Fête du Jour de l’an 2020
Jour de l’AN, Fête païenne ou Chrétienne ?
Baptême ou circoncision de Jésus le Nazôréen
Jésus le Nazôréen est hébreu, juif en français, et le huitième jour après sa naissance il doit être offert à EL-SHADDAÏ par la circoncision, donc s’il est né un 25 décembre le baptême par la circoncision doit avoir lieu le 1er Janvier.
Autour du Bassin Méditerranéen, en montant jusqu’en Europe centrale, disons comme frontière les fleuves, d’un côté le Danube, le Rhin, l’ile Angle, de l’autre l’Indus, toute l’Asie Mineure, la péninsule Arabique et l’Afrique du Nord les Empires se font et se défont, Mèdes, Perses, Assyriens, Babyloniens, Grecques et Romains. Les divinités changent souvent de nom, tout en gardant leur statut originel tel que Cybèle, Reine des Cieux, nommée aussi Astarté déesse de Babylone, tout comme Tammuz qui est Adonis chez les Grecs.
Quels étaient les marques de festivités générales dans ces pays et régions du Solstice d’Hiver et de la nouvelle année sachant que toutes ces festivités ont eu pour berceau la Mésopotamie, en particulier la ville de Babylone, l’Égypte, la Grèce et pour terminer Rome.
Commençons par les festins, la ripaille !
Isaïe LXV :11-12
« Quant à vous tous qui abandonnez Yahvé, qui oubliez ma montagne sainte, qui dressez à Gad une table, qui versez à pleine coupe des mixtures pour Meni, je vous destinerai à l'épée, tous, vous courberez l'échine pour être massacrés, car j'ai appelé et vous n'avez pas répondu, j'ai parlé et vous n'avez pas écouté; vous avez fait ce qui est mal à mes yeux, vous avez choisi ce qui me déplaît. »
En Écosse et dans les pays Scandinaves les humains fêtaient le dernier jour de l’année, nommé Hogmanay, qui est toujours de rigueur aujourd’hui simplement que le vin nouveau est remplacé par un grand verre de whisky.
Les racines de Hogmanay remontent peut-être aux fêtes païennes du Solstice d'Hiver parmi les scandinaves, incorporant les coutumes de la célébration gaélique du nouvel an, Samhain. En Europe, elles étaient devenues les fêtes des Saturnales, un évènement festif romain de l'hiver.
Les vikings fêtaient Yule, qui contribua plus tard aux douze jours de Noël, ou Daft Days, « jours stupides », comme ils étaient parfois appelés en Écosse. Les festivités de l'hiver devinrent clandestines avec la Réforme Protestante en 1545 environ, mais furent tolérées à la fin du XVIIème siècle.
Dans le sud de l'Écosse, la communauté sait qu’à Hogmanay, ou la veille du nouvel an, parmi ceux qui observent encore les vieilles coutumes, ils préparaient une table avec des gâteaux et autres friandises qu’ils offraient, certains distribuant des galettes de gruau et de fromage à ceux qui n'en voyaient jamais, qu'à cette occasion, le tout accompagné d’une boisson forte entrant pour une large part dans le menu du jour.
Il y a de nombreuses coutumes, nationales comme locales, associées avec Hogmanay. La coutume nationale la plus courante est la pratique du first-footing, prenant place immédiatement après minuit. Ceci consiste à être la première personne à franchir le pas-de-porte d'un ami ou voisin, et fait souvent intervenir le don d'un cadeau symbolique comme du sel, moins courant actuellement, du charbon, un whisky ou un petit pain noir, sorte de gâteau riche avec des fruits confis. Ce don vise à apporter différents types de chance au propriétaire de la maison.
Dans la mythologie scandinave, Yule est le moment de l'année où Heimdall, de son trône situé au pôle Nord, accompagné des Æsirs, l'Ansuzgardaraiwo, revient visiter ses enfants, les descendants de Jarl l’un des innombrables noms d’Odin. Ils visitent ainsi chaque foyer pour récompenser ceux qui ont bien agi durant l'année, et laissent un présent dans leur chaussette. Cette fête nordique et scandinave durait douze jours, du Solstice d’Hiver à la nouvelle année
Quand le christianisme commença son expansion en pays scandinaves et nordiques au IX siècle, les Prélats de cette religion associèrent rapidement cette fête païenne importante en la christianisant avec la naissance de Jésus-Christ.
Babylone au XVIIIème siècle av. l’EC., était le centre du monde civilisé. Cette ville, où plutôt cette région était le centre de la propagation du paganisme jusqu’aux extrémités de la Terre.
Ainsi les coutumes du Solstice d’Hiver qui existent encore aujourd’hui sous l’appellation « Fêtes de Noël et de Fin d’Année » jettent une lumière étonnante sur les révélations de la grâce faite à toute la Terre, au sens spirituel, prouvant à l’humanité qui veut bien réfléchir, le pouvoir de SAMMAËL qui se nomme aussi Béliar, Mastéma, Satan, Belzébuth, plus tous les autres, et ses émissaires Shémêhaza, Hermoni, Baraqiel, Aratagif, Kokabiel, Sahriel, etc …, sur l’humain, en l’influençant sur l’idolâtrie, les science occultes comme l’astrologie, la divination, le spiritisme, le charme et l’enchantement pour travestir la vérité.
Vous mes semblables, sans entrer dans toutes ces sciences occultes, je peux certifier que SAMMAËL à d’énormes pouvoir sur la race humaine, qu’il peut, ce servant d’humain, se déguiser en « Ange de Lumière », mais qu’il peut au moyen des ondes existantes autour de la planète Terre, faire apparaître une « Madone », mais aussi jouer le rôle antique des guérisseurs, comme à Lourdes où dans d’autres lieux de la Terre, les « Marchands du Temple » faisant fortune par le manque de raisonnement de la race humaine.
Oui ! Comme souvent je l’écris, l’humain est responsable de lui individuellement. Ne faites pas comme Ève ou Adam en rejetant sa propre faute sur autre chose, ayez le courage de reconnaître votre faute, votre péché, cette action est le début du sentier qui mène à ce Dieu unique, votre dieu « Dieu » que je nomme EL-SHADDAÏ.
D'après les poètes latins Ovide, Fastes, Virgile, Énéide, Saturne détrôné par son fils Jupiter, et réduit à la condition de simple mortel, vint se réfugier en Italie, dans le Latium, où il rencontra le dieu du commencement, Janus. Avec lui, il inventa l'âge d'or : l'égalité des conditions fut rétablie ; aucun homme n'était au service d'un autre. C'était pour rappeler la mémoire de cet âge heureux que les humains célébraient à Rome et dans l’Empire, les Saturnales, d'abord du 17 au 21 décembre, puis plus tard du 17 au 25 décembre.
Pendant ces fêtes, ils suspendaient la puissance des maîtres sur leurs esclaves, et ceux-ci avaient le droit de parler et d'agir en toute liberté. Tout ne respirait alors que le plaisir et la joie. Les tribunaux et les écoles étaient en vacances. Il n'était permis ni d'entreprendre aucune guerre, ni d'exécuter un criminel, ni d'exercer d'autre art que celui de la cuisine. Ils s'envoyaient des présents, et ils donnaient de somptueux repas. De plus tous les habitants de la ville cessaient leurs travaux, la population se portait en masse vers le mont Aventin, comme pour y prendre l'air de la campagne. Les esclaves pouvaient critiquer les défauts de leurs maîtres, jouer contre eux, et ceux-ci les servaient à table.
Les hommes et les femmes portaient des guirlandes autour du cou et s'offraient toutes sortes de menus-cadeaux en terre cuite. Les gens sacrifiaient aussi symboliquement un mannequin représentant un jeune homme, pensant ainsi transmettre la vitalité du personnage à la nouvelle année. Cette fête des sigillaires, « ancêtre » de la Saint Sylvestre, concluait les festivités à la fin du mois de décembre.
Un marché spécial avait lieu, le sigillaria. Des figurines étaient suspendues au seuil des maisons ainsi qu’aux carrefours.
Tous les Romains criaient dans la rue :
« Bonnes Saturnales ! ».
Les humains du XXème et XXIème siècle pensaient avoir tout inventé avec leur Marché de Noël, alors que tout cela existait déjà dans l’Antiquité et au Moyen-Âge !
Les Saturnales, bien entendu, honoraient Saturne, le dieu du feu, nommé Kronos ou Cronos dans la mythologie grecque. Saturne était le dieu du Soleil et des semailles parce que la chaleur de ce Soleil était nécessaire pour permettre l’ensemencement et la croissance des cultures. La planète Saturne a hérité ce nom plus tard car, parmi toutes les planètes, ses anneaux et sa couleur rouge brillant représentait le mieux le dieu du feu !
Venons maintenant au christianisme
Comme souvent, cela s’est passé dans les Cieux avant que ce ne soit sur Terre. Comme écrit en avant, Jésus le Nazôréen est passé dans les cieux par les stades de développement jusqu’à ce qu’il soit « mature », qu’il ait l’âge de raison, l’âge où il devient responsable de lui-même, de ses actes.
Ce Dieu, EL-SHADDAÏ, par amour pour l’humain, envoya son Fils sur la Terre comme un humain, puisqu’il mit son spermatozoïde dans l’ovule d’une femme qui fut rendu parfaite de corps, après avoir, à l’âge de trois ans supprimé la tare adamique.
Protévangile de Jacques XIX : 1-3, XX : 1-4 cela commence par une discussion entre la Sage-Femme et Joseph
19.1. Et je vis une femme qui descendait de la montagne et elle m'interpella :
--- « Eh, l'homme, où vas-tu ? »
« Je vais chercher une sage-femme juive. »
« --- Es-tu d'Israël ? »
« Oui » !
« --- Et qui donc est en train d'accoucher dans la grotte ? »
[Et Joseph dit à la sage-femme : « C'est Marie, ma fiancée, mais elle a conçu de l'Esprit saint, après avoir été élevée dans le temple du Seigneur. »
« C'est ma fiancée. »
« --- Elle n'est donc pas ta femme ? »
« C'est Marie, celle qui a été élevée dans le temple du Seigneur. J'ai été désigné pour l'épouser, mais elle n'est pas ma femme, et elle a conçu par le « Souffle d’Intelligence. »
«--- Est-ce la vérité ? »
« Viens et vois ! »
Et elle partit avec lui, et ils s'arrêtèrent à l'endroit de la grotte.
Une obscure nuée enveloppait celle-ci. Et la sage-femme dit :
«--- Mon âme a été exaltée aujourd'hui car mes yeux ont contemplé des merveilles : le salut est né pour Israël. »
Aussitôt la nuée se retira de la grotte et une grande lumière resplendit à l'intérieur, que nos yeux ne pouvaient supporter. Et peu à peu cette lumière s'adoucit pour laisser apparaître un petit enfant. Et il vint prendre le sein de Marie, sa mère. Et la sage-femme s'écria :
« Qu'il est grand pour moi ce jour ! J'ai vu de mes yeux une chose inouïe. »
Et la sage-femme sortant de la grotte, rencontra Salomé et elle lui dit :
« Salomé, Salomé, j'ai une étonnante nouvelle à t'annoncer : une vierge a enfanté, contre la loi de nature. »
Et Salomé répondit :
« Aussi vrai que vit le Seigneur mon Dieu, si je ne mets mon doigt et si je n'examine son corps, je ne croirai jamais que la vierge a enfanté. »
XX : 1-4
Et la sage-femme entra et dit :
« Marie, prépare-toi car ce n'est pas un petit débat qui s'élève à ton sujet. »
A ces mots, Marie se disposa. Et Salomé mit son doigt dans sa nature et poussant un cri, elle dit :
« Malheur à mon impiété et à mon incrédulité ! J'ai tenté le Dieu vivant ! Et voici que ma main se dessèche, sous l'action d'un feu. »
Et Salomé s'agenouilla devant le Maître, disant :
« Dieu de mes pères, souviens-toi que je suis de la lignée d'Abraham, d'Isaac et de Jacob. Ne m'expose pas au mépris des fils d'Israël, mais rends-moi aux pauvres. Car tu sais, ô Maître, qu'en ton nom je les soignais, recevant de toi seul mon salaire. »
Et voici qu'un ange d’EL-SHADDAÏ parut, qui lui dit :
« Salomé, Salomé, le Maître de toute chose a entendu ta prière. Etends ta main sur le petit enfant, prends-le. Il sera ton salut et ta joie. »
Et Salomé, toute émue, s'approcha de l'enfant, le prit dans ses bras, disant :
« Je l'adorerai. Il est né un roi à Israël et c'est lui. »
Aussitôt Salomé fut guérie, et elle sortit de la grotte, justifiée. Et voici qu'une voix parla :
« Salomé, Salomé, n'ébruite pas les merveilles que tu as contemplées, avant que l'enfant ne soit entré à Jérusalem. »
Une femme était impure pendant quinze jours après l’accouchement, donc elle ne pouvait pas donner le sein avant cette purification. Là, Marie donne le sein, après l’accouchement sans aucune douleur, à l’enfant ce qui prouve sa pureté.
Par cette action EL-SHADDAÏ donne la confirmation au monde que la mère et l’enfant sont de corps parfait.
Alors pourquoi un livre comme le Nouveau Testament, livre écrit soi-disant sous « inspiration Divine », fait-il abstraction de cette perfection corporelle de Marie ainsi que de Jésus le Nazaréen celui-ci ayant été modelé en son sein, donc naissant humain sans la tare génétique donné à la descendance humaine par Adam et Ève suite à leur transgression volontaire d’une Loi d’EL-SHADDAÏ ?
Vous comprenez pourquoi les humains ont déclaré ce Livre apocryphe !
Nous sommes en 325 et le christianisme n’a pas de fête sur la naissance d’un « dieu » pendant les « Saturnales » et le « Solstice d’Hiver » en son sein.
Alors d’où vient ce nouveau « dieu », « Jésus-Christ » né un 25 décembre, lui aussi ?
Pour le moment dans tout l’Empire on fête le « Solstice d’Hiver » ainsi que la naissance des divinités Sol Invictus et Mithra.
Pour certain il faut toujours des preuves alors en voici une ci-dessous.
Justinien Ier ou Justinien le Grand, né le 11 mai 483 en Illyrie, mort le 14 novembre 565, fut empereur byzantin de 527 jusqu'à sa mort en 565.
Justinien se conçoit comme l'élu de Dieu, son représentant et son vicaire sur la terre. Il se donne pour tâche d’être le champion de l’orthodoxie dans ses guerres ou dans le grand effort qu’il fait pour propager la foi orthodoxe, soit dans la façon dont il domine l’Église et combat l’hérésie .
Il veut gouverner l’Église en maître, et, en échange de la protection et des faveurs dont il la comble, il lui impose sa volonté, se proclamant Empereur et Prêtre, comme un Pontifex-Maximus. L’action législative de Justinien s’inscrit dans la durée, avec une attention toute particulière pour l’Église. En effet, l’empereur est un chrétien sincère et il s’estime, le dirigeant suprême de l’Église.
Le christianisme est, d’un point de vue institutionnel et juridique, religion d’État. C’est en cela qu’il règle avec une minutie pointilleuse les conditions de recrutement des membres du clergé, leurs statuts, l’organisation de l’administration des biens ecclésiastiques.
C’est lui, l’Empereur, qui gère toute l’Église de l’époque la séparation entre l’Orient et l’Occident ne sera effective qu’au XIème siècle.
Pour mémoire le 6 Janvier était fêté à la fois la Nativité, l’Adoration des Mages et le baptême de Jésus-Christ. Seule l’Église arménienne a conservé l’usage ancien de cette date.
La première « Anno Domini » est traditionnellement considérée comme l'année qui a suivi la Nativité, c'est la première année de l'ère chrétienne dans le calendrier grégorien.
En 354, le 25 décembre devint ainsi la date où l'on commémorait la naissance de Jésus Christ, le 1er janvier, 8 jours après la Nativité, la date de la Circoncision qui est considéré par certains comme un baptême et le 2 février, 40 jours après Noël, celle de la Purification de la Vierge, c’est la Chandeleur.
Dans tout ce que je viens d’écrire ci-dessus rien est biblique. Quant à la Purification de la Vierge Marie elle ne peut avoir lieu puisqu’elle est exempte de corps de la tare génétique adamique
En 46 avant notre ère, Jules César décide que le Jour de l’An, auparavant célébré à l’équinoxe de mars, serait fixé au 1er janvier, le mois de Janus qui se trouve être le Dieu des portes et des commencements, celui-ci avait deux faces, l’une tournée vers l’avant, l’autre vers l’arrière.
En France, le Jour de l’an n’a pas toujours été le 1er Janvier. La nouvelle année commence à cette date en vertu de l'Édit de Roussillon du 9 août 1564, promulgué par le Roi Charles IX.
Cette date du Jour de l’An, soit le premier jour d’une nouvelle année représentait dans l’Antiquité le début de la « Lumière ». En effet les humains s’apercevaient que les jours de lumière commençaient à augmenter et que les nuits représentant les « Ténèbres » diminuaient. Ce Jour de l’An était en vérité, à l’ère de Jésus le Nazôréen après sa mort, la vénération de son baptême, où plus exactement de sa circoncision comme le veut sa religion hébraïque, pour un mâle huit jours après sa naissance, mais voilà Jésus le Nazôréen n’est pas né un 25 décembre !
Une nouvelle année commence, alors j’espère de tout mon cœur que vous allez venir « Enfant » d’EL-SHADDAÏ. Je reconnais que ce n’est pas facile surtout à notre époque, mais croyez-vous que dans les trois premiers siècles après la mort de Jésus le Nazôréen c’était facile ? Sûrement pas ! Nous devons aimer un « DIEU » qui possède plus de sept milliards d’image, avec notre cœur et sincérité et ce Dieu ce n’est pas Jésus le Nazôréen, c’est son Père géniteur, mais aussi notre Père Fondateur, c’est lui que nous devons adorer, vénérer, glorifier, et son fils ? Nous devons l’aimer comme notre Roi, notre médiateur, assesseur, voilà !
Je vous souhaite bonne réjouissance et mangez, danser, chanter, mais ne buvez pas plus que vous ne pouvez le supporter, car les excès entraînent souvent l’humain sur des sentiers néfastes, en paroles et en actions et il ne lui reste de cette fête que des larmes, de l’aigreur, des remords.
Portez-vous bien !
Prenez soins de vous de votre maisonnée, de votre famille !
Salutations cordiales à Tous !
Sig : Jean-Paul G. dit « GRANDELOUPO »