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Titre du blog : Critique réfléchie des Religions par GRANDELOUPO
Auteur : grande-loupo
Date de création : 30-04-2009
 
posté le 21-07-2019 à 11:19:48

L'Âme n'est pas ..., chap. N° 5 - Par l'esprit les derniers jours ...

L’Âme n’est pas « Esprit », et l’esprit est dans « l’Âme »


Chapitre N°5


Par l’esprit les derniers jours de


Jésus le Nazôréen


Que connaissons-nous réellement ? Jésus n’est pas arrêté pendant ces jours de fêtes c’est-à-dire le jour de Pâque, et le lendemain jour du commencement de la semaine des « Pains Azymes », et ce troisième jour est-il un Sabbat ? Jésus aurait été arrêté la première fois vendue par Juda Iscariote le premier jour de la semaine soit le dimanche vers cinq heures du matin et dans la huitième heure hébraïque où il est emmené à Jérusalem chez le Grand Prêtre du moment Caïphe ?

J’ai lu la Bible, Matthieu, Marc, Luc et Jean, à l’époque il est impossible d’avoir fait tout cela en une journée surtout que l’on se déplaçait à pied et qu’il fallait une cohorte avec le déplacement de Jésus le Nazôréen, car les romains avaient peur d’un soulèvement de la populace.

Donc je vais essayer d’être clair en me servant de mon esprit, le mieux possible, comme j’ai lu les Évangiles synoptiques qui se complètent, j’ai constaté un décalage avec Jean au sujet du jour de Pâque, là je pense que l’auteur si c’est Jean a mélangé les jours comme avec le repas de Béthanie.

L’Évangile de Jean a été écrite dans les années 80-90, alors comment peut-on se souvenir de faits qui ont eu lieu 50-60 ans avant ? … ? Est-ce Jean Zébédée lui-même qui aurait écrit cette Évangile le temps qu’il était prisonnier sur l’île de Patmos ? Ou est-ce Jean l’Ancien comme le nommait Papias ?

Faisons la chronologie des événements du jour de Pâque à la crucifixion, torture romaine de l’époque.

Pour les hébreux la fin du repas de la Pâque se termine par le « Hallel » qui était récité au petit matin juste avant le lever du jour à l’horizon, Exode XII : 24, cité plus avant avec l’explication. De plus quand Judas part il lui faut le temps de parcourir la ville pour aller chez Caïphe le Grand Prêtre, et celui-ci doit aller voir le responsable de la garnison romaine pour avoir une cohorte et cela ne se faisait pas à la vitesse « d’Internet », comme souvent je l’écris toujours essayer de se propager à l’époque par l’esprit. Autre chose Caïphe ne désirai pas que Jésus soit arrêté en plein jour, il voulait une arrestation dissimulée, donc, c’est en cours de journée que Jésus le Nazôréen dit à Pierre « cette nuit tu me renieras trois fois avant le chant du coq ». Marc XIV : 30, « Jésus dit à Pierre : « En vérité, je te le dis : toi, aujourd'hui, cette nuit même, avant que le coq chante deux fois, tu m'auras renié trois fois. », Marc confirme ce que je viens d’écrire, mais sont-ils à Gethsémani qui se situe à un kilomètre de Jérusalem ou au Mont des Oliviers qui se dresse à six kilomètres de cette ville ? Car pour Matthieu c’est Gethsémani et pour Marc c’est au Mont des Oliviers. Une chose est sûre les historiens positionnent l’arrestation de Jésus le Nazôréen au Mont des Oliviers vers trois-heure du matin, la sixième heure de la journée hébraïque et nous sommes lundi. Là, l’arrestation de Jésus le Nazôréen devient cohérente, car Juda a eu de temps d’aller chez Caïphe pour vendre Jésus, le Grand Prêtre pour trouver une cohorte romaine, des « Serviteurs » du Temple pour accompagner la troupe romaine, et aussi de la populace contre Jésus.

Jésus le Nazôréen vient d’être arrêté par la cohorte romaine accompagné des serviteurs de Caïphe et l’un des compagnons de Jésus le Nazôréen sort son glaive et coupe l’oreille de l’un des serviteurs du Grand-Prêtre, et ce compagnon serait un des frères Zébédée ceux que l’on surnomme les « Fils du Tonnerre » et, Jésus le Nazôréen après avoir réprimandé cet homme, prit le morceau d’oreille et la reposant sur son socle en l’appuyant de sa main, le serviteur fut guéri. Cet épisode pris du temps et l’on emmena Jésus chez Anne le beau-père de Caïphe, le Grand-Prêtre, puis dans le petit matin chez Caïphe, et après au Temple dans la matinée, il fut présenté devant le Sanhédrin composé de Sadducéens, de Pharisiens en majorité, de scribes et grands prêtres pour être interrogé. Là avec le Sanhédrin l’interrogatoire dura quelques heures car Caïphe étant de mauvaise foi, il lui fallait trouver des témoins qui soient dans sa logique et d’après la Bible cela n’a pas été aussi facile et cela nous entraîne vers le milieu de l’après-midi. Jésus est emmené au Palais de Ponce Pilate où il est encore interrogé pour une première fois, mais Pilate malgré la véhémence des dignitaires hébreux particulièrement les pharisiens ne trouve rien contre cet homme de répréhensible, alors il est renvoyé en prison pour passer la nuit.

Nous sommes le lundi au coucher du soleil début de la journée de mardi.

Ce jour Pilate envoie Jésus chez Hérode, mais royauté oblige, plutôt en fin de matinée et encore questions, interrogations, car Hérode espérait que Jésus face quelques miracles devant lui, mais rien de ses espérances ne se passa alors dans une grande colère et déception, après l’avoir habillé de vêtement de parade en le raillant, ridiculisant, méprisant, avec sa cour, la soldatesque, et ces religieux et autres hébreux, il renvoya Jésus le Nazôréen chez Ponce Pilate.

L’Évangile de Jean fait toutes ces démarches en une journée et en plus le jour de la Préparation de la Pâque, et des Pains Azymes, par vous-mêmes, vous vous rendez compte de cette impossibilité ! … Alors chercher l’erreur ! …

Il est étonnant que les « Écriture » parlent de la semaine des Pains Azymes superficiellement. Comme je l’ai déjà transcrit, la Pâque est passé et nous sommes dans la semaine des Pains Azymes. Jérusalem était une grande ville et les villes de l’époque devaient mesurer environ 2000, 2500m sur 3000m à 4000m, le Temple, et les Palais avaient beaucoup de surface au sol, et une ville comme Jérusalem devait avoir de quatre-vingt à cent mille âmes vivant dans son enceinte car là vivait une grande partie de la bourgeoisie, de la noblesse, des prêtres, mais aussi l’armée, car une ville devait être défendue, et entretenue et par la Bible nous connaissons la propreté des hébreux.

D’après les plans des vieilles cartes de Jérusalem le Palais de Caïphe était à l’opposé du Temple, celui de Anne son beau-père à cinq minutes de marche, le Palais de Ponce Pilate à vingt, trente minutes de marche puisque dans la ville basse et le Palais d’Hérode lui était situé dans la ville haute et le Prétoire lui était au centre de la ville.

Donc en majorité dans des rues étroites avec les soldats les prêtres et serviteurs du Temple plus la populace qui suivait et celle qui se stationnait le long du parcours et Jésus le Nazôréen aurait dû faire tout le tour de la ville en une journée ? Impossible, vraiment impossible ! …

Ce mardi, dans l’après-midi, Jésus le Nazôréen est renvoyé chez Ponce Pilate qui l’interrogea une seconde fois, et c’est là que ce Procurateur ne trouvant rien de répréhensible contre ce « Juste » questionna les dignitaires religieux hébreux sur cet homme et les fit choisir entre Lui et un criminel nommé Barrabas. Les hébreux choisir de libérer ce dernier demandant la crucifixion de Jésus le Nazôréen. Avant le coucher du soleil Jésus le Nazôréen est flagellé de quarante coups de fouet, moins un, comme le veut la Loi.

Nous sommes le début du mercredi au coucher du soleil comme débute la journée hébraïque. Jésus le Nazôréen passe ces nuits de détention dans la prison de la garnison romaine à l’intérieur de la ville de Jérusalem.

Comment compter les heures hébraïques, si c’est à partir du coucher de soleil à six heures du matin nous sommes à la neuvième heure, mais il me semble qui redémarre la journée horaire à partir du lever du soleil soit six heures du matin qui pour les hébreux est zéro heure, Matthieu XXVII : 45, « A partir de la sixième heure, l'obscurité se fit sur toute la terre, jusqu'à la neuvième heure. », donc en heure européenne la sixième heure est midi soit douze heures et la neuvième heure est quinze heures soit trois heures de l’après-midi.

Les rues de Jérusalem en dehors des grands axes étaient très étroites, trois mètres, trois mètres cinquante maximum. Les hérauts parcoururent toute la ville de Jérusalem annonçant le crucifiment de Jésus le Nazôréen et le parcours que celui-ci devait prendre avec la cohorte romaine, de la garnison jusqu’au Golgotha, qui signifie « Lieu du Crâne ». Les romains préparèrent Jésus le Nazôréen comme tous les crucifiés, ils attachèrent les bras sur le « patibulum », traverse du « Tau « T » » sur laquelle Jésus le Nazôréen serait cloué au poignet, Matthieu XXVII : 32, « En sortant, ils trouvèrent un homme de Cyrène, nommé Simon, et le requirent pour porter sa croix. », pour porter sa croix cette fin de verset est fausse. Simon de Cyrène fut appréhendé pour porter le « stipes » qui est le pieu vertical. Le cortège partit de la garnison vers neuf heures pour arriver au « Lieux du Crâne » vers onze heures et l’on crucifiait le condamné sur place. Je ne vous conterais pas la traversée de la ville de Jésus le Nazôréen, sauf qu’arrivé au Golgotha Jésus était rouge de sang, la tunique en lambeau.

Les bourreaux clouaient le « patibulum » sur le « stipes » cela faisait un « T », « Tau », puis ils clouaient le crucifié au poignet et non dans la paume de la main car jamais un condamné n’aurait tenu crucifié les os de la main ne sont pas assez solide pour porter le poids du corps. Sur le « Tau » de Jésus le Nazôréen à l’intersection des deux bois Ponce Pilate désira que l’on fixât un « titulus » sur lequel était écrit en Latin, Grec, et Hébreu : « Jésus le Nazôréen Roi des Juifs » et cela formait un « crux », une croix en français. Les pieds étaient posés l’un sur l’autre et cloué sur le « suppedaneum » qui lui-même était fixé sur le « stipes » ou « xylon » et ce pieux de bois était enfoncé dans la terre, un trou préparé à l’avance et le crucifié se retrouvait avec les pieds à quelques centimètres du sol.

Jésus le Nazôréen fut élevé sur son « Tau » à douze heures, Matthieu XXVII : 45-46, « A partir de la sixième heure, l'obscurité se fit sur toute la terre, jusqu'à la neuvième heure.

Et vers la neuvième heure Jésus clama en un grand cri : « Éli, Éli, lema sabachtani ? », c'est-à-dire : « Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné ? » »

Luc XXIII : 44-46, « C'était déjà environ la sixième heure quand, le soleil s'éclipsant, l'obscurité se fit sur la terre entière, jusqu'à la neuvième heure. Le voile du Sanctuaire se déchira par le milieu, et, jetant un grand cri, Jésus dit : « Père, en tes mains je remets mon esprit. » Ayant dit cela, il expira. »

Nous sommes le mercredi quinze heures, soit la neuvième heure après le lever du soleil, et depuis la sixième heure, c’est-à-dire douze heures, jusqu’à quinze heures dans toute la Péninsule Arabique, Mésopotamie, Anatolie, Bassin Méditerranéen, le soleil ne brille plus, il fait sombre, le ciel gronde sur la Palestine et le sol tremble fortement, voilà trois heures que cela dur et Jésus le Nazôréen vient d’arrêter de respirer, son « esprit » est retourné vers son Père. Ce soir au coucher du soleil début de la journée des Préparations car demain c’est une « Saine Assemblée », le dernier jour des Pains Azymes, et je jour suivant c’est le Sabbat.

Maintenant parlons scientifique est-ce que ce jour là il n’y a pas eu une éclipse de soleil ? Peut-être un volcan du Sinaï qui se serait mis en éruption ?

Je viens de vous écrire sur un homme que toute la Terre connait aujourd’hui, alors que nous a-t-il laissé sérieusement et comment a-t-il vécu avant son ministère ?

Il a été écrit que si l’on devait écrire bout à bout tout ce qu’a fait cet humain, la surface de la Terre ne serait pas assez grande, alors qu’a-t-il fait de si important pour toute la Terre ?

Tout ce que j’ai écrit je l’ai fait par l’intermédiaire de mon esprit, de mes pensées, réflexion, raisonnement, et je ne dis pas que cela est la réelle vérité, mais elle s’en approche beaucoup pour moi, alors cet « Humain », notre « Roi » d’après les « Écritures » qu’a-t-il fait ?

Le seul « Humain » qui enseigna aux hommes « aime ton prochain comme toi-même, comme tu aimes ton œil », ce commandement voulait tout dire car il n’en existe pas de plus grand, et en plus il nous a offert la « Vie ».

Cet « Homme » sur la terre de la Terre a vécu toute sa vie en « être parfait », confirmant les dix commandements de son Père géniteur que je nomme « EL-SHADDAÏ » et pourtant à son époque, de son vivant il a eu beaucoup de détracteur, et aujourd’hui aussi, car même la chrétienté, dans tous ses écrits, ne parle jamais de cette perfection, pourquoi ? … ?

Adam le premier humain fut déposé sur la terre de la Terre parfait de corps et d’esprit et la première femme façonnée avec une basse-côte d’Adam, elle aussi était parfaite de corps et d’esprit quand elle fut déposée sur la terre de la Terre et présentée à Adam. C’est la femme la première qui transgressa l’unique interdiction d’EL-SHADDAÏ, qui seule et volontairement baissa la branche de l’arbre pour prendre son fruit, connaissant la sentence immédiate, la mort, et c’est elle aussi par des paroles de forfaiture, mielleusement qu’elle donna du fruit à son époux, Adam qui en mangea volontairement, connaissant lui aussi la sentence finale, la mort !

Par le premier « Homme » parfait la mort est entrée sur la terre de la Terre, comment peut-elle être vaincu ? Que par un « Homme » ayant vécu sur la terre de la Terre et étant resté parfait !

Jésus le Nazôréen est né d’un corps sur lequel la tare adamique fut supprimé et il ne peut pas en être autrement, car si Marie fut mise enceinte miraculeusement par le spermatozoïde de son Père géniteur aux Cieux, il fallait que le corps réceptionnaire soit aussi parfait car je ne vois pas ce Dieu seul et unique poser son spermatozoïde dans une ovule imparfaite, impossible ! … De plus connaissant le mystère ventriculaire de la femelle, puisqu’il en ait le créateur, le connaisseur, il savait que le corps réceptif devait être parfait afin que l’enfant conçu naisse parfait de corps et d’esprit.

Marie ne pouvait pas avoir d’autre enfant, ses progénitures auraient été des monstres, tout comme Jésus le Nazôréen et j’aurai été curieux de connaître l’ADN de ces deux humains.
Si Jésus le Nazôréen aurait coucher avec une femme, en premier cela aurait été un adultère, et il perdait sa perfection, même si, il se mariait, il devait rester comme Adam pour que l’équivalence soit valable.

Alors cet « Humain », Jésus le Nazôréen, est venu sur la terre de la Terre pour sauver les humains. Il est reconnu par les historiens que ce Jésus était un grand guérisseur et qu’il possédait certains pouvoirs inexplicables.

Il n’y a pas eu sur la Terre plus grand « Humain » que Lui, il enseigna beaucoup de chose à ses Apôtres et Disciples, jamais avec des armes, toujours avec des conseils de sagesse, d’amour platonique, de cœur et de sentiments. Il n’y eut personne avant lui pour enseigner comme cela et il n’y aura personne après lui, et qu’est-ce que les humains ont fait de ses enseignements ? Plusieurs religions se faisant la guerre et toutes se battent l’une contre l’autre au nom de « Jésus-Christ »

De sa vie parfaite sur cette Terre, il a vaincu la mort, par l’équivalence d’Adam, son Père géniteur le ressuscita après trois jours dans le royaume des morts, mais en même temps un grand nombre de juste ressuscitèrent aussi et cette nuit-là beaucoup de tombe se sont ouvertes. Par lui les humains apprirent que la mort était vaincue et que, maintenant, nous avons la chance de la résurrection sur une Terre où le péché aura disparue

Pourquoi la torture ? Pour marquer l’esprit des humains ? Était-elle nécessaire ? Je ne le pense pas, mais il fallait marquer à perpétuité le cerveau humain afin que celui-ci ne pense pas qu’il n’est rien sur la terre de la Terre, juste un passage, comme un touriste, puis la mort.

Croyez-vous qu’EL-SHADDAÏ créa l’humain pour que ce dernier vive une vie de misère, dans la souffrance et les maladies ? Je ne le pense pas ! Mais l’humain ne veut pas de ce Dieu seul et unique, car il se considère comme un Dieu sur la Terre, d’ailleurs ayant été sur la Lune qu’a dit l’humain « Je n’ai pas rencontré Dieu » en déduisant « Dieu n’existe pas sauf dans la tête des simples d’esprit ». Toutes ces réflexions ne sont pas très graves !

Par contre que reste-t-il de l’enseignement de Jésus le Nazôréen ? Une religion chrétienne idolâtre avec des lois d’hommes et un Dieu trinitaire, mettant l’accent plus sur un Jésus-Christ qu’ils ont fait « Dieu » que l’on adore, vénère, glorifie, représenté sur un crucifix qui n’est que matière, mais le véritable Dieu, EL-SHADDAÏ, celui-là ils l’ont oublié !

Souhaitant que cette lecture vous fut agréable, bénéfique, en attendant la suite dans quelques jours, portez-vous bien ! Prenez soins de vous et de votre maisonnée !

Salutations cordiales !

Sig : JP.G. dit « GRANDELOUPO »