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Titre du blog : Critique réfléchie des Religions par GRANDELOUPO
Auteur : grande-loupo
Date de création : 30-04-2009
 
posté le 24-12-2017 à 10:58:42

Le mensonge Chrétien du 25 Décembre

Dans la nuit du 24 au 25 Décembre est né soi-disant un « Sauveur », alors que le suis un croyant, je sais que ce « Sauveur » est né dans le mois de Septembre et ou plus tard le milieu de mois d’Octobre quand brebis, moutons chèvres et béliers sont encore au pâturage la nuit. Cette année je ne voulais rien écrire pour cette date, et ma conscience m’a poussé à rédiger pour tous ceux qui commence à me lire, car là nous sommes en plein dans le mensonge et les dirigeants des chrétiens le savent. Alors pour un chapitre peut-être deux j’ai arrêté mes écrits sur « Les Prémices de Quelque Chose ».

 

J’espère que vous ne m’en voudrez pas trop, alors bonne lecture

 

 

Le Mensonge Chrétien du 25 Décembre

 

La Nativité d’un Sauveur en Septembre, Octobre

 

Dans l’antiquité, nos ancêtres, dans toute l’Europe fêtaient le Solstice de l’Hiver. En effet c’était une période de repos, les armures étaient enlevées et les armes rangées. Les humains ne pensaient plus à la guerre. Pour le monde paysan il en était de même, les outils étaient rangés, les bêtes rentrées à l’étable.

Cette période de fin d’année était la fête des Saturnales dans toute l’Europe, Moyen-Orient, Afrique du Nord, où l’on vénérait le sapin car il restait toujours vert, mais on le mettait dans l’âtre car il dégageait une odeur agréable, de plus il crépitait et mille étoiles partaient de sa combustion.

Dans l’antiquité comme au Moyen-âge on mettait dans l’âtre une bûche qui devait brûler une dizaine de jours qui représentait le cycle des nuits les plus longues de l’année. Selon les régions et les croyances la bûche était d’essence différente.

A cette fête païenne est venue s’ajouter la religion avec ses « Dieux ». Dans le Nord de l’Europe c’est le Dieu « Odin » que l’on vénérait et dans l’empire romain c’était les Saturnales

Les Saturnales étaient une fête qui durait du 17 au 25 décembre.

« La légende dit que Saturne détrôné et devenu simple mortel, se réfugia en Italie, dans le Latium, où il rassembla les hommes féroces éparpillés dans les montagnes et leur donna des lois. Son règne fut appelé l'âge d'or, ses paisibles sujets étant gouvernés avec douceur et équité.

 C’est pour célébrer la mémoire de cet âge heureux que Rome fête les Saturnales. »

Ces fêtes, accompagnées de grandes réjouissances en l’honneur du dieu Saturne, étaient la fête de la liberté. En effet pendant ces quelques jours les esclaves jouissaient d’une entière liberté et les rôles étaient même parfois renversés ; le maître était aux services de l’esclave. Les esclaves avaient le droit de parler et d’agir sans contrainte, libre de critiquer les défauts de leur maître. Les tribunaux et les écoles étaient en vacances, les exécutions interdites. On fabriquait puis offrait de petits présents. Un marché spécial avait lieu, le sigillaria. Des figurines étaient suspendues au seuil des maisons ainsi qu’aux carrefours des rues, des grands chemins et des routes.

On enlevait à la statue du dieu les chaînes qu'elle portait, chaines que Jupiter lui aurait infligées, afin de contenir son appétit dévorant en le soumettant au rythme régulier des astres et des jours.

Histoire de rire !

Jésus le Nazaréen, le Jésus-Christ des chrétiens, est né entre -7 à -5 avant Jésus-Christ -- J-C.-- vers la fin du mois de Septembre ou le début du mois d’Octobre puisque les bergers sont encore dans les pâturages avec leurs troupeaux.

Luc II : 8-12, 15-18, 20

« --- Il y avait dans la même région des bergers qui vivaient aux champs et gardaient leurs troupeaux durant les veilles de la nuit.

L'Ange d’EL-SHADDAÏ -- du Seigneur -- se tint près d'eux et la gloire d’EL-SHADDAÏ -- du Seigneur -- les enveloppa de sa clarté. Ils furent saisis d'une grande crainte.

Mais l'ange leur dit :

« Soyez sans crainte, car voici que je vous annonce une grande joie, qui sera celle de tout le peuple : aujourd'hui vous est né un Sauveur, qui est le Messie, dans la ville de David.

Et ceci vous servira de signe : vous trouverez un nouveau-né enveloppé de langes et couché dans une crèche. »

Et il advint, quand les anges les eurent quittés pour le ciel, que les bergers se dirent entre eux :

 « Allons jusqu'à Bethléem, voyons ce qui est arrivé, que le Seigneur EL-SHADDAÏ nous a fait connaître. »

Ils vinrent donc en hâte et trouvèrent Marie, Joseph et le nouveau-né couché dans la crèche.

Ayant vu, ils firent connaître ce qui leur avait été dit de cet enfant, et tous ceux qui les entendirent furent étonnés de ce que leur disaient les bergers.

Puis les bergers s'en retournèrent, glorifiant et louant EL-SHADDAÏ pour tout ce qu'ils avaient entendu et vu, suivant ce qui leur avait été annoncé. --- »

Rien sur la Bible, aucun écrit ne dit qu’il faut vénérer la naissance de Jésus le Nazôréen ( Mt II : 23, Lc XVIII : 37, XXIV : 19,  Ac II : 22, III : 6 etc …)

Jusqu’au IIIème siècle les Romains fêteront les Saturnales.

Puis suite à certaines campagnes militaires, les soldats romains reviendront avec une nouvelle divinité, « Sol Invictus », Soleil Invaincu. Cette « divinité » est un mélange de la mythologie d’Apollon et d’un culte indo-européen sur la divinité de « Mithra », dieu mystère qui se serait créé lui-même à partir de la roche. Aujourd’hui en France il reste quelques vestiges de ce culte dont les Temples étaient le plus souvent des grottes naturelles décorées aux emblèmes de ce Dieu. Pour être un fidèle de ce culte au dieu Mithra, il fallait être initié par un adepte de ce Dieu.

L’empereur Aurélien -- règne de 270 à 275 --- pense qu’il est le protégé de l’astre majeur, Soleil, garant de la création et dispensateur de vie, gouverneur du Cosmos, lui, Aurélien, étant son représentant légal sur la Terre. Empereur de la théologie solaire, Aurélien entend refaire l’unité morale de l’Empire autour du Soleil, proposant à ses contemporains un monothéisme sur la divinité du Soleil, « Sol Invictus ».

Aurélien déclare ce « Dieu » patron principal de l’Empire romain, lui assurant une place officielle à Rome.

Il lui dédie un Temple au Champ de Mars, qui sera orné avec les butins rapportés de Palmyre. Ce temple sera servi par un collège de prêtres, les « Pontifices Solis ». Aurélien en sera le « Pontife Primat », et, en tant que tel, décrétera la date anniversaire de la naissance du Dieu « Sol Invictus » le 25 décembre.

Cette date coïncidera avec la naissance du dieu « Mithra » qui fait partie des divinités importantes de Rome.

Vous constaterez que toutes ces fêtes sont dans les jours du solstice d’hiver. Étant dans les langues latines nous pouvons nous aussi s’écrier :

« Dies natalis solis inuicti » = « Jour du Soleil Conquérant »

Les Saturnales, bien entendu, honoraient Saturne, le dieu du feu, nommé Kronos ou Cronos dans la mythologie grecque.  Saturne était le dieu du Soleil et des semailles parce que la chaleur de ce Soleil était nécessaire pour permettre l’ensemencement et la croissance des cultures. La planète Saturne a hérité ce nom plus tard car, parmi toutes les planètes, ses anneaux et sa couleur rouge brillant représentait le mieux le dieu du feu !

Ce culte à Mithra, le Mithragan, avait pris beaucoup d’ampleur à Rome, et dans les garnisons ou l’on célébrait le jour de sa naissance, victoire de la Lumière sur les Ténèbres, Soleil Invaincu, Sol Invictus, un 24 ou 25 décembre avec faste

En l’an 270, 275, le christianisme ne représente que quatre à cinq-pourcent de toutes les religions du Bassin Méditerranéen.

Ce culte gardera sa prestance jusqu’au début du IVème siècle. Il perdra petit à petit son influence après que Constantin le Grand suite à sa victoire au Pont de Milvius en octobre 312 sur Maxence, déclarera le christianisme religion de l’Empire en 325 au Concile de Nicée. 

Le christianisme, dès lors, devient une religion concurrente du mithracisme, culte de Sol Invictus.

Depuis la disparition des « Pères Apostoliques », ceux-ci étant remplacé par les « Pères de l’Église », le terme « chrétien » commençant à être employé dans les écritures, nous sommes alors dans les années cent soixante-dix, cent quatre-vingt, les chrétiens sont considérés comme des cannibales et des incestueux.

Ce sont des faits historiques reconnus officiellement.

Vous, mes semblables, vous comprenez le pourquoi des persécutions.

Comme je vous l’explique souvent, toujours se transporter par l’esprit à l’ère des actions ou des faits historiques.

Le christianisme représente un faible pourcentage religieux, donc non dangereux pour les autres religions. En plus pour les dirigeants politiques cette secte n’est pas dangereuse non plus puisqu’elle enseigne « de rendre à César ce qui appartient à César ».

En dehors de la circoncision, pour être chrétien il fallait vraiment avoir la foi car il fallait faire abstraction de beaucoup de chose et surtout avouer ses fautes en public.

Début du IVème siècle, les Évêques ont commencé à structurer cette religion émergeante, le « Christianisme », en se réunissant en « Concile ». Deux évêchés commencent à s’imposer, celui de Rome que nous allons nommer Occidentale et celui de Byzance que nous appellerons Oriental.

Les dissensions sont importantes entre les deux communautés.

 L’esprit de Jésus le Nazaréen est loin

Nous sommes maintenant en 312.

Constantin le Grand vient de remporter une très grande victoire au Pont de Milvius. Il doit tenir sa promesse comme quoi il se ferait « Chrétien » s’il remportait la bataille. Il rentre dans Rome comme « Empereur » et chef incontesté.

Comme Aurélien, quarante années plus tôt, Constantin déclare le « Christianisme » religion de l’Empire et en ait le « Pontife Primat »

Constantin le Grand comme beaucoup de « Saint » de l’époque épousera la religion chrétienne par le baptême, que sur son lit de mort.

Pour le moment dans tout l’Empire on fête le « Solstice d’hiver » ainsi que la naissance des divinités Sol Invictus et Mithra.

A cette époque la fête de la naissance de Jésus le Nazaréen n’existe pas.

Pourtant croyant et non croyant font tous la fête pendant une quinzaine de jours car chacun à quelque chose à fêter, les uns le sapin avec la bûche, les autres la naissance des Dieux.

Les hommes et les femmes portaient des guirlandes autour du cou et s'offraient toutes sortes de menus-cadeaux en terre cuite. Les gens sacrifiaient aussi symboliquement un mannequin représentant un jeune homme, pensant ainsi transmettre la vitalité du personnage à la nouvelle année. Cette fête des sigillaires, « ancêtre » de la Saint Sylvestre, concluait les festivités à la fin du mois de décembre.

Un marché spécial avait lieu, le sigillaria. Des figurines étaient suspendues au seuil des maisons ainsi qu’aux carrefours.

Tous les Romains criaient dans la rue :

« Bonnes Saturnales ! ».

Les humains du XXème et XXIème siècle pensaient avoir tout inventé avec leur Marché de Noël, alors que tout cela existait déjà dans l’Antiquité et au Moyen-Âge !

Nous sommes au milieu du IVème siècle.

L’Évêque de Rome, Libère, en 354 de l’EC, décide que la chrétienté devait aussi fêter la naissance d’un « Dieu ».

Libère en déclarant officiel la naissance de Jésus le Nazaréen un 25 décembre, faisait du funambulisme, renforçant la pensée dogmatique de ceux qui considéraient Jésus-Christ comme un « dieu », détournant les fêtes païennes du Solstice de l’hiver, des naissances le 25 décembre des divinités Sol Invictus et Mithra en les intégrant à une fête religieuse qui en n’était pas une, puisque non existante.

L’histoire a de temps en temps une réalité comique, car une festivité païenne devenir une fête religieuse tout en restant festive à une date où aucune fête de la dites religion existe, cela tient du « miracle » si je peux m’exprimer ainsi.

La fête chrétienne de la « Nativité » date de l’an 354.

Le 25 Décembre 354 naissait un « Dieu » créé de toutes pièces par les humains, disons plus véridiquement, généré par un humain, chef incontesté et incontestable d’une religion, le « Christianisme ».

 Par cet homme, Libère, cette religion naissante venait de se concevoir un « DIEU » du nom de « Jésus-Christ » qui venait de naître un 25 décembre comme tous les « Dieux » païen de l’Empire Romain.

Tout ce que les prophètes prédirent se réalise en cet humain, car à partir de ce jour tout ce que Jésus le Nazaréen avait dit se trouvera détourné, transformé, et les écrits et paroles d’humains feront foi. Pour ceux qui ont eu la chance de lire les « Livres d’Hénoch », les « Prophéties de Moïse » et de trouver la « Sagesse » entre les lignes du « Nouveau Testament », la vérité prophétique leur éclaire l’esprit, la pensée, la réflexion et le raisonnement, car les « Écrits » sont en-train de se découvrir tout doucement.

« Que celui qui possède la « Sagesse » ouvre les yeux et les oreilles ! »

N’oublions pas les faits historiques !

Le « Christianisme » ne prend de l’ampleur que depuis le Concile de Nicée en l’an 325, depuis que Constantin le Grand déclare le « Christianisme » comme religion de l’empire, décrétant un nombre certain de Lois en faveur de cette religion. De plus comme tous les Empereurs qui vont succéder Constantin le Grand, ils seront les « Pontife Primat » de cette religion qui aura tantôt son siège à Rome et tantôt son siège à Constantinople anciennement Byzance, c’est-à-dire que cette religion sera pendant un temps Orientale et pendant un autre Occidentale et pendant tous ces siècles jamais, je dis bien jamais il n’y aura de « Pontife », de « Pape » à Rome, puisque ce sera l’Empereur d’Empire le « Pontife Primat » ou le « Pontifex Maximus ». A Rome, comme à Constantinople, il n’y aura qu’un évêché, du IIème au VIIIème siècle. Empereur de l’Empire Romain Occidentale Gratien refusera de porter le titre de « Pontifex Maximus » et donnera certain pouvoir religieux à l’Évêque de Rome Damas 1er, mais Théodose 1er son successeur reprendra ce titre en réunifiant les deux Empires, l’Orient et l’Occident, et le siège religieux ne sera pas Rome mais Constantinople où en 381 sous son initiative et son commandement il y aura un Concile pour condamné l’arianisme pensées trinitaires difficile à comprendre comme de toute évidence la « Sainte Trinité » pilier du dogme chrétien ainsi que de l’idolâtrie chrétienne.

Tout ce que je vous écris vous ne pouvez me démentir puisque c’est l’histoire du christianisme. En 381, par l’Édit de Thessalonique le christianisme devient officiellement religion d’Empire et les persécutions s’inverse, ce sont les païens qui sont persécutés par les chrétiens, ces derniers étant aussi barbare dans les tueries et les massacres au nom de Jésus-Christ. Les « Enseignements » de Jésus le Nazôréen sont loin, dans les oubliettes !

Puisque nous sommes dans les faits historiques, continuons !

Le Nouveau Testament de la Bible ne dit rien, ceux que les humains élevèrent au rang de Saint, je parle de ces Pères de l’Église, qu’ont-ils fait pour que ce 25 décembre soit la naissance de celui qu’ils nomment « Christ » ?

En premier un condensé historique rapide de cette fête de la Nativité, c’est-à-dire Noël.

C'est après la conversion de l'Empire romain au christianisme que le 25 décembre reçut une nouvelle fonction, celle de célébrer la naissance de celui qui était maintenant appelé la      « Lumière du Monde » et le « Soleil de Justice ».

En 425, l'empereur d'Orient Théodose II codifie officiellement les cérémonies de la fête de Noël, fête désormais exclusivement chrétienne

En 440, l’Évêque de Rome, Sixte III, institua la Messe de Minuit.

En 506, le Concile d’Agde fait de Noël une fête d’obligation.

En 529, l’empereur byzantin Justinien le Grand en fait un jour chômé. Progressivement, la fête de Noël fut imposée dans toutes les contrées de l'empire carolingien

En 461 en Irlande

En 604 en Angleterre

En 615 en Suisse

En 754 en Allemagne

En 865 dans les pays scandinaves

En 997 en Hongrie

A partir du XIIème siècle, Noël était devenue la plus grande et la plus populaire des fêtes de l'Occident et de l’Orient chrétien.

Les faits historiques de toutes ces fêtes chrétiennes de fin et début d’année sont des fêtes ou l’hypocrisie de cette religion est au maximum, car ce sont des Saturnales déguisées.

Pour certain il faut toujours des preuves alors en voici une ci-dessous.

Justinien Ier ou Justinien le Grand, né le 11 mai 483 en Illyrie, mort le 14 novembre 565, fut empereur byzantin de 527 jusqu'à sa mort en 565.

Justinien se conçoit comme l'élu de Dieu, son représentant et son vicaire sur la terre. Il se donne pour tâche d’être le champion de l’orthodoxie dans ses guerres ou dans le grand effort qu’il fait pour propager la foi orthodoxe chrétienne, soit dans la façon dont il domine l’Église et combat l’hérésie.

Il veut gouverner l’Église en maître, et, en échange de la protection et des faveurs dont il la comble, il lui impose sa volonté, se proclamant Empereur et Prêtre, comme un Pontifex-Maximus. L’action législative de Justinien s’inscrit dans la durée, avec une attention toute particulière pour l’Église. En effet, l’empereur est un chrétien sincère et il s’estime, le dirigeant suprême de l’Église.

Le christianisme est, d’un point de vue institutionnel et juridique, religion d’État. C’est en cela qu’il règle avec une minutie pointilleuse les conditions de recrutement des membres du clergé, leurs statuts, l’organisation de l’administration des biens ecclésiastiques.

C’est lui, l’Empereur, qui gère toute l’Église de l’époque la séparation entre l’Orient et l’Occident ne sera effective qu’au XIème siècle.

Pour mémoire le 6 Janvier était fêté à la fois la Nativité, l’Adoration des Mages et le baptême de Jésus-Christ. Seule l’Église arménienne a conservé l’usage ancien de cette date.

Ces lignes sont encore une preuve que le « Pontife » de Rome, le « Pape » nommé aussi de ce titre honorifique exécrable « Très Saint Père », n’existe pas au VIème siècle. Celui qui, par dogme succède, soi-disant, à l’Apôtre Pierre qui n’a jamais été le premier Évêque de cette cité, puisqu’en l’an 60 il était Évêque d’Antioche, fait historique indémontable, ce qui fait qu’obligatoirement il y avait à Rome un autre Évêque, Pierre ne fut que le troisième ou quatrième.

N’en déplaise à certains de mes semblables, mais c’est encore le mensonge qui prédomine dans cette religion, le christianisme.

Pour terminer, il reste l’histoire de la crèche mis sous le sapin de Noël avec le bœuf et l’âne, plus tous ces offices idolâtres dans ces Temples nommés Cathédrale, Église, Chapelle, dans la nuit du 24 au 25 Décembre.

Pour les chrétiens, Noël est la fête de la Nativité, une des fêtes religieuses les plus importantes de l'année. Chaque année, au début de l'Avent, 1 à 4 semaines avant Noël, les familles catholiques installent dans leur maison une crèche qui représente la scène. La crèche sera rangée après l'Épiphanie début janvier.

La « crèche » doit théoriquement représenter le milieu dans lequel Jésus le Nazaréen serait né.

Comme la Bible fait un silence de plomb sur la naissance du Fils d’EL-SHADDAÏ, la troisième Bible sera ma référence. [Écrits Apocryphes Chrétiens]

Les parents de Jésus le Nazaréen avec les enfants de Joseph trouvent une grotte aux alentours de Bethléem. Il en existe beaucoup autour de cette ville et les voyageurs s’en servaient comme refuge pour passer la nuit, cela les protégeaient des animaux sauvages, mais aussi des humains néfastes qui ne vivent que la nuit afin de commettre leurs mauvaises actions.

C’est dans cette grotte que Marie accouchera sans douleur, sans l’aide d’une sage-femme. Quand celle-ci arrivera à la grotte, elle verra Marie donner le sein à l’enfant alors qu’une femme est considéré comme impure pendant huit jours pour un mâle et ne peut nourrir son enfant.

Voyant cela cette sage-femme voudra vérifier la « nature » de Marie. Elle s’apercevra de la virginité de Marie après l’accouchement et maudira ce jour pour son manque de confiance, son manque de foi.

Par cette action EL-SHADDAÏ donne la confirmation au monde que la mère et l’enfant sont de corps parfait.

Nous voilà au XIIIème siècle.

La naissance de Jésus le Nazaréen un 25 décembre est entrée dans les mœurs et fait partie des dogmes indémontables des Églises Chrétiennes avec le soir du 24 décembre une « Messe de la Nuit » à minuit.

Giovanni di Pietro Bernardone --- 1182-1226 --- est un religieux catholique italien. Fils d’un riche commerçant, il mène la belle vie et organise des sorties orgiaques avec ses condisciples. Puis il participe à la guerre contre la noblesse d’Assise et de Pérouse. En 1202 il est pris et condamné à un an de prison. Pendant cette captivité il sera atteint d’une maladie « honteuse » qui calmera ses ardeurs. (Maladie sexuelle de l’époque inconnue aujourd’hui)

Giovanni di Pietro Bernardone entrera en religion en l’an 1206.

Je reconnais que là …, je me suis tenue légèrement hypocrite car en écrivant ces quelques lignes ci-dessus, je me délectais ! …

En effet, ce Monsieur Bernardone est quand même un grand « SAINT » de la chrétienté puisqu’il porte le nom de « Saint François d’Assise ».

Nous devons à Monsieur d’Assise la crèche, car en 1223 il fit jouer les gens de son village de Greccio la scène de la « Nativité » auquel il ajouta le bœuf et l’âne en plus des Rois Mage, des bergers, des paysans, avec Joseph, Marie, et pour représenter l’enfant il avait mis une grande hostie dans le berceau. Tous ces gens jouèrent le jeu un 24 décembre à la messe de minuit dans une grotte de Greccio.

L’année suivante, suite à un voyage de François d’Assise chez le Sultan Damiette, les cloches furent ajoutées pour annoncer l’heure des offices et de la prière.

Tous les ans l’Ordre des Franciscains réitérait la crèche et l’hostie fut remplacée par un réel nourrisson.

Cette coutume de la crèche de Noël se propagea dans toute la chrétienté.

Une tradition datant du VIIème siècle faisait de la messe de Noël une succession de trois messes : la première messe s’appelait « messe des Anges », la seconde « messe des Bergers » et la troisième « messe du Verbe divin ». Ces trois messes étaient mieux connues sous le nom de « messe de Minuit », « messe de l’Aurore » et « messe du Jour ».

Le terme exact est « Messe de la Nuit », mais la dénomination de « Messe de Minuit » est restée dans le jargon populaire, les prélats officiants généralement à minuit.

Depuis le concile œcuménique de Vatican I en 1870 une quatrième messe fut ajoutée :

 Messe de l'Emmanuel, célébrée la veille au coucher du soleil ;

Messe de la nuit ;

Messe de l’Aurore, célébrée avant le lever du jour ;

Messe du jour de Noël.

Évêque de Rome du nom de Libère, le « Pape » de cette cité n’existe pas puisque  les Empereurs Constance II, puis Julien, portent le titre de « Pontifex Maximus » de la religion d’Empire, le « Christianisme » dont ils sont les administrateurs et gestionnaires, le premier nommé aura son siège à Constantinople, donc je réitère, l’Évêque Libère en 354, déclarera la naissance d’un « Dieu » pour le christianisme, du nom de Jésus-Christ le 25 Décembre, pour être comme le monde païen, avoir la naissance d’un « Dieu » ce jour.

Les « Écrits du Nouveau Testament » furent, sans aucun doute, à partir de ce jour, redirigé dans le sens d’un « Jésus-Christ Dieu » ce qui permis de faire croire, pendant des siècles, même à celui d’aujourd’hui le XXIème, à la « Sainte Trinité » qui n’est pas plus « Sainte » que vous et moi, et qui est « Trinitaire » par la volonté des dogmes humains oubliant les « Enseignements » de Jésus le Nazôréen, Fils engendré par EL-SHADDAÏ, qui n’est pas un « Dieu », reconnu par lui-même, puisque « sans son Père, il ne peut rien faire, mais ce que son Père fait il peut le faire avec l’accord de celui-ci », lisez l’évangile de Jean et là, il vous sera difficile de dire que je suis un menteur, hâbleur, bonimenteur, mythomane ou autres adjectifs qui vous viennent à l’esprit.

Par ce fait, le 25 Décembre deviendra la fête de la Nativité dans tout le monde « chrétien » et « Noël » deviendra la plus grande fête religieuse mondiale et par conséquent une des plus grandes fêtes idolâtres.

Lectrices et Lecteurs Noël va passer si vous ne prenez pas cela pour une fête religieuse, mais pour une fête païenne sans l’adoration de personne alors bonne fête, et amusez-vous bien, dans le respect d’EL-SHADDAÏ qui n’a jamais interdit à l’humain de s’amuser, au contraire puisque ses fêtes duraient sept à quinze jours, alors manger, danser, buvez le tout dans le raisonnable !

Portez-vous bien ! Prenez soin de vous !

Salutations cordiales à Tous

Sig J-P. G. dit « GRANDELOUPO »