L’Âme n’est pas « Esprit », et l’esprit est dans « l’Âme »
Chapitre N° 6
Naissance d’une Trinité non Sainte !
Par mon esprit je vous ai conté la chronologie possible des derniers jours de vie de Jésus le Nazôréen et cette chronique n’engage que moi qui par mon esprit m’a fait réfléchir sur des événements bibliques que je considère impossible tel qu’ils sont écrits aujourd’hui car comme je vous l’ai toujours rédigé, se reporter à l’époque des faits. Comme consigné la ville de Jérusalem devait s’étendre entre six à sept-mille mètres carrés, alors qu’une ville comme Rome était le double en superficie. Une certitude, les villes étaient plus propres à cette époque de l’Antiquité qu’au Moyen-Âge.
Je reviens à Jésus le Nazôréen et à cette religion mondiale que va devenir le « Christianisme »
Cet homme, un hébreu, peuple choisi par le seul et unique « Être Suprême », peuple qui s’est formé en terre étrangère c’est-à-dire en Égypte, en quatre-cent-trente ans et les hébreux étaient reconnaissable dans leur chair par la circoncision, mais n’oublions pas que ce peuple est la descendance d’un homme, Abraham, qui nommait ce Dieu au-dessus de sa tête, EL-SHADDAÏ, qui signifie « Dieu au-dessus des Montagnes », et de la descendance de cet humain naquit deux « Peuples », un avec Ismaël moitié Hébreu, moitié Égyptien qui sera les Arabes de l’Arabie Désertique dont « Abu-Kasim Muhammad » dit « Mahomet » est la descendance, voilà pourquoi les Arabes pur souche, considéreront cette branche « bâtarde », car croisé entre une égyptienne et un hébreu, et un autre avec Isaac dont la descendance pure hébraïque formera le peuple Hébreux.
Jésus le Nazôréen est décédé ce jour et Joseph d’Arimathie récupère le corps pour l’embaumer comme le veut la Loi juive, puis une fois le travail fini, avec Nicodème, ils l’emmenèrent dans un tombeau vide, et avec les gardes romains ils roulèrent la pierre du sépulcre, puis Joseph et Nicodème partirent
Les onze Apôtres avait tellement peur de se faire arrêter par les Pharisiens qu’ils s’étaient barricadés dans une maison de Jérusalem. Jésus le Nazôréen n’était plus là, ils étaient comme orphelin, le doute s’installa dans leur esprit et en quelques heures ils perdirent la force de leur foi, surtout que Pierre venait de se prendre « un coup de poing en pleine face ». Soixante-douze heures après son entrée dans le tombeau, soit trois jours, à la minute où EL-SHADDAÏ ressuscite son Fils, Jésus le Nazôréen, le ciel gronde et la terre de Palestine tremble très fortement, la garde romaine devant le tombeau est terrifiée car ils regardent la pierre tombale rouler sur elle-même toute seule, ouvrant ce sépulcre
A cette époque le Sinaï a encore de nombreux volcans en activité. Alors au moment où Jésus le Nazôréen ressuscite, il se peut qu’un volcan du Sinaï soit en éruption importante avec tremblement de terre, un ciel sombre dû au nuage de poussières volcaniques, voilà pourquoi certains écrits apocryphes expliquent qu’il tombait une pluie de feu du ciel.
Par mon esprit, j’essaie de comprendre ! Jésus le Nazôréen est ressusciter, les femmes, Pierre et des Disciples trouvent le tombeau vide. Selon la Bible Jean XX : 17, il devait monter chez son Père pour recevoir son investiture Céleste comme « Roi », et nous sommes le matin, le soleil vient de se lever. Les Apôtres sont toujours barricadés dans Jérusalem.
Les Évangiles sur les apparitions de Jésus le Nazôréen ressuscité ne concordent pas, pourquoi ? … Comme pour le crucifiement les Évangiles content tous les événements le même jour c’est-à-dire le premier jour de résurrection, alors que, comme le jour de crucifixion, ces péripéties eurent lieux sur plusieurs jours.
La première visite que Jésus le Nazôréen fait aux dix Apôtres et non onze comme l’écrit la Bible est le soir du jour de sa résurrection soit le lendemain du premier jour de la semaine au coucher du soleil
Jean XX : 19, 22, 24, « Le soir, ce même jour, le premier de la semaine, et les portes étant closes, là où se trouvaient les disciples, par peur des Juifs, Jésus vint et se tint au milieu et il leur dit : « Paix à vous ! » »
« Ayant dit cela, il souffla sur eux et leur dit : « Recevez l'Esprit Saint. »
« Or
Thomas, l'un des Douze, appelé Didyme, n'était pas avec eux,
lorsque vint Jésus. »
Luc
XXIV : 45, « Alors
il leur ouvrit l'esprit à l'intelligence des Écritures. »
Marc XVI : 14, « Enfin il se manifesta aux Onze eux-mêmes pendant qu'ils étaient à table, et il leur reprocha leur incrédulité et leur obstination à ne pas ajouter foi à ceux qui l'avaient vu ressuscité. »
Matthieu XXVIII : 16, « Quant aux onze disciples, ils se rendirent en Galilée, à la montagne où Jésus leur avait donné rendez-vous. »
Comme nous pouvons le constater toutes ces actions ne peuvent se passer le même jour, Après sa résurrection en Jean XX : 17, Jésus le Nazôréen dit bien à Marie de Magdala de ne pas le toucher car il n’est pas monté voir son Père. Donc nous pouvons supposer d’après les « Écritures » qu’il monte tout de suite après voir son Père pour recevoir son investiture aux Cieux comme « Roi », non comme un « Dieu », car seul son Père est « Dieu », l’unique, le seul « Dieu » Lui et pas un autre, même son propre fils.
Mais Jésus le Nazôréen ne reçoit pas l’investiture terrestre, c’est toujours SAMMAËL qui est Prince et « Roi » de la Terre et de ses environs, voilà pourquoi le « péché » est toujours sur la terre de la Terre.
Ci-dessus je vous ai posé des textes bibliques qui ont été falsifiés avec certitude, une preuve en Matthieu XXVIII : 18-19, « S'avançant, Jésus leur dit ces paroles : « Tout pouvoir m'a été donné au ciel et sur la terre
Allez donc, de toutes les nations faites des disciples, les baptisant au nom du Père et du Fils et du Saint Esprit », quand Jésus Le Nazôréen est monté aux Cieux le matin de sa résurrection seul le pouvoir au Ciel lui fut donné complètement mais pas sur la Planète Terre puisque le mal est toujours en tête des actions humaines, seul un pouvoir limité sur la Terre. En plus jamais Jésus le Nazôréen n’a prononcé des paroles aussi orgueilleuses « les baptisant au nom du Père, du Fils » cela est de l’orgueil se mettant à égalité avec son Père c’est-à-dire « Dieu » qui supprimerait l’unicité de son Père, alors impossible que Jésus le Nazôréen ait prononcé ces paroles et encore moins « au nom du Saint-Esprit », qui n’existe pas, par contre « à son esprit sain » cela je veux bien l’admettre. Jésus a sûrement prononcé ainsi ses paroles « les baptisant au Nom de mon Père, par son esprit sain », car là ce n’est plus de la vénération, glorification, adoration, mais un esprit intelligent, sage, propre, limpide qui lui existe puisque c’est l’esprit d’EL-SHADDAÏ, un esprit de « Sagesse ».
Le soir où le début du deuxième jour de la semaine, après le coucher du soleil, Jésus le Nazôréen se présente devant les dix Apôtres qui sont barricadés à Jérusalem par peur des représailles des Prêtres Pharisiens, Jean XX : 19, Marc XVI : 14, et Luc XXIV : 45, et il les rudoie pour leur manque de foi, mais il n’y a pas Matthias, ni Thomas, et malgré cela après avoir mangé avec eux, après leur avoir fait constaté qu’il était de chair et d’os, Luc XXIV : 38-45, les Apôtres sentirent que Jésus le Nazôréen n’était plus le même. En effet, même si Jésus le Nazôréen était fait de chair et d’os, ce n’était plus les mêmes molécules, maintenant c’était des ondes qui lui permettaient de disparaître, où plutôt de se déplacer à très grande vitesse, comme les invisibles, visibles de l’Univers tels que les Anges du bien, comme du mal, mais ce n’était pas un spectre, un fantôme, il était matière, on ne voyait pas à travers lui.
Fait un peu étrange, car les Anges qui sont au tombeau disent aux femmes en parlant de Jésus le Nazôréen ressuscité, « Pourquoi cherchez-vous le Vivant parmi les morts ? » « Il est ressuscité d'entre les morts, et voilà qu'il vous précède en Galilée, c'est là que vous le verrez », alors les douze Apôtres devaient aller en Galilée pour voir Jésus, mais celui-ci va, le soir les voir à Jérusalem, alors qu’ils ne sont que dix Apôtres barricadés dans une maison.
Les trois Évangiles synoptiques se complètent, mais ont été remaniés, retouchés, rectifiés, métamorphosés car, les Évangiles ont été écrites bien après le décès de Jésus le Nazôréen. Comme exemple nous avons le « Protévangile de Jacques » qui signifie « Évangile antérieur aux Évangiles canoniques », ou « Évangile avant les Évangiles ». Le « Protévangile de Jacques » aurait été écrit bien avant les « Évangiles » soit vers les années 40-50 de l’EC et était diffusé en Grec, Latin, Copte, Arménien, Éthiopien et dans beaucoup d’autres langues de l’époque. Ce « Protévangile de Jacques » était tellement connu et diffusé qu’il fut copié sous le nom de « Évangile du Pseudo-Matthieu » entre le VIème et VIIème siècle et sous un autre nom « Le Livre de la Nativité de Marie » écrit latin du IXème et Xème siècle.
Jésus le Nazôréen vient de se restaurer avec ses dix Apôtres, et après cela selon Luc, il souffla sur eux pour leur ouvrir l’esprit à la compréhension des « Écritures », et selon Jean il fit le même geste mais dit « Recevez l’Esprit-Saint ! ». Écrit ainsi, avec une majuscule, cet « Esprit » est un spectre « sanctifié », que l’on doit vénérer, adorer, glorifier, donc cet « Esprit-Saint » est l’apparition fantomatique, spectrale, d’un humain ayant vécu sur la terre de la Terre ? Si j’ai bonne mémoire Jésus le Nazôréen ouvre l’esprit, c’est-à-dire qu’il les rend plus « Intelligent », plus perspicace, compétent ! Donc il leur offre un esprit sain, propre, limpide, intègre, vif, rien à voir avec cet « Esprit-Saint » inexistant. Et Jésus le Nazôréen leur fait comprendre que ce n’est pas un « Dieu », mais que son Père est le seul et unique « Dieu » Luc XXIV : 49, « Et voici que moi, je vais envoyer sur vous ce que mon Père a promis. Vous donc, demeurez dans la ville jusqu'à ce que vous soyez revêtus de la force d'en-haut. » En effet à la Pentecôte les douze Apôtres recevront de la part d’EL-SHADDAÏ une force d’esprit représenté par des colombes ou des langues de feu qui leur donnera une force de « Vie » ou de « Mort » sur leurs semblables car ils parlaient et comprenaient toutes les langues et idiomes de la Terre.
Par ces « Écrits » je viens de détruire la « Sainte-Trinité » du christianisme, si importante pour le Disciple Saül de Tarse surnommé « Paul »
Là, je reconnais que je ne vais pas me faire des amis en écrivant que l’Esprit-Saint, cette troisième personne égale en puissance aux deux premières, le Père et le Fils, n’est que fadaise, faribole et baliverne. En effet l’Esprit est un spectre translucide possédant un esprit, mais un « esprit », c’est du vent, éphémère, invisible, intouchable, impalpable, qui nait et meure comme le vent, l’esprit un souffle et c’est tout !
La Bible et particulièrement Saül de Tarse mélange l’Esprit et l’esprit, car l’esprit est dans l’Esprit, mais l’Esprit ne sera jamais dans l’esprit, impossible, car comme déjà écrit le premier est fantomatique, spectrale, translucide, transparent, mais visible, quant au second lui c’est l’invisibilité absolue et l’on connait son existence par l’Intelligence, la Sagesse de la parole, des actions, donc l’Esprit existe par la divination, les médiums, l’astrologie tout ce qu’EL-SHADDAÏ à en abomination.
A la naissance du christianisme soit dix ans après le décès de Jésus le Nazôréen, dans les « Assemblées » les humains suivaient les enseignements de Jésus le Nazôréen que les Apôtres et Disciples leur inculquaient oralement, car à cette époque le savoir par les livres était réservé à la science, prêtrise, écrivain, astrologue et la noblesse, et cette période d’instruction orale fut nommé l’ère Apostolique où les Apôtres et premiers Disciples de Jésus pouvaient par imposition des mains faire des « Adeptes » qui recevaient le « Souffle d’Intelligence » d’EL-SHADDAÏ, et par cette puissance ils pouvaient guérir les maladies, chasser les démons, mais seul les Apôtres possédaient la force de la résurrection des morts qui était intransmissible.
Cette période « Apostolique » et par la suite des « Pères Apostoliques » dura jusqu’au milieu du IIème siècle, voire légèrement plus, et sera remplacé par les « Pères de l’Église ». Là, commence la « Trinité », les enseignements de Jésus le Nazôréen sont détournés, les « Dogmes » humains commencent à faire « force de Lois ». Tertullien écrit sur « l’Esprit-Saint » en prenant en référence les Épîtres de Saül de Tarse ; le Nouveau Testament n’existe pas et dans tout le Bassin Méditerranéen circulent plus de deux-mille Lettres et Épîtres, ainsi que les Évangiles des Apôtres et premiers Disciples, ayant connu Jésus le Nazôréen.
Les premiers écrits des Évangiles qui circulaient librement sont, maintenant que nous sommes au troisième et quatrième siècle, retouchés, tronqués, retranchés, réécrits dans le sens des humains, et le début de l’idolâtrie recommence, Jésus le Nazôréen est devenu un « Dieu », les humains écrivent même que c’est « Dieu » qui c’est incarné en Jésus-Christ, car on ne parle plus du Nazôréen, Nazaréen, Nazarénien, de Nazareth, de l’engin de torture, la croix, les dirigeants de cette religion naissante en ont fait un culte idolâtre, il faut se signer du signe de la croix avec trois doigts en imposant la main sur le front, l’épaule droite ou gauche, puis sur l’autre épaule et après sur le ventre, en récitant comme un âne « au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit, ainsi-soit-il ou Amen », faire une genoux- flexion devant ce morceau de bois en forme de croix pour, vénérer, adorer, glorifier cette croix avec un humain cloué dessus par la paume des mains, c’est le crucifix.
Fin du IIème siècle, début du IIIème siècle, ce mouvement des Nazôréen commence à se structurer avec les « Pères de l’Église ». Le début de ce mouvement démarra en premier à Jérusalem par les Hébreux puis s’étendit dans la Judée, la Galilée, mais aussi en Égypte à Alexandrie par les Hébreux de religion copte puis connu un fort courant en Asie Mineur dans la cité d’Antioche par des Hébreux de langue hellénisée et ce mouvement des Nazôréens continua à étendre ses tentacules aux Nom de Jésus. Les humains qui commencèrent à gérer ce mouvement donnèrent au « Dieu » seul et unique, ce « Dieu » hébreu, le Nom vulgaire de « Dieu », alors que les Hébreux le nomme « Yahvé » et que moi le quidam de Grandeloupo, je le nomme soit l’Être Suprême et plus souvent « EL-SHADDAÏ »
Ce « Dieu » seul et unique au troisième siècle est devenu une « Trinité » ou « Trimurti » comme les hindous soit trois dieux en « Un », simplement que ce « DIEU » a toujours crié haut et fort son « unicité » Isaïe XLVIII : 11-12 « C'est à cause de moi, de moi seul, que je vais agir, comment mon nom serait-il profané ? Je ne donnerai pas ma gloire à un autre ». Isaïe XLII : 8 « Je suis EL-SHADDAÏ, tel est mon nom ! Ma gloire, je ne la donnerai pas à un autre, ni mon honneur aux idoles ». Deutéronome IV : 39, « Sache-le donc aujourd'hui et médite-le dans ton cœur : c'est EL-SHADDAÏ qui est Dieu, là-haut dans les Cieux comme ici-bas sur la terre, lui et nul autre ». Deutéronome XXXII : 39, « Voyez maintenant que moi, moi je suis EL-SHADDAÏ et que nul autre à côté de moi n'est Dieu ! C'est moi qui fais mourir et qui fais vivre ; quand j'ai frappé, c'est moi qui guéris et personne ne délivre de ma main ».
Il existe encore beaucoup de verset biblique prouvant l’unicité de ce « Dieu », qui tient à garder absolument cette typicité. Je vous ai déjà prouvé je ne sais combien de fois que Jésus le Nazôréen n’était pas un « Dieu », et particulièrement avec Jean XX : 17 « dis-leur : je monte vers mon Père et votre Père, vers mon Dieu et votre Dieu. », là, même lui Jésus reconnais qu’il n’est pas un « Dieu »
Puis du « Souffle de Vie » et du « Souffle d’Intelligence » d’EL-SHADDAÏ représenté par des « langues de feu » à la Pentecôte, et par une colombe autrement, car l’esprit est invisible, les humains de cet esprit sain en ont fait une personne qu’ils nomment « Esprit-Saint » ou « Saint-Esprit » qui est un « Dieu » égalitaire avec leur « Jésus-Christ » et leur dieu « Dieu ».
Alors comment peut-on faire croire aux humains que « l’esprit » devient « Esprit », dans un sens spectral ? Selon les médiums le spectre est l’image d’un être ayant vécu sur la Terre, mais aussi nécromanciens qui font parler les morts sans les ressusciter, tous ces humains qui pratiquent l’art divinatoire sont en relations avec ce que l’on nomme des fantômes, des « Esprits ».
J’ai toujours entendu parler de ces « Esprits » comme étant des Êtres du mal, et il ne faut pas oublier que quand nous mourrons notre seconde image, notre « Esprits » lui est vivant puisqu’il est jugé au Cieux selon ses actes, donc les médiums, les voyants, ont raison, les spectres sont des êtres qui ont vécu sur la Terre.
Je pensais terminer là, mais il y avait beaucoup trop de chose que je trouvais importante pour vous mes semblables. Soyons prudent par notre esprit car à notre époque, comme à l’époque de Jésus le Nazôréen croire au véritable « Dieu », n’était pas chose facile, surtout que les hébreux se battaient entre eux à cause de la religion comme aujourd’hui avec les Chrétiens. En premier nous prions EL-SHADDAÏ qui est notre « Dieu », seul, unique, mais nous ne pouvons pas nier la vie parfaite sur la Terre de Jésus le Nazôréen, qui grâce à lui et par lui nous pouvons ressusciter, mais c’est aussi, devant EL-SHADDAÏ notre avocat, assesseur, car il connaît la faiblesse humaine pour l’avoir côtoyé.
Avant de vous quitter je voulais ajouter ceci : les Apôtres et Disciples restèrent deux ans et demi, voire trois, et vous pensez que Jésus le Nazôréen n’aurait jamais appeler son Père par son « NOM » ? Impossible, cela je ne peux pas y croire, alors comment se fait-il qu’aucun « Écrits » ne citent son NOM, bizarre, très bizarre ? Je vous laisse à votre réflexion !
Prenez bien soin de vous, de votre famille !
Portez-vous bien !
Salutations cordiales à Tous !
Sig : Jean-Paul G. dit « GRANDELOUPO »