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Titre du blog : Critique réfléchie des Religions par GRANDELOUPO
Auteur : grande-loupo
Date de création : 30-04-2009
 
posté le 13-10-2019 à 02:59:07

NdR-Dégénérescence ...chap. N°3 - L'humain et les animaux s'acclimatent ....

La Naissance des Religions



Dégénérescence de l’humain


Chapitre N° 3


L’Humain et les animaux s’acclimatent


autour de l’Arche




Les cent cinquante, mais plus réellement les deux cents humains, animaux sauvages et domestiques, les espèces purs et impurs, bêtes et bestioles, ainsi que tout ce qui est rampant et volant entrèrent dans l’Arche, cette caisse de bois de trois-cent-trente mètre de long sur cinquante-cinq mètres de large et trente-quatre mètres de hauteur sur quatre paliers et trois étages, dont l’immense porte de côté fut fermé par l’Être Suprême, resta sept jours avant que les premières gouttes ne tombent sur la terre, surtout qu’il ne pleuvait pas sur la Terre, alors pour toutes les âmes vivantes, cette pluie amenait une peur de l’inconnu, surtout quand il se mit à pleuvoir à torrent avec les nuages noirs qui amenaient la pénombre, avec le tonnerre et les éclaires alors la peur, même dans l’Arche à dû se ressentir. Il plut pendant quarante jours, quarante nuits et quand l’Arche se souleva tous les animaux comme les humains devaient avoir une crainte et une peur de l’avenir et de l’inconnu.

Nous en sommes à quarante-sept jours de vie dans l’Arche et cent-cinquante jours après les eaux commence seulement à descendre et mettront encore cent-cinquante jours et les sommets des premières montagnes apparurent, il faut ajouter encore quarante jours et Noé lâcha un corbeau, puis un temps inconnu entre le lâcher du corbeau et celui de la colombe, puis sept jours pour le second envole de la colombe puis encore sept jours d’attente que la terre soir sèche.

Alors maintenant voyons ce que la Bible nous apprend : Genèse VII : 11, « En l'an six cent de la vie de Noé, le second mois, le dix-septième jour du mois, ce jour-là jaillirent toutes les sources du grand abîme et les écluses du ciel s'ouvrirent. »

Genèse VIII : 13-14, « C'est en l'an six cent un de la vie de Noé, au premier mois, le premier du mois, que les eaux séchèrent sur la terre. Noé enleva la couverture de l'arche il regarda et voici que la surface du sol était sèche !

Au second mois, le vingt-septième jour du mois, la terre fut sèche. »

Alors faisons les calculs : 47j + (2x150j) + 40j + (2x7j) = 401j

Là, je compte quatre-cent-un jour, ce qui fait treize mois et six jours, et d’après les écrits bibliques le temps passé dans l’Arche n’est pas tout à fait exact car cela donne douze mois et dix jours auquel il faudra ajouter les sept jours d’attente avant que les premières gouttes de pluie tombent, donc aux douze mois il faut ajouter dix-sept jours. Ces calculs nous donnent à réfléchir, même si nous ajoutons la foi, car il faut penser à la logique.

Maintenant c’est une certitude, les humains qui entrèrent dans l’Arche n’étaient pas que vingt, voire trente, mais comme je l’ai écrit cent-cinquante à deux-cents. Mais en plus il a fallu nourrir tous ces êtres vivants, animaux, bêtes et bestioles, et les humains qui ne l’oublions pas avaient la même nourriture que les animaux. Il est logique de penser, que, plus de la moitié, voire les trois-quarts d’un palier du bâtiment servirent de réserve en nourriture, et pour l’eau comment ont-ils fait pour abreuver tous les jours l’immense monde animal ?

Même si par le poids l’Arche était dans l’eau jusqu’à la moitié de sa hauteur, il fallait un très gros seau avec un cordage de plus de vingt mètres pour prendre de l’eau puis il fallait le hisser en haut et après descendre une trentaine de mètres pour abreuver les animaux et humains qui vivaient dans la cale.

Question est-ce possible ?

Avec les « Écrits » Biblique impossible car remémorons-nous les dimensions de l’Arche, et le peu d’Êtres humains qui entrèrent dans cette caisse à savon !

Donc nous en revenons à certains écrits apocryphes et à ma réflexion personnelle suite aux différentes lectures que j’ai pu faire toutes confondues. Alors je vais continuer mon raisonnement ; il est prouvé par nos géologues et archéologues que toute la Planète Terre à une date donnée fut secouée par des cataclysmes en chaîne, éruptions volcaniques tertiaires et maritimes, tsunamis avec des vagues gigantesques, incendies monstrueux, tremblements de terre sept fois supérieur à nos mesures modernes, sans compter les guerres atomiques que les humains se faisaient entre eux et pour finir le Déluge car la planète Terre était devenue ingérable à cause de l’humain responsable de l’enchaînement de toutes ces catastrophes.

Si rien n’avait été fait l’humain se serait éradiqué de la Terre jusqu’au dernier par sa bêtise et sa méchanceté.

Même avec deux-cents personnes dans ce rafiot pour s’occuper des animaux, et de l’entretien de celui-ci, comme je l’ai déjà écrit plus avant, ils devaient se servir de pompes à eau électrique la filtrer afin qu’elle devienne potable pour tous les Êtres vivants sur cette caisse à savon, puis il devait l’envoyer dans tout le bâtiment pour abreuver humains et animaux, mais aussi pour nettoyer le plancher des excréments et autres.

Suite à mes lectures sur l’humain, je peux dire que nous sommes une race à la mémoire courte, en effet six à sept siècles après le Déluge, ces gens qui vivaient encore six à sept cents ans et qui étaient trois siècles et demi après ce cataclysme neuf-cent-quatorze mille cent hommes de pieds, ce sont les hommes susceptibles de partir à la guerre, et là on ne compte pas femmes, enfants, vieillards, ils parlaient le même langage, avaient la même couleurs de peau, et avaient encore, pas pour longtemps le même « Dieu », décidèrent de construire une tour jusqu’au nuage afin qu’ils ne meurent pas tous à cause d’un Déluge, alors qu’EL-SHADDAÏ leur Dieu avait promis qu’il ne détruirait plus toutes les âmes vivantes sur la terre à cause de l’homme et il mit un « Arc-en-ciel » dans la nuée pour se souvenir de sa promesse.

Les deux cents humains, nombre approximatif et supposé par ma propre réflexion, sont entrés dans cette Arche avec les connaissances de leur époque, je parle de celles de base, et il devait exister quand même une vingtaine d’humains qui devaient avoir des connaissances supérieur aux autres, dans la biologie, astronomie, géologie, astrologie, mécanique et électricité, simplement ces humains ne possédaient qu’une infime partie des connaissances, voilà pourquoi l’intelligence humaine régressa, en plus de la tare adamique de la dégénération sanguine.

Je suis convaincu que des humains enseignèrent à leur descendance leur vie avant le Déluge, mais aussi leur connaissance, leur savoir, les techniques pour travailler le bois, mais aussi la pierre, ainsi que les métaux, les minerais et où les trouver en regardant la terre. Je suis sûr que ces humains qui traversèrent le Déluge emmenèrent dans l’Arche un grand nombre d’outils, de ceux pour cultiver la terre, à ceux pour travailler le bois, les métaux, la pierre, simplement que les engins mécaniques disparurent doucement après la sortie de l’Arche, car les humains qui en sortirent, n’avaient pas toutes les connaissances pour réparer ces matériels, leur fournir le carburant nécessaire à leur bon fonctionnement, mais aussi comment fournir et garder l’électricité pour vivre comme ils vivaient juste avant d’entrer dans ce bâtiment flottant.

Au sortir de l’Arche, les animaux comme les humains restèrent un temps certain autour de cet immense bâtiment qui leur servait de refuge contre le soleil et la clarté des jours, mais aussi aux premières pluies car il ne pleuvait pas avant sur la terre de la Terre.

Alors pensez aux premières gouttes de pluie, la crainte, la peur que cela a eu sur eux, animaux comme humains se sont tout de suite réfugiés dans la caisse de bois. Et quand ils ont vu ces nuages noirs arriver sur eux avec les éclairs et le bruit assourdissant du tonnerre qui faisait trembler la terre, mettez-vous à la place de ces êtres vivants, quelle peur !

Quelle crainte des éléments !

Les humains devaient implorer EL-SHADDAÏ de ne pas les supprimer, et les animaux courir sous un arbre, dans l’Arche, près de l’humain pour lui demander de l’aide !

Autre chose, les animaux comme l’humain du lutter contre le changement de température, car au mont Loubard il devait faire 30°C le jour et 05°C la nuit, mais en été cela était pire car il fait 40°-45°C le jour et -3° à -7°C la nuit et dans le désert Iranien ou Irakien ces différences de température sont plus importante et c’est comme cela que l’on récupère de l’eau potable sur une bâche par la condensation de l’air.

Le globe terrestre aussi avait changer car ce simple et unique Continent par le glissement de ses plaques avait fait basculer la planète Terre de son axe perpendiculaire à l’équateur. En effet l’effondrement de la voûte céleste avait fait geler la mer au Pôle Nord et à une très grande vitesse au Pôle Sud, l’Antarctique était devenu un Continent recouvert, avec plus de deux-mille-sept-cents mètres de glace de hauteur par endroit. Et le globe Terre bascula de 23°C dans un sens et dans l’autre se qui déclencha les « Saisons », mais aussi une énorme différence de température entre les Pôles et l’équateur + 50°C et -43°C au Pôle Nord et -65°C au Pôle Sud

Nos scientifiques aujourd’hui ne démente plus la dérive des Continents Wikipédia : « Dès 1596, dans son ouvrage Thesaurus geographicus, le cartographe anversois Abraham Ortélius remarque la ressemblance du tracé des côtes américaines et africaines. Il émet l’hypothèse que ces continents ont autrefois été réunis, et qu’ils ont été séparés à la suite de catastrophes : inondations et séismes. Francis Bacon souligne également cette complémentarité en 1620. Dans la Corruption du grand et petit Monde (1668) le père François Placet affirme que la séparation de l'Amérique du reste des continents s'est produite pendant le Déluge universel. En 1756, le théologien allemand Theodor Christoph De Lilienthal découvre la confirmation biblique de cette séparation en interprétant avec peu de vraisemblance un passage du livre de la Genèse. Le pas final vers une vraie théorie de la dérive des continents revient en 1858 au géographe Antonio Snider Pellégrini dans son mémoire intitulé « La Création et ses mystères dévoilés ». Il propose une première ébauche d'explication rationnelle de la complémentarité des côtes d'Europe et d'Amérique du Nord par la ressemblance des flores fossiles du Carbonifère dans ces deux continents. Pour Snider, un bloc primitif de roches en fusion aurait occupé une seule face de la Terre puis, refroidi, se serait rompu, créant l'Atlantique qui sépare les deux continents ; ceux-ci se seraient ensuite déplacés à la surface de la Terre. »

Par le Déluge la Terre changea d’aspect, car comme écrit ci-dessus les plaques tectoniques bougèrent et les Continents dérivèrent comme toute la partie terrestre Eurasienne, Africaine, Australienne qui se séparèrent du Continent des Amériques Nord et Sud et de l’Antarctique, puis le Continent Australien se détacha du Continent Africain pour dériver. Les montagnes Alpines comme celles de l’Himalaya sont jeunes contrairement aux Cévennes, Jura, et Ballons d’Alsace, et Sinaï qui était très volcanique à l’ère de Moïse.

Le Détroit de Gibraltar qui mesure quatorze kilomètres quatre-cents se rétrécit d’un centimètre par année et si pour une chose ou une autre la plaque tectonique africaine s’approchait plus rapidement ce qui ferai un soulèvement des montagnes de chaque côté et un rétréciement important du Détroit supprimant toute navigation, et faisant de la mer Méditerranée une mer close comme la mer noire.

Les animaux qui sortirent de l’Arche, étaient ceux que nous nommons à tort « préhistorique », mais à cause du soleil, du changement de nourriture, ainsi que de la pression atmosphérique, tous ces éléments réunis furent la cause du changement morphologique de tout ce qui respire sur la terre de la Terre, les plantes quelles qu’elles soient, tous les animaux, bêtes et bestioles, du plus petit au plus grand, plus gros, ainsi que l’espèce humaine, tous subirent cette mutation.

Noé et les survivants du Déluge commencèrent en premier à déchiffrer la terre et à la cultiver pour se nourrir, car les fruits n’étaient plus du tous les mêmes et ceux qui leur ressemblaient comme les pieds de vigne qu’avait planté Noah donnaient du fruit, moins juteux, mais beaucoup plus sucrés, et plus alcoolisés. Ces humains qui avaient l’habitude de manger que de l’herbe, comme les animaux, devaient absorber de la viande, mais avant de prendre l’habitude de cela, et avant d’avoir les premières récoltes de céréale, ils vivaient sur les réserves de l’Arche et sur ce que leur donnait les animaux comme les œufs, le lait des vaches, des chèvres, des brebis, etc.

Je tiens à préciser que tout ce que j’écris vient de ma réflexion personnelle, de mon raisonnement, de mes lectures, alors je continue mes déductions. La séparation des animaux dit sauvages, et les domestiques a dû se faire en une année à deux ans maximums ; ceux qui tout doucement s’éloignaient de plus en plus loin de l’Arche et qui revenait un à deux jours, puis trois quatre, et ne revenaient plus, et l’inimitié entre les animaux et les humains commençaient. Pour d’autres ils restèrent au contact de l’humain et la majeure partie était considéré pur, sur quel critère, je l’ignore, mais les humains se servaient de ces animaux pour les offrir en holocauste à EL-SHADDAÏ, et les manger après la cérémonie.

Après cela les humains se multiplièrent sur la Terre, et ils avaient un seul Dieu et parlaient une seule langue, mais la corpulence diminuait, et le sang humain se dégénérait suite à la tare adamique qui grossissait au fur et à mesure que ces humains se multipliait, et leur intelligence aussi diminuait ainsi que leur temps de vie sur la terre de la planète Terre.

La Bible explique que du vivant de Noé la Terre fut partagée entre ses trois fils Japhet, Sem et Cham, simplement que Noé avait plus de trois fils et qu’il avait aussi des filles, car après le Déluge EL-SHADDAÏ dit en Genèse IX :1-2« Soyez féconds, multipliez, emplissez la terre. Soyez la crainte et l'effroi de tous les animaux de la terre et de tous les oiseaux du ciel, comme de tout ce dont la terre fourmille et de tous les poissons de la mer : ils sont livrés entre vos mains. » Noé étant fidèle aux lois de cet Être Suprême, il est juste de penser qu’il eu d’autres enfants après le Déluge surtout qu’il vécut trois-cent-cinquante ans après ce cataclysme planétaire.

Avant ce partage de la terre de la Terre entre les trois fils de Noé ce que je ne crois pas trop, car Noah avait plus de trois fils, mais il avait aussi des filles, donc des gendres qui eux aussi faisaient partie du partage, alors comment ? Et l’égalité entre enfant, je pense que cela doit exister depuis Adam et Ève, même si la Bible est un peu misogyne ?

Toujours avec ma réflexion, après le Déluge pour que les arbres repoussent et face des forêts selon l’espèce il faut entre vingt et trente ans pour que l’arbre devienne adulte, alors à la sortie de l’Arche que trouvèrent-ils comme végétation ? Les animaux sauvages ont besoin des forêts pour vivre, se nourrir ! Alors, à moins d’avoir donné la puissance à la terre pendant un temps très court, ou d’avoir protégé toutes les espèces arboricoles sous l’eau afin qu’elles ne pourrissent pas, je ne vois pas d’autres explications, car cela EL-SHADDAÏ peut le faire, mais il y a un « temps » pour chaque chose, alors je ne dois pas être loin de la vérité !

Les humains restèrent proches les uns des autres pendant quelques siècles, surtout tant que Noé resta vivant et pendant tout ce temps les survivants de l’Arche contèrent à leurs descendants ce qui était arrivé à cause de la méchanceté des humains, mais aussi ils leur enseignèrent quelques secrets, par l’oral, et pour les plus érudits par des écrits, avec des plans, des explications de leur savoir et de ce qu’ils connaissaient pour l’avoir entendu. N’oublions pas que ces humains avaient beaucoup plus de mémoire que nous, car ils descendaient de la perfection.

Une partie de ces humains resta près de l’Arche avec Noé, seul cinq ans après le Déluge Cham et tous les siens descendirent des montagnes pour aller s’installer deux-cents, deux-cent-cinquante kilomètres plus bas dans les plaines fertiles de l’Euphrate et du Tigre, mais cela je vous l’expliquerais dans le prochain chapitre.

Les humains comme les animaux durent se refaire un peu les muscles légèrement atrophiés de la vie confinée dans l’Arche. Une année dans cette caisse de bois, alors je me pose la question ; les gros oiseaux comment faisaient-ils pour voler ? Leurs ailes ont du dépréciées, amoindries, et les autres oiseaux comment volaient-ils ? Il fallait bien gérer tout cela pour que les animaux n’aient pas les membres tellement atrophiés qu’ils ne pouvaient plus se lever, alors avec trente humains comme nous le fait supposer la Bible, comment faisaient-ils ? Combien d’animaux ont péri ? C’était la perte de l’espèce ! Impossible pour EL-SHADDAÏ ! Alors ? Les explications ?

La Bible nous laisse sans réponse, même si nous avons la foi ! La foi pour quelque chose de sérieux comme la croyance en un DIEU seul et unique Fondateur de l’Univers, Créateur de l’Humain, de l’Homme en premier, de la Femme en second, là, je suis OK ! Aucun problème, aucune arrière-pensée, je le crois et j’en suis sûr ! Mais les animaux, bêtes et bestioles, rampants et volants, une année complète dans cette caisse de bois, je réitère, de trois-cent-trente mètres de long sur cinquante-cinq mètres de large, et sur trente-quatre mètres de haut sur quatre paliers et trois étages, avec un nombre très important d’espèce animal gros et petit, comment ont-ils fait pour résister, en dehors du miracle par EL-SHADDAÏ, j’ai du mal à comprendre, c’est pour cela que je suis sûr et certain qu’il y avait un minimum de deux cents humains sans compter les enfants de bas âge et quelques vieillards.

La foi, la croyance, oui ! Cela n’interdit pas de réfléchir, de se poser des questions, de rechercher la vérité, car ce sont les « ânes » qui ne raisonnent pas, et se n’est pas pour cela que ce Dieu ne nous aime pas, tout au contraire, car il aime l’intelligence et l’instruction.

Alors aimons-le, prions-le, par notre cœur et notre esprit à l’intérieur de notre cerveau, et recherchons-le en vérité et avec vérité, soyons ses « Enfants » et comme un Père il nous serrera fort dans ses bras. Je reconnais que cela est imagé, mais c’est comme cela que je le ressens, et je sais qu’il est là par son fils notre Roi, lui le médiateur de nos prières, et je suis son enseignement car il a toujours dit qu’il fallait prier le « Père » et non Lui et c’est ce que nous faisons et que je fais.

Portez-vous bien ! Ayez bon moral !

Prenez soins de vous !

Salutations cordiales à tous !

Sig : J-P. G. dit « GRANDELOUPO »