Voici les fêtes religieuses chrétiennes de printemps. Alors j’ai voulu savoir ce qui était réel, ce qui était en accord avec le livre sacré des Chrétiens, la « Bible » Ancien et Nouveau Testament.
Vous Lectrices et Lecteurs vous serez étonnés des écrits que je vais poser.
Malheureusement pour cette religion, et quitte à déplaire à ses fanatiques, les faits troublants sont là. Le détournement des actes et pensées de Jésus le Nazaréen, des écrits des Apôtres et Disciples, est flagrant et authentique.
Vous Lectrices, Lecteurs au cœur et à l’esprit et « l’Esprit » sincère combien il est difficile de suivre les actions que nous a commandées EL-SHADDAÏ, et que nous a rappelé, par Paraboles et allégorie, comme la Pâque, son Fils Bien-Aimé Jésus le Nazaréen.
Par la suite le Protévangile de Jacques explique que Marie travaille toujours pour le Temple et est déclarée pure puisqu’elle peut tisser le voile qui sépare le sanctuaire du « Saint des saints ».
C’est, entre autre, à ce moment là que Zacharie le Grand Prêtre perd la parole et est remplacé par Samuel ou Syméon selon les manuscrits, Syméon étant plus logique car c’est lui qui prendra la place de Zacharie après sa mort. ---Luc I et II---
Joseph est bien considéré comme un « Patron Charpentier » et non comme un minuscule employé comme veut nous le faire croire la chrétienté.
En plus, nous connaissons le Protévangile de Jacques, qui dit que Joseph le Charpentier est un vieillard et a des fils et des filles et qu’il est veuf. L’Évangile de Matthieu et de Marc, ce dernier étant la copie conforme, nous donne la certitude qu’il a eu ses enfants d’un premier mariage
Matthieu 13 : 55-56 --- Marc 6 : 3-4
« Celui-là n'est-il pas le fils du charpentier ? N'a-t-il pas pour mère la nommée Marie, et pour frères Jacques, Joset, Simon et Jude ?
Et ses sœurs ( --Lycie et Lydie ---Épiphane 315-403 panarion LXXVIII : 8 ) ne sont-elles pas toutes chez nous ? D'où lui vient donc tout cela ? »
Là, il n’y a plus rien à dire, tellement le texte est évident et confirme que Joseph avait une autre épouse avant Marie. Mais pour cela il faut connaître l’Évangile de Jacques. L’extrapolation est impossible et il faut reconnaître que ses frères ne sont pas ses frères et que les sœurs ne sont pas ses sœurs, aucun lien de parenté, ni par le père, ni par la mère.
Je sais que par ces écrits je suis entrain de mettre quelques gifles à certains chrétiens bien pensants ainsi qu’à certains humains sectaires.
En effet, si Jésus le Nazaréen est l’aîné de tous ces frères et sœurs, il y a un très fort dilemme dans les « Évangiles », car sachant qu’une femme allaitait son enfant jusqu’à l’âge de trois ans, contraception naturel, il y avait une différence minimum de quatre années par enfant.
Il s’ensuit qu’à la crucifixion de Jésus le Nazaréen un frère ou une sœur ne pouvait être né pour plusieurs raisons.
Pourtant quand Matthieu écrit sur les frères et sœurs de Jésus, ceux et celles-ci semblent avoir déjà un certain âge pour ne pas dire un âge certain. Par contre cet écrit de Matthieu devient logique si Joseph le Charpentier a eu une première femme avec laquelle il aurait eu six enfants.
Comme j’y suis, je vous fais remarquer que la chrétienté se tait sur la mort de Joseph, comme sur celle de Marie la mère de Jésus. En fin de la « Cène » je vous écrirai quelques lignes sur ce thème.
Je continue avec ce Protévangile de Jacques et les parallèles qui existent avec les Évangiles.
« En ces jours-là, Marie partit et se rendit en hâte vers la région montagneuse, dans une ville de Juda.
Elle entra chez Zacharie et salua Élisabeth.
Marie demeura avec elle environ trois mois, puis elle s'en retourna chez elle. »
Ce texte des évangiles confirme bien que Joseph le Charpentier et le Prêtre Zacharie faisaient partie de la même famille et qu’ils étaient en bonnes relations. Ceci nous prouve avec le Livre de Jacques, que Joseph n’était pas un miséreux, mais un homme connu.
En étant honnête avec vous, selon votre milieu social, regardez qui fréquentez-vous ?
Eh oui ! Même parmi votre famille, vous avez plus d’infinité avec ceux qui sont de votre classe sociale. En effet, si un frère ou une sœur est beaucoup plus pauvre que vous ou beaucoup plus riche, vous aurez du mal à le ou la fréquenter, car d’un coté vous aurez peur qu’il vous demande de l’argent et de l’autre vous ne pourrez suivre son « train de vie ».
Les actions des personnages de la bible citées ci-dessus sont après l’annonciation par un Ange d’EL-SHADDAÏ à Marie de sa conception d’un fils, sans un rapport sexuel humain.
Si dessous je pose deux écris et vous aller voir l’énorme différence qu’il existe entre les deux, l’action étant la même.
Protévangiles de Jacques XII : 2
Pleine de joie, Marie se rendit chez sa parente Elisabeth et frappa à la porte. En l'entendant, Elisabeth jeta l'écarlate, courut à la porte, ouvrit, et là bénit en ces termes :
« Comment se fait-il que la mère de mon Seigneur vienne à moi ? Car vois-tu, l'enfant a tressailli et t'a bénie. »
Or Marie avait oublié les mystères dont avait parlé l'ange Gabriel. Elle leva les yeux au ciel et dit :
« Qui suis-je, pour que toutes les femmes de la terre me proclament bienheureuse ? »
Maintenant voici le texte des « Évangiles » canoniques, donc « Inspiration Divine » !
Elle entra chez Zacharie et salua Élisabeth.
Et il advint, dès qu'Élisabeth eut entendu la salutation de Marie, que l'enfant tressaillit dans son sein et Élisabeth fut remplie d'Esprit Sain.
Alors elle poussa un grand cri et dit : « Bénie es-tu entre les femmes, et béni le fruit de ton sein !
Et comment m'est-il donné que vienne à moi la mère de mon Seigneur ?
Car, vois-tu, dès l'instant où ta salutation a frappé mes oreilles, l'enfant a tressailli d'allégresse en mon sein.
Oui, bienheureuse celle qui a cru en l'accomplissement de qui lui a été dit de la part du Seigneur ! »
Marie dit alors :
« Mon âme exalte le Seigneur, et mon esprit tressaille de joie en Dieu mon Sauveur, parce qu'il a jeté les yeux sur l'abaissement de sa servante. Oui, désormais toutes les générations me diront bienheureuse, parce qu'il a jeté les yeux sur l'abaissement de sa servante. Saint est son nom, et sa miséricorde s'étend d'âge en âge sur ceux qui le craignent. »
Voici ce que je constate à la lecture de ces textes. Le premier, celui de Jacques respire l’humilité, il suffit de lire l’étonnement de Marie qui se pose des questions sur elle-même.
Cet écrit est dans l’esprit de Jésus le Nazaréen.
L’écrit « inspiré » de l’évangile de Luc est tout autre, la vanité ainsi que l’orgueil en ressort car elle se dit elle-même « bienheureuse ». Elle continue par une homélie qui n’a absolument rien à voir avec le contexte de l’action. Cet écrit, soi-disant « inspiré » est loin d’humilité et n’est pas dans l’esprit de Jésus le Nazaréen, Jésus-Christ pour vous.
La transformation de tout ce texte ainsi que cet espèce de prière dite par Marie est un ajout grossier de copistes vaniteux et qui ne peut être une « inspiration Divine ». Je vous invite à lire ce texte de Luc I : 45-55, comme cela vous ne pourrez dire que je suis un médisant.
Après cette remarque je continue l’exposé
Protévangiles de Jacques XII : 3
« Et elle demeura trois mois chez Elisabeth. Et de jour en jour son sein s'arrondissait. Inquiète, elle regagna sa maison et elle se cachait des fils d'Israël. Elle avait seize ans, quand s'accomplirent ces mystères.
XIII : 1-3
----« « Son sixième mois arriva, et voici que Joseph revint des chantiers; il entra dans la maison et s'aperçut qu'elle était enceinte. Et il se frappa le visage et se jeta à terre sur son sac et il pleura amèrement, disant :
---- « Quel front lèverai-je devant le Seigneur -- EL-SADDAÏ -- Dieu ?
Quelle prière lui adresserai-je ?
Je l'ai reçue vierge du Temple du Seigneur --EL-SHADDAÏ -- et je ne l'ai pas gardée.
Qui m'a trahi ?
Qui a commis ce crime sous mon toit ?
Et Joseph se releva de son sac et appela Marie :
« Toi la choyée d’ EL-SHADDAÏ, Dieu, qu'as-tu fait là ? As-tu oublié le Seigneur -- EL-SHADDAÏ -- ton Dieu ? Pourquoi t'es-tu déshonorée, toi qui as été élevée dans le Saint des Saints et as reçu nourriture de la main d'un ange ? »
Et elle pleura amèrement, disant :
« Je suis pure et je ne connais pas d'homme. »
Et Joseph lui dit :
« D'où vient le fruit de ton sein ? »
Et elle répondit :
« Aussi vrai que vit le Seigneur --EL-SHADDAÏ-- mon Dieu, j'ignore d'où il vient. »
Et Joseph, rempli de frayeur, se tint coi, et il se demandait ce qu'il devait faire d'elle.
« Si je garde le secret sur sa faute, se disait-il, je contreviendrai à la loi du Seigneur. Mais si je la dénonce aux fils d'Israël, et que son enfant vienne d'un ange, ce dont j'ai bien peur, alors je livre à la peine capitale un sang innocent. Que ferai-je d'elle ? Je la répudierai en secret. »
La nuit le surprit dans ces réflexions.
Et voici qu'un ange du Seigneur lui apparut en songe, disant :
« Ne t'inquiète pas à propos de cette enfant. Ce qui est en elle vient de l'Esprit Sain. Elle t'enfantera un fils auquel tu donneras le nom de Jésus. Car il sauvera son peuple de ses péchés. »
Joseph se réveilla et glorifia le Dieu d'Israël qui lui avait donné sa grâce. Et il garda la jeune fille.
Lire aussi le chapitre I de Matthieu.
Où est la difficulté pour EL-SHADDAÏ, lui qui connaît le « mystère » de l’alchimie féminine puisque cela est sa création, d’inséminer un spermatozoïde dans l’ovule féminin ?
Aucune ! Et tout ce fait dans l’invisible, l’extrêmement petit !
Aujourd’hui nous dirions que c’est une fécondation « in-vitro » par « mère-porteuse ». Ce que l’humain fait, le Créateur de toutes choses, notre Concepteur, serait-il dans l’incapacité de le faire ?
Serions-nous, nous, plus « dieu » que « Dieu » lui-même comme le nomme les chrétiens ? …
Je vous laisse à votre réflexion !
Portez-vous bien !
Salutations cordiales
Sig : JP.G. dit « GRAND-LOUP » ou « GRANDELOUPO »