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Titre du blog : Critique réfléchie des Religions par GRANDELOUPO
Auteur : grande-loupo
Date de création : 30-04-2009
 
posté le 16-12-2016 à 11:43:21

Fêtes de fin d'année, cgap. N°1 - Solstice d'Hiver

Fin d’une Année, début d’une autre, le cycle éternel, perpétuel !

 

Lectrices, Lecteurs, après plus d’un mois de maladie importante, tout le mois de Novembre et début Décembre avec de dures souffrances passés à l’Hôpital, je reviens péniblement vous écrire en cette période de fêtes.

En effet dans une dizaine de jours c’est la fête de Noël, et sept jours plus tard, une nouvelle année.

Alors comme à mon habitude un peu d’histoire pour comprendre le spirituel.

Le début de l’humanité a commencé pour le spirituel il y a environ six mille ans, mais pour le profane, selon le scientifique, l’humain selon la théorie de Darwin serait venu par évolution, il y a deux, trois milliards d’année. Aujourd’hui, cela fut démontré, l’humain n’a pas pu venir d’un système évolutionniste, quel qu’il soit !

Une chose est certaine, la définition chrétienne de l’homme est fausse, car elle définit l’unité de l’humain en trois natures comme la Trinité, avec le corps, l’esprit, et l’âme tel que l’affirme le Disciple Saül de Tarse plus connu sous le surnom grec de Paul : Épître aux Thessaloniciens V : 23, « Que le Dieu de paix lui-même vous sanctifie tout entier, et que tout ce qui est en vous, l'esprit, l'âme et le corps, se conserve sans reproche jusqu'au jour de l'avènement de notre Seigneur Jésus-Christ ! »

Comme nous approchons des fêtes de fin d’année je ne vais pas écrire sur le changement, ajout, retranchement des « Écrits » du Nouveau Testament, et sur ces « Écrits » d’inspiration divine je reviendrai cela est une certitude.

Donc je vais prendre les écrits spirituels de la base de toute les religions c’est-à-dire les « Écritures de l’Ancien Testament » qui eux-mêmes eurent comme base les « Écrits Hénochiens », Araméens, Sumériens, pour les croyances des deux-tiers de la Planète Terre.

 

 

Chapitre N° 1

 

 

Solstice d’Hiver

 

Historiquement et bien entendu religieusement les religions ont toutes comme base l’Anatolie et la Mésopotamie qui est cette grande partie de la chaine montagneuse Ararat et des grands plateaux du Mont Loubard source les deux grands fleuves persiques le Tigre et l’Euphrate tous les deux se jetant dans le Golfe Persique. Les humains commencèrent leur aventure dans les plaines fertiles de ces deux grands fleuves commençant à construire des villes le long de ces fleuves comme Ur, Babylone, Chinéar, Erec, Ninive, Nisibis, Gaugamèles, Suse, Borsippa, Haran, Ctésiphon, mais aussi des Temples de forme cubique ou rectangulaire avec d’immense escalier extérieure que l’on appelait des ziggourats pour leurs Dieux et Déesses sachant que le soleil était femelle et la lune mâle. Ces ziggourats ont été la base de la Tour de Babel, mais aussi en Amérique du Sud quelque trois à quatre mille ans après chez les Aztèques, Zapotèques, Incas, dont leurs Temples pour leurs Dieux et Déesses ressemblent, à si méprendre, à la même construction que les Temples de l’ère de Babel.

Les humains commencèrent à avoir des Dieux et Déesses pour tout mais les principaux étaient les dieux de la guerre, fécondité, fertilité, amour, etc.

Depuis le Déluge les humains comprirent les livres d’Hénoch, mais aussi ceux de Noé. Le premier était basé sur le cycle d’une année, avec son nombre de jours et les jours de « rattrapages » si je peux m’exprimer ainsi. Ces Livres déterminant l’ouverture et la fermeture des portes du soleil qui était l’astre femelle, et la lune, astre mâle, et le lever et le coucher du soleil déterminait le début d’une journée, mais aussi le commencement du mois ainsi que le préambule de la saison comme l’équinoxe du printemps variable Mars, Avril, puis l’équinoxe d’automne, Septembre, Octobre, mais aussi les solstices fixes comme celui de l’été 20-23 Juin ou celui de l’hiver 20-23 Décembre.

Noé au Déluge pris aussi les « Livres des Remèdes », ces « Livres » qui apprenaient à soigner avec les plantes, les racines et les herbes, mais aussi ces autres « Livres » qui enseignaient la divination par la connaissance des Astres selon leur position dans le ciel noir de la nuit.

Dans notre époque du XXIème siècle nous pensons que ce sont les sumériens, akkadiens, voire araméens qui nous amenèrent l’écriture alors que la religion déclare la connaissance de l’écriture bien avant cela, puisque la première écriture serait une très ancienne écriture hébraïque indéchiffrable de nos jours.

La Bible nous apprend que quand vint le Déluge, Noé avait six siècles de vie. Les humains antédiluviens mesuraient entre deux mètres cinquante pour les plus petits et quatre mètres pour les plus grands. Hans Joachim Zillmer paléontologue-géologue de réputation mondiale de l’Académie de New-York écrit :

« Dans ces conditions, la grande taille des êtres vivants avant le déluge serait explicable. Non seulement les dinosaures étaient très grands, mais les hommes eux aussi atteignaient une taille de deux mètres et demi à quatre mètres. C'est ce que prouvent les traces de pieds pétrifiées mesurant jusqu'à 50 cm de long, que l'on trouve dans le monde entier. Les pétrifications dans les sites de découverte les plus divers dans le monde entier prouvent qu'il y avait autrefois des fougères, des prêles et d'autres plantes géantes. Il semble simplement qu'à l'époque, tout était plus grand qu'aujourd'hui. »

Ce groupe d’humains, hommes, femmes, enfants furent témoins de l’effondrement de la voute céleste et pour la première fois ils allaient admirer le ciel de nuit avec ses milliers d’étoiles et aussi la lune comme jamais ils ne l’avaient vu auparavant.

De jour ils furent certainement émerveillés du bleu du ciel, mais éblouis par les rayons du soleil et de sa chaleur qui devaient leur brûler la peau. Puis pour la première fois ils virent le ciel s’assombrir avec les nuages et reçurent les premières gouttes de pluie. Vint sans aucun doute par la suite la crainte des orages avec le bruit du tonnerre et des éclairs, de toutes ces nouveautés ils durent s’y habituer.

Dans l’antiquité, nos ancêtres, dans toute l’Europe ainsi que dans le Moyen-Orient fêtaient ce Solstice de l’Hiver. C’était une période froide et sombre, les Ténèbres arrivaient à leur summum sur la Terre, la nuit étant plus longue que le jour. Depuis déjà un mois les armes sont rangées, c’est la trêve hivernale, les hommes ne pense plus à la guerre.

Pour le monde paysan il en était de même, les moissons terminées, le foin et le regain entassés dans les granges, les outils rangés, les bêtes rentrées à l’étable.

Toute l’Europe, le Proche et Moyen Orient, la péninsule Arabique et l’Afrique du Nord fêtaient le Solstice d’Hiver à la même période, avec un tampon de huit jours environ. Mais tous fêtaient ce phénomène astronomique qui était la fin de la course annuelle du soleil et le commencement d’un nouveau cycle. À ce symbole de la renaissance du soleil était accolée la naissance d’un ou plusieurs Dieux qui portaient des noms différents selon la région ou le pays tout en étant le même.

Si l’on fêtait le soleil, pour la même époque on fêtait aussi la lune. 

-2600, -2400 de l’EC., à l’ère d’Abraham, celui-ci montait avec son père et tout le clan familial de la ville d’Ur à côté de Babylone, vers la ville de Haran situé presque à la source de l’Euphrate, pour fêter le Dieu Lune Sîn, dieu Babylonien, Assyrien, Sumérien, Akkadien qui se nommait aussi Anna(r) ou Zu-en.

Dans beaucoup de pays La Lune était mâle et le Soleil femelle. Le Seigneur Lune était le grand objet de culte des pays sémitiques, et ce Seigneur Lune était né un 24 décembre, ce qui montre clairement que la naissance qu'ils célébraient n'avait aucun rapport nécessaire avec le cours du soleil.

Nous lisons dans la « Philosophie Sabéenne » de Stanley :

« Le vingt-quatrième jour, du dixième mois, c'est-à-dire décembre, selon le calendrier Arabe, ceux-ci célébraient le jour de la naissance du Seigneur, c'est-à-dire, la Lune ».

Les Sabéens d'Arabie, qui regardaient la lune et non le soleil comme le symbole visible de l'objet favori de leur culte, observaient la même époque comme la fête de la naissance du grand libérateur.

Dans beaucoup de pays La Lune était mâle et le Soleil femelle. Le Seigneur Lune était le grand objet de culte des pays sémitiques, et ce Seigneur Lune était né un 24 décembre, ce qui montre clairement que la naissance qu'ils célébraient n'avait aucun rapport nécessaire avec le cours du soleil.

Les Celtes, Saxons et les Nordiks, comme pour les Arabes avec leur Dieu Lune Nanna, célébraient la naissance de leur Dieu Lune, Mané, un 25 décembre.

Ci-dessous les remarques de quelques écrivains comme --KITTO, vol. IV, p. 66.-- WILKINSON, vol. V, p. 10 -- 

« Le nom de Gad se rapporte au dieu de la guerre, car il signifie attaquer mais aussi celui qui assemble, et sous ces deux idées on peut l'appliquer à Nemrod, qui était un dieu soleil en tant que premier guerrier célèbre, voir la Bible dans la Genèse X, pour avoir, réuni les hommes en communautés sociales.

Le nom de Meni, celui qui compte, semble un synonyme de Cush ou Chus, couvrir ou cacher, mais aussi compter ou démontrer. Le vrai sens du nom de Cush est donc « celui qui compte ou le calculateur » car tandis que Nemrod son fils était le propagateur du système idolâtre de Babylone, il était réellement, plus tard, en qualité de Mercure, Dieu romain, le créateur de ce système, car il apprit aux hommes à s'approcher de la Divinité par des prières et des sacrifices et comme l'idolâtrie et l'astronomie sont étroitement unies, il devait être habile dans la science des nombres.

Or, Cush, est le premier qui découvrit les nombres, la géométrie, l'astronomie, les jeux de hasard, d'échecs et il était, d'après une allusion au sens du nom de Cush, probablement appelé « Nombre, le père des dieux et des hommes ». En Chaldéen le (i) prend souvent la forme du (e) final, ainsi Meni correspond à Mené, celui qui compte, en hébreu. Nebû, fils de Mardouk assimilé à la planète Mercure le dieu de Babylone, était le même dieu qu’Hermès, dieu grec, lui-même assimilé au dieu romain Mercure ».

« Cela montre l'emphase de la sentence divine annonçant à Balthazar son destin :

Daniel V : 25-28,

« L'écriture tracée, c'est : Mené, Mené, Teqel et Parsîn.

Voici l'interprétation de ces mots : Mené : EL-SHADDAÏ a mesuré ton royaume et l'a livré ; Teqel : tu as été pesé dans la balance et ton poids se trouve en défaut ; Parsîn : ton royaume a été divisé et donné aux Mèdes et aux Perses.»,

ce qui revient à dire: « Celui qui compte est compté. » La coupe était l'emblème de Cush d'où l'usage de lui verser la boisson sacrée.

Or, Mercure, le calculateur en Égypte, identifié à la lune qui sert à compter les mois, était appelé « Seigneur de la Lune » et comme distributeur du temps il tenait une branche de palmier, emblème d'une année

Ainsi, Gad était le dieu du soleil et Meni, le dieu Lune. »

Comme en Égypte ou Isis est la déesse lunaire, considéré comme une « Déesse Mère » qui serait né au solstice d’hiver c’est-à-dire fin décembre.

Sans beaucoup d’erreurs, je peux certifier qu’une grande partie de l’humanité, bien avant la naissance d’un certain Galiléen, fêtait le solstice d’hiver, car beaucoup de divinité étaient nés à cette époque. Le paganisme et le religieux se mélangeaient de tel manière qu’il était difficile d’établir une frontière.

Aujourd’hui au XXIème siècle, en cette période de fin d’année, au solstice de l’hiver, où la nuit fait le double du jour, la situation mondiale est exactement la même, il suffit de constater.

Autour du Bassin Méditerranéen, en montant jusqu’en Europe centrale, disons comme frontière les fleuves, d’un côté le Danube, le Rhin, l’ile Angle, de l’autre l’Indus, toute l’Asie Mineure, la péninsule Arabique et l’Afrique du Nord les Empires se font et se défont, Mèdes, Perses, Assyriens, Babyloniens, Grecques et Romains. Les divinités changent souvent de nom, tout en gardant leur statut originel tel que Cybèle, Reine des Cieux, nommée aussi Astarté déesse de Babylone, tout comme Tammuz qui est Adonis chez les Grecs.

Quels étaient les marques de festivités générales dans ces pays et régions du solstice d’hiver et de la nouvelle année sachant que toutes ces festivités ont eu pour berceau la Mésopotamie, en particulier la ville de Babylone, l’Égypte, la Grèce et pour terminer Rome.

Commençons par les festins, la ripaille ! 

Isaïe LXV :11-12

« Quant à vous tous qui abandonnez Yahvé, qui oubliez ma montagne sainte, qui dressez à Gad une table, qui versez à pleine coupe des mixtures pour Meni, je vous destinerai à l'épée, tous, vous courberez l'échine pour être massacrés, car j'ai appelé et vous n'avez pas répondu, j'ai parlé et vous n'avez pas écouté ; vous avez fait ce qui est mal à mes yeux, vous avez choisi ce qui me déplaît. »

Pour montrer le rapport qu'il y a entre une contrée et une autre, et la persistance invétérée des anciennes coutumes, il est bon de remarquer que Jérôme de Stridon, 347 – 420, Docteur et Père de l’Église, commentant les paroles d'Ésaïe sur l'usage de dresser une table pour Gad et d'offrir des libations à Meni, déclare que de son temps c'était encore la coutume dans toutes les villes et surtout en Égypte et à Alexandrie, de préparer des tables et de les charger de toutes sortes de mets recherchés et des coupes contenant du vin nouveau, le dernier jour du mois et de l'année: la foule en tirait des présages sur la fertilité de l'année.

En Écosse et dans les pays Scandinaves les humains fêtaient le dernier jour de l’année, nommé Hogmanay, qui est toujours de rigueur aujourd’hui simplement que le vin nouveau est remplacé par un grand verre de whisky.

Les racines de Hogmanay remontent peut-être aux fêtes païennes du solstice d'hiver parmi les scandinaves, incorporant les coutumes de la célébration gaélique du nouvel an, Samhain. En Europe, elles étaient devenues les fêtes des Saturnales, un événement festif romain de l'hiver. 

 Les vikings fêtaient Yule, qui contribua plus tard aux douze jours de Noël ou Daft Days,  « jours stupides », comme ils étaient parfois appelés en Écosse. Les festivités de l'hiver devinrent clandestines avec la Réforme Protestante en 1545 environ, mais furent tolérées à la fin du XVIIème siècle.

Dans le sud de l'Écosse, la communauté sait qu’à Hogmanay, ou la veille du nouvel an, parmi ceux qui observent encore les vieilles coutumes, ils préparaient une table avec des gâteaux et autres friandises qu’ils offraient, certains distribuant des galettes de gruau et de fromage à ceux qui n'en voyaient jamais, qu'à cette occasion, le tout accompagné d’une boisson forte entrant pour une large part dans le menu du jour.

Il y a de nombreuses coutumes, nationales comme locales, associées avec Hogmanay. La coutume nationale la plus courante est la pratique du first-footing, prenant place immédiatement après minuit. Ceci consiste à être la première personne à franchir le pas-de-porte d'un ami ou voisin, et fait souvent intervenir le don d'un cadeau symbolique comme du sel, moins courant actuellement, du charbon, un whisky ou un petit pain noir, sorte de gâteau riche avec des fruits confis. Ce don vise à apporter différents types de chance au propriétaire de la maison.

Dans la mythologie scandinave Yule est le moment de l'année où Heimdall, de son trône situé au pôle nord accompagné des Æsirs, l'Ansuzgardaraiwo revient visiter ses enfants, les descendants de Jarl l’un des innombrables noms d’Odin. Ils visitent ainsi chaque foyer pour récompenser ceux qui ont bien agi durant l'année, et laissent un présent dans leur chaussette. Cette fête nordique et scandinave durait douze jours, du solstice d’hiver à la nouvelle année

Quand le christianisme commença son expansion en pays scandinaves et nordiques au IX siècle, les Prélats de cette religion associèrent rapidement cette fête païenne importante en la christianisant avec la naissance de Jésus-Christ.

Dans ces Pays du Nord de l’Europe la « Nouvelle Année » était souvent le 1er Novembre

Le Christianisme dût jouer les « Grands Sorciers » pour incorporer cette fête de la Nouvelle Année en la séparant bien de la fête des morts et en assimilant la naissance des dieux nordiques comme Odin, Yule, Thor tous nés pendant le Solstice d’hiver, à la fin des nuits les plus longues, des jours les plus sombres, redonnant naissance à la Lumière par leur naissance divine

Babylone au XVIIIème siècle av. l’EC., était le centre du monde civilisé. Cette ville, où plutôt cette région était le centre de la propagation du paganisme jusqu’aux extrémités de la Terre.

Ainsi les coutumes du Solstice d’Hiver qui existent encore aujourd’hui sous l’appellation « Fêtes de Noël et de fin d’année » jettent une lumière étonnante sur les révélations de la grâce faite à toute la Terre, au sens spirituel, prouvant à l’humanité qui veut bien réfléchir, le pouvoir de Sammaël qui se nomme aussi Béliar, Mastéma, Satan, Belzébuth, plus tous les autres, et ses émissaires Shémêhaza, Hermoni, Baraqiel, Aratagif, Kokabiel, Sahriel, etc …, sur l’humain, en l’influençant sur l’idolâtrie, les science occultes comme l’astrologie, la divination, le spiritisme, le charme et l’enchantement pour travestir la vérité.

Vous mes semblables, sans entrer dans toutes ces sciences occultes, je peux certifier que Sammaël à d’énormes pouvoir sur la race humaine, qu’il peut, ce servant d’humain, se déguiser en « Ange de Lumière », mais qu’il peut au moyen des ondes existantes autour de la planète Terre, faire apparaître une « Madone », mais aussi jouer le rôle antique des guérisseurs, comme à Lourdes où dans d’autres lieux de la Terre, les « Marchands du Temple » faisant fortune par le manque de raisonnement de la race humaine.

Oui ! Comme souvent je l’écris, l’humain est responsable de lui individuellement. Ne faites pas comme Ève ou Adam en rejetant sa propre faute sur autre chose, ayez le courage de reconnaître votre faute, votre péché, cette action est le début du sentier qui mène à ce Dieu unique, votre dieu « Dieu » que je nomme EL-SHADDAÏ.

Portez- vous bien et prenez soins de vous

Salutations cordiales à tous

Sig : J-P. G. dit « GRANDELOUPO »