Naissance des Religions
Les prémices vers les grandes religions
Le Christianisme
Volet XIX
Fin d’un Peuple et naissance d’un autre
Mes derniers écrits étaient sur la Pâque, que nous avons respecté mon épouse et moi-même. Chaque année ce repas me laisse bizarre pendant 24 heures et mon épouse aussi. Nous ne sommes pas des farfelus, des dérangés du ciboulot, et justement, il me semble que je finissais le dernier chapitre sur le cerveau des invisibles comme les Anges et leur hiérarchie, ainsi que le cerveau de notre Dieu EL-SHADDAÏ.
Comme déjà écrit dans le chapitre précédent, l’Être Suprême possède un cerveau constitué de milliard de connections électriques statiques et la matière doit être différente de la nôtre, puisqu’invisible à l’œil humain. Ce Dieu constitué de par Lui-même, par sa propre volonté devait avoir un cerveau façonné en premier. La Bible, le Livre du commencement écrit que l’Univers était sombre, froid et vide, seul un Être aux sept couleurs de clarté, à la silhouette humaine, plus exactement nous à sa ressemblance, vivait et se déplaçait dans cette immensité glaciale. Comment cet Être est-il venu dans cet Univers en tant que substance pour se façonner par sa propre volonté. ? Substance, mais quelle substance ? Invisible à l’humain ! Moïse a vu son dos, mais aussi ses mains, ainsi que sa silhouette, mais quand il est descendu de la montagne du Sinaï il avait des cheveux éblouissants ainsi que son physique avec ses moustaches et sa barbe. Tous le regardant se disait « Il a vu EL-SHADDAÏ notre Dieu ! »
EL-SHADDAÏ est l’inventeur du pantin Homme et du polichinelle Femme, mais l’Homme fut le premier sur la terre de la Terre et se fut comme cela qu’il s’aperçut qu’il était seul et qu’il n’avait aucune compagne à sa ressemblance. Combien de temps Adam fut seul sur la Terre, les écrits apocryphes disent une semaine d’année, soit sept ans et EL-SHADDAÏ endormi Adam pour lui prendre une basse-côte et façonner le polichinelle Femme. Après les temps de vérification après avoir déposé la Femme sur la terre de la Terre, il réveilla l’Homme et présenta la Femme à celui-ci, puis il leur annonça les « Droits et les Devoirs, avec la Sentence ». La Femme en premier transgressa la seule interdiction, puis par des paroles de forfaiture, elle poussa son mari à transgresser l’interdiction, c’est comme cela que la mort est entrée sur la Terre pour l’humain. Première déception pour EL-SHADDAÏ ! et la seconde sera avec son « Peuple » choisi, mais voilà il aime l’humain, c’est son invention en tout, sa plus belle création de tout l’Univers, une merveilleuse machine, splendide dans sa complexité, et il ne peut admettre qu’elle va aller à sa perte. Il n’a pas inventé ces deux humains l’Homme et la Femme pour qu’ils s’autodétruisent.
Le Père veut sauver son œuvre car il s’est aperçu que beaucoup des humains des nations qui volontairement venaient embraser ses Lois et Préceptes, étaient plus fidèles que les humains du « Peuple » choisi, alors il proposa à son Fils unique de descendre sur la terre comme un humain pour sauver ce dernier de la mort. Les deux connaissaient les risques ! car le Fils allait réfléchir, raisonner, penser, comme un humain avec toutes les tentations que Sammaël offrait aux humains.
Emmanuel aux Cieux devenait Jésus le Nazôréen sur la Terre et il devait naître humain dans un corps parfait sans la tare adamique. Ce corps allait être celui de Marie la fille de Anne et Joachim qui à l’âge de trois ans fut sur les marches du Temple et devant le peuple hébreu nettoyé de la tare adamique par EL-SHADDAÏ. Quand Marie arriva à l’âge de seize ans l’Être Suprême introduisit son spermatozoïde dans l’ovule de Marie afin que son Fils soit façonné dans une matrice parfaite. Jésus le Nazôréen allait naître parfait de corps et d’Esprit !
Question : pourquoi la Bible dans les Évangiles du Nouveau Testament, aucun des Apôtres ne parlent de la perfection de Marie, ni de la naissance parfaite de Jésus le Nazôréen ? Par la perfection de la mère, Marie, et de son fils, Jésus le Nazôréen, il leur était impossible d’avoir des relations sexuelles, car, étant donné qu’ils étaient comme les Anges ils auraient l’un comme l’autre procréé des monstres géants. Donc Jésus le Nazôréen n’a jamais eu de frères ni de sœurs !
Pourquoi la Bible reste très floue sur les soi-disant frères et sœurs de Jésus le Nazôréen ?
Sur les cousins de Jésus le Nazôréen les Évangiles de la Bible sont plutôt vague. Jean le Baptiste est un cousin germain de Jésus et ils ont six mois de différence, Jean étant le premier né.
Sur la naissance de Jésus le Nazôréen il y a un peu d’écrits, mais il faut encore une fois se tourner vers les écrits apocryphes pour avoir des informations authentiques et détaillées sur la mère de Jésus le Nazôréen. Après sa naissance plus rien jusqu’à l’âge de douze ans où Jésus le Nazôréen lit le Livre d’Ésaïe devant tout le Sanhédrin, l’explique et répond aux questions des Grands-Prêtres qui sont en admiration devant les réponses de ce gamin, alors que ses parents le cherchent partout. Puis la littérature apocryphe parlera de lui à la mort de son père Joseph le Charpentier à cent-onze ans quand son fils adoptif arrivera à dix-huit ans. Quand Jésus le Nazôréen arrivera à sa majorité, c’est-à-dire trente ans, il commencera son Ministère
Pendant ce ministère il fut un très grand guérisseur, pratiquant aussi l’exorcisme.
De tous ces miracles lesquelles sont véridiques ?
Une chose est certaine, il n’y a pas de fumée sans feu. Il s’entoure de soixante-douze Disciples dans lesquels il y a douze humains de tous bords, du pécheur, collecteur d’impôts, à l’historien, écrivain, docteur en médecine, en philosophie, qui seront ses proches auxquels il donnera le nom « d’Apôtre. »
Il suscite engouement et ferveur, s'attirant la méfiance des autorités politiques et religieuses, avant d'être arrêté, condamné et crucifié vers l'an 33 à Jérusalem pendant la fête juive de la Pâque, sous l'administration du gouverneur romain Ponce Pilate. Il serait exact que Jésus le Nazôréen serait décédé à l’âge de quarante ans, ce qui, pour la religion hébraïque est hautement symbolique.
Jésus était nommé de son vivant le « Nazôréen », en tout sept fois dans le NT. Bible de Jérusalem ( BJ )
BJ : Matthieu II : 22 - 23.
« Mais, apprenant qu'Archélaüs régnait sur la Judée à la place d'Hérode son père, il craignit de s'y rendre ; averti en songe, il se retira dans la région de Galilée et vint s'établir dans une ville appelée Nazareth ; pour que s'accomplît l'oracle des prophètes : Il sera appelé Nazôréen. »
Luc : XVIII : 37
« On lui annonça que c'était Jésus le Nazôréen qui passait. »
Actes des Apôtres II : 22-24
« Hommes d'Israël, écoutez ces paroles. Jésus le Nazôréen, cet homme qu’EL-SHADDAÏ a accrédité auprès de vous par les miracles, prodiges et signes qu'il a opérés par lui au milieu de vous, ainsi que vous le savez vous-mêmes, cet homme qui avait été livré selon le dessein bien arrêté et la prescience d’EL-SHADDAÏ, vous l'avez pris et fait mourir en le clouant à la croix par la main des impies, mais EL-SHADDAÏ l'a ressuscité, le délivrant des affres de l'Hadès. »
L'évangile selon Jean rapporte que la croix de son exécution était surmontée d'un titulus portant l'inscription « Jésus le Nazôréen, Roi des Juifs »
De son vivant, Jésus interdit à ses disciples de dire à quiconque qu'il était le Messie. [ Luc IX : 20-21 et Matthieu XVI : 16-17 (18 et 19 rajouts de copiste) 20 ]
BJ : Matthieu XVI : 17 - 17 et 20.
« Simon-Pierre répondit :
« Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant. »
En réponse, Jésus lui dit :
« Tu es heureux, Simon fils de Jonas, car cette révélation t'est venue, non de la chair et du sang, mais de mon Père qui est dans les cieux.
Alors il ordonna aux disciples de ne dire à personne qu'il était le [ Messie en latin Messias ] Christ. »
Le terme réel des premiers écrits bibliques du « christianisme naissant » était le sens « Messie » c’est-à-dire dans la langue de Jésus en araméen « meshi’ha », en hébreu « mashia’h », et en grec « christos ou christ », mais en latin le terme « Messias », latin pauvre, employé par les ecclésiastiques, signifiant Messie, fut remplacé dans la « Vulgate » par le terme grec « Christ » qui se rapprochait de « crux », « croix ».
Nous commençons à aborder la déformation des textes originels écrits, ainsi que les textes oraux.
La diffusion du message du christianisme fut orale dans un premier temps, comme le livre des Actes le rapporte, écrite par la suite.
Le Diatessaron, littéralement « à travers quatre », est l'harmonie des quatre Évangiles canoniques écrite, vraisemblablement en syriaque, par Tatien le Syrien [ né en 110 dont la mort nous ait inconnu mais Clément d’Alexandrie (150 - 220 ) en parle comme un de ses « Maîtres » ] dans la deuxième partie du IIème siècle de J-C.
Il est connu par l'ouvrage, Commentaire de l'Évangile concordant, dont existent un texte original partiel mais aussi des traductions complètes, arméniennes, arabes, et néerlandaises.
En fait, « l'Église Primitive » n'existe pas historiquement. Il n'y a pas « d'Église » au sens contemporain du terme avant l'institutionnalisation à laquelle procède Constantin le Grand après sa victoire au Pont de Milvius en 312 de l’EC où il avait pris le baptême pour devenir chrétien. Quelques années plus tard au Concile de Nicée en l’an 325 de J-C., avec son ami Eusèbe de Césarée il déclarera le Christianisme comme religion d’État et en profitera pour annoncer qu’il est le « Pontifex Maximus » de cette religion et avec son ami ils choisiront arbitrairement les Livres qui formeront le Nouveau Testament.
Le christianisme est d'abord constitué de communautés locales considérées comme plus ou moins hérétiques ou sectaires par le judaïsme à partir de la phase de Yabneh ou Yavneh, ville d’Israël.
C’est de cette ville que part le judaïsme rabbinique
Quand elles s'organisent, il n'y a pas « l'Église » mais « l'Assemblée » locale autour de ses anciens presbyterois et de son episcopos.
Les différents courants connus du judaïsme judéen du Ier siècle, Sadducéens, Esséniens, Pharisiens, ont soi disparu à la chute du Temple de Jérusalem, nommé le Second Temple, autour de l'an 70 de J-C., soit fusionné petit à petit avec ceux de la Diaspora surtout babylonienne d'où venait Hillel le Babylonien, considéré comme un des plus grand Sage du Second Temple, ou égyptienne où avait vécu Philon d’Alexandrie, notamment de l'école de Yabné vers l'an 90 de J-C..
Les Pères apostoliques sont des hommes anonymes ou connus qui ont écrit après la période qui a suivi immédiatement celle des Apôtres. Leurs écrits, « constituent le troisième ensemble de textes fondateurs du christianisme après l'Ancien Testament et le Nouveau Testament », et sont les enseignements de Jésus le Nazôréen, ainsi que ceux des Apôtres appris au cours de leurs déplacements dans les villes et villages des Nations.
Les Pères Apostoliques sont les derniers Disciples des Apôtres à avoir reçu l’imposition des mains sur la tête leur donnant le pouvoir de faire des guérisons corporelles, mais aussi spirituelles pour chasser les démons et en recevant cette imposition des mains, comme les douze Apôtres à la Pentecôte, ils acquéraient l’Esprit Sain, l’Esprit d’Intelligence, chacun selon ce qu’il avait besoin et ils percevaient ce pouvoir directement des Apôtres et des soixante Disciples choisis par Jésus le Nazôréen qui reçurent l’Esprit Sain, l’Esprit de la Connaissance des Écritures directement par Lui et par les Apôtres. Cette force cette puissance les tous premiers Disciples, les soixante choisis par Jésus le Nazôréen ne pouvaient la retransmettre qu’une seule fois à leurs condisciples et ces derniers ne pouvaient rien relayer en dehors de l’enseignement du Fils et des Apôtres et les Lois et Préceptes du Père, EL-SHADDAÏ. Jésus le Nazôréen décéda en l’an 33 de l’EC. ou de J-C. et les écrits évangéliques et l’histoire de certains Apôtres commença à circuler de l’Afrique du Nord à la Mésopotamie, l’Anatolie, la Grèce, mais aussi des villes comme Jérusalem, Alexandrie, Antioche, Laodicée, Constantinople, Corinthe, Rome où des Lettres, Épitres circulaient entre les différentes Assemblées. Les premiers écrits dateraient de l’an 47 de J-C., car à l’ère de Jésus le Nazôréen la transmission des actes de ce dernier se faisait pour la majorité oralement et les humains embrasant tous ces enseignements étaient considérés comme des sectaires Judéens.
Les premiers enseignants de cette nouvelle religion naissante étaient pour la généralité des hébreux de Jérusalem puis des hébreux hellénistes d’Alexandrie et d’Antioche qui suivaient les Apôtres et les Disciples de Jésus le Nazôréen.
Le premier Évangile serait de Matthieu en loggions de Jésus soit : « Jésus a dit … », puis il y a eu celui de Marc qui suivait l’Apôtre Pierre, Matthieu refit un second Évangile vers l’an 68 juste avant la destruction du Temple en l’an 70 de l’EC. L’Évangile de Luc fut plus tardif vers l’an 80-85 de l’EC, et il est reconnu que les Actes des Apôtres seraient du médecin, théologien Luc vers l’an 90, ces trois Évangiles sont synoptiques car étrangement les écrits se ressemblent, alors qui a copié sur qui ? ….. Quant à l’Évangile de Jean, il aurait été terminé vers l’an 100-104 de J-C. et le Livre de l’Apocalypse ou Révélation, il fut terminé dans l’île de Patmos vers l’an 110-112 de l’EC. Ce Livre de l’Apocalypse fut considéré comme hérétique pendant longtemps, il faudra attendre le Concile de Constantinople en l’an 481 de l’EC pour que ce Livre soit incorporé dans le Nouveau Testament avec tous les autres Livres.
Je vous avais écris que les Livres du Nouveau Testament avaient été choisi arbitrairement par le Pontifex Maximus Constantin Ier le Grand et son ami Eusèbe de Césarée, en effet il y a l’Évangile de Thomas en loggions de Jésus le Nazôréen, de Nicodème, de Philippe, de Pierre, de Barnabé, du Pseudo-Matthieu, des Ébionites, et de Judas Iscariote.
Les œuvres des Pères Apostoliques s’étende de l’an 73 à l’an 160-180 de J-C. et constituent les tous premiers témoignages des communautés Nazaréennes ou Nazôréennes, telle que Ignace d’Antioche de Syrie, avec ses sept Lettres, Papias d’Hiérapolis, Clément de Rome épître aux Corinthiens, épître de Barnabé, épître à Diognète, Lettre d’Hermas le Pasteur, Lettre de Polycarpe de Smyrne, tous ces Écrits seront le christianisme primitif oublié dans le Nouveau Testament. Ils se distinguent des livres du Nouveau Testament par leur caractère non canonique, même s'ils étaient parfois considérés comme canoniques durant l'antiquité chrétienne. [Antiquités Bibliques, Livres d’Énoch, Jubilés, etc …] Contrairement aux autres écrits non canoniques des deux premiers siècles, ils restent très proches des livres néotestamentaires dont ils partagent la théologie, la langue et les origines communautaires. Ces écrits ont une place particulière dans la littérature chrétienne primitive des deux premiers siècles.
L'existence des apocryphes révèle que le Nouveau Testament, tel que nous le connaissons aujourd'hui, est le fruit d'un choix parmi une multiplicité de documents témoignant de la vie et de la prédication de Jésus le Nazôréen, ainsi que de la vie des Assemblées primitives, qui prendront le nom d’Église par la suite.
Les Pères Apostoliques sont obligatoirement des Anciens qui sont théologiens, écrivains, bon orateur pour expliquer la vie, les enseignements et les paraboles de Jésus le Nazôréen. Ces Anciens qui sont nommés aussi presbytres ou évêques ne sont pas des Disciples des Disciples et Apôtres de Jésus le Nazôréen et n’ont pas reçu l’imposition des mains, mais par leur savoir et leur verbe ils sont choisis comme Anciens car ils portent en eux l’amour du prochain ainsi que les Lois et Préceptes du Père et les Enseignements du Fils.
EL-SHADDAÏ a offert son Fils aux humains, pour effacer la transgression d’Ève, la Femme, et d’Adam, l’Homme, le rendant vainqueur sur la mort par la résurrection, car en effet, après soixante-douze heures passées dans l’Hadès, il en sortit victorieux par la volonté de son Père EL-SHADDAÏ. Le Père ainsi que le Fils connaissaient la fin de vie de ce dernier puisqu’à ses Apôtres il leur conta la Parabole du vigneron. Matthieu XXI : 33-40, Marc XII : 1-12, Luc XX : 9-19, « Ecoutez une autre parabole. Il y avait un propriétaire qui planta une vigne, l’entoura d’une clôture, y creusa un pressoir et bâtit une tour ; puis il la donna en fermage à des vignerons et partit en voyage.
Quand le temps des fruits approcha, il envoya ses serviteurs aux vignerons pour recevoir les fruits qui lui revenaient. Mais les vignerons saisirent ces serviteurs ; l’un, ils le rouèrent de coups ; un autre, ils le tuèrent ; un autre, ils le lapidèrent. Il envoya encore d’autres serviteurs, plus nombreux que les premiers ; ils les traitèrent de même. Finalement, il leur envoya son fils, en se disant : « Ils respecteront mon fils. » Mais les vignerons, voyant le fils, se dirent entre eux : « C’est l’héritier. Venez ! Tuons-le et emparons-nous de l’héritage. » Ils se saisirent de lui, le jetèrent hors de la vigne et le tuèrent
Eh bien ! lorsque viendra le maître de la vigne, que fera-t-il à ces vignerons-là ? »
Cette Parabole était une bonne explication pour enseigner les Apôtres et Disciples ainsi que la foule qui suivait Jésus le Nazôréen et ses proches, voire très proches. Les éclaircissements que je donne n’engage que moi, ma réflexion, mon raisonnement, donc les vignerons évoquent le reste du peuple hébreu choisi par EL-SHADDAÏ. Ce « Peuple » hébreu choisi ne représente presque rien à l’ère de Jésus le Nazôréen, c’est un « Peuple » qui a été abandonné par son Dieu, car « ce Peuple » l’a rejeté, alors à l’époque de Jésus le Nazôréen les hébreux sont guidés par soixante-douze membres, le Sanhédrin, six par Tribus, et il y a bien longtemps que les douze Tribus d’Israël n’existe plus, seul le royaume de Judas reste le plus fort grâce au Temple de Jérusalem le symbole de la religion hébraïque que l’on nommera le Judaïsme. Ces prêtres divisés, forment ce Sanhédrin de soixante-douze prélats qui sont en partie Pharisiens majoritairement, et Sadducéens, pour l’autre partie avec des Esséniens pour quatre religieux, et c’est le Grand Prêtre pharisien Caïphe qui gouverne ce royaume de Juda avec le Sanhédrin et l’occupant Romain.
EL-SHADDAÏ avait tout fait, tout espérer avec ce « Peuple », mais il n’à eu que déception. Maintenant il sait que ce n’est pas à Lui à choisir son « Peuple » parmi les humains, mais que ce sont les humains qui le choisiront comme leur Dieu qui formeront son Nouveau Peuple, car ils viendront de toutes les Nations de la Terre. C’est pour ce reste qu’il envoie son Fils unique engendré sur la terre de la Planète Terre, pour les sauver de la mort du Néant par la mort de la résurrection et voilà pourquoi cet Être Suprême dit : « Souviens-toi terre de tous ces êtres que tu devras rendre la chair de la chair avec ses os pour que son Esprit, son âme retrouve son corps au grain de poussière près afin que ce soit lui et pas un autre. » Je ne me souviens plus dans quel Livre cette phrase était écrite et elle m’avait frappée et j’essaie de vous la copier selon ma mémoire.
Portez-vous bien ! Prenez-soin de vous !
Salutations cordiales à Tous
Sig : J-P. G. dit « GRANDELOUPO »