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Titre du blog : Critique réfléchie des Religions par GRANDELOUPO
Auteur : grande-loupo
Date de création : 30-04-2009
 
posté le 07-12-2017 à 06:37:35

lp de qc chap. N°15 - Éclairage de l'Arche, piles atomiques

Je ne voudrais pas être pour vous ennuyeux, mais je pense que l’histoire antédiluvienne, même si elle est imparfaite, car tous ces « Rouleaux », plus d’un demi-million, voire le million selon certaines sources, de la « Bibliothéque d’Alexandrie » en Égypte qui ont brûlé en -47 avant J-C., nous aurait été très utile pour connaître l’histoire de l’homme avant le « Déluge ». Heureusement les preuves géologiques, archéologiques, ethnologiques, paléontologiques et paléoanthropologiques que tous ces scientifiques découvrent pour nous, pour notre enseignement est magnifique, car pour moi, savoir, connaître la vérité est important, sans être comme l’Apôtre Thomas, car nous risquons de rester dans l’ignorance.

Toujours dans ma logique, mais de cela personne l’écrit cette caisse rectangulaire de trois-cent-trente mètres de long, cinquante-cinq mètres de larges, et trente-trois mètres de haut sur trois niveaux plus un mètre pour le toit, ce dernier avait un mètre de pente pour permettre à l’eau de s’écouler à l’extérieur de l’Arche, et faisait office de fermeture sur le dessus comme une péniche. Les dimensions sont telles qu’il est impossible à l’Arche de se retourner

Je pense que l’on montait d’un étage à un autre par des escaliers ou par une montée progressive comme celles des garages allant d’un étage à l’autre et que tous les degrés étaient cloisonnés afin que les espèces d’animaux soient séparées entre les sauvages et les domestiques, entre les rampants et les volants, mais encore entre le fourrage, la paille, les réserves des céréales, des racines et des fruits entreposés de telle manière que cette caisse reste équilibrée en charge.

Je désirerai que vous réfléchissiez sur cette caisse de bois complètement fermée sur le pourtour et seul le troisième étage recevra la lumière du jour uniquement sur le côté du toit sur une auteur d’une coudée soit un mètre dix, et à vingt mètres en allant vers le milieu de l’Arche c’est le noir complet, et là commence une autre histoire

J’écris tout cela afin que vous ayez foi en ce Dieu seul et unique, cet Être Suprême que je nomme EL-SHADDAÏ, comme il est écrit pour la première fois dans la Genèse de la Bible au chapitre XVII, le premier verset : « Lorsqu'Abram eut atteint quatre-vingt-dix-neuf ans, Yahvé lui apparut et lui dit : « Je suis EL-SHADDAÏ, marche en ma présence et sois parfait. » », et non ce nom vulgaire de « DIEU », car sur la terre de la planète Terre comme dans l’Univers, de l’infiniment petit à l’infiniment grand tout porte un « NOM », pas une vulgarité, un « Nom », alors je scrute les « Écritures » pour que vous soyez convaincu, sincèrement, par votre cœur qu’il existe vraiment et que seul nous par notre intelligence, par notre « Esprit », nous choisissons volontairement ce qui est bien, ce qui est mal, et nous le savons au plus profond de nous-même, quand nos pensées, nos actions sont mauvaises, nous avons le libre-choix, nous ne sommes pas parfait, ce n’est pas une excuse, mais nous pouvons demander pardon à ce Dieu, personne ne le sait, personne ne le voit sauf nous et Lui !

 

 

Vestiges lampes de Dendérah, de Bagdad

 

Chapitre N° 15

 

Éclairage de l’Arche, piles atomiques ?

 

Au chapitre précédent j’expliquais les dimensions de l’Arche de Noé, cette immense caisse rectangulaire en bois avec trois paliers à l’intérieur et le dernier étage était surmonté d’un mètre-dix en son centre pour former un toit de telle manière que l’eau pouvait glisser vers l’extérieur des bords longitudinaux de cette Arche.

Question, dans la cale, puis dans les trois étages qu’elle était l’éclairage ? Une torche de résine de pin ? Impossible et impensable, beaucoup trop de risques ! La combustion de la torche résineuse, émanation de carbone, risque d’incendie à cause du bitume, etc … ! Alors comment s’éclairaient-ils ? Nous sommes dans l’obligation de revenir vers ces géologues et archéologues qui ont découvert des vestiges qui font penser à la pile atomique le seul outil qui pouvait éclairer l’Arche pendant une année, car une certitude d’après les écritures apocryphes du jour où l’Arche fut fermé par EL-SHADDAÏ, et du jour ou Noé eut l’ordre d’ouvrir cette porte, aidé certainement par cet Être Suprême, il se passa une année complète de l’âge d’Hénoch, soit trois-cent-soixante-cinq jours. Livre du Juste chez « Go-Dieu » V : 34-35  « Noé se leva et construisit l'arche conformément à tout ce que Yahvé lui avait commandé.

Il la commença dans sa cinq cent quatre-vingt-quinzième année, et dans sa six-centième année il la termina dans tous ses détails. »

EL-SHADDAÏ aimait tellement l’humain qu’il lui a donné cent-vingt-ans pour changer et revenir de ses mauvaises voies, ses mauvaises actions, mais pour la majorité des humains, ils ne voulaient pas réintégrer les Lois et Préceptes de ce Dieu seul et unique, et ils continuaient à se créer de nouveaux Dieux et à vivre dans la luxure et la débauche.

L’Arche était construite et les humains qui étaient avec Noé et Mathusalem remplissaient les granges de l’Arche, Livre du Juste, chez Go-Dieu, « Tu feras aussi dans l'arche provision de tout ce que mangent les bêtes. » Livre de Jasher écrit, « Et rassemble pour toi toute la nourriture qui se mange par tous les animaux, qu'il y ait de la nourriture pour toi et pour eux. », comme EL-SHADDAÏ leur avait demandé, et beaucoup de ces humains mourraient car cet Être Suprême souhaitait que ces humains fidèles ne voient pas les affres du Déluge.

Ce Dieu seul et unique fit venir de toute la Planète Terre une multitude d’animaux sauvages, domestiques, bêtes et bestioles chacun selon son genre, selon son espèce, un mâle et une femelle pour tous ceux qui étaient impurs et sept males et sept femelles pour tous les animaux purs, ce sont ces bêtes que l’on se sert pour les holocaustes, les sacrifices comme boucs, taureaux, moutons, béliers, tourterelles, cailles et perdrix, et tous arrivaient autour de l’arche et paissaient tranquillement.

Maintenant dans les écrits Bibliques et apocryphes inspirés Mathusalem et Noé sont vivant et nous sommes au tout début de la six-centième année de vie de N. Avec une machine à calculer, j’ai vérifié toutes les dates données par la Bible, le Livre du Juste chez Go-Dieu, le Livre du Juste et le Livre de Jasher, et toutes les dates coïncident bien avec la naissance, la mort, l’âge des Patriarches depuis Adam jusqu’à l’âge de Noé au décès de ces Patriarches ce qui fait que Noé est né en l’an mille cinquante-six depuis le jour où Adam reçut le « Souffle de Vie » et devint une âme vivante.

Son père Lamech avait cent-quatre-vingt-deux ans quand est né son premier-né Noé, et lui-même était né en l’an huit-cent-soixante-quatorze depuis que Adam avait reçu le « Souffle de Vie » et devint une âme vivante et Mathusalem son père avait quatre-vingt-sept ans à la naissance de Lamech ce qui fait que son père Mathusalem était né en l’an sept-cent-quatre-vingt-sept et son grand-père Hénoch en l’an sept-cent-vingt-deux naquit et eut son premier-né Mathusalem à l’âge de soixante-cinq ans.

Les « Antiquités Bibliques » écrivent que le Déluge commença en l’an mille six-cent-cinquante-deux, alors que la traduction massorétique donne le premier jour du « Déluge » en l’an mille six cent-cinquante-six exactement comme le Livre du Juste de chez Go-Dieu, VI : 34 « et en la six-centième année de Noé, que les eaux du déluge se répandirent sur la terre, »

 Avant tout cela, le temps que Noé, avec des humains fidèles à l’Être Suprême, plus ceux de sa famille qui suivaient les Lois et Préceptes de ce dernier, construisaient l’Arche, les géants, les ogres s’entretuaient, les Jubilés : « Cet Être Suprême fit sortir un commandement de devant sa Face contre ses fils et il les vît périr par « l’épée » et retirés de dessous le ciel. Puis il envoya son « épée » au milieu d’eux afin que chacun tue son semblable. Et ils commencèrent à tous se tuer jusqu’à ce qu’ils tombent par « l’épée » et soient tous détruits de la terre.

Et leurs pères furent témoins de leur destruction et après cela ils furent attachés pour toujours dans les abîmes de la terre jusqu’au jour de la grande condamnation, lorsque le jugement sera exécuté sur tous ceux qui ont corrompu leurs voies et leurs travaux devant le Seigneur. Et il détruit toutes leurs traces et il ne resta pas un seul d’entre eux qu’il n’avait entièrement jugé suivant sa cruauté.

Et le jugement de tous est ordonné et écrit sur les Tablettes Célestes de justice tel que le Jugement de tous ceux qui se détournent et ne marchent pas selon le chemin qui est ordonné pour eux d’y marcher ; le Jugement est écrit pour chaque créature et pour chaque espèce. »

Nous sommes en l’an mille-six-cent-cinquante- et- un quand Noah dans sa cinq-cent-quatre-vingt-quinzième année commença à construire l'Arche, avec sa famille et le reste d’humains encore vivants fidèles à EL-SHADDAÏ, Mathusalem le grand-père de Noé étant toujours vivant, et ils construisirent cette immense caisse de bois « en tout point comme l’Être Suprême l’avait commandé » pendant cinq années. L’Arche, après cinq années de dur labeur, en effet il fallait abattre les arbres de deux-cents, deux-cent cinquante, voire trois cents mètres pour certains, puis les élaguer, les transporter, et une fois sur place travailler ce tronc en faisant un plat de chaque côté, et sur ce plat, un tenon d’un côté et une mortaise de l’autre, sur toute la longueur du tronc, poser de la tourbe beignée de bitume sur les plats, tenons mortaises et monter les futs en les encastrant les uns dans les autres.

Même s’ils avaient des machines plus modernes que les nôtre de ce XXIème siècle, il est impossible de construire cette « Arche » où disons le franchement, cette caisse de bois, avec quatre hommes et dix femmes, alors quand j’écris la famille de Noah je suis dans la vérité, surtout que, quand cette caisse fut fini de construire en suivant les instructions des plans révélés à Noé divinement, il restait à ce dernier avec les siens à badigeonner toute cette caisse de bois avec de l’asphalte, extérieur et intérieur ainsi que la porte d’entrée et il fallut attendre quelques temps pour que cet hydrocarbure sèche et que les odeurs désagréables de ce produit disparaissent.

Pendant ce temps les animaux de toute la planète Terre venaient tranquillement stationner autour de l’Arche

Je réitère les dimensions de cette « Arche » Genèse VI : 15-16, « Voici comment tu la feras : trois cents coudées pour la longueur de l'arche, cinquante coudées pour sa largeur, trente coudées pour sa hauteur.

Tu feras à l'arche un toit et tu l'achèveras une coudée plus haut, tu placeras l'entrée de l'arche sur le côté et tu feras un premier, un second et un troisième étage. », soit une coudée moyenne faisant 1,10m donc longueur de cette caisse 330m x par largeur de la dite caisse 55m x par la hauteur sur trois étages soit 33m aussi haut que nos immeubles de dix étages plus 1,10m supplémentaire pour le toit qui couvrait complètement toute la superficie de cette caisse de telle manière qu’aucune goutte de pluie ne pouvait entrer à l’intérieur de l’Arche.

Question comment s’éclairait-ils ? En sachant que tout avait été badigeonné avec du goudron. Dans les pyramides du Moyen Empire en hiéroglyphes les archéologues trouvèrent dessiné sur les murs ceci :

 

 

« Les lampes de Dendérah sont ce qu'on pourrait définir comme de parfaits réels, à savoir un ou plusieurs objets historiques, archéologiques ou paléontologiques trouvés dans une période historique totalement étrangère aux objets eux-mêmes. Le terme a été inventé par le cryptozoologue Ivan T. Sanderson et depuis lors, il est souvent utilisé par ceux qui tentent d'expliquer des théories officielles historiques - c'est devenu un terme scientifique reconnu.

On peut immédiatement et sans tarder faire un rapport très étroit avec d'autres artefacts, -- « artéfacts : tout ce qui fut façonné, inventé par l’humain ayant réellement existé » --, »

   

« Le papyrus de Westcar révèle que Khéops aurait été informé par un voyant de sa cour, de l’endroit approximatif où auraient pu être cachés les fabuleux livres de Thot, condensé des sciences et techniques d’avant le grand déluge qui aurait submergé l’Égypte sous l’ère du Lion. Celui-ci aurait donc fait détruire le temple existant en cet endroit, puis l’aurait fait reconstruire après en avoir fouillé les secrets. »

 

 

 

« En 1894 siècle, l’attention de l’éminent astronome anglais, Sir J. Norman Lockyer qui avait visité les anciens temples égyptiens, ainsi que de nombreuses tombes des époques pharaoniques, avait été attirée sur le fait que dans tous les édifices fraîchement ouverts ne subsistaient aucune trace d’une quelconque combustion attestant d’un éclairage en cours de travaux, même dans les recoins les plus obscurs. Différentes hypothèses ont été avancées dont celle de la lumière électrique qui aurait pu être connue des anciens Égyptiens. »

Comme vous venez de lire avec les images ce n’est pas moi qui écrit, mais me vient à l’esprit des questions innombrables

En premier veuillez me pardonner pour ce mois d’absence, le cerveau comme la santé n’était pas de la meilleure forme.

L’Arche était complètement close en dehors d’une trappe sur le côté à la terminaison de la toiture. J’en déduis qu’il fallait un éclairage puissant pour éclairer cette caisse sur trois cent trente mètres et sur quatre paliers, puisqu’elle fut construite sur trois étages. Faites de calcul en linéaire et cela fait une distance de mille trois-cent-vingt mètres, soit un kilomètre plus trois-cent-vingt mètres. En plus il fallait que cet éclairage dure une année car du jour de la fermeture de l’Arche par EL-SHADDAÏ à l’ouverture de celle-ci par Noé, une année entière s’est écoulé jour pour jour, et ceci doit avoir une portée symbolique mais je ne sais pas laquelle, mes connaissances en théologie sont très faibles.

Alors, pour durée une année pour éclairer correctement cette arche sur une longueur de mille trois-cent-vingt mètres seule la pile atomique peut générer autant de courant pour éclairer tout ce bâtiment sans risque d’incendie. De plus la longueur de cette caisse rectangulaire sur quatre niveaux prouve le nombre important de l’espèce animalier, bêtes et bestioles qui allaient entrer dans l’arche. Par la grandeur de cette bâtisse il fallait faire le plein en nourriture pour une année, mais tout ce qui était dans l’Arche allait changer en morphologie même l’être humain, car beaucoup allait devenir carnivore, même les plantes. Il est complètement impossible qu’ils ne soient que quatre couples pour s’occuper de la multitude des animaux, mais aussi des plantes car il fallait nettoyer les litières, puis donner à manger, puis pour certains les brosser, donc quand j’écris qu’ils étaient une centaine d’humains je suis en dessous de la vérité, une centaine d’hommes de pieds, cela je l’accorde sans compter les femmes, les enfants et ceux qui commençaient à avoir de l’âge, mais une chose est certaine, tous ceux qui entrèrent dans l’Arche étaient fidèles aux « Principes » d’EL-SHADDAÏ.

Les humains emmenèrent avec eux certaines connaissances, mais tout le monde n’était pas ingénieure, et il y a plus de fidèles chez les humbles que chez les riches, les prêtres, les scientifiques, je ne dis pas qu’il n’en n’existe pas, mais c’est une minorité comme à notre époque du XXIème siècle.

Revenons quelques instants à ce XXIème siècle

« D’anciennes découvertes sur les murs d’une crypte située sous le temple d’Hathor à Dendérah semblent bien représenter des projecteurs de carbone à arc électrique et des ampoules à incandescence. Les prêtres auraient-ils pu utiliser ce type de matériel pour illuminer le temple, ainsi que diverses tombes, le plus important encore, étant le puissant phare de Pharos. » 

« Plusieurs auteurs ont suggéré que les anciens Egyptiens auraient éclairé leurs tombes en cours de travaux en reflétant les rayons du soleil avec un dispositif de miroirs. Toutefois, cette hypothèse ne peut être retenue car les méandres des couloirs en labyrinthe d’un grand nombre de tombeaux auraient posé des problèmes insurmontables pour réfléchir la lumière solaire et garder son intensité lumineuse sur un grand nombre de miroirs alignés en permanence. D’autre part, ce type d’éclairage exigerait un soleil permanent et rigoureusement orienté, sans apparition de nuages, sans perturbation et sans poussière. En outre, certains artisans confinés dans un tombeau égyptien complexe auraient pu finir par se placer devant l’un des réflecteurs et rompre brusquement un lien essentiel dans la chaîne complexe de la lumière, laissant les autres sur toute la ligne luttant dans l’obscurité totale. »

 


« Si comme certains égyptologues l’ont avancé, les artisans avaient utilisé des lampes à pétrole, les traces de suie sur les plafonds et sur les murs n'auraient jamais pu être totalement éliminées après avoir terminé leurs tâches, car ils auraient dû les nettoyer avec les mêmes moyens d’éclairage produisant les mêmes effets. Alors, quel système de combustion propre, sans aucune trace de résidus de fumée, a pu utiliser les artisans égyptiens pour s’éclairer dans les tombes lors de leur édification. »

 

« Bien sûr, aujourd’hui, certaines tombes affichent des marques de suie laissée par les lampes à huile des pilleurs de tombes qui les avaient violées, mais Lockyer a parlé de  « tombes fraîchement ouvertes." Il semble donc, à partir de témoignages anciens qui ne peuvent raisonnablement être expliqué de toute autre manière, qu’il faille envisager que les anciens égyptiens avaient connaissance d’un système original pour s’éclairer dans les tombeaux. »

« En 1938, un archéologue autrichien, le Dr Wilhelm König, s'est penché sur un "objet cultuel" reposant au fond des caves du musée de Bagdad.

Il s'agit d'un petit vase en terre cuite de 15 centimètres de hauteur sur environ 7,5 centimètres de diamètre.

Emergeant du bouchon bitumineux, une tige en fer est insérée à l'intérieur d'un cylindre en cuivre et isolée de celui-ci à sa base par un tampon en bitume ; le cylindre de cuivre étant soudé avec son capuchon par un alliage plomb/étain.

La base du tube était fermée par un disque de cuivre.

A l’autre extrémité, une tige de fer corrodée par de l’acide, sortait d’un genre de prise en asphalte. »


 


 

 

« L’archéologue Wilhelm König conclut, que si le tube avait contenu une solution acide, cet objet n’était autre qu’une pile électrique.

D’après lui, ces piles auraient pu être utilisées par les artisans de l’époque pour plaquer les métaux précieux.

Le cuivre porte une patine bleue caractéristique de la galvanoplastie à l'argent. On pense donc qu'elles sont beaucoup plus anciennes car on a retrouvé également des vases en cuivre plaqués argent dans un site Sumérien vieux d'au moins 3500 ans av. J.C.

En 1940, l’ingénieur américain Willard Gray de la General Electric Compagny s’appuya sur les schémas et les explications et fabriqua une réplique de la fameuse pile. Il la remplit de sulfate de cuivre pour remplacer l'électrolyte original inconnu, évidemment évaporé. La copie fonctionna parfaitement ! Preuve irréfutable que les Babyloniens employaient l'électricité. »


      

 

Il existe sur « Youtube » des vidéos réalisés par des mômes qui ont tout juste douze ans  et qui ont reproduit la pile de Bagdad avec des boites de « Coca-Cola » qui fonctionne merveilleusement bien et je vous invite à les regarder, c’est stupéfiant car tout est bon lessive, jus d’orange, et bien d’autres ingrédients, regarder !

Ces humains antédiluviens traversèrent le « Déluge » avec des écrits et des souvenirs. Je réitère, leur sang était encore très pur, ainsi que le corps et l’esprit puisque leurs ascendants avaient une dose encore importante de perfection. La tare génétique de la mort se retransmettait par accouplement plus les humains se reproduisaient et plus la perfection de corps et d’esprit diminuaient. Combien y avaient-ils d’humains le jour où la pluie commençât de tomber ? Vingt millions, cent millions, cinq-cents millions ? Cinq-cents millions impossibles tout comme cent millions mais sûrement beaucoup plus de vingt millions, même si les femmes avaient trouvé un moyen de contraception pour éviter d’avoir des enfants pour rester belles et désirables.

Une question reste en suspend ; toutes les dates coïncident avec celles de Noé, naissances avant Noé des Patriarches, ascendance de Noé, et mort de ces Patriarches comme celle d’Adam, Seth, Enos, Caïnan, Malaléel, Yared, Hénoch, Mathusalem, Lamech, sauf celle de Mathusalem

Mathusalem est né en l’an sept-cent-quatre-vingt-sept du jour où Adam fut déposé sur la terre de la Terre et reçut le « Souffle de Vie » et devint une âme vivante, soixante-cinq ans après la naissance d’Hénoch son père qui naquit en l’an sept-cent-vingt-deux du jour où Adam reçut le « Souffle de Vie » et devint une âme vivante. Noé fils de Lamech, fils de Mathusalem, fils d’Hénoch, naquit en l’an mille cinquante-six, du jour où Adam fut déposé sur la terre de la Terre et reçut le « Souffle de Vie » et devint une âme vivante et Mathusalem son aïeul était âgé de deux-cent-soixante-neuf ans. Noé grandit en suivant les traces de son aïeul et pas celles de son pères Lamech qui faisait ce qui est mauvais aux yeux d’EL-SHADDAÏ. Après sept-cent-soixante-dix-sept ans de vie Lamech mourut en l’an mille six-cent-cinquante-et-un ans du jour où Adam fut déposé sur la terre de la Terre et reçut le « Souffle de Vie » et devint une âme vivante, Noé avait cinq-cent-quatre-vingt-quinze ans et commençait la construction de l’Arche comme EL-SHADDAÏ avait édité les plans extérieur et intérieur et selon les « Écritures » la constitution dura cinq bonnes années, une date est certaine c’est celle de la terminaison complète de l’Arche dans la six-centième année de Noé que celui-ci monta dans l’Arche avec les animaux. Selon les « Écritures apocryphes » le début de la construction de cette immense caisse rectangulaire en bois commença en l’an mille six-cent- quarante- huit, quarante-neuf, jusqu’en l’an mille six-cent-cinquante-et-un soit entre huit et cinq ans.

Quand l’Arche fut finie en l’an six cent de Noah, Mathusalem avait huit-cent-soixante-neuf ans, ce qui m’oblige à penser que lui aussi traversa le déluge sans doute avec certains membres de sa famille qui suivaient les « Principes » d’EL-SHADDAÏ, puisque toutes les dates concordes Malaléel, Yared, Hénoch, Lamech seul Mathusalem a une erreur d’un siècle sur sa mort

Pour ce chapitre je vais arrêter là ! Reste les questions car là j’ai fait des suppositions d’après une logique évidente, mais avaient-ils des connaissances beaucoup plus perfectionnées que les nôtres sûrement, mais lesquelles, l’humain avait dû faire des actions vraiment abominables pour que ce « Dieu » décide de rayer de la surface de la terre de la Terre sa plus belle création, car il savait qu’après le « Déluge » l’humain allait régresser dans ses savoirs, ses sciences, ses entendements. Qui nous dit que pendant cette année où le reste d’humains fut sauvé par EL-SHADDAÏ, que ce dernier n’a pas embué un peu leur cerveau pour que ces humains oublient tout ou presque tout afin qu’ils ne puissent plus recommencer ce qu’ils ont créé avec l’aide des Néphilims réparti sur toute la terre de la Terre ?

Portez-vous bien et prenez soin de vous et de vôtre maisonnée, dans les « Principes d’EL-SHADDAÏ », mais hypocritement avec un petit sourire je vous laisse libre de l’interprétation, et surtout de ces questions sans réponse, où seule la foi aide !

Salutations cordiales

Sig : J-P.G. dit « GRANDELOUPO »