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Titre du blog : Critique réfléchie des Religions par GRANDELOUPO
Auteur : grande-loupo
Date de création : 30-04-2009
 
posté le 17-04-2019 à 17:15:57

La Pâque, chap. N°2 - Fête de notre libération

La Pâque, la fête de notre libération

 

 

Chapitre N°2

 

 

Nombreux étaient les juifs qui allaient célébrer Pâques en pèlerinage à Jérusalem. Ils sacrifiaient l'agneau au temple puis le mangeaient en famille.

Jésus-Christ étant juif, il est logique de penser que tous les ans avec sa famille, il allait en pèlerinage à Jérusalem. N’est-ce pas à cette époque, que, à l’âge de douze ans, il lisait sur les rouleaux le livre d’Isaïe devant le Sanhédrin au Temple ?
Les Pâques chrétiennes

Pâques (ou dimanche de Pâques) est une fête religieuse chrétienne qui commémore la résurrection de Jésus-Christ, le troisième jour après sa mort par la torture romaine de la crucifixion. C'est le jour le plus saint du calendrier chrétien.

Il marque la fin du jeûne du « Carême. » 

Le nom carême provient de la contraction du mot latin quadragesima, qui signifie « quarantième ». Il s'agit naturellement d'une référence au jour de Pâques, qui termine le carême.

Le carême est une période de jeûne de quarante jours que l'Église a instituée en référence aux quarante jours de jeûne effectués par Jésus-Christ dans le désert. (Matthieu IV : 1-11) Le Carême est la période de préparation à la fête de Pâques qui est, dans le calendrier chrétien, la plus grande fête de l'année. 

On appelle aussi le carême la Sainte Quarantaine. La durée de quarante jours commémore à la fois les quarante jours et quarante nuits du jeûne de Moïse avant la remise des Tables de la Loi et les quarante jours de la tentation du Christ dans le désert entre son baptême et le début de sa vie publique, lors desquels il fut tenté par Satan, d'après les Évangiles synoptiques. 

La pratique du carême remonte au IVème siècle de notre ère.

C'est durant le Concile de Laodicée qui se situe en Phrygie, Asie Mineure, en l’an 360 que fut prescrite la « xérophagie » c'est-à-dire l'usage exclusif du pain et des fruits secs pendant le temps qui correspondait au carême. Le concile de Laodicée ordonna officiellement l’observance du carême.

Parenthèse, je n’ai pas pu résister.

Les livres du Nouveau Testament sont d’inspiration Divine, alors juste pour le plaisir :

Canon 60 décrété au Concile de Laodicée

« Canon 60

Liste les Écritures retenues par l'Église, notamment les quatre Évangiles canoniques constituant le Nouveau Testament, rejetant ainsi les autres textes dans la catégorie des Apocryphes.

À ce Concile, l'Apocalypse de Saint Jean était lui aussi exclu des livres canoniques ce que ne manque pas de relever Voltaire :

« Le concile de Laodicée, tenu en l’an 364, ne compta point l’Apocalypse parmi les livres canoniques. Il était bien singulier que Laodicée, qui était une Église à qui l’Apocalypse était adressée, rejetât un trésor destiné pour elle; et que l’évêque d’Éphèse, qui assistait au concile, rejetât aussi ce livre de saint Jean enterré dans Éphèse. »

Comique … non ? …

Au VIIème siècle, le carême fut établi dans son calendrier actuel. 

Le jour de Pâques a été fixé lors du concile de Nicée (aujourd'hui İznik, en Turquie), en l’an 325.

Les rédacteurs des Évangiles ont toujours été influencés par l'Ancien Testament. A la Pâque juive s'est substituée la célébration de la Cène, le dernier repas que Jésus partage avec ses disciples, la veille de son arrestation.

Les jours qui ont précédé la Pâque et la mort de Jésus, ni Jésus, ni ses disciples n'ont jeûné.

 Les récits des Évangiles indiquent qu’à Béthanie, seulement quelques jours avant sa mort, ses disciples et lui se sont rendus chez des gens, où ils ont pris des repas. Jésus a en outre mangé le repas de la Pâque la nuit précédant sa mort.

Matthieu XXVI : 6-7 

« Comme Jésus se trouvait à Béthanie, chez Simon le lépreux, une femme s'approcha de lui, avec un flacon d'albâtre contenant un parfum très précieux, et elle le versa sur sa tête, tandis qu'il était à table. »

Jean XII : 1-3

« Six jours avant la Pâque, Jésus vint à Béthanie, où était Lazare, que Jésus avait ressuscité d'entre les morts.

On lui fit là un repas. Marthe servait. Lazare était l'un des convives.

Alors Marie, prenant une livre d'un parfum de nard pur, de grand prix, oignit les pieds de Jésus et les essuya avec ses cheveux, et la maison s'emplit de la senteur du parfum. »

Vous constaterez que les écrits de Matthieu et de Jean sont très différents. Le lieu du repas n’est pas le même, le parfum est différent, ainsi que les convives. De plus le parfum est versé pour l’un sur la tête, pour l’autre sur les pieds

Alors qui dit vrai ? …

La Marie qui oint les pieds de Jésus, qui-est-ce ? …

Quelle Marie ? …La « Femme », quelle femme ? …

Pour des écrits « Inspirés » de « Dieu » que de trouble ?

Voici la vérité

Jamais, je dis bien, jamais, la Bible incite à faire un jeûne de quarante jours avant la Pâque

Alors pourquoi l’Église Chrétienne a institué le « Carême » qui ait une action non biblique

Il n’y a aucun écrit biblique ou historique qui mentionne que le Christ, les apôtres ou l’Église primitive aient participé à une période de carême. Les fêtes de la Pâque et des Pains sans Levain étaient observées par Jésus le Nazôréen, les Apôtres et Disciples de la première heure, et par la suite par les Églises primitives, y compris les païens qui en faisaient partie.

En instituant, le « Carême », avec le « Vendredi Saint » et « Les Pâques » l’Église Chrétienne se fourvoie car ce sont des célébrations qui sont profondément ancrées dans le paganisme ancien. Elles ont été instituées par le christianisme traditionnel pour remplacer la saison de la Pâque juive

. Je cite l’Encyclopédie catholique de 1917

« …//…Le principal but du carême est, par-dessus tout, de préparer les gens à la célébration de la mort et de la résurrection du Christ …//… Meilleure est la préparation, meilleure sera la célébration. On ne peut réellement revivre le mystère qu’avec un esprit et un cœur purifié. Le but du carême est de fournir cette purification en détachant l’homme du péché et de l’égoïsme par l’abnégation et la prière tout en suscitant en lui le désir d’accomplir la volonté de Dieu et de faire en sorte que Son royaume vienne d’abord dans le cœur de chacun.»

À première vue, cette croyance semble sincère. Toutefois, elle n’est pas en accord avec ce que dit la Bible. Une mise en garde du Disciple Saül de Tarse nommé Paul qu’il écrivit à Timothée.

II Tim III : 13-17

« Quant aux pécheurs et aux charlatans, ils feront toujours plus de progrès dans le mal, à la fois trompeurs et trompés.

Pour toi, tiens-toi à ce que tu as appris et dont tu as acquis la certitude. Tu sais de quels maîtres tu la tiens, et c'est depuis ton plus jeune âge que tu connais les --saines-- saintes Lettres. Elles sont à même de te procurer la sagesse qui conduit au salut par la foi dans Jésus le Nazôréen -- Christ Jésus -- ou -- Jésus-Christ--

Toute Écriture est inspirée d’EL-SHADDAÏ et utile pour enseigner, réfuter, redresser, former à la justice. Ainsi l'homme d’EL-SHADDAÏ se trouve-t-il accompli, équipé pour toute œuvre bonne. »

Étant donné qu’il n’existe aucune instruction biblique ordonnant d’observer le carême, quelle est donc son origine ?

Voyons les faits historiques et comment la religion chrétienne est devenue la plus grande religion « Païenne » en servant le « Maître de la Terre Sammaël qui porte les noms de Baal, Moloch, Mastéma, Béliar, Satan, Lucifer, et familièrement Diable. »

Le nom « Pâques » avec un « s » en terminaison a une origine Chaldéenne et n’est pas autre chose que la traduction du nom « Astarté », l’un des titres de Beltis, la « Reine des Cieux », des Ninivites. Le mot « Pâques » se prononçait « Easter », mot usité dans la langue anglaise pour Pâques

Ci-dessous des textes du livre de Alexander Histops, « Les Deux Babylone »

« La fête dont nous parle l'histoire de l'Église sous le nom de « Pâques » aux IIIème et IVème siècle, était une fête toute différente de celle qu'on observe aujour­d'hui dans l'Église Romaine.

 On l'appelait Pascha ou « La Pâque », et bien qu'elle ne fût pas une institution apostolique, elle était observée de fort bonne heure par bien des chrétiens déclarés en sou­venir de la mort et de la résurrection du Christ. Cette fête s'accordait à l'origine avec l'époque de la Pâque juive où le Christ fut sacrifié. Vers la fin du IIème siècle, du temps de Tertullien, on croyait que c'était le 23 mars. »

Le mot grec qui a été traduit par « Pâque(s) » est  « pascha » qui provient du mot hébreu pessa’h. Il n’existe aucun mot grec pour le mot « Pâque » et il ne peut y avoir qu’une seule signification. Il signifie toujours la Pâquejamais Pâques ! C’est pourquoi nous retrouvons un mot hébreu utilisé dans le Nouveau Testament grec.

« Cette fête n'était nullement une fête idolâtre, et n'était précédée d'aucun carême. »

 « Il faut savoir, dit le moine Johannes Cassianus de Marseille, écrivant au Vème siècle et comparant l'Église primitive avec celle de son époque, que l'obser­vation des 40 jours n'existait pas, aussi longtemps que la pureté de cette église demeura intacte. » ( Première Conférence de l’Abbé Théonas, chap. 30 ).  

« D'où venait donc cette observation ?

Les 40 jours de jeûne du carême étaient directement empruntés aux adorateurs de la déesse Babylonienne.

II en était de même en Égypte. » ( Wilkinson, Antiquités Égyptiennes, vol. I, p. 278

« Ce jeûne égyptien de 40 jours, nous dit Landseer dans ses recherches Sabéennes, ( vol. I, p. 112.) était expressément pratiqué en souvenir d'Adonis ou Osiris, le grand Dieu médiateur. 

Chez les païens, ce jeûne paraît avoir été le préliminaire indispensable de la grande fête annuelle célébrée en souvenir de la mort et de la résurrection de Tammuz, par des larmes, puis par des réjouissances. »

Socrate de Constantinople (380-450), l'historien ecclésiastique de l'antiquité, après un long récit des diverses manières dont Pâques était observée de son temps, au Vème siècle se résume ainsi.

« Nous en avons déjà assez écrit, nous semble-t-il, pour prouver que la fête de Pâques commença partout à être célébrée bien plus par habitude que par suite d'un commandement de Christ ou des apôtres. » (Hist. ecclés., liv. V, ch. 22).

Je reprends les écrits.

« A la fin, lorsque le culte d'Astarté gagna la prépondérance, -- la primauté, la supériorité -- on prit des mesures pour faire observer le jeûne Chaldéen de six semaines ou quarante jours dans tout l'empire romain d'Occident. La voie fut préparée par un Concile tenu à Aurélia à l'époque de Hormisdas évêque de Rome, vers l'année 519, qui décréta que le carême serait solennelle­ment observé avant Pâques. (Dr. Meredith Hanmers, Chronographie, jointe à sa traduction d'Eusèbe, p. 592. Londres, 1636.)

 Ce fut certainement avec l'intention de faire exécuter ce décret que le calendrier fut peu d'années après modifié par Denys-le-Petit. Mais il ne pouvait pas être observé d'un seul coup. »

Nous sommes au VIème siècle, et les enseignements de Jésus le Nazaréen sont dans les oubliettes. Ce qui compte le plus pour l’Église Chrétienne, c’est d’avoir un pouvoir politique qui lui donnerait richesses et autorité absolue. Pour ce faire l’Église doit faire des concessions avec les coutumes et croyances païennes.

De plus, en rapport avec les écrits ci-dessus, il ne faut pas oublier que le christianisme est la religion de l’Empire Romain, par déduction une religion d’État, donc une religion politique.

La Pâque réellement est une commémoration d’une délivrance. Depuis des siècles nous sommes les esclaves du péché et de la « Mort », car même aujourd’hui où je vous écris, nous sommes sous l’emprise du Roi de cette Terre, de ses environs et de son Firmament, car pour le moment EL-SHADDAÏ lui laisse une certaine liberté d’action et c’est SAMMAËL qui gouverne la Terre, Jésus le Nazôréen n’ayant pas encore reçu son investiture terrestre.

Ce Dieu seul et unique laisse l’humain libre de ses actions, mais pose des restrictions sur le nucléaire, car comme il l’a promis plus jamais il ne détruira les « Vivants » de la Terre par un Déluge, donc pour nettoyer le nucléaire il n’y a que l’eau et beaucoup d’eau, voilà pourquoi la Terre est restée plus de neuf mois sous l’eau, et voilà pourquoi il empêche la folie humaine  de continuer à se servir de cette arme de destruction massive car soixante quinze ans après que l’humain ait fait l’essai nucléaire beaucoup meurent encore à cause de cette cochonnerie.

Jésus le Nazôréen est mort par la torture romaine de la crucifixion.

La torture n’était pas réellement nécessaire, mais il fallait marquer l’Esprit de l’humain, comme une « marque au fer rouge » afin que celui-ci n’oublie pas. Jésus le Nazôréen parfait dans sa mort de corps humain rendait l’équivalence d’Adam qui avait été posé sur la Terre parfait et par une seule interdiction transgressée, la mort est entrée sur la terre de la Terre.

Maintenant il fallait qu’EL-SHADDAÏ ressuscite son Fils unique prouvant à la Terre entière des humains que la « mort » était vaincue et que maintenant eux aussi pouvaient ressusciter par la volonté de l’Être Suprême.

Question, vers qu’elle heure Jésus le Nazôréen a-t-il été ressuscité ?

Si l’on suit les écriture évangéliques Jésus le Nazôréen serait décédé le jour des « Préparation » c’est-à-dire la veille du jour du Sabbat qui est le Samedi chez les Hébreux. De plus une journée commence d’un coucher de soleil au coucher de soleil suivant, donc Jésus est mort vers la dix-huitième heure de la journée de « Préparation ».

Le jour suivant le Sabbat, vers la dixième heure, c’est-à-dire à l’aube, des femmes vont au tombeau et la pierre a été roulée et le tombeau est vide, donc nous ignorons quand Jésus le Nazôréen a ressuscité ! … !

La religion chrétienne dit que leur Jésus-Christ a été ressuscité le troisième jour c’est vrai et faux en même temps, car Jésus le Nazôréen a ressuscité environ trente-six heures après sa mort, qui est aussi le troisième jour, mais pas de vingt-quatre heures, le premier jour étant celui des Préparation et le troisième, le lendemain du Sabbat qui commence après le coucher du soleil.

 EL-SHADDAÏ ressuscite son Fils unique dans les heures matinales du troisième jour, vers troisième ou quatrième heure du matin mais avant l’aurore.

Là, me vient en esprit beaucoup de question, car Jésus le Nazôréen à manger sa dernière Pâque avec tous ses Apôtres et leur famille, donc il est décédé un jour de fête ? Livre Biblique des Nombres XXIII : 5-7, « Le premier mois, le quatorzième jour du mois, au crépuscule, c'est Pâque pour EL-SHADDAÏ, et le quinzième jour de ce mois, c'est la fête des Azymes pour EL-SHADDAÏ. Pendant sept jours vous mangerez des pains sans levain. Le premier jour il y aura pour vous une sainte assemblée ; vous ne ferez aucune œuvre servile. »  Le quatorzième jour au soir après la nouvelle Lune de l’Équinoxe de Printemps, c’est la fête de la Pâque pour EL-SHADDAÏ, donc pour nous aussi ses « Enfants », mais le lendemain pour les Hébreux, soit le quinzième jour c’est la première journée de la fête des « Pains sans Levain ou des Pains Azymes » et cette première journée est un jour de fête où il est interdit de travailler, donc le quatorzième jour, jour de Pâque, est le jour des « Préparations »

N’oublions pas que la journée hébraïque, le terme juif me déplais, commence le soir après le coucher du soleil, donc la Pâque commence au début du quatorzième jour.

Jésus le Nazôréen est arrêté dans la nuit de ce quatorzième jour, alors question, est-ce possible que tous ces événements se soit passé en seulement douze heures ? Surtout que c’est une journée de « Préparation » ? La Bible dans les Évangiles synoptiques, comme c’était un jour de fête Ponce Pilate demanda à la foule des hébreux de choisir entre Barabbas et Jésus, et là, il y a encore confusion entre les trois évangiles synoptiques et l’évangile de Jean, car d’un côté tout ce passe entre le début du jour de Pâque, le jour des Pains Azymes et le jour suivant, et selon Jean cela se serai passé juste deux jours avant Pâque, alors qui croire ?

Une chose est certaine, en faisant la chronologie des événements : Jésus fête la Pâque en famille le jour de Pâque, théoriquement il est interdit de sortir d’une maison avant le lever du jour, a moins que depuis douze siècles la Loi de Moïse ait changé un peu, donc Jésus sort et va prier un certain temps au Mont des Oliviers, qui est situé à l’est de Jérusalem, environ vingt minutes de marche. Les Apôtres qui l’accompagne, s’endorment par trois fois ; Jésus est arrêté et présenté à Anne, puis à Caïphe, il est emmené une première fois devant Ponce Pilate, puis devant Hérode, puis devant le Sanhédrin, puis encore une fois devant Pilate, puis vient le temps de la torture et des cinquante coups de fouet et je peux vous dire que cela dure beaucoup plus qu’une heure, alors tout cela à l’époque où l’on se déplace à pied prend du temps beaucoup de temps, donc le jugement de Jésus le Nazôréen c’est fait sur trois jours, car en plus, les jours de fête juives, il était interdit de crucifier où autre mis à mort ou torture.

Je vous laisse lire et chercher, mais je reviendrai certainement, si je suis encore vivant sur cette terre, l’année prochaine pour la Pâque ou en cours d’année selon mes écrits.

Jésus le Nazôréen, le soir de Pâque, entre les deux soirs, au moment du repas, change le rituel du sacrifice pascal. A la Pâque les hébreux égorgeaient l’animal et avec le sang, le

« Grand-Prêtre » badigeonnait les linteaux du Temple pour la rémission des péchés, et aussi pour la protection du « Malin », maintenant en rendant grâce au repas de Pâque nous enduisons avec le vin notre intérieur spirituel pour nous laver de nos péchés, mais aussi nous transformer en « décapant » notre esprit du mal, car nous sommes responsables de nous-mêmes, et le pain sans levain, comme le pain nourri notre propre corps nous devons nourrir notre esprit sainement.

Marie, la mère de Jésus le Nazôréen, à l’âge de trois ans, son sang fut nettoyé de la tare Adamique, car en effet, si le spermatozoïde était parfait, il fallait obligatoirement que le corps dans lequel allait se développer l’enfant soit parfait, car l’on sait aujourd’hui que dans le ventriculaire féminin l’enfant se développe par le sang pour la génétique égalitaire du père et de la mère de cinquante pourcent, donc si l’un est parfait et l’autre imparfait l’enfant qui naîtra sera imparfait et l’équivalence avec Adam devient impossible.

Voilà pourquoi il était impératif que le sang de Marie soit lavé de cette tare du péché originaire d’Adam. Il s’ensuit que l’enfant qui sortirait de cette matrice serait parfait. Dans le Nouveau Testament il n’est pas parlé de la perfection de Marie, à part l’évangéliste Luc qui lui consacre une ligne en tout et pour tout, mais par contre, l’apocryphe « Protévangile de Jacques », livre qui était énormément lu aux deux premiers siècles, est très explicatif sur la naissance de Marie, ainsi que la bénédiction d’EL-SHADDAÏ, sur les marches du Temple interdit aux profanes, car lieu réservé à la prêtrise pour les offices journaliers dû à cet Être Suprême, et là encore cent à deux-cents témoins virent ce qu’EL-SHADDAÏ était capable de faire sur la terre de la Terre quand il choisit un humain pour ses desseins ! …

Ce Livre le « Protévangile de Jacques » faisait partie du Canon Biblique jusqu’au troisième siècle, et au Concile de Nicée en l’an 325 de l’EC, quand Eusèbe de Césarée avec Alexandre le Grand choisir arbitrairement les « Livres » du « Nouveau Testament » c’est comme cela que furent évincés certains « Écrits » gênant pour l’époque tel que l’Apocalypse de Jean, Protévangile de Jacques, le premier Évangile de Mathieu, dit « Évangile des Hébreux », Évangile de Thomas, etc. ….

Jésus le Nazôréen vécut quarante ans sur la terre de la Terre dans la prière et la perfection, car malgré les « Écrits » diffamatoires qu’il y a eu sur sa vie, cet humain est resté parfait en tout. Il connaissait très bien la femme, mais il n’a jamais connu de femme, car il ne pouvait pas se souiller avec un humain, puisqu’il était au régime des Anges. Deux questions me restent à l’esprit, j’aurai aimé connaître l’ADN du sang de Jésus le Nazôréen, ainsi que celui de sa mère Marie, qui n’a jamais connu d’homme. Nous savons, qu’elle est devenue, après la mort de son fils, une grande Prêtresse connue dans tout le Moyen-Orient et particulièrement à Chypre, Antioche et Éphèse où elle décéda, chez l’Apôtre Jean, mais fait étrange personne n’a retrouvé son corps et selon certains Écrits apocryphes son corps n’aurait pas goûté l’odeur de la terre, enlevé par des Anges, les témoins de la scène étant peu nombreux. Le seul qui aurait pu écrire sur Marie c’est Jean, mais voilà, le silence absolu, pourquoi ? …

EL-SHADDAÏ, trois jours après la crucifixion de son Fils engendré, une première fois dans les Cieux, puis une seconde fois dans le ventre de Marie, sa mère terrestre, avait l’équivalence avec Adam déposé parfait sur la Terre. Son Fils décédé sur la croix entre quinze et seize heures lapses de temps où la terre trembla et où le soleil ne brilla plus sur le Moyen-Orient, la Palestine, et l’Égypte, prouvant aux humains lointains qu’un fait surnaturel important s’était produit chez les Hébreux, car en Palestine et aux alentours le ciel gronda avec des éclairs sans nuage, l’atmosphère régnant vous glaçait les veines.

EL-SHADDAÏ ressuscite son Fils de la Mort, qui devient le « Grand Guerrier » vainqueur de la Mort, mais ce Dieu fait bien les choses puisqu’il ressuscite dans le même temps plus de cinq-cents « Justes » et les tombes se sont ouvertes dans toute la Galilée et la Judée, Jérusalem compris. Beaucoup de ces ressuscités ont été vus par leur famille, leurs amis, et des quidams qui les connaissaient physiquement avant qu’ils ne montent aux Cieux,  et les témoignages sont innombrables, alors il n’y a pas sept à huit-cents menteurs.

Vendredi 19 Avril, après le coucher du soleil soit en France où dans des pays autres les villes sur le même parallèle comme Roubaix, Paris, Toulouse fêteront la Pâque vers 20h 45mn, tandis que Annemasse et La Rochelle sont à la même latitude et ces humains fêteront la Pâque pour la première cité à 20h 27mn et la seconde à 20h 56mn tout cela à cinq minutes près. Ce diner de la Pâque doit être accompli entre les « Deux Soirs » c’est-à-dire entre le coucher du soleil et la nuit noire profonde

Ce repas rappellera les gestes de Jésus le Nazôréen, et le chef de famille fera les mêmes geste avec un pain sans levain que son épouse où lui-même aura confectionné, la lame du couteau ne touchera pas ce pain qui sera rompu, et avant il fera une prière pour remercier Celui qui est au-dessus de notre tête, le Père à Jésus qui est son Dieu et notre Dieu (Jean XX : 17), puis le chef de famille fera de même avec un verre de bon vin et il demandera la rémission de nos péchés à cet Être Suprême et nous remercieront, chacun en son cœur le sacrifice qu’à fait ce père en offrant son propre fils, comme l’agneau va à l’abattoir,  dans les mains sanguinaires des humains, eux qui par haine incompréhensible, lui crachèrent au visage, et EL-SHADDAÏ avait déjà dit : « Celui  qui crache à la face de l’homme, crache sur ma face ! » Pardonnez-moi je ne me souviens plus des références, mais je les rechercherai !

EL-SHADDAÏ considérait que l’action de manger devait être un plaisir, le moment de se réunir, de se parler, de rire, de chanter, mais aussi de penser à Lui, et il a inventer le vin pour le plaisir du palais, mais aussi pour la joie, Siracide ou Ecclésiastique XXXI : 27-28,

« Le vin c'est la vie pour l'homme, quand on en boit modérément. Quelle vie mène-t-on privé de vin ? Il a été créé pour la joie des hommes. Gaîté du cœur et joie de l'âme, voilà le vin qu'on boit quand il faut et à sa suffisance. », et quand je vous écrit que la Bible est un livre enseignement et pas d’interdit et la suite de ce chapitre est assez intéressante pour l’humain, toujours Siracide XXXI : 29-30, « Amertume de l'âme, voilà le vin qu'on boit avec excès, par passion et par défi. L'ivresse excite la fureur de l'insensé pour sa perte, elle diminue sa force et provoque les coups. », et comme vous venez de le lire la Bible n’interdit pas, elle vous prévient, vous conseille et vous laisse le choix avec votre conscience.

Ce repas de Pâque doit être une fête comme chaque année, mais toujours avec chacun sa suffisance, sans excès, car par la crucifixion de Jésus le Nazôréen, fils engendré d’EL-SHADDAÏ qui fut par la volonté de son Père, ressuscité de la transgression Adamique qui amena la mort de l’humain sur la terre de la Terre, nous offrant à nous humains, de sortir de la terre, pour vivre sur celle-ci, avec Jésus le Nazôréen comme Roi de la Terre, dans la joie, la paix, le bonheur car Sammaël et les Siens auront été enfermés pour un « Temps », moins de mille ans.

Sur ce thème aussi je reviendrai !

Mangez une viande  où l’os n’aura pas été brisé, mais aussi sans os, surtout pas de porc ni de sanglier ce soir-là, un pain sans levain, 100gr se farine, un peu de sel de l’eau, 10% de beurre, et vous pétrissez tout cela jusqu’à que vous ayez un boule de pâte qui ne colle pas aux doigt, si vous le désirez ajoutez un œuf ou deux, ne laissez pas reposé pour éviter la fermentation même légère, étaler votre pâte d’un seul tenant ou faites des petites boules de pâtes que vous étaler cela vous fera des petites galettes, le four le plus chaud possible soit thermostat 9 ou 230C° et vous enfournez, 10 à 15  minutes pas trop longtemps pour éviter que ce pain soit dur pour les dents et trop vite de manière à que la pâtes soit cuite.

Bonne Pâque !

Je réitère Vendredi 19 Avril, entre les deux soirs soit entre 20h 30mn, ou 21h 15mn juqu’à la nuit noire profonde soit 23h30mn, mais avant 24h c’est la Pâque pour nous « Enfants » d’EL-SHADDAÏ

Portez-vous bien !  Prenez soins de vous !

Salutations Cordiales à Tous !

Sig : Jean-Paul G. dit « GRANDELOUPO »