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Titre du blog : Critique réfléchie des Religions par GRANDELOUPO
Auteur : grande-loupo
Date de création : 30-04-2009
 
posté le 24-12-2016 à 14:30:12

Fêtes de fin d'année, chap, N° 2 - Naissance des Dieux un 25 Décembre

Fin d’une Année, début d’une autre,



le cycle éternel, perpétuel !

 

 

Cette période de fin d’année était la fête des Saturnales dans toute l’Europe, où l’on vénérait le sapin car il restait toujours vert, mais on le mettait dans l’âtre car il dégageait une odeur agréable, de plus il crépitait et mille étoiles partaient de sa combustion. En Afrique du Nord et au Moyen-Orient le sapin était remplacé par le palmier.

Dans l’antiquité comme au Moyen-âge on mettait dans l’âtre une bûche qui devait brûler une dizaine de jours qui représentait le cycle des nuits les plus longues de l’année. Selon les régions et les croyances la bûche était d’essence différente.

A cette fête païenne est venue s’ajouter la religion avec ses « Dieux ». Dans le Nord de l’Europe c’est le Dieu « Odin », « Thor » que l’on vénérait et dans l’empire romain c’était le Dieu « Saturne »

Virtuellement chaque civilisation possède son dieu du feu ou dieu soleil. Les Égyptiens et parfois les Romains l’appellent Vulcain. Les Grecs l’ont appelé Kronos, tout comme les Phéniciens mais ils l’appelaient aussi Saturne. Les Babyloniens l’appelaient Tammuz, Tam signifie « rendre parfait » et muz « feu », en tant que Nemrod ressuscité en la personne de son fils, Moloch ou Baal comme l’appelaient aussi les druides. Tous ces titres étaient en fait les différents noms de Nimroth, le Nemrod de la Bible, fils de Koush, fils de Cham, fils de Noé.

 

Chapitre N° 2  

 

Naissance des Dieux un 25 Décembre

 

 

Un peu d’histoire biblique : 2 Rois X : 18-28, « Jéhu rassembla tout le peuple et lui dit :

« Achab a vénéré Baal un peu, Jéhu va le vénérer beaucoup. Maintenant, appelez-moi tous les prophètes de Baal et tous ses prêtres, qu'il n'en manque pas un, car j'ai à offrir un grand sacrifice à Baal. Quiconque s'abstiendra perdra la vie. »

Jéhu agissait par ruse, pour anéantir les fidèles de Baal. Il ordonna :

« Convoquez une assemblée sainte pour Baal ! »

Ils la convoquèrent. Jéhu envoya des messagers dans tout Israël et tous les fidèles de Baal arrivèrent, il n'en resta pas un qui ne vînt. Ils se rendirent au Temple de Baal, qui fut rempli d'un mur à l'autre. Jéhu dit au gardien du vestiaire :

« Sors des vêtements pour tous les fidèles de Baal ! »

Et il sortit pour eux les vêtements. Jéhu vint au temple de Baal avec Yonadab fils de Rékab et dit aux fidèles de Baal :

« Assurez-vous bien qu'il n'y a pas de serviteurs d’EL-SHADDAÏ ici avec vous, mais rien que des fidèles de Baal ! »

Et il s'avança pour offrir des sacrifices et des holocaustes. Or Jéhu avait posté au-dehors 80 de ses gens et avait dit :

« Si l'un de vous laisse échapper un des hommes que je vais vous livrer, sa vie paiera pour la vie de l'autre. »

Lorsque Jéhu eut achevé d'offrir l'holocauste, il ordonna aux gardes et aux écuyers :

« Entrez, frappez-les ! Que pas un ne sorte ! »

Les gardes et les écuyers entrèrent, les passèrent au fil de l'épée et arrivèrent jusqu'au sanctuaire du Temple de Baal. Ils enlevèrent le pieu sacré du Temple de Baal et le brûlèrent. Ils démolirent la stèle de Baal, ils démolirent aussi le Temple de Baal et édifièrent des toilettes publiques, qui sont toujours là aujourd’hui.

Ainsi Jéhu fit que Baal disparut d'Israël. »

Et toujours dans cette histoire biblique ou il est question du fils de Nemrod, Jérémie XXXII : 35, « Ils ont construit les hauts lieux de Baal dans la vallée de Ben-Hinnom pour faire passer par le feu leurs fils et leurs filles en l'honneur de Molok, ce que je n'avais pas ordonné, ce à quoi je n'avais jamais songé : commettre une telle abomination pour faire pécher Juda ! »

Nemrod est considéré comme le père de tous les dieux babyloniens dont Mithra. Ces Dieux de l’antiquité, particulièrement dans le Moyen-Orient, les Gaules, la péninsule Ibériques, les Angles, Scandinaves et Romains ont la particularité de mourir le dernier jour du Solstice d’Hiver, soit la nuit la plus sombre et la plus longue et de renaître le lendemain ou sur lendemain jour de l’apparition de la Lumière, en effet les jours commencent à prendre du temps sur la pénombre, naissance et renaissance des « Dieux » soit un 24, 25 Décembre.

 Pendant le Solstice d’Hiver nous avons vu que nous fêtions le dieu Tammuz, Vulcain, Kronos et dans tout l’Empire romain les Saturnales, fête qui durait jusqu’aux Calendes, c’est-à-dire jusqu'à la nouvelle lune, qui était le premier jour du mois de Januarius, jour de pleine Lune soit une dizaine de jours après notre 1er Janvier.

Mithra est une divinité indo-européenne. Plusieurs documents hittites confirment son existence dès le IIème millénaire avant J.-C. Dans la Perse antique, le culte obtint une véritable importance, et était considéré comme un monothéisme

Cette religion disparaîtra par son ampleur et suite à certaines campagnes militaires, les soldats romains reviendront avec une nouvelle divinité, « Sol Invictus », Soleil Invaincu. Cette « divinité » est un mélange de la mythologie d’Apollon et d’un culte indo-européen sur la divinité de « Mithra », dieu mystère qui se serait créé lui-même à partir de la roche.

 Aujourd’hui en France il reste quelques vestiges de ce culte dont les Temples étaient le plus souvent des grottes naturelles décorées aux emblèmes de ce Dieu. Pour être un fidèle de ce culte au dieu Mithra, il fallait être initié par un adepte de ce Dieu.

Cette religion se développera à Rome probablement à partir du premier siècle de notre ère, sans que l'on sache exactement quand et comment elle fut introduite dans l'empire et s'est principalement répandu en Italie, l’empire des Gaules, Grande Bretagne, sur le Rhin et le Danube.

Ce culte était particulièrement populaire dans les armées, essentiellement chez les soldats et les centurions bien que quelques légats soient attestés. Beaucoup d'esclaves et d'affranchis comptaient également parmi ses fidèles.

Le Mithragan, avait pris beaucoup d’ampleur à Rome, et dans les garnisons ou l’on célébrait le jour de sa naissance, victoire de la Lumière sur les Ténèbres, Soleil Invaincu, Sol Invictus, un 24 ou 25 décembre avec faste.

Il est à noter que la fixation à la date du 25 décembre du Solstice d’hiver est due à une erreur commise par l'astronome Sosigène, lors de la réforme du calendrier à l'initiative de Jules César en 46 av. J-C., qui fixa les débuts des saisons avec un retard d’un ou deux jours par rapport à la réalité.

Le culte de ce Dieu « Mithra », « Soleil Triomphant », eut son apogée sous l’Empereur Aurélien au IIIème siècle de notre ère. Cet Empereur Romain dont le règne ne dura que cinq années de l’an 270 à l’an 275 était né un 9 septembre de l’an 214, 215 et est assassiné au mois de septembre de l’an 275 de l’EC.

Histoire, Légende, les historiens sont en désaccord, un fait est certain, Aurélien en l’an 271 est vainqueur sur la reine de Palmyre, Zénobie, qui avait pris le titre « d’Augusta » avec son fils Wahballat, remettant ainsi le pouvoir impérial en Orient. Après cela il fait campagne contre l’empire des Gaules qui n’oppose aucune résistance rétablissant ainsi l’unité de l’Empire.

À la suite de la crise du IIIème siècle, l'empire était au bord de la dislocation, l'Empereur Aurélien, vainqueur de la reine Zénobie et restaurateur de l'ordre, décida d'instaurer un culte commun à tout l'Empire afin de renforcer le lien commun entre les provinces. En effet chaque cité, chaque province, restait attachée aux cultes locaux, dont les rites et les formes pouvaient varier considérablement.

Aurélien choisit pour ce faire un culte solaire, le Soleil étant censé être universel, le culte de « Sol Invictus, le Soleil Invaincu », et il déclare ce « Dieu » patron principal de l’Empire romain, lui assurant une place officielle à Rome. Il lui dédie un Temple au Champ de Mars, qui sera orné avec les butins rapportés de Palmyre. Ce temple sera servi par un collège de prêtres, les « Pontifices Solis », « Pontifes du Soleil » et fit du culte de Sol Invictus une sorte de religion de l'État, et non une religion d'État, se substituant au culte impérial tombé en désuétude. Cette initiative n'annonce pas, le monothéisme, car la nouvelle divinité, loin d'être exclusive des autres, se superposait simplement aux autres cultes, et reste fondamentalement polythéiste.

Aurélien pense qu’il est le protégé de l’astre majeur, Soleil, garant de la création et dispensateur de vie, gouverneur du Cosmos, lui, Aurélien, étant son représentant légal sur la Terre. Empereur de la théologie solaire, Aurélien entend refaire l’unité morale de l’Empire autour du Soleil, proposant à ses contemporains un monothéisme sur la divinité du Soleil, « Sol Invictus ».

Aurélien en sera le « Pontife Primat », et, en tant que tel, décrétera la date anniversaire de la naissance du Dieu « Sol Invictus » le 25 décembre.

Cette date coïncidera avec la naissance du Dieu « Mithra » qui fait partie des divinités importantes de Rome.

La grande fête du Soleil Invaincu avait lieu le 25 décembre, soit la date du Solstice d'Hiver selon le calendrier Julien : c'était le « Dies Natalis Solis », « Jour de naissance du Soleil ». -- Natalis a donné Natale en italien, Noël en français. -- » 

Ce nouveau culte devait être pour cela suffisamment neutre pour être accepté par les différentes populations de l'empire romain.

Comment une légende païenne devient un culte religieux.

Adonis, d’une grande beauté, un commun des mortels Grecs, était l’amant d’Aphrodite, mais un jour Adonis, aimant chasser, parcourut la forêt et affronta un sanglier. L'animal blessé le chargea et le jeune Adonis s'effondra, blessé mortellement à la jambe. Adonis était appelé Tammuz, dieu Babylonien du Moyen-Orient et de la Syrie.

Dans bien des pays, on sacrifiait au dieu Adonis un sanglier pour expier l'injure que, d'après la légende, un sanglier lui avait faite. La fable raconte que le Phrygien Attès, le bien-aimé de Cybèle, dont l'histoire était identifiée à celle d'Adonis, mourut de la même manière.

Aussi Diane qui, représentée ordinairement dans les mythes populaires comme une chasseresse, était en réalité la grande mère des dieux. D'après Théocrite, Vénus se réconcilia avec le sanglier qui tua Adonis, parce que le jour où on l'amena enchaîné à ses pieds, il se défendit éloquemment, en disant qu'il n'avait point tué son époux par méchanceté, mais simplement par accident.

Le jour de Noël, les Saxons du continent offraient un sanglier en sacrifice à la Déesse Soleil, à cause de la perte de son bien-aimé Adonis. À Rome il y avait une coutume semblable ; le sanglier formait le centre principal de la fête de Saturne.

Par contre au Solstice d’Hiver égyptien on offrait une oie à la déesse Osiris. Rome fut sauvé grâce aux oies sacrées de Junon qui gardaient le du temple de Jupiter. En Amérique du Nord pour Noël et le Jour de l’an il doit y avoir de l’oie sur la table si l’on veut que l’année soit bonne.

Pour le moment nous sommes toujours dans les écrits considérés comme païens et apocryphes, alors voyons l’histoire religieuse biblique

EL-SHADDAÏ aime sincèrement l’humain, et il sait que tous les humains ne vivent pas que pour la luxure, mais qu’un petit nombre l’aime et le cherche sincèrement, alors à ce petit nombre il fallait lui donner un « Espoir », une sorte de récompense pour sa fidélité, et quoi de plus merveilleux que de lui redonner la « Vie Éternelle ». Oui, mais il y a cette transgression commise par des êtres parfaits, ces deux premiers humains, homme et femme, donc obligatoirement il fallait une équivalence, un humain parfait, qui soit assez fort pour résister aux attaques du Prince de la Terre, Sammaël, que les humains nommeront « Satan », pour vaincre « Dame Mort », résultante de la première transgression humaine.

Voilà pourquoi le Père EL-SHADDAÏ, après avoir conversé avec son Fils Emmanuel, ils convinrent d’un commun accord, que lui, Emmanuel viendrait sur la Terre pour servir la cause de « l’Humain ». Chacune des deux parties avait pesé la dangerosité de l’action et il fallait beaucoup d’amour entre les deux et une obéissance parfaite au « Père ». En effet, pour le Fils, c’était comme une mise à l’épreuve, un test consentant, mais un test de fidélité et d’amour quand même, et pour le Père c’était de voir faillir son fils dans l’épreuve et de tout perdre, son unique Fils, mais aussi son « Défit » contre Sammaël et la perte définitive de l’humain.

Ce fut pour sauver l’Humain que, dans une nuit de fin septembre début octobre un enfant du nom de Jésus le Nazôréen, le Jésus-Christ des chrétiens, sortit de la matrice de sa mère, sans que celle-ci ne goûtât aux douleurs de l’accouchement. Étant parfaite de corps elle put donner le sein à sa progéniture, sans attendre la semaine de purification comme l’exigeait sa religion hébraïque. De plus, seul d’un corps parfait, exempt du défaut des deux premiers humains, pouvait naître un humain parfait sans la tare génétique adamique.

Luc II : 8

« Il y avait dans la même région des bergers qui vivaient aux champs et gardaient leurs troupeaux durant les veilles de la nuit. »

Cette seule phrase nous informe de la saison. Nous ne sommes pas en hiver, ni au Solstice d’Hiver puisque les bergers sont encore dans les pâturages à garder les troupeaux la nuit. La naissance de Jésus un 25 Décembre est une aberration et, encore, un mensonge du christianisme, alors comment la naissance d’un humain d’une perfection indémontable, venu sur Terre pour sauver la race humaine commence sur une falsification.

Comme je vous l’ai déjà écrit et démontré, le véritable premier « Pontife » est Étienne II en l’an 752. Avant les « Pontifes » de la religion chrétienne étaient les Empereur Romain qui choisissaient le siège de cette religion selon leur attachement à une région voilà pourquoi les « Pontifex Maximus » siégeaient un temps à Constantinople, nommé aussi Byzance, représentant la tendance Orthodoxe donc Orientale, et un temps selon l’Empereur Romain, le « Pontifex Maximus » de cette religion, à Rome qui représentait la disposition Catholique soit Occidentale. Cette religion se fera une guerre dogmatique sans merci changeant de siège entre Rome et Constantinople, les Évêques ayant oublié les enseignements de Jésus le Nazôréen, prendront les armes pour soutenir tel ou tel Empereur selon sa spiritualité.

C’est ainsi que l’Évêque de Rome Libère qui siégera à Rome de l’an 352 à sa mort en l’an 366 imposera à l’Empereur Constance II, Rome comme « Siège Apostolique » alors que ce dernier siégeait à Constantinople. Avant de réussir son coup de maître il fut exilé de l’an 355 à l’an 358 à Beroia en Macédoine.

Libère ayant pris ses fonctions « d’Évêque Primat de Rome » en l’an 352 trouva injuste que toutes les religions avaient un Dieu Natif un 25 Décembre et que le christianisme religion de l’Empire Romain n’avait pas de « Dieu » natif un 25 Décembre. Pour lui, Libère, cela était inconcevable. Dans le Nord de l’Europe on vénérait Odin et Thor, en Grèce le Dieu Kronos, au Moyen Orient le Dieu Vulcain, à Rome le Dieu Saturne et le christianisme rien !

Comme aucun texte biblique ne parle de la naissance d’un « Dieu », et les évangiles ne donne aucune date, en dehors de cette allusion aux bergers, Libère décrète que pour l’hiver de l’an 354 un « Dieu Chrétien » est né pendant le solstice d’Hiver un 25 Décembre du nom de Jésus-Christ. Il codifie les premières célébrations pour pouvoir assimiler les fêtes populaires et païennes célébrées autour du Solstice d’Hiver. Cette nouvelle date est rapidement adoptée en Orient, un sermon de Saint Jean Chrysostome l’atteste, et depuis la fin du IVème siècle elle supplante la date antique du 6 Janvier.

Le christianisme, dès lors, devient une religion concurrente du mithracisme, culte de Sol Invictus.

Ce culte gardera sa prestance jusqu’au début du IVème siècle. Il perdra petit à petit son influence après que Constantin le Grand suite à sa victoire au Pont de Milvius sur Maxence en 312 déclarera le christianisme comme religion de l’Empire en 325 au Concile de Nicée. 

Je viens d’écrire vous prouvant comment les humains transforment des actions païennes et idolâtres en actions pieuses et religieuses.

Sammaël a sur la Terre de bons et fidèles Serviteurs. Reconnaissons qu’il est plus facile d’agir de penser en mal plutôt qu’en bien, car les bonnes actions sont difficiles, mais pour celui qui a appris à commettre ces bonnes actions et bien instinctivement, mécaniquement il commettra ces bonnes actions se reprenant lui-même.

Qu’est-ce que c’est agréable à agir ainsi, car je ne sais pourquoi mais une atmosphère de joie et de bonheur règne dans cette maison, et de cela j’en suis le témoin et l’acteur aussi.

Portez-vous bien et prenez soins de vous !

Amusez-vous, dansez, chantez en restant sur le sentier d’EL-SHADDAÏ, sans avoir de pensés adultérine en convoitant la femme de son prochain, et attention à ce petit muscle qu’est la langue car elle poignarde, médisance sur son prochain est au bout de la langue, pensez-y !

Salutations cordiales

Sig : J-P. G. dit « GRANDELOUPO »