posté le 21-09-2014 à 01:56:42

Déchéance d'une ...Chap. N° 8 - Enseignements primitifs des ...

 

Clément de Rome

 

 

Première Religion Mondiale le CHRISTIANISME

 

« N’appeler personne « Père » sur la Terre, car un seul est votre « Père » celui qui est dans les cieux. » ( Épître des Apôtres IV :1, Matthieu XXIII : 9 )

Alors pourquoi un « Très Saint Père = le Pape », pourquoi nommé un prélat « mon Père » ?

« Notre Père qui est aux cieux  », cela fait bien partie de la prière la plus importante de toute la chrétienté !

« Que ton Nom soit sanctifié », ton nom ce n’est pas ce nom vulgaire « Dieu » car « Dieu » il en existe des milliers, donc que « ton NOM » comme EL-SHADDAÏ qui signifie Dieu-SHADDAÏ, mais encore « Dieu au-dessus des Montagnes », cela est un « NOM » comme Très-Haut, Tout-Puissant, Roi des Âges, Éternel, Yahvé, etc.

Ce Nom est un nom « Saint » voilà pourquoi il est sanctifier qui signifie vénérer, adorer, glorifier et ce nom ce n’est pas celui de son fils, mais bien le sien à lui, le Dieu seul et unique !

Je viens en une ligne de la Bible, vous démontrer l’erreur du christianisme d’aujourd’hui, et sa déchéance.

Alors voici son histoire et votre liberté d’action car chaque humain est responsable de lui et c’est seul qu’il affrontera le Jugement du Père.

 

Histoire et déchéance de cette Religion

 

Dernières lignes du chapitre précédent :

 

Voici la preuve irréfutable de ce que j’écris.

Les Épitres ou Lettres de Saül de Tarse dit Paul considérées comme étant écrit par lui.

Première épître aux Thessaloniciens, épître aux Galates, à Philémon, aux Philippiens, aux Romains, première et seconde épître aux Corinthiens.

Épitre aux Colossiens, la ville n’existait plus au moment de sa rédaction.

Épitre aux Éphésiens est une réécriture de l’épitre aux Colossiens.

Deuxième épitre aux Thessaloniciens le doute plane à cinquante pourcent.

Pour les trois autres Lettres, deux à Timothée et l’autre à Tite, elles furent écrites par les successeurs de Paul, voilà pourquoi elles portent le nom de « Pastorales.»

Tout ce que je viens d’écrire est, aujourd’hui, certifié authentique.

 

Chapitre N° 8

 

L’Enseignement primitif des Nazôréens nommés plus tard  « Chrétiens »

Les humains responsables de la mouvance des « Nazôréens » du deuxième siècle sont nommés « Évêque ». Certains de ceux-ci sont très érudits et écrivent des lettres aux autres évêchés des villes éloignés pour s’encourager et se reprendre sur les enseignements de Jésus le Nazaréen ainsi que sur les Lois de son Père EL-SHADDAÏ.

Voici quelques exemples : Lettres de Polycarpe aux Philippiens.

« II, 1. Aussi, ceignez vos reins et servez EL-SHADDAÏ dans la crainte et la vérité, laissant de côté les bavardages vides, et l’erreur de la foule, croyant en celui qui a ressuscité notre Seigneur Jésus le Nazôréen ( Jésus-Christ ) d’entre les morts, et lui a donné la gloire et un trône à sa droite. A lui tout est soumis, au ciel et sur la terre. À lui obéit tout ce qui respire, il viendra juger les vivants et les morts, et EL-SHADDAÏ demandera compte de son sang à ceux qui refusent de croire en lui.

2. Celui qui l’a ressuscité d’entre les morts, nous ressuscitera aussi, si nous faisons sa volonté et si nous marchons selon ses commandements, et si nous aimons ce qu’il a aimé, nous abstenant de toute injustice, cupidité, amour de l’argent, médisance, faux témoignage, ne rendant pas mal pour mal, malédiction pour malédiction,

3. nous souvenant des enseignements du Seigneur Jésus le Nazôréen qui dit : « Ne jugez pas pour ne pas être jugés, pardonnez et l’on vous pardonnera, faites miséricorde pour recevoir miséricorde. La mesure avec laquelle vous mesurerez servira aussi pour vous et bienheureux les pauvres et ceux qui sont persécutés pour la justice, car le royaume d’EL-SHADDAÏ est à eux. »

Dans cette lettre vous remarquerez que Polycarpe (69 ou89 décédé en 155 ou 167) met le Père de Jésus le Nazaréen en premier. Il fait bien la différence entre la puissance du Père, EL-SHADDAÏ, et du Fils, Jésus le Nazôréen, faisant remarquer que c’est le Père qui a ressuscité d’entre les morts, le Fils et que c’est Lui, EL-SHADDAÏ, qui lui a donné gloire et un Trône à sa droite.

Polycarpe souligne bien que c’est EL-SHADDAÏ qui nous ressuscitera si nous faisons sa volonté à Lui et si nous aimons ce et ceux qu’il aime en particulier, son Fils.

Ignace d’Antioche (35 – 113) aux Smyrniotes

« VIII, 1. Suivez tous l'évêque, comme Jésus le Nazôréen  (Jésus-Christ) suit son Père, et le presbyterium comme les Apôtres ; quant aux diacres, respectez-les comme la loi d’EL-SHADDAÏ

XI, 1. Votre prière est allée vers l'Église qui est à Antioche de Syrie. C'est de là que je suis parti enchaîné de chaînes très précieuses à EL-SHADDAÏ, et je vous salue tous. Je ne suis pas digne d'être de cette Église, étant le dernier d'entre eux. Mais selon la volonté d’EL-SHADDAÏ, j'en ai été jugé digne, non d'après le jugement de ma conscience, mais par la grâce d’EL-SHADDAÏ, je souhaite qu'elle me soit donnée entière, pour qu'avec votre prière je puisse obtenir EL-SHADDAÏ.

 2. Afin donc que votre œuvre soit parfaite et sur terre et dans le ciel, il convient que, à l'honneur d’EL-SHADDAÏ, votre Église élise un envoyé d’EL-SHADDAÏ pour aller jusqu'en Syrie se réjouir avec eux de ce qu'ils possèdent la paix et ont retrouvé leur grandeur, et de ce que leur corps a été rétabli. »

Comme vous venez de le lire, et que vous allez continuer de lire, ces lettres sont considérées comme authentiques, il est parlé d’EL-SHADDAÏ comme Jésus le Nazôréen l’a enseigné et non de lui. Volonté, grâce, prière, honneur, envoyé tout cela est pour et avec EL-SHADDAÏ et non  Jésus le Nazôréen (Jésus-Christ).

Vous comprenez pourquoi les autorités religieuses de l’époque ont évincé ces lettres !

Alors continuons l’écriture pour votre lecture !

Épitre de Barnabé II : 1-6

 « 1. Puisque les jours sont mauvais, que l'ennemi est à l'œuvre et qu'il en a reçu le pouvoir, il nous faut veiller sur nous-mêmes et rechercher les commandements du Seigneur EL-SHADDAÏ.

2. Or, la foi est secourue par la crainte et la patience, nos alliées sont la longanimité et la tempérance.

[ Tite I : 1-4 

« Paul, serviteur d’EL-SHADDAÏ, Disciple de Jésus le Nazôréen pour amener les élus d’EL-SHADDAÏ à la foi et à la connaissance de la vérité ordonnée à la piété, dans l'espérance de la vie éternelle promise avant tous les siècles par le Dieu qui ne ment pas et qui, aux temps marqués, a manifesté sa parole par une proclamation dont un ordre, confier la charge à Tite mon véritable enfant en notre foi commune, grâce et paix de par EL-SHADDAÏ le Père et le Messie Jésus notre Sauveur. »

Je me suis permis de supprimer la partie tronquée d’un des versets afin que la lecture soit plus juste et plus agréable dans la compréhension. En effet ce verset tronqué mettait Jésus le Nazôréen, votre Jésus-Christ comme un Dieu et cela ne peut être possible. --- partie manquante : « Dieu notre Sauveur » ]

3. Lorsque ces vertus demeurent sans atteinte devant EL-SHADDAÏ, la sagesse, l'intelligence, la science et la connaissance viennent leur tenir compagnie dans la joie.

[ Tite III : 4-7,-- Dans ces versets 4 à 7 je me suis permis de supprimer le mot Dieu devant « notre Sauveur » car Jésus le Nazaréen n’est pas un Dieu puisqu’il a eut un commencement et qu’il peut avoir une fin par la volonté de son Père géniteur. L’Esprit-Saint n’existant pas il est question ici du « Souffle d’Intelligence » que reçurent les Apôtres à le Pentecôte.--

«  Mais le jour où apparurent la bonté d’EL-SHADDAÏ notre sauveur et son amour pour les hommes, il ne s'est pas occupé des œuvres de justice que nous avions pu accomplir, mais, poussé par sa seule miséricorde, il nous a sauvés par le bain de la régénération et de la rénovation en Souffle d’Intelligence.

Et ce Souffle, EL-SHADDAÏ l'a répandu sur nous à profusion, par Jésus le Nazôréen notre Sauveur, afin que nous obtenions en espérance l'héritage de la vie éternelle. »

Comme vous pouvez le constater la lecture est plus adaptée pour une bonne compréhension du texte et cet ajout « justifiés par la grâce du Messie, » n’a pas lieu d’être

Épître de Clément de Rome aux Corinthiens XXXV : 1-12 et XXXVI : 1-6

« 1. Qu'ils sont riches et merveilleux les dons d’EL-SHADDAÏ mes bien-aimés !

 2. La vie dans l'immortalité, la splendeur dans la justice, la vérité dans la liberté, la foi dans la confiance, la continence dans la chasteté, et ceux-là sont dès maintenant à la portée de notre intelligence.

 3. Quels sont donc les biens préparés pour ceux qui l'attendent ? C'est le Créateur, le père éternel, le très saint qui en sait le nombre et la splendeur.

4. Luttons donc pour obtenir d'être au nombre de ceux qui l'attendent, afin d'avoir part aux biens promis.

 5. Et comment y parvenir, bien-aimés ? En attachant à EL-SHADDAÏ notre âme de toute notre foi, en recherchant ce qui lui plaît, ce qui lui est agréable, en accomplissant ce qui convient à sa sainte volonté, en suivant la voie de la vérité, en rejetant toute injustice, toute méchanceté, l'ambition, les querelles, la malignité et les ruses, les murmures et les médisances, la haine d’EL-SHADDAÏ, l'orgueil et la jactance, la vanité, et la porte close aux étrangers.

6. Car ceux qui accomplissent ces choses sont haïs d’EL-SHADDAÏ, et non seulement ceux qui les accomplissent, mais encore ceux qui les approuvent.

7. L'Écriture dit en effet : « L'impie, EL-SHADDAÏ lui dit : « Que viens-tu réciter mes commandements, qu'as-tu mon alliance à la bouche, 8. toi qui détestes la règle et rejettes mes paroles derrière toi ? Voyais-tu un voleur, tu courais avec lui ; et parmi les adultères, tu étais de chez eux. Ta bouche, tu l'emplissais de malice, et de ta langue tu tramais la tromperie. Tu t'asseyais et tu médisais de ton père, tu livrais au scandale le fils de ta mère.

9. Voici ce que tu as fait et je me suis tu ; et tu as pensé, fou que tu es, que je te suis semblable.

10. Je vais te confondre, et t'obliger à te regarder en face.

11. Comprenez bien, vous tous qui oubliez EL-SHADDAÏ, de peur que je ne vous emporte comme un lion et que personne ne soit là pour vous délivrer.

12. Le sacrifice d'action de grâces, voilà ce qui me glorifie, et c'est là le chemin où je vous montrerai le salut d’EL-SHADDAÏ. » » --voir Psaume IXL : 16-23

 XXXVI, 1. Telle est la voie, bien-aimés, où nous trouverons notre salut, Jésus-Christ, le grand prêtre qui présente nos offrandes, le défenseur et le secours de notre faiblesse.

2. Par lui nos regards peuvent fixer le plus haut des cieux, en lui nous voyons le reflet de la face pure et majestueuse d’EL-SHADDAÏ, par lui se sont ouverts les yeux de notre cœur, par lui notre intelligence obtuse et obscurcie s'épanouit dans la lumière, par lui le Maître a voulu nous faire goûter à la connaissance immortelle :

« Resplendissement de la gloire du Père, il est d'autant supérieur aux anges que le nom qu'il a reçu en héritage est incomparable au leur. » -- voir Épître aux Hébreu I : 3-4.

3. Il est écrit en effet : « Il fait des vents ses anges, et des flammes du feu ses serviteurs » -- voir Psaume CIII : 4.

 4. Mais au sujet de son Fils voici ce que dit le Maître :

« Tu es mon fils, je t'ai engendré aujourd'hui : demande et je te donnerai les nations pour héritage, pour domaine les extrémités de la terre. » -- voir Psaume II : 7-8.

 5. Et encore :

 « Siège à ma droite car de tes ennemis je vais faire ton marchepied. » -- voir Psaume CIX : 1.

6. Or, quels sont ces ennemis ? Les méchants qui s'opposent à la volonté d’EL-SHADDAÏ. »

Reconnaissez que ces Écrits de Clément de Rome sont d’une justesse dans l’épreuve et qu’ils s’adressent aussi à nous humains du XXIème siècle. Rien à voir avec les enseignements de vos dirigeants chrétiens. Et encore une fois EL-SHADDAÏ est bien l’unique Dieu, mais Jésus le Nazaréen est considéré comme notre assesseur.

Je viens de vous poser quelques phrases de Lettres considérées comme apocryphes par vos Dirigeants chrétiens. Dans un sens je les comprends un peu, car ces « écrits » mettent EL-SHADDAÏ --- Dieu pour vous --- en avant le considérant comme le seul et unique Dieu. Jésus le Nazaréen ne suivant que les volontés de son Père. Ces textes en aucun cas ne renient la Royauté de Jésus le Nazaréen dans les Cieux comme sur la Terre.

Être Roi n’est pas être « Dieu » !

Mais en plus, tous ces écrits suivent les Lois et Préceptes d’EL-SHADDAÏ, ainsi que tous les enseignements de Jésus le Nazaréen.

J’aurai bien l’occasion de vous poser encore quelques textes de ces écrits évincés du Canon biblique par des humains imparfaits.

Ces écrits ci-dessus sont des textes écrits par ceux que l’on nomme les « Pères Apostoliques »

Après ces humains, suivent les « Pères de l’Église ».

La déformation des écrits originels commencent.

La suite de ces écritures dans quelques jours.

En attendant portez-vous bien et prenez soins de votre maisonnée, mettant en pratique les Enseignements de Jésus le Nazaréen et les Lois de son Père EL-SHADDAÏ, étant en accord avec votre conscience au moment du repos nocturne.

Salutations cordiales pour tous !

Sig : JP.G dit « GRANDELOUPO »

 


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posté le 15-09-2014 à 08:08:29

Déchéance d'une ...Chap. N° 7 - Conciles, Trinité, Épîtres

 

Représentation de la « Sainte Trinité »

 

Première Religion Mondiale le CHRISTIANISME

 

« N’appeler personne « Père » sur la Terre, car un seul est votre « Père » celui qui est dans les cieux. » ( Épître des Apôtres IV :1, Matthieu XXIII : 9 )

Alors pourquoi un « Très Saint Père = le Pape », pourquoi nommé un prélat « mon Père » ?

« Notre Père qui est aux cieux … », cela fait bien partie de la prière la plus importante de toute la chrétienté !

« Que ton Nom soit sanctifié… », ton nom ce n’est pas ce nom vulgaire « Dieu » car « Dieu » il en existe des milliers, donc que « ton NOM » comme EL-SHADDAÏ qui signifie Dieu-SHADDAÏ, mais encore « Dieu au-dessus des Montagnes », cela est un « NOM » comme Très-Haut, Tout-Puissant, Roi des Âges, Éternel, Yahvé, etc.

Ce Nom est un nom « Saint » voilà pourquoi il est sanctifier qui signifie vénérer, adorer, glorifier et ce nom ce n’est pas celui de son fils, mais bien le sien à lui, le Dieu seul et unique !

Je viens en une ligne de la Bible, vous démontrer l’erreur du christianisme d’aujourd’hui, et sa déchéance.

Alors voici son histoire et votre liberté d’action car chaque humain est responsable de lui et c’est seul qu’il affrontera le Jugement du Père.

 

Histoire et déchéance de cette Religion

 

Dernières lignes du chapitre précédent

 

Jean VIII : 28 - 29, 42, 54

« Jésus leur dit donc : « Quand vous aurez élevé le Fils de l'homme, alors vous saurez qui je suis et que je ne fais rien de moi-même, mais je dis ce que le Père m'a enseigné, et celui qui m'a envoyé est avec moi. Il ne m'a pas laissé seul, parce que je fais toujours ce qui lui plaît. »

Jésus leur dit : « Si EL-SHADDAÏ  était votre Père, vous m'aimeriez, car c'est d’EL-SHADDAÏ que je suis sorti et que je viens. Je ne viens pas de moi-même, mais mon Père EL-SHADDAÏ m'a envoyé. »

Jésus répondit :

« Si je me glorifie moi-même, ma gloire n'est rien.

C’est mon Père EL-SHADDAÏ qui me glorifie, lui dont vous dites : «Il est notre Dieu», et vous ne le connaissez pas. Mais moi, je le connais et si je disais : « Je ne le connais pas », je serais semblable à vous, un menteur. Mais je le connais et je garde sa parole. »

 

Chapitre N° 7

 

Conciles, Trinité, Épîtres

 

Le seul endroit dans la Bible où avec malice nous pourrions supposer, supputer une « Trinité » est dans l’évangile de Matthieu 28 : 18-20

« S'avançant, Jésus leur dit ces paroles :

« Tout pouvoir m'a été donné au ciel et sur la terre.

Allez donc, de toutes les nations faites des disciples, les baptisant au nom du Père et du Fils et du Saint Esprit, et leur apprenant à observer tout ce que je vous ai prescrit. »

Les exégètes modernes affirment sans être démenti par le Vatican que « Fils et Saint-Esprit » sont des ajouts de ce verset et que l’original est « les baptisant au nom de mon Père et leur apprenant … »

En second, si Jésus le Nazôréen avait réellement dit cela, il se mettait à égalité avec son Père, faisant preuve d’orgueil, de vanité, donnant raison à l’ennemi juré de son Père, Sammaël, Satan pour vous chrétiens, et supprimant la prérogative du « Dieu Unique ».

Comme vous le voyez il est impossible que Jésus le Nazaréen, votre Jésus-Christ, ait pu prononcer ces paroles, la logique est trop évidente, et reconnaissez, combien par mon raisonnement, je suis dans la vérité et les exégètes aussi.

Je reviens au christianisme primitif.

Adoption du « Symbole de Nicée. » qui porte aussi le nom pompeux de « Symbole des Apôtres » est un « kérygme » auquel il sera donné le nom de « Credo ».

Adoption de la consubstantialité du Père et du Fils. --- « consubstantialité » ce mot introduit à ce Concile veut parler de la substance dont est fait le Père EL-SHADDAÏ et le Fils Jésus le Nazaréen.

Ce problème né d’humains est toujours au cœur des questions christologiques, même aujourd’hui, mais ne doit pas être confondu avec le problème du « filioque » d’où vient la scission des Églises d’Orient et d’Occident. De tout cela, j’écrirai par la suite.

Problème qui ne devrait pas exister, puisque le Fils ayant été engendré, il est obligatoirement de la même substance que son Père, avec un mélange mâle-femelle égalitaire sans être androgyne. Quant à la partie terrestre il est pour une partie charnelle-céleste et pour l’autre moitié, la partie de sa mère terrestre Marie. Comme tout être humain qui nait, ce Fils à un ADN pour moitié de son Père Céleste et pour moitié un ADN de sa mère terrestre, Marie, voilà pourquoi j’aurai aimé connaître son ADN.

Cela explique aussi la puissance de guérison qu’il avait sur la Terre et pourquoi il pouvait vaincre la mort.

Nous pouvons imaginer que, s’il n’avait pas été exécuté par les humains il aurait pu vivre indéfiniment, le vieillissement des cellules du corps n’ayant pas de prise sur Lui.

Cette explication cloue le bec à tous ceux, surtout dans le monde protestant, qui lui attribue des enfants. Si cela avait été le cas ceux-ci auraient été des géants.

Je reviens au « Symboles de Nicée-Constantinople » ou « Symbole des Apôtres » en 381 de J-C. Les Évêques décidèrent, et en vérité ils décrétèrent :

Fixation de la date de Pâques.

Adoption de l'ordre des sièges patriarcaux Rome, Alexandrie, Antioche et Jérusalem.

Mais le terme « Trinité » et « Sainte Trinité » ne sera débattue, …

Ni au premier Concile de Constantinople en 381 contre la négation de la divinité du Saint-Esprit et contre les Ariens.

Adoptions de la consubstantialité de l'Esprit-Saint avec le Père et le Fils, du « Symbole de Nicée-Constantinople » qui est une confirmation du « Credo ». Attribue le deuxième rang au siège patriarcal de Constantinople, reléguant Alexandrie au troisième rang.

A ce Concile vous constaterez que « l’Esprit » devient substance, donc matière, cela permet de le considérer comme un « Dieu », comme EL-SHADDAÏ qui est matière, puisqu’il est substance, tout comme son Fils, Jésus le Nazaréen, Jésus-Christ pour vous chrétiens, car celui-ci fut engendré et non créé, et de déclarer  cet « Esprit » « Saint », qui signifie sanctifier, vénérer, adorer, glorifier mais sûrement pas parfait, propre, sans tache, sinon « l’Esprit » aurait été orthographié comme ceci,  « SAIN »

Ni au Concile de Chalcédoine en 451 de EC qui condamne la doctrine d'Eutychès selon lequel le Christ n'aurait qu'une seule nature, Divine, la nature humaine étant en quelque sorte absorbée par la nature divine, doctrine dite des Monophysites.

Au contraire, le Concile affirme ses deux natures, divine et humaine en l'unique personne de Jésus-Christ.

Adoptions du Symbole de Chalcédoine et de la Discipline des Sacrements.

Il ne faut pas oublier qu’en 431 de J-C. il y eu le premier « Concile d’Éphèse » un petit concile où les humains proclamèrent Marie, la mère de Jésus le Nazaréen, « Mère de Dieu » et condamnèrent les idées de Nestorius, mais ils proclamèrent aussi « l’Unité de Personne en Jésus-Christ ».

Comme il se doit, adoption du Symbole d’Éphèse.

Athanase d’Alexandrie essaya dans ces écrits de faire adopter que Jésus le Nazaréen, Jésus-Christ pour la chrétienté, était Dieu lui-même, il dit :

« L'homme ne serait pas sauvé si le Christ n'était pas pleinement Dieu ».

Au Concile de Chalcédoine les Évêques abordèrent le terme de la « Trinité » sans rendre officiel ce dogme « Trinitaire ». Il faudra attendre le Concile de Constantinople II en 553 de J-C. pour que la question soit définitivement tranchée.

Comme l’on peut déjà se rendre à l’évidence des écrits, le Père Créateur ne compte plus, mais l’on prend son Fils pour un Dieu afin de se démarquer définitivement de la religion hébraïque, en trouvant un égal à ce Dieu.

Cependant, les notions qui constituent la doctrine trinitaire ne sont pas contenues dans les Écritures. À ce sujet, Claude Tresmontant précise :

« Si, comme c'est le cas dans tous les écrits du Nouveau Testament — sans exception — le terme « fils » désigne Jésus de Nazareth pris concrètement, c'est-à-dire l'Homme véritable uni à Dieu véritable, alors, comme c'est le cas aussi dans tous les écrits du Nouveau Testament, le terme « père » signifie et désigne Dieu, purement et simplement. Dieu est le père de tous les êtres, parce qu'il est le Créateur. »

Dans son Dictionnaire universel, Maurice Lachâtre écrit:

« La trinité platonique, qui ne fut elle-même au fond qu’une sorte d’arrangement, de disposition nouvelle, des trinités plus anciennes des peuples qui avaient précédé, nous paraît bien être la trinité philosophique, rationnelle, c’est-à-dire la trinité d’attributs qui a donné naissance à la triplicité d’hypostases ou de personnes divines des Églises chrétiennes (...). Cette conception de la Trinité divine du philosophe grec Platon, IVème siècle av.EC. se trouve partout dans les anciennes religions[.]»

J’ai constaté que les Évêques théologiens chrétiens des quatre premiers siècles se sont donné beaucoup de mal pour faire accepter à leurs ouailles cette « Trinité » que j’appellerai moi une « Trimurti » comme dans la religion hindoue, mais il ne faut pas oublier que peu de gens dans la population savait lire et que l’enseignement était surtout oral. 

Selon l' Encyclopedia Britannica, « Ni le mot Trinité, ni la doctrine explicite de la Trinité n'apparaissent dans le Nouveau Testament. Jésus et ses disciples n'avaient pas l'intention de contredire le Shema de l'Ancien Testament, savoir : « Écoute, Israël ! L’Éternel, ton Dieu, est Un. » - Deutéronome VI : 4

{ Le Shema Israël s'insère selon la Bible dans un long sermon prodigué par Moïse aux enfants d'Israël peu avant sa mort. Énoncé après la seconde version du Décalogue, il constitue le fondement du message mosaïque : le Dieu d'Israël est Un et il n'y en a pas d'autre.}

La chrétienté a bien pris comme « DIEU » le Dieu d’Israël !

L’Ancien Testament fait bien partie de ses Livres Sacrés à égalité avec le Nouveau Testament ?

Donc nous avons la certitude que le Dieu « DIEU » des chrétiens, EL-SHADDAÏ pour moi, est bien seul et unique puisque c’est le même Dieu que les hébreux !

Chercher l’erreur avec cette « Sainte trinité » ! … !

La Bible a aucun moment ne parle de « Trinité », mais il ne faut pas oublier que les copistes de ce livre ce sont livrés à des suppressions de mots, de phrases, de tournure de phrase, mais aussi à des ajouts tel que : « Au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit. »

Avec de tels ajouts il n’est plus difficile d’inventer une « Trinité » 

Maintenant reculons d’un petit siècle, c’est-à-dire vers l’an 100 de J-C.

Il y a beaucoup de Lettres ou Épîtres en circulation, mais l’enseignement oral prime. Je réitère les Apôtres et premiers Disciples de Jésus le Nazaréen sont hébreux, cela est confirmé historiquement par de multiples écrits.

Eusèbe de Césarée confirme ce fait par l’intermédiaire de Papias d’Hiérapolis, même s’il n’avait pas grande affection pour cet humain.

Vers la fin du premier siècle les Apôtres et Disciples enseignent les Lois d’EL-SHADDAÏ de l’Ancien Testament et les Enseignements de Jésus le Nazaréen, le Nouveau Testament n’étant pas encore écrits.

Les Apôtres Pierre, Jean, Thomas, Jude, André, Philippe et quelques autres ne prenaient que très rarement le titre d’Apôtres, se faisant nommer plus facilement sous le titre de « Presbytre ou Évêque » qui signifie « Ancien ou Maître »

L’Apôtre Jean est encore vivant puisqu’il se reposera définitivement en l’an 101 ou 102 de J-C. à Éphèse.

Donc à la fin du premier siècle et au début du second tous ces humains comme Papias de Hiérapolis, Polycarpe de Smyrne, Ignace d’Antioche, Clément de Rome, Hermas dit le « Pasteur », et bien d’autres, sont disciples des Apôtres, voir disciples des premiers Disciples de Jésus le Nazaréen comme Évode d’Antioche.

Comme tous ces humains sont en majorités juif, le sionisme existait déjà, leurs écrits furent rejetés, au moment du choix des livres, Lettres et Épîtres pour former le premier « Canon » officiel. Pourtant ces Lettres et Épîtres, pour certaines faisaient parties intégrantes du Codex Sinaïticus.

L’enseignement de ces Disciples était le rappel des paroles de Jésus le Nazaréen telles qu’elles furent répétées par les Apôtres. Lettres et Épîtres furent déclarées apocryphes, pourtant ayant une véritable authenticité historique, par des humains imparfaits, qui pour moi ont autant de valeur, voire plus, surtout que l’on sait aujourd’hui que seulement la moitié des Lettres et Épîtres de Paul sont authentiques.

Il existe aussi ce Codex du VIème siècle

Le Codex Claromontanus, dénommé ainsi par Théodore de Bèze qui l'acheta dans un monastère à Clermont-en-Beauvaisis dans l'Oise, est un manuscrit du VIe siècle, bilingue, grec et latin, contenant les épîtres de Paul. On y trouve également un catalogue stichométrique de l'Ancien et du Nouveau Testament.

Il serait la reproduction d'une liste de Livres Saints datant du IIIe siècle.

Ce sont les six ouvrages repris à la fin de la liste qui en font son originalité : l'Épître de Barnabé, l'Apocalypse de Jean, les Actes des Apôtres, le Pasteur d’Hermas, les Actes de Paul, l'Apocalypse de Pierre

Inclure des livres apocryphes tels que les Actes de Paul, le Pasteur d’Hermas ou encore l’Épître de Barnabé démontre que ces œuvres jouissaient d’une grande notoriété.

Voici la preuve irréfutable de ce que j’écris.

Les Épitres ou Lettres de Saül de Tarse dit Paul considérées comme étant écrit par lui.

Première épître aux Thessaloniciens, épître aux Galates, à Philémon, aux Philippiens, aux Romains, première et seconde épître aux Corinthiens.

Épître aux Colossiens, la ville n’existait plus au moment de sa rédaction.

Épître aux Éphésiens est une réécriture de l’épître aux Colossiens.

Deuxième épître aux Thessaloniciens le doute plane à cinquante pourcent.

Pour les trois autres Lettres, deux à Timothée et l’autre à Tite, elles furent écrites par les successeurs de Paul, voilà pourquoi elles portent le nom de « Pastorales.»

Tout ce que je viens d’écrire est, aujourd’hui, certifié authentique.

En attendant les prochains « Écrits » ou « Textes », vous laissant à votre réflexion, raisonnement, jugement personnel, portez-vous bien !

Prenez soins de vous et de votre maisonnée !

Salutations cordiales !

Sig : JP.G. dit « GRAND-LOUP » ou « GRANDELOUPO »

 


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posté le 07-09-2014 à 14:37:44

Déchéance d'une ...Chap. N°6 - Aberration du Crédo

 

 

 

Première Religion Mondiale le CHRISTIANISME

 

« N’appeler personne « Père » sur la Terre, car un seul est votre « Père » celui qui est dans les cieux. » ( Épître des Apôtres IV : 1, Matthieu XXIII : 9 )

Alors pourquoi un « Très Saint Père = le Pape », pourquoi nommé un prélat « mon Père » ?

« Notre Père qui est aux cieux », cela fait bien partie de la prière la plus importante de toute la chrétienté !

« Que ton Nom soit sanctifié… », ton nom ce n’est pas ce nom vulgaire « Dieu » car « Dieu » il en existe des milliers, donc que « ton NOM » comme EL-SHADDAÏ qui signifie Dieu-SHADDAÏ, mais encore « Dieu au-dessus des Montagnes », cela est un « NOM » comme Très-Haut, Tout-Puissant, Roi des Âges, Éternel, Yahvé, etc.

Ce Nom est un nom « Saint » voilà pourquoi il est sanctifier qui signifie vénérer, adorer, glorifier et ce nom ce n’est pas celui de son fils, mais bien le sien à lui, le Dieu seul et unique !

Je viens en une ligne de la Bible, vous démontrer l’erreur du christianisme d’aujourd’hui, et sa déchéance.

Alors voici son histoire et votre liberté d’action car chaque humain est responsable de lui et c’est seul qu’il affrontera le Jugement du Père.

 

Histoire et déchéance de cette Religion

 

Dernières lignes du précédent chapitre

 

Vous constaterez la contradiction de ce « Crédo », qui commence par un « Dieu seul et unique » et deux lignes plus loin, vous donne un second Dieu Jésus-Christ.

Aucun textes Bibliques, je dis bien aucun Écrits Bibliques ne stipule que Jésus-Christ est un DIEU. Du premier chapitre, premier versets au dernier chapitre, dernier verset du Nouveau Testament il n’est écrit, même supposé, que Jésus-Christ, Jésus le Nazôréen pour moi, est un Dieu égal à son Père, engendré du vrai Dieu EL-SHADDAÏ cela est une affirmation, la seule exactitude de ce « Credo ».

Le Symbole de Nicée, tel qu'il est utilisé dans la liturgie Catholique, est le résultat d'une modification opérée lors du concile de Tolède en 589, le Saint-Esprit est dit procéder du Père « et du Fils », ce qui est la source de la querelle dite du filioque et constitue l'une des causes majeures du schisme entre l'Église Orthodoxe et l'Église Catholique, la première refusant cette innovation, qu'elle juge contraire à la Foi des Pères.

 

Chapitre N° 6

 

Aberration du Credo

 

La traduction officielle utilisée dans la liturgie catholique est la suivante :

« Je crois en un seul Dieu, le Père tout-puissant, créateur du ciel et de la terre, de l'univers visible et invisible.

 Je crois en un seul Seigneur, Jésus-Christ, le Fils unique de Dieu, né du Père avant tous les siècles.

Il est Dieu, né de Dieu, lumière, née de la lumière, vrai Dieu, né du vrai Dieu.

Engendré, non pas créé, de même nature que le Père ( même si la traduction « consubstantiel au Père » serait plus pertinente ), et par lui tout a été fait. Pour nous les hommes, et pour notre salut, il descendit du ciel.

Par l'Esprit-Saint, il a pris chair de la Vierge Marie, et s'est fait homme.

Crucifié pour nous sous Ponce Pilate, il souffrit sa passion et fut mis au tombeau.

Il ressuscita le troisième jour, conformément aux Écritures, et il monta au ciel.

Il est assis à la droite du Père.

Il reviendra dans la gloire, pour juger les vivants et les morts ; et son règne n'aura pas de fin.

Je crois en l'Esprit Saint, qui est Seigneur et qui donne la vie.

Il procède du Père et du Fils.

Avec le Père et le Fils, il reçoit même adoration et même gloire.

Il a parlé par les prophètes.

Je crois en l'Église, une, sainte, catholique et apostolique.

Je reconnais un seul baptême pour le pardon des péchés.

J'attends la résurrection des morts, et la vie du monde à venir.

Amen. »

Je crois en Dieu, en son fils Jésus-Christ, à la bienheureuse Marie toujours vierge et au Saint-Esprit, voilà en résumé le « credo » qui est le dogme central de la foi de la chrétienté.

Vous venez de lire le « Credo » de l’an 325, puis celui de l’an 381 qui sera le définitif. La gente des Prélats du christianisme catholique et orthodoxe doivent lire tous les jours ce « Credo », même aujourd’hui et peut-être certaines factions du protestantisme.

Vous constaterez comme moi, que ce texte du « Credo », inventé par l’humain n’a rien de biblique et encore moins « d’inspiration divine ». Tout est écrit, les dogmes et leurs contraires.

Vous, mes semblables chrétiens, possédez un cerveau pour la réflexion, le raisonnement, comme moi le « PAÏEN de Grandeloupo ». Même si vous jouissez de la foi, cela ne signifie en aucun cas être bornés alors comme moi vous allez être interloqué par « je crois en l’Esprit-Saint, qui est Seigneur et qui donne la vie. IL ( l’Esprit-Saint ) procède du Père et du Fils. Avec le Père et le Fils, il ( L’Esprit-Saint ) reçoit même adoration et même gloire. »

Les humains ne pouvaient pas faire mieux pour inventer, créer une « Trinité »

En premier un « Esprit-Saint » est un « Esprit » de vénération, d’adoration, de sanctification, de glorification mais sûrement pas un « Esprit-Sain », c’est-à-dire un Esprit sans tache, propre, blanc comme la neige.

Pour que l’Esprit existe il lui faut une matière qui lui donne vie, qui sera son habitat comme le cerveau et le cœur.

L’ « Esprit » est une réflexion, un raisonnement, une ou des pensés, un sentiment, toutes ses actions peuvent être mélangées et sont éphémères à moins de les écrire ou de les mémoriser dans sa mémoire. En un mot l’ « Esprit » c’est du vent, des ondes qui s’échappent du cerveau et vont vers l’infinie. C’est grâce à l’ « Esprit » que nous façonnons, modelons, sculptons, mais aussi que nous aimons, croyons, adorons un semblable ou un Dieu unique comme EL-SHADDAÏ.

 Sans Esprit, nous humains, nous ne sommes rien, car nous serions dans l’incapacité de nous nourrir, de nous vêtir. Je me répète peut-être mais nous naissons et fonctionnons avec l’instinct animal, puis nous donnons naissance à l’Esprit.

Voilà l’irrationalité du christianisme avec son « Esprit-Saint » qui est Seigneur et donne la vie, car il est dans l’incapacité d’être l’un, et l’impossibilité de faire l’autre.

Jésus le Nazaréen lui-même fait constater ce phénomène après sa résurrection

Luc XXIV : 39

« Voyez mes mains et mes pieds ; c'est bien moi ! Palpez-moi et rendez-vous compte qu'un esprit n'a ni chair ni os, comme vous voyez que j'en ai. »

Jésus le Nazôréen donne bien la preuve comme quoi un « esprit » n’est pas matériel, que cela est éphémère comme le vent.

 « Il procède du Père et du Fils » ce qui est complètement impossible car si, il n’y a pas de matière, donc d’Être, il n’y a pas d’Esprits, pas de Père pas d’Esprit du Père, pas de Fils pas d’Esprit du Fils, et là vous êtes obligés de reconnaître qu’il y a deux Esprits différents, puisqu’il y a deux Êtres différents. En effets le Père et le Fils sur une même chose tout en étant convergeant, penseront, raisonneront, réfléchiront différemment.

 Je viens de vous démontrer en quelques lignes que l’ « Esprit-Saint » du Christianisme n’existe pas, mais que chaque Être, Père, Fils, ont un Esprit Sain de raisonnement, réflexion, pensé, sentiments, car parfait, sans tache.

Si ce qui est écrit ci-dessus, le Credo, est un enseignement de Jésus le Nazaréen et de son Père EL-SHADDAÏ, alors il faut que je me fasse « Moine » et que je renie toute la « Vérité d’Enseignement »

Car jamais je ne pourrais faire une « profession de foi » aussi hypocrite !

Déclarer « je crois en un seul Dieu … » puis deux lignes plus loin dire « je crois en son Fils engendré, né de Dieu, il est Dieu … », j’ai là, maintenant, deux « Dieux » donc je suis un menteur puisque je prie en commençant par « je crois en un seul Dieu … ».

Puis, encore trois ou quatre ligne plus loin, toujours dans la même profession de foi je récite « je crois en l’Esprit Saint qui est Seigneur et qui donne la vie … » j’ajoute un autre « Dieu » aux deux précédent avec une hypocrisie phénoménale.

 Comme-ci un « Esprit » était une matière ressemblant à mon image d’humain et pouvait procréer, donner la vie ? …

Si, il n’y avait eu que « l’Esprit », comment Marie aurait-elle été fécondée ?

Obligatoirement il fallait de la matière même microscopique, comme un spermatozoïde par exemple !

Comble de ma prière, cet Esprit Saint je le mets à la même égalité que le Père et le Fils.

 Je me parjure ! 

Je suis un blasphémateur en priant « je crois en un seul Dieu … » alors que je prie trois « Dieu » dans ma « profession de foi » qui sont à égalité, le Père « Dieu », le Fils « Dieu », le Saint Esprit « Dieu ». Cette prière, cette profession de foi, ce « Credo » n’est que contradiction, mensonge, hypocrisie.

Comment peut-on vénérer une « église », un courant de pensé comme le catholicisme, l’orthodoxie ou le protestantisme ? Toutes ces vénérations sont le début de l’idolâtrie !

  Ce « credo » représente aussi la « Trinité » chrétienne avec le Père, le Fils, et le Saint-Esprit. Le christianisme primitif ne connaissait absolument pas cette « Trinité » et ne se signait pas. Il faut attendre le milieu du IVème siècle avec le dogme de la « Vraie Croix » ou de la « Sainte Croix », suite au pèlerinage en 326 d’Hélène, la mère de Constantin le Grand.

 Le premier à faire allusion à une « Trinité », et encore faut-il appeler cela une « Trinité », est Théophile d’Antioche dans des écrits en trois livres, aujourd’hui nous dirions volume, le « Traité à Autolycus », dans lequel il stipule la mort de l’empereur romain Marc Aurèle en l’an 180 de J-C. grand persécuteur de ceux que l’on commence à nommé « Chrétien ».

En voici l’extrait : Livre II : XV

 « La lune, au contraire décroît et périt en quelque sorte tous les mois à l’exemple de l’homme dont elle est l’image. Puis elle croît de nouveau et renaît comme l’homme qui doit ressusciter un jour.

Les trois jours qui précédèrent les corps lumineux, sont l’image de la Trinité, c’est-à-dire de Dieu, de son Verbe et de son Esprit, et le quatrième est l’image de l’homme, qui a besoin de la lumière pour que Dieu, le Verbe, l’Esprit, l’homme lui-même lui soit manifesté. C’est pour cela que les corps lumineux furent créés le quatrième jour. »

Ce texte prouve que le sens « Trinité » est plutôt aléatoire car il cite quatre noms, El-SHADDAÏ, son Verbe ou Parole, son Esprit, puis en quatrième l’homme.

En effet à l’époque se déclarer « chrétien » était très courageux et il fallait vraiment avoir la foi, car c’était subir une injure et être accusé de crime.

 L’Apôtre Thomas écrivait dans son Évangile en logia de Jésus le Nazôréen : 1 : l - 2, papyrus Oxyrhynque 654, cp Mt :7 :7-8.

« Que celui qui cherche ne cesse pas de chercher, jusqu’à ce qu’il trouve. Et quand il aura trouvé, il sera troublé ; quand il sera troublé, il sera émerveillé …// … »

Je peux, pour moi-même, certifier l’exactitude de ce logia, car ayant cherché pour vous afin d’être le plus près de la vérité réelle et historique, j’ai trouvé beaucoup de textes de confirmation qui m’aideront dans mon travail pour vous amener sur le sentier d’EL-SHADDAÏ.

  Je serai dans l’obligation, après l’explication de la venue « Trinitaire » du christianisme, de revenir sur la chronologie de l’enseignement de ce christianisme.

Donc, aux environs de l’an 180 de EC, Théophile d’Antioche -- ce prénom signifiant « aimé par EL-SHADDAÏ » -- associe « EL-SHADDAÏ, sa Parole, sa Sagesse », nommant cet ensemble sous le terme de « Triade ». C’est la première attestation chrétienne de la désignation de « Dieu ».

Hippolyte de Rome emploiera par la suite le mot « Triade » dans son livre « Contre Noët ».

Quelques années plus tard, Tertullien --- 155-222 --- emploiera le mot « Trinitas » dans un écrit « Contre Praxeas » qui entrera dans le lexique théologique latin, mais ne sera pas employé aux Conciles de Nicée en 325 de J-C. dit concile des cinq Patriarcats. Il condamne la gnose et l'arianisme, doctrine d'Arius sur laquelle je reviendrai plus loin.

Pour être honnête avec vous voici le texte de Tertullien contre Praxéas.

Je cite paragraphe II et III

« Ils sont trois, non pas en essence, mais en degré; non pas en substance, mais en forme; non pas en puissance, mais en espèce; tous trois ayant une seule et même substance, une seule et même nature, une seule et même puissance, parce qu'il n'y a qu'un seul Dieu duquel procèdent ces degrés, ces formes et ces espèces, sous le nom de Père, de Fils et de Saint-Esprit.

Ils prennent pour la division de l'Unité le nombre et la disposition de la Trinité -- Trinitas en grec --, tandis que l'Unité dérivant d'elle-même, la Trinité, loin de s'anéantir ainsi, est administrée par elle. Vous prêchez deux et même trois Dieux, nous crient-ils. Quant à eux, ils se disent les adorateurs d'un seul Dieu, comme si l'Unité, réduite à elle-même hors de toute raison, ne constituait pas l'hérésie, de même que la Trinité -- Trinitas en grec --, raisonnablement comprise, constitue la vérité. »

Ayant lu une partie de ce livre de Tertullien, celui-ci se lance dans une explication tortueuse pour faire admettre sa pensée d’un Dieu « Trinitaire » en considérant que le « Verbe » est le Fils de Dieu, donc est Dieu.

Je réitère ma pensé logique, votre « Fils » n’est pas vous, mais est bien un autre « Être », une autre personne. Comme nous sommes à la ressemblance de celui qui nous à créé, ce qui est valable pour nous, l’est d’autant plus pour le Père Créateur.

Il s’ensuit qu’EL-SHADDAÏ est l’unique Dieu et que son Fils est de la même substance que son Père géniteur, mais que c’est un autre « Être », une autre personne, obéissant et faisant la volonté de son Père. Lui-même, Jésus le Nazôréen reconnaît dans votre livre Bible que sans son Père il n’est rien et que tout ce qu’il fait, il le fait parce que son Père le veut bien et l’aide dans sa tâche.

Jean VIII : 28 - 29, 42, 54

« Jésus leur dit donc : « Quand vous aurez élevé le Fils de l'homme, alors vous saurez qui je suis et que je ne fais rien de moi-même, mais je dis ce que le Père m'a enseigné, et celui qui m'a envoyé est avec moi. Il ne m'a pas laissé seul, parce que je fais toujours ce qui lui plaît. »

Jésus leur dit : « Si EL-SHADDAÏ  était votre Père, vous m'aimeriez, car c'est d’EL-SHADDAÏ que je suis sorti et que je viens. Je ne viens pas de moi-même, mais mon Père EL-SHADDAÏ m'a envoyé. »

Jésus répondit :

« Si je me glorifie moi-même, ma gloire n'est rien.

C’est mon Père EL-SHADDAÏ qui me glorifie, lui dont vous dites : «Il est notre Dieu», et vous ne le connaissez pas. Mais moi, je le connais et si je disais : « Je ne le connais pas », je serais semblable à vous, un menteur. Mais je le connais et je garde sa parole. »

Je reviendrai aussi sur ce thème du Père et du Fils, les humains ayant beaucoup d’imagination, un manque de logique absolue et une hypocrisie débordante.

 Dans quelques jours je vous poserai la suite de ces écritures d’une logique indémontable

En attendant prenez soin de vous et portez-vous bien !

Amicalement !

Sig : JP.G. dit « GRAND-LOUP » ou « GRANDELOUPO »

 


Commentaires

 
 
 
posté le 31-08-2014 à 18:28:25

Déchéance d'une ...Chap. N°5 - Pères Apostoliques,

 

 

 

 

Première Religion Mondiale le CHRISTIANISME

 

« N’appeler personne « Père » sur la Terre, car un seul est votre « Père » celui qui est dans les cieux. » ( Épitre des Apôtres IV :1, Matthieu XXIII : 9 )

Alors pourquoi un « Très Saint Père = le Pape », pourquoi nommé un prélat « mon Père » ?

« Notre Père qui est aux cieux … », cela fait bien partie de la prière la plus importante de toute la chrétienté !

« Que ton Nom soit sanctifié… », ton nom ce n’est pas ce nom vulgaire « Dieu » car « Dieu » il en existe des milliers, donc que « ton NOM » comme EL-SHADDAÏ qui signifie Dieu-SHADDAÏ, mais encore « Dieu au-dessus des Montagnes », cela est un « NOM » comme Très-Haut, Tout-Puissant, Roi des Âges, Éternel, Yahvé, etc.

Ce Nom est un nom « Saint » voilà pourquoi il est sanctifier qui signifie vénérer, adorer, glorifier et ce nom ce n’est pas celui de son fils, mais bien le sien à lui, le Dieu seul et unique !

Je viens en une ligne de la Bible, vous démontrer l’erreur du christianisme d’aujourd’hui, et sa déchéance.

Alors voici son histoire et votre liberté d’action car chaque humain est responsable de lui et c’est seul qu’il affrontera le Jugement du Père.

 

Histoire et déchéance de cette Religion

 

Dernières lignes du chapitre précédent :

 

Dans un premier temps, l'enseignement de Jésus le Nazaréen n'est diffusé qu'au sein de la communauté juive, puis, suite à des blocages des responsables des synagogues, l'enseignement s'oriente vers les non-juifs, les païens, aussi appelés les « Gentils ».

« Les Actes des Apôtres et les lettres de Paul laissent entrevoir un certain nombre de dissensions au sein de la première communauté de Jérusalem. Il est ainsi question d’une dissension qui fait l’objet de controverses entre spécialistes des deux courants du Judéo-christianisme : les « Hellénistes » issus de la diaspora juive hellénisante et des « Hébreux » issus de Palestine. » »

 Au début du christianisme les contraintes pour ceux qui veulent suivre les enseignements de Jésus le Nazaréen sont nombreuses, particulièrement sur la circoncision.

 

Chapitre N° 5

 

Pères Apostoliques, de l’Église et leur « CREDO »

 

En effet, même parmi les Apôtres et Disciples, les divergences sont grandes sur ce sujet entre les juifs d’origine grec et les juifs de langue hébraïque. Ce débat fut réglé en l’an 50 au concile de Jérusalem. Il y est entériné que les prosélytes, nouveau venu, « Nazôréens » n’auront pas à passer par une conversion au judaïsme, c’est-à-dire à la circoncision de chair.

Ce que je viens d’écrire ci-dessus, prouve l’imperfection des humains fussent-ils Apôtres ou Disciples, car ils auraient dû se souvenir des paroles de Jésus le Nazaréen.

Ses Disciples lui demandèrent : ce sont les mêmes qui sont au Concile de Jérusalem …à méditer !

« La circoncision est-elle utile ou pas ?

---- Si la circoncision était utile, leur Père ( c’est-à-dire le Façonneur de l’Humain, EL-SHADDAÏ ) les engendrerait déjà circoncis de leur mère. C’est au contraire la vraie circoncision, celle de l’esprit, qui est devenue vraiment utile. » ---Év. de Thomas log. 53 ; voir Justin, Dialogue avec Tryphon XIX, CXIV ---

Jamais cette discussion n’aurait dû exister, surtout que les Apôtre avaient reçu le « Souffle d’Intelligence » d’EL-SHADDAÏ, mais ils avaient le « Libre-Choix » comme n’importe quel humain.

Des humains comme Ignace d’Antioche, Papias de Hiérapolis, Hermas le Pasteur, Barnabé, Marcion de Sinope, Polycarpe de Smyrne et bien d’autres sont considérés comme des « Pères Apostoliques »

« Les premiers évêques, presbytres - après les apôtres - sont dits « Pères Apostoliques » en raison de leur proximité avec la tradition apostolique qu'ils reçurent directement des apôtres et dont ils se réclamèrent.

Disciples ou auteurs proches des Apôtres, leurs œuvres s'étendent de 90 à 160 ap. J-C. et constituent les tous premiers témoignages des communautés chrétiennes après les écrits néotestamentaires. »

« Ces écrits ont une place particulière dans la littérature chrétienne primitive des deux premiers siècles. Ils se distinguent des livres du Nouveau Testament par leur caractère non canonique, même s'ils étaient parfois considérés comme canoniques durant l'Antiquité chrétienne. Contrairement aux autres écrits non canoniques des deux premiers siècles, ils restent très proches des livres néotestamentaires dont ils partagent la théologie, la langue et les origines communautaires. »

Les nazôréens --- chrétiens ---, d'abord petite minorité de disciples de Jésus le Nazaréen ainsi que les Apôtres, se répandirent surtout à l'ouest de l´Empire romain en Occident, en s'appuyant sur les communautés juives préexistantes de l'Empire.

Dans l'Empire romain, les autorités ne font pas une différence très nette entre juifs et chrétiens, ces derniers n'étant perçus que comme une secte juive.

Après cette date, 160-180 ap. J-C., certains Évêques écrivains ou théologiens seront appelés « Pères de l’Église » tel que Irénée de Lyon, Justin Martyr, Tatien le Syrien, Hyppolyte de Rome, Origène, Clément d’Alexandrie, Tertullien, etc …

Nous sommes maintenant à la fin du IIème et au début du IIIème siècle.

Les paroles et Enseignements de Jésus le Nazaréen ne font plus réellement recette.

L’élaboration de la doctrine chrétienne est à ces prémices. Cette élaboration ne va pas sans divisions et conflits. Outre les conflits de primauté, les querelles dogmatiques sont nombreuses.

« Déjà, dans la seconde moitié du IIIe siècle, les Empereurs acceptaient volontiers les chrétiens. Ces derniers pouvaient être gouverneurs de province, sénateurs, généraux, membres de la famille royale… Le christianisme avait « gangréné » les élites de l’Empire, ce qui n’allait pas sans quelques problèmes. »

Après, tous ces humains Évêques théologiens et écrivain, tel que Augustin, Jérôme, Ambroise de Milan, Grégoire, qui prendront la foi chrétienne par le baptême entre trente et quarante ans imposeront leurs idées sur le christianisme.

Sur les courants de pensé je vous poserai quelques lignes plus loin mais voici un exemple historique sur ces humains que le christianisme déclare « Saint »

Augustin -- déclaré Saint par la chrétienté-- 354-430 -- justifiera le recours légal de la violence pour forcer les conversions au christianisme, en s’appuyant sur l’ordre du Christ, « Force-les à entrer » -- Luc XIV : 23

Comme souvent je vous l’ai écrit on peut faire dire ce que l’on veut aux paroles de Jésus le Nazaréen, en voilà une preuve Luc XIV : 16-24

« Il lui dit : « Un homme faisait un grand dîner, auquel il invita beaucoup de monde.

A l'heure du dîner, il envoya son serviteur dire aux invités :

 «Venez ; maintenant tout est prêt. »

Et tous, comme de concert, se mirent à s'excuser. Le premier lui dit :

«J'ai acheté un champ et il me faut aller le voir ; je t'en prie, tiens-moi pour excusé. »

Un autre dit :

«J'ai acheté cinq paires de bœufs et je pars les essayer ; je t'en prie, tiens-moi pour excusé. »

Un autre dit :

«Je viens de me marier, et c'est pourquoi je ne puis venir. »

A son retour, le serviteur rapporta cela à son maître. Alors, pris de colère, le maître de maison dit à son serviteur :

«Va-t'en vite par les places et les rues de la ville, et introduis ici les pauvres, les estropiés, les aveugles et les boiteux. » -

«Maître, dit le serviteur, tes ordres seront exécutés, et il y a encore de la place. »

Et le maître dit au serviteur :

«Va-t'en par les chemins et le long des clôtures, et fais entrer les gens de force, afin que ma maison se remplisse.

Car, je vous le dis, aucun de ces hommes qui avaient été invités ne goûtera de mon dîner. » »

Quelle différence il y a entre la compréhension d’Augustin et ce que Jésus le Nazaréen explique !

Je réitère cet Augustin est un Saint ! … Bonjour le « Saint » !

Anecdote pour l’histoire :

Pie 1er, dixième Évêque de Rome de 140, 142 à 155 ap. J-C. aurait été le frère d’Hermas dit le « Pasteur »

Ce qui fait débat au début du christianisme vers la fin du IIème siècle est le dogme de la « Trinité ».

 Le mot « Trinité » n’appartient pas au vocabulaire du Nouveau Testament, ni, par conséquent, au kérygme -- profession de foi public --- originel de la première communauté chrétienne.

Explication du mot « kérygme » souvent employé dans la littérature primitive du christianisme. Ce mot qui vient d’un grec ancien signifie « proclamation à voix haute comme un héraut », désignait dans le vocabulaire des « Nazôréens » l’énoncé premier de la foi, soit une profession de foi fondamentale qui se compose de trois énoncés essentiels reconnaissant que Jésus le Nazaréen est le « Messie », Fils d’EL-SHADDAÏ, qu’il est ressuscité, et celui qui en parle en rend témoignage personnellement en appelant ses semblables à se convertir à sa foi.

Dans le Nouveau Testament figure le « kérygme » de l’Apôtre Pierre le jour de la Pentecôte, puis celui du Disciple de Barnabé, Saül de Tarse dit Paul dans sa première lettre aux Corinthiens

Comme vous le savez seul le terme « Dieu » est remplacé par le nom « EL-SHADDAÏ »

Actes des Apôtres II : 22-24, 32, 36-38

« Hommes d'Israël, écoutez ces paroles. Jésus le Nazôréen, cet homme qu’EL-SHADDAÏ a accrédité auprès de vous par les miracles, prodiges et signes qu'il a opérés par lui au milieu de vous, ainsi que vous le savez vous-mêmes, cet homme qui avait été livré selon le dessein bien arrêté et la prescience d’EL-SHADDAÏ, vous l'avez pris et fait mourir en le clouant à la croix par la main des impies, mais EL-SHADDAÏ l'a ressuscité, le délivrant des affres de l'Hadès. Aussi bien n'était-il pas possible qu'il fût retenu en son pouvoir.

EL-SHADDAÏ l'a ressuscité, ce Jésus ; nous en sommes tous témoins.

« Que toute la maison d'Israël le sache donc avec certitude : EL-SHADDAÏ l'a fait Seigneur et OINT, ce Jésus que vous, vous avez crucifié. »

D'entendre cela, ils eurent le cœur transpercé, et ils dirent à Pierre et aux apôtres :

« Frères, que devons nous faire ? »

Pierre leur répondit :

 « Repentez-vous, et que chacun de vous se fasse baptiser au nom du Père de Jésus le Nazaréen pour la rémission de ses péchés, et vous recevrez alors comme don le « Souffle d’Intelligence »

Kérygme de Paul I Corinthiens : XV : 1-8

« Je vous rappelle, frères, l'Évangile que je vous ai annoncé, que vous avez reçu et dans lequel vous demeurez fermes, par lequel aussi vous vous sauvez, si vous le gardez tel que je vous l'ai annoncé ; sinon, vous auriez cru en vain.

Je vous ai donc transmis en premier lieu ce que j'avais moi-même reçu, à savoir que le Messie est mort pour nos péchés selon les Écritures, qu'il a été mis au tombeau, qu'il est ressuscité le troisième jour selon les Écritures, qu'il est apparu à Céphas, puis aux Douze.   Ensuite, il est apparu à plus de cinq cents frères à la fois, la plupart d'entre eux demeurent jusqu'à présent et quelques-uns se sont endormis.

 Ensuite il est apparu à Jacques, puis à tous les apôtres. 

Et, en tout dernier lieu, il m'est apparu à moi aussi, comme à l'avorton. »

Raisonnement personnel.

Si, Céphas est Pierre, Jésus le Nazaréen ne peut apparaître qu’aux « Onze » Apôtres et non aux « Douze » puisqu’il apparaît à Pierre -- Céphas -- en premier, puis …

Plus tard, le kérygme sera développé en profession de foi, comprenant davantage d’énoncés dogmatiques tels que le « Symbole des Apôtres, de Nicée-Constantinople en 325 » ou le dogme du « Credo » qui fut concrétisé au IVème siècle.

Cette première version est celle conforme à l'élaboration du Symbole lors des conciles de Nicée en 325 de l’EC et de Constantinople en 381 de l’EC, tel qu'il est récité par l'Église Orthodoxe :

« Nous croyons en un seul Dieu Père tout-puissant, créateur du ciel et de la terre, de toutes les choses visibles et invisibles.

Nous croyons en un seul Seigneur, Jésus-Christ, le Fils unique de Dieu, né du Père avant tous les siècles, Lumière issue de la Lumière, vrai Dieu issu du vrai Dieu, engendré et non créé, consubstantiel au Père et par qui tout a été fait ; qui pour nous les hommes et pour notre salut, est descendu des cieux et s'est incarné du Saint-Esprit et de la vierge Marie et s'est fait homme.

Il a été crucifié pour nous sous Ponce-Pilate, il a souffert et il a été mis au tombeau ; il est ressuscité des morts le troisième jour, conformément aux Écritures; il est monté au Ciel où il siège à la droite du Père. De là, il reviendra dans la gloire pour juger les vivants et les morts, et son règne n'aura pas de fin.

Nous croyons en l'Esprit-Saint, qui est Seigneur et qui donne la vie, qui procède du Père, qui a parlé par les Prophètes, qui avec le Père et le Fils est adoré et glorifié ; nous croyons en Église, une, sainte, catholique (dans le sens d'universel) et apostolique. Nous confessons un seul baptême pour la rémission des péchés ; nous attendons la résurrection des morts et la vie du monde à venir.

 Amen »

Vous constaterez la contradiction de ce « Crédo » qui commence par un « Dieu seul et unique et deux lignes plus loin vous donne un second Dieu Jésus-Christ.

Aucun textes Bibliques, je dis bien aucun Écrits Bibliques ne disent que Jésus-Christ est un DIEU. Du premier chapitre, premier versets au dernier chapitre, dernier verset du Nouveau Testament il n’est écrit, même supposé, que Jésus-Christ, Jésus le Nazôréen pour moi, est un Dieu égal à son Père, engendré du vrai Dieu EL-SHADDAÏ cela est une affirmation, la seule exactitude de ce « Credo ».

Le Symbole de Nicée, tel qu'il est utilisé dans la liturgie Catholique, est le résultat d'une modification opérée lors du concile de Tolède en 589, le Saint-Esprit est dit procéder du Père « et du Fils », ce qui est la source de la querelle dite du filioque et constitue l'une des causes majeures du schisme entre l'Église Orthodoxe et l'Église Catholique, la première refusant cette innovation, qu'elle juge contraire à la Foi des Pères.

Réfléchissez à ces Textes !

A bientôt pour d’autres écrits !

Portez-vous bien et prenez soin de vous !

Sig : JP.G. dit « GRAN-LOUP » ou « GRANDELOUPO »

 


Commentaires

 
 
 
posté le 24-08-2014 à 17:41:14

Déchéance d'une ...Chap. N°4 - Pères Apostoliques, voie orale

 

Eusèbe de Césarée

 

Première Religion Mondiale le CHRISTIANISME

 

« N’appeler personne « Père » sur la Terre, car un seul est votre « Père » celui qui est dans les cieux. » ( Épitre des Apôtres IV :1, Matthieu XXIII : 9 )

Alors pourquoi un « Très Saint Père = le Pape », pourquoi nommé un prélat « mon Père » ?

« Notre Père qui est aux cieux », cela fait bien partie de la prière la plus importante de toute la chrétienté !

« Que ton Nom soit sanctifié », ton nom ce n’est pas ce nom vulgaire « Dieu » car « Dieu » il en existe des milliers, donc que « ton NOM » comme EL-SADDAÏ qui signifie Dieu-SHADDAÏ, mais encore « Dieu au-dessus des Montagnes », cela est un « NOM » comme Très-Haut, Tout-Puissant, Roi des Âges, Éternel, Yahvé, etc.

Ce Nom est un nom « Saint » voilà pourquoi il est sanctifier qui signifie vénérer, adorer, glorifier et ce nom ce n’est pas celui de son fils, mais bien le sien à lui, le Dieu seul et unique !

Je viens en une ligne de la Bible, vous démontrer l’erreur du christianisme d’aujourd’hui, et sa déchéance.

Alors voici son histoire et votre liberté d’action car chaque humain est responsable de lui et c’est seul qu’il affrontera le Jugement du Père.

 

Histoire et déchéance de cette Religion

 

Chapitre N° 4

 

Pères Apostoliques :

 

Transmission orale, les lettres  après

 

Papias de Hiérapolis

 

Le premier à employer le terme « Chrétien » est Polycarpe dans une Lettre envoyée à plusieurs Églises d’Asie Mineur et dans un courrier remis à l’empereur Marc-Aurèle  -- 26 Avril 121 ---- 17 Mars 180  

« Je ne suis pas de ceux que vous nommez secte des Nazôréens, Nazaréen mais je suis « CHRÉTIEN » comme tous ceux qui suivent l’enseignement de JÉSUS le NAZARÉEN cet oint d’EL-SHADDAÏ son PÈRE, que beaucoup appellent « CHRIST »…. »

Au sujet de cette Évêque d’un certain âge, Polycarpe de Smyrne, voici ce qu’il fut écrit sur sa mort

Légende ou réalité ?

« À l'entrée de ce vieillard sain dans l'amphithéâtre, tous les chrétiens présents entendirent une voix mystérieuse qui lui disait :

 « Courage, Polycarpe, combats en homme de cœur ! »

Le proconsul lui demanda :

« Es-tu Polycarpe ?

 -- Oui, je le suis.

-- Aie pitié de tes cheveux blancs, maudis le Christ, et tu seras libre.

-- Il y a quatre-vingt-six ans que je Le sers et Il ne m'a fait que du bien. Comment pourrais-je Le maudire ? Il est mon Roi et mon Sauveur.

-- Sais-tu que j'ai des lions et des ours tout prêts à te dévorer ?

 -- Fais-les venir !

-- Puisque tu te moques des bêtes féroces, je te ferai brûler.

-- Je ne crains que le feu qui brûle les impies et ne s'éteint jamais. Fais venir tes bêtes, allume le feu, je suis prêt à tout. »

De toutes parts, dans l'amphithéâtre, la foule sanguinaire s'écrie :

 « Il est digne de mort. Polycarpe aux lions ! »

Mais les combats des bêtes féroces étaient achevés. On arrêta qu'il serait brûlé vif. Comme les bourreaux se préparaient à l'attacher sur le bûcher, il leur dit :

 « C'est inutile, laissez-moi libre, le Ciel m'aidera. »

Le vieillard lève les yeux au Ciel et prie. Tout à coup la flamme l'environne et s'élève par-dessus sa tête, mais sans ne lui faire aucun mal, pendant qu'un parfum délicieux embaume les spectateurs. À cette vue, les bourreaux lui percent le cœur avec une épée.

C'était le 25 avril 167.[]»

Un fait très important certifié par Papias de Hiérapolis, -- date de naissance inconnue mais il a été le Disciples de Pierre puis de Jean et décède vers 130-140 environ -- est que la divulgation de l’enseignement de Jésus le Nazaréen était oral en majorité jusqu’au milieu du IIème siècle.

Eusèbe de Césarée -- environ 265 - 340 -- écrivain, théologien chrétien, consacre à Papias un chapitre de son « Histoire ecclésiastique » sans guère l’apprécier.

Je cite :

« Voilà d’abord un Père de l’Église qui dit que, pour sa formation personnelle, il se méfie des livres et qu'il leur préfère la tradition orale « vivante ».

--- « Mais il apprend qu'il a reçu les leçons de la foi de ceux qui les avaient connus, et voici les termes dont il se sert :

Papias :

« Pour toi, je n'hésiterai pas à ajouter à mes explications ce que j'ai bien appris autrefois des presbytres et dont j'ai bien gardé le souvenir, afin d'en fortifier la vérité.

 Car je ne me plaisais pas auprès de ceux qui parlent beaucoup, comme le font la plupart, mais auprès de ceux qui enseignent la vérité. Je ne me plaisais pas non plus auprès de ceux qui font mémoire de commandements étrangers, mais auprès de ceux qui rappellent les commandements donnés par le Seigneur à la foi et nés de la vérité elle-même.

 Si quelque part venait quelqu'un qui avait été dans la compagnie des presbytres, je m'informais des paroles des presbytres : ce qu'ont dit André ou Pierre, ou Philippe, ou Thomas, ou Jacques, ou Jean, ou Matthieu, ou quelque autre des disciples du Seigneur ; et ce que disent Aristion et le presbytre Jean, disciples du Seigneur.

 Je ne pensais pas que les choses qui proviennent des livres me fussent aussi utiles que ce qui vient d'une parole vivante et durable. »

Papias, dont il est question actuellement, reconnaît donc avoir reçu la doctrine des apôtres par ceux qui les ont fréquentés. » ---

Eusèbe de Césarée dans l’Histoire Ecclésiastique volume III, ajoute ceci :

« Le même Papias ajoute d'autres choses qui seraient venues jusqu'à lui par une tradition orale, certaines paraboles étranges du Sauveur et certains enseignements bizarres, et d'autres choses tout à fait fabuleuses.

Par exemple, il dit qu'il y aura mille ans après la résurrection des morts et que le règne du Christ aura lieu corporellement sur cette terre.

 Je pense qu'il suppose tout cela, après avoir compris de travers les récits des Apôtres, et qu'il n'a pas saisi les choses dites par eux en figures et d'une manière symbolique.

En effet, il paraît avoir été tout à fait petit par l'esprit, comme on peut s'en rendre compte par ses livres. Cependant, il a été cause qu'un très grand nombre d'écrivains ecclésiastiques après lui ont adopté les mêmes opinions que lui, confiants dans son antiquité.

 C'est là ce qui s'est produit pour Irénée et pour d'autres qui ont pensé les mêmes choses que lui. »

Comme vous venez de le lire, nous pouvons dire qu’Eusèbe de Césarée n’avait pas beaucoup d’affection pour Papias, le prenant littéralement pour un simple d’esprit.

Irénée de Lyon qui fut un Disciple de Barnabé et enseigné par Polycarpe écrit au sujet de Papias :

« Papias, lui aussi auditeur de Jean et compagnon de Polycarpe, homme ancien, a témoigné, par écrit, dans le quatrième de ses livres. En effet, il existe cinq livres composés par lui. »

Des Écrits de Papias il ne nous reste rien en dehors de ce qu’écrivent Irénée de Lyon et Eusèbe de Césarée.

De Papias, on présente, au nombre de cinq, des livres qui sont intitulés Les Exégèses des discours du Seigneur. De ces livres, Irénée fait mention comme des seuls qui aient été écrits par Papias.

Papias, celui dont nous parlons maintenant, reconnaît avoir reçu les paroles des Apôtres par l'intermédiaire de ceux qui les ont fréquentés. Il dit, d'autre part, avoir été lui-même l'auditeur d'Aristion et de Jean le presbytre. En effet, il les mentionne souvent par leurs noms dans ses écrits pour rapporter leurs traditions.

Il a déjà été rappelé, dans ce qui précède, que l'Apôtre Philippe avait séjourné à Hiérapolis avec ses filles.

Nous devons maintenant indiquer comment Papias, qui vivait en ces temps, rapporte avoir appris une histoire merveilleuse des filles de Philippe. Il raconte la résurrection d'un mort arrivée de son temps. Et encore un autre fait extraordinaire concernant Justus, surnommé Barsabas, qui aurait bu un poison mortel et n'aurait éprouvé aucun désagrément par la grâce du Seigneur.

Ce Justus est celui qu'après l'ascension du Sauveur les saints Apôtres placèrent avec Matthias, après avoir prié pour que le sort complétât leur nombre, en vue de remplacer le traître Judas, ce que le livre des Actes raconte en ces termes :

Actes des Apôtres I : 23

« Et ils placèrent deux hommes, Joseph, appelé Barsabas et surnommé Justus, et Matthias, et ils prièrent en disant... »

Ce Justus qui est déjà un surnom en plus de Barsabas, est aussi appelé Joseph qui est Barnabé celui qui enseigna Saül de Tarse dit Paul.

Dans son propre ouvrage, Papias transmet encore d'autres explications des discours du Seigneur, dues à Aristion dont il a été question plus haut, et des traditions de Jean le presbytre ou Jean l’Ancien.

 Nous y renvoyons ceux qui aiment à s'instruire.

Maintenant nous sommes obligés d'ajouter, aux paroles que nous avons précédemment rapportées, la tradition qu'il expose en ces termes au sujet de Marc, qui a écrit l'Évangile.

Et voici ce que disait le presbytre c’est-à-dire l’ancien.

 Marc, qui était l'interprète de Pierre, a écrit avec exactitude, mais pourtant sans ordre, tout ce dont il se souvenait de ce qui avait été dit ou fait par le Seigneur.

Car il n'avait pas entendu ni accompagné le Seigneur. Mais plus tard, comme je l'ai dit, il a accompagné Pierre. Celui-ci donnait ses enseignements selon les besoins, mais sans faire une synthèse des paroles du Seigneur. De la sorte, Marc n'a pas commis d'erreur en écrivant comme il se souvenait.

Il n'a eu en effet qu'un seul dessein, celui de ne rien laisser de côté de ce qu'il avait entendu et de ne tromper en rien dans ce qu'il rapportait.

Voilà ce que Papias rapporte donc de Marc.

Sur Matthieu, il dit ceci :

« Matthieu réunit donc en langue hébraïque les sentences, les logia de Jésus, et chacun les interpréta comme il en était capable. »

Ce que je viens d’écrire sur Papias est inscrit dans « l’Histoire Ecclésiastique tome III » d’Eusèbe de Césarée, ainsi que dans « L’exposé de la Prédication des Apôtres » un bel ouvrage d’Irénée de Lyon

Les Actes des Apôtres indiquent que le nom de « chrétien », signifiant « appartenant au Nazôréen » ou « partisan du Nazôréen », fut attribué aux disciples de Jésus de Nazareth à Antioche au milieu du IIème siècle[]. La référence la plus ancienne connue pour le terme christianisme se trouve dans la lettre d'Ignace d'Antioche --35 - 107 ou 113 -- aux Magnésiens à la fin du Ier siècle ou au début du IIème siècle quand il fut emmené à Rome pour être mangé par les lions dans l’arène.

Lettre d’Ignace d’Antioche aux Magnésiens IV

« Il convient donc de ne pas seulement porter le nom de chrétiens, mais de l’être aussi. Certains, en effet, parlent toujours de l’évêque, mais font tout en dehors de lui. Ceux-là ne me paraissent pas avoir une bonne conscience, car leurs assemblées ne sont pas légitimes, ni conformes aux commandements du « Seigneur EL-SHADDAÏ ». »

X : 1-3

« Ne soyons donc pas insensibles à sa bonté. Car s’il nous imite selon ce que nous faisons, nous n’existons plus. C’est pourquoi faisons-nous ses disciples et apprenons à vivre selon le christianisme. Car celui qui s’appelle d’un autre nom en dehors de celui-ci, n’est pas à EL-SHADDAÏ -- Dieu --. (cf. Ac. 4.12).

 Rejetez donc le mauvais levain, vieilli et aigri (cf. 1Co 5.6) et transformez-vous en un levain nouveau, qui est Jésus-Christ. Qu’il soit le sel de votre vie, pour que personne parmi vous ne se corrompe, car c’est à l’œuvre que vous serez jugés.

 Il est absurde de parler de Jésus-Christ et de judaïser. Car ce n’est pas le christianisme qui a cru au judaïsme, mais le judaïsme au christianisme, en qui s’est réunie toute langue qui croit en EL-SHADDAÏ -- Dieu.-- »

Il est prouvé aujourd’hui que les « Lettres » d’Ignace d’Antioche sont plus authentiques que certaines « Lettres » canoniques de Saül de Tarse dit Paul.

Il faudra attendre encore 100, 150 ans avant que le terme « Chrétien » soit dans le langage courant.

 Dans un premier temps, l'enseignement de Jésus le Nazaréen n'est diffusé qu'au sein de la communauté juive, puis, suite à des blocages des responsables des synagogues, l'enseignement s'oriente vers les non-juifs, les païens, aussi appelés les « Gentils ».

« Les Actes des Apôtres et les lettres de Paul laissent entrevoir un certain nombre de dissensions au sein de la première communauté de Jérusalem. Il est ainsi question d’une dissension qui fait l’objet de controverses entre spécialistes des deux courants du Judéo-christianisme : les « Hellénistes » issus de la diaspora juive hellénisante et des « Hébreux » issus de Palestine. »

 Au début du christianisme les contraintes pour ceux qui veulent suivre les enseignements de Jésus le Nazaréen sont nombreuses, particulièrement sur la circoncision.

La suite de ces écritures dans quelques jours.

En attendant portez-vous bien et prenez soins de votre maisonnée, mettant en pratique les Enseignements de Jésus le Nazaréen et les Lois de son Père EL-SHADDAÏ, étant en accord avec votre conscience au moment du repos nocturne.

Salutations cordiales pour tous !

Sig : JP.G dit « GRANDELOUPO »Eusèbe de Césarée

 

Première Religion Mondiale le CHRISTIANISME

 

« N’appeler personne « Père » sur la Terre, car un seul est votre « Père » celui qui est dans les cieux. » ( Épitre des Apôtres IV :1, Matthieu XXIII : 9 )

Alors pourquoi un « Très Saint Père = le Pape », pourquoi nommé un prélat « mon Père » ?

« Notre Père qui est aux cieux », cela fait bien partie de la prière la plus importante de toute la chrétienté !

« Que ton Nom soit sanctifié », ton nom ce n’est pas ce nom vulgaire « Dieu » car « Dieu » il en existe des milliers, donc que « ton NOM » comme EL-SADDAÏ qui signifie Dieu-SHADDAÏ, mais encore « Dieu au-dessus des Montagnes », cela est un « NOM » comme Très-Haut, Tout-Puissant, Roi des Âges, Éternel, Yahvé, etc.

Ce Nom est un nom « Saint » voilà pourquoi il est sanctifier qui signifie vénérer, adorer, glorifier et ce nom ce n’est pas celui de son fils, mais bien le sien à lui, le Dieu seul et unique !

Je viens en une ligne de la Bible, vous démontrer l’erreur du christianisme d’aujourd’hui, et sa déchéance.

Alors voici son histoire et votre liberté d’action car chaque humain est responsable de lui et c’est seul qu’il affrontera le Jugement du Père.

 

Histoire et déchéance de cette Religion

 

Chapitre N° 4

 

Pères Apostoliques :

 

Transmission orale, les lettres  après

 

Papias de Hiérapolis

 

Le premier à employer le terme « Chrétien » est Polycarpe dans une Lettre envoyée à plusieurs Églises d’Asie Mineur et dans un courrier remis à l’empereur Marc-Aurèle  -- 26 Avril 121 ---- 17 Mars 180  

« Je ne suis pas de ceux que vous nommez secte des Nazôréens, Nazaréen mais je suis « CHRÉTIEN » comme tous ceux qui suivent l’enseignement de JÉSUS le NAZARÉEN cet oint d’EL-SHADDAÏ son PÈRE, que beaucoup appellent « CHRIST »…. »

Au sujet de cette Évêque d’un certain âge, Polycarpe de Smyrne, voici ce qu’il fut écrit sur sa mort

Légende ou réalité ?

« À l'entrée de ce vieillard sain dans l'amphithéâtre, tous les chrétiens présents entendirent une voix mystérieuse qui lui disait :

 « Courage, Polycarpe, combats en homme de cœur ! »

Le proconsul lui demanda :

« Es-tu Polycarpe ?

 -- Oui, je le suis.

-- Aie pitié de tes cheveux blancs, maudis le Christ, et tu seras libre.

-- Il y a quatre-vingt-six ans que je Le sers et Il ne m'a fait que du bien. Comment pourrais-je Le maudire ? Il est mon Roi et mon Sauveur.

-- Sais-tu que j'ai des lions et des ours tout prêts à te dévorer ?

 -- Fais-les venir !

-- Puisque tu te moques des bêtes féroces, je te ferai brûler.

-- Je ne crains que le feu qui brûle les impies et ne s'éteint jamais. Fais venir tes bêtes, allume le feu, je suis prêt à tout. »

De toutes parts, dans l'amphithéâtre, la foule sanguinaire s'écrie :

 « Il est digne de mort. Polycarpe aux lions ! »

Mais les combats des bêtes féroces étaient achevés. On arrêta qu'il serait brûlé vif. Comme les bourreaux se préparaient à l'attacher sur le bûcher, il leur dit :

 « C'est inutile, laissez-moi libre, le Ciel m'aidera. »

Le vieillard lève les yeux au Ciel et prie. Tout à coup la flamme l'environne et s'élève par-dessus sa tête, mais sans ne lui faire aucun mal, pendant qu'un parfum délicieux embaume les spectateurs. À cette vue, les bourreaux lui percent le cœur avec une épée.

C'était le 25 avril 167.[]»

Un fait très important certifié par Papias de Hiérapolis, -- date de naissance inconnue mais il a été le Disciples de Pierre puis de Jean et décède vers 130-140 environ -- est que la divulgation de l’enseignement de Jésus le Nazaréen était oral en majorité jusqu’au milieu du IIème siècle.

Eusèbe de Césarée -- environ 265 - 340 -- écrivain, théologien chrétien, consacre à Papias un chapitre de son « Histoire ecclésiastique » sans guère l’apprécier.

Je cite :

« Voilà d’abord un Père de l’Église qui dit que, pour sa formation personnelle, il se méfie des livres et qu'il leur préfère la tradition orale « vivante ».

--- « Mais il apprend qu'il a reçu les leçons de la foi de ceux qui les avaient connus, et voici les termes dont il se sert :

Papias :

« Pour toi, je n'hésiterai pas à ajouter à mes explications ce que j'ai bien appris autrefois des presbytres et dont j'ai bien gardé le souvenir, afin d'en fortifier la vérité.

 Car je ne me plaisais pas auprès de ceux qui parlent beaucoup, comme le font la plupart, mais auprès de ceux qui enseignent la vérité. Je ne me plaisais pas non plus auprès de ceux qui font mémoire de commandements étrangers, mais auprès de ceux qui rappellent les commandements donnés par le Seigneur à la foi et nés de la vérité elle-même.

 Si quelque part venait quelqu'un qui avait été dans la compagnie des presbytres, je m'informais des paroles des presbytres : ce qu'ont dit André ou Pierre, ou Philippe, ou Thomas, ou Jacques, ou Jean, ou Matthieu, ou quelque autre des disciples du Seigneur ; et ce que disent Aristion et le presbytre Jean, disciples du Seigneur.

 Je ne pensais pas que les choses qui proviennent des livres me fussent aussi utiles que ce qui vient d'une parole vivante et durable. »

Papias, dont il est question actuellement, reconnaît donc avoir reçu la doctrine des apôtres par ceux qui les ont fréquentés. » ---

Eusèbe de Césarée dans l’Histoire Ecclésiastique volume III, ajoute ceci :

« Le même Papias ajoute d'autres choses qui seraient venues jusqu'à lui par une tradition orale, certaines paraboles étranges du Sauveur et certains enseignements bizarres, et d'autres choses tout à fait fabuleuses.

Par exemple, il dit qu'il y aura mille ans après la résurrection des morts et que le règne du Christ aura lieu corporellement sur cette terre.

 Je pense qu'il suppose tout cela, après avoir compris de travers les récits des Apôtres, et qu'il n'a pas saisi les choses dites par eux en figures et d'une manière symbolique.

En effet, il paraît avoir été tout à fait petit par l'esprit, comme on peut s'en rendre compte par ses livres. Cependant, il a été cause qu'un très grand nombre d'écrivains ecclésiastiques après lui ont adopté les mêmes opinions que lui, confiants dans son antiquité.

 C'est là ce qui s'est produit pour Irénée et pour d'autres qui ont pensé les mêmes choses que lui. »

Comme vous venez de le lire, nous pouvons dire qu’Eusèbe de Césarée n’avait pas beaucoup d’affection pour Papias, le prenant littéralement pour un simple d’esprit.

Irénée de Lyon qui fut un Disciple de Barnabé et enseigné par Polycarpe écrit au sujet de Papias :

« Papias, lui aussi auditeur de Jean et compagnon de Polycarpe, homme ancien, a témoigné, par écrit, dans le quatrième de ses livres. En effet, il existe cinq livres composés par lui. »

Des Écrits de Papias il ne nous reste rien en dehors de ce qu’écrivent Irénée de Lyon et Eusèbe de Césarée.

De Papias, on présente, au nombre de cinq, des livres qui sont intitulés Les Exégèses des discours du Seigneur. De ces livres, Irénée fait mention comme des seuls qui aient été écrits par Papias.

Papias, celui dont nous parlons maintenant, reconnaît avoir reçu les paroles des Apôtres par l'intermédiaire de ceux qui les ont fréquentés. Il dit, d'autre part, avoir été lui-même l'auditeur d'Aristion et de Jean le presbytre. En effet, il les mentionne souvent par leurs noms dans ses écrits pour rapporter leurs traditions.

Il a déjà été rappelé, dans ce qui précède, que l'Apôtre Philippe avait séjourné à Hiérapolis avec ses filles.

Nous devons maintenant indiquer comment Papias, qui vivait en ces temps, rapporte avoir appris une histoire merveilleuse des filles de Philippe. Il raconte la résurrection d'un mort arrivée de son temps. Et encore un autre fait extraordinaire concernant Justus, surnommé Barsabas, qui aurait bu un poison mortel et n'aurait éprouvé aucun désagrément par la grâce du Seigneur.

Ce Justus est celui qu'après l'ascension du Sauveur les saints Apôtres placèrent avec Matthias, après avoir prié pour que le sort complétât leur nombre, en vue de remplacer le traître Judas, ce que le livre des Actes raconte en ces termes :

Actes des Apôtres I : 23

« Et ils placèrent deux hommes, Joseph, appelé Barsabas et surnommé Justus, et Matthias, et ils prièrent en disant... »

Ce Justus qui est déjà un surnom en plus de Barsabas, est aussi appelé Joseph qui est Barnabé celui qui enseigna Saül de Tarse dit Paul.

Dans son propre ouvrage, Papias transmet encore d'autres explications des discours du Seigneur, dues à Aristion dont il a été question plus haut, et des traditions de Jean le presbytre ou Jean l’Ancien.

 Nous y renvoyons ceux qui aiment à s'instruire.

Maintenant nous sommes obligés d'ajouter, aux paroles que nous avons précédemment rapportées, la tradition qu'il expose en ces termes au sujet de Marc, qui a écrit l'Évangile.

Et voici ce que disait le presbytre c’est-à-dire l’ancien.

 Marc, qui était l'interprète de Pierre, a écrit avec exactitude, mais pourtant sans ordre, tout ce dont il se souvenait de ce qui avait été dit ou fait par le Seigneur.

Car il n'avait pas entendu ni accompagné le Seigneur. Mais plus tard, comme je l'ai dit, il a accompagné Pierre. Celui-ci donnait ses enseignements selon les besoins, mais sans faire une synthèse des paroles du Seigneur. De la sorte, Marc n'a pas commis d'erreur en écrivant comme il se souvenait.

Il n'a eu en effet qu'un seul dessein, celui de ne rien laisser de côté de ce qu'il avait entendu et de ne tromper en rien dans ce qu'il rapportait.

Voilà ce que Papias rapporte donc de Marc.

Sur Matthieu, il dit ceci :

« Matthieu réunit donc en langue hébraïque les sentences, les logia de Jésus, et chacun les interpréta comme il en était capable. »

Ce que je viens d’écrire sur Papias est inscrit dans « l’Histoire Ecclésiastique tome III » d’Eusèbe de Césarée, ainsi que dans « L’exposé de la Prédication des Apôtres » un bel ouvrage d’Irénée de Lyon

Les Actes des Apôtres indiquent que le nom de « chrétien », signifiant « appartenant au Nazôréen » ou « partisan du Nazôréen », fut attribué aux disciples de Jésus de Nazareth à Antioche au milieu du IIème siècle[]. La référence la plus ancienne connue pour le terme christianisme se trouve dans la lettre d'Ignace d'Antioche --35 - 107 ou 113 -- aux Magnésiens à la fin du Ier siècle ou au début du IIème siècle quand il fut emmené à Rome pour être mangé par les lions dans l’arène.

Lettre d’Ignace d’Antioche aux Magnésiens IV

« Il convient donc de ne pas seulement porter le nom de chrétiens, mais de l’être aussi. Certains, en effet, parlent toujours de l’évêque, mais font tout en dehors de lui. Ceux-là ne me paraissent pas avoir une bonne conscience, car leurs assemblées ne sont pas légitimes, ni conformes aux commandements du « Seigneur EL-SHADDAÏ ». »

X : 1-3

« Ne soyons donc pas insensibles à sa bonté. Car s’il nous imite selon ce que nous faisons, nous n’existons plus. C’est pourquoi faisons-nous ses disciples et apprenons à vivre selon le christianisme. Car celui qui s’appelle d’un autre nom en dehors de celui-ci, n’est pas à EL-SHADDAÏ -- Dieu --. (cf. Ac. 4.12).

 Rejetez donc le mauvais levain, vieilli et aigri (cf. 1Co 5.6) et transformez-vous en un levain nouveau, qui est Jésus-Christ. Qu’il soit le sel de votre vie, pour que personne parmi vous ne se corrompe, car c’est à l’œuvre que vous serez jugés.

 Il est absurde de parler de Jésus-Christ et de judaïser. Car ce n’est pas le christianisme qui a cru au judaïsme, mais le judaïsme au christianisme, en qui s’est réunie toute langue qui croit en EL-SHADDAÏ -- Dieu.-- »

Il est prouvé aujourd’hui que les « Lettres » d’Ignace d’Antioche sont plus authentiques que certaines « Lettres » canoniques de Saül de Tarse dit Paul.

Il faudra attendre encore 100, 150 ans avant que le terme « Chrétien » soit dans le langage courant.

 Dans un premier temps, l'enseignement de Jésus le Nazaréen n'est diffusé qu'au sein de la communauté juive, puis, suite à des blocages des responsables des synagogues, l'enseignement s'oriente vers les non-juifs, les païens, aussi appelés les « Gentils ».

« Les Actes des Apôtres et les lettres de Paul laissent entrevoir un certain nombre de dissensions au sein de la première communauté de Jérusalem. Il est ainsi question d’une dissension qui fait l’objet de controverses entre spécialistes des deux courants du Judéo-christianisme : les « Hellénistes » issus de la diaspora juive hellénisante et des « Hébreux » issus de Palestine. »

 Au début du christianisme les contraintes pour ceux qui veulent suivre les enseignements de Jésus le Nazaréen sont nombreuses, particulièrement sur la circoncision.

La suite de ces écritures dans quelques jours.

En attendant portez-vous bien et prenez soins de votre maisonnée, mettant en pratique les Enseignements de Jésus le Nazaréen et les Lois de son Père EL-SHADDAÏ, étant en accord avec votre conscience au moment du repos nocturne.

Salutations cordiales pour tous !

Sig : JP.G dit « GRANDELOUPO »

 


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posté le 17-08-2014 à 17:29:41

Déchéance d'une ...Chap. N° 3 - Les Pères Apostoliques

 

L'Assomption venant de se terminer se Vendredi 15 Août, je reprends le cour de mes « Textes »

Première Religion Mondiale le CHRISTIANISME

 

« N’appeler personne « Père » sur la Terre, car un seul est votre « Père » celui qui est dans les cieux. » ( Épitre des Apôtres IV :1, Matthieu XXIII : 9 )

Alors pourquoi un « Très Saint Père = le Pape », pourquoi nommé un prélat « mon Père » ?

« Notre Père qui est aux cieux … », cela fait bien partie de la prière la plus importante de toute la chrétienté !

« Que ton Nom soit sanctifié… », ton nom ce n’est pas ce nom vulgaire « Dieu » car « Dieu » il en existe des milliers, donc que « ton NOM » comme EL-SHADDAÏ qui signifie Dieu-SHADDAÏ, mais encore « Dieu au-dessus des Montagnes », cela est un « NOM » comme Très-Haut, Tout-Puissant, Roi des Âges, Éternel, Yahvé, etc.

Ce Nom est un nom « Saint » voilà pourquoi il est sanctifier qui signifie vénérer, adorer, glorifier et ce nom ce n’est pas celui de son fils, mais bien le sien à lui, le Dieu seul et unique !

Je viens en une ligne de la Bible, vous démontrer l’erreur du christianisme d’aujourd’hui, et sa déchéance.

Alors voici son histoire et votre liberté d’action car chaque humain est responsable de lui et c’est seul qu’il affrontera le Jugement du Père.

 

Histoire et déchéance de cette Religion

 

Chapitre N° 3

 

Les Pères Apostoliques

 

Jésus le Nazaréen a pour descendance une mère hébraïque dont la généalogie remonte jusqu’au « Prêtre Lévitique » et son père nourricier ait ou serait de descendance Davidique.

Les deux parents ont la religion hébraïque, de l’époque.

En effet, il est difficile pour moi de définir cette religion qui est la mère du christianisme Catholique et Orthodoxe, alors j’opterai pour le « judaïsme »

Le Protestantisme est une religion pieuvre, un embryon du catholicisme.

 Quand à la religion musulmane, elle naîtra d’un homme, Abu-Kasim Muhammad qui sera appelé « Mohammed » par son grand-père et ce prénom sera changé en « Mahomet » par un jeu de syllabes. Cet humain, homme de guerre et fin politicien, même si, il est reconnu qu’il ne savait ni lire, ni écrire, fera un mélange des trois grandes religions monothéistes de son époque c’est-à-dire le judaïsme, le christianisme et le bouddhisme pour créer « sa religion » et l’imposer par les armes.

Aujourd’hui toute la chrétienté confondue et l’islam, représentent sur la Terre, les trois-quarts des religions humaines.

Elles sont les plus importantes dans le Service pour Sammaël, car tueries, massacres, assassinats sont leurs pierres angulaires avec l’idolâtrie pour toutes ces religions sans aucune exception, adultère, pédophilie, pédérastie, hypocrisie, mensonges, etc. 

Les Apôtres et Disciples de Jésus le Nazaréen parcourent la « Terre » faisant des Disciples.

Voilà dix ans que Jésus le Nazaréen est mort.

 L’historicité de certains écrits nous prouve que les Douze se réunissaient une fois par an à la Pâque. Les dissensions étaient grandes entre-eux. Je réitère, Saül de Tarse dit Paul n’était pas un Apôtre, comme veut nous le faire avalée la chrétienté, mais un Disciple de Barnabé, celui-ci l’ayant instruit pendant plus d’un an.

Terme Évêque ( du grec episkopoi « inspecteurs ecclésiastiques », ce mot est la meilleure traduction)

Avant le christianisme, le terme « évêque » était utilisé pour désigner toutes sortes d'administrateurs dans le domaine civil, financier, militaire, judiciaire. Les premiers (episkopoi) Évêques étaient élus par les membres (de l'ekklêsia,) ecclésiastiques, l'assemblée des fidèles, à la manière dont une association élit aujourd'hui ses dirigeants.

Le dimanche qui suivait, le nouvel évêque était consacré comme évêque par l'ensemble des évêques de la province, au moyen de l'imposition des mains, au sein, bien sûr, de la synarchie (autorité exercée par un groupe de personnes) eucharistique.

Dans les premiers temps, un évêque était l'administrateur d'une paroisse, plutôt que d'un diocèse.

Le Nouveau Testament n'était pas encore complété, ils étaient les héritiers d'une tradition orale : l'autorité d'un évêque ne découlait pas de la Bible, mais de sa connexion aussi ténue soit-elle aux apôtres. Les évêques des métropoles se posèrent comme plus importants que ceux de villes plus petites, se réclamant aussi de liens plus directs avec les apôtres.

Ce qu'on appelle la succession apostolique consiste en la consécration d'un nouvel évêque par un, ou plusieurs évêques, eux-mêmes validement consacrés. Le concile de Nicée, 325 de l’EC, a précisé qu'il fallait la présence d'au moins trois évêques. Mais en cas de nécessité, la présence d'un seul suffit.

 Il ne faut pas oublier que l’Apôtre Pierre, fut en premier, Évêque d’Antioche, c’est-à-dire responsable de la communauté des « Nazôréens » de cette ville, puis Évode lui succéda en l’an 60 et en 68 environ Ignace succéda à Évode.

L’Apôtre Pierre ne fut Évêque de Rome que dans le milieu de l’année 60 et qu’il mourût dans cette ville, en l’an 64 de l’EC, persécuté.

Ce que je viens d’écrire ci-dessus nous prouve le mensonge historique de la chrétienté en déclarant Pierre le premier « Pape » alors que celui-ci n’a jamais été le premier Évêque de Rome, mais le troisième ou quatrième.

Ceci étant un fait historique incontesté et incontestable cette religion commence sont histoire sur l’imposture et la tromperie car n’étant pas le premier Évêque de Rome l’écriture dans l’Évangile de Matthieu est bien un ajout grossier de copiste :

Matthieu XVI : 18-19

« Eh bien ! Moi je te dis : Tu es Pierre, et sur cette pierre je bâtirai mon Église, et les Portes de l'Hadès ne tiendront pas contre elle.

Je te donnerai les clefs du Royaume des Cieux : quoi que tu lies sur la terre, ce sera tenu dans les cieux pour lier, et quoi que tu délies sur la terre, ce sera tenu dans les cieux pour délier. » »

Une religion qui a pour fondation des histoires, inventions, hypocrisie ne peut être la religion d’EL-SHADDAÏ, mais celle de Sammaël, nous prouvant qu’il est bien le Roi de ce Monde. Contre ceci, vous mes semblables chrétiens, vous ne pouvez me contredire, à moins que vous ne fassiez l’autruche, cela ne me regardant nullement car il s’agit de votre conscience.

Ce que je peux dire et écrire sur ces versets 18 et 19 de Matthieu c’est que ceux-ci furent ajoutés a l’Évangile de Matthieu au Concile de l’an 325, mais plus sûrement au Concile de Constantinople en 381 selon l’opinion des exégètes spécialistes des mouvements dogmatiques de cette époque.

Entre l’Apôtre Pierre et le Disciple Saül de Tarse dit Paul il y avait beaucoup d’animosité et les historiens se penchent sur ce problème, car selon certains écrits l’un aurait vendu l’autre aux romains.

Comme il n’existera toujours que des suppositions, je ne vais pas m’étendre sur ce dilemme.

Revenons à Évode d’Antioche qui fréquenta l’Apôtre Pierre,

Philippiens IV : 2

« J'exhorte Évode comme j'exhorte Syntychè à vivre en bonne intelligence dans le Seigneur » et qui fit partie des soixante-douze disciples de Jésus le Nazaréen qui assistèrent les douze dans leurs travaux apostoliques. 

Voyons l’histoire du Christianisme primitif et je reviendrai sur certains écrits plus authentiques que certaines Lettres et Épitres canoniques.

D’un point de vue théologique, mais surtout, d'un point de vue historique, le christianisme ne naît pas du vivant de Jésus.

Le terme presbytre (du grec presbutéros) désigne l'« ancien » ou l' « aîné » en grec classique avant de désigner une fonction de responsable et de conseiller de communauté dans les premières communautés chrétiennes.

Les presbytres s'occupent de l'organisation de la communauté et de la gestion de ses biens, tout en étant investi d'autorité et de pouvoir sacramentel. Le presbytre relève également de la mission pastorale et de la succession apostolique comme le mentionnent déjà la première Épître de Pierre et les Actes des Apôtres.

I Pierre V : 1-4

« Les anciens qui sont parmi nous, je les exhorte, moi, ancien comme eux, témoin des souffrances du Messie, et qui dois participer à la gloire qui va être révélée.

Paissez le troupeau d’EL-SHADDAÏ qui vous est confié, veillant sur lui, non par contrainte, mais de bon gré, selon EL-SHADDAÏ ; non pour un gain sordide, mais avec l'élan du cœur ; non pas en faisant les seigneurs à l'égard de ceux qui vous sont échus en partage, mais en devenant les modèles du troupeau.

Et quand paraîtra le Chef des Pasteurs, vous recevrez la couronne de gloire qui ne se flétrit pas. »

 La fonction semble relever du rôle de l'ancien dans la tradition juive et la fonction presbytérale se calque sur l'organisation synagogale dirigée par des Anciens. A l'instar de ceux-ci, les presbytres sont présentés comme gardiens de la Tradition et les défenseurs de l'orthodoxie.

Réfléchissez bien sur les versets écrits ci-dessus et posez-vous la question :

« Est-ce que ceux qui me dirigent, m’enseignent, mettent en pratique les versets ci-dessus ? Sont-ils des modèles, des parangons ? »

Le christianisme primitif

Le christianisme est une religion abrahamique fondée sur la vie et les enseignements de Jésus de Nazareth, Nouveau Testament, ainsi que les Lois et Préceptes de son Père géniteur EL-SHADDAÏ, Ancien Testament, qui se définit comme un courant religieux monothéiste. Les premières confessions sont apparues au sein du judaïsme après la crucifixion de Jésus de Nazareth par les autorités romaines de la province de Judée au premier siècle.

Les historiens écrivent :

« Les premiers chrétiensle mot n’existait pas encore — ne sont pas perçus en Judée autrement que comme une des nombreuses sectes au sein du judaïsme au tournant de l’ère chrétienne, dont les plus importants sont les Pharisiens, les Sadducéens, les Zélotes et les Esséniens. »

« Les sources contemporaines concernant cette période sont peu nombreuses. Les Actes des Apôtres datés des années 80-90 se veulent l’histoire du mouvement Nazôréen au cours des premières années après la mort du Christ. Ce terme, « Christ », comme celui de « chrétien », n’est pas encore employé dans le langage oral du début du christianisme. Il faudra attendre deux à trois siècles, la réécriture et le remaniement de toutes ces Lettres, Épîtres, Évangiles, deux milles environs circulaient librement, pour que ces termes soit officiels et remplacent « Messie, Oint » par « Christ » qui sera accolé à Jésus, celui-ci devenant « Jésus-Christ », ainsi que Nazôréen, Nazarénien, Nazaréen, Nazareth, par « Chrétien » Nous savons que les Livres, Lettres, Épîtres, Évangiles furent choisis arbitrairement et autoritairement par l’Empereur romain Constantin le Grand, sous les conseils du théologiens Eusèbe de Césarée, son ami,  au Concile de Nicée en 325 de EC. Après la traduction des textes hébreux, araméens, grecs avec les changements d’interprétation citée plus avant, la réunion de tous ces Écrits formèrent le Canon Biblique avec l’Ancien Testament pour les textes des Septante et le Nouveau Testament pour tous les écrits se rapportant au Galiléen. »

Autre sources :

« En résumé il ne faut pas oublier que Lettres, Épitres, Évangiles ont été particulièrement remanié jusqu’au IVème siècle et ceux qui suivirent, voilà pourquoi le terme « Chrétien », remplaça les noms de « Nazôréen, Nazarénien, Nazaréen » dans les Actes des Apôtres et que les termes Nazôréen, Messie, Oint dans les Évangiles furent remplacés et adoptés par le terme « Christ» »

A cette époque, Antioche était une ville riche et cosmopolite dans laquelle habitaient des juifs hellénisés et des païens. La ville avait donc connu des influences monothéistes. Ici est né le terme « chrétien » pour les païens de langue grecque qui ont reçu le baptême.

Pierre, puis Évode et enfin Ignace furent Évêque d’Antioche.

Ignace, qui se donnait aussi le nom de « Théophore », c'est-à-dire, « qui porte EL-SHADDAÏ en lui, » avait été probablement un disciple des Apôtres Pierre et Jean.

Plusieurs de ses lettres nous sont parvenues. On le considère en général comme l'un des premiers Pères Apostoliques.

Polycarpe de Smyrne, né vers 69 ou 89 et mort en 155 ou 167, selon les sources, était évêque de Smyrne, aujourd'hui Izmir en Turquie, Asie mineure.

Il est un disciple de l'Apôtre Jean qui, vers la fin de sa vie, s'était établi non loin de là, à Éphèse et à Patmos. Il remplit les fonctions de son ministère pendant environ 70 ans.

Certaines sources le désignent comme étant le père spirituel d’Irénée de Lyon, à qui il aurait transmis la tradition johannique.

Polycarpe accueillit en sa ville de Smyrne l'évêque d'Antioche, Ignace, condamné « ad bestias » dans les arènes de Rome. Les deux évêques deviennent amis et Ignace d'Antioche lui écrira d’Alexandria Troas sur la mer Égée, aujourd’hui Kalafat en Turquie, une lettre le remerciant de son accueil et lui demandant d'envoyer des ecclésiastiques soutenir sa communauté à Antioche. C'est vraisemblablement grâce à Polycarpe que l'on a conservé le corpus des sept lettres d'Ignace, en les répandant dans les communautés d'Asie mineure. Lorsqu'éclate la persécution commandée par l'empereur et philosophe Marc-Aurèle, Polycarpe de Smyrne est très âgé. Il tient tête au proconsul qui l'interroge. Il est brûlé vif en 167 (ou 155).

Prochainement la suite de ces Textes !

En attendant prenez soin de vous et de vos proches !

Portez-vous bien ! …

Salutations cordiales à tous

Sig : JP.G. dit  « GRANDELOUPO »

 


Commentaires

 
 
 
posté le 09-08-2014 à 00:59:34

L'Assomption

 

 

Ascension de Marie

 

 

Petite Interlude

 

Fêtes de toute la Chrétienté

 

La chrétienté a un nombre incalculable de fêtes pour ses « Saints » qui change de nom chaque année, car on en arrive à avoir des saints du nom de « Mohamed », « Lydia », « Abdoulh », etc, mais cette chrétienté à aussi un calendrier de fêtes fixes inventées par « Eux » comme celle ci-dessous.

Fête du 15 Août où les fidèles prient une statue représentant la Vierge Marie.

 

L’ASSOMPTION

 

Qu’est-ce que « l’Assomption » ?

Quelle est son origine ?

C’est une fête « Chrétienne » !

De toute la chrétienté, catholique, orthodoxe et protestante !

Aucun texte biblique ne mentionne « une élévation de Marie » nommée « Assomption » par les « Catholiques », ni une « Dormition » nommée par les « Orthodoxes ».

Au IVème siècle, Épiphane de Salamine souligne que nul ne sait ce qu'il est advenu de Marie à la fin de sa vie. La tradition à ce sujet n'est pas attestée avant le Vème siècle.

Une tradition d’un manuscrit syriaque rapporte que la mort et l'Assomption de Marie, mère de Jésus le Nazaréen a lieu à Éphèse, dans la maison connue aujourd'hui comme la « Maison de la Vierge Marie », accompagnée de l'apôtre Jean, à qui le Christ, sur la croix, avait confié Marie.

Le fait est qu’il est à peu près certain que la Mère de Jésus le Nazaréen, Marie est décédé à Éphèse en présence de l’Apôtre Jean et que son corps ne goûta pas l’odeur de la terre et fut enlevé comme beaucoup : exemple Hénoch, Moïse, Élie et tous ceux que j’oublie.

Reconnaissons que l’Apôtre Jean fait un silence de plomb sur la mort de Marie et de son « Élévation » aux Cieux.

Au VIème siècle, l'empereur byzantin Maurice instaure dans son empire, la fête de la  «  Dormition de la Vierge Marie » chaque année à la date du 15 août.

En occident, le Concile de Mayence, en 813 instaure à son tour la fête du 15 août sous le nom de fête de l'Assomption de la Vierge Marie.

La gué-guerre commence !

Le terme « Assomption » provient du verbe latin assumere, qui signifie « prendre », « enlever ».

L'Assomption de Marie est un dogme de l'Église catholique romaine --- { Dans son sens propre, le mot « dogme » -- [ mot attesté en 1580, issu du latin ecclésiastique dogma, lui-même du grec [dogma], « opinion »] -- appartient au vocabulaire philosophique et religieux. Il est d'origine philosophique puis devient religieux avec le christianisme.

Un dogme est une affirmation considérée comme fondamentale, incontestable et intangible par une autorité politique, philosophique ou religieuse qui emploiera dans certains cas la force pour l'imposer. Historiquement, le dogme a été une formulation de foi, utilisé lorsque le critère de conformité à celle-ci, devait être utilisé par le pouvoir judiciaire, lorsque le pouvoir temporel sanctionnait pénalement les déviations par rapport à l'orthodoxie.} ---  selon lequel, au terme de sa vie terrestre, la mère de Jésus aurait été « élevée au ciel »

Pour le moment rien n’est biblique, tout a été décrété par les humains.

Nous sommes bien dans un contexte d’idolâtrie.

Continuons pour savoir !

 Le mot dormition -- en grec kimisis -- est usité, dans le vocabulaire chrétien pour désigner la mort des saints et des fidèles pieux, quand ce n'est pas une mort violente.

Il existe de très nombreux textes de la Dormition ou l’Assomption de Marie, mère de Jésus le Nazaréen, connus sous le titre générique de « Transitus Mariae » relatant des faits après sa mort.

On connaît, en effet, de multiples recensions de ces écrits en syriaque, grec, copte, arabe, éthiopien, latin, géorgien, arménien et slave.

 Comme rien n’est dit au sujet de la fin de Marie dans le Nouveau Testament, l’influence de ces écrits a été d’autant plus considérable dans les Églises chrétiennes catholiques en Occident et orthodoxe en Orient.

Les manuscrits les plus connus et les plus anciens sur l’Assomption ou Dormition de Marie viennent d’un Pseudo-Jean écrit en grec et un Pseudo-Jacques écrit en syriaque. Il semblerait que l’écrit grec serait l’original et le plus ancien d’après les spécialistes en étude biblique. { Clavis apocryphorum Novi Testamenti, Bibliothéca hagiographica greca --- Étude historico-doctrinale, Vatican 1944, p.121 }

Il y a très peu de différence entre le texte grec et syriaque. L’original grec aurait été écrit  dans le courant du Vème siècle.

Comme je l’ai écrit ci-dessus la « Dormition de Marie » est le plus vieux manuscrit d’un ensemble de textes apocryphes, appelés collectivement le « Transitus Mariae » daté généralement du Vème siècle. Cet ensemble de textes connus explicitement par l’Évêque de Rome ( pape ) Gélase Ier furent, en 495-496, déclarés apocryphes, comme étant « à ne pas retenir » par celui-ci. Ce jugement portait sur la compilation et non sur la croyance qu’elle détenait en elle-même.

Vous constatez qu’il n’y a toujours rien de biblique !

Continuons les faits historiques !

Je n’invente rien !

En effet, il est bon de connaître un peu d’histoire sur ce christianisme et sur ces fêtes religieuses.

En 451 à lieu le quatrième Concile œcuménique en la Basilique de Sainte Euphémie à Chalcédoine, aujourd’hui Kadiköy, un quartier chic asiatique d’Istanbul sur la rive occidentale.

Convoqué par l’empereur byzantin Marcien et son épouse l’impératrice Pulchérie le 8 octobre 451, 343 évêques, un record, dont 4 viennent d’Occident, redéfinissent la notion de personne :

a) comme le principe de différenciation relationnelle au sein du mystère d’un Dieu à la fois un et trine. (--- c’est-à-dire une Trinité ---)

b) comme le principe d’unité et d’identité, dans le cas des deux natures, dans la personne unique du Christ.

Pour la Vierge Marie, ce Concile décrète qu’elle sera désormais appelée « Mère de Dieu » ou « Théotokos ».

Toujours à ce Concile, l’évêque de Rome, Léon le Grand, refusera d’accepter le vingt-huitième Canon du Concile qui, en attribuant à la ville de Constantinople -- Istanbul -- le titre de « Nouvelle Rome », lui accordait de ce fait la primauté sur les autres patriarcats.

Par ce Concile nous voyons que la chrétienté se dessine une « Trilogie » c’est-à-dire « Un en Trois ».

Ce n’est plus du monothéisme !

Mais aussi le commencement de la séparation de la chrétienté en deux Églises qui se feront la guerre. Même de nos jours ces deux clans chrétiens s’acceptent difficilement.

Les enseignements de Jésus le Nazaréen, -- votre Jésus-Christ -- de ses Apôtres et Disciples sont bien loin ainsi que ce onzième commandement qui est aux oubliettes.

Vous remarquerez que ces humains décrètent que Marie sera appelée « Mère de Dieu », alors que la Bible dit bien qu’il n’existe qu’un seul et unique « Dieu ».

Aucune décision prise n’est biblique !

Se n’est pas fini car il y a encore plus fort ! …

Le terme « immaculée » signifie pure et sans tache.

L’Immaculée Conception de Marie est un dogme de l’Église catholique, défini le 8 décembre 1854 par le Pape Pie IX dans sa bulle « Ineffabilis Deus »

[ -- Une « bulle », que l’on appelle pontificale ou papale, est un document originel scellé par un sceau, par lequel le Pape pose un acte juridique important, une nomination épiscopale, une définition dogmatique, la convocation d’un Concile, une canonisation, etc. Le document relève du gouvernement pastoral de l’Église, et présente un intérêt pour l’ensemble des fidèles.

A l’origine, le terme désigne le sceau de métal, en plomb ou en or, attaché à un document pour l’authentifier. La chancellerie papale commence au VIème siècle à authentifier ses documents d’un sceau de plomb, -- la bulla -- pour les ordinaires, d’un sceau -- une bulla -- en or ou argent pour les plus importants.

A partir du XIIIème siècle les documents qui portaient ce sceau furent eux-mêmes nommés bulles. Depuis le XVème siècle le terme est réservé aux lettres apostoliques scellées du sceau de plomb.--]

Le dogme signifie que Marie, mère de Jésus le Nazaréen, -- Jésus-Christ pour vous chrétien -- fut conçue exempte du « péché originel »

La bulle déclare :

« Nous déclarons, prononçons et définissons que la doctrine, qui tient que la bienheureuse Vierge Marie a été, au premier instant de sa conception par une grâce et une faveur singulière du Dieu tout-puissant, en vue des mérites de Jésus-Christ, Sauveur du genre humain, préservée intacte de toute souillure du péché originel, est une doctrine révélée de Dieu, et qu’ainsi elle doit être cru fermement, et constamment par tous les fidèles. »

Depuis 1477 par décision du Pape Sixte IV, la naissance supposée de Marie se fête un 8 décembre ; c’est l’Immaculée Conception. Cette fête fut confirmée par Clément XI en 1708. Elle est à l’origine de la « Fête des Lumières » célébrée chaque année à Lyon à cette date.

Voyons la réalité ! Il est impératif que Marie, la femme qui façonnera l’être humain qui sera appelé de son vivant « Jésus le Nazôréen », « Jésus de Nazareth », « Jésus fils du Charpentier » soit parfaite de corps, c’est-à-dire sans la tare génétique d’Adam et Ève.

Le Protévangile de Jacques qui fut écrit à la fin du règne d’Hérode Antipas en Palestine dans cette période trouble où complot, trahison, était monnaie courante, d’où la destitution de ce dernier avec l’aide de son successeur, Hérode Agrippa Ier, auprès de l’Empereur Romain Caligula, qui pour finir l’exilera en Gaulle.

Joachim et Anne après vingt ans de vie commune n’avaient toujours pas de postérité et pourtant ils étaient fidèles devant EL-SHADDAÏ. Ils jurèrent devant ce dernier que si, ils avaient une postérité garçon ou fille cet enfant serait dédié à EL-SHADDAÏ.

Protévangile de Jacques VII : 2-3 à VIII : 1

« 2. L'enfant eut trois ans. Joachim dit :

« Appelons les filles des Hébreux, celles qui sont sans tache. Que chacune prenne un flambeau et le tienne allumé : ainsi, Marie ne se retournera pas et son cœur ne sera pas retenu captif hors du temple du Seigneur. »

L'ordre fut suivi, et elles montèrent au temple d’EL-SHADDAÏ. Et le prêtre accueillit l'enfant et l'ayant embrassée, il la bénit et dit :

« Le Seigneur Dieu a exalté ton nom parmi toutes les générations. En toi, au dernier des jours, El-Shaddaï manifestera la rédemption aux fils d'Israël. »

3. Et il la fit asseoir sur le troisième degré de l'autel. Et EL-SHADDAÏ répandit sa grâce sur elle. Et ses pieds esquissèrent une danse et toute la maison d'Israël l'aima.

8.1. Ses parents descendirent, émerveillés, louant et glorifiant EL-SHADDAÏ souverain qui ne les avait pas dédaignés. Et Marie demeurait dans le temple du Seigneur, telle une colombe, et elle recevait sa nourriture de la main d'un ange. »

Par la bénédiction d’EL-SHADDAÏ sur les marches de l’autel, Marie était purifiée de la tare adamique et avait maintenant un corps parfait. Voici la suite

Protévangile de Jacques VIII : 2-3 à IX : 1-3

« 2. Quand elle eut quatorze ans, les prêtres se consultèrent et dirent :

 « Voici que Marie a quatorze ans, dans le temple d’El-Shaddaï. Que ferons-nous d'elle, pour éviter qu'elle ne rende impur le sanctuaire du Seigneur notre Dieu ? »

Et ils dirent au grand-prêtre :

« Toi qui gardes l'autel d’EL-SHADDAÏ, entre et prie au sujet de cette enfant. Ce que le Seigneur te dira, nous le ferons. »

3. Et le prêtre revêtit l'habit aux douze clochettes pénétra dans le Saint des Saints et se mit en prière. Et voici qu'un ange d’El-Shaddaï apparut, disant :

« Zacharie, Zacharie, sors et convoque les veufs du peuple. Qu'ils apportent chacun une baguette. Et celui à qui El-Shaddaï montrera un signe en fera sa femme. »

Des hérauts s'égaillèrent dans tout le pays de Judée et la trompette du Seigneur retentit, et voici qu'ils accoururent tous.

9.1. Joseph jeta sa hache et lui aussi alla se joindre à la troupe. Ils se rendirent ensemble chez le prêtre avec leurs baguettes. Le prêtre prit ces baguettes, pénétra dans le temple et pria. Sa prière achevée, il reprit les baguettes, sortit et les leur rendit. Aucune ne portait de signe. Or Joseph reçut la sienne le dernier. Et voici qu'une colombe s'envola de sa baguette et vint se percher sur sa tête. Alors le prêtre :

« Joseph, Joseph, dit-il, tu es l'élu : c'est toi qui prendras en garde la vierge d’EL-SHADDAÏ. »

2. Mais Joseph protesta :

« J'ai des fils, je suis un vieillard et elle est une toute jeune fille. Ne vais-je pas devenir la risée des fils d'Israël ? »

« Joseph, répondit le prêtre, crains le Seigneur ton Dieu, et souviens-toi du sort qu’EL-SHADDAÏ a réservé à Dathan, Abiron et Corê. La terre s'entrouvrit et les engloutit tous à la fois, parce qu'ils lui avaient résisté. Et maintenant, Joseph, crains de semblables fléaux sur ta maison ! »

3. Très ému, Joseph prit la jeune fille sous sa protection et lui dit :

« Marie, le temple d’El-Shaddaï t'a confiée à moi. Maintenant je te laisse en ma maison. Car je pars construire mes bâtiments. Je reviendrai auprès de toi. EL-SHADDAÏ te gardera. » »

Dans ce texte nous trouvons un Joseph charpentier comme un homme étant connu et ayant du travail. Ce n’est pas ce miséreux de l’iconographie biblique qui a du mal à nourrir sa famille, dans ce Protévangile de Jacques c’est absolument le contraire et personnellement j’opterai pour cette seconde solution.

Toujours avec ce Protévangile, Marie ne fut pas couverte par un « Esprit-Saint » quelconque.

Protévangile de Jacques XI : 3

« 3. Et voici que l'ange, toujours devant elle, lui répondit :

« Non, Marie. Car la puissance d’EL-SHADDAÏ te prendra sous son ombre. Aussi l’enfant qui naîtra sera-t-il appelé le fils du Très-Haut. Tu lui donneras le nom de Jésus, car il sauvera son peuple de ses péchés. »

Et Marie dit alors :

« Me voici devant lui sa servante ! Qu'il m'advienne selon ta parole. » »

Il est bien question de la puissance d’EL-SHADDAÏ qui posera le spermatozoïde dans l’ovule féminin. Tout est « SAIN », la fécondation, le corps féminin, il ne peut naître qu’un enfant « SAIN » et non comme la chrétienté « Saint », car là tout est propre, pur, cristallin, limpide, sans tache.

Il est prouvé que la vie de Marie fut exemplaire et qu’elle fut une grande prophétesse pour son fils unique et qu’elle n’a jamais eu d’autre enfant que celui-là, donc sans beaucoup me tromper elle resta vierge toute sa vie.

Je ne comprendrai jamais cette hypocrisie littéraire de la part des historiens et exégètes qui connaissent parfaitement les Lois du judaïsme et qui les mettent en premiers pour expliquer la vie religieuse des hébreux et qui la réfutent avec « les frères et sœurs » de Jésus-Christ, Jésus le Nazôréen pour moi. En effet se sont les enfants males d’une famille qui donnent le statut à leur mère. Alors Jésus le Nazôréen étant un « hébreu, juif pour la langue française » qui est venu « non pour abolir la Loi mais pour l’accomplir complètement », je vois mal cet homme là, cloué sur le « Tau » de la torture romaine, confier sa mère au Disciple qu’il aimait le plus, c’est-à-dire Jean, s’il avait eu des « frères selon la chair ». Il est quand même écœurant que personne sur « Wikipédia » n’est soulevé « un lièvre aussi gros ».

Cela nous donne la certitude que Jésus le Nazôréen n’a jamais, j’écris bien jamais eu de frères et encore moins de sœurs tout au plus des cousins germains et encore, mais sûrement des cousins par alliance ou comme l’on dit en degré.

L'Immaculée Conception n'est mentionnée dans aucun texte jugé canonique par les Églises chrétiennes.

Après la naissance revenons à la mort de Marie.

Ce que j’écris est malheureusement la vérité et l’histoire de cette religion.

Le 1er novembre 1950 l'Assomption de Marie est établie sous forme de dogme par la constitution apostolique « Munificentissimus Deus » du pape Pie XII.

« En l'autorité de notre Seigneur Jésus-Christ, des bienheureux Apôtres Pierre et Paul, et par notre propre autorité, nous prononçons, déclarons, et définissons comme un dogme divinement révélé que l'Immaculée Mère de Dieu, la Vierge Marie, après avoir achevé le cours de sa vie terrestre, fut élevée corps et âme à la gloire céleste »

— Constitution dogmatique Munificentissimus Deus, b. 44.

Par la suite, la constitution dogmatique « Lumen gentium du Concile Vatican II de 1964 » a énoncé :

«  Enfin, la Vierge Immaculée, préservée de toute tache de la faute originelle, au terme de sa vie terrestre, fut élevée à la gloire du ciel en son âme et en son corps et elle fut exaltée par le Seigneur comme Reine de l'univers afin de ressembler plus parfaitement à son Fils, Seigneur des seigneurs et vainqueur du péché et de la mort. »

— Constitution dogmatique Lumen Gentium sur l'Eglise, b. 59

Depuis la déclaration d’infaillibilité pontificale par Vatican I en 1870, cette déclaration de Pie XII constitue la seule utilisation de l'infaillibilité papale « ex cathedra »

Je viens de vous exposer les textes des plus hauts dirigeant de la chrétienté, Évêque ou Pape.

Comme moi, vous remarquerez qu’il n’existe rien de biblique dans cette fête religieuse de l’Assomption ou Dormition. Toute cette histoire est une invention pure et simple d’êtres humains imparfaits.

Pour prendre Jésus le Nazaréen à témoin avec Apôtre et Disciple, -- «  En l'autorité de notre Seigneur Jésus-Christ, des bienheureux Apôtres Pierre et Paul, et par notre propre autorité … » il faut avoir un certain sens moral mauvais, mais surtout une vanité et un orgueil inimaginable. Le blasphème ne dérange pas ces humains là !

Aller écrire que Marie est « la Mère de Dieu », connaissant les « Écritures », il faut être un bon « Serviteur de Sammaël », -- Satan -- et  railler l’Ancien Testament avec une certaine insolence.

Quand je pense, que se sont ces humains qui dirigent cette Religion, que je suis heureux de l’avoir quitté et être considéré par ses fidèles comme un « Païen ».

Remarquez la fourberie des « Dirigeants » de cette « Église » qui en font une religion hypocrite. Ce n’est pas une insulte de dire et d’écrire une réalité !

En effet, en déclarant au Concile de Chalcédoine en 451, que Marie est la « Mère de Dieu », puis en 1854 qu’elle est « Immaculée », en suite en 1950 qu’elle est « Immaculée et Mère de Dieu », ces Évêques et Papes, placent Jésus-Christ --- Jésus le Nazaréen pour moi --- comme un « Dieu » égal à son Père.

Je ne suis pas un imbécile et je sais compter, donc « Dieu le Père » plus « Dieu le Fils » cela fait deux « Dieux », Marie étant la « Mère de Dieu, du Dieu Jésus-Christ ».

Je suis certain qu’un grand nombre de chrétiens vont réfuter ces écrits, faisant l’autruche, ce qui est une facilité pour ne pas voir volontairement la vérité.

Je suis bien obligé, par amour pour mes semblables, de leur faire remarquer que cette religion chrétienne est une religion idolâtre, et que, les Enseignements de Jésus le Nazaréen ne font plus recettes dans cette religion.

Cet interlude terminé, je reprends le cours de mes écrits.

En attendant portez-vous bien et prenez soin de vous.

Salutations cordiales.

Sig: JP.G. dit « Grand-Loup » ou « GRANDELOUPO »

 


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posté le 02-08-2014 à 08:49:37

Déchéance d'une ...Chap. N° 2 - Pratiquer les enseignements

 

 

 

« A la fortune du pot »

 

Première Religion Mondiale le CHRISTIANISME

 

« N’appeler personne « Père » sur la Terre, car un seul est votre « Père » celui qui est dans les cieux. » ( Épitre des Apôtres IV :1, Matthieu XXIII : 9 )

Alors pourquoi un « Très Saint Père = le Pape », pourquoi nommé un prélat « mon Père » ?

« Notre Père qui est aux cieux … », cela fait bien partie de la prière la plus importante de toute la chrétienté !

« Que ton Nom soit sanctifié… », ton nom ce n’est pas ce nom vulgaire « Dieu » car « Dieu » il en existe des milliers, donc que « ton NOM » comme EL-SHADDAÏ qui signifie Dieu-SHADDAÏ, mais encore « Dieu au-dessus des Montagnes », cela est un « NOM » comme Très-Haut, Tout-Puissant, Roi des Âges, Éternel, Yahvé, etc.

Ce Nom est un nom « Saint » voilà pourquoi il est sanctifier qui signifie vénérer, adorer, glorifier et ce nom ce n’est pas celui de son fils, mais bien le sien à lui, le Dieu seul et unique !

Je viens en une ligne de la Bible, vous démontrer l’erreur du christianisme d’aujourd’hui, et sa déchéance.

Alors voici son histoire et votre liberté d’action car chaque humain est responsable de lui et c’est seul qu’il affrontera le Jugement du Père.

 

Histoire et déchéance de cette Religion

 

Chapitre N° 2

 

Pratiquer les Enseignements

 

La généralité étant écrite, voyons le développement et la transformation des Enseignements de Jésus le Nazôréen, Jésus-Christ pour la chrétienté, et des Lois et Préceptes de son Père géniteur que je nomme EL-SHADDAÏ, Dieu pour la chrétienté.

En effet, je réitère ce que je vous aie déjà écrit. Je nomme le Dieu « DIEU » des chrétiens, EL-SHADDAÏ, comme le nommait ABRAHAM et ses descendants jusqu’à Moïse car sur la Terre toute chose porte un NOM et le terme d’appellation du Dieu unique, « DIEU », est pour moi vulgaire et là, commence l’hypocrisie, le christianisme étant un embryon du judaïsme.

Jésus le Nazaréen né en l’an -7 de J-C, et en l’an 33 de l’ « Ère Commune --EC -- » décède par la torture romaine de la crucifixion à l’âge de quarante ans. Le nombre « quarante » ayant beaucoup de symbolisme dans les Écritures de l’Ancien et Nouveau Testament. Comme exemples rapides, Moïse reste quarante jours sur le Mont Sinaï, Jésus le Nazaréen se retire quarante jours dans le désert, etc …De la naissance à la mort de cet humain les « Prophéties » se réalisent toutes sans aucune exception de la plus ancienne à la plus ressente, de la « Païenne » à la religieuse, pas une seule ne manque.

Jésus le Nazaréen parlant de sa personne cite : ceci se passe après la résurrection

En premier Luc XXIV : 25-27 et après les versets 44-49

Ne fallait-il pas que le Messie endurât ces souffrances pour entrer dans sa gloire ? » « O cœurs sans intelligence, lents à croire à tout ce qu'ont annoncé les Prophètes ! »

 Et, commençant par Moïse et parcourant tous les Prophètes, il leur interpréta dans toutes les Écritures ce qui le concernait.

Puis il leur dit :

 « Telles sont bien les paroles que je vous ai dites quand j'étais encore avec vous : il faut que s'accomplisse tout ce qui est écrit de moi dans la Loi de Moïse, les Prophètes et les Psaumes. »

Alors il leur ouvrit l'esprit à l'intelligence des Écritures, et il leur dit :

« Ainsi est-il écrit que le Christ souffrirait et ressusciterait d'entre les morts le troisième jour, et qu'en son Nom le repentir en vue de la rémission des péchés serait proclamé à toutes les nations, à commencer par Jérusalem.

De cela vous êtes témoins.

 Et voici que moi, je vais envoyer sur vous ce que mon Père a promis. Vous donc, demeurez dans la ville jusqu'à ce que vous soyez revêtus de la force d'en-haut. »

Je profite de ces versets biblique pour vous faire constater que Jésus le Nazaréen, Jésus-Christ pour vous chrétien, n’est pas un Dieu et n’est pas égal à son Père puisque les Apôtres ont besoin du Souffle d’Intelligence « d’En Haut … » en plus de celui de Jésus.

L’humain n’a plus besoin de « Prophète », « Grand-Prêtre », « Prêtre », « Presbytre » tout a été dit et écrit, tout a été expliqué avec des exemples afin que l’humain comprenne bien et ne puisse dire :

 « Je ne savais pas ».

La prophétie sur ce que je viens d’écrire ci-dessus est bien existante, voir l’Épître de Barnabé chapitre II :

1. Puisque les jours sont mauvais, que l'ennemi est à l'œuvre et qu'il en a reçu le pouvoir, il nous faut veiller sur nous-mêmes et rechercher les commandements du Seigneur EL-SHADDAÏ.

2. Or, la foi est secourue par la crainte et la patience, nos alliées sont la longanimité et la tempérance.

3. Lorsque ces vertus demeurent sans atteinte devant EL-SHADDAÏ, la sagesse, l'intelligence, la science et la connaissance viennent leur tenir compagnies dans la joie.

4. Il nous a dit clairement par tous les Prophètes qu'il n'a que faire des sacrifices, des holocaustes ou des offrandes. Il dit, par exemple :

5. « Que m'importent vos innombrables sacrifices ? » dit le Seigneur EL-SHADDAÏ
« Je suis rassasié des holocaustes, la graisse des agneaux, le sang des taureaux et des boucs, je n'en veux point, pas davantage quand vous venez vous présenter devant moi.

 Qui donc vous a invités à m'offrir ces dons de vos mains ?

N'allez pas fouler de nouveau mes parvis. Si vous m'offrez de la fleur de farine, c'est en vain, l'encens m'est en horreur. Vos nouvelles lunes et vos sabbats, je ne les supporte plus ! »

6. Il a donc abrogé tout cela afin que la nouvelle loi de notre Seigneur Jésus-Christ soit libre du joug de la nécessité, qu'elle ne connaisse pas l'offrande faite de main d'homme.

7. Il leur dit encore :

 « Est-ce que j'ai prescrit à vos pères, quand ils sortirent d'Égypte, de m'offrir des holocaustes et des sacrifices ?

8. Non, mais voici la prescription que je leur ai faite : Ne méditez pas en vos cœurs du mal l'un contre l'autre, chacun contre son prochain. N'aimez pas le faux serment ».

9. Nous devons donc comprendre, si nous ne sommes pas sans intelligence, l'intention toute de bonté de notre Père, et que, s'il nous parle, c'est qu'il veut nous voir rechercher, sans nous égarer comme ceux-là, le vrai moyen de nous approcher de lui.

10. Il nous dit donc :

« Le sacrifice pour le Seigneur EL-SHADDAÏ, c'est un cœur brisé, le parfum de bonne odeur pour le Seigneur EL-SHADDAÏ, c'est un cœur qui rend gloire à son Créateur.

 Nous devons donc, frères, nous appliquer avec beaucoup de soin à notre salut, pour empêcher l'ennemi d'insinuer en nous l'égarement et de nous précipiter hors de notre vie. »

Maintenant que je viens de vous poser les versets du chapitre II de l’Épître de Barnabé qui est un Disciple de Jésus le Nazaréen de son vivant, et qui a été pendant plus d’un an l’Enseignant de Saül de Tarse, dit Paul, voici les correspondances Bibliques afin de vous prouver l’authenticité de ce « Livre » rejeté par le christianisme.

Isaïe I : 10 - 17

« Écoutez la parole d’EL-SHADDAÏ Yahvé, chefs de Sodome, prêtez l'oreille à l'enseignement d’EL-SHADDAÏ notre Dieu, peuple de Gomorrhe !

Que m'importent vos innombrables sacrifices, dit El-Shaddaï Yahvé. Je suis rassasié des holocaustes de béliers et de la graisse des veaux. Au sang des taureaux, des agneaux et des boucs, je ne prends pas plaisir.

Quand vous venez vous présenter devant moi, qui vous a demandé de fouler mes parvis ?

N'apportez plus d'oblation vaine : c'est pour moi une fumée insupportable ! Néoménie, ( fête de la nouvelle lune ) sabbat, assemblée, je ne supporte pas fausseté et solennité.

Vos néoménies, vos réunions, mon âme les hait ; elles me sont un fardeau que je suis las de porter.

Quand vous étendez les mains, je détourne les yeux ; vous avez beau multiplier les prières, moi je n'écoute pas. Vos mains sont pleines de sang : lavez-vous, purifiez-vous ! Ôtez de ma vue vos actions perverses ! Cessez de faire le mal, apprenez à faire le bien ! Recherchez le droit, redressez le violent ! Faites droit à l'orphelin, plaidez pour la veuve ! »

Jérémie VII : 22-24

« Car je n'ai rien dit ni prescrit à vos pères, quand je les fis sortir du pays d'Égypte, concernant l'holocauste et le sacrifice.

Mais voici ce que je leur ai ordonné : Écoutez ma voix, alors je serai votre Dieu et vous serez mon peuple. Suivez en tout la voie que je vous prescris pour votre bonheur.

Mais ils n'ont pas écouté ni prêté l’oreille ; ils ont marché selon leurs desseins, dans l'obstination de leur cœur mauvais, tournés vers l'arrière et non vers l'avant. »

Isaïe LVIII : 4-10

 « C'est que vous jeûnez pour vous livrer aux querelles et aux disputes, pour frapper du poing méchamment. Vous ne jeûnerez pas comme aujourd'hui, si vous voulez faire entendre votre voix là-haut !

Est-ce là le jeûne qui me plaît, le jour où l'homme se mortifie ? Courber la tête comme un jonc, se faire une couche de sac et de cendre, est-ce là ce que tu appelles un jeûne, un jour agréable à El-Shaddaï Yahvé ?

N'est-ce pas plutôt ceci, le jeûne que je préfère : défaire les chaînes injustes, délier les liens du joug ; renvoyer libres les opprimés, et briser tous les jougs ?

N'est-ce pas partager ton pain avec l'affamé, héberger chez toi les pauvres sans abri, si tu vois un homme nu, le vêtir, ne pas te dérober devant celui qui est ta propre chair ?

Alors ta lumière éclatera comme l'aurore, ta blessure se guérira rapidement, ta justice marchera devant toi et la gloire d’EL-SHADDAÏ Yahvé te suivra.

Alors tu crieras et EL-SHADDAÏ Yahvé répondra, tu appelleras, il dira : Me voici ! Si tu bannis de chez toi le joug, le geste menaçant et les paroles méchantes, si tu te prives pour l'affamé et si tu rassasies l'opprimé, ta lumière se lèvera dans les ténèbres, et l'obscurité sera pour toi comme le milieu du jour

EL-SHADDAÏ Yahvé sans cesse te conduira, il te rassasiera dans les lieux arides, il donnera la vigueur à tes os, et tu seras comme un jardin arrosé, comme une source jaillissante dont les eaux ne tarissent pas. »

Matthieu XXV : 34-40 Il s’agit du jugement des humains de la Terre avec, un rappel du temps présent, des enseignements que son Père EL-SHADDAÏ promulguait à son peuple comme écrit ci-dessus dans le livre d’Isaïe.

« Alors le Roi dira à ceux de droite :

« Venez, les bénis de mon Père, recevez en héritage le Royaume qui vous a été préparé depuis la fondation du monde.

Car j'ai eu faim et vous m'avez donné à manger, j'ai eu soif et vous m'avez donné à boire, j'étais un étranger et vous m'avez accueilli, nu et vous m'avez vêtu, malade et vous m'avez visité, prisonnier et vous êtes venus me voir. »

Alors les justes lui répondront :

 «Seigneur, quand nous est-il arrivé de te voir affamé et de te nourrir, assoiffé et de te désaltérer, étranger et de t'accueillir, nu et de te vêtir, malade ou prisonnier et de venir te voir ? »

Et le Roi leur fera cette réponse :

« En vérité je vous le dis, dans la mesure où vous l'avez fait à l'un de ces plus petits de mes frères, c'est à moi que vous l'avez fait. »

Même la dernière scène, de la naissance à la mort de son « Unique Fils », n’est qu’une révision de tout l’enseignement des Lois et Préceptes du Concepteur de l’Univers, du Fondateur de la Terre et de sa gestion, du Créateur du plus bel ouvrage de tout l’Univers, « l’HUMAIN »

Maintenant, « l’Humain », si, il le désire, peut gagner « Sa Vie Éternelle sur la Terre ! »

Oui ! J’ai bien écrit « sa » Vie et non la « Vie », car c’est bien par « sa » vie qu’il mène, qu’il gagnera la « Vie » indéfiniment sur la Terre.

L’équivalence avec les deux premiers humains terrestres fut accomplie, une perfection contre une autre perfection, une tentation contre une autre tentation de Sammaël, simplement que le résultat ne fut pas le même.

 Là, l’exemple fut donné aux humains prouvant que l’on peut résister à Sammaël, que l’on peut dire « NON », pas de torture, pas de menace, uniquement la responsabilité de l’humain par son intelligence, sa réflexion, son raisonnement, il choisit, il est libre, complètement libre, responsable de lui grâce à son cerveau, à son « esprit ».

Je ne fais aucune erreur en écrivant une perfection contre une autre perfection. En effet Adam et Ève ne font qu’un :

Genèse II : 21-24

 --- « Alors EL-SHADDAÏ fit tomber une torpeur sur l'homme, qui s’endormit. Il prit une de ses côtes et enferma la chair à sa place.

Puis, de la côte qu'il avait tirée de l'homme, EL-SHADDAÏ façonna une femme et l'amena à l'homme

Alors celui-ci s'écria :

 « Pour le coup, celle-ci est l’os de mes os et la chair de ma chair ! Celle-ci sera appelée Femme, car elle fut tirée de l'homme ! »

« C'est pourquoi l'homme quittera son père et sa mère et s'attachera à sa femme, et ils deviendront une seule chair. » ---

« Une seul chair » égal « un »

Prochainement la suite de ces Textes !

En attendant prenez soin de vous et de vos proches !

Portez-vous bien ! …

Salutations cordiales à tous

Sig : JP.G. dit  « GRANDELOUPO »

 


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