, par dogme succède, soi-disant, à l’Apôtre Pierre qui n’a jamais été le premier Évêque de cette cité, puisqu’en l’an 60 il était Évêque d’Antioche, fait historique indémontable, ce qui fait qu’obligatoirement il y avait à Rome un autre Évêque, Pierre ne fut que le troisième ou quatrième.
N’en déplaise à certains de mes semblables, mais c’est encore le mensonge qui prédomine dans cette religion, le christianisme.
Pour terminer, il reste l’histoire de la crèche mis sous le sapin de Noël avec le bœuf et l’âne, plus tous ces offices idolâtres dans ces Temples nommés Cathédrale, Église, Chapelle, dans la nuit du 24 au 25 Décembre.
Pour les chrétiens, Noël est la fête de la Nativité, une des fêtes religieuses les plus importantes de l'année. Chaque année, au début de l'Avent, 1 à 4 semaines avant Noël, les familles catholiques installent dans leur maison une crèche qui représente la scène. La crèche sera rangée après l'Épiphanie début janvier.
La « crèche » doit théoriquement représenter le milieu dans lequel Jésus le Nazaréen serait né.
Comme la Bible fait un silence de plomb sur la naissance du Fils d’EL-SHADDAÏ, la troisième Bible sera ma référence. [Écrits Apocryphes Chrétiens]
Les parents de Jésus le Nazaréen avec les enfants de Joseph trouvent une grotte aux alentours de Bethléem. Il en existe beaucoup autour de cette ville et les voyageurs s’en servaient comme refuge pour passer la nuit, cela les protégeaient des animaux sauvages, mais aussi des humains néfastes qui ne vivent que la nuit afin de commettre leurs mauvaises actions.
C’est dans cette grotte que Marie accouchera sans douleur, sans l’aide d’une sage-femme. Quand celle-ci arrivera à la grotte, elle verra Marie donner le sein à l’enfant alors qu’une femme est considéré comme impure pendant huit jours pour un mâle et ne peut nourrir son enfant.
Voyant cela cette sage-femme voudra vérifier la « nature » de Marie. Elle s’apercevra de la virginité de Marie après l’accouchement et maudira ce jour pour son manque de confiance, son manque de foi.
Par cette action EL-SHADDAÏ donne la confirmation au monde que la mère et l’enfant sont de corps parfait.
En Écosse et dans les pays Scandinaves les humains fêtaient le dernier jour de l’année, nommé Hogmanay, qui est toujours de rigueur aujourd’hui simplement que le vin nouveau est remplacé par un grand verre de whisky.
Les racines de Hogmanay remontent peut-être aux fêtes païennes du Solstice d’Hiver parmi les scandinaves, incorporant les coutumes de la célébration gaélique du nouvel an, Samhain. En Europe, elles étaient devenues les fêtes des Saturnales, un évènement festif romain de l'hiver.
Dans le sud de l'Écosse, la communauté sait qu’à Hogmanay, ou la veille du nouvel an, parmi ceux qui observent encore les vieilles coutumes, ils préparaient une table avec des gâteaux et autres friandises qu’ils offraient, certains distribuant des galettes de gruau et de fromage à ceux qui n'en voyaient jamais, qu'à cette occasion, le tout accompagné d’une boisson forte entrant pour une large part dans le menu du jour.
Nous comptons nos années à partir de l’ère commune, (EC), qui commence par « moins un plus un » le zéro n’existant pas ou si vous aimez mieux à partir de la naissance d’un certain Galiléen sur le calendrier grégorien retouché en l’an 525 de J-C. par un moine, Denys le Petit, qui fit une erreur de 7 à 5 ans avant J-C sur « l’Anno Domini Nostri Yésus Christi »
Les trente premières années, Jésus le Nazôréen fait partie des quidams. A partir de l’an 30 il commence son ministère qui durera trois ans et demi jusqu’à sa crucifixion en l’an 33 de l’EC. Les exégètes modernes pensent qu’il est né vers l’an -7 ou -5 avant J-C., avant la mort en -4 av. l’EC., d’Hérode 1er le Grand et personnellement je pense qu’il avait quarante ans quand il décéda, le nombre quarante étant hautement symbolique dans les écritures Bibliques.
Jésus le Nazaréen de son vivant avait pris avec lui soixante douze Disciples dont douze seront choisis pour être ses Apôtres. Très peu mourront de mort naturelle, et tomberont comme leur « Maître » par la torture sous les persécutions mais ils auront eut le temps de faire des Disciples que l’on nommera « Pères Apostoliques » jusqu’au milieu du deuxième siècle, et leurs « Disciples » porterons le titre de « Pères de l’Église ».
Du vivant des Apôtres ceux-ci firent parmi les hébreux de Jérusalem en premier, puis de Galilée, Judas, Samarie de nombreux baptisés dont les adeptes portaient le nom de la « Voie de Jésus le Nazôréen » la « Mouvance » de Jésus de Nazareth », « de Jésus le Nazôréen, Nazaréen, Nazarénien », tous considéré comme une secte du judaïsme. Cette évangélisation prit aussi parmi les hébreux de la « Diaspora », les hellénistes d’Asie Mineure particulièrement dans la ville cosmopolite d’Antioche de Syrie dont l’Apôtre Pierre fut Évêque jusqu’en l’an 60, remplacé par Évode quand Pierre partit évangéliser Rome.
Nous sommes à un peu plus de la moitié du premier siècle. Dans une ville comme Jérusalem, Samarie, Tibériade, Chypre, Antioche de Syrie, Alexandrie, Rome et tant d’autres cités, il y avait plusieurs « Assemblées ou Églises » dont les responsables, les enseignants étaient des Évêques, Presbytres, Anciens qui veillaient au « troupeau » d’EL-SHADDAÏ, les baptisant en son « NOM » et non avec les paroles de forfaiture comme « baptisé au Nom du Père, du Fils, et du Saint-Esprit, plus un Amen en faisant le « Signe de la Croix », ou « Signe de Croix », signe ostentatoire de Sammaël.
En l’an 70, au mois de Septembre, le neuvième jour, jour pour jour le « Second Temple » , comme le « Premier » sous Nabuchodonosor II en 587 avant l’EC, est rasé par l’armé romaine ainsi que la ville de Jérusalem, les habitants seront massacrés sans aucune distinction, un véritable carnage et le peu de survivant seront dispersés dans tout l’Empire. Les humains de la « Mouvance de Jésus le Nazaréen » nommés aussi les « Messianistes » seront prévenus bien avant et iront se réfugier en Transjordanie dans la petite ville de Pella. Pendant presque dix ans les hébreux vont être privés de chefs spirituels de l’an 66 à 74 où un Sanhédrin verra le jour à Yavné, non loin de l’ancienne cité de Jérusalem.
Fin du premier siècle, début du second, le christianisme en tant que religion n’existe pas encore, ainsi que le terme « chrétien ». Il n’y a pas non plus de « Nouveau Testament », seul existe la traduction de « l’Ancien Testament » et d’autres écrits hébraïque sacrés en langue Grec et certainement copte demandé par le Pharaon Égyptien Ptolémée II Philadelphe à soixante douze érudits hébreux, se sera la traduction des « Septante », mais jusqu’au Concile de Nicée en l’an 325 plus de deux mille Lettres et Épîtres circuleront dans le Bassin Méditerranéen, Mer Noire et Caspienne ainsi que les pays limitrophes.
Fin du deuxième, -- 199 --, début du troisième, -- 200 --, jusqu’au début du quatrième, -- 300 --, siècle : des humains se sont aperçut que dans cette « secte judaïque » naissante et brouillon il y avait un « Nom » à se faire, ainsi qu’une notoriété avec une monnaie sonnante, en donnant un peu et en recevoir beaucoup. Les humains qui avaient la chance de savoir lire et qui entraient dans ces « Assemblées », ces « Églises », prenaient rapidement des responsabilités puisqu’ils pouvaient lire, la Lettre ou l’Épître que l’on avait reçue d’une congrégation lointaine. Celui qui savait lire et connaissait un peu l’histoire de Jésus-Christ et de ses Apôtres, pour peu qu’il ait le verbe haut, devenait rapidement « Évêque », et les paroles de Jésus le Nazaréen ne comptaient plus seul avait de l’importance ce qui sortait de sa bouche. Ce sont ces humains qui structurèrent cette « Mouvance Messianiste » et qui se réunissant en petit comité d’Évêques, mini Concile œcuménique, sortaient des « dogmes », ce sont des Lois qui faisaient « force de vérité », indémontables, inattaquables, telle que : « Tu es Pierre et sur cette pierre je bâtirai mon Église ! » dogme inventé de toute pièce par un Évêque et ajouté à la Bible comme étant inspiré par « Dieu » en l’an 352, 353.
Ces hommes là, sur le dos de leurs semblables, se firent un « Nom avec les richesses qui vont avec » car vous aviez toujours des humains qui suivaient ces mauvais hommes comme les moutons de Panurge.
Ce qui est malheureux, c’est que j’écris la vérité !
Je reviendrai sûrement sur ce thème où prophétiquement il fut écrit et dit par EL-SHADDAÏ, que les humains transformeront ces paroles les jetant aux chiens, et que les mensonges sortant de leur bouche seront ses paroles inspirées, alors que Lui n’a rien dit !
Le christianisme n’existe pas pendant les deux premiers siècles et si l’on veut aller dans ce sens alors il faut dire que le christianisme à ses tous débuts est oriental car il commence en Palestine à Jérusalem, puis en Galilée, Samarie, Judée. Pour la Diaspora ce christianisme helléniste commence à Alexandrie en Égypte, puis en Asie Mineure à Antioche de Syrie pour se propager en Séleucie, Galatie, Anatolie, Macédoine et en Grèce avec les villes de Tarse, Troie, Corinthe, Thessalonique, Athènes, Rome ne venant que quelques années plus tard. A l’ère de Saul de Tarse, puis Jean, le christianisme est inexistant, seul existe réellement des « Assemblées », des « Églises » de la « Voie de Jésus de Nazareth », « de la Mouvance de Jésus le Nazôréen, Nazaréen », « des Messianistes » peut importe le nom qu’ils avaient pour les autorités romaines ce n’était qu’une secte du judaïsme sans grande importance, mais qui troublait l’ordre public car considérée comme des cannibales et des incestueux puisque d’un côté il mangeait le corps d’un homme et de l’autre ils se nommaient frères et sœurs.
Il faudra attendre le milieu du deuxième siècle, début du troisième pour que l’on balbutie le nom de chrétien et de christianisme. Grâce à la Diaspora juive la « Mouvance de Jésus le Nazôréen ou les Messianistes » s’étendait jusqu’en Éthiopie et en Inde bien avant Rome. Chaque « Assemblée ou groupe d’Assemblées qui portait aussi le nom d’Église » était indépendant.
Revenons à l’ère de l’Empire Romain !
Cette période de fin d’année était la fête des Saturnales dans toute l’Europe, où l’on vénérait le sapin car il restait toujours vert, mais on le mettait dans l’âtre car il dégageait une odeur agréable, de plus il crépitait et mille étoiles partaient de sa combustion. En Afrique du Nord et au Moyen-Orient le sapin était remplacé par le palmier.
Dans l’antiquité comme au Moyen-âge on mettait dans l’âtre une bûche qui devait brûler une dizaine de jours qui représentait le cycle des nuits les plus longues de l’année. Selon les régions et les croyances la bûche était d’essence différente.
A cette fête païenne est venue s’ajouter la religion avec ses « Dieux ». Dans le Nord de l’Europe c’est le Dieu « Odin » que l’on vénérait et dans l’empire romain c’était le Dieu « Saturne »
D'après les poètes latins Ovide, Fastes, Virgile, Énéide, Saturne détrôné par son fils Jupiter, et réduit à la condition de simple mortel, vint se réfugier en Italie, dans le Latium, où il rencontra le dieu du commencement, Janus. Avec lui, il inventa l'âge d'or : l'égalité des conditions fut rétablie ; aucun homme n'était au service d'un autre. C'était pour rappeler la mémoire de cet âge heureux que les humains commémoreaient à Rome et dans l’Empire, les Saturnales, d'abord du 17 au 22 décembre puis plus tard du 17 au 25 décembre
Pendant ces fêtes, ils suspendaient la puissance des maîtres sur leurs esclaves, et ceux-ci avaient le droit de parler et d'agir en toute liberté. Tout ne respirait alors que le plaisir et la joie. Les tribunaux et les écoles étaient en vacances. Il n'était permis ni d'entreprendre aucune guerre, ni d'exécuter un criminel, ni d'exercer d'autre art que celui de la cuisine. Ils s'envoyaient des présents, et ils donnaient de somptueux repas. De plus tous les habitants de la ville cessaient leurs travaux, la population se portait en masse vers le mont Aventin, comme pour y prendre l'air de la campagne. Les esclaves pouvaient critiquer les défauts de leurs maîtres, jouer contre eux, et ceux-ci les servaient à table.
Les hommes et les femmes portaient des guirlandes autour du cou et s'offraient toutes sortes de menus-cadeaux en terre cuite. Les gens sacrifiaient aussi symboliquement un mannequin représentant un jeune homme, pensant ainsi transmettre la vitalité du personnage à la nouvelle année. Cette fête, des sigillaires, « ancêtre » de la Saint Sylvestre, concluait les festivités à la fin du mois de décembre.
Un marché spécial avait lieu, le sigillaria. Des figurines étaient suspendues au seuil des maisons ainsi qu’aux carrefours.
Tous les Romains criaient dans la rue :
« Bonnes Saturnales ! ».
Les humains du XXème et XXIème siècle pensaient avoir tout inventé avec leur Marché de Noël, alors que tout cela existait déjà dans l’Antiquité et au Moyen-Âge !
Les Saturnales, bien entendu, honoraient Saturne, le dieu du feu, nommé Kronos ou Cronos dans la mythologie grecque. Saturne était le dieu du Soleil et des semailles parce que la chaleur de ce Soleil était nécessaire pour permettre l’ensemencement et la croissance des cultures. La planète Saturne a hérité ce nom plus tard car, parmi toutes les planètes, ses anneaux et sa couleur rouge brillant représentait le mieux le dieu du feu !
En 46 avant notre ère, Jules César décide que le Jour de l’An, auparavant célébré à l’équinoxe de mars, serait fixé au 1er janvier, le mois de Janus qui se trouve être le Dieu des portes et des commencements, celui-ci avait deux faces, l’une tournée vers l’avant, l’autre vers l’arrière.
En France, le Jour de l’an n’a pas toujours été le 1er Janvier. La nouvelle année commence à cette date en vertu de l'Édit de Roussillon du 9 août 1564, promulgué par le Roi Charles IX.
Il y a beaucoup de chose à écrire sur les origines de la nouvelle année. Huit jour après la naissance du nouveau Dieu « Jésus-Christ » l’on vénérait au Vème, VIème siècle son baptême, qui n’oublions pas était la circoncision, et même aujourd’hui les Prélats font un office spécial ce jour, qui est le jour de la « Nouvelle Année »
Pour cette année 2016 qui arrive où les « Prémices Prophétiques » commencent à ce faire voir, « Signes » que les humains verront et rejetteront, j’espère que beaucoup d’entre vous se tourneront vers ce Dieu seul et unique EL-SHADDDAÏ, par amour pour ces bienfaits, son fils engendré nous ayant montré l’exemple. Par notre cœur, avec sincérité, la prière étant personnelle, approchons-nous de Lui !
Portez-vous bien en prenant soin de vous !
Espérant que ma santé va s’améliorer, afin que je continue à vous écrire pour que de votre propre volonté vous suiviez les Lois et Préceptes de ce Dieu !
Salutations cordiales !
Sig : Jean-Paul dit « Grandeloupo »