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Titre du blog : Critique réfléchie des Religions par GRANDELOUPO
Auteur : grande-loupo
Date de création : 30-04-2009
 
posté le 03-04-2022 à 01:46:22

NdR-Chap. N°31 Le Christianisme volet XVIII - Comment l’Ancien Testament a vu le jour

Naissance des Religions


Les prémices vers les grandes religions





Chapitre N° 31



Le Christianisme



Volet XVIII



Comment l’Ancien Testament a vu le jour



Jean le Baptiste commença ses prêches avec le baptême dans les eaux du Jourdain bien avant la venue de Jésus le Nazôréen. Ce dernier choisit une partie importante de ses soixante-douze Disciples dans la foule qui venait écouter les « Enseignements » de Jean le Baptiste, cet homme venant et habitant le désert. Les grands prophètes comme Isaïe, Jérémie, Élie, ainsi que des petits prophètes comme Sophonie, Aggée, Zacharie, Malachie, avaient annoncé sa venue.

Une question se pose, comment était la religion hébraïque à l’ère de Jean le Baptiste et de son cousin Jésus le Nazôréen ?

La religion de Moïse avait plus de douze siècles et la Loi avait beaucoup changé !

L’Arche d’Alliance n’existait plus !

L’ingratitude du peuple hébreu envers son « Dieu » est inqualifiable, et pourtant les enfants qui sont nés dans l’Exode, avaient eu l’exemple avec leurs parents qui n’ont jamais connu la « Terre Promise » suite à leur désobéissance, avec le « Veau d’Or » responsable des quarante ans d’errance dans les déserts du Sinaï. La Bible nous informe qu’au départ des humains pour l’Exode il y avait six-cent-mille hommes « de pieds », environ, mais un mois après la traversée de la Mer Rouge, sur les ordres d’EL-SHADDAÏ, Moï se fit un recensement de tous les hommes pouvant faire campagne, c’est-à-dire la guerre et ils furent comptés au nombre de six-cent-trois-mille-cinq-cent-cinquante, Nombres : Un : 46 & suivant.

L’ère d’Abraham ou plus exactement de Jacob, nommé « ISRAËL », dura jusqu’à la sortie d’Égypte, où là, commence l’époque de « MOÏSE » !

Ce premier temps fit l’époque des douze Tribus d’Israël.

Cette ère hébraïque fonctionnait sous les Lois Noachides qui furent augmentées des Lois abrahamiques où la circoncision de chair devenait obligatoire pour les humains qui voulaient être hébreux. De Noé à Abraham puis de son fils Isaac qui engendra Jacob fut une ère de plusieurs millénaires où la race humaine se multiplia et rempli la Terre selon son langage, sa couleur de peau, et son armature squelettique et génétique. Abraham qui chercha le véritable « DIEU » était un nomade qui s’installa en Pays de Canaan région où coulait le lait et le miel. Isaac resta dans la région la parcourant avec ses troupeaux et sa famille il eut des filles et deux mâles Ésaü et Jacob que l’on nommera Israël. Jacob dit Israël sera le père des douze Tribus hébraïques qui entreront en Égypte au nombre de soixante-dix humains, les enfants de Jacob soient les dix frères et peut-être des sœurs avec leur époux, mais aussi servants et servantes. Joseph le onzième frère a eu le droit à deux Tribus pour ses enfants Éphraïm et Manassé et les autres sont les Tribus de Ruben, Siméon, Lévi, Juda, Issacar, Zabulon, Dan, Nephthali, Gad, Asher et Benjamin, qui font un total de treize Tribus, mais Lévi n’a pas de territoire, car c’est un prêtre, c’est lui qui est responsable des lois religieuses, mais aussi sociales, et il porte les péchés du peuple sur ses épaules car c’est lui qui entre dans le « Sain des Saints » pour être en relation avec EL-SHADDAÏ et recevoir les nouveaux commandements ou Lois.

Ces douze tribus d’Israël formeront le « Peuple » d’EL-SHADDAÏ en terre étrangère en quatre-cent-trente ans, où les hébreux devenant plus nombreux que les autochtones ils devinrent les esclaves de ceux-ci. C’est là qu’intervient Moïse, le libérateur de ce « Peuple » hébreux avec sa civilisation, soit une langue, avec une grammaire, et une terre qui n’est pas la sienne. Cet homme conduira ce « Peuple » pendant quarante ans dans une terre volcanique et montagneuse, mais même lui ne rentrera pas en « Terre Promise ». Peu d’humains qui sortirent de la servitude égyptienne verront la « Terre Promise », Josué qui remplacera Moïse après sa mort fait partie de ceux-là. Nous sommes à -1250 ans av. l’EC ou J-C. et après le guide spirituel et conquérant Josué viendra l’ère des Juges, et après ceux-ci la décadence du « Peuple » choisi, car les hébreux voulaient avoir un Roi, comme les Nations qui les entouraient, ce fut le début de leur perte, les siècles heureux étaient finis ! Les humains qui étaient né avant Moïse vivait entre 180 et 150 ans, et ceux qui étaient nés comme Moïse vivaient un maximum de 120 ans. La morphologie humaine était arrivée à son stade de finition et elle ne changera plus selon sa couleur de peau, sa nourriture, car par le squelette humain on reconnaîtra son origine asiatique, européenne, eurasienne, africaine, australienne, américaine du sud et américaine du nord.

Maintenant à partir de Moïse plus un seul humain ne vivra au-dessus de cent-vingt ans sur toute la Terre.

Le mystère de l’ère du monde pendant qu’EL-SHADDAÏ avait choisi son « Peuple », ait que, toute cette vie influencera les données des Nations mondiales aussi bien américaine, qu’australienne, qu’asiatique et européenne. SAMMAËL est le Roi, mais plus connu sous le nom du « Prince de ce Monde » et c’est lui le gestionnaire de la Planète Terre et de ses environs, avec les êtres qui vivent dessus, dedans et autour, mais EL-SHADDAÏ tout comme SAMMAËL doivent respecter les accords convenus entre -eux sur la liberté de chacun en esprit et actions, suite au « Défit » lancé avant qu’Adam ne soit déposé sur la Planète Terre, quand ce dernier n’était qu’un pantin posé dans le creux de la main de son « Inventeur, Fondateur, Créateur, » fait à « son image » et à « leur ressemblance ».

Jésus le Nazôréen est né en l’an -7 de l’EC, et il est décédé en l’an 33 de l’EC, donc Jésus le Nazôréen avait 40 ans à sa mort. Toujours en pensant que Jésus le Nazôréen est né en l’an -7 de l’EC, quand il a eu 12 ans soit en l’an 5 de l’EC, il enseigna les prêtres au Temple sur le rouleau d’Ésaïe pendant que ses parents le cherchaient dans la ville de Jérusalem pendant trois jours.

Certains écrits apocryphes consignent que Joseph le Charpentier serait mort à l’âge de cent-onze ans, en l’an 26 de l’EC, oui, mais, d’autres apocryphes transcrivent que Jésus le Nazôréen avait 18 ans à la mort de son père, ce qui fait que Joseph le Charpentier serait décédé en l’an 11 de l’EC, et cela fait quinze ans de différence. Où se trouve la vérité ?

Une certitude, Jésus le Nazôréen est né en Septembre, Octobre de l’an moins sept (-7) avant l’Ère Commune (EC) ou Jésus-Christ (J-C) car Hérode le Grand mourut en -4 de l’EC ou J-C, et c’est lui qui fut responsable du « Massacre des Innocents ». Selon certains historiens ce n’est pas une certitude que ce massacre ait existé. Toutefois si ce « Massacre » fut authentique il aurait eu lieu entre -6 et -5 de l’EC Jésus le Nazôréen ayant une année et demie à deux ans et Jean le Baptiste aurait été dans sa troisième année de vie. Si l’on accepte cette date de naissance de Jésus le Nazôréen, il faut aussi changer toutes les dates historiques qui coïncideraient avec des références bibliques des Disciples ou Apôtres ! N’oublions pas que les Évangiles furent écrites vingt années après la mort de Jésus le Nazôréen par la torture de la crucifixion, pour les premiers Évangiles soit celui de Matthieu en logions de Jésus – Jésus à dit – soit l’Évangile de Marc, les autres furent écrits dix à quinze ans après les deux premiers Évangiles, sans compter tous les évangiles apocryphes qui circulaient à cette époque comme celui de Philippe, Pierre, Barthélémy, et Thomas en logions de Jésus. Les Évangiles Canoniques que nous connaissons aujourd’hui furent choisi arbitrairement au IVème siècle par Constantin le Grand et son ami Eusèbe de Césarée, évêque de Palestine, au Conciles de Nicée en l’an 325 de notre ère Ils choisirent les Évangiles synoptiques, c’est-à-dire trois évangiles idem avec quelques compléments, mais nous ignorons qui a copié sur qui, plus l’Évangile de Jean. L’Apocalypse ou Révélation fut ajouté beaucoup plus tard, au Concile de Constantinople en l’an 381 car avant ce livre écrit par Jean sur l’ile de Patmos était considéré comme hérétique et apocryphe.

Maintenant il est intéressant de comparer les deux grands prophètes des deux religions abrahamiques, toutes les deux venant du Judaïsmes, je nomme la religion Chrétienne et Musulmane. Jésus le Nazôréen c’est fait connaître en guérissant les malades, en chassant les démons, et en parlant de l’amour du prochain, Abu-Kasim Muhammad dit « Mahomet » c’est fait connaître en décapitant les opposants, lapidant les femmes adultères, ou en coupant la main du voleur, et en tuant le prochain qui n’est pas musulman le traitant d’infidèle, quelle différence entre ces deux prophètes ? …. Le premier, Jésus le Nazôréen parle d’amour, le second, Mahomet, parle de meurtre et d’assassinat !

La Bible, l’Ancien Testament, les cinq premiers Livres, nommés mes Livres de Moïse ou le Pentateuque fut écrit trois siècles avant J-C. ou l’EC.

Selon une tradition rapportée dans la Lettre d'Aristée, iieme siècle av. J.-C., la traduction de la Torah aurait été réalisée par (72) soixante-douze traducteurs à Alexandrie, vers -300 -- -270 av. J.-C., à la demande de Ptolémée II. La légende relatée dans la lettre d'Aristée, serait due à l'initiative de l’ancien Oligarque d’AthènesDémétrios de Phalère, le fondateur de la Grande Bibliothèque d’Alexandrie, qui aurait suggéré au roi d’Égypte, Ptolémée II Philadelphe que les autochtones nomment « Pharaon », ce dernier le plus cultivé de tous les pharaons était désireux de connaître le Pentateuque et les Livres historiques, poétiques, sapientiaux, prophétiques qui sont les livres de la Bible hébraïque. Le Lagide, souverain hellénistique le plus cultivé de son temps, apparaît également soucieux de connaître les règles des divers peuples qui lui sont assujettis dans le cadre d'une réorganisation de son royaume. Il envoya ses Ambassadeurs voir le Grand Prêtre de l’époque qui était Eléazar afin de traduire la Bible en Grecque Eléazar fourni six des meilleurs érudits, connaissant le grec, de chacune des douze tribus d’Israël, ce qui fait soixante-douze traducteurs présentés à Pharaon dans la ville d’Alexandrie. Ce Roi se prosterna devant eux et les divisa en douze groupes de six dans des maisonnettes éparpillées sur l’ile de Pharos. Tous ses érudits durent traduire la Bible de l’Ancien Testament en soixante-douze jours. Aucun contact ne pouvait avoir lieu entre les douze maisonnettes pendant tout le temps de la traduction.

Le travail terminée toutes les copies furent enlevées en même temps et remises entre les mains du Roi, entre les mains de Pharaon. La légende dit qu’il lût les douze traductions et qu’il tombât la face contre terre d’émerveillement. En effet les douze traductions étaient exactement idem à la virgule près, alors il déclara que cela ne pouvait venir que d’un Dieu qui avait éclairé l’esprit des soixante-douze traducteurs, alors il les réunit tous sur la place publique et se prosternât sept fois devant eux en l’honneur de leur Dieu, puis il fit un grand banquet pour les honorer en leur posant soixante-douze questions. Tout ce que je viens de transcrire est inscrit dans la Lettre d’Aristée. Cette traduction sera appelée la traduction des « Septante »

Faisons un peu d’histoire : Jérusalem est sous occupation égyptienne, et le Grand Prêtre de l’époque, Éléazar, accepta de fournir les soixante-douze érudits ainsi que les Rouleaux sacrés formant la Bible de l’Ancien Testament, à la condition que Pharaon, Ptolémée II Philadelphe, ne libère tous les hébreux en captivité et en esclavage en Égypte, que son père Ptolémée I avait emmené en subordination.

La ville d’Alexandrie construite en l’honneur d’Alexandre le Grand en -331 av. l’EC, juste en face de l’ile de Pharos qui donnait un port naturel à la ville connue pour sa grande Bibliothèque construite sous le règne du Pharaon Ptolémée II Philadelphe, ainsi que pour son Heptastade construite pour relier l’ile de Pharos à la ville d’Alexandrie et cet ouvrage faisait deux ports pour la ville et le phare d’Alexandrie fut élevé sur l’extrémité rocheuse orientale du port Alexandrin. Dans la ville d’Alexandrie, dans le quartier du Palais un tiers de ce quartier était habité par des hébreux hellénistiques synagogales qui étudiaient les Lois de Moïse et les rouleaux de l’Ancien Testament. A l’ère de Jésus le Nazôréen, la population hébraïque hellénistique était passé à deux tiers du quartier autour du Palais, et à un plus d’un quart de la population de la ville.

À l’ère de la naissance de Jésus le Nazôréen que reste-t ’il du « Peuple » choisi ?

Il reste le Second Temple reconstruit en -63 de l’EC par Hérode le Grand d’une très grande beauté de construction, mais il ne restait plus rien de religieux, dans la pièce « le Saint des Saints » il ne restait que le grand rideau de séparation entre les deux pièces, « le Saint » et « le Saint des Saints », dans le « Saint » il devait rester l’autel des parfums et le Candélabre à sept branches, mais des ustensiles, des coupes en or il ne devait rester que peu de chose. Si j’ai bonne mémoire le Grand Prêtre ne rentrait dans le « Saint des Saints » qu’une fois par an, le jour du pardon des péchés qui devait se trouver vers « la Pâque » alors que Moïse rentrait dans cette pièce « le Sain des Saints » presque tous les jours quand les hébreux s’arrêtaient de marcher avec leurs troupeaux, quand ils trouvaient des grandes étendues d’herbe pour les bêtes et pour Josué quand ils ne se battaient pas pour conquérir la « Terre Promise ».

Le « Peuple » choisit avait été abandonné par EL-SHADDAÏ à cause de l’ingratitude des humains qui le composaient c’est-à-dire les hébreux qui avait délaissé leur Dieu pour des dieux païens. À l’ère de Jésus le Nazôréen seul, restait le Temple qui amenait une manne sonnante et trébuchante au Sanhédrin formé du Grand-Prêtre et de soixante-et-onze Prêtres dont une partie étaient des Pharisiens et l’autre des Sadducéens et certains apocryphes ajoutent des Esséniens.

Arrive l’ère de Jésus le Nazôréen ! Aux Cieux le Père et le Fils se mettent d’accord, chacun des deux ont pesé les risques. EL-SHADDAÏ, le Père devra avoir un « Nouveau Peuple », mais ce n’est plus, Lui, le Dieu Universel seul et unique qui choisira, se sont les humains de toutes les Nations, de toutes les couleurs de peau, de tout le globe terrestre qui le choisiront comme leur Dieu et se sont ces humains-là qui formeront son « Nouveau Peuple », car ils l’auront choisi avec sincérité, circoncit du cœur, sans hypocrisie, avec franchise, amour, essayant de suivre ses Lois, ses Préceptes.

EL-SHADDAÏ aime par-dessus tout l’humain, rien avoir avec l’amour filial qu’il a pour son Fils unique, c’est deux amours différents, car « l’Homme et la Femme » ce sont ses « Pantins », c’est lui qui les a façonné de ses mains, par son intelligence, et ce fut une invention dure et longue, minutieuse, surtout pour cette matière grise de la boite crânienne départ de toute les connexions nerveuses, mais aussi de l’Esprit formation et départ de milliard d’ondes qui seront dévoilées par la parole, d’autres qui resteront inscrites dans la mémoire, enfin d’autres encore qui seront éphémères, comme le vent, car elles sortiront de cette matière grise pour apparaître quelques instant et disparaître comme elles sont nées.

Cet Être Suprême veut sauver de la mort, cette action arrivée sur la Planète Terre par la transgression volontaire des deux premiers humains, « la Femme et l’Homme », ces deux « Polichinelles », par l’intermédiaire de son Fils unique, qui doit naître d’un corps parfait pour que sa naissance soit parfaite, comme l’a été « l’Homme » en premier, puis « la Femme » en second, et qui étaient deux « Pantins » tant que EL-SHADDAÏ ne souffla pas le « Vent de vie » ou le « Souffle de Vie » dans leurs narines, la race humaine le fruit de son invention, de son labeur car ces deux Pantins virent le jour grâce à son travail, car c’est Lui qui tira les plus petit nerfs, les plus petites veines, et c’est aussi Lui qui posa le secret de la vie dans le ventricule féminin et c’est Lui qui fit partir toute vie, par un œuf, c’est aussi Lui qui inventa cette espèce de matière grise enchâssée dans la boite crânienne, et c’est delà que toutes les connections nerveuses se terminent, et c’est aussi de cette matière grise que sort les connections de l’esprit, de l’intelligence, de la réflexion, du raisonnement, de la « Sagesse » et c’est ce cerveau qui commande la parole, en bien, en mal, selon le raisonnement. C’est Lui EL-SHADDAÏ qui inventa cette matière grise et blanche, le gris étant les couches successives de peau à l’extérieur de cette matière et la blanche étant les milliards de connections existantes pour les motricités automatiques, mais aussi pour toutes les autres corporelles et spirituelles religieuses et autres de la réflexion, raisonnement, penser. Toutes les actions du cerveau que je viens de citer sont des ondes, mais les sensations du toucher, de la douleur et autres semblables sont des terminaisons nerveuses. Pour le cerveau, EL-SHADDAÏ possédait un modèle : « Lui-même », car il est substance et il s’est façonné lui-même, par son intelligence, car le commencement de tout être est le cœur et le cerveau à égalité car l’un ne peut pas fonctionner sans l’autre. Comme je vous l’ai écrit souvent EL-SHADDAÏ comme tous les invisibles possèdent un cerveau, car sans ce cerveau pas d’intelligence, donc pas d’invention, car pas d’esprit, pas de langage, mais aussi pas de mouvement, de motricité, enfin pas de cerveau rien de tout ce que je viens de citer n’existerai. Cet Être Suprême est invisible à l’être humain, sauf si, il désire se faire voir comme il l’a fait avec Moïse qui a vu son dos, ses mains, et son vêtement nommé « dishdasha » est d’un blanc éblouissant, et nous corporel nous ne pouvons voir sa face et continuer à vivre.

EL-SHADDAÏ aime tellement l’être humain, sa plus belle création, qu’il décide avec l’accord de son Fils unique engendré, de sauver cette race humaine de la mort, cette tare engendrée par la transgression volontaire des deux premiers humains, « la Femme » puis « l’Homme », afin que cette race vive définitivement sur la Planète Terre grâce à sa perfection retrouvée, mais il faut en premier que la « faucheuse » nom humain donné à la « Mort » n’existe plus sur « le Globe Terre ». Pour cela il faut un exemple, qui lui, reste parfait sur la Terre. Ce Fils né d’un corps parfait, celui de Marie, fille de Anne et Joachim, car à trois ans EL-SHADDAÏ lui supprima la tare adamique rendant son corps parfait sur les marches du Temple lieu sacré pour les hébreux puisque c’était la maison terrestre de leur Dieu Yahvé. Emmanuel aux Cieux nait une seconde fois, par le spermatozoïde de son père EL-SHADDAÏ introduit dans l’ovule du corps parfait de Marie, en portant le nom terrestre de Jésus le Nazôréen, Fils d’EL-SHADDAÏ engendré une seconde fois. Je reproche à la religion catholique de ne pas spécifier que Jésus est né parfait en tout puisque le corps de Marie était parfait, mais là-dessus cette religion chrétienne fait un silence de plomb, pourquoi ?

Pardonnez-moi, mais j’ai beaucoup de mal à vous écrire maintenant à 76 ans le cerveau ne fonctionne plus à la vitesse de la jeunesse, mais je crois toujours en cet Être Suprême seul et unique qui a fait un peuple en terre étrangère de la descendance d’un homme, Abraham, auquel il donna la langue divine, l’hébreu. Ce peuple se format en Égypte en 430 ans et EL-SHADDAÏ, Dieu de ce Peuple, tel est le nom qu’Abraham lui donna qui signifiait : « Dieu au-dessus des Montagnes » et tel est le nom que les humains formant ce Peuple donnait à ce Dieu, leur Dieu ! ,qui les libéra de la servitude égyptienne avec Moïse comme guide. Ce Dieu au contrefort du Sinaï donna à son Peuple des Lois et des Préceptes afin que ceux-ci puissent vivre heureux. Mais ils rejetèrent ce Dieu et ses Lois, quelle ingratitude quand nous apprenons tout ce que ce Dieu a fait pour eux.

Comme je vous l’ai déjà écrit les prophéties disent que quand viendra l’heure des dernières générations un « Nouveau Peuple » se lèvera de la Terre habitée toute entière. Ce « Nouveau Peuple » ce n’est pas EL-SHADDAÏ qui le choisira, mais se sont les humains de toute la Terre qui le choisiront comme leur Dieu. Doucement une multitude le chercheront, le trouveront et s’attacheront à cet Être Suprême et sans se connaître arriveront dans les dernières générations à se reconnaître, mais aujourd’hui j’ignore comment.

Nous sommes les Enfants de ce Dieu, EL-SHADDAÏ, seul et unique et bientôt, dans deux semaines nous fêterons la Pâques, la seule fête qu’il nous demande de respecter. Le Vendredi 15 Avril entre les deux soirs nous mangerons la Pâques soit en général pour la France selon la région entre 19h et 20h le soleil se couchera et jusqu’à la nuit noire nous pourrons déguster la Pâques en répétant les gestes de Jésus le Nazôréen, le Fils d’EL-SHADDAÏ.

Je ferai le maximum pour vous faire un petit mot juste deux à trois jours avant ce Vendredi 15 Avril qui est le vendredi saint de la chrétienté.

En attendant portez-vous bien et prenez soin de votre maisonnée !

Salutations cordiales à Tous !

Sig : J-P. G. dit « GRANDELOUPO »