VEF Blog

Titre du blog : Critique réfléchie des Religions par GRANDELOUPO
Auteur : grande-loupo
Date de création : 30-04-2009
 
posté le 15-10-2016 à 00:42:42

Genèse d'une ... chap. N°2 - Enfantement des Nazôréens

Genèse d’une religion, le Christianisme

 

Dernières phrases du chapitre précédent

 

Donc en tout premier l’humain était monothéiste, puis il y a eu cette dispersion soudaine de la race humaine sur tout le globe terrestre. Je ne parle toujours pas du religieux car pour le moment ce n’est que l’histoire de l’humanité conté par de nombreux historiens et scientifiques comme les paléontologues et géologues.

L’humain à la naissance d’Abram était devenu polythéiste, mais il y avait toujours un Dieu supérieur à tous les autres et en général c’était celui de la guerre.

Abram nommé Abraham par EL-SHADDAÏ, car cela signifiait, « Père des Nations », était  le principal patriarche de la religion hébraïque postdiluvienne, aïeul du judaïsme, du christianisme, et l’un des cinq grands prophètes de l’islam, ascendant du peuple hébreu et des « Mousta’riba », Arabes assimilés aux Arabes, descendants d’Ismaël fils d’Agar la servante d’Abraham, établis dans le Hedjaz, Arabie Déserte puis se sont répandus successivement dans toute la Péninsule Arabique et au-delà du Golfe Persique.

La religion hébraïque est le berceau ou la naissance des trois grandes religions mondiales directement et indirectement c’est-à-dire des fœtus des autres religions. La religion la plus proche du judaïsme est le christianisme. Cette religion nie tout rapprochement avec la religion hébraïque même si elle en a pris les bases fondamentales tel que l’Ancien Testament.

Avant de se nommer « christianisme » pendant les trois premiers siècles de son existence ce n’était que des sectes juives ou hébraïques. En effet pendant les deux premiers siècles les « Assemblées » ou « Églises » se nommaient la « Mouvance des Nazôréens, Nazaréens, Nazaréniens, de Nazareth », les « Messianistes ».

 

 

Chapitre N°2

 

Enfantement des Nazôréens

 

« Les « Nazôréens ou Nazaréens » en hébreu sont un groupe religieux « juif-messianiste » personnellement j’aime mieux parler des « judéo-messianistes » ou mieux des « hébreu-messianistes », mal connu, attesté de manière indirecte à partir de la seconde moitié du premier siècle, après la destruction totale du Second Temple ainsi que les fortifications de la ville de Jérusalem en l’an 70, par Titus fils de Vespasien, au cours de la Grande Révolte hébraïque 66-73 de l’EC. Ce groupe a la particularité de reconnaître en Jésus le Nazôréen sa Messianité tout en continuant à pratiquer les préceptes de la Loi de Moïse dictée par EL-SHADDAÏ, c’est-à-dire respect de la circoncision de chair, action depuis la mort de Jésus complètement inutile, interdiction de manger une viande étouffée ou avec son sang, respecter le sabbat. Les Nazôréens, Nazaréens, Messianiste qualifiaient Jésus de « Serviteur d’EL-SHADDAÏ » mais ne reconnaissaient pas sa « divinité » » (La chrétienté primitive, sectes juives, Messianistes, Nazôréen, Nazaréen)

Tertullien début du IIIème siècle indique que « Nazaréen » était la plus ancienne dénomination des Disciples de Jésus le Nazôréen. A Jérusalem la communauté des Nazôréens est la plus importante et déjà connu comme le pilier des « Messianistes » en l’an 35-36 juste avant la lapidation d’Étienne en l’an 37, Jacques le Juste, d’Alphée, le Mineur étant Évêque de Jérusalem, Apôtre de Jésus le Nazôréen dirigeant ce mouvement avec Simon Képhas dit Pierre et Jean tous les deux Apôtres de Jésus comme Jacques, les trois surnommés « les colonnes »

Ces trois Apôtres dirigeront et répartiront les autres Apôtres et Disciples de Jésus le Nazôréen pour aller annoncer la venue du royaume d’EL-SHADDAÏ aux hébreux de Palestine, puis à ceux de la Diaspora qui sont autour du Bassin Méditerranéen afin d’enseigner les paroles et Paraboles de Jésus le Nazôréen. Les Apôtres et Disciples de Jésus avaient du mal à se séparer et ils aimaient se revoir assez souvent pour se fortifier les uns les autres. Après la crucifixion de Jésus le Nazôréen les Apôtres et Disciples se trouvèrent orphelins car ils avaient pris l’habitude d’entendre tous les jours Jésus enseigner la foule hétéroclite qui le suivait, mais aussi en privé, de les enseigner « eux » différemment de la foule, citant très souvent le « Nom » de son Père géniteur.

A cette époque les Nazôréens, Galiléens, Nazaréens, Nazaréniens, de Nazareth, de la ville de Jérusalem devaient être prudent car ils avaient un persécuteur zélé même très zélé selon certains écrits antiques, du nom de Saül de Tarse, ce dernier étant responsable de la lapidation d’Étienne, jusqu’à en être témoin.

Les historiens païens et chrétiens reconnaîtront que le terme « Nazôréen, Nazaréen et Messianiste » sera donné aux descendants directs apostoliques, donc hébraïques jusqu’au Vème siècle.

Une chose qu’il ne faut pas oublier, à l’ère de Jésus, ce dernier était appelé comme dans la Bible le « Nazôréen », Matthieu II : 23, voilà pourquoi en parlant de Jésus je parle de lui comme les Apôtres et les premiers Disciples soit « Jésus le Nazôréen » ou selon la traduction des Bibles « Jésus le Nazaréen »

Pour avoir le terme Jésus-Christ il faudra attendre que le Nouveau Testament apparaisse en Codex et que les Livres soit choisis arbitrairement au Concile de Nicée en l’an 325 par Constantin le Grand et son ami Eusèbe de Césarée, an 265 – 330, Évêque théologien et historien. Le Nouveau Testament écrit avec l’Ancien Testament n’apparaîtra qu’après le voyage à Jérusalem par la mère de Constantin, Hellène, où il y a eu cette légende sur la « Vraie Croix » en l’an 327-328 et il faudra attendre encore dix bonnes années avant de voir apparaître ce Codex Biblique.

Un « CODEX » :

 C’est un assemblage de feuillets en parchemin, manuscrits, qui forme un parallélépipédique. Ceci est l’ancêtre du « Livre ». Le Codex remplace les « Rouleaux »

Le Codex  « Vaticanus » ---- comme le « Sinaïticus » ----- en plus des « Livres » que nous connaissons, comprend, pour l’Ancien Testament le --- « Livre d’Hénoch » et le  « Livre des Jubilés » --- [--seule la Bible Éthiopienne a gardé ces Livres --] --, pour le Nouveau Testament, après l’Apocalypse il y a : Epître de Barnabé, Épître d’Hermas le Pasteur, Épître des Apôtres, Épître de Jacques, la Deuxième Epître de Pierre, la Deuxième et Troisième Épître de Jean,  Évangile de Pierre, Évangiles des Hébreux qui a été la source de l’évangile canonique de Matthieu,……en fin de Livre les Écrits de Papias, Épître de Clément de Rome, Deuxième Épître de Clément de Rome, la « Didaché » qui signifie « enseignement » appelé aussi « Doctrine des Douze Apôtres » , que je vous conseille de lire, moi le PAÏEN, et vous vous apercevrez que c’est le « Père », c’est-à-dire le TRÈS-HAUT --- « EL-SHADDAÏ » ---, qui est prié et non Jésus le Nazaréen, son Fils unique. LUI, il est le « Serviteur » de son « Père ».

Le Codex « Alexandrinus » datant du Vème siècle est conservé à la British-Library

Le Codex « Sinaïticus » découvert en 1844 dans le monastère de Sainte-Catherine au Sinaï est conservé au British-Muséum. Ce codex est de la même époque, de la même origine que le codex Vaticanus-----320--330, IVème siècle.

 Le meilleur !…

Le Codex « Vaticanus », manuscrit en « Velin », écrit en grec « oncial »-----ancien grec-----, daté du IVème siècle, 320---330. 

Il s’agit de l’un des plus anciens manuscrits de la Bible, le plus complet, Ancien et Nouveau Testament confondus.

Si ma mémoire ne me fait pas défaut, c’est le « Codex Sinaïticus » dont les cinquante premiers exemplaires furent terminé en l’an 360 avec l’Ancien et le Nouveau Testament mais en plus « l’Épître de Barnabé, les Livres d’Hermas le Pasteur, le quatrième Livre des Maccabées » et en moins « l’Apocalypse de Jean », qui sera ajouté au Codex Vaticanus au Concile de Constantinople en l’an 381 sous l’Empereur Romain Théodose 1er, qui après la mort de Gratien, Empereur Romain de l’Occident, fait la réunification de l’empire et du point de vue religieux reprend le titre de « Pontifex Maximus » que Gratien avait abandonné à l’Évêque de Rome ce qui avait déplu à Théodose et pour faire comprendre à Gratien que c’était bien lui le « Pontife » de la religion chrétienne il installa son siège apostolique à Constantinople.

Au Concile de Nicée en l’an 325, quand les livres bibliques furent choisis arbitrairement l’Apocalypse de Jean était considéré comme un livre hérétique et apocryphe

C’est dans les petits Conciles nommés « Conciles régionaux » que certains dogmes furent ajoutés aux Évangiles, exemple entre les « Conciles de l’an 340 jusqu’à ceux de l’an360 » fut ajouté ce dogme qui fait force de Loi « Tu es Pierre et sur cette pierre je bâtirai mon « Église » » Matthieu XVI : 18 et seulement Matthieu écrit cela, personne d’autre, ni Marc, ni Luc, ni Jean.

Le terme « Christ » fut accolé à Jésus en 326-328, après le pèlerinage d’Hellène, mère de Constantin le Grand, à Jérusalem.

C'est à partir du IVème siècle que la croix devient emblème et symbole de la chrétienté, par l'Empereur Constantin le Grand à travers le chrisme. C’est à partir de cette époque et l’invention de la relique de la « Vraie Croix » par la mère de l’Empereur que son culte se répand, signe sur les vêtements, les maisons, les sarcophages, les pièces de monnaie, tatouages aux vertus propitiatoires ou protectrices, et, au cours des IVème et Vème siècle, elle commence progressivement à orner les édifices religieux. Constantin et sa famille ne sont pas les promoteurs d'une impulsion iconographique, ils le sont par contre d'une architecture cultuelle qui, parmi d'autres ouvrages, voit s'édifier les Basilique tel que la Basilique Sainte Croix de Jérusalem à Rome.

J. Hall écrit : « Après la reconnaissance de la chrétienté par Constantin le Grand, les chrétiens ne craignent plus les persécutions et, encore plus à partir du Vème siècle, la croix commence à être représentée sur des sarcophages, cercueils de pierre, des lampes, des coffrets et d’autres objets. » La plus ancienne attestation de « Croix-Trophée » figure sur un sarcophage daté de 340-350 conservé au Musée Pio Cristiano, Italie.

Au début du Vème siècle Rufin d’Aquilée rapporte les circonstances de la découverte de la « Vraie Croix » dans un récit considéré comme l’élaboration d’une Légende.

« Hélène vint à Jérusalem, inspirée par Dieu. Un signe céleste lui indiqua le lieu qu’elle devait creuser. Elle en retira trois croix, celle du Christ et celles des deux larrons. Hélène demeura perplexe car comment reconnaître parmi elles le bois sur lequel Jésus avait subi sa douloureuse agonie ? Macaire, l’évêque de Jérusalem, qui assistait l’impératrice dans ses recherches, demanda qu’on amenât sur une civière une femme mourante. Au contact de la première croix, la moribonde demeura insensible : la seconde croix elle aussi, ne produisit aucun effet, mais à peine la femme eut-elle touché la troisième qu’aussitôt elle se leva et se mit à marcher avec entrain et à louer Dieu. Ce miracle permit ainsi de distinguer la vraie croix. Hélène fit trois parts de cette croix, l’une destinée à Jérusalem, la seconde à Constantinople, la troisième à Rome. »

De ce voyage elle amena trois morceaux de la « Vraie Croix ».

Un pour l’évêché de Rome en Occident un pour l’épiscopat de Constantinople en Orient et un autre qui serait resté à Jérusalem pour y être déposé dans la Basilique construit sur le lieu théorique de la découverte. Les Scribes copiant le Codex Sinaïticus accoleront à Jésus le terme « Christ » qui ne signifie plus Messie, Oint, mais christos, crux, croix en français, donc c’est Jésus-Croix, Jésus-Crux, Jésus-Christos, soit Jésus-Christ. Maintenant la croix est devenue un objet sacré, on se signe devant une croix, en formant une croix, au Nom du Père sur le front, du Fils au bas de ventre, du Saint-Esprit, sur l’épaule gauche avec un « Ainsi soit-il » ou « Amen » par un toucher sur l’épaule droite. Pour la religion Orthodoxe, les trois doigts de la main réunis, annulaire, majeur, index, représentativité de la Trinité, représente le patibulum en partant de droite à gauche, le contraire du Catholicisme, de gauche à droite.

La croix, de toute la chrétienté est considérée comme le symbole principal de cette religion, c’est l’image du gibet de la crucifixion de Jésus le Nazôréen, mais le symbolisme de la « Croix » est beaucoup plus ancien puisque les Prêtres Babyloniens portaient un turban autour de la tête qui descendait derrière à la manière des Évêques avec leur mitre à tête de poisson, et sur lequel des croix étaient découpées à espace régulier. Julien Ries, 19-04-1920 décédé 23-02-2013, prêtre catholique Belge, du diocèse de Namur, anthropologue et historien des religions de renommée internationale souligne le caractère universel de la croix : Mésopotamie, Élamite, Amérindienne, etc.

La croix représente en premier un engin de torture romaine par la crucifixion. C’est un terrible supplice par la douleur et du point de vue « intelligent » c’est une mort humiliante pour l’époque.

Ce que la littérature nomme « chrétien » aux trois premiers siècles, ce terme est pour ainsi dire inconnu les deux premiers siècles, car employé seulement en milieu restreint, terme utilisé par Polycarpe de Smyrne le jour de son exécution

Martyre de Polycarpe de Smyrne IX : 2, à XII : 3

« 2. Le proconsul se le fit amener et lui demanda si c'était lui Polycarpe. Il répondit que oui, et le proconsul cherchait à le faire renier en lui disant :

« Respecte ton grand âge » et tout le reste qu'on a coutume de dire en pareil cas ; « Jure par la fortune de César, change d'avis, dis : A bas les athées. »

Mais Polycarpe regarda d'un œil sévère toute cette foule de païens impies dans le stade, et fit un geste de la main contre elle, puis soupirant et levant les yeux, il dit :

 « A bas les athées ! »

3. Le proconsul insistait et disait :

« Jure, et je te laisse aller, maudis le Christ ! »

Polycarpe répondit :

 « Il y a quatre-vingt-six ans que je le sers, et il ne m'a fait aucun mal ; comment pourrais-je blasphémer mon roi qui m'a sauvé ? »

X : 1. Et comme il insistait encore et disait :

 « Jure par la fortune de César ! »

 Polycarpe répondit :

« Si tu t'imagines que je vais jurer par la fortune de César, comme tu dis, et si tu fais semblant de ne pas savoir qui je suis, écoute je te le dis franchement : Je suis chrétien. Et si tu veux apprendre de moi la doctrine du christianisme, donne-moi un jour, et écoute-moi. »

2. Le proconsul répondit :

 « Persuade cela au peuple ! »

 Polycarpe reprit :

« Avec toi, je veux bien discuter ; nous avons appris en effet à donner aux autorités et aux puissances établies par EL-SHADDAÏ, le respect convenable, si cela ne nous fait pas tort. Mais ceux-là, je ne les estime pas si dignes que je me défende devant eux. »

XI : 1. Le proconsul dit :

 « J'ai des bêtes, et je te livrerai à elles si tu ne changes pas d'avis. »

 Il dit :

« Appelle-les, il est impossible pour nous de changer d'avis pour passer du mieux au pire, mais il est bon de changer pour passer du mal à la justice. »

2. Le proconsul lui répondit :

« Je te ferai brûler par le feu puisque tu méprises les bêtes, si tu ne changes pas d'avis. »

Polycarpe lui dit :

« Tu me menaces d'un feu qui brûle un moment et peu de temps après s’éteint. Tu ignores le feu du jugement à venir et du supplice éternel réservé aux impies.

 Mais pourquoi tarder ? Va, fais ce que tu veux. »

XII : 1. Voilà ce qu'il disait et beaucoup d'autres choses encore. Il était tout plein de force et de joie et son visage se remplissait de grâce. Non seulement il n'avait pas été abattu ni troublé par tout ce qu'on lui disait, mais c'était au contraire le proconsul qui était stupéfait. Il envoya son héraut au milieu du stade proclamer trois fois :

« Polycarpe s'est déclaré chrétien ! »

2. A ces paroles du héraut, toute la foule des païens et des Juifs, établis à Smyrne, avec un déchaînement de colère, se mit à pousser de grands cris :

« Voilà le docteur de l'Asie, le père des chrétiens, le destructeur de nos dieux ; c'est lui qui enseigne tant de gens à ne pas sacrifier et à ne pas adorer. »

En disant cela, ils poussaient des cris et demandaient à l'asiarque Philippe de lâcher un lion sur Polycarpe. Celui-ci répondit qu'il n'en avait pas le droit, puisque les combats de bêtes étaient terminés.

3. Alors il leur vint à l'esprit de crier tous ensemble :

 « Que Polycarpe soit brûlé vif ! »

Il fallait que s'accomplît la vision qui lui avait été montrée : pendant sa prière, voyant son oreiller en feu, il avait dit d'un ton prophétique aux fidèles qui étaient avec lui :

« Je dois être brûlé vif »

Le mot « chrétien » n'est pas utilisé par le Nouveau Testament pour désigner les disciples de Jésus le Nazôréen ; ceux-ci sont habituellement appelés les « Galiléens » ou les « Nazôréens ». Comme souvent je l’écris les textes dit « d’Inspiration Divine » tel que les « Évangiles » ont été falsifiés, altérés, corrompus, dénaturés de leur pensés d’origine.

Une preuve ? …

Nous avons tous appris que les Actes des Apôtres ont été écrit par le Disciple Luc l’Évangéliste. Que savons-nous de ce Disciple ?

Pardonnez mon retard dans les « Écritures ». J’ai dû me faire opérer d’un avant-bras car je ne pouvais plus commander mes doigts, alors pour vous écrire cela devenait de plus en plus difficile pour moi. Au cours de cette opération j’ai eu la chance de voir la puissance de celui que je nomme « EL-SHADDAÏ », ce Dieu seul et unique, qui au cours de l’injection pour m’endormir, un goût subit de ferraille, m’arriva dans la bouche.

J’en ai fait part à l’infirmière qui assistait l’anesthésiste, et elle comprit tout de suite, et ordonna que l’on arrêtât l’injection. Le chirurgien avec mon accord du opérer à vif et à la place de durer vingt minutes, cela dura deux heures. Après l’intervention, je me suis permis de demander au chirurgien pourquoi ils arrêtèrent tout de suite l’injection. Il me fit savoir que si je ne parlais pas de ce goût étrange et désagréable de ferraille dans ma bouche, il y a forte chance pour que je ne sois plus de ce monde car c’était un rejet immédiat du produit par le cœur, surtout que le corps a rejeté le produit tout de suite en particulier le cœur.

Pourquoi j’ai tout de suite parlé de cette saveur de fer à cette infirmière, je n’en sais rien ! Pourquoi j’ai supporté l’opération à vif, je ne sais pas ?

La seule chose que je me souvienne c’est ces remerciements de courage par les deux chirurgiens et les quatre infirmières qui me remerciaient pour la vaillance que j’avais eu de supporter la douleur de l’incision sur un peu plus de quinze centimètres de longueur et trois à quatre centimètres en profondeur. Comment leur expliquer que je n’ai vraiment ressenti la douleur par seulement deux fois ?

Difficile de dire à votre chirurgien je n’ai rien senti grâce à la prière et à l’aide, la protection de ce Dieu seul et unique, surtout qu’il me déplaçait un nerf moteur de commandement de la main !

Je sais que dans ma quête pour vous faire connaître ce « Dieu », cet Être Suprême, seul et unique, ainsi que son Fils engendré qui n’a pas de « Divinité » car ce n’est pas un Dieu, lui-même nous l’enseigne dans l’Évangile de l’Apôtre qu’il aimait le plus, celui de Jean XX :17, vérifiez et lisez avec le cœur et vous saurez que j’ai raison. Vous mes semblables vous irez vers ce « Dieu » et arrêterez d’être idolâtre, devant un crucifix une statue représentant un Disciple, un Apôtre, une vierge, en vous signant devant ces images taillées de pierre, de bois, de métal, matière sans vie.

Sans doute que je dois encore rester sur cette Terre, pour continuer à écrire pour ce Dieu seul et unique EL-SHADDAÏ pour que son nombre d’Enfants croissent afin que le « petit nombre » soit le plus grand possible.

Portez-vous bien !

Salutations cordiales à Tous !

Sig : J-P. G. dit « GRANDELOUPO »