Les Alliances entre un Dieu et les humains
Chapitre N° 1
Les dérives de la Pâques Chrétienne
Abraham dix-neuf, dix-huit siècles avant Jésus le Nazôréen, les humains, toutes corporations confondues fêtaient après la période sombre du Solstice d’hiver où la nuit était le double du jour, le renouveau de la Lumière et du soleil à l’Équinoxe du printemps à la première pleine lune les agriculteurs avec le reste des céréales faisaient un pain qui ne fermentait pas, un « Pain sans Levain » qui sera appelé le « Pain Azyme » par les hébreux, et les éleveurs sacrifiaient un animal du cheptel en général un jeune mâle âgé d’un an, un premier-né aux « Dieux » et avec le sang ils badigeonnaient les montants de la porte d’entrer des tentes et des maisons pour les sédentaires afin de chasser les mauvais esprits et avoir une bonne année de production. A cette époque l’argent ne circulait pas beaucoup, les humains vivant de troc et d’entraide.
Il ne faut pas oublier qu’à la sortie de l’Arche EL-SHADDAÏ institua des lois avec Noah pour éviter l’anarchie. C’est au moment où ce Dieu seul et unique passa une Alliance avec la race humaine en effet par l’Arc-en-Ciel posé dans le nuée l’Être Suprême passait une « Alliance Éternelle » entre l’humain et Lui comme quoi jamais plus il détruirait toute vie sur la Terre à cause de l’Homme, Genèse VIII : 21-22, « EL-SHADDAÏ respira l'agréable odeur et il se dit en lui-même : Je ne maudirai plus jamais la terre à cause de l'homme, parce que les desseins du cœur de l'homme sont mauvais dès son enfance; plus jamais je ne frapperai tous les vivants comme j'ai fait. Tant que durera la terre, semailles et moisson, froidure et chaleur, été et hiver, jour et nuit ne cesseront plus. » « L’odeur apaisante », cet anthropomorphisme passera dans le langage technique du rituel religieux. Le cœur est l’intérieur de l’homme distingue de ce qui se voit et surtout de la « chair ». Il est le siège des facultés et de la personnalité d’où naissent pensées et sentiments, paroles, décisions, action. EL-SHADDAÏ le connaît à fond quelles que soient les apparences. Le cœur est le centre de la conscience religieuse et de la vie morale, Ézéchiel XXXVI : 26, « Et je vous donnerai un cœur nouveau, je mettrai en vous un esprit nouveau, j'ôterai de votre chair le cœur de pierre et je vous donnerai un cœur de chair. », c’est dans son cœur que l’homme cherche EL-SHADDAÏ, Psaume CXIX : 10, « De tout mon cœur c'est toi que je cherche, ne m'écarte pas de tes commandements. », qu’il l’écoute, Deutéronome XXX : 14, « Car la parole est tout près de toi, elle est dans ta bouche et dans ton cœur pour que tu la mettes en pratique. », qu’il le sert, qu’il le loue, qui l’aime, Deutéronome VI : 5, « Tu aimeras EL-SHADDAÏ ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme et de tout ton pouvoir. » Le cœur simple, droit, pur, est celui qui ne divisent aucune réserve ou arrière-pensée, aucun faux-semblant à l’égard d’EL-SHADDAÏ ou des hommes. Je viens d’écrire sur le cœur, mais ce passage décrit aussi un tournant décisif dans la conduite d’EL SHADDAÏ envers l’humain ; cet Être Suprême qui avait maudit la Terre à cause de la désobéissance de l’homme et de la femme, s’engage maintenant à ne plus détruire la terre de la Terre par un « Déluge ». Et si le péché de l’homme était la raison du châtiment exemplaire, maintenant cela explique pourquoi EL-SHADDAÏ s’investit à ne plus jamais maudire la terre, et il y a une transition pour que la malédiction du sol se change en bénédiction pour Abraham et, en lui, pour sa descendance et pour tous les clans de la Terre. Les Lois du monde sont rétablies pour toujours, car EL-SHADDAÏ sait que le cœur de l’homme reste mauvais, mais il a respecté le « Défit » consentit dans les Cieux avec Sammaël sa création, mais l’homme reste sa plus belle création et comme aux origines ce dernier reste maître sur tout ce qui vit sur la Terre, mais ce n'est plus un règne pacifique et docile les animaux lutteront contre l’homme, et les hommes contre les hommes, la paix paradisiaque ne refleurira qu’après le « Jour de Colère d’EL-SHADDAÏ » à l’ère des dernières générations, au « Dernier Temps. », Isaïe XI : 5-8, « La justice sera la ceinture de ses reins, et la fidélité la ceinture de ses hanches. Le loup habitera avec l'agneau, la panthère se couchera avec le chevreau. Le veau, le lionceau et la bête grasse iront ensemble, conduits par un petit garçon. La vache et l'ourse paîtront, ensemble se coucheront leurs petits. Le lion comme le bœuf mangera de la paille. Le nourrisson jouera sur le repaire de l'aspic, sur le trou de la vipère le jeune enfant mettra la main. »
La Pâque est aussi une histoire d’Alliance, mais les origines de la Pâque(s) d’aujourd’hui, d’où remonte t’elle exactement alors j’ai cherché un peu et en lisant ci-dessous vous serez comme moi étonné avec un tas de questions qui viennent à l’esprit. L’esprit de raisonnement, de réflexion, d’intelligence, car l’esprit est invisible, intouchable, impalpable, vous le reconnaissez par la parole de votre vis -à-vis, votre semblable, ou par ce qu’il écrit sur une feuille de papier, tout cela afin de vous faire comprendre que « l’esprit Saint » n’est pas un « Esprit SAIN » obligatoirement et que l’esprit ne peut être matériel.
Ci-dessous des textes du livre de Alexander Histops, « Les Deux Babylone »
La fête dont nous parle l'histoire de l'Église sous le nom d'Easter (Pâques) aux IIIème et IVème siècles, était une fête toute différente de celle qu'on observe aujourd'hui dans l'Église Romaine, et à cette époque, elle n'était connue par aucun nom se rapprochant d'Easter. (Le mot Easter est particulier aux Iles Britanniques.) On l'appelait Pascha, ou Pâques, et bien qu'elle ne fût pas une institution apostolique (Socrate de Constantinople, (380-450), historien ecclésiastique de l'antiquité, après un long récit des diverses manières dont Pâques était observée de son temps, au Ve siècle se résume ainsi : Nous en avons déjà assez écrit, nous semble-t-il, pour prouver que la fête de Pâques commença partout à être célébrée bien plus par habitude que par suite d'un commandement de Christ ou des apôtres (Hist. ecclés., liv. V, ch. 22). Chacun sait que le nom de Easter, (Pâques), employé dans la traduction de Actes XII : 4, ne se rapporte à aucune fête chrétienne, mais à la « pâque » juive. C'est un des passages de la version anglaise où les traducteurs montrent une tendance injustifiable), elle était observée de fort bonne heure par bien des chrétiens déclarés en souvenir de la mort et de la résurrection du Christ. Cette fête s'accordait à l'origine avec l'époque de la Pâque juive où le Christ fut sacrifié ; vers la fin du IIe siècle, du temps de Tertullien, on croyait que c'était le 23 mars. (Gieseler, vol. I, p. 55.)
. Le mot grec qui a été traduit par « Pâque(s) » est « pascha » qui provient du mot hébreu pessa’h. Il n’existe aucun mot grec pour le mot « Pâque » et il ne peut y avoir qu’une seule signification. Il signifie toujours la Pâque — jamais Pâques ! C’est pourquoi nous retrouvons un mot hébreu utilisé dans le Nouveau Testament grec.
Cette fête n'était nullement une fête idolâtre, et n'était précédée d'aucun carême.
« Il faut savoir, dit le moine Johannes Cassianus de Marseille, écrivant au Vème siècle et comparant l'Église primitive avec celle de son époque, que l'observation des 40 jours n'existait pas, aussi longtemps que la pureté de cette église demeura intacte. » (Première Conférence de l’Abbé Théonas, chap. 30. )
« D'où venait donc cette observation ? »
Les 40 jours de jeûne du carême étaient directement empruntés aux adorateurs de la déesse Babylonienne.
Les païens du Mexique célébraient la même coutume. Humboldt, en effet, (Humboldt, Recherches Mexicaines, vol. I, p. 404.), nous donne les détails suivants sur les usages des Mexicains : « Trois jours après l'équinoxe du printemps commençait un jeûne solennel de 40 jours en l'honneur du soleil. » — II en était de même en Égypte comme on peut le voir en consultant Wilkinson. (Wilkinson, Antiquités Égyptiennes, vol. I, p. 278.). -Ce jeûne égyptien de 40 jours, nous dit Landseer dans ses recherches Sabéennes, était expressément pratiqué en souvenir d'Adonis ou Osiris, le grand dieu médiateur, (Landseer, Recherches Sabéennes, vol. I, p. 112.). Le rapt de Proserpine paraît avoir été célébré de la même manière, car Julius Firmicus nous apprend que pendant 40 jours on se lamentait sur Proserpine, (De Errore, p. 70.), et Arnobe nous dit que le jeûne observé par les païens, et appelé Castus, ou la fête sacrée, passait chez les chrétiens de son temps, pour avoir été à l'origine une imitation du long jeûne de Gérés, alors que pendant bien des jours elle refusa toute nourriture, à cause de sa profonde douleur c'est-à-dire à cause de la perte de sa fille Proserpine,( ARNOBIUS, Adversus Gentes, liv. V, p. 403. Voyez aussi ce qui précède dans le même livre à propos de Proserpine.) qui lui fut enlevée par Pluton, dieu de l'enfer.
Je cite toujours des extraits des Deux Babylone en ajoutant des références de confirmation.
« Chez les païens, ce jeûne paraît avoir été le préliminaire indispensable de la grande fête annuelle célébrée en souvenir de la mort et de la résurrection de Tammuz, par des larmes, puis par des réjouissances. Dans bien des pays cette mort était célébrée beaucoup plus tard que la fête chrétienne.
En Palestine et en Assyrie, c'était au mois de juin, aussi disait-on de ce mois:
« C'est le mois de Tammuz. »
En Égypte, vers le milieu de mai.
Afin de gagner les païens à un christianisme nominal, Rome poursuivant sa tactique habituelle, s'arrangea pour fondre ensemble les fêtes païennes et les fêtes chrétiennes, et par un ajustement compliqué mais habile de son calendrier, elle n'eut pas de peine en général à faire que le christianisme et le paganisme ne se donnassent la main sur cette question comme sur beaucoup d'autres.
Celui qui servit à faire cet amalgame fut Denys-le-Petit vers l’an 525, ap. J-C, auquel nous devons aussi, comme l'ont démontré des chronologistes modernes, d'avoir reculé de sept années au-delà de sa véritable date, la date de l'ère chrétienne, ou de la naissance du Christ lui-même.
Le fit-il par ignorance ou volontairement ? On peut le discuter, mais il est hors de doute que la naissance du Seigneur Jésus fut placée quelques années plus tard qu'elle n'a eu réellement lieu. ( Gieseler, vol. I, p. 51. Gieseler cite comme autorité, à propos de ses déclarations, Humberger, De epochœ Christianœ ortu et auctore (in Martini, Thesaur. Dissertat; Jani, Historia Aerœ Dionysianœ, Viteb. 1715 et Ideler, Chronologie). C'est aussi la déclaration faite dans presque toutes les chronologies anglaises. Ce changement dans le calendrier à propos de Pâques eut les plus désastreuses conséquences.
II fit entrer dans l'Église la plus grossière corruption et la superstition la plus vile au sujet de l'abstinence du carême. Lisez seulement les atrocités commémorées pendant le jeûne sacré, ou le carême païen tel qu'il est décrit par Arnobe ou Clément d'Alexandrie, (Clément d'Alexandrie, Protrepticos, p. 13.), et certainement vous rougirez pour le christianisme de ceux qui dans la pleine connaissance de ces abominations, « sont allés demander du secours à l'Égypte » pour secouer la dévotion languissante de l'Église dégénérée, et n'ont pas trouvé de meilleur moyen pour la réveiller, que d'emprunter à une source si dépravée les absurdités et les abominations que les premiers écrivains chrétiens avaient livrées au mépris. C'était un mauvais signe que des chrétiens pussent songer à introduire l'abstinence païenne du carême, cela prouvait la profondeur de leur dégradation, et c'était aussi la cause d'un grand mal ; cela menait inévitablement à une dégradation encore plus profonde. À l'origine, même à Rome, on ne connaissait pas le carême avec les orgies du carnaval qui le précédaient; et même lorsqu'on crut qu'il était nécessaire de jeûner avant la Pâque chrétienne, ce fut insensiblement qu'on se conforma au rite païen. On ne voit pas trop combien de temps durait le jeûne dans l'Église Romaine avant le concile de Nicée en 325 sous Constantin le Grand. Mais ce qu'on sait d'une manière certaine, c'est que bien longtemps après ce Concile, il ne durait pas plus de trois semaines
Gieseler, parlant de l'Église d'Orient au premier siècle, à propos des coutumes pascales, dit: « Dans cette fête (Pâques, en souvenir de la mort de Christ), les chrétiens d'Orient mangent du pain sans levain, probablement comme les Juifs, pendant huit jours. Il n'y a point de trace d'une fête annuelle en souvenir d'une résurrection, célébrée tous les dimanches (Église catholique, sect. 53, p. 178, note 35). Quant à l'Église d'occident à une période plus rapprochée (époque de Constantin) on se livrait pendant 15 jours à des exercices religieux sur la fête de Pâques, bien que la période du jeûne ne soit pas bien indiquée » (Origines Ecclés. vol. IX, p. 94): Les solennités de Pâques ont lieu les semaines avant et après le dimanche de Pâques : la semaine de la Passion et celle de la Résurrection. Les anciens parlent de Pâques, de la Passion et de la Résurrection comme d'une solennité de 15 jours. La loi de l'empire ordonnait 15 jours de fête, et les commandait à toute l'Église. Scaliger cite une loi de Constantin ordonnant deux semaines de fête pour Pâques, et la suspension de toutes les affaires légales (Bingham, IX, p. 95).
Voici ce que dit Socrate écrivant sur ce sujet, vers 450 après J.-C. : « Ceux qui habitent la grande cité de Rome jeûnent avant Pâques pendant trois semaines excepté le samedi et le jour du Seigneur » (Socrate, Hist. ecclés, liv. V, ch. 22, p. 234.) Mais à la fin lorsque le culte d'Astarté gagna la prépondérance, on prit des mesures pour faire observer le jeûne Chaldéen de six semaines ou 40 jours dans tout l'empire romain d'Occident. La voie fut préparée par un concile tenu à Aurélia à l'époque de Hormisdas évêque de Rome, vers l'année 519, qui décréta que le carême serait solennellement observé avant Pâques. (Dr. Meredith Hanmers, Chronographie, jointe à sa traduction d'Eusèbe, p. 592. Londres, 1636.) Ce fut certainement avec l'intention de faire exécuter ce décret que le calendrier fut peu d'années après modifié par Denys. Mais il ne pouvait pas être observé d'un seul coup. Vers la fin du VIe siècle, la première tentative décisive fut faite pour faire respecter le nouveau calendrier.
(Cumnianus, cité par l'archevêque Ussher, Sylloge, p. 34.) Ceux qui observent Noël et Pâques mais abhorrent l'idolâtrie païenne et papale, peuvent voir la malice de ces explications. Un moment de réflexion suffira pour bannir ce sentiment. Certains faits, utilisés par des écrivains infidèles et sociniens célèbres en Angleterre et sur le continent, détruisent les principes de la foi chez les jeunes et les ignorants. Il faut exposer la vérité dans sa pureté primitive pour qu'elle les fortifie puissamment contre les séductions de la papauté. Si un païen a pu dire: « j'aime Platon, j'aime Socrate, mais j'aime encore mieux la vérité », un chrétien ne montrera pas moins de grandeur d'âme. Ne faut-il pas rechercher toute occasion de purger l'établissement national dans les Indes de ces coutumes répandues hors de la coupe d'or de Babylone !
La différence, quant à l'époque, de la Pâque chrétienne telle qu'elle était observée en Bretagne par les chrétiens indigènes, et de la Pâque païenne imposée à Rome lorsqu'on l'établit, était d'un mois entier ; et ce ne fut que par violence et effusion de sang qu'on put à la fin remplacer par la fête de la déesse anglo-saxonne ou chaldéenne celle qu'on observait en l'honneur de Christ.
Voilà l'histoire des Pâques.
Les galettes chaudes marquées d'une croix le Vendredi Saint, et les œufs coloriés de Pâques, figuraient dans les rites chaldéens, exactement comme aujourd'hui. Les galettes connues aussi par leur même nom de buns étaient en usage dans le culte de la reine des cieux, la déesse Easter, aux jours même de Cécrops, fondateur d'Athènes, c'est-à-dire vers 1500 avant l'ère chrétienne. « Une espèce de pain sacré, dit Bryant, (Mythologie, vol. I, p. 373.), qu'on avait l'habitude d'offrir aux dieux, était d'une haute antiquité et s'appelait boun. » Diogène Laerce, parlant de cette offrande faite par Empédocle, décrit les différents éléments dont elle était composée, et ajoute: II offrit un des gâteaux sacrés appelés boun, qui étaient faits de fleur de farine et de miel (Laertius, p. 227. B.) Le prophète Jérémie fait remarquer ce genre d'offrandes quand il dit : « Les enfants apportaient du bois, les pères allumaient le feu, et les femmes pétrissaient la pâte pour offrir des gâteaux à la reine des cieux »
(Jérémie VII, 18. De ce même mot dont se sert le prophète, semble venir le mot « bun ». Le mot hébreu, avec les points voyelles, se prononçait « Khavan » d'où, en grec, parfois Kapanos, (Photius, Lexicon Sylloge, P. I, p. 130), et d'autres fois, Khabôn (Néandre, dans Kitto, Encyclopédie Biblique, vol. I, p. 237). Le premier montre comment Khvan, prononcé en une syllabe, peut devenir en latin « panis » (pain) et le second, comment de la même manière Khvôn peut devenir Bon ou Bun. Il ne faut pas perdre de vue que le mot anglais ordinaire « Loaf » a suivi la même voie de transformation. En Anglo-Saxon, c'était « Hlaf ».)
Aujourd'hui à la fête d'Astarté, on n'offre pas des gâteaux chauds en forme de croix, on les mange, mais cela ne laisse aucun doute sur leur origine. L'origine des œufs de Pâques est tout à fait aussi claire. Les anciens Druides portaient un œuf comme emblème sacré de leur ordre. (DAVIES, Les Druides, p. 208.)
On peut distinctement suivre la trace de l'usage de ces œufs depuis l'Égypte jusqu'aux bords de l'Euphrate Or, l'Église Romaine adopta cet œuf mystique d'Astarté et le consacra comme un symbole de la résurrection du Christ. Une formule de prière fut même désignée pour être faite à ce sujet par le pape Paul V, (1550-1621 Pape de 1605 à sa mort en 1621) qui faisait ainsi prier à Pâques ses superstitieux partisans : « Bénis, ô Dieu, nous t'en supplions, cette création qui est la tienne ces œufs qui sont l'œuvre de tes mains afin qu'ils deviennent une nourriture fortifiante pour tes serviteurs, qui les mangent en souvenir de notre Seigneur Jésus-Christ » (Le Gardien écossais, avril 1844.)
Que reste-t-il à dire après cette lecture, pas grand-chose sauf d’être fortifié dans la voie d’un seul et unique Dieu que je nomme EL-SHADDAÏ et à marquer au fer rouge dans son cœur ces paroles de Jésus le Nazôréen ressuscité, Jean XX : 17, « Jésus lui dit : « Ne me touche pas, car je ne suis pas encore monté vers le Père. Mais va trouver mes frères et dis-leur : je monte vers mon Père et votre Père, vers mon Dieu et votre Dieu. »
Après une telle vérité où il n’y a plus rien à dire,
Portez-vous bien et prenez soin de vous !
Salutations cordiales à Tous
Sig : J-P.G. dit « GRANDELOUPO »