Dans la Bible, le registre des générations de tous les fils premiers nés, commençant par le premier homme Adam, est indiqué dans leur succession sur une période de 2369 ans. Selon les indications de la Bible, le déluge a eu lieu 1656 ans après la création d'Adam et donc celle de notre monde par Dieu.
Avant de continuer un peu de raisonnement, d’après les géologues et archéologues, un Déluge planétaire a eu lieu cela c’est une certitude, il existe trop de preuve sur la planète Terre, aussi bien sur tous les Continents que dans les fonds marins de toutes les mers. Avant ce cataclysme les humains vivaient sur tout le Globe Terre et ils avaient des connaissances scientifiques plus poussées que les nôtres d’aujourd’hui. Les Néphilims qui descendirent sur la Terre pour s’accoupler avec les filles des hommes étaient parfait d’esprit et avaient énormément de sciences en tout, physique, chimie, et ils enseignèrent les hommes en astrologie, astronomie, botanique, nucléaire, atomique etc …. !
Voyons les Livres d’Hénoch VII : 1-15, VIII : 1-9
Les humains antédiluviens venaient de parents dont la perfection était encore importante et le sang n’était pas dénaturé comme aujourd’hui. La mémoire comme le QI intellectuel était beaucoup plus évoluée, de cent pourcent des deux premiers humains pour arriver à un QI de soixante voire cinquante pourcent aux humains du Déluge dont la moyenne d’espérance de vie était de 912 ans.
Ces humains antédiluviens vivaient dans des villes, et, qui dit ville, dit aménagement en arrivée d’eau potable, mais aussi système d’évacuation des eaux usées, des excréments humains, animaliers, et autres déchets.
Ce QI continua à diminuer après le déluge pour arriver presque à zéro, et aujourd’hui au XXIème siècle la moyenne du QI des humains est de douze pourcents voire dix-huit, vingt pourcents pour nos scientifiques les plus intelligents de la planète Terre.
Dans le prochain chapitre je continuerai sur les conséquences du Déluge, mais surtout sur les connaissances de nos ancêtres !
Cinq, quatre mille ans avant l’E.C.,
Etrange, bizarre, et si ? … ?
Chapitre N° 8
Ce cataclysme le Déluge transforma la surface de la Terre. Mais avant pourquoi ce Déluge, pourquoi la voûte de vapeur d’eau qui protégeait la Terre des UV du soleil ainsi que les rayons cosmiques, s’est effondrée d’un seul coup ?
Il y a tout au plus 10 000 ans, le pôle Sud était exempt de glace. Les petites calottes glaciaires présentes au pôle commencèrent à fondre avec le déluge, et le déplacement de l'axe terrestre entraîna le déplacement de cette région arctique en direction de la Sibérie et de l'Alaska. La glaciation associée au déroulement du déluge produisit un climat arctique et une période glaciaire qui dure encore aujourd'hui. Cela signifie que ce n'est pas autrefois, mais à notre époque qu'il y a une ère glaciaire !
Il existe un lien entre le Déluge, l'ère glaciaire, le déplacement de l'axe terrestre et l'anéantissement soudain de presque toutes les créatures sur cette Terre. Des villes antiques se trouvent au-dessous du niveau de la mer, et les socles continentaux situés sous l'eau démontrent que le niveau de la mer était autrefois plus bas.
Dans la Bible déjà, on parle des eaux de la profondeur, ces eaux qui se trouvent sous la voûte et aussi au-dessus. L'eau au-dessus de la voûte pouvait constituer une atmosphère avec de la vapeur d'eau, mais aussi une enveloppe d'eau qui entourait l'ensemble de la Terre
. Les indications tirées de la Bible en relation avec le déluge parleraient en faveur de la thèse de l'eau originaire de la Terre. L'Apocalypse rapporte VI : 14, que : « Le ciel disparut comme un rouleau de livre que l’on enroule, et toutes les montagnes et les îles furent déplacées ». En outre, il est dit dans la Genèse VII : 11, «. // toutes les sources du grand déluge se rompirent et les écluses du ciel s'ouvrirent. La pluie tomba quarante jours et quarante nuits sur la terre. »
La traduction évangélique de la Bible utilise, à la place de Déluge le mot Source de la profondeur. Ce choix de mot caractérise mieux l'eau souterraine jaillissant de la terre ou le dégagement de l'eau liée dans la roche. Les écluses du ciel désignent sûrement une pluie intense, ou une enveloppe d'eau a-t-elle cédé ?
Le Prof. Dr Alexander Tollmann, géologue, constate : « ... déluge . . . un chaos dans lequel les eaux du ciel et de la Terre ne pouvaient plus être séparées, parce que l’homme a vu que le flot de la mer et la pluie intense se mêlaient. Et l’on croyait savoir depuis la Chine jusqu'à Babylone et au-delà d’où provenaient les eaux : elles étaient en partie manifestement domiciliées au-dessus de la voûte du ciel, d’où elles tombaient lors de tremblements de terre à la suite d’une « rupture d’une colonne de la voûte du ciel ». Mais elles étaient aussi manifestement stockées dans une deuxième enveloppe d’eau sous la croûte terrestre solide, parce que lors de ce tremblement de terre, « toutes les fontaines de la profondeur se sont rompues » en même temps »
L'Apocalypse XVI : 1-21, continue et fait référence à 7 événements apocalyptiques au moyen de 7 anges : « Allez et versez les 7 coupes pleines de la colère de Dieu sur la terre …//, versa sa coupe sur la terre. Alors se forma un abcès malin et mauvais chez les hommes …//,versa sa coupe dans la mer. Alors elle devint du sang, qui ressemblait au sang d’un mort ; et tous les êtres vivants dans la mer moururent…//,versa sa coupe sur les fleuves et les sources. Alors tout devint sang …//, versa sa coupe sur le soleil. Alors lui fut donné le pouvoir de brûler les hommes avec son feu …//, versa sa coupe sur le trône de la Bête. Alors les ténèbres vinrent sur le règne de la Bête, et les hommes se mordirent la langue de peur et de douleur …//, versa sa coupe sur le grand flot, l’Euphrate. Alors son eau sécha…//, versa sa coupe sur l’air…//. Et il s'ensuivit des éclairs, des voix et du tonnerre ; il se produisit un violent tremblement de terre, comme il n'y en avait jamais eu depuis qu'il y a des hommes sur la terre …//. Toutes les îles disparurent et il n'y eut plus de montagne. Et de puissants blocs de grêle, lourds d’un quintal, se précipitèrent depuis le ciel sur les hommes »
On ne peut pas expliquer ces colorations rouges par du sang, elles se fondent dans la précipitation d'acide nitrique, une conséquence de l'impact, sous forme de pluie corrosive, qui colorait tout en rouge et empoisonnait l'eau, qui de ce fait avait un goût d'absinthe. Les hommes aussi souffraient de cette corrosion comme sous le poison des scorpions.
Cette description de l'Apocalypse est encore plus nette et détaillée. La couleur de la mer, causée par la pluie d'oxyde d'azote et d'acide nitrique, est précisément décrite. Le sang des morts est brun rouge et non rouge clair, comme le sang frais. Cette couleur correspond à celle de l'acide nitrique saturé d'oxyde d'azote. Même les abcès causés par la pluie acide sur la peau des hommes sont décrits. La chaleur énorme à proximité d'un impact fait se vaporiser aussi de grands fleuves.
Les raz de marée gigantesques ont laissé dans les endroits hauts situés des Alpes, dans l'Himalaya et d'autres massifs, des traces marines fossiles que presque chaque randonneur connaît. La chaîne montagneuse des Alpes est une montagne très jeune qui s’est élevée d’un seul coup par plissements et contractions et qui un jour ou l’autre s’élèvera encore de plusieurs centaines de mètre. Les Alpes qui font un demi-cercle, partant de Menton pour finir vers Trieste en Italie, Lubiana en Croatie, le milieu se trouvant en Suisse.
On a trouvé des restes de grands bateaux et d'ancres de pierre à des altitudes de quatre à cinq mille mètres en Anatolie de l'est, qui est la Turquie d’aujourd’hui, sur le mont Ararat, à la frontière de l’Arménie et de la Géorgie, le lieu éventuel où l'Arche de Noé se serait échouée sur les plateaux du Mont Loubard de la chaine montagneuse Ararat. La Genèse VII : 19-21 parle de la puissance des vagues : « L'eau avait puissamment enflé sur terre et couvrait toutes les hautes montagnes qu'il y a sous tout le ciel. L'eau était montée de quinze coudées au-dessus des montagnes et les avait recouvertes. Alors tous les êtres de chair périrent . . . » .
L'ampleur gigantesque du grand raz de marée est exprimée très clairement : « pardessus toutes les hautes montagnes ». Les découvertes géologiques, les traditions anciennes et d'autres indices, confirment cette proposition, même si l'on peut concéder que les montagnes étaient éventuellement un peu plus basses avant la grande inondation, vu que le déluge seul a dans certains cas fait apparaître définitivement des montagnes par plissement. Les mythes de nombreux peuples dans le monde entier confirment cette inondation inimaginable.
L'Épopée de Gilgamesh mentionne des montagnes plongées dans l'eau. Dans le Livre des morts des Égyptiens, le dieu du soleil Râ parle de la grande inondation qu'il a provoquée, et le dieu Atoum menace d'anéantir la Terre : « Cette terre doit devenir eau, un océan par inondation, comme elle l’était au début ». La catastrophe principale consistait en tremblements de terre, éruptions volcaniques, grandes inondations et en un hiver long. Le Livre des écritures chinoises du VIème siècle av. J-C. parle d'un raz de marée gigantesque qui a inondé le monde entier et plongé sous l'eau les plus hautes montagnes. La légende du peuple des montagnes au sud de Canton parle d'eaux montantes telles que les montagnes les plus élevées étaient rendues pareilles à la mer. Les Eskimos décrivent l'inondation de la même manière : « L'eau coula au-dessus des sommets des montagnes, et la glace emporta tout au-delà. Puis, quand le flot se retira, la glace échoua et constitua partout sur les sommets des montagnes des calottes de glace ». Que ce soit dans le Nord de la Sibérie, en Inde, en Mongolie, au Vietnam, à Sumatra, en Australie ou en Amérique du Sud, les traditions parlent de grandes vagues d'eau qui submergèrent même les hautes montagnes.
Les Cheyennes et d'autres tribus indiennes ont connaissance d'une inondation qui a eu lieu à l'origine. Les Indiens Navajos parlent dans leurs mythes d'une eau semblable à une paroi de falaise sans lacune et d'une inondation semblable à une montagne occupant l'ensemble de l'horizon. Des faits correspondants sont mentionnés dans les traditions des Indiens Choctaw dans la région Oklahoma-Mississippi, ainsi qu'au Pérou et dans des textes aztèques.
L'ensemble du déluge ne s'est pas limité à un seul grand raz de marée. Il y a eu en tout plusieurs impacts dans différentes parties du monde. En outre, des tremblements de terre partaient de la croûte terrestre partout éventrée, et produisaient dans la mer les raz de marée redoutés - les tsunamis. Les différents impacts et les éruptions de la croûte terrestre produisirent plusieurs raz de marée gigantesques, qui furent accompagnés de vagues secondaires et qui se recouvrirent et s'accumulèrent dans diverses parties du monde.
Le poids de l’eau déclencha des éruptions volcaniques qui mirent le feu à des grandes forêts de conifères, et la température de la terre monta faisant tout fondre sur des milliers de kilomètres, les traces géologiques en sont témoins.
Souvenez-vous de ce réacteur atomique découvert au Gabon ? à Oklo dans une mine d’uranium ? Relire le chapitre N° 6 dans lequel je vous parlais des connaissances scientifiques de ces humains antédiluviens. Je reviendrai sur ce thème bientôt !
« L'impulsion thermique irradiée à une grande vitesse par le foyer de l'explosion peut être considérée comme le début d'un violent incendie mondial. L'ouragan et la tempête de chaleur brûlante ainsi déclenchés pouvaient avancer à la vitesse de 1200 km/h, et abattaient encore des forêts comme des allumettes à plusieurs milliers de kilomètres de distance. Les fragments et les retombées incandescentes de précipitations radioactives provoquèrent de grands incendies dévastateurs qui s'étendirent à partir de plusieurs centres dans toutes les directions. La chaleur incandescente fit éclater les rocs, assécha les fleuves et fit bouillir les lacs et les mers. La comparaison avec les grands incendies dans les villes et les sinistres habituels fait conclure à des températures bien supérieures à 1500°C. C'est pourquoi les mythes n'exagèrent pas quand ils parlent des minéraux liquéfiés dans les montagnes.
Ainsi, la religion de la Perse ancienne parle-t-elle conformément à la vérité de métaux qui se liquéfièrent dans les montagnes et se répandirent comme un flot incandescent sur la terre. Le point de fusion du cuivre est par exemple de1083°C, celui de l'argent de 961 °C, de l'or de 1063°C et du fer pur de 1535 °C. Ces températures sont dépassées lors d'un incendie de taille mondiale, et ce savoir montre que les anciens mythes ne flottent pas dans la lueur d'une tradition fécondée par l'imagination. »
Avant de poser des questions, je vais ci-dessous vous étaler des textes et des images qui laissent tous humains sensés dans un embarras intellectuel et spirituel, alors avant toute chose ! …. J’appose !....
Vous Lectrices et Lecteurs, j’ai trop de respect pour vous et pour celui qui est au-dessus de ma tête et dans lequel je crois sincèrement, je parle de ce Dieu seul et unique que je nomme EL-SHADDAÏ, pour vous cacher tout ce que je viens de lire, mais je ne voudrais pas être trop ennuyeux avec mes écrits, là est mon dilemme !
Alors, je pense que pour tout croyant il est important de savoir, de comprendre notre Genèse, car tous, nous venons d’une espèce qui a été, qui est et qui sera la même que la nôtre. Jamais, je dis bien jamais nous ne reproduirons autre chose que nous, tel que nous sommes, des « Humains », et la seule chose qui pourrait changer c’est notre génétique de vieillesse qui est contre notre nature, car toutes nos cellules sont faites pour se reproduire indéfiniment et cela est prouvé scientifiquement, alors pourquoi nous vieillissons et nous mourons ? … ?
Aujourd’hui nous sommes au début d’une ère atomique qui a déjà, semblerait-il, existé. Partout où il y a eu des essais nucléaires la roche, les sédiments, et surtout le sable, car presque tous les essais ont été pratiqué dans des desserts, pour la France dans le Sahara algérien, pour les Royaumes Unis le Désert de Sable et celui de Victoria en Australie, pour la Chine le désert de Gobi, pour l’Inde celui de Thar dont je reparlerai, pour le Pakistan celui de Cholistan, qui est le même désert que l’Inde seul le nom change, pour les États-Unis, - USA -, les plateaux du Colorado et celui de Mojaves, et pour finir la Sibérie qui n’est pas considérée comme désertique, et dans tous ces lieux il y a sur des hectares de terre vitrifiées d’une couleur de vert sale, opaque
Le disque de Phaistos –
Une découverte vraiment inhabituelle faite en 1908, située dans un dépôt du temple souterrain qui a été associé à l’ancien site du palais minoen de Phaistos sur l’île de Crète. Fabriqué à partir de terre cuite, le disque est d’environ 15 cm de diamètre et d’un centimètre d’épaisseur avec des symboles imprimés sur les deux faces. Personne n’a jamais été capable de décoder l’étrange écriture sur le disque d’une manière acceptable selon des archéologues ou des étudiants dans le domaine des langues anciennes.
Il y a plusieurs raisons pour lesquelles cette pierre est si inhabituelle. Elle est unique en son genre et aucun autre élément, avec peut-être l’exception de la Hache d’Arkalochori, ne porte des inscriptions similaires. L’écriture a été créée en appuyant des caractères préformés dans l’argile, ce qui en fait la première utilisation enregistrée de caractères mobiles. Le disque est largement considéré comme authentique et est exposée dans le musée d’Héraklion de la Crète, Grèce.
Lors d’une conférence donnée fin octobre 2014, Gareth Owens, chercheur en linguistique à l’Institut d’enseignement technologique, TEI, de Crète, et John Coleman, professeur de phonétique à Oxford, Royaume-Uni, ont annoncé que le disque reproduisait une prière destinée à la déesse mère, divinité principale du panthéon de la civilisation minoenne, la plus importante de l’âge du bronze du monde grec, 2700-1200 avant J.-C. Ils auraient ainsi identifié à plusieurs reprises le substantif « mère » sur les deux côtés.
Pour parvenir à ces résultats, les deux chercheurs auraient procédé par analogies en s’appuyant sur des études épigraphiques consacrées aux écritures crétoises anciennes, le linéaire A des Minoens, apparu vers 1800 avant J.-C. et le linéaire B des Mycéniens, 1375 avant J.-C., déchiffré en 1952 par le Britannique Michael Ventris.
« En comparant des signes hiéroglyphiques crétois découverts sur des sceaux ou sur les doubles haches d’Arkalochori, IIe millénaire avant J.-C., mis au jour en 1934, avec ceux du linéaire A, puis du linéaire B, nous sommes parvenus à « lire I-QE-KU-RJA » à trois reprises », affirme Gareth Owens. Ce qui se traduirait par « femme, ou déesse, enceinte », I-QE, pouvant selon eux signifier « mère » ou « déesse ». « Nous savons que la religion minoenne comportait un culte de la déesse-mère, mais encore fallait-il le retrouver dans les textes », ajoute-t-il.
La machine d’Anticythère, appelée également mécanisme d’Anticythère, est considérée comme le premier calculateur analogique antique permettant de calculer des positions astronomiques. C’est un mécanisme de bronze comprenant des dizaines de roues dentées, solidaires et disposées sur plusieurs plans. Il est garni de nombreuses inscriptions grecques.
De plus, comment savons-nous réellement qu’ils n’ont pas déjà découvert des preuves d’ancienne technologie ? Plusieurs organisations archéologiques notables nous ont menti par le passé, y compris le Smithsonian Institute.
On ne connaît de la machine d'Anticythère qu'un exemplaire, dont les fragments ont été trouvés en 1901, dans l’épave d’une galère romaine, longue d'une trentaine de mètres, près de l'île grecque d’Anticythère entre Cythère et la Crète, par des pêcheurs au large de la côte, qui a été datée comme antérieure à 87 av. J.-C.
Ce mystérieux dispositif mécanique est décrit comme le premier ordinateur analogique du monde. Les scientifiques s’accordent à dire qu’il est réel et remonte aux alentours du IIème siècle avant JC, ce qui signifie qu’il est âgé de plus de deux mille cent, deux mille deux-cents ans.
La machine d'Anticythère est le plus vieux mécanisme à engrenages connu. Ses fragments sont conservés au Musée National archéologique d’Athènes
« Pour moi, ces sujets prouvent définitivement l’existence des Nephilims, les Anges déchus, qui, étaient nettement plus avancés que nous technologiquement parlant aussi bien que surnaturellement plus fort. » Hans Joachim Zillmer
Je suis dans l’obligation d’arrêter ce chapitre qui est déjà assez long, mais enregistrez bien ce qui est écrit car vous verrez, je serai obligé de revenir sur un thème qui nous concerne tous, pauvres ou riches, croyants ou athées, quoi que l’athéisme n’existe pas.
Je vais mélanger les écrits bibliques, hénochiens, avec ceux que je viens de découvrir, mais je ne vous poserai pas tout ce que je lis, car je désire que vous veniez vers ce Dieu seul et unique, par vous-mêmes en vous transformant, avec sincérité, et le prier, Lui le seul Dieu, car Jésus le Nazôréen, Jésus-Christ pour la chrétienté, n’est pas un Dieu et ne sera jamais Dieu, car si cela devenait le cas, cela supprimerait l’unicité d’EL-SHADDAÏ, ce qui est impossible. Jésus le Nazôréen ne peut rien faire sans l’approbation de son Père !
En attendant portez-vous bien ! Prenez soins de votre maisonnée !
Salutations cordiales à tous !
Sig : J-P. G. dit « GRANDELOUPO »