Voici les fêtes religieuses chrétiennes de printemps. Alors j’ai voulu savoir ce qui était réel, ce qui était en accord avec le livre sacré des Chrétiens, la « Bible » Ancien et Nouveau Testament.
Vous Lectrices et Lecteurs vous serez étonnés des écrits que je vais poser.
Malheureusement pour cette religion, et quitte à déplaire à ses fanatiques, les faits troublants sont là. Le détournement des actes et pensées de Jésus le Nazaréen, des écrits des Apôtres et Disciples, est flagrant et authentique.
Vous Lectrices, Lecteurs au cœur et à l’esprit et « l’Esprit » sincère combien il est difficile de suivre les actions que nous a commandé EL-SHADDAÏ, et que nous a rappelé, par Paraboles et allégorie, comme la Pâque, son Fils Bien-Aimé Jésus le Nazaréen.
Où est la difficulté pour EL-SHADDAÏ, lui qui connaît le « mystère » de l’alchimie féminine puisque cela est sa création, d’inséminer un spermatozoïde dans l’ovule féminin ?
Aucune ! Et tout ce fait dans l’invisible, l’extrêmement petit !
Aujourd’hui nous dirions que c’est une fécondation « in-vitro » par « mère-porteuse ». Ce que l’humain fait, le Créateur de toutes choses, notre Concepteur, serait-il dans l’incapacité de le faire ?
Serions-nous, nous, plus « dieu » que « Dieu » lui-même comme le nomme les chrétiens ? …
Les femmes en générale mettent au monde un humain dans les douleurs et la souffrance.
Comment se passe l’accouchement de Marie ? …
La Bible ne dit rien sur la naissance de cet enfant, pourtant l’Apôtre Jacques dans son Évangile rejeté par les humains dit :
Je vous pose le texte intégral et si un humain peut me donner une explication à une partie du texte dont je n’ai pas compris la signification, je serai heureux de le lire. En cours de texte je vous ferais mes remarques par rapport aux écris Bibliques et à la Loi hébraïque.
Protévangile de Jacques XVII : 2-3
« Et il sella son âne et la jucha dessus. Son fils tirait la bride et Samuel suivait. Et ils entamaient le troisième mille quand Joseph se retourna et la vit fort rembrunie.
« L'enfant qu'elle porte, pensa-t-il, doit la faire souffrir. »
Il se tourna une nouvelle fois et vit qu'elle riait. Il lui dit :
« Marie, qu'as-tu donc ? Je vois tour à tour joie et tristesse sur ton visage. »
Et elle lui dit :
« Joseph, deux peuples sont sous mes yeux. L'un pleure et se frappe la poitrine, l'autre danse et fait la fête. »
Ils étaient à mi-chemin, quand Marie lui dit :
« Joseph, aide-moi à descendre de l'âne. L'enfant, en moi, me presse et va naître. »
Il lui fit mettre pied à terre et lui dit :
« Où t'emmener? Où abriter ta pudeur ? L'endroit est à découvert. » »
« Mais il trouva là une grotte, l'y conduisit et la confia à la garde de ses fils. Puis il partit chercher une sage-femme juive dans le pays de Bethléem. Il en trouva une qui descendait de la montagne et il l'amena. »
Voici le texte ci-dessous, dont je n’ai pas compris le sens ou la signification. Alors si l’un de mes semblables était éclairé, je le lirai avec plaisir.
« « Or moi, Joseph, je me promenais et ne me promenais pas. Et je levai les yeux vers la voûte du ciel et je la vis immobile, et je regardai en l'air et je le vis figer d'étonnement. Et les oiseaux étaient arrêtés en plein vol. Et j'abaissai mes yeux sur la terre et je vis une écuelle et des ouvriers étendus pour le repas, et leurs mains demeuraient dans l'écuelle. Et ceux qui mâchaient ne mâchaient pas et ceux qui prenaient de la nourriture ne la prenaient pas et ceux qui la portaient à la bouche ne l'y portaient pas. Toutes les faces et tous les yeux étaient levés vers les hauteurs.
Et je vis des moutons que l'on poussait, mais les moutons n'avançaient pas. Et le berger levait la main pour les frapper, et sa main restait en l'air. Et je portai mon regard sur le courant de la rivière et je vis des chevreaux qui effleuraient l'eau de leur museau, mais ne la buvaient pas.
Soudain la vie reprit son cours. » »
C’est ce texte que je ne discerne pas
« « Et je vis une femme qui descendait de la montagne et elle m'interpella :
« Eh, l'homme, où vas-tu ? »
Je répondis :
« Je vais chercher une sage-femme juive.
- Es-tu d'Israël ? me demanda-t-elle encore.
- Oui », lui dis-je.
Elle reprit :
« Et qui est celle qui va enfanter dans la grotte ? »
Et je lui dis : « C'est ma fiancée.
- Elle n'est donc pas ta femme ? » demanda-t-elle.
Et je lui dis :
« C'est Marie, celle qui a été élevée dans le temple du Seigneur. J'ai été désigné pour l'épouser, mais elle n'est pas ma femme, et elle a conçu du Sain-Esprit. »
Et la sage-femme dit :
« Est-ce la vérité ? »
Joseph répondit : « Viens et vois. »
Elle partit avec lui, et ils s'arrêtèrent à l'endroit de la grotte. Une nuée lumineuse couvrait la grotte de son ombre. Et la sage-femme dit :
« Mon âme a été exaltée aujourd'hui car mes yeux ont contemplé des merveilles : le salut est né pour Israël. »
Aussitôt la nuée se retira de la grotte et une grande lumière resplendit à l'intérieur, que nos yeux ne pouvaient supporter. Peu à peu cette lumière s'adoucit pour laisser apparaître un nouveau-né.
Et il vint prendre le sein de Marie sa mère.
La sage-femme s'écria :
« Qu'il est grand pour moi ce jour ! J'ai vu de mes yeux une chose inouïe. » »
Ce passage a pour moi une grande importance. Comme je vous l’écris souvent, pour vous chrétiens, je suis un « Païen. »
Les textes canoniques, « soi-disant d’Inspiration Divine », ne décrivent pas la même scène. Le Disciple Luc dans son Évangile au chapitre II : 21-24 dit :
« Et lorsque furent accomplis les huit jours pour sa circoncision, il fut appelé du nom de Jésus, nom indiqué par l'ange avant sa conception.
Et lorsque furent accomplis les jours pour leur purification, selon la Loi de Moïse, ils l'emmenèrent à Jérusalem pour le présenter au Seigneur, selon qu'il est écrit dans la Loi du Seigneur : Tout garçon premier-né sera consacré au Seigneur, et pour offrir en sacrifice, suivant ce qui est dit dans la Loi du Seigneur, un couple de tourterelles ou deux jeunes colombes. »
Vous constatez par ces écrits que Marie respecte la Loi de Moïse, donc elle est considérée comme impure pendant huit jours et elle ne peut donner le sein pendant cette période à son premier-né. ---Lévitique 2-4 ---
Par contre dans le Protévangile de Jacques, Marie est considérée comme pure, puisqu’elle donne le sein à son enfant après l’accouchement sans douleurs, sans souffrance, sans l’aide d’une sage-femme.
Vous comprenez pourquoi je reste un « Païen », cet écrit apocryphe, que vous chrétiens vous ignorez, moi je le considère comme « Inspiré » car il me prouve la perfection de Marie la Mère de Jésus le Nazaréen, votre Jésus-Christ, elle n’a pas la nécessité d’attendre les sept jours de purification comme dans l’évangile de Luc.
De plus, la vision de Joseph ne peut être inventée par un humain, ce qui confirme une intervention de l’au-delà.
« Et la sage-femme sortant de la grotte, rencontra Salomé et elle lui dit :
« Salomé, Salomé, j'ai une étonnante nouvelle à t'annoncer : une vierge a enfanté, contre la loi de nature. »
Et Salomé répondit :
« Aussi vrai que vit le Seigneur mon Dieu, si je ne mets mon doigt et si je n'examine son corps, je ne croirai jamais que la vierge a enfanté. » »
« Et la sage-femme entra et dit :
« Marie, prépare-toi car ce n'est pas un petit débat qui s'élève à ton sujet. »
A ces mots, Marie se disposa. Et Salomé mit son doigt dans sa nature et poussant un cri, elle dit :
« Malheur à mon impiété et à mon incrédulité ! disait-elle, j'ai tenté le Dieu vivant ! Et voici que ma main se défait, sous l'action d'un feu. »
Et Salomé s'agenouilla devant le Maître, disant :
« Dieu de mes pères, souviens-toi que je suis de la lignée d'Abraham, d'Isaac et de Jacob. Ne m'expose pas au mépris des fils d'Israël, mais rends-moi aux pauvres. Car tu sais, ô Maître, qu'en ton nom je les soignais, recevant de toi seul mon salaire. »
Et voici qu'un ange du Seigneur parut, qui lui dit :
« Salomé, Salomé, le Maître de toute chose a entendu ta prière. Approche ta main de l’enfant et prends-le dans tes bras et il sera pour toi salut et joie. »
Et Salomé, toute émue, s'approcha de l'enfant, le prit dans ses bras, disant :
« Je l'adorerai. Il est né un roi en Israël et c'est lui. »
Aussitôt Salomé fut guérie, et elle sortit de la grotte, justifiée. Et voici qu'une voix parla
« Salomé, Salomé, n'ébruite pas les merveilles que tu as contemplées, avant que l'enfant ne soit entré à Jérusalem. » »
XXI : 1
Alors que Joseph se préparait à partir pour la Judée une vive agitation éclata à Bethléem de Judée.
Les mages arrivèrent, disant :
« Où est le roi des Juifs ? Nous avons vu son étoile en Orient, nous sommes venus l'adorer. »
Et le Protévangile de Jacques se termine ainsi.
« Et moi, Jacques, qui ai écrit cette histoire à Jérusalem, je résolus, lors des troubles qui éclatèrent à la mort d'Hérode, de me retirer au désert, jusqu'à ce que la paix fût revenue à Jérusalem. Et je glorifierai le Maître qui m'a donné la sagesse d'écrire cette histoire. »
Maintenant retournons à la signification de la scène.
Des écrits, ceux là sont vraiment d’ « Inspiration Divine », nous donnent la perfection de Marie en matière corps, mais aussi en spectral, en Esprit. Par ce fait, nous pouvons certifier la perfection de Jésus le Nazaréen, Jésus-Christ pour vous chrétiens, à sa naissance, car façonné par et dans un corps humain parfait.
L’équivalence d’Adam et Ève en temps que matière humaine était née sur la Terre.
La vie de Jésus le Nazaréen fut parfaite et comme je vous l’ai déjà écrit, il nous a prouvé que nous pouvions résister aux avances de SAMMAËL qui est pourtant le Prince, le Roi de la Terre et de ses environs.
C’est son Royaume pour le moment !
« Le petit bétail » du sacrifice était près, pas une tare, comme la tare de l’imperfection à la naissance, sain et sans tache.
Le prochain chapitre sera le dernier sur la « Cène »
En attendant prenez soins de vous et portez-vous bien
Salutations cordiales à Tous !
Sig : JP.G. dit « GRAND-LOUP » ou « GRANDELOUPO »