Les géologues avec les archéologues ont déterré précieusement, minutieusement des squelettes humains des deux sexes dans leur position initiale, dans les rues de la ville protohistorique de Mohenjo-Daro, et dans d’autres vestiges sur la surface du globe, dont la grandeur était entre trois et quatre mètres. Ceci était la taille normale des humains de l’ère antédiluvienne et la mesure d’une coudée, est la longueur qui existe entre l’os du coude et le bout du doigt majeur de la main soit environ cent dix, cent vingt centimètres (110-120cm)
Genèses VI : 1-& suiv. « Les patriarches se succèdent, Adam engendra Seth qui engendra Énosh, qui engendra Quénâm, qui engendra Mahalaël, qui engendra Yered, qui engendra Hénoch et cet humain marcha avec EL-SHADDAÏ, qui l’appela son « Scribe de Justice », qui engendra Mathusalem le patriarche qui vécut le plus vieux de la planète Terre, qui engendra Lamech, qui engendra Noa dit Noé dans la Bible, quand Noé termina l’Arche tous les Patriarches étaient décédés »
A l’ère de Mahalaël, mais surtout de Yered EL-SHADDAÏ envoya des Veilleurs sur la Terre pour apprendre aux humains la justice et l’équité. « Dans ses jours de Yered, les anges du Seigneur descendirent sur la terre, ceux qu'on appelle les Veilleurs, afin d'apprendre aux enfants des hommes à pratiquer le droit et l'équité sur la terre. » Les Anges du mal que l’on nommait des « Daimonts » étaient ces Anges partisans de Sammaël et qui allaient vers les humains, qui n’oublions pas étaient presque parfait en dehors de cette tare génétique de la mort puisqu’ils vivaient jusqu’à neuf cents ans et plus sans atteindre les mille ans, pour leur apprendre les mauvaises choses qu’ils retransmettaient à leur progéniture, c’est comme cela que les humains devenaient de plus en plus mauvais.
Patriarches, Livre du Juste
Chapitre N° 13
La Bible dit très rapidement que tout fut créé et façonné en six jours, mais combien de temps dure un jour ? La Galaxie « Terre » est relativement jeune, voire très jeune selon certains géologues, astrologues spécialisés sur la formation de la croute terrestre et sur le développement de l’Univers qui continue toujours à s’agrandir, cela est prouvé par Hubble et les sondes comme « Voyager 1 et 2 ». EL-SHADDAÏ créa la végétation avec ses lois de reproduction selon l’espèce et le genre, mais il ne faut pas oublier que la première « Terre », celle avant le « Déluge », était comme une serre, Genèse II : 5-6, « EL-SHADDAÏ n’avait pas fait pleuvoir sur la terre, toutefois un flot montait de la terre et arrosait la surface du sol » la différence de température entre l’équateur et les pôles n’excédait pas une vingtaine de degré centigrade, mais tout cela je vous l’ai déjà écrit. Les animaux sauvages et domestiques furent imaginés le sixième jour et à la fin de ce sixième jour l’homme fut façonné, modelé, sculpté des mains d’EL-SHADDAÏ, mais combien de temps sépare la création de l’Homme à celle de la Femme, puisque l’homme était déjà sur la terre de la Terre quand l’Être Suprême l’endormit pour lui prendre un bas de côte pour confectionner la Femme ? Combien de temps l’Homme resta seul sur la Terre, une, deux, trois décennies où plus ? La création de la femelle pour l’Homme est obligatoirement dans le sixième jour attendu que le septième jour EL-SHADDAÏ le sanctifie comme jour de repos donc il ne peut pas avoir créé Ève ce septième jour !
En faisant des recherches pour vous j’ai trouvé un nouveau Livre Biblique que je nommerai ma quatrième Bible, « Livre du Juste », rangé par la chrétienté dans les apocryphes et pourtant ce livre d’origine hébraïque est cité dans les « Écritures Canoniques », Josué X : 13, « Et le soleil s'arrêta, et la lune se tint immobile jusqu'à ce que le peuple se fût vengé de ses ennemis. Cela n'est-il pas écrit dans le Livre du Juste ? Le soleil se tint immobile au milieu du ciel et près d'un jour entier retarda son coucher. », mais aussi en II Samuel I : 18, qui dit : « Il dit c'est pour apprendre l'arc aux fils de Juda ; c'est écrit au Livre du Juste »,
je n’ai pas eu le temps de rechercher d’autres versets, mais comme j’ai commencé à m’instruire avec ce « Livre du Juste » je vais aussi vous en faire profiter car je suis comme toujours à la recherche de la vérité pour croire avec sincérité en ce Dieu seul et unique, que je nomme EL-SHADDAÏ.
Ce livre, le « Livre du Juste », nomme l’Être Suprême « Jéhova », mais rien à voir avec la secte protestante des « Témoins de Jéhova », alors pour éviter toute confusion j’ai remplacé ce nom « Jéhova » par « EL-SHADDAÏ » en général, mais aussi en « Élohim », « Adonaï » et « Yahvé »
Livre du Juste II : 1-6
« 1 - Or Adam, à l’âge de cent trente ans, connut de nouveau Ève, sa femme ; elle conçut et enfanta un fils à la ressemblance, à l'image d'Adam, et elle le nomma Seth, disant : « Dieu m'a donné un autre fils à la place d'Abel, tué par Caïn »
2 - Seth ayant vécu cent cinq ans engendra un fils qu'il nomma Énos, et les hommes commençaient à se multiplier sur la terre, mais aussi à pervertir leur âme et leur cœur au point de se révolter de plus en plus contre EL-SHADDAÏ, servant des dieux étrangers
4 - Ils se fabriquaient des simulacres en cuivre, en fer, en bois, en pierre, et les servaient : chacun se faisant son dieu et l'adorant.
5 - Et la colère d’Elohim s'enflamma à cause de leurs œuvres et de leurs abominations sur la terre.
6 - Alors EL-SHADDAÏ fit déborder vers eux les eaux du fleuve Guihôn, qui en fit périr un grand nombre en dévastant un tiers de la terre. Malgré cela les hommes ne revenaient pas de leur mauvaise voie, et leur main était encore étendue pour opérer ce qui déplaît aux yeux d’EL-SHADDAÏ. »
Cette immense inondation provoqua des déplacements importants des plaques terrestres occasionnant des éruptions volcaniques grandioses faisant monter la température de la terre en surface que la terre et la roche devenait liquide et desséchait, brûlait tout sur des milliers de kilomètres carrés.
Toujours dans le deuxième chapitre de ce « Livre du Juste » versets 12-13
« 12. Et Caïnân savait par sa sagesse qu'Elohim détruirait les fils des hommes pour avoir fauté sur la terre, et que l’Être Suprême, dans la suite des jours, amènerait sur eux les eaux du déluge.
13. Et en ces jours Caïnân écrivit sur des tablettes de pierre, ce qui devait se passer dans le temps à venir, et il les déposa dans ses archives. »
Caïnân qui marchait avec les Lois et Préceptes d’EL-SHADDAÏ, n’était pourtant pas dans une descendance d’adorateur de l’Être Suprême puisque Énos son père, orthographié aussi Énosh, vivait dans la luxure et la perversion.
Chronologie jusqu’à Hénoch puis Noah : Adam a cent trente ans quand Ève donne naissance à Seth et ce dernier à cent cinq ans à la naissance d’Énosh son fils qui engendra Caïnân à l’âge de quatre-vingt-dix ans. Caïnân était d’une grande sagesse, d’une intelligence remarquable, connaissant toutes les sciences, et il gouvernait les humains, les ramenant pour certains vers EL-SHADDAÏ, car il maîtrisait les esprits et les démons. Ce fut le premier à écrire sur les Tables de pierre la prophétie sur le Déluge, qu'il déposa dans ses archives. Caïnân âgé de soixante-dix ans engendra trois fils et deux filles, le premier né se nommant Malaléël, écrit aussi Mahalaël, et Livre du Juste II : 37, « Malaléel fils de Caïnan ayant vécu soixante-cinq ans, engendra Jared. Et Jared ayant vécu deux cent soixante-deux ans, engendra Hénoch. »
Depuis qu’Adam fut déposé sur la terre de la Terre par l’Être Suprême et que l’Homme reçu le « Souffle de Vie ou l’Haleine de Vie ou encore un Vent de Vie » il y eu jusqu’à la naissance d’Hénoch sept-cent-vingt-deux années.
« Et Hénoch ayant vécu soixante-cinq ans, engendra Mathusala. Après avoir engendré Mathusala, Hénoch marcha avec EL-SHADDAÏ, le servant, et abhorrant les voies des impies. Son âme adhérait à l'enseignement d’EL-SHADDAÏ, à l'intelligence et à la prudence. » Livre du Juste III : 1-2
Je reprends la chronologie des Textes du « Livre de Juste » : Hénoch a sept-cent-vingt-deux ans depuis que l’Homme devint une âme vivante sur la Terre, et à partir de soixante-cinq ans il eut trois fils et deux filles qui sont : « Livre du Juste III : 13, « Mathusala et Élisua et Élimélech, //, et leurs sœurs étaient, Melcha et Noéma. Mathusala ou Mathusalem ayant vécu quatre-vingt-sept ans engendra Lamech. » »
Depuis la naissance de son premier-né, Mathusalem, Hénoch se retira de la vie des hommes, abhorrant les voies des impies, suivant les enseignements d’EL-SHADDAÏ avec intelligence et sagesse.
Dans la cent vingt-deuxième année d’Hénoch un Ange venu des Cieux l’interpella et Hénoch dit : « Me voici ! »
L’Ange répondit : « Hénoch sort de ta retraite et va vers les hommes et instruit-les des voies d’EL-SHADDAÏ ! »
Hénoch enseigna les humains dans les sciences d’EL-SHADDAÏ et tous les Rois, tant les plus grands que les autres ainsi que les chefs venaient écouter Hénoch et ils étaient au nombre de cent-trente à se soumettre à lui le priant de régner sur eux et avec eux, et Hénoch accepta. Après quelques décennies Hénoch se retira une seconde fois de la vie des humains, pour prier EL-SHADDAÏ et recevoir son enseignement. L’Être Suprême lui fit voir toute la vie de l’humanité d’Adam jusqu’à la dernière génération, Hénoch regarda l’avenir de l’humanité avec le Déluge, puis le premier Temple, la destruction du second, la venue de Jésus le Nazôréen sur la Terre, puis la dépravation de l’humain dans les dernières générations comme jamais cela n’avait existé sur la terre de la Terre, tout, il vit tout sans exception, jusqu’à la génération finale.
Pendant les deux-cent-quarante-trois ans de la vie universelle d’Hénoch les humains vivaient heureux sur la terre de la Terre, et cette dernière donnait du fruit les humains la cultivant dans les enseignements et les voies d’Adonaï.
Hors Hénoch fut prévenu par un Ange qu’il allait monter aux Cieux pour enseigner les « Fils d’EL-SHADDAÏ » comme il avait enseigné les fils d’Adam, et les Rois, les Princes, et tous ceux qui avaient un Titre, un Grade, de toute la surface de la planète Terre, étaient environs huit-cents mille à suivre et écouter tous les enseignements, toutes les sciences, toutes les Lois et Préceptes de l’Être Suprême sortant de la bouche d’Hénoch, qu’ils considéraient comme leur Roi, dans ces derniers jours de présence sur la terre de la Terre.
Livre du Juste IV : 1-3, « Or, tous les jours qu'Hénoch avait vécu sur la terre étaient de trois cent soixante-cinq ans.
C'est dans la cent-treizième année de la vie de Lamech, fils de Mathusala, qu'Hénoch monta au ciel.
Après l'ascension d'Hénoch au ciel tous les rois de la terre se levèrent et prirent Mathusala son fils et le sacrèrent pour les gouverner à la place de son père. »
Tout de suite après la mort d’Hénoch, les humains prirent Mathusalem, son fils, comme guide, mais malheureusement une partie des humains commencèrent à se révolter contre ses enseignements, sur toutes les sciences d’EL-SHADDAÏ, et se livrèrent au pillage, brigandage, extorsion et pillage, tout ce qui était mauvais et Élohim s’irrita contre les humains et la terre produisait des chardons, de l’ivraie au lieu du blé et l’orge et les champs n’étaient que de mauvaises herbes que l’humain n’avait pas semées. Malgré cela l’humain continuait dans sa mauvaise voie. Après qu’Hénoch, devant une multitude de Rois, de Princes, de Haut Dignitaires, de Chefs et de Gradés, environ quatre cents mille hommes de pieds, c’était élevé de la terre de la Terre dans un magnifique char étincelant, tiré par quatre splendides chevaux éblouissant de feu vers les Cieux, EL-SHADDAÏ avait envoyé ses Veilleurs pour instruire les humains sur la justice et l’équité. Mais ces Vigiles trouvèrent les filles des hommes très belles, et ils décidèrent de s’accoupler à elles et Yered le père d’Hénoch avait six cent trente ans quand commencèrent ces abominations.
Hénoch décéda en l’an 1087 du jour où Adam reçut le « Souffle de Vie » et qu’il devint une âme vivante, et Yered, le père d’Hénoch avait six-cent-vingt-sept ans, et le fils premier-né d’Hénoch, Mathusalem, avait trois-cents ans et Noé était dans sa trente-et-unième année.
Hénoch vécut peu de temps par rapport aux autres Patriarches antédiluviens, mais pendant deux-cent-quarante-trois ans d’enseignements de toutes les sciences, les humains vécurent heureux, car ils craignaient Hénoch qui avait un visage étincelant, brillant comme mille soleils, puisque l’on voyait à cette époque antédiluvienne le soleil voilé, comme nous le voyons aujourd’hui, le matin, un jour de léger brouillard ou de brume, simplement que le visage d’Hénoch était éblouissant comme le sera, celui de Moïse quand il descendra de la montagne du Sinaï.
Avant Hénoch l’humanité était mauvaise, mais c’était un mal de comportement, d’agissement, car l’humain ne parlait qu’une seule langue, n’avait qu’une seule couleur de peau, ni blanc, ni noire, plus ou moins prononcé selon que l’humain vivait au niveau de l’équateur, des latitudes du Cancer et du Capricorne ou aux Pôles Nord et Sud. Il se nourrissait comme les animaux, herbivores et fructivore, mais il n’était pas carnassier. Les humains se faisaient la guerre entre clans ou pour un morceau de territoire, mais le plus souvent pour avoir les femmes.
L’humanité est devenue mauvaise, vraiment mauvaise et très rapidement après le décès d’Hénoch. En effet les « Princes » de SAMMAËL s’aperçurent que les filles des hommes étaient très belles, mais de tout cela je vous l’ai écrit en détail dans le « chapitre 10 ». Sémyaza qui était leur chef ne prit pas la responsabilité tout seul, voilà pourquoi les chefs de groupe de dix, de ces deux cents Anges qui descendirent sur toute la Terre pour s’unirent avec les femmes des hommes, et avoir des enfants, passèrent un « anathème » entre eux sur le Mont Hermon. Tous les textes apocryphes sont un peu laconiques sans donner un moment précis : « Ceci s’est passé dans les jours de Yered » et tous les jours de Yered durent de quatre-cent-soixante à mille quatre-cent-vingt-deux du jour où Adam reçut le « Souffle de Vie » et devint une âme vivante, ce qui fait que Yered vécut neuf-cent-soixante-deux ans.
Dans tous les Écrits Bibliques ou Apocryphes nous sentons que l’Être Suprême à un profond amour pour l’être humain, et qu’il l’aime par-dessus tout. Il faut reconnaître que cet être humain est sa plus belle création, il n’existe rien d’aussi merveilleux dans tout l’Univers par sa beauté et sa complexité, car à l’origine il a été créé pour vivre éternellement et par la science d’aujourd’hui nous savons que le vieillissement est contre nature. Pourquoi les cellules humaines arrêtent de se reproduire ? … ?
Alors il fallait que l’humain devienne une abomination pour qu’EL-SHADDAÏ désire l’effacer de la surface de la Terre, ainsi que toute sa création d’êtres vivants.
En ces temps les humains s'étaient multipliés en fils et en filles, et s'éloignaient d’EL-SHADDAÏ, et ils apprenaient les uns aux autres leurs mauvaises pratiques, et ils offensaient EL-SHADDAÏ de plus en plus.
Chacun se faisait son dieu à lui. Ils arrachaient et ravissaient les uns aux autres leurs biens, et la terre était pleine d'oppression et d'iniquité.
Les Veilleurs enlevaient de force toutes les femmes qui leur plaisaient, même celles qui appartenaient à des maris. Et ses Anges sachant qu’ils ne remonteraient jamais plus aux cieux étaient pire que les deux cents Anges déchus.
Les Anges déchus apprirent aux humains toutes les technologies militaires dans l’art de tuer en masse son semblable, mais ils professèrent aussi les femmes dans l’art du maquillage, des parures, des bagues en métal précieux comme l’or et l’argent, mais aussi en pierres précieuses. Ces mêmes Anges inculquèrent l’astronomie, l’astrologie, les drogues par les plantes et les remèdes, initièrent les humains à la divination et la luxure.
En ces jours de Yered les Vigiles ou Veilleurs prirent du bétail de la terre, les bêtes des champs et les oiseaux des ciels, et firent le mélange des animaux d'une espèce avec une autre, afin de, avec cela, provoquer, braver EL-SHADDAÏ. Et l’Être Suprême vit que toute la terre était corrompue ; car toute chair avait corrompu sa voie, tant l'homme que la bête.
Et EL-SHADDAÏ dit : « Je vais effacer de dessus la terre depuis l'homme jusqu'à l'oiseau du ciel, le bétail et les bêtes des champs ; car je me repens de les avoir créés. » Livre du Juste IV : 15-19
Un peu de chronologie avec le Livre du Juste V : 1-8
5 : 1, « En l'année quatre-vingt-quatrième de la vie de Noé, mourut Énos, fils de Seth, âgé de neuf cent cinq ans. » -- Énos fils de Seth est né en l’an deux-cent-trente-cinq du jour ou Adam reçut le « Souffle de Vie » et devint une « âme vivante » et il décéda après neuf-cent-cinq ans de vie soit en l’an mille cent quarante.
5 : 2, « Et dans la cent-soixante-dix-neuvième année de la vie de Noé mourut Caïnan, fils d'Énos. Et tous les jours de Caïnan furent de neuf cent dix ans. » – Caïnân fils d’Énos est né en l’an trois-cent-vingt-cinq du jour ou Adam reçut le « Souffle de Vie » et devint une « âme vivante » et il décéda après neuf-cent-dix ans de vie, soit en l’an mille deux-cent-trente-cinq
5 : 3, « Et dans la deux cent trente-quatrième année de la vie de Noé mourut Malaléel, fils de Caïnan. Et tous les jours de Malaléel furent de huit cent quatre-vingt-quinze ans. » – Malaléël premier-né de Caïnân en l’an trois-cent-quatre-vingt-quinze du jour ou Adam reçut le « Souffle de Vie » et devint une « âme vivante », et après huit-cent-quatre-vingt-quinze ans de vie, il décéda en l’an mille-deux-cent-quatre-vingt-dix
5 : 4, « Et Jared, fils de Malaléel, mourut en ce temps-là, dans la trois cent soixante-sixième année de la vie de Noé. » – Yered fils de Malaléël est né en l’an quatre-cent-soixante du jour ou Adam reçut le « Souffle de Vie » et devint une « âme vivante », et après neuf-cent-soixante-deux ans de vie, il décéda en l’an mille quatre-cent-vingt-deux.
5 : 6, « Il arriva après un grand nombre de jours, en l'année trois cent soixante-sixième de la vie de Noé, lorsque eurent fini de mourir du milieu des hommes tous ceux qui avaient été fidèles à EL-SHADDAÏ, que ce Dieu réunit Noé et Mathusalem le seul patriarche encore en vie en l’an mille quatre-cent-vingt-deux date de la mort de Yered et leur dit :
5 : 7, « Convoquez tous les hommes, et annoncez-leur ces paroles : Voici ce que dit EL-SHADDAÏ : « Revenez de vos mauvaises voies, quittez vos œuvres criminelles, et il révoquera la sentence qu'il a prononcée contre la terre, et elle ne sera pas mise à exécution. »
5 : 8, Je vous accorde, encore cent vingt ans pour vous convertir. » »
Or, tous ceux qui étaient fidèles à EL-SHADDAÏ mouraient en ces jours-là, afin qu'ils ne voient pas le désastre dont ce Dieu avait décidé d'accabler la race d'Adam.
Le père de Noé, Lamech, naquit en l’an huit-cent-soixante-quatorze du jour ou Adam reçut le « Souffle de Vie » et devint une « âme vivante » et ses jours de vie sur la terre de la Terre furent de sept-cent-soixante-dix-sept ans, mais il ne marcha pas droit avec EL-SHADDAÏ et quand il décéda, son fils Noé avait cinq-cent-quatre-vingt-quinze ans et l’année de sa mort était l’an mille six-cent-cinquante et un du jour ou Adam reçut le « Souffle de Vie » et devint une « âme vivante ».
J’ai voulu comparer les Écrits et Dates des Jubilés avec le Livre du Juste et là, bizarrement, rien ne correspond, même pas l’épouse de Noé, car pour les Jubilés elle se nomme Emzara fille de Rakeel et dans le Livre du Juste, c’est l’une des filles de Hénoch fils de Lamech du nom de Noéma, âgée de cinq-cent-quatre-vingt ans, et Noah à quatre-cent-quatre-vingt-dix-huit ans quand il l’épouse, et Noéma, deuxième fille d’Hénoch est né en l’an neuf-cent-soixante-quatorze du jour ou Adam reçut le « Souffle de Vie » et devint une « âme vivante ».
Pourquoi EL-SHADDAÏ en est-il venu à occasionner un « Déluge » pour réduire à néant des millénaires de Création, comme Il sera obligé de réduire l’humain à néant dans les dernières générations. Nous ses « Enfants » Il nous demande d’observer ses commandements et ses ordonnances, la justice, d’honorer père et mère, d’aimer notre prochain comme nous-mêmes, de nous garder de l’adultère, de la fornication, de rejeter toute impureté, toute iniquité et de bannir le contre nature comme l’homosexualité et la pédophilie. Car à cause de toutes ces choses, il y a bien longtemps, un « Déluge » est survenu tuant tout ce qui était vivant, nommément dû à la fornication par laquelle les Veilleurs allèrent à l’encontre de la Loi de leurs ordonnances avec les filles des hommes. Ils eurent des fils les Néphilims, ses géants qui dévoraient tout sur la terre, bêtes sauvages et domestiques, mais aussi le cannibalisme mangeant l’être humain, se tuant entre eux pour se dévorer, s’anéantir, et le sang coulait beaucoup à cette époque
La semaine prochaine est la fête d’Halloween sur presque toute la Terre, des Amériques, à l’Australie pour finir sur l’Europe car j’ignore si cela se fête dans le Continent Asiatique.
C’est aussi le fête des morts et pour toute la chrétienté celle de tous les Saints.
Je nomme cette fête de tous les « Saints » la plus grande fête mondiale de l’idolâtrie
Ce sera le thème la semaine prochaine puis je reviendrai sur ce « Déluge »
Portez-vous bien !
Prenez soin de votre maisonnée dans l’amour du seul et unique Dieu qui existe dans tout l’Univers, celui que je nomme EL-SHADDAÏ
Salutations cordiales à Tous
Sig : J-P. G. dit « GRANDELOUPO »
Derniers paragraphes et dernières phrases du chapitre précédent
Les « Daimonts » trouvèrent les filles des humains très belles et ils voulurent s’accoupler avec pour avoir des enfants, alors ils allèrent demander l’autorisation à leur chef, le Prince Semyaza. Ils furent deux cents par groupe de dix, leur chef compris et ils s’éparpillèrent sur toute la Terre, choisissant les filles des hommes pour s’apparier et avoir une progéniture.
Mais les Veilleurs d’EL-SHADDAÏ qui aurait dû être intègre, eux aussi trouvèrent les filles des hommes très belles et ils s’unirent à elle et eurent un lignage de géant. Tous ces Êtres gigantesques enseignèrent aux humains une technologie très avancée ; comment trouver les minerais d’uranium, et comment se servir de ce minerai pour façonner les centrales électriques, les piles atomiques, les bombes nucléaires, mais aussi la technologie des armes nucléaires avec des avions de chasse dix fois plus sophistiqués que nos meilleurs avions modernes. Il a été prouvé par les géologues, archéologues et paléontologues que les humains antédiluviens se déplaçaient d’une capitale à l’autre avec des aéronefs d’une rapidité que nous ne connaissons pas. Toujours par les mêmes scientifiques nous apprenons que ces humains antédiluviens parlaient un même langage et un même aspect sur toute la Terre et leur technologie en armement était très supérieur à la nôtre puisqu’ils pouvaient détruire une armée complète avec un rayon laser.
Quand nous regardons en un siècle ce que l’humain a inventé, a façonné au point de faire des bombes nucléaires atomiques, à hydrogène, bombe H, à neutron, mais aussi des fusées pour emmener des humains sur la « Lune », et ces derniers marchèrent dessus le 21 Juillet 1969, des avions supersoniques comme le « Concorde » alors qu’il ne se sert que de douze pourcent de son cerveau, dix-huit pourcent maximum pour ces scientifiques qui inventèrent tout ce que je viens de citer, alors pensez à ces humains qui étaient parfait à quatre-vingt-dix-huit pourcent, ce qu’ils ont pu inventer, fabriquer, eux qui vivaient neuf-cents ans en moyenne ?
A bien y réfléchir que nous sommes petits devant nos ancêtres ?
Les jours de la création
Chapitre N° 12
Comme promis dans le chapitre précédent, je reviens à ces six jours de création de la Bible ; selon ce « Livre », un jour serait égal à mille ans ; alors essayons de raisonner avec sagesse et discernement ; scientifiquement il est prouvé que l’Univers existe depuis des milliards de milliards d’année. Dans la Voie Lactée, il y avait un tas d’étoiles en formation et cette « Voie » ou cette région de l’Univers était encore glaciale et sombre. « Au commencement, Dieu créa le ciel et la terre. La terre était informe et vide : il y avait des ténèbres à la surface de l'abîme, et l'esprit d’EL-SHADDAÏ se mouvait au-dessus des eaux. » Genèse I : 1-2, de Louis Segond. Ce Dieu seul et unique commanda, ordonna à la matière de se réunir avec les gaz pour former des planètes et des soleils afin d’organiser une galaxie et il imposa à la Lumière de se faire voir et il sépara la Lumière des Ténèbres ; des étoiles naquirent dans la galaxie pour éclairer les planètes, météorites, aérolites, astéroïdes, et l’Être Suprême apprécia la Lumière, les Bibles terminant ce verset que je ne trouve pas juste par, Genèse de Louis Segond I : 5, « Et EL-SHADDAÏ appela la lumière Jour, et les ténèbres, il les appela Nuit. Et il y eut un soir, et il y eut un matin : « Premier Jour » »
En réalité le « Jour » n’existe pas encore car, dans la « Voie Lactée », qui doit son nom à la mythologie mésopotamienne, la mère des Dieux Astharté, donnant le sein à sa progéniture, cette dernière évacuant un trop plein de lait maternel, qui fut représentée par le « Le Chemin du Lait » soit « la Voie Lactée », notre galaxie était en formation et la Terre avait une mer liquide et gazeuse sur toute sa surface se mélangeant sans délimitation réelle.
EL-SHADDAÏ sépara les eaux liquides qui restèrent sur la Terre des eaux gazeuse qui s’élevèrent au-dessus de la Terre, et ce qui était au-dessus de la Terre, le Firmament, il le dénomma « Ciel », « Et il y eut un soir, il y eut un matin : Deuxième Jour ». Genèse Louis Segond I : 6-8.
EL-SHADDAÏ venait de nommer les gaz d’eau au-dessus de la Terre « Ciel ». Puis il ordonna aux eaux du dessus la Terre de se réunirent toutes ensembles dans un seul lieu afin que l’Aride apparaisse. L’Aride, le Continent fut désigné sous le nom « terre » et la masse des eaux, fut appelé « mer » et EL-SHADDAÏ trouva cela bon.
En vérité, quel est le temps exact de ces deux jours ? Deux mille années ? Mille ans par jour ? Où un peu plus de mille années pour le premier jour et seulement quelques siècles pour le second jour ? … ? La Galaxie Terre est toujours en formation car ce Dieu et ses Anges n’ont posé que des étoiles qui sont des points lumineux définissant la lumière du premier jour puisque ces étoiles rompaient les « Ténèbres ».
Voilà ce qui ne peut pas exister dans ce troisième jour. Dans les lignes d’écriture ci-dessus j’explique que l’Être Suprême sépare les eaux afin que la terre ferme apparaisse sur la planète Terre, mais il n’y a pas encore la « VIE » et il manque énormément d’ingrédients donc dans ce troisième jour aucune verdure ne peut pousser, végétale et arboricole.
Les humains de confession chrétienne et leurs plus hauts dirigeants affirment que les Livres Bibliques ont été écrit sous inspiration Divine, alors si cela est vrai, comme je suis un croyant, mais surtout pas un chrétien, musulman, bouddhiste où autres, je pense que cela est dû à une erreur de copistes qui a interverti les versets du troisième jour avec ceux du quatrième, alors vérifions ! … !
Louis Second, Genèse I : 11-13, « Puis l’Être Suprême dit : Que la terre produise de la verdure, de l'herbe portant de la semence, des arbres fruitiers donnant du fruit selon leur espèce et ayant en eux leur semence sur la terre. Et cela fut ainsi.
Ainsi, il y eut un soir, et il y eut un matin : ce fut le troisième jour. »
Genèse : 14-19 « EL-SHADDAÏ dit : Qu'il y ait des luminaires dans l'étendue du ciel, pour séparer le jour d'avec la nuit ; que ce soient des signes pour marquer les époques, les jours et les années ; et qu'ils servent de luminaires dans l'étendue du ciel, pour éclairer la terre. Et cela fut ainsi.
EL-SHADDAÏ fit les deux grands luminaires, le plus grand luminaire pour présider au jour, et le plus petit luminaire pour présider à la nuit ; il fit aussi les étoiles.
EL-SHADDAÏ les plaça dans l'étendue du ciel, pour éclairer la terre, pour présider au jour et à la nuit, et pour séparer la lumière d'avec les ténèbres. EL-SHADDAÏ vit que cela était bon.
Ainsi, il y eut un soir, et il y eut un matin : ce fut le quatrième jour ».
Maintenant que vous venez de lire ces versets Bibliques de 11 à 19, je vous laisse réfléchir, raisonner. J’ai pris la version protestante de Louis Segond de 1910 car c’est le meilleur Texte Biblique que j’ai trouvé pour ce qui nous intéresse.
Les versets quatorze à dix-neuf sont dans le troisième jours voilà ce que cela donne, offre : Louis Second Genèse I : 9-10, et après 14-19,
« EL-SHADDAÏ dit : Que les eaux qui sont au-dessous du ciel se rassemblent en un seul lieu, et que le sec paraisse. Et cela fut ainsi.
L’Être Suprême appela le sec terre, et il appela l'amas des eaux mers. Élohim vit que cela était bon. »
Genèse : 14-19 « EL-SHADDAÏ dit : Qu'il y ait des luminaires dans l'étendue du ciel, pour séparer le jour d'avec la nuit ; que ce soient des signes pour marquer les époques, les jours et les années ; et qu'ils servent de luminaires dans l'étendue du ciel, pour éclairer la terre. Et cela fut ainsi.
EL-SHADDAÏ fit les deux grands luminaires, le plus grand luminaire pour présider au jour, et le plus petit luminaire pour présider à la nuit ; il fit aussi les étoiles.
L’Être Suprême les plaça dans l'étendue du ciel, pour éclairer la terre, pour présider au jour et à la nuit, et pour séparer la lumière d'avec les ténèbres. EL-SHADDAÏ vit que cela était bon »
« Ainsi, il y eut un soir, il y eut un matin : ce fut le troisième jour ».
Maintenant pour le quatrième jour, voici ce que donne le Texte de la Genèse de Louis Segond I : 11-13
« Puis EL-SHADDAÏ dit : Que la terre produise de la verdure, de l'herbe portant de la semence, des arbres fruitiers donnant du fruit selon leur espèce et ayant en eux leur semence sur la terre. Et cela fut ainsi.
La terre produisit de la verdure, de l'herbe portant de la semence selon son espèce, et des arbres donnant du fruit et ayant en eux leur semence selon leur espèce. L’Être Suprême vit que cela était bon
Ainsi, il y eut un soir, il y eut un matin : ce fut le quatrième jour »
Maintenant que vous venez de finir la lecture complète de ces versets, quel est votre raisonnement ? Ai-je eu raison de changer de place ces versets dans les jours ? J’apprécierai un commentaire de votre part !
En venant de relire le chapitre complet dans la version de la « Bible de Jérusalem » et la version protestante « Darby » j’ai maintenant la certitude que mon changement est parfaitement logique. En effet dans ce troisième jour, le grand luminaire « Soleil » est établi pour briller quelques milliards d’années dans le centre de la Galaxie, et un certain nombre de planète, douze en l’occurrence attachées les unes aux autres par un fil invisible mais toutes dans l’attraction de ce Luminaire, tournant autour de cet astre sur un parcours elliptique plus où moins prononcé.
EL-SHADDAÏ, ce Dieu seul et unique fut désireux qu’il y ait vie sur une planète qu’il nomma « Terre » et dans la plus grande Galaxie de la Voie Lactée il installa un grand Luminaire qu’il nomma « Soleil » puis il établit les planètes, toutes différentes les unes par rapport aux autres et ayant une influence sur la planète Terre comme par exemple le deuxième astre le plus près du Soleil, Vénus, qui est la première étoile vers l’est à être visible à l’œil nu le soir que l’on nomme « Étoile du Berger » et aussi la première étoile visible le matin, à l’aurore en direction de l’est qui prend le nom du premier Ange créé, et le premier à se révolter contre son Concepteur, son Créateur, et il sera nommé « Mastéma » qui signifie « Daimont » écrit en langue française « Démon ». EL-SHADDAÏ installa la planète « Terre » à une distance de l’astre « Soleil » pour que les différents rayons ne soient pas trop brûlants, mais ne soient pas trop froids non plus, donc la distance devait être juste pour le parcours elliptique autour de ce luminaire en une année afin que les quatre saisons fussent marquées sur toute la « Terre », cette dernière ayant une rotation complète de vingt-quatre heures sur elle-même.
Là, avec certitude et justice je peux écrire il y a « un Jour », il y a « une Nuit », il y a « un Soir », il y a « un Matin » !
Toujours sur la même logique, je peux certifier maintenant, que la vie peut commencer sur la Terre, et toujours avec la même certitude je dirai que la vie microscopique a déjà esquissé un début car les ingrédients sont là, une température de serre, la mer, la terre, un soleil pour chauffer et éclairer, la nuit pour se reposer, la journée pour se développer et grandir.
L’Être Suprême en ce quatrième jours avait fait pousser tout ce qui est verdure et bon à manger, chacun selon son espèce, son genre.
Puis Il ordonna à tous ce qui est liquide de produire des animaux de toutes sortes sachant nager, se déplacer, dans l’élément liquide pour que ce soit un grouillement d’êtres vivants et Lui façonna tous ces grands poissons, ces serpents et monstres marins qui glissent dans les eaux chacun selon son espèce, selon son genre et Il en fit de même pour toute la gent ailée chacun selon son espèce, selon son genre, bêtes et bestioles, que ce soit un foisonnement dans les aires au-dessus de la terre.
EL-SHADDAÏ vit que tout cela était bon, il y eut un soir, il y eut un matin, ce fut le cinquième jour
Après cela l’Être Suprême ordonna à la terre de façonner des êtres vivants bêtes et bestioles et toutes celles qui rampent sur et dans la terre pour l’aérer et Lui créa tous les animaux sauvages et domestiques purs et impurs, chacun selon son espèce, chacun selon son genre et Il regarda tout le travail accompli avec l’ordre qu’Il avait donné à tous ces êtres vivants : « Multipliez-vous et remplissez la terre de la Terre »
EL-SHADDAÏ arrivait à la fin de son sixième jour, et contemplait tout le labeur accompli et Il trouva cela très bon, alors Il dit : « Faisons l’Homme à mon image, à notre ressemblance, à mon reflet » ! Alors l’Être Suprême façonna l’Homme à son image, son reflet, leur ressemblance, Il le modela, sculpta en déployant un tronc surmonté d’un cou puis d’une tête sur laquelle il déposa des cheveux pour l’embellir, ainsi qu’une moustache et une barbe, puis il ajouta les membres supérieur et inférieur terminant par les mains en haut et les pieds en bas, à tout cela il agença les artères, les veines, les nerfs et des muscles, d’une harmonie splendide, merveilleuse. Rien ne fut plus beau, plus magnifique, plus admirable, plus éblouissant que l’être Humain dans tout l’Univers. Aucune création ne fut plus éclatante dans tous les Cieux, comme dans tout l’Univers, que l’Homme, que l’Humain, par sa complexité, son harmonie, sa perfection, son « Auguste »
Et le septième jour il se reposa du travail accompli et il le sanctifia !
Je viens de remettre en ordre les jours de création, simplement que nous ignorons le temps d’un jour. Que savons-nous réellement ? Pour que la Galaxie Terre sois formée il a fallu des milliards d’année. Une chose est certaine les dix planètes attachées à notre système solaire ne se sont pas posées là par hasard car il faudrait des innombrables hasards, donc en en vient à la foi religieuse avec un nombre incalculable de questions dont jamais nous aurons le réponse ou peut-être après le grand sommeil du corps car quoi que nous fassions nous serons toujours quelque chose sur la terre de la Terre voilà pourquoi au commencement il a été écrit sur les Tables Célestes : « Souvient-toi terre de la Terre car au grand jour du Jugement il te faudra rendre les os de chacun avec leur chair afin qu’il soit présent comme à l’origine pour qu’il soit reconnu par ses semblables pour le premier Jugement, car au second il n’y a pas de résurrection, leur corps servira de nourriture à la terre et aux bêtes sauvages et leur esprit partira pour le néant, et plus jamais nous parlerons de lui. »
Je tenais à mettre en ordre ces versets bibliques ai-je tort, ai-je raison, mon juge est celui qui est au-dessus de ma tête que je nomme EL-SHADDAÏ
Je ne pensais pas que l’explication pour la compréhension des versets bibliques prendraient autant de temps, mais pour moi je trouvais cela important, donc je vais revenir sur nos ancêtres antédiluviens
Portez-vous bien et prenez soin de vous et de votre maisonnée en suivant mes principes d’EL-SHADDAÏ et les enseignements de son fils Jésus le Nazôréen qui n’est pas un Dieu, mais notre Roi et notre assesseur. Aimons notre prochain comme nous-même ! Ne convoitons pas ces biens !
Salutations cordiales !
Sig : J-P. G. dit « GRANDELOUPO »
Derniers paragraphes avec les dernières phrases.
Au Pakistan et en Inde, dans la vallée de l’Indus, se trouvent les ruines de plusieurs cités antiques, détruites de façon brutale. Elles ne sont pas mentionnées dans l’histoire : nous pouvons en conclure qu’elles sont antérieures aux temps historiques. On les soupçonne d’être quelques-unes des cités Rishis du mythique empire de Rama. Les deux plus grandes villes sont aujourd’hui appelées Mohenjo-Dâro et Harappâ mais ces noms sont modernes. Chacune d’elles pouvait loger jusqu’à deux-cents mille habitants.
S’agirait-il des cités des Vrishis et des Andhakas ces trois villes détruites par Ghurka et sa foudre de fer ? Les archéologues ont découvert dans cette zone les restes d’une ville de la civilisation de la vallée du Thar comportant des traces d’explosion nucléaire survenue il y a plusieurs millénaires.
Il semble en tout cas que ces villes aient été détruites en un instant : sur la chaussée, les fouilles ont permis de découvrir des squelettes fauchés en pleine activité. Après des millénaires, ces squelettes sont encore aussi radioactifs qu’à Hiroshima. Cette radioactivité élevée a entraîné des problèmes sanitaires graves, si bien que le gouvernement indien a été contraint de fermer le site de fouilles et d’interdire la zone.
« C'est si contraignant d'imaginer qu'une civilisation ait eu la technologie nucléaire avant nous. La poussière radioactive crédibilise les enregistrements anciens qui décrivent des guerres atomiques. » ( Rusty James)
Le désert du Thar, d’une superficie de deux-cents mille kilomètres carrés, est appelé Mârusthali, « le Pays de la Mort » en Inde, et au Pakistan, il porte le nom de désert du Cholistan qui signifie « Mortelle »
Cette zone est devenue désertique entre neuf mille à huit mille ans avant l’EC ou J-C. À cette époque le fleuve Sarasvatî s’enfonçait dans le désert et ne laissait qu’un lit asséché qui réapparaissait au Pakistan
Sous le désert du Thar il n’y a pas que du pétrole et du charbon, il y a aussi la cinquième plus grande nappe phréatique d’eau douce du monde.
Technologie thermonucléaire
antédiluvienne
Chapitre N°11
En 1921, des fouilles débutèrent à Harappa, cité Indienne du troisième millénaire, mais qui réellement est plutôt du huit et septième millénaire avant l’Ère Commune, l’EC., ou Jésus-Christ, J-C., avec les murs d’enceintes imposants, et les archéologues furent stupéfait de la complexité de l’urbanisme de cette ville qui s’étendait sur un périmètre de cent cinquante à deux cents hectares minimums, les habitations divisées en quartier avec une logique qui nous échappe, car il n’y a ni Temples, ni Palais, sauf des édifices étranges, divisés en bloc, susceptibles de porter une construction de bois. D’après l’archéologie cette civilisation était pointilleuse sur l’ordre, la propreté et l’hygiène, car les maisons possédaient salle de bain, latrine, un système de drainage des eaux usées et aussi l’équivalent de nos décharges publiques et industrielles ou l’on déposait les rebuts du travail des peaux, du cuivre, bronze, fer, gravas, etc …
En 1922, un archéologue indien qui cherchait les vestiges d’un ancien temple bouddhiste mis au jour à 640 km d’Harappa les ruines d’une civilisation protohistorique, c’est une véritable métropole qui sortit de terre, « Mohenjo-Daro », surnommée la « Colline des Morts », faisant toujours l’objet de recherches mais aussi de vives controverses.
Mais qui était cette civilisation restée si longtemps dans l’ombre ?
Malgré la connaissance de nos archéologues, paléontologues, géologues, nous n’avons, à ce jour, toujours pas déchiffré leur écriture, ainsi que leur langage
Une explosion mystérieuse et de proportion atomique apparaît dans la cité de Mohenjo-Daro, dont la rumeur prétend, depuis longtemps, qu'elle serait une des Sept cités de Rishi. De plus, les mythologies égyptienne et sumérienne parlent elles aussi de ces échanges nucléaires durant la guerre entre les dieux qui conduisaient chacun leur propre chariot flamboyant ?
Bien sûr, on a du mal à imaginer qu’à une époque aussi lointaine des armes nucléaires ont pu être utilisées. Le texte est troublant quand on le met en parallèle avec les dernières découvertes. Pourrait-il s’agir d’un phénomène naturel qui aurait provoqué un cataclysme ? L’épicentre du choc a été détecté au centre de la ville. A cet endroit, toutes les maisons ont été nivelées. A la périphérie, les destructions sont moins importantes.
L’énigme de Mohenjo-Daro reste entière pour le moment. Cependant, si l’on suppose qu’une catastrophe s’est abattue sur cette cité, cela n’explique pas l’abandon des autres villes. Mohenjo-Daro et Harappa sont les métropoles les plus connues mais il existait au moins trois autres villes aussi importantes. Il y en avait d’autres mais de moindre importance.
L’analyse moderne a confirmé que des fragments de la ville avaient fondu au contact d’une très haute température. Les douzaines de squelettes qui ont été trouvés dans la région de Mohenjo-Daro présentent une radioactivité excédant la norme de presque cinquante fois.
« Quand les fouilles de Mohenjo-Daro et Harappa parvinrent au niveau des rues, des squelettes éparpillés apparurent, souvent mains jointes et affalés dans les rues, comme frappés par une tragédie atroce et instantanée. Insistons : ces hommes gisaient simplement dans les rues, sans sépulture. Or, ces squelettes sont âgés, au dire même des archéologues les plus prudents, de milliers d'année ! Comment expliquer cela ? Pourquoi ces corps n'ont-ils ni pourri ni été dévorés par des animaux ? D'où vient qu'ils ne présentent aucune trace de mort violente ?
Ces squelettes sont parmi les plus radioactifs jamais trouvés, à égalité avec ceux de Nagasaki et d'Hiroshima. Des chercheurs russes ont notamment découvert un squelette présentant un taux de radioactivité cinquante fois supérieur à la normale. L'archéologue russe A. Gorbovsky a fait état dans Riddles of Ancient History, 1966, du haut niveau d'irradiation présenté par les squelettes. Des milliers d'objets fondus - baptisés « pierres noires » - ont également été trouvés à Mohenjo-Daro, qui semble être des fragments de récipients en terre soudés par une chaleur extrême. » ("La technologie des dieux" de David Childress)
Selon un article de la Pravda du 17 janvier 1994, les archéologues Davenport et Vincenti auraient découvert à Mohenjo-Daro des grosses strates comportant de l’argile et du sable fondu à haute température, transformés en verre de couleur verte, similaires aux traces d’explosion nucléaires du désert du Nevada après chaque tir.
Ce qui est le plus troublant dans ce dernier article, c’est qu’ils nous précisent, que les squelettes trouvés à Mohenjo-Daro avaient un taux de radioactivité cinquante fois supérieur à la normale …
Exactement, la dose de radiations du Gobi …
Davenport et Vincenti sont des archéologues et pas des physiciens …Ils n’avaient aucune raison de rapprocher ce taux de celui du Gobi, probablement pas inconnu à l’époque, mais certainement tenu secret …Il n’y a que quelques petites années, même pas 10 ans, qu’internet est totalement ouvert et permet de tout connaître, ou presque …
Et ce ne peut être un nombre donné au hasard, car même si ce sont des archéologues et pas des physiciens ils restent tout de même des scientifiques …Et ils n’auraient jamais inventé un taux représentant une explosion unique aussi puissante que vingt fois toute la radioactivité émise par la terre entière pendant un an.
Ce site constitue un véritable mystère, affirment les archéologues, qui auraient juré, avant la découverte de Mohenjo-Daro, qu’aucune véritable civilisation n’avait pu exister dans la vallée de l’Indus, au Pakistan, il y a environ dix à huit mille ans. Depuis 1921, une succession de découvertes dont la cité d’Harappa puis celle de Mohenjo-Daro ont prouvé l’existence d’une culture jusqu’alors inconnue.
Mohenjo-Daro, cité antédiluvienne, de la protohistoire dont les radiations atomiques sont cinquante fois supérieures à la normal obligeant le gouvernement Hindou à fermer les fouilles par contre cette citée est très bien conçue. On peut la comparer aux grandes villes américaines. D’ailleurs, les archéologues ont surnommé cette cité « le Manhattan de l’âge de bronze » qui est quand même plus jolie que la « Colline de la Mort »
Dans beaucoup de région sont découvert des artéfacts et pour expliquer la présence de ces artefacts, une hypothèse : ils ont été fabriqués par une civilisation avancée, détruite par une catastrophe naturelle ou technologique bien avant notre propre genèse, car on en a trouvé en Amérique du Nord, du Sud, en Grande-Bretagne et partout en Europe, en Afrique, en Asie et au Moyen-Orient.
Parmi ces indices, il en est un qui relève d’une technologie préhistorique de pointe qui aurait détruit son berceau culturel : les traces à jamais silencieuses mais révélatrices, de guerres nucléaires.
« Je veux bien croire que certaines zones ont été vitrifiées par le souffle chaud de météorites, mais je ne pense pas que l’on puisse attribuer à ce phénomène naturel les quelques vingt-huit étendues de roches pulvérisées et noircies qui couvrent chacune des surfaces de l’ordre de 18000 km2 en Arabie occidentale. Ces pierres aux bords tranchants sont rassemblées comme les vestiges de cités. Les experts ont établi qu’elles n’étaient pas d’origine volcanique, mais semblaient dater d’une époque où l’Arabie était un pays fertile et luxuriant avant d’être soudainement calciné à l’état de désert. » B Emeric David
Nous savons aujourd’hui que le Sahara a été une zone tropicale à la végétation abondante, très pluvieuse et sillonnée de grandes rivières. Les scientifiques ont découvert des zones où des terres jadis cultivées sont aujourd’hui couvertes d’une couche de sable formant les déserts, et dessous ce sable, à plusieurs mètres ce même sable vitrifié sur une fine couche d’une couleur verdâtre sur des kilomètres. Des chercheurs ont aussi trouvé une énorme réserve d’eau sous ces déserts. Celle-ci ne peut être que le résultat de pluies abondantes ayant précédé la dévastation par le feu.
Le 25 décembre 2007, un scientifique français effectuant des fouilles dans la région de Khamis Bani Sa’ad dans le district de Tehema, province de Hodeidah, au Yémen, confirma que des pièces archéologiques trouvées sur place dataient de dix mille ans et moins av. J.-C. Avant la survenue d’un changement radical de climat, les habitants étaient des pêcheurs et avaient domestiqué certains animaux actuellement disparus de cette région, dont une espèce de cheval que l’on ne trouve plus qu’en Asie Centrale.
La Chine maoïste a effectué près du lac de Lob Nor, dans le désert de Gobi, des essais nucléaires qui ont laissé de grandes plaques de sable vitrifié. Mais il y a aussi dans ce désert un certain nombre de traces similaires vieilles de milliers d’années.
En mission avec une équipe en Afrique centrale, Albion W. Hart, un des premiers ingénieurs diplômés du Massachusetts Institute of Technology, cherchant à atteindre une région quasi inaccessible, dut traverser une grande étendue désertique. Stupéfait, il découvrit une vaste zone vitrifiée verte qui couvrait le sable à perte de vue et qu’il fut incapable d’expliquer. Or, dans Rocks and Minerais (n°396, 1972), Margarethe Casson écrit :
« Plus tard dans sa vie, Hart, traversa la région de White Sands, côté Nevada, après les premières explosions atomiques et reconnut le même type de fusion de silice que ce qu’il avait vu en Afrique cinquante ans plus tôt ».
En 1947, des fouilles effectuées dans la vallée de l’Euphrate, au sud de l’Irak — lieu où certaines traditions situent le Jardin d’Éden et où les anciens habitants de Sumer rencontrèrent l’homme-dieu Ea — mirent au jour une couche de verre vitrifié de couleur verte, les archéologues ne purent que relever la ressemblance de cette matière, vieille de plusieurs milliers d’années, avec celle gisant sur le sol désertique de White Sands, au Nouveau-Mexique, après les premiers essais nucléaires des temps modernes.
Un certain nombre d’éléments récemment découverts indiquent que des changements cataclysmiques de la croûte terrestre ont pu entraîner la disparition quasi complète de mondes préhistoriques. Les indices géologiques montrent que ces changements, aussi soudains que profonds, pourraient avoir submergé et anéanti d’anciens peuples et leurs cultures.
De larges zones de verre coulé de couleur verte et des cités vitrifiées sont apparues dans des fouilles archéologiques : à Pierrelatte du Gabon, dans la vallée de l’Euphrate, dans les déserts du Sahara, de Gobi, de Mojave, en Écosse, dans l’Ancien et le Moyen Empire d’Égypte, et au centre-sud de la Turquie.
Des voyageurs qui s’étaient aventurés au cœur des forêts indiennes ont trouvés les ruines de cités dont les murs, sous l’effet de la chaleur, étaient devenus d’immenses dalles de cristal. Les ruines des Sept Cités, dans la province de Piaui, près de l’équateur, au Brésil, offrent un spectacle d’un monstrueux chaos. Aucune explication géologique n’a encore été proposée par les archéologues dont certains, au vu des pierres calcinées, détruites et fondues, ont évoqué Sodome et Gomorrhe
. Enfin, signalons de grandes surfaces circulaires ou polygonales de matière dure ressemblant à du verre opaque dans le désert de Mojave, en Californie. Les traces profondes d’un feu intense En 1850, William Walker explorant la Death Valley déclara y avoir trouvé une cité en ruine. Parmi les débris, les pierres de l’extrémité d’un grand édifice avaient été fondues et vitrifiées. Walker ajouta que la région entière entre la rivière Gila et St John était parsemée de vestiges montrant des traces d’échauffement si intense que la pierre en avait fondu. Des dallages et des maisons de pierre portaient de larges fissures témoignant d’un éclatement par le feu.
Les cités et les forteresses vitrifiées découvertes par Walker m’intriguent encore plus que les surfaces de verre coulé verdâtres. Les maçonneries de certains forts et tours sur des collines d’Écosse, d’Irlande et d’Angleterre ont été calcinées par des températures infiniment plus élevées que celle de la foudre. D’autres forteresses perchées, depuis les îles de Lofoten, au large de la Norvège, jusqu’aux Canaries, au large de l’Afrique, sont devenue des « fortins fondus » ; selon les termes d’Erich A. von Fange, « les blocs empilés de leurs murs circulaires ont été transformés en verre… par une intense chaleur ». On croyait que Catal Hüyük était l’une des plus anciennes cités du monde, mais des vestiges archéologiques révèlent qu’après un développement civilisé, elle s’est brusquement éteinte.
Les archéologues ont découvert avec surprise d’épaisses couches de briques calcinées. Les éléments de construction avaient été coulés l’un sur l’autre par une chaleur qui avait pénétré à plus d’un mètre sous le sol et carbonisé la terre, les ossements de personnes inhumées et les offrandes enterrées avec elles ; la décomposition bactérienne en avait été interrompue. On a mis au jour un grand ziggourat babylonien fendu jusqu’aux fondations comme s’il avait subi un feu très intense. Dans d’autres parties des ruines, des pans de maçonnerie étaient vitrifiés et partiellement réduits en masses fondues, ainsi que certains blocs isolés à proximité des ruines.
A Pierrelatte du Gabon, des chercheurs du CEA, -- Commissariat à l’Énergie Atomique. -- ont trouvé en 1972 les traces d’une réaction nucléaire spontanée dans la carrière d’uranium d’Oklo. Les scientifiques se sont aperçus que le minerai contenait une proportion anormalement basse d’U235, tel celui que l’on trouve dans le carburant d’uranium appauvri issu de réacteurs atomiques. Le minerai contenait aussi quatre éléments rares typiques de l’uranium appauvri.
Le 25 septembre 1972, l’administrateur de CEA, André Giraud, annonce qu’un réacteur nucléaire vieux de deux milliards d’années a été découvert sur le site de la mine d’uranium d’Oklo.
Anguille sous roche, le réacteur nucléaire d’Oklo, réacteur atomique dont je vous ai déjà parlé, a rajeuni brusquement et sa vieillesse ne dépasse pas dix mille ans, et de sources scientifiques certaines serait même plus jeune mais est antédiluvien, bizarre, bizarre, voire étrange ! … !
À notre époque, des matériaux de cette nature ne sont connus que sur des sites d’essais nucléaires où le sable a été vitrifié par la chaleur. L’éventualité de guerres nucléaires préhistoriques est un constat très dérangeant pour certains.
Mais d’autre part, des scientifiques ont trouvé des gisements d’uranium qui semblent avoir été minés et exploités dans l’antiquité.
S’il se confirme qu’en des temps reculés des civilisations ont connu l’anéantissement atomique, peut-être y a-t-il urgence à ce que nous comprenions vraiment nos comportements !
En résumé, alors que le monde moderne n’a pas connu la puissance de l’atome avant les années 40, une étonnante quantité d’indices témoignent d’effets nucléaires remontant à la préhistoire : sables des déserts parsemés de verre, murs de pierres vitrifiés de certains forts, antiques cités détruites apparemment par une chaleur intense, tout cela bien hors de portée des moyens et des feux d’armées primitives
Schéma de la bombe d’Hiroshima et de Nagasaki
1. Ailerons stabilisateurs
2. Cône de queue
3. Entrée d'air
4. Détonateur par pression
5. Conteneur en plomb – protection --
6. Bras du détonateur
7. Tête du détonateur
8. Charge explosive – cordite --
9. Projectile en uranium 235
10. Cylindre du canon
11. Cible en uranium 235 avec réceptacle, le réflecteur de neutrons se trouve à son sommet
12. Sondes pour la télémétrie – altimètre --
13. Fusibles d'armement de la bombe -- insérés peu avant le largage --
Je reviens maintenant au spirituel puisque depuis deux, trois chapitres j’ai développé le scientifique en priorité avec un peu de spirituel.
Si nous suivons la Bible, et que nous considérons les textes comme véridiques, nous croyons en un Être supérieur à l’humain, puisque nous sommes façonné à sa ressemblance, son reflet, comme dans une glace qui nous rejette notre image, d’une beauté sans égale, d’une intelligence phénoménale, d’une instruction incommensurable, lui le Créateur de tout ce qui vit, et tout vit, de l’infiniment petit à l’infiniment grand, car la terre de la Terre respire, la mer respire, ou plus exactement l’eau respire, en un mot tout ce qu’il y a sur et sous la terre, dans les aires, dans les mers, respire
EL-SHADDAÏ, ce Dieu seul et unique créa en premier l’Univers puis la Voie Lactée avec sa Galaxie, « Terre » et son luminaire « Soleil », l’astre qui éclairerait et chaufferait toutes les planètes attirées par lui le tout formant cette Galaxie avec son « Firmament », et le commencement de ses « Cieux ». La Bible dit très rapidement que tout fut créé et façonné en six jours, mais combien de temps dure un jour sachant que l’Univers a des milliards de milliards de nos années, que la Galaxie « Terre » est relativement jeune, voire très jeune d’après certains géologues, quelques millièmes de milliards de nos années, quant aux animaux difficile à dire, sachant qu’ils ont été sur Terre bien avant l’humain, mais que des espèces ont complètement disparue pour un même nombre qui naissaient, l’équilibre de la nature, et l’espèce humaine est apparue qui a tout déréglée cette stabilité, cette harmonie. Et avant les animaux Il créa la végétation avec ses lois de reproduction selon l’espèce et le genre, mais il ne faut pas oublier que la première « Terre », celle avant le « Déluge », était comme une serre, Genèse II : 5-6, « EL-SHADDAÏ n’avait pas fait pleuvoir sur la terre, toutefois un flot montait de la terre et arrosait la surface du sol » la différence de température entre l’équateur et les pôles n’excédait pas une vingtaine de degré centigrade, mais tout cela je vous l’ai déjà écrit.
Les géologues avec les archéologues ont déterré précieusement, minutieusement des squelettes humains des deux sexes dans leur position initiale, dans les rues de la ville protohistorique de Mohenjo-Daro, et dans d’autres vestiges sur la surface du globe, dont la grandeur était entre trois et quatre mètres. Ceci était la taille normale des humains de l’ère antédiluvienne et la mesure d’une coudée, est la longueur qui existe entre l’os du coude et le bout du doigt majeur de la main soit environ cent dix, cent vingt centimètres (110-120cm)
Selon la Bible un jour serait égal à mille ans ; alors essayons de raisonner avec sagesse et discernement ; scientifiquement il est prouvé que l’Univers existe depuis des milliards de milliards d’année ; l’auteur de la Bible est plutôt brouillon car dans ses exposés de jour beaucoup de chose sont impossible, exemple le quatrième jour devrait être le deuxième. Pour moi l’Univers existe ainsi que la Voie Lactée. Dans cette voie la Galaxie Terre n’est pas formée Je reprendrai ce thème dans le prochain chapitre
Genèses VI : 1-& suiv. « Les patriarches se succèdent, Adam engendra Seth qui engendra Énosh, qui engendra Quénâm, qui engendra Mahalaël, qui engendra Yered, qui engendra Hénoch et cet humain marcha avec EL-SHADDAÏ, qui l’appela son « Scribe de Justice », qui engendra Mathusalem le patriarche qui vécut le plus vieux de la planète Terre, qui engendra Lamech, qui engendra Noa dit Noé dans la Bible, quand Noé termina l’Arche tous les Patriarches étaient décédés »
A l’ère de Mahalaël, mais surtout de Yered EL-SHADDAÏ envoya des Veilleurs sur la Terre pour apprendre aux humains la justice et l’équité. « Dans ses jours de Yered, les anges du Seigneur descendirent sur la terre, ceux qu'on appelle les Veilleurs, afin d'apprendre aux enfants des hommes à pratiquer le droit et l'équité sur la terre. » Les Anges du mal que l’on nommait des « Daimonts » étaient ces Anges partisans de Sammaël et qui allaient vers les humains, qui n’oublions pas étaient presque parfait en dehors de cette tare génétique de la mort puisqu’ils vivaient jusqu’à neuf cents ans et plus sans atteindre les mille ans, pour leur apprendre les mauvaises choses qu’ils retransmettaient à leur progéniture, c’est comme cela que les humains devenaient de plus en plus mauvais.
Parmi ces « Daimonts » il y en a qui trouvaient les filles des humains très belles et ils voulurent s’accoupler avec pour avoir des enfants, alors ils allèrent demander l’autorisation à leur chef qui était le Prince Semyaza. Ils furent deux cents par groupe de dix avec leur chef et ils s’éparpillèrent sur toute la Terre. Sur toute la Terre ils choisirent les filles des hommes et s’apparièrent pour avoir une progéniture.
Mais les Veilleurs d’EL-SHADDAÏ qui aurait dû être intègre, eux aussi trouvèrent les filles des hommes très belles et ils s’unirent à elle et eurent un lignage de géant. Tous ces Êtres gigantesques enseignèrent aux humains une technologie très avancée ; comment trouver les minerais d’uranium, et comment se servir de ce minerai pour façonner les centrales électriques, les piles atomiques, les bombes nucléaires, mais aussi la technologie des armes nucléaires avec des avions de chasse dix fois plus sophistiqués que nos meilleurs avions modernes. Il a été prouvé par les géologues, archéologues et paléontologues que les humains antédiluviens se déplaçaient d’une capitale à l’autre avec des aéronefs d’une rapidité que nous ne connaissons pas. Toujours par les mêmes scientifiques nous apprenons que ces humains antédiluviens parlaient un même langage sur toute la Terre et leur technologie en armement était très supérieur à la nôtre puisqu’ils pouvaient détruire une armée complète avec un rayon laser. Je vais revenir sur ce thème dans le prochain chapitre
Quand nous regardons en un siècle ce que l’humain a inventé, a façonné au point de faire des bombes nucléaires atomiques, à hydrogène, bombe H, à neutron, mais aussi des fusées pour emmener des humains sur la « Lune », et ces derniers marchèrent dessus le 21 Juillet 1969, des avions supersoniques comme le « Concorde » alors qu’il ne se sert que de douze pourcent de son cerveau, dix-huit pourcent maximum pour ces scientifiques qui inventèrent tout ce que je viens de citer, alors pensez à ces humains qui étaient parfait à quatre-vingt-dix-huit pourcent, ce qu’ils ont pu inventer, fabriquer, eux qui vivaient neuf-cents ans en moyenne ?
A bien y réfléchir que nous sommes petits devant nos ancêtres ?
Ne faisons pas comme ces humains antédiluviens, aimons, adorons ce Dieu seul et unique et suivons ces Lois de justice qu’il nous a enseigné ainsi que son Fils unique, Jésus le Nazôréen, qui n’est pas un Dieu, confirmation dans l’évangile de Jean XX : 17, et qui nous a donné un enseignement d’amour en aimant notre prochain comme nous-mêmes !
Portez-vous bien ! Prenez soins de vous, de votre maisonnée !
Salutations cordiales à Tous !
Sig : J-P. G. dit « GRANDELOUPO »
Derniers paragraphes et dernières phrases du chapitre précédent
L’original du livre d’Hénoch est perdu, mais il existe un nombre important de copie en Grec, Latin, Slave et le plus important en Guez traduit directement de l’hébreu et de l’araméen. Je ne vais pas vous poser le prologue du Livre d’Hénoch qui est vraiment ardu
« La version éthiopienne est la seule qui paraisse complète. Elle nous est connue par vingt -six manuscrits qui se trouvent dans les grandes bibliothèques de l'Europe : en Angleterre (Bodléienne, British Muséum, etc.), en France (collection d'Abbadie et Bibliothèque nationale), en Allemagne (Francfort, Berlin), en Italie, etc. L'Angleterre en possède quatorze, dont neuf au British Muséum et deux à la Bodléienne ; la France, huit, dont six dans la collection d'Abbadie (aujourd'hui à la Bibliothèque nationale) et deux à la Bibliothèque nationale, etc. On emploie pour les désigner les lettres de l'alphabet, dans l'ordre introduit successivement par Dillmann, Charles et Flemming »
“A : Bodleianus, 4. — B : Bodleianus, 5. — C : Francofurtensis Riipp. II, 1. — D : Curzon. [1]. — E : Curzon. [2]. — F : Brit. Mus. Add. 24185 (Wright, Catalog of Ethiop. ikfss., Londres, 1877, n° 5). —G : Brit. Mus. Orient., 485 (Wright, n" 6). —H : Brit. Mus. Orient., 484 (Wright, no 7). — J : Brit. Mus. Orient., 486 (Wright, n" 8). — K : Brit. Mus. Orient., 490 (Wright, n° 12). — L : Brit. Mus. Add., 24990 (Wright, n° 13). — M : Brit. Mus. Orient., 491 (Wright, n° 15).—N : Brit. Mus. Orient., 492 (Wright, no 16). —O : Brit. Mus. Orient., 499 (Wright, n" 23). — P : Lindesianus, 23 (au comte de Lindsay). —Q : Berolinensis Peterm., 11, Nachtr. : no 29. — R : Abbadianus, 16. — S: Abbadianus, 30. — T : Abbadianus, 35. — U : Abbadianus, 53. — V : Abbadianus, 99. — W : Abbadianus, 197. — X: Romanus, 71. — Y : Monacensis, 30. — Z : Parisinus, 50. — Z'' : Parisinus, 49.
Plusieurs de ces manuscrits sont des copies de la Bible éthiopienne, dans lesquelles Hénoch se trouve placé au milieu des livres de l'Ancien Testament, quelquefois avant celui de Job. Comme les autres manuscrits éthiopiens, ils sont tous écrits sur parchemin.
Après U, qui remonte peut-être au XVème siècle, les plus anciens, G et Q, remontent au XVIème siècle, quelques-uns, P, T, X, Y, Z, et peut-être W, au XVIIème"; la plupart, A, B, G, D, E, H, J, K, L, M, N, 0, S, W (?), Z (copie de B) seulement au XVIIIème , et trois F, R, V, au XIXème siècle.
Dillmann lui-même mitigé sa première opinion dans un de ses derniers articles et admet un original « hébreu -araméen » »
Énoch, les géants et
les guerres
nucléaires
Chapitre N° 10
Le « Mal » est né dans les Cieux, le jour où le premier Ange créé, Sammaël, se rebella contre son Concepteur, Fondateur, à cause de l’Homme, du tout premier humain qui était juste une marionnette sans vie, dans le creux de la main de son Inventeur, Bâtisseur, Créateur, et la similitude, la ressemblance était si époustouflante que tous les Anges voyant l’image d’EL-SHADDAÏ dans le creux de sa main, se prosternaient devant l’Homme, devant l’image de leur Dieu, mais ce premier Ange, Sammaël, refusa l’allégeance devant cette image façonnée de terre et d’eau, lui qui venait de la poussière du Cosmos et du feu.
Le « Mal » par cette rébellion venait de naître, mais n’a pas eu le temps de se propager dans l’Univers des Cieux, car cet Être Suprême dans une grande colère, s’irrita contre Sammaël et tous ceux qui voulurent l’imiter et le suivre en les plongeant dans une profonde torpeur, les bannissant des Cieux et les jetant sur la Terre et ses environs.
L’Homme en premier fut déposé sur la Terre, puis EL-SHADDAÏ lui façonna une compagne après avoir pris une basse-côte du thorax du premier humain, et pendant tout ce temps, Sammaël et les Siens étaient toujours endormis.
Ce fut quand EL-SHADDAÏ réveilla Sammaël et tous les siens de leur léthargie que ce dernier jeta un « Défi » à son Concepteur et par la même jura que l’humain serait chassé du Territoire d’Eden comme lui avait été chassé des Cieux.
Sur ce premier point il gagna largement !
Voilà comment le « Mal » fut entré sur la Terre !
Livre de I Hénoch, Chapitre VI : 1-7
« L'union des anges avec les filles des hommes.
1, Or, lorsque les enfants des hommes se furent multipliés, il leur naquit en ces jours des filles belles et jolies ; 2. et les anges a, fils des cieux1, les virent, et ils les désirèrent, ils se dirent entre eux :
« Allons, choisissons-nous des femmes parmi les enfants des hommes et engendrons-nous des enfants. »
3. Alors Semyaza, leur chef, leur dit :
« Je crains que vous ne vouliez peut-être pas (réellement) accomplir cette œuvre, et je serai, moi seul, responsable d'un grand péché. »
4. Mais tous lui répondirent2 :
« Faisons tous un serment, et promettons-nous tous les uns aux autres avec anathème3 2 de ne pas changer de desseinb, mais de l’exécuter réellement. »
5. Alors ils jurèrent tous ensemble et s'engagèrent là-dessus les uns envers les autres avec anathème4. 6. Or ils étaientc en tout deux centsd, et ils descendirent sur Ardis, le sommet du mont Hermon ; et ils l'appelèrent « mont Hermon » parce que c'est sur lui5 qu'ils avaient juré et s'étaient engagés les uns envers les autres avec anathème.
7. Et voici les noms de leurs chefs : Semyaza, leur princee ; Arakib, Aramiel, Kôkabiel6, Tamiel, Ramiel, Daniel, Ezéqiel, Baraqiel7, Pasaël, Armaros, Batariel, Ananiel, Zaqilê8, Samsapeel9, Satariel10, Touriel11, Yomeyal12, Arazeyal13 ». 8. Ce sont leurs chefs de dizaine14. »
1)Q : « les anges, fils des hommes. »
2) Tous les mss, excepté G, M : « lui répondirent et dirent, » comme le Syncelle :xαί εΐπσυ
3) « Promettons-nous tous avec anathème » manque dans Q.
4) G ajoute en surcharge à la fin du. 5 : « où péchèrent les anges avec les filles des hommes. »
5) « Sur lui » manque dans le V groupe et A, D, R, Y, — Voir George le Syncelle.
6) Q : « Kôkabâel. »—T, U : « Kôkabel. » Cf. la note sur le )f. 7.
7) Au lieu de « Baraqiel », A, E, V ont lu « Saraqueyal », confondant h avec s, ce qui est assez facile en éthiopien
8) T : « Zaqêlê. » — Q : « Zeqesê. » — Tous les autres mss., à l'exception de G : « Zaqêbê. » — La véritable leçon est celle du grec, « Baqiel. » -i M : « Sâmpsepésêel. » — T, U : « Sempsapebêel. » — Le2 groupe à l'exception de C, E, V : « Semsâwêel. » Cette dernière leçon est celle qui se rapproche le plus du grec SejjMi^X.
9) Q : « Artiel, » au lieu de « Satariel ». — M : « Sartael. »
10) G : « Wariel, » au lieu de « Touriel ».
11) M, Q et le 2 groupe : « Yomyael. »
12) T : « Karaziel. »
13) T2 et le 2® groupe : « Ce sont les chefs des deux cents anges. »
a)« Le Syncelle : « ... les Serviteurs, et ils s'égarèrent à leur suite, (les filles des hommes) et ils dirent les uns aux autres. »
b) « De ne pas nous détourner de ce dessein jusqu'à ce que nous l'ayons accompli et que nous ayons fait cette action. »
C) D'après le grec du Syncelle : « Ceux-ci (les serviteurs mentionnés au f. 2 du même chap., au lieu des anges fils des cieux) étaient donc deux cents, qui descendirent dans les jours de Yered sur la cime du mont Hermon, et ils l'appelèrent le mont Hermon, parce que... » etc., comme dans l'éthiopien.
d)- Le nombre des conjurés manque dans le texte grec retrouvé à Gizeh, ainsi que la mention du lieu où ils descendent.
e)- La liste des chefs dans le grec diffère du texte éthiopien par les noms, Tordre et le nombre. D'ailleurs, les deux textes grecs eux-mêmes ne sont pas d'accord. Tandis que le texte éthiopien n'en donne que dix-huit, le texte de Gizeh en nomme vingt et un, et le texte conservé par le Syncelle, vingt, qu'il numérote avec soin. Le nombre vingt est probablement le nombre primitif, car à deux cents anges [f. 6) devaient correspondre vingt chefs de dizaine, à moins de compter à part et en plus Semyaza comme chef suprême. Infra, LXIX, 2, l'éthiopien en donne aussi vingt et un. Texte grec de Gizeh : « Semiaza, Arathak Kimbra, Sammane, Daniel, Aredrôs, Semiel, Iômeiel, Ghôchariel, Ezekiel, Batriel, Sathiel, Atriel, Tamiel, Barakiel, Ananthna, Thôniel, Ramiel, Aseal, Rakeeil, Touriel. » — Texte conservé par le Syncelle : « 1° Semiaza, leur chef, 2° Atarkouph, 3° Arakiel, 4° Chobabiel, 5° Orammamê, 6° Ramiel, 7° Sampsik, 8° Zaldel, 9° Balkiel, 10° Azaël, 11° Pharmaros, 12° Amariel, 13° Anagêmas, W Thausaël, 15° Samiel, 16° Sarinas, 17° Thôêmiel, 18° Turiel, 19° Joumiel, 20° Sariel. »
1. Cf. Genèse, VI : 1-4. « Lorsque les hommes eurent commencé à être nombreux sur la surface de la terre, et qu'il leur fut né des filles, les fils de Sammaël virent que les filles des hommes étaient belles, et ils en prirent pour femmes parmi toutes celles qui leur plurent. Et EL-SHADDAÏ dit : « Mon esprit ne demeurera pas toujours dans l'homme, car l'homme n'est que chair, et ses jours seront de cent vingt ans. » Or les géants étaient sur la terre en ces jours-là, et cela quand les fils de Sammaël se furent unis aux filles des hommes, et qu'elles leur eurent donné des enfants ; ce sont là les héros renommés dès les temps anciens. » Cf. Philon, De gigantibus ; S. Justin, Apologie, I, S ; Pseudo-Clément, Ilom., vin, I 2 et S.; Clément d'Alexandrie., Stromates, V, I, 10 ; Tertullien., De virgin. Velan. Vu ; Adv. Marcion, v, 18; De idole, IX ; Lactance, Inst., n, 15 ; Commodianus, Instructionne I, 3 ; S. Augustin, De civitate Dei, XV, 23, etc. — Les Jubilés, IV : 10, donnent une raison différente de la descente des anges : « Dans ses jours de Yered, les anges du Seigneur descendirent sur la terre, ceux qu'on appelle les veilleurs, afin d'apprendre aux enfants des hommes à pratiquer le droit et l'équité sur la terre. »
6, Telle est la traduction du texte éthiopien actuel. Mais le texte exact nous a été conservé par le Syncelle : 1. Le traducteur éthiopien, ou bien n'a pas trouvé dans son exemplaire, ou bien a omis de traduire. Taïç -/ a bloqué les mots làplSelç, dont il a fait Ardîs, qu'il a joint à ce qui suit par l'explication za-we'etû, « c'est-à-dire. » De plus, les mots ot xaxaêâv-Tsçj, «ceux qui descendirent » qu'il aurait fallu traduire a-iwaradû, ont été traduits wa-waradû, « et ils descendirent, » Cf. Flemming, -Das Buch Henoch, p. 25, Ug. 10, note, et Charles, Thebook of Enoch, p. 63, note 6. — Il y a un jeu de mots sur « Hermon » et « anathème », en hébreu herem.
7. Les manuscrits éthiopiens présentent un assez grand nombre de variantes dans les noms des chefs (voir plus haut, notes 1, 2, 3, 4, etc.). Beaucoup s'expliquent par des confusions de lettres. Nous n'avons donné que les plus importantes. — Arakib = 'ApaxiïiX du Syncelle et 'ApaOâx du grec de Gizeh. — Aramiel = 'Opa {j.(j.a|jLYi du Syncelle et Ktfigpà (?) du grec de Gizeh. Presque tous les manuscrits éthiopiens réunissent ces deux noms en un seul. G et Y seuls les séparent, mais inexactement : Araki, Baramiel pour Arakib, Aramiel. Cf. Dillmann, Das Buch Henoch, p. 93-95. — Kôkabiel (voir plus haut les variantes, note 1), peut-être le nom babylonien de la planète Jupiter, « l'étoile de Bel, » c'est-à-dire « du Seigneur » par excellence, Marduk, le grand dieu de Babylone. Les Grecs l'ont pour cette raison appelée Zeùç. Epiphane, Adv. haser., XVI, 2, la nomme Kwxè6 pâaX, et les Mandéens l'appellent eux aussi Kaukebîl.
Je viens de vous poser des textes rébarbatifs, mais je pense que cela était nécessaire pour la compréhension des écritures suivantes. Les Anges du mal, ces Serviteurs de Sammaël, s’accouplèrent avec les filles des hommes qu’ils trouvèrent très belles, mais le Très-Haut dans le même temps avait envoyés des Anges sur la Terre que l’on appelait des Veilleurs, des Vigiles pour apprendre la justice et l’équités aux hommes, mais eux aussi virent que les filles des hommes étaient très belles et comme les Serviteurs ils s’accouplèrent avec les femmes des hommes.
Les Jubilés chapitre IV : 15
« Et dans la deuxième semaine du dixième jubilé Mahalalel prit Dinah pour femme, la fille de Barakiel et fille du frère de son père, et dans la sixième année de la troisième semaine elle lui donna un fils et il appela de ce nom Jared, car dans ces jours les anges du Seigneur, ceux qui sont appelés les Vigiles, descendirent sur la terre afin qu’ils instruisent les enfants des hommes et qu’ils fassent jugement et justice sur la terre. »
Leurs progénitures devinrent des géants, des ogres de trois cent coudés ce qui faisait entre cent-trente et cent-soixante-dix mètres de hauteur. Ils mangeaient tout ce que les humains produisaient, mais comme ils n’arrivaient pas à se rassasier ils mangeaient tout ce qui se mouvait sur la Terre, dans les aires et dans les mers, et mêmes le cannibalisme. L’iniquité, l’abomination, l’adultère, le sang des animaux et des humains coulaient sur la Terre.
Toujours dans le même temps à l’époque de Mahalaël et Yered, Henoch VIII : 1-9,
« 1. Azaziel enseigna encore aux hommes à faire des épées, des couteaux, des boucliers, des cuirasses et des miroirs ; il leur apprit la fabrication des bracelets et des ornements, l'usage de la peinture, l'art de se peindre les sourcils, d'employer les pierres précieuses, et toutes espèces de teintures, de sorte que le monde fut corrompu.
2. L'impiété s'accrut ; la fornication se multiplia, les créatures transgressèrent et corrompirent toutes leurs voies.
3. Amarazak enseigna tous les sortilèges, tous les enchantements et les propriétés de racines.
4. Armers enseigna l'art de résoudre les sortilèges.
5. Barkayal enseigna l'art d'observer les étoiles.
6. Akibeel enseigna les signes.
7. Tamiel enseigna l'astronomie.
8. Et Asaradel enseigna les mouvements de la lune.
9. Et les hommes sur le point de périr élevèrent leurs voix, et leurs voix montèrent jusqu'au ciel. »
L’humanité commença à diminuer sur la Terre et le cri des humains monta jusqu’aux Cieux
EL-SHADDAÏ commença à regretter d’avoir inventé, créé l’Homme, l’Humain, alors il décida de faire périr tout ce qui vit sur la Terre.
Puis de sa hauteur, regardant la Terre avec toutes ses abominations, cette iniquité, IL mit dans l’esprit de ses ogres, de ses géants de se combattre les uns contre les autres afin qu’ils s’exterminassent jusqu’au dernier et c’est ce qu’ils firent.
« Maintenant je vais nettoyer la terre de la Terre de toutes ces souillures ! » Et regardant la Terre il pensa à la descendance d’Hénoch et Mathusalem engendra Lamech qui engendra Noé et, malgré le monde d’iniquité qu’il y avait autour d’eux, ils restèrent fidèles à EL-SHADDAÏ respectant ses Lois et Préceptes.
Ce Dieu seul et unique voulait toujours nettoyer cette Terre de sa luxure, débauche, dépravation par un immense « Déluge », alors « IL » aida Noé et sa famille. Par un songe « IL » donna les côtes de construction d’une grande caisse en bois à plusieurs étages que l’on nomma « Arche ».
Quelques décennies d’année avant « IL » prévint Noé « qu’IL » allait faire pleuvoir sur la Terre. Cela a dû étonner Noé car il ne pleuvait pas sur la Terre, Genèse II : 6, « Toutefois, un flot montait de terre et arrosait toute la surface du sol ». Comme souvent je l’écrirai, la Bible est misogyne, car elle parle de la gent mâle, et les plus connus, mais rarement du sexe féminin sauf s’il a une grande importance, notoriété.
Donc Noé a eu combien de « filles » avant le Déluge ? Noé, d’après la Bible, eut son fils Sem à l’âge de cinq-cents ans, mais elle ne dit pas que c’est son premier né, donc il est logique de penser que cet homme eut des filles cela est certain, et sûrement des fils dont « un premier-né » avant Sem ? La Bible comme l’Écriture Apocryphe font un silence de plomb ! Pourquoi ? De plus il est impossible que Noé ait attendu cinq cents ans avant d’avoir son premier enfant, ceci est contre toute logique, surtout à une époque où les Patriarches sont encore vivants, et que la Loi divine dit : « Multipliez-vous et remplissez la Terre ! » et sachant Noé proche d’EL-SHADDAÏ, alors ! …. Je pense avoir raison et que mon raisonnement ait logique. La Bible parle d’eux car ils suivent leur père, et il est logique de penser que des filles de Noé avec leur époux sont en accord spirituellement, ainsi que leurs progénitures avec Noé et qu’ils suivent les Lois et Préceptes d’EL-SHADDAÏ, ce qui fait que, pour construire cette « Arche » il devait y avoir plus d’une centaine de personnes.
Pensez à ces hommes mesurant entre trois et quatre mètres pesant deux cents à trois cents kilogrammes, imaginez-vous cette corpulence, cette force ? Et ils n’étaient pas de trop pour cette immense construction sous les quolibets, railleries de leurs semblables.
J’arrête les écritures avec Noé et revient à l’ère antédiluvienne, à cette époque où les humains vivaient neuf cents ans et plus puisque d’Adam à Noé la moyenne humaine de l’âge est de neuf-cent-douze ans.
Juste une petite constatation sur notre époque avant de revenir à cette ère antédiluvienne. Reportons-nous aux années de 1870 sous Napoléon III : pour la guerre la France vient d’inventer la mitrailleuse, les voies ferroviaires sont à leurs balbutiements, dans les villes les déplacements se font avec les omnibus. En un siècle, cent ans, le modernisme évolue à une vitesse vertigineuse avec le « chemin de fer » la voiture particulière à essence allant de 15 km/h en 1850 à plus de 300 km/h en 1950. En 1958 les humains ont marché sur la lune, les avions volent à deux fois le « mur du son 2448 km/h ». En 2017 le téléphone est portable, il y a l’ordinateur qui remplace le papier, les machines è écrire, sans compter sur le frigidaire, la machine à laver le linge, la vaisselle. Sur toute la Terre les nouvelles circulent en deux secondes, les humains se parlent d’un Continent à l’autre. La technologie mondiale avance à une rapidité phénoménale et en cette fin d’année 2017 nous sommes au bord d’une guerre nucléaire entre la Corée du Nord et les USA.
Depuis Adam les humains se multiplient sur la Terre, la remplissent et ne parlent qu’un seul langage Seth, Énosh, Quénâm, Mahalaël, Yered, sont les Patriarches de la descendance de Seth, mais il y a aussi « la descendance de Caïn qui engendra Énoch et il procréa Ciram, Cuut et Madah. Ciram engendra Matusaël qui engendra Lamech. Lamech prit deux femmes Ada et Sella, Ada enfanta Yubab qui devint le père des bergers et Yobal qui fut le premier musicien en jouant de la cithare, de la lyre et du chalumeau. Sella accoucha de Tobel, enfanta Miza et Teffa. Tobel montra à ses semblables l’art de travailler le plomb, l’étain, le fer, l’airain, l’argent et l’or. En ce temps-là les habitants de la Terre avait commencé à faire le mal, en allant chacun vers la femme de son prochain pour la souiller, à faire des images taillées et à les adorer. »
Maintenant parlons de l’avance technologique de ces humains, sachant que leurs outils, les clous, vis, et autres ne se corrodaient pas et étaient d’une dureté que nous ne connaissons pas. De plus les arbres étaient comme tout, gigantesques comparés à notre ère, et d’une forte densité. Je suis convaincu que les humains antédiluviens avaient inventé un système de déplacement et de levage que nous ignorons complètement, puisqu’ils vivaient dans des villes. Je réitère, ces humains étaient beaucoup plus intelligents que nous, car leurs ascendants venaient de la perfection.
Au niveau outils où engins de travaux publics nous ignorons leurs avances, par contre au niveau armement les archéologues avec les géologues et les paléontologues ont la preuve d’une avance technologique très avancée, beaucoup plus en avance que la nôtre, puisqu’ils connaissaient l’arme nucléaire, mais aussi le laser et le guidage des missiles par ondes sonores. Toujours par la géologie et l’archéologie associée nous savons qu’ils possédaient des engins de levage plus expérimentés et plus puissant puisqu’ils pouvaient lever des charges cent fois supérieur à nôtre grue la plus puissante.
Les guerres nucléaires :
« Tous les textes que nous avons déjà étudiés et les réalités retrouvées sur le terrain dans la vallée de l’Indus et le désert du Thar, domaine des indo-européens, démontrent, une que les guerres du Ramayana sont des guerres nucléaires, une preuve flagrante c’est qu’aujourd’hui encore, dans la vallée du Thar qui est devenu depuis ce temps un désert il y a une radioactivité équivalente à celle du désert de Gobi, cinquante fois supérieure à la normale, soit 82ms/an »
La deuxième guerre du Gobi racontée par les légendes chinoises précise que l’empereur céleste Huangdi était furieux contre Yi d’avoir fait tant de dégâts et de destructions sur la terre la rendant inhabitable. En effet il a poursuivi les atlantes avec ses armes nucléaires jusqu’à Sumer dévastant ainsi une grande partie de terres auparavant fertiles.
Mais dans les védas, le Ramayana, comme dans le Mahabharata, il y a bien d’autres passages qui citent des batailles aériennes et l’utilisation de l’arme nucléaire avec la description de ses effets et de ses conséquences
Il n'y a pas de restes de l'ancienne technologie aérienne Indienne mais des références sur ces machines volantes sont communes dans les anciens textes indiens. Plusieurs épopées épiques anciennes décrivent leur utilisation en temps de guerre.
Les scripts prennent bien soin de censurer le fait que tous leurs écrits sont basés sur des sources authentiques. Malheureusement, quatre-vingt-quinze pourcents de ces documents ne sont pas traduits.
Les épopées anciennes les plus connues, traduites de l'ancien texte Sanskrit, sont la Mahabharata et le Ramayana.
Ces deux épopées décrivent des guerres anciennes dont la férocité a détruit l'ancien monde préhistorique. La guerre entre les combattants se faisait avec de puissants engins aériens, le plus connu est le « Vimana ». Aussi bien le Mahabharata que le Ramayana décrivent le Vimana comme étant un appareil aérien en forme de dôme circulaire ou de cigare.
Un des aspects le plus surprenant des épopées indiennes est que ces guerres sont similaires aux techniques des combats aériens modernes. Les textes décrivent des méthodes pour préserver l'essence en volant à différentes altitudes, des atterrissages d'urgence causé par la menace ennemie, et des dommages provoqués par les impacts des oiseaux. D'autres strophes préviennent sur l'importance à éviter, en haute altitude, les tempêtes et comment absorber l'énergie des rayons du soleil pour recharger les appareils volants. Le « Vaimanika Sastra » dédit des diagrammes décrivant les trois types d'appareils volants.
L'empire Rama est décrit dans le Mahabharata et le Ramayana. Ils le décrivent comme une civilisation ayant une technologie supérieure et dans laquelle la caste noble était capable de voyager partout sur Terre et sur la lune et même vers les étoiles. L'appareil Vailixi avait la plupart du temps la forme d'un cigare, plus rond qu’un Vimana, et pouvait voyager à travers l'eau aussi bien que l'air
L'empire possédait sept grandes capitales appelées les sept cités Rishi. Les nobles voyageaient d'une cité à l'autre par les airs bien qu'un texte Jain, daté du huitième millénaire avant JC, dit que des chariots aériens étaient utilisés pour le transport normal et étaient appelés Pushpaka et pouvaient emmener beaucoup de personnes d'une capitale a une autre. A plus haut de l'empire, il y avait beaucoup de machines volantes traversant les cieux et qui montraient l'éclat jaune de leurs moteurs aux spectateurs nocturnes.
En Inde, les scientifiques ont déterré une ancienne cité contenant des preuves d'une explosion atomique datant de dix mille à huit mille ans et qui a détruit la plupart des immeubles et probablement un demi-million de personnes. Les radiations sont encore si intenses que la zone est extrêmement dangereuse. Un article du World Island Review de janvier 1992 parle d’une épaisse couche de cendres radioactives qui recouvre plus de 4, 827 km2 de surface à Rajasthan, à 16, 090 km2 à l'ouest de Jodhpur.
Un des chercheurs, estime que la bombe nucléaire utilisée devait être de la taille de celles lancées sur le Japon en 1945. Le Mahabharata décrit clairement une explosion catastrophique qui toucha le continent.
Autres écrits du Mahabharata nous raconte les effets de l’arme suprême :
« C’est une coquille, qui étincelait comme le feu, mais sans dégager de fumée
Quand la coquille a touché le sol, le ciel est devenu obscur , les tornades et les tempêtes ont ravagé les villes Une horrible explosion a brûlé des milliers de gens et d’animaux , les réduisant en cendres »
Un autre extrait du Mahabharata raconte :
« Ghurka surgit dans son puissant « Vimana » et détruisit les trois cités des Vrishis et des Andhakas avec un projectile unique chargé de toute la puissance de l’Univers. Une colonne incandescente de fumée, et de flammes aussi lumineuses que dix mille soleils s’élevèrent dans toute sa splendeur.
C’était une arme inconnue, une foudre de fer, un gigantesque messager de mort qui réduisit en cendres la race entière des Vrishis et des Andhakas …
… Les cadavres étaient tellement brûlés qu’ils étaient méconnaissables Leurs cheveux et leurs ongles tombaient
La poterie se cassait sans raison apparente et les oiseaux devenaient blancs
Au bout de quelques heures, toute nourriture était infectée …
…Pour échapper à ce feu les soldats se jetaient dans les rivières pour laver leur corps et leur équipement … »
Kisari Mohan Ganguli, historien, dit que les textes sacrés indiens sont remplis de telles descriptions qui ressemblent à une explosion atomique comme elle fut testée à Hiroshima et Nagasaki. Il dit que les références mentionnent des chariots volants dans le ciel et des armes finales.
Une ancienne bataille est décrite dans le Drona Parva, une section du Mahabharata.
« Le passage parle de combats dans lesquels les explosions des armes finales décimaient des armées entières, repoussants des masses de soldats avec leurs coursiers et leurs éléphants comme s'ils étaient des brindilles. » dit Ganguli « a la place de champignon atomique, l'auteur décrit une explosion perpendiculaire avec ses nuages de poussières se soulevant comme des parasols géants en train de s'ouvrir. Il y a des commentaires à propos de la contamination de la nourriture et les cheveux tombants des gens. » Francis Taylor, archéologue, dit que des gravures se trouvant dans des temples proches suggèrent qu'ils priaient pour être épargnés de la grande lumière qui venait mettre en ruine la ville.
Au Pakistan et en Inde, dans la vallée de l’Indus, se trouvent les ruines de plusieurs cités antiques, détruites de façon brutale. Elles ne sont pas mentionnées dans l’histoire : nous pouvons en conclure qu’elles sont antérieures aux temps historiques. On les soupçonne d’être quelques-unes des cités Rishis du mythique empire de Rama. Les deux plus grandes villes sont aujourd’hui appelées Mohenjo-Dâro et Harappâ mais ces noms sont modernes. Chacune d’elles pouvait loger jusqu’à deux-cents mille habitants.
S’agirait-il des cités des Vrishis et des Andhakas ces trois villes détruites par Ghurka et sa foudre de fer ? Les archéologues ont découvert dans cette zone les restes d’une ville de la civilisation de la vallée du Thar comportant des traces d’explosion nucléaire survenue il y a plusieurs millénaires.
Il semble en tout cas que ces villes aient été détruites en un instant : sur la chaussée, les fouilles ont permis de découvrir des squelettes fauchés en pleine activité. Après des millénaires, ces squelettes sont encore aussi radioactifs qu’à Hiroshima. Cette radioactivité élevée a entraîné des problèmes sanitaires graves, si bien que le gouvernement indien a été contraint de fermer le site de fouilles et d’interdire la zone.
« C'est si contraignant d'imaginer qu'une civilisation ait eu la technologie nucléaire avant nous. La poussière radioactive crédibilise les enregistrements anciens qui décrivent des guerres atomiques. » (Source Rusty James)
Le désert du Thar, d’une superficie de deux-cents mille kilomètres carrés, est appelé Mârusthali, « le Pays de la Mort » en Inde, et au Pakistan, il porte le nom de désert du Cholistan qui signifie « Mortelle »
Cette zone est devenue désertique entre neuf mille à huit mille ans avant l’EC ou J-C. À cette époque le fleuve Sarasvatî s’enfonçait dans le désert et ne laissait qu’un lit asséché qui réapparaissait au Pakistan
Sous le désert du Thar il n’y a pas que du pétrole et du charbon, il y a aussi la cinquième plus grande nappe phréatique d’eau douce du monde.
Je vais continuer dans le prochain chapitre sur les guerres nucléaire qui malheureusement ont existé !
Au fur et à mesure que j’avance dans mes découvertes et lecture, je suis étonné de tout ce que les médias nous cachent, dû sans doute à la politique et à la religion.
Alors vous mes semblables fortifiez-vous dans la croyance d’un seul et unique Dieu que je nomme EL-SHADDAÏ, comme son « Nom » est écrit dans la Genèse de la Bible, sept fois comme une plénitude, car je réitère Jésus le Nazôréen, le « Jésus-Christ » des chrétiens n’est pas un Dieu, et beaucoup trop d’humains prie un morceau de bois en forme de croix avec un homme cloué dessus, comme des idolâtres qu’ils sont, en oubliant de prier le seul véritable Dieu, son Père, qui est l’unique Dieu de tout l’Univers.
C’est « LUI » qu’il faut prier !
Comme le dit son propre fils : « Sans mon Père je ne suis rien, car je ne fais que la volonté de mon Père » Se sont les propres paroles de son fils dans tout l’évangile de Jean, l’Apôtre qu’il aimait le plus, voilà pourquoi sur la croix il lui confia sa mère
Portez-vous bien et prenez soins de votre maisonnée !
Salutations cordiales à tous !
Sig : J-P. G. dit « GRANDELOUPO »
Derniers paragraphes et phrases du précédent chapitre
L'ensemble du déluge ne s'est pas limité à un seul grand raz de marée. Il y a eu en tout plusieurs impacts dans différentes parties du monde. En outre, des tremblements de terre partaient de la croûte terrestre partout éventrée, et produisaient dans la mer les raz de marée redoutés - les tsunamis. Les différents impacts et les éruptions de la croûte terrestre produisirent plusieurs raz de marée gigantesques, qui furent accompagnés de vagues secondaires et qui se recouvrirent et s'accumulèrent dans diverses parties du monde.
Le poids de l’eau déclencha des éruptions volcaniques qui mirent le feu à des grandes forêts de conifères, et la température de la terre monta faisant tout fondre sur des milliers de kilomètres, les traces géologiques en sont témoins.
« L'impulsion thermique irradiée à une grande vitesse par le foyer de l'explosion peut être considérée comme le début d'un violent incendie mondial. L'ouragan et la tempête de chaleur brûlante ainsi déclenchés pouvaient avancer à la vitesse de 1200 km/h, et abattaient encore des forêts comme des allumettes à plusieurs milliers de kilomètres de distance. Les fragments et les retombées incandescentes de précipitations radioactives provoquèrent de grands incendies dévastateurs qui s'étendirent à partir de plusieurs centres dans toutes les directions. La chaleur incandescente fit éclater les rocs, assécha les fleuves et fit bouillir les lacs et les mers. La comparaison avec les grands incendies dans les villes et les sinistres habituels fait conclure à des températures bien supérieures à 1500°C. C'est pourquoi les mythes n'exagèrent pas quand ils parlent des minéraux liquéfiés dans les montagnes.
Ainsi, la religion de la Perse ancienne parle-t-elle conformément à la vérité de métaux qui se liquéfièrent dans les montagnes et se répandirent comme un flot incandescent sur la terre. Le point de fusion du cuivre est par exemple de1083°C, celui de l'argent de 961 °C, de l'or de 1063°C et du fer pur de 1535 °C. Ces températures sont dépassées lors d'un incendie de taille mondiale, et ce savoir montre que les anciens mythes ne flottent pas dans la lueur d'une tradition fécondée par l'imagination. »
Aujourd’hui nous sommes au début d’une ère atomique qui a déjà, semblerait-il, existé.
Partout où il y a eu des essais nucléaires la roche, les sédiments, et surtout le sable, car presque tous les essais ont été pratiqué dans des desserts, pour la France dans le Sahara algérien, pour les Royaumes Unis le Désert de Sable et celui de Victoria en Australie, pour la Chine le désert de Gobi, pour l’Inde celui de Thar dont je reparlerai, pour le Pakistan celui de Cholistan, qui est le même désert que l’Inde seul le nom change, pour les États-Unis, - USA -, les plateaux du Colorado et celui de Mojaves, et pour finir la Sibérie qui n’est pas considérée comme désertique, et dans tous ces lieux il y a sur des hectares de terre vitrifiées d’une couleur de vert sale, opaque.
On ne connaît de la machine d'Anticythère qu'un exemplaire, dont les fragments ont été trouvés en 1901, dans l’épave d’une galère romaine, longue d'une trentaine de mètres, près de l'île grecque d’Anticythère entre Cythère et la Crète, par des pêcheurs au large de la côte, qui a été datée comme antérieure à 87 av. J.-C.
« Pour moi, ces sujets prouvent définitivement l’existence des Nephilims, les Anges déchus, qui, étaient nettement plus avancés que nous technologiquement parlant aussi bien que surnaturellement plus fort. » Hans Joachim Zillmer
Ce mystérieux dispositif mécanique est décrit comme le premier ordinateur analogique du monde. Les scientifiques s’accordent à dire qu’il est réel et remonte aux alentours du IIème siècle avant JC, ce qui signifie qu’il est âgé de plus de deux mille cent, deux mille deux-cents ans.
La machine d'Anticythère est le plus vieux mécanisme à engrenages connu. Ses fragments sont conservés au Musée National archéologique d’Athènes
Fresque, Vimanas et Bible
Chapitre N° 9
Depuis les deux derniers chapitres je vous écris dans le bizarre, l’étrange, le mystère qui a existé avec certitude, mais un grand peintre, d’opinion religieuse chrétienne, qui peint avec prémonition au XVIIème siècle dans une église à Montalcino en Italie voilà encore plus étrange
Trois œuvres d’art remarquables sont situées dans l’église récemment restaurée de San Pietro, à Montalcino, province de Florence, en Italie. La fresque située immédiatement derrière l’autel est appelée « la Glorification de l’Eucharistie » et a été peinte juste avant l’an 1600 par l’artiste Ventura Salimbeni. Bien qu’il ait peint le monde avec une colombe planant au-dessus, un examen plus attentif fait que cette œuvre est rare et inhabituelle du fait qu’elle dispose d’un dispositif apparemment mécanique, qui ressemble à un satellite de surveillance.
Si
vous contemplez cette fresque avec attention, image à votre gauche,
vous constaterez que l’image en plein centre ressemble à si
méprendre, de loin, à celle d’un poste de télévision.
Cette gravure pieuse disséquée sur votre gauche nous montre le « Fils » et le « Père » avec une représentation de « l’Esprit d’Intelligence », un oiseau, une colombe blanche qui pour la chrétienté représente quelque chose qui n’existe pas « l’Esprit-Saint ou le Saint-Esprit », en effet « l’Esprit », c’est-à-dire « l’Intelligence », est invisible, impalpable, intouchable et nous arrivons à connaître l’importance « d’Esprit » de notre semblable grâce à ses paroles, ses actions.
Le dispositif, la Terre ronde, dispose clairement d’antennes télescopiques. Au centre, cette protubérance apparaît-être l’œil d’une caméra ou celui d’un projecteur de lumière. Je réitère, cette fresque est peinte dans une église que la chrétienté restaure avec les fonds du Vatican et la générosité des fidèles. Le peintre était-il un visionnaire ? Où, avait-il l’esprit embué, pour ne pas comprendre ce qu’il peignait ? … Que de choses de notre monde moderne sur cette toile ? Je m’aventure légèrement, mais cet homme, devait être très pieux, puisque la majorité de ses œuvres ont été faites dans des églises, chapelles, cathédrales, en écrivant par l’image le dernier Livre de Jean sur l’ile de Patmos, l’Apocalypse ou Révélation. Jean, dans sa Révélation, écrit sur les images qui parlent, et ces images qui parlent sont bien représentées dans la toile de gauche au centre. (Apocalypse XIII : 15)
De plus près cette image centrale est un calice voilé, mais la confusion est là !
Vous Lectrices et Lecteurs retenez bien ceci, nous sommes là, au XVIIème siècle ! Alors, maintenant reculons dans le temps et réfléchissons avant et après le Déluge !
Légendes, réalités, avant ou après mais pour certains mystères que je vous ai déjà écrit dans les deux chapitres précédents, je vais continuer mais en mélangeant des textes bibliques éthiopiens et orthodoxes que les catholiques considèrent comme apocryphe, alors que les deux religions citées les vénèrent comme canoniques, et pourtant tous sont chrétiens !
Vous comprenez pourquoi, moi Grandeloupo qui suis un croyant, je suis considéré comme un « Païen » pour les chrétiens, un « Infidèle » pour les musulmans, et si j’avais vécu quelques siècles en arrière, ces charmants chrétiens et musulmans m’auraient fait brûler sur un bûcher, pour le premier, et couper la tête sur un bio pour le second.
Les Vimanas sont l’une des découvertes archéologiques les plus choquantes ! Aquaziam News déclare :
« Elle se réfère à une collection de documents historiques de l’Inde antique qui décrivent un ensemble de machines volantes incroyables et des armes d’une norme technologique encore plus avancées que celles qui existent aujourd’hui. La plus ancienne mention de ces machines se trouve dans les textes sanskrits connus comme le Veda et remontent à environ 1500 avant JC. Une traduction moderne nous dit : « sauter dans l’espace rapidement avec un engin utilisant le feu et l’eau … contenant douze stamghas, piliers, une roue, trois machines, 300 pivots et 60 instruments. »
Dans les textes du Ramayana il y a des références à des machines volantes qui ont été utilisés pour la commodité de la classe dirigeante. Dans les textes du Mahabharata il y a des descriptions d’avions de combat qui tirent des missiles, qui utilisent le son pour trouver leur cible, et des faisceaux de lumière qui détruisent tout ce qu’ils touchent avec leur énergie. Le crédit pour ces machines a été attribué aux Yavanas qui sont censées être les anciennes civilisations grecques.
Attention, nous avons la surprise de découvrir que les dieux étaient faits de chair et de sang, qu'ils se déplaçaient dans des vaisseaux aériens, les Vimanas, et qu'ils utilisaient des armes ressemblant à s'y méprendre à nos armes modernes de destruction massive.
L'hypothèse est certes hardie mais la précision du texte, les descriptions qui y sont faites quant aux armes, aux techniques et aux prouesses des « Vimanas » inclinent qu'elle est fondée et qu'elle mérite d'être prise en considération.
Des machines volantes, des bases spatiales sont décrites dans les anciens Veda indiens jusque dans des particularités et des détails incroyables. Un petit passage de l'épopée en vieil indien Ramajana rend de façon parfaitement distincte la précision des descriptions : « Rama s'assit dans le char céleste . . . et se prépara au vol. Le véhicule avait deux étages et beaucoup de chambres et de fenêtres. Quand le véhicule s'éleva dans les airs, il fit entendre un long bruit. Le char céleste bri!!ait comme un feu dans une nuit d’été, il ressemblait à une comète dans le ciel et flamboyait comme un embrasement rougeoyant. » On peut aussi lire dans la Bible beaucoup de rapports sur des objets volants et les vols de certains prophètes, en d'autres endroits de la Terre et en certains lieux du firmament. Le livre « La lumière des Pharaons » de Peter Krassa et Reinhard Habeck traitent de la haute technologie et de l'utilisation du courant électrique dans l'Égypte ancienne.
Nous trouvons dans l'histoire de la création des Sumériens, Akkadiens, Araméens des rapports non équivoques sur des extraterrestres considérés comme des dieux, ainsi que sur des navires spatiaux, des bases et des fusées de tous les types connus. Les dragons volants, les chars célestes ou les chars de feu sont mentionnés dans tous les mythes de Chine, d'Inde, d'Égypte, d'Israël, d'Amérique centrale et d'Amérique du Sud, ainsi que de l'antiquité grecque.
Revenons maintenant aux textes bibliques
Imaginons !
Un couple de chaque espèce rentre dans l’Arche ! ….
Dinosaure, Mammouth, Tatous, Tigres, Camélidés, Équidés, etc……plus cent à cent cinquante humains sans compter les enfants de bas âge.
Le « Déluge » à lieu !
Oui !
Mais comment ! ……
« Il ne pleuvait pas sur la Terre. Toutefois, un flot montait de terre et arrosait toute la surface du sol. » Genèse II : 4
Cela s’explique par l’effet de serre, car la Terre était protégée par une nuée de haute altitude des rayons du soleil.
C’est juste un petit rappel
La « nuée » de haute altitude se désagrégea, s’effondra, ce qui provoqua le Déluge sur toute la Terre.
Cet événement eut de grave conséquence sur la planète.
En premier l’immense écart de température entre l’équateur et les pôles, puisque l’effet de serre avait disparu. Il s’est passé le même phénomène qu’il existe pour fabriquer du froid. Tout le monde sait que nos réfrigérateurs, climatiseurs, fonctionnent grâce à la chaleur. Ce que nous constatons pour nos congélateurs, nous le refusons pour la « Planète », pourtant ce principe chimique est immuable, dans les deux sens.
Faites couler de l’eau très chaude, ajouter lui de l’eau froide, systématiquement pendant quelques instants, l’eau monte en température avant de chuter.
Voilà pourquoi nous retrouvons des Mammouths en Sibérie.
Comme suite à ce « Déluge » tout ce qui était vivant sur la Terre, les bêtes, bestioles, volatiles, bêtes sauvages et rampantes, ainsi que l’humain ont subi un changement physiologique dû aux rayons du soleil.
Mais aussi la Terre, les Continents, les Océans, les Mers, des Montagnes se soulevèrent, d’autres s’enfoncèrent, des Iles disparurent, d’autres apparurent et ainsi de suite, car la croûte terrestre n’est pas uniforme, donc avec la masse de l’eau, obligatoirement il y a eu déformation de la surface de la Terre. Faite l’essai avec un grand plastique que vous étalez dans l’herbe, puis vous versez de l’eau dessus et constatez ! ...
Autre chose l’Arche et tout son monde, naviguât pendant une année sur l’eau avant de retrouver la terre ferme. Il y eut des morts chez les animaux comme chez les êtres humains, cela est logique. Ne pouvant trop bouger dans l’Arche l’anatomie de certains animaux se transformât, puis sur la terre, à cause du soleil cette transformation continuât, car ce qui fut valable pour l’humain le fut aussi pour le monde animal et végétal.
Une transformation importante de l’humain allait avoir lieu ! ….
Mais avant retournons aux « Écrits », tous les Écrits ! …
EL-SHADDAÏ répéta aux animaux ce qui avait été dit aux jours de leur création : « Multipliez-vous…………. », mais à l’humain ce qu’il dit confirme la tenue des animaux par apport à l’homme.
« Fructifiez et multipliez-vous, remplissez la Terre ! …
La crainte et l’effroi que vous inspirerez s’imposeront à tous les animaux de la terre et à tous les oiseaux des Cieux.
Tous ceux dont fourmille le sol et tous les poissons de la mer, il en sera livré à votre main ….. Tous ce qui remue et qui vit vous servira de nourriture, comme l’herbe verte ; je vous ai donné tout cela ….. Seulement vous ne mangerez point la chair avec son sang, avec son âme …..//…..Qui répand le sang de l’homme, par l’homme son sang sera répandu, car ….. »
Vous remarquerez la différence des Écritures… .. Avant ce Déluge tous les êtres vivants se nourrissaient de verdure. L’humain avait autorité sur tous les animaux quels qu’ils soient, petits et grands, sur et dans la terre, dans les cieux et dans les eaux.
Après cet événement le langage est tout autre !
Ce n’est plus une autorité, mais une crainte et un effroi que l’humain inspirera pour tout ce qui vie et qui remue sur toute la Terre. Pour vivre l’humain comme certains animaux devront manger de la viande.
Une inimitié est née entre l’homme et les animaux et les animaux entre eux car certains serviront de repas pour d’autres comme exemple les gnous, zèbres, antilopes, sont les repas des lions, panthères, tigres, etc.
Une autre gestion, avec d’autres Règles, d’autres Lois étaient nécessaires pour la Terre, car maintenant la nuée de haute altitude qui enveloppait la Terre et qui servait de filtre à certains rayons du soleil, les Ultra-Violets, n’existait plus.
L’INVENTEUR de l’humain connaissait les dangers de certains rayons du soleil puisqu’il avait posé une protection. Il s’est servi de ces « UV » pour accélérer le « Mystère du vieillissement » de toutes chairs, particulièrement celui de l’être humain car il donna à celui-ci 120 ans de vie maximum, et « IL » s’est aperçu que le fond de l’humain était mauvais, alors même s’il avait pardonné à sa marionnette, il avait une rancœur, une tristesse contre son « pantin »
Après Adam et Ève, « IL » constatât que la descendance de ces deux premiers humains était tournée vers le mal et que, les invisibles qu’il avait créé à sa ressemblance, bien avant Adam et Ève, avec un cerveau afin que, eux aussi soient libre de leurs actes, un certain nombre avait suivi le premier Ange créé Sammaël, qui s’était retourné contre son concepteur et tous avaient été plongé dans un long sommeil et précipité sur la Terre et ses environs qui est le « Firmament ». C’est pendant ce « Temps » de torpeur que l’Homme fut déposé sur la Terre, puis que la femme fut façonnée des mains d’EL-SHADDAÏ et présentée à l’homme sur la Terre en Territoire d’Eden. Tous les deux étaient parfait de corps et d’esprit et le liquide qui coulait dans leurs artères et veines, le sang, était d’une grande pureté. Tous les deux prenaient soin de l’entretien du Territoire et donnaient un nom à tout ce qu’ils voyaient du plus petit au plus grand, faune, flore, insectes, animaux sauvages et domestiques, et c’est pendant ce temps que Sammaël et tous les siens furent libérés de leur léthargie et que ce Dieu seul et unique leur dit :
« Les Cieux vous sont interdits, vous avez la Terre et ses environs comme Royaume pour « un Temps, des Temps et une partie du Temps » et pour toi Sammaël nous verrons lequel de nous deux est « Dieu », puisque tu m’as mis au Défi que pas un seul humain me prierait, et pas un seul suivrait mes Lois et Préceptes ! … »
La pression atmosphérique était moins importante sur la Terre ainsi que l’attraction terrestre voilà une explication des grands arbres, des herbes gigantesques, et des humains de grande corpulence tout comme les animaux
Les patriarches de cette époque ainsi que leurs semblables vivaient jusqu’à neuf cent soixante années et plus sans jamais atteindre le millénaire.
Les humains se multiplièrent sur la Terre, ils remplirent toute la surface de l’Aride, et le mal était dans leur cœur.
EL-SHADDAÏ commençât à regretter d’avoir façonné l’humain, de l’avoir déposé sur la Terre, car plus il se multipliait, plus il devenait méchant et tortueux. Les patriarches se succèdent, Adam engendra Seth qui engendra Énosh, qui engendra Quénâm, qui engendra Mahalaël, qui engendra Yered, qui engendra Hénoch et cet humain marcha avec EL-SHADDAÏ, qui l’appela son « Scribe de Justice », qui engendra Mathusalem le patriarche qui vécut le plus vieux de la planète Terre, qui engendra Lamech, qui engendra Noa dit Noé dans la Bible, quand Noé termina l’Arche tous les Patriarches étaient décédés.
La descendance d’Hénoch jusqu’à Noé marcha avec les Lois et Préceptes d’EL-SHADDAÏ.
Bien avant la naissance d’Hénoch les « Fils du Ciel », plus exactement les Anges qui suivirent Sammaël dans sa rébellion contre leur Fondateur, vissent que les filles des hommes étaient très belles. Ceci se passe du vivant des Patriarches qui vivent encore, quand le sixième, Yered, prend Baraka fille de Rasouyal pour épouse, et que les Anges du « Mal », les « Serviteurs » de Sammaël, au nombre de deux-cents, prirent une enveloppe humaine, sachant qu’il n’y avait pas de retour et qu’ils s’accouplèrent avec les filles des hommes pour avoir des enfants.
L’original du livre d’Hénoch est perdu, mais il existe un nombre important de copie en Grec, Latin, Slave et le plus important en Guez traduit directement de l’hébreu et de l’araméen. Je ne vais pas vous poser le prologue du Livre d’Hénoch qui est vraiment ardu
« La version éthiopienne est la seule qui paraisse complète. Elle nous est connue par vingt -six manuscrits qui se trouvent dans les grandes bibliothèques de l'Europe : en Angleterre (Bodléienne, British Muséum, etc.), en France (collection d'Abbadie et Bibliothèque nationale), en Allemagne (Francfort, Berlin), en Italie, etc. L'Angleterre en possède quatorze, dont neuf au British Muséum et deux à la Bodléienne ; la France, huit, dont six dans la collection d'Abbadie (aujourd'hui à la Bibliothèque nationale) et deux à la Bibliothèque nationale, etc. On emploie pour les désigner les lettres de l'alphabet, dans l'ordre introduit successivement par Dillmann, Charles et Flemming »
“A : Bodleianus, 4. — B : Bodleianus, 5. — C : Francofurtensis Riipp. II, 1. — D : Curzon. [1]. — E : Curzon. [2]. — F : Brit. Mus. Add. 24185 (Wright, Catalog of Ethiop. ikfss., Londres, 1877, n° 5). —G : Brit. Mus. Orient., 485 (Wright, n" 6). —H : Brit. Mus. Orient., 484 (Wright, no 7). — J : Brit. Mus. Orient., 486 (Wright, n" 8). — K : Brit. Mus. Orient., 490 (Wright, n° 12). — L : Brit. Mus. Add., 24990 (Wright, n° 13). — M : Brit. Mus. Orient., 491 (Wright, n° 15).—N : Brit. Mus. Orient., 492 (Wright, no 16). —O : Brit. Mus. Orient., 499 (Wright, n" 23). — P : Lindesianus, 23 (au comte de Lindsay). —Q : Berolinensis Peterm., 11, Nachtr. : no 29. — R : Abbadianus, 16. — S: Abbadianus, 30. — T : Abbadianus, 35. — U : Abbadianus, 53. — V : Abbadianus, 99. — W : Abbadianus, 197. — X: Romanus, 71. — Y : Monacensis, 30. — Z : Parisinus, 50. — Z'' : Parisinus, 49.
Plusieurs de ces manuscrits sont des copies de la Bible éthiopienne, dans lesquelles Hénoch se trouve placé au milieu des livres de l'Ancien Testament, quelquefois avant celui de Job. Comme les autres manuscrits éthiopiens, ils sont tous écrits sur parchemin.
Après U, qui remonte peut-être au XVème siècle, les plus anciens, G et Q, remontent au XVIème siècle, quelques-uns, P, T, X, Y, Z, et peut-être W, au XVIIème"; la plupart, A, B, G, D, E, H, J, K, L, M, N, 0, S, W (?), Z (copie de B) seulement au XVIIIème , et trois F, R, V, au XIXème siècle.
Dillmann lui-même mitigé sa première opinion dans un de ses derniers articles et admet un original « hébreu -araméen » »
Au début de ce chapitre je vous écrivais sur une fresque de XVIIème siècle, puis sur les Vimanas, vaisseaux des « Dieux » Hindous ayant existé avant le « Déluge ». Il est prouvé par les scientifiques spécialisés que la technologie de l’époque était beaucoup plus avancée que la nôtre puisqu’il se servait de rayon laser et des ondes du son pour faire la guerre avec des armes beaucoup plus destructrices que celle d’aujourd’hui comme l’arme nucléaire, de cela j’écrirai dans le prochain chapitre.
Comme prévenu, j’ai mélangé preuves étranges, bizarres, mais irréfutables de notre civilisation ancienne quoi que « l’Humain » soit jeune, et pas des milliards d’année, tout au plus dix mille ans et je suis généreux, car nous sommes plus près des six mille ans, car aujourd’hui il est prouvé que Darwin fut un faisan avec son « Évolution »
Salutations cordiales à tous !
Sig : J-P. G. dit « GRANDELOUPO »
Dans la Bible, le registre des générations de tous les fils premiers nés, commençant par le premier homme Adam, est indiqué dans leur succession sur une période de 2369 ans. Selon les indications de la Bible, le déluge a eu lieu 1656 ans après la création d'Adam et donc celle de notre monde par Dieu.
Avant de continuer un peu de raisonnement, d’après les géologues et archéologues, un Déluge planétaire a eu lieu cela c’est une certitude, il existe trop de preuve sur la planète Terre, aussi bien sur tous les Continents que dans les fonds marins de toutes les mers. Avant ce cataclysme les humains vivaient sur tout le Globe Terre et ils avaient des connaissances scientifiques plus poussées que les nôtres d’aujourd’hui. Les Néphilims qui descendirent sur la Terre pour s’accoupler avec les filles des hommes étaient parfait d’esprit et avaient énormément de sciences en tout, physique, chimie, et ils enseignèrent les hommes en astrologie, astronomie, botanique, nucléaire, atomique etc …. !
Voyons les Livres d’Hénoch VII : 1-15, VIII : 1-9
Les humains antédiluviens venaient de parents dont la perfection était encore importante et le sang n’était pas dénaturé comme aujourd’hui. La mémoire comme le QI intellectuel était beaucoup plus évoluée, de cent pourcent des deux premiers humains pour arriver à un QI de soixante voire cinquante pourcent aux humains du Déluge dont la moyenne d’espérance de vie était de 912 ans.
Ces humains antédiluviens vivaient dans des villes, et, qui dit ville, dit aménagement en arrivée d’eau potable, mais aussi système d’évacuation des eaux usées, des excréments humains, animaliers, et autres déchets.
Ce QI continua à diminuer après le déluge pour arriver presque à zéro, et aujourd’hui au XXIème siècle la moyenne du QI des humains est de douze pourcents voire dix-huit, vingt pourcents pour nos scientifiques les plus intelligents de la planète Terre.
Dans le prochain chapitre je continuerai sur les conséquences du Déluge, mais surtout sur les connaissances de nos ancêtres !
Cinq, quatre mille ans avant l’E.C.,
Etrange, bizarre, et si ? … ?
Chapitre N° 8
Ce cataclysme le Déluge transforma la surface de la Terre. Mais avant pourquoi ce Déluge, pourquoi la voûte de vapeur d’eau qui protégeait la Terre des UV du soleil ainsi que les rayons cosmiques, s’est effondrée d’un seul coup ?
Il y a tout au plus 10 000 ans, le pôle Sud était exempt de glace. Les petites calottes glaciaires présentes au pôle commencèrent à fondre avec le déluge, et le déplacement de l'axe terrestre entraîna le déplacement de cette région arctique en direction de la Sibérie et de l'Alaska. La glaciation associée au déroulement du déluge produisit un climat arctique et une période glaciaire qui dure encore aujourd'hui. Cela signifie que ce n'est pas autrefois, mais à notre époque qu'il y a une ère glaciaire !
Il existe un lien entre le Déluge, l'ère glaciaire, le déplacement de l'axe terrestre et l'anéantissement soudain de presque toutes les créatures sur cette Terre. Des villes antiques se trouvent au-dessous du niveau de la mer, et les socles continentaux situés sous l'eau démontrent que le niveau de la mer était autrefois plus bas.
Dans la Bible déjà, on parle des eaux de la profondeur, ces eaux qui se trouvent sous la voûte et aussi au-dessus. L'eau au-dessus de la voûte pouvait constituer une atmosphère avec de la vapeur d'eau, mais aussi une enveloppe d'eau qui entourait l'ensemble de la Terre
. Les indications tirées de la Bible en relation avec le déluge parleraient en faveur de la thèse de l'eau originaire de la Terre. L'Apocalypse rapporte VI : 14, que : « Le ciel disparut comme un rouleau de livre que l’on enroule, et toutes les montagnes et les îles furent déplacées ». En outre, il est dit dans la Genèse VII : 11, «. // toutes les sources du grand déluge se rompirent et les écluses du ciel s'ouvrirent. La pluie tomba quarante jours et quarante nuits sur la terre. »
La traduction évangélique de la Bible utilise, à la place de Déluge le mot Source de la profondeur. Ce choix de mot caractérise mieux l'eau souterraine jaillissant de la terre ou le dégagement de l'eau liée dans la roche. Les écluses du ciel désignent sûrement une pluie intense, ou une enveloppe d'eau a-t-elle cédé ?
Le Prof. Dr Alexander Tollmann, géologue, constate : « ... déluge . . . un chaos dans lequel les eaux du ciel et de la Terre ne pouvaient plus être séparées, parce que l’homme a vu que le flot de la mer et la pluie intense se mêlaient. Et l’on croyait savoir depuis la Chine jusqu'à Babylone et au-delà d’où provenaient les eaux : elles étaient en partie manifestement domiciliées au-dessus de la voûte du ciel, d’où elles tombaient lors de tremblements de terre à la suite d’une « rupture d’une colonne de la voûte du ciel ». Mais elles étaient aussi manifestement stockées dans une deuxième enveloppe d’eau sous la croûte terrestre solide, parce que lors de ce tremblement de terre, « toutes les fontaines de la profondeur se sont rompues » en même temps »
L'Apocalypse XVI : 1-21, continue et fait référence à 7 événements apocalyptiques au moyen de 7 anges : « Allez et versez les 7 coupes pleines de la colère de Dieu sur la terre …//, versa sa coupe sur la terre. Alors se forma un abcès malin et mauvais chez les hommes …//,versa sa coupe dans la mer. Alors elle devint du sang, qui ressemblait au sang d’un mort ; et tous les êtres vivants dans la mer moururent…//,versa sa coupe sur les fleuves et les sources. Alors tout devint sang …//, versa sa coupe sur le soleil. Alors lui fut donné le pouvoir de brûler les hommes avec son feu …//, versa sa coupe sur le trône de la Bête. Alors les ténèbres vinrent sur le règne de la Bête, et les hommes se mordirent la langue de peur et de douleur …//, versa sa coupe sur le grand flot, l’Euphrate. Alors son eau sécha…//, versa sa coupe sur l’air…//. Et il s'ensuivit des éclairs, des voix et du tonnerre ; il se produisit un violent tremblement de terre, comme il n'y en avait jamais eu depuis qu'il y a des hommes sur la terre …//. Toutes les îles disparurent et il n'y eut plus de montagne. Et de puissants blocs de grêle, lourds d’un quintal, se précipitèrent depuis le ciel sur les hommes »
On ne peut pas expliquer ces colorations rouges par du sang, elles se fondent dans la précipitation d'acide nitrique, une conséquence de l'impact, sous forme de pluie corrosive, qui colorait tout en rouge et empoisonnait l'eau, qui de ce fait avait un goût d'absinthe. Les hommes aussi souffraient de cette corrosion comme sous le poison des scorpions.
Cette description de l'Apocalypse est encore plus nette et détaillée. La couleur de la mer, causée par la pluie d'oxyde d'azote et d'acide nitrique, est précisément décrite. Le sang des morts est brun rouge et non rouge clair, comme le sang frais. Cette couleur correspond à celle de l'acide nitrique saturé d'oxyde d'azote. Même les abcès causés par la pluie acide sur la peau des hommes sont décrits. La chaleur énorme à proximité d'un impact fait se vaporiser aussi de grands fleuves.
Les raz de marée gigantesques ont laissé dans les endroits hauts situés des Alpes, dans l'Himalaya et d'autres massifs, des traces marines fossiles que presque chaque randonneur connaît. La chaîne montagneuse des Alpes est une montagne très jeune qui s’est élevée d’un seul coup par plissements et contractions et qui un jour ou l’autre s’élèvera encore de plusieurs centaines de mètre. Les Alpes qui font un demi-cercle, partant de Menton pour finir vers Trieste en Italie, Lubiana en Croatie, le milieu se trouvant en Suisse.
On a trouvé des restes de grands bateaux et d'ancres de pierre à des altitudes de quatre à cinq mille mètres en Anatolie de l'est, qui est la Turquie d’aujourd’hui, sur le mont Ararat, à la frontière de l’Arménie et de la Géorgie, le lieu éventuel où l'Arche de Noé se serait échouée sur les plateaux du Mont Loubard de la chaine montagneuse Ararat. La Genèse VII : 19-21 parle de la puissance des vagues : « L'eau avait puissamment enflé sur terre et couvrait toutes les hautes montagnes qu'il y a sous tout le ciel. L'eau était montée de quinze coudées au-dessus des montagnes et les avait recouvertes. Alors tous les êtres de chair périrent . . . » .
L'ampleur gigantesque du grand raz de marée est exprimée très clairement : « pardessus toutes les hautes montagnes ». Les découvertes géologiques, les traditions anciennes et d'autres indices, confirment cette proposition, même si l'on peut concéder que les montagnes étaient éventuellement un peu plus basses avant la grande inondation, vu que le déluge seul a dans certains cas fait apparaître définitivement des montagnes par plissement. Les mythes de nombreux peuples dans le monde entier confirment cette inondation inimaginable.
L'Épopée de Gilgamesh mentionne des montagnes plongées dans l'eau. Dans le Livre des morts des Égyptiens, le dieu du soleil Râ parle de la grande inondation qu'il a provoquée, et le dieu Atoum menace d'anéantir la Terre : « Cette terre doit devenir eau, un océan par inondation, comme elle l’était au début ». La catastrophe principale consistait en tremblements de terre, éruptions volcaniques, grandes inondations et en un hiver long. Le Livre des écritures chinoises du VIème siècle av. J-C. parle d'un raz de marée gigantesque qui a inondé le monde entier et plongé sous l'eau les plus hautes montagnes. La légende du peuple des montagnes au sud de Canton parle d'eaux montantes telles que les montagnes les plus élevées étaient rendues pareilles à la mer. Les Eskimos décrivent l'inondation de la même manière : « L'eau coula au-dessus des sommets des montagnes, et la glace emporta tout au-delà. Puis, quand le flot se retira, la glace échoua et constitua partout sur les sommets des montagnes des calottes de glace ». Que ce soit dans le Nord de la Sibérie, en Inde, en Mongolie, au Vietnam, à Sumatra, en Australie ou en Amérique du Sud, les traditions parlent de grandes vagues d'eau qui submergèrent même les hautes montagnes.
Les Cheyennes et d'autres tribus indiennes ont connaissance d'une inondation qui a eu lieu à l'origine. Les Indiens Navajos parlent dans leurs mythes d'une eau semblable à une paroi de falaise sans lacune et d'une inondation semblable à une montagne occupant l'ensemble de l'horizon. Des faits correspondants sont mentionnés dans les traditions des Indiens Choctaw dans la région Oklahoma-Mississippi, ainsi qu'au Pérou et dans des textes aztèques.
L'ensemble du déluge ne s'est pas limité à un seul grand raz de marée. Il y a eu en tout plusieurs impacts dans différentes parties du monde. En outre, des tremblements de terre partaient de la croûte terrestre partout éventrée, et produisaient dans la mer les raz de marée redoutés - les tsunamis. Les différents impacts et les éruptions de la croûte terrestre produisirent plusieurs raz de marée gigantesques, qui furent accompagnés de vagues secondaires et qui se recouvrirent et s'accumulèrent dans diverses parties du monde.
Le poids de l’eau déclencha des éruptions volcaniques qui mirent le feu à des grandes forêts de conifères, et la température de la terre monta faisant tout fondre sur des milliers de kilomètres, les traces géologiques en sont témoins.
Souvenez-vous de ce réacteur atomique découvert au Gabon ? à Oklo dans une mine d’uranium ? Relire le chapitre N° 6 dans lequel je vous parlais des connaissances scientifiques de ces humains antédiluviens. Je reviendrai sur ce thème bientôt !
« L'impulsion thermique irradiée à une grande vitesse par le foyer de l'explosion peut être considérée comme le début d'un violent incendie mondial. L'ouragan et la tempête de chaleur brûlante ainsi déclenchés pouvaient avancer à la vitesse de 1200 km/h, et abattaient encore des forêts comme des allumettes à plusieurs milliers de kilomètres de distance. Les fragments et les retombées incandescentes de précipitations radioactives provoquèrent de grands incendies dévastateurs qui s'étendirent à partir de plusieurs centres dans toutes les directions. La chaleur incandescente fit éclater les rocs, assécha les fleuves et fit bouillir les lacs et les mers. La comparaison avec les grands incendies dans les villes et les sinistres habituels fait conclure à des températures bien supérieures à 1500°C. C'est pourquoi les mythes n'exagèrent pas quand ils parlent des minéraux liquéfiés dans les montagnes.
Ainsi, la religion de la Perse ancienne parle-t-elle conformément à la vérité de métaux qui se liquéfièrent dans les montagnes et se répandirent comme un flot incandescent sur la terre. Le point de fusion du cuivre est par exemple de1083°C, celui de l'argent de 961 °C, de l'or de 1063°C et du fer pur de 1535 °C. Ces températures sont dépassées lors d'un incendie de taille mondiale, et ce savoir montre que les anciens mythes ne flottent pas dans la lueur d'une tradition fécondée par l'imagination. »
Avant de poser des questions, je vais ci-dessous vous étaler des textes et des images qui laissent tous humains sensés dans un embarras intellectuel et spirituel, alors avant toute chose ! …. J’appose !....
Vous Lectrices et Lecteurs, j’ai trop de respect pour vous et pour celui qui est au-dessus de ma tête et dans lequel je crois sincèrement, je parle de ce Dieu seul et unique que je nomme EL-SHADDAÏ, pour vous cacher tout ce que je viens de lire, mais je ne voudrais pas être trop ennuyeux avec mes écrits, là est mon dilemme !
Alors, je pense que pour tout croyant il est important de savoir, de comprendre notre Genèse, car tous, nous venons d’une espèce qui a été, qui est et qui sera la même que la nôtre. Jamais, je dis bien jamais nous ne reproduirons autre chose que nous, tel que nous sommes, des « Humains », et la seule chose qui pourrait changer c’est notre génétique de vieillesse qui est contre notre nature, car toutes nos cellules sont faites pour se reproduire indéfiniment et cela est prouvé scientifiquement, alors pourquoi nous vieillissons et nous mourons ? … ?
Aujourd’hui nous sommes au début d’une ère atomique qui a déjà, semblerait-il, existé. Partout où il y a eu des essais nucléaires la roche, les sédiments, et surtout le sable, car presque tous les essais ont été pratiqué dans des desserts, pour la France dans le Sahara algérien, pour les Royaumes Unis le Désert de Sable et celui de Victoria en Australie, pour la Chine le désert de Gobi, pour l’Inde celui de Thar dont je reparlerai, pour le Pakistan celui de Cholistan, qui est le même désert que l’Inde seul le nom change, pour les États-Unis, - USA -, les plateaux du Colorado et celui de Mojaves, et pour finir la Sibérie qui n’est pas considérée comme désertique, et dans tous ces lieux il y a sur des hectares de terre vitrifiées d’une couleur de vert sale, opaque
Le disque de Phaistos –
Une découverte vraiment inhabituelle faite en 1908, située dans un dépôt du temple souterrain qui a été associé à l’ancien site du palais minoen de Phaistos sur l’île de Crète. Fabriqué à partir de terre cuite, le disque est d’environ 15 cm de diamètre et d’un centimètre d’épaisseur avec des symboles imprimés sur les deux faces. Personne n’a jamais été capable de décoder l’étrange écriture sur le disque d’une manière acceptable selon des archéologues ou des étudiants dans le domaine des langues anciennes.
Il y a plusieurs raisons pour lesquelles cette pierre est si inhabituelle. Elle est unique en son genre et aucun autre élément, avec peut-être l’exception de la Hache d’Arkalochori, ne porte des inscriptions similaires. L’écriture a été créée en appuyant des caractères préformés dans l’argile, ce qui en fait la première utilisation enregistrée de caractères mobiles. Le disque est largement considéré comme authentique et est exposée dans le musée d’Héraklion de la Crète, Grèce.
Lors d’une conférence donnée fin octobre 2014, Gareth Owens, chercheur en linguistique à l’Institut d’enseignement technologique, TEI, de Crète, et John Coleman, professeur de phonétique à Oxford, Royaume-Uni, ont annoncé que le disque reproduisait une prière destinée à la déesse mère, divinité principale du panthéon de la civilisation minoenne, la plus importante de l’âge du bronze du monde grec, 2700-1200 avant J.-C. Ils auraient ainsi identifié à plusieurs reprises le substantif « mère » sur les deux côtés.
Pour parvenir à ces résultats, les deux chercheurs auraient procédé par analogies en s’appuyant sur des études épigraphiques consacrées aux écritures crétoises anciennes, le linéaire A des Minoens, apparu vers 1800 avant J.-C. et le linéaire B des Mycéniens, 1375 avant J.-C., déchiffré en 1952 par le Britannique Michael Ventris.
« En comparant des signes hiéroglyphiques crétois découverts sur des sceaux ou sur les doubles haches d’Arkalochori, IIe millénaire avant J.-C., mis au jour en 1934, avec ceux du linéaire A, puis du linéaire B, nous sommes parvenus à « lire I-QE-KU-RJA » à trois reprises », affirme Gareth Owens. Ce qui se traduirait par « femme, ou déesse, enceinte », I-QE, pouvant selon eux signifier « mère » ou « déesse ». « Nous savons que la religion minoenne comportait un culte de la déesse-mère, mais encore fallait-il le retrouver dans les textes », ajoute-t-il.
La machine d’Anticythère, appelée également mécanisme d’Anticythère, est considérée comme le premier calculateur analogique antique permettant de calculer des positions astronomiques. C’est un mécanisme de bronze comprenant des dizaines de roues dentées, solidaires et disposées sur plusieurs plans. Il est garni de nombreuses inscriptions grecques.
De plus, comment savons-nous réellement qu’ils n’ont pas déjà découvert des preuves d’ancienne technologie ? Plusieurs organisations archéologiques notables nous ont menti par le passé, y compris le Smithsonian Institute.
On ne connaît de la machine d'Anticythère qu'un exemplaire, dont les fragments ont été trouvés en 1901, dans l’épave d’une galère romaine, longue d'une trentaine de mètres, près de l'île grecque d’Anticythère entre Cythère et la Crète, par des pêcheurs au large de la côte, qui a été datée comme antérieure à 87 av. J.-C.
Ce mystérieux dispositif mécanique est décrit comme le premier ordinateur analogique du monde. Les scientifiques s’accordent à dire qu’il est réel et remonte aux alentours du IIème siècle avant JC, ce qui signifie qu’il est âgé de plus de deux mille cent, deux mille deux-cents ans.
La machine d'Anticythère est le plus vieux mécanisme à engrenages connu. Ses fragments sont conservés au Musée National archéologique d’Athènes
« Pour moi, ces sujets prouvent définitivement l’existence des Nephilims, les Anges déchus, qui, étaient nettement plus avancés que nous technologiquement parlant aussi bien que surnaturellement plus fort. » Hans Joachim Zillmer
Je suis dans l’obligation d’arrêter ce chapitre qui est déjà assez long, mais enregistrez bien ce qui est écrit car vous verrez, je serai obligé de revenir sur un thème qui nous concerne tous, pauvres ou riches, croyants ou athées, quoi que l’athéisme n’existe pas.
Je vais mélanger les écrits bibliques, hénochiens, avec ceux que je viens de découvrir, mais je ne vous poserai pas tout ce que je lis, car je désire que vous veniez vers ce Dieu seul et unique, par vous-mêmes en vous transformant, avec sincérité, et le prier, Lui le seul Dieu, car Jésus le Nazôréen, Jésus-Christ pour la chrétienté, n’est pas un Dieu et ne sera jamais Dieu, car si cela devenait le cas, cela supprimerait l’unicité d’EL-SHADDAÏ, ce qui est impossible. Jésus le Nazôréen ne peut rien faire sans l’approbation de son Père !
En attendant portez-vous bien ! Prenez soins de votre maisonnée !
Salutations cordiales à tous !
Sig : J-P. G. dit « GRANDELOUPO »
Au chapitre précédent j’avais écrit en majorité sur cette « Grande ILE » mystérieuse de « l’Atlantide » définie par Platon comme un Continent reliant les deux grands Continents Africain et Américain. Les Iles des Açores, Madères et des Canaries sont les sommets visibles des montagnes de ce Continent et de l’autre côté la chaine des Caraïbes avec ces grandes iles comme Cuba, Haïti, République Dominicaine, Jamaïque, et les iles Antillaises sont les vestiges des sommets et plateaux d’altitude de ce Continent reconnu comme tel par tous les géologues.
Aujourd’hui il est difficile de nier son existence !
Platon, 427-347 av. J.-C., décrit l'Atlantide exhaustivement, avec tous les détails de la topographie, les fleuves, les canaux et les montagnes, ainsi que la forme de l'État, le nombre des habitants, des guerriers et des animaux. Il rapporte encore qu'un prêtre égyptien de Saïs, une grande ville dans le delta du Nil, a déclaré :
« ... il y a eu beaucoup de destructions des hommes . . . Ce qui est raconté chez vous aussi, qu'autrefois Phaéton, le fils d’Hélios - après avoir attelé le char de son père, mais sans réussir à le conduire -, a brûlé tout ce qui se trouvait sur la Terre, et que lui-même a été tué par la foudre . . . le vrai en cela est la déviation de la course des astres qui se meuvent dans le ciel autour de la Terre, et l’anéantissement de tout ce qui se trouve sur la Terre, qui s'est produit après de grands intervalles de temps, avec une grande quantité de feu. »
La destruction presque totale de l'ensemble de la Terre est confirmée sans erreur possible. Il ne semble pas s'agir d'une catastrophe locale. La destruction de l'île de l'Atlantide est décrite plus loin :
« Plus tard toutefois, quand des tremblements de terre et des inondations gigantesques se produisirent, en un seul mauvais jour et en une seule mauvaise nuit, tout ce qu'il y avait chez vous de combattants fut englouti, et de même, l’île de l’Atlantide, s'étant abîmée dans la mer, disparut. C'est pourquoi, même aujourd’hui, la mer est devenue là-bas impossible à traverser et à explorer, car la boue très haute que l’île a causée lors de sa destruction empêche la navigation…. »
Je vais certainement revenir sur cette catastrophe planétaire qui avant en engendra d’autres, sur terre et en mer.
Dernières phrases du chapitre précédent
Tout ce que je viens d’écrire détruit la thèse de l’évolution, mais il y a encore plus convaincant.
Darwin écrit que l’évolution est une chaîne buissonnante ! …
Une chaîne buissonnante doit ressembler à un buisson, et pour moi un buisson est un amalgame de petits arbustes qui poussent dans tous les sens, se mélangeant, sans aucune règle, soit un fouillis de végétations.
Difficile de croire à l’Évolution au regard de l’harmonie de l’Humain, ce n’est pas une « chaîne de modifications buissonnante », ce n’est pas un enchevêtrement ?
Par contre Monsieur Lamarck, naturaliste {-biologiste -} « Français » avait constaté que la terre pouvait produire un nombre incalculable d’êtres vivants dans le monde des insectes et autres bestioles plus petites.
Darwin c’est servi des découvertes de Lamarck abusivement, en reportant celle-ci sur l’homme, … ce qui est absolument faux …, faisant sa fortune personnelle en lui donnant un « NOM » de biologiste complètement usurpé.
La confirmation, tous ces scientifiques, chercheurs, « Évolutionnistes », ne parlent que de l’homme !….
Évolution de la Femme ?
Sumériens, Akkadiens, Araméens, leur savoir ?
Chapitre N° 7
Et, la « FEMME », son « Évolution », c’est quoi ? … ? …. ?
La « Femme » fait bien partie de l’espèce humaine, du genre humain, et ressemble dans son ensemble étrangement à « l’Homme » puisque sont armature sont fonctionnement est parallèle. Alors comment expliquer son « Évolution », mais là, Darwin Charles et ses darwiniens sont comme les carpes sans les « bulles ».
Après cet interlude revenons « Au Commencement »
L’Homme et la Femme vivent sur la Terre. N’oublions pas qu’ils sont parfaits de corps et d’esprit avec une intelligence, une connaissance remarquable.
Volontairement, ils désobéissent à une LOI établie, connaissant en parfaite conscience la finalité, en installant ce grain de sable dans la génétique qui entraîne la « MORT » du corps… {- les chercheurs et scientifiques ne comprennent pas l’arrêt brutal de certaines molécules humaines, qui sont faites pour se procréer indéfiniment.
« Nous vieillissons alors que cela est contraire aux gènes de l’humain. Le jour où nous comprendrons le vieillissement, nous ouvrerons une voie vers la vie éternelle. »-}
Selon beaucoup « d’Écrits » Antiques, sur toute la Terre, les deux premiers HUMAINS, fussent chassés d’un endroit « Édénique ou Paradisiaque ».
Adam et Ève auront des enfants après qu’ils fussent chassés du « Territoire Édénique. » Comme toujours, tous les « TEXTES », sans exceptions, ne parlent que des enfants mâles, et encore ?
Les conteurs, scribes, ne mentionnent que quelques-uns, les plus populaires de l’ère, de l’époque ! …
ÈVE eut comme fils Abel, Caïn, et Seth. Une autre source Biblique considérée comme
Sacrée, surtout en Éthiopie pays d’Afrique où le Nil Blanc et le Nil Bleu prennent leur source : « Adam engendra douze mâles et des filles dont Caïn, Noaba, {- nom d’une fille---Pourquoi cette fille ? -} Abel et Seth….//…..Ses fils et ses filles eurent des fils et des filles au nombre……//….Caïn connut sa femme, elle conçut et enfanta…..//…..Comme il bâtissait une ville, il appela la ville du …..//…. » [Copies datée du IIème siècle av. J.C. ]
Une partie de la Terre commençait à se remplir d’humains. Les Écrits parlent de construction de Villes. Le sang des humains avait une composition encore saine, la génétique de la tare n’étant pas comme aujourd’hui, car plus les humains se reproduisaient et plus la tare se multipliait. Mais, il y avait un autre phénomène qui facilitait la longévité de l’humain.
La Terre était protégée des « Ultra-Violets (UV) » du Soleil par un voile de vapeur d’eau en haute altitude, qui la mettait « sous serre ».
La température entre l’équateur et les pôles ne variait que de 20° à 30°C maximum…{- voilà pourquoi nos chercheurs ont retrouvé des mammouths avec de la verdure dans les mâchoires près du pôle Nord ainsi que des squelettes de ces mêmes animaux au Brésil.-} Les animaux comme les humains se nourrissaient uniquement de verdure et fruits. Les gènes carnivores n’existaient pas. Les arbres étaient grands et énormes, {- il reste des rejetons comme le séquoia et le baobab -} la verdure était en abondance, tout le monde animal, sans exception était différent, et, l’humain était plus corpulent qu’aujourd’hui, environ trois à quatre mètres en moyenne. Nous pouvons certifier aujourd’hui que l’atmosphère terrestre d’avant le Déluge n’était pas le même.
Tout ce que je viens d’écrire vient de scientifiques éminents, et comme les « Évolutionnistes » ils supposent, supputent, …l’un le nomme Cro-Magnon, l’autre l’appelle descendance du premier Humain. Il est prouvé scientifiquement que le Déluge daterait de moins de 10 000 ans.
« Ne voit-on pas presque quotidiennement mentionnées dans les journaux des découvertes de squelettes entiers des dinosaures les plus divers, au niveau de la surface de la terre, et ce dans le monde entier, par exemple dans le désert de Gobi en Mongolie ?
Des témoignages correspondants associés aux découvertes simultanées de restes humains sont littéralement inquiétants. --Dr Dougherty -- »
Les humains remplirent toute la Terre !
Cela a duré combien de temps ? …
Personne ne peut répondre ! …
Si nous faisions une comparaison.
Du Déluge à J.C. environ 4000 à 5000 ans. Quelques bribes de Manuscrit : 300 ans après le Déluge, Noé voulut un recensement des hommes de pieds qui était de neuf cent quatorze mille cent, sans compter les femmes, les enfants et les vieillards.
Cette énumération trois cents ans après le « Déluge » prouve la véracité de mon jugement des humains étant entrés dans l’Arche et faisant partie de la famille de Noé et le nombre que je vous ai donné est bien inférieur à la réalité.
A l’ère de J.C. l’estimation était d’environ 70 à 100 millions d’homme de pieds, 1900 ans après 1 milliard 800 millions d’humains, femme, enfants, vieillard compris, 106 ans plus tard soit en 2006, 6 milliards 400 millions et en 2017, 7,1 milliard d’individus. Il est logique de pensé qu’avant le Déluge la Terre devait avoir 500 et 600 millions d’êtres humains, puisque l’archéologie, la géologie trouvent des traces d’humains sur toute la surface de la Terre.
Pour construire l’Arche il fallait une centaine de personnes.
Les « Textes » parlent de la famille de NOÉ.
NOÉ engendra trois FILS et des filles…, Jubilés IV : 33,
« Et dans la première année de la cinquième semaine du vingt-cinquième jubilé, Noah prit pour lui une femme et son nom était Emzara, fille de Rakeel, fille du frère de son père, et dans la troisième année elle lui enfanta Shem, dans la cinquième année elle accoucha de Cham, et dans la première année de la sixième semaine elle engendra Japheth. »
Noé épouse la nommée Emzara en l’an 1229 depuis que les deux premiers humains fussent chassés du Territoire d’Eden, deux ans après soit en 1231 elle accouche de Shem, puis deux ans après elle enfante Cham soit en 1233, chose impossible puisqu’elle allaite sont premier enfant ce qui fait une contraception naturelle, et au début de l’humanité, jusqu’au XIXème siècle les enfants étaient allaités jusqu’à l’âge de deux ans et demi, voire trois le plus souvent. J’ai pris ma calculatrice pour savoir quand Adam fut déposé sur la Terre, et j’ai été obligé d’accepter mon ignorance et de constater les grossières erreurs de l’auteur des « Jubilés » Si nous suivons les versets ci-dessus, nous constatons que l’épouse de Noé accouche d’un garçon tous les deux ans, je pense que l’auteur a oublié la semaine et qu’il aurait dû écrire : « Dans la sixième semaine la première année elle enfanta Cham et dans la cinquième année elle donna naissance à Japhet », là l’explication est plausible pour l’époque.
Je me souviens d’avoir lu que Noé eut d’autre mâles après le « Déluge », mais aussi des filles dont personnes ne parlent sauf ce texte lugubre : « Et Noé après le « Déluge » eut encore des fils et des filles » ce qui prouve qu’il aurait eu des filles avant le « Déluge ».
Combien de filles ?… ?
Ces « Filles » ont pris « mari » et ont eu des garçons et des filles …, donc la construction de l’Arche ayant eu lieu vers 520, 530 ans après la naissance de NOÉ, quand je dis une centaine de personnes, je suis en dessous de la vérité.
Autres faits les animaux qui sont montés dans l’Arche étaient gigantesques, {- les animaux et oiseaux se terminant en « aure », en « ore », ou en « trope » -} les colombes, corbeaux, poules, oies …devaient être les moineaux de l’époque, et ainsi de suite ……ce n’est qu’une réflexion logique … Et bizarrement tout le monde se tait ! …
Les couples d’animaux qui sont montés dans l’Arche faisaient partie du genre ou de l’espèce ?…
Chercheurs :
« Espèce animale antédiluvienne, bovine, canine, chevaline, commune, domestique, fossile, inférieure, protégée, sauvage, supérieure, vivante, zoologique; grande, petite espèce. Espèce de mammifères, de poissons, de reptiles, d'insectes, d'oiseaux. L'espèce méduse, l'espèce bouvreuil…… »
[---« Lorsqu’un genre est bien fait, toutes les races ou espèces qu’il comprend, se ressemblent par les caractères les plus essentiels et les plus nombreux. ---{Lamarck, Philos.zool., t 1, 1809, p. 32} ---
On a appelé espèce, toute collection d'individus semblables qui furent produits par d'autres individus pareils à eux. Cette définition est exacte ; car tout individu jouissant de la vie, ressemble toujours, à très-peu près, à celui ou à ceux dont il provient. On ajoute à cette définition, la supposition que les individus qui composent une espèce ne varient jamais dans leur caractère spécifique, et que conséquemment l'espèce a une constance absolue dans la nature…{Lamarck, Philos. zool., t. 1, 1809, p. 54. } »….]
« Espèce : Ensemble d'êtres vivants possédant des caractères anatomiques, morphologiques et physiologiques communs, qui reproduisent entre eux des êtres semblables et également féconds. »
Littéraire et religieux :
« Les Pharisiens et les Esséniens méditèrent, après Moïse et d'après lui, sur l'individualité de chaque homme considérée relativement à l'espèce; et, tandis que Moïse avait surtout enseigné l'unité de cette espèce et le lien éternel, au point de vue virtuel et divin, de l'individu, dans sa vie présente et en tant que vivant actuellement, avec cette espèce, ils ont fait pour ainsi dire aux hommes particuliers ou aux individus la répartition de la vie spécifique et collective, affirmant non seulement ce que Moïse avait affirmé, c'est-à-dire l'unité de vie entre l'individu et l'espèce, mais encore la vie éternelle de l'individu dans l'espèce. » { P. Leroux, Humanité, t. 2, 1840, p. 662.}
Je vous promets que je reviendrai sur ce thème après avoir fait quelques recherches, pour être le plus près possible de la vérité, car le spirituel et la science s’accordent sur beaucoup de points, mais l’esprit humain en fait des controverses.
En cherchant, pour vous, pour moi, pour savoir, avoir une confirmation que l’espèce humaine ne vient pas d’une « Évolution », beaucoup trop aléatoire, surtout avec une chaine buissonnante, c’est-à-dire un fouillis, l’humain est trop bien géré même dans son évolution interne, si nous pouvons nommer cela une « Évolution » car dans l’espèce humaine, il existe beaucoup de genre, demandez à un Médecin Légiste qui au premier coup d’œil d’un squelette vous donnera son origine, Asiatique Chinois, Japonais, Malaisie Africain du Sud, de l’Équateur, du Nord, Égyptien, Éthiopien, Europe Central, Occidentale, Caucase, Sibérien, Amérique du Nord, Canadien, Texan, Mexicain, Amérique du Sud Brésilien, Cordière des Andes, Patagonie, Argentine, Australien, homme, femme, etc., …etc. ! Tous si différent, mais ayant la même origine, même fonction le même nombre d’os, cœur, foi, reins, pancréas, cerveau, veines, nerfs, artères, sang transportant la vie, la mort, tous égaux devant cette dernière.
Ce que je vous écris ne viens pas de moi, mais d’humains plus intelligent que moi, géologues, archéologues, paléontologues, ethnologues, et bien d’autres scientifiques, alors j’essaie de faire un résumé le plus clair possible de leurs écrits scientifiques et il y a tellement de chose que l’on nous cache, que les politiciens en accord avec les religieux apprennent à nos enfants sachant que cela est complètement faux, alors je vais vous poser ce que j’ai découvert avec étonnement
Notre système planétaire entier est dessiné sur un sceau enroulé akkadien vieux d'environ 4500 ans. Même la taille des différentes planètes est représentée dans une proportion exacte. Curieusement, on reconnaît onze planètes, à la place des dix que nous connaissons
D'où les Akkadiens tiraient-ils leur savoir ? Ce peuple ne pouvait pas connaître à l'œil nu il y a 4500 ans les planètes Uranus, Neptune et Pluton. Mais s'ils avaient, pour des raisons inexplicables, ce savoir, pourquoi la représentation de la planète supplémentaire Phaéton à la place de la ceinture d'astéroïdes actuelle devrait-elle être fausse ? Et si cette indication est exacte, il faut que ce corps céleste ait été présent dans un passé relativement proche. Le rouleau akkadien peut être visité au musée du Proche-Orient à Berlin.
A gauche : lebenserwartung bis zur sintflut, 912 jahre – traduction : espérance de vie jusqu’au Déluge, 912 ans
A droite : lebenserwartung nach der sintflut – traduction : espérance de vie après le Déluge
Lebenserwartung über gesunken zeitraum – traduction : l’espérance de vie a diminué avec le temps
Série des ancêtres dans la Bible.
La Bible contient une série complète des ancêtres des fils premiers-nés sur une période de 2369 ans. Le registre des générations commence avec Adam, qui comme tous ses fils avant le déluge atteignit un âge supérieur à 900 ans. Enoch constitue une exception, toutefois, selon les indications de la Bible, il n'est pas mort sur la Terre, mais a été amené au ciel par Dieu sans mourir. Après le déluge, l'espérance de vie a diminué constamment pour finir par atteindre environ 100 ans. L'humanité a-t-elle été endommagée par le rayonnement cosmique qui pour la première fois perçait jusqu'à la surface de la Terre, réduisant ainsi l'espérance de vie ?
Quand on pense que les Sumériens ont rédigé leur interprétation de l'histoire de la genèse de notre Terre il y a 6000 ans, il faut se demander d'où ils tiraient ce savoir. Conformément aux indications de la Genèse, l'eau, -- flot primordial --, des océans était déjà présente lors de la création du monde sans qu'il y ait eu de pluie.
L'archevêque d'Armagh James Ussher calcula au XVIIème siècle, en se basant sur l'histoire de la création de l'Ancien Testament, que la création du monde datait de l'an 4004 av. JC.
Dans la Bible, le registre des générations de tous les fils premiers nés, commençant par le premier homme Adam, est indiqué dans leur succession sur une période de 2369 ans. Selon les indications de la Bible, le déluge a eu lieu 1656 ans après la création d'Adam et donc celle de notre monde par Dieu.
Avant de continuer un peu de raisonnement, d’après les géologues et archéologues, un Déluge planétaire a eu lieu cela c’est une certitude, il existe trop de preuve sur la planète Terre, aussi bien sur tous les Continents que dans les fonds marins de toutes les mers. Avant ce cataclysme les humains vivaient sur tout le Globe Terre et ils avaient des connaissances scientifiques plus poussées que les nôtres d’aujourd’hui. Les Néphilims qui descendirent sur la Terre pour s’accoupler avec les filles des hommes étaient parfait d’esprit et avaient énormément de sciences en tout, physique, chimie, et ils enseignèrent les hommes en astrologie, astronomie, botanique, nucléaire, atomique etc …. !
Voyons les Livres d’Hénoch VII : 1-15, VIII : 1-9
1. Quand les enfants des hommes, se furent multipliés dans ces jours, il arriva que des filles leur naquirent élégantes et belles.
2. Et lorsque les anges, les enfants des cieux les eurent vus, ils en devinrent amoureux ; et ils se dirent les uns aux autres : choisissons-nous des femmes de la race des hommes, et ayons des enfants avec elles.
3. Alors Samyaza leur chef leur dit : je crains bien que vous ne puissiez accomplir votre dessein.
4. Et que je supporte seul la peine de votre crime.
5. Mais ils lui répondirent : nous vous le jurons.
6. Et nous nous lions tous par de mutuelles exécrations ; nous ne changerons rien à notre dessein, nous exécuterons ce que nous avons résolu.
7. En effet ils jurèrent et se lièrent entre eux par de mutuelles exécrations. Ils étaient au nombre de deux cents, qui descendirent sur Aradis, (autre traduction : sur l’Aride ou la Terre dans un lieu nommé Mont Hermon) lieu situé près le mont Armon.
8. Cette montagne avait été appelée Armon, parce que c'est là qu'ils avaient juré et s'étaient lié par de mutuelles exécrations.
9. Voici le nom de leurs chefs ; Samyaza, leur chef, Urakabarameel, Akibeel, Tamiel, Ramuel, Danel, Azkeel, Sarakmyal, Asael, Armers, Batraal, Anane, Zavebe, Samsavel, Ertael, Turel, Yomyael, Arazeal. Tels furent les chefs des ces deux cents anges ; et le reste étaient tous avec eux.
10. Et ils se choisirent chacun une femme, et ils s'en approchèrent, et ils cohabitèrent avec elles ; et ils leur enseignèrent la sorcellerie, les enchantements, et les propriétés des racines et des arbres.
11. Et ces femmes conçurent et elles enfantèrent des géants.
12. Dont la taille avait trois cent coudées. Ils dévoraient tout ce que le travail des hommes pouvait produire, et il devint impossible de les nourrir. (Une coudée = entre 144cm et 152cm)
13. Alors ils se tournèrent contre les hommes eux même, afin de les dévorer.
14. Et ils commencèrent à se jeter sur les oiseaux, les bêtes, les reptiles et les poissons, pour se rassasier de leur chair et se désaltérer de leur sang.
15. Et alors la terre réprouva les méchants.
CHAPITRE VIII
1. Azaziel enseigna encore aux hommes à faire des épées, des couteaux, des boucliers, des cuirasses et des miroirs ; il leur apprit la fabrication des bracelets et des ornements, l'usage de la peinture, l'art de se peindre les sourcils, d'employer les pierres précieuses, et toutes espèces de teintures, de sorte que le monde fut corrompu.
2. L'impiété s'accrut ; la fornication se multiplia, les créatures transgressèrent et corrompirent toutes leurs voies.
3. Amarazak enseigna tous les sortilèges, tous les enchantements et les propriétés de racines.
4. Armers enseigna l'art de résoudre les sortilèges.
5. Barkayal enseigna l'art d'observer les étoiles.
6. Akibeel enseigna les signes.
7. Tamiel enseigna l'astronomie.
8. Et Asaradel enseigna les mouvements de la lune.
9. Et les hommes sur le point de périr élevèrent leurs voix, et leurs voix montèrent jusqu'au ciel.
Les humains antédiluviens venaient de parents dont la perfection était encore importante et le sang n’était pas dénaturé comme aujourd’hui. La mémoire comme le QI intellectuel était beaucoup plus évoluée, de cent pourcent des deux premiers humains pour arriver à un QI de soixante voire cinquante pourcent aux humains du Déluge dont la moyenne d’espérance de vie était de 912 ans.
Ces humains antédiluviens vivaient dans des villes, et, qui dit ville, dit aménagement en arrivée d’eau potable, mais aussi système d’évacuation des eaux usées, des excréments humains, animaliers, et autres déchets.
Ce QI continua à diminuer après le déluge pour arriver presque à zéro, et aujourd’hui au XXIème siècle la moyenne du QI des humains est de douze pourcents voire dix-huit, vingt pourcents pour nos scientifiques les plus intelligents de la planète Terre.
Dans le prochain chapitre je continuerai sur les conséquences du Déluge, mais surtout sur les connaissances de nos ancêtres !
Au regard de ce que j’ai lu, des questions que je me suis posé, nous ne pouvons pas être des touristes sur cette Terre, car si cela était le cas quelle injustice ? L’égalité devant la mort et c’est tout ? Impossible ! Heureusement il y a cet espoir de résurrection sur une Terre ou règnera la justice, oui, mais, ce Dieu seul et unique, nous mettra une dernière fois à l’épreuve, car nous serons comme les premiers humains, et nous aurons le libre-choix, en parfaite connaissance, d’une mort définitive, là sera la véritable justice car sur une Terre paradisiaque où le mal avait disparu EL-SHADDAÏ délivrera Sammaël et les siens pour un Temps très court car tous sauront que c’est leurs dernières actions avant une mort certaine et définitive, un départ vers le néant et ils feront le maximum pour entraîner les humains dans leur perte, pas de tortures, pas de menaces, seul les armes qu’ils ont avec eux, convoitise, luxure, mensonge, honneurs, richesses, et tant d’autres et nous aurons nous humains le « libre choix »
Portez-vous bien !
Salutations cordiales à tous !
Sig : J-P. G. dit « GRANDELOUPO »
Dernières phrases du chapitre précédent
Je ne vais pas en rester là ! Car il y a sur cette Terre des phénomènes étranges contés par les humains. Les humains ont l’esprit fertile et particulièrement ceux de la descendance de Sem, de Cham, de Japhet et de tous les autres de la famille noahide nommé en général sémitique. La littérature Arabo-Persique regorge de ces histoires fabuleuses avec des Géants, Cyclopes, Ogres, lampes et lanternes magiques, avec des magiciens enfermés dans une fiole, enchainés dans un livre, se déplaçant sur un Tapis-Volant à la vitesse de la lumière, etc ….
Si certes, il y a un peu d’imagination humaine, du fantastique, du merveilleux, il y a aussi du vrai, du véridique, du vécu comme base du conte ou de l’histoire.
Je vais continuer à écrire, pour vous émerveiller, des choses admirables qui se sont passés sur notre planète Terre. Nous nous croyons en ce XXIème siècle plus intelligent que nos ancêtres antédiluviens et après, nous ferions mieux de rester humble car je vous réserve quelques petites surprises !
Atlantide, réelle pour Platon !
Chapitre N° 6
Tous les spécialistes du monde entier, géologues, archéologues, paléontologues, sont d’accord pour reconnaître que tout le Sahara et d’autres déserts sur la Terre était des mers il y a moins de dix mille ans.
D'anciennes traditions tibétaines rapportent une inondation du haut plateau tibétain, et selon de vieilles chroniques chinoises, Schu-King, la position des points cardinaux a été déterminée de nouveau, les mouvements ainsi que l'apparition du soleil, de la lune et des signes du zodiaque ont été de nouveau calculés et représentés, et la durée des saisons fixée. Un nouveau calendrier a été établi. Velikovsky résume de façon pertinente la raison des anciennes traditions chinoises relatives à la nécessité de ces modifications dans son « Monde en Collision » : « . . . provoque l’impression que pendant la catastrophe, la trajectoire de la Terre et ainsi l’année, l’inclinaison de faxe de la Terre, donc les saisons ainsi que la trajectoire de la lune et par suite le mois avaient changé. Nous n'apprenons pas ce qui a produit ce bouleversement du monde, mais il est écrit dans les anciennes annales que pendant l’époque où régnait Yahou, une étoile brillante a surgi de la constellation Yin ».
Depuis plus de 2500 ans, beaucoup de personnes sont convaincues qu'il doit y avoir eu une grande île quelque part entre l'Europe, l'Afrique et l'Amérique. Elle suscite les spéculations les plus variées. Ce que nous savons sur cette île est contenu dans les dialogues de Platon, 427-34 7 av. J-C., connus sous le nom de Timée et de Critias.
Critias, l'oncle maternel de Platon, souligne expressément qu'il doit s'agir d'une histoire étrange, mais vraie, que le sage Solon a apportée autrefois d'Égypte en Grèce. ---(Solon né à Athènes vers 640 av. J.-C., et mort sur l’Ile de Chypre vers 558 est un homme d’État législateur, et poète athénien.) ---
L'île est l'Atlantide enveloppée de légendes. Platon mentionne expressément qu'elle ne se trouvait pas dans la Méditerranée, mais au-delà des colonnes d'Hercule, qui est le Détroit de Gibraltar et massif de l'Atlas. Il poursuit :
« L'île était plus grande que la Libye et l’Asie réunies, et l’on pouvait se rendre à l’époque à partir d’elle dans d’autres îles, et depuis celles-ci sur l’ensemble du continent situé en face, qui entoure le véritable océan. Car tout ce qui se trouve de ce côté-ci de la route d’Héraclès n'est qu'un golfe semblable à un port avec une entrée étroite. Mais cette autre mer est une vraie mer, et la terre qui l’entoure peut à juste titre être appelée Continent. »
L'exactitude de la description est incroyable si l'on songe que l'histoire a certes été rédigée par Platon, mais qu'elle est censée reposer sur des sources égyptiennes encore plus anciennes. Elle décrit non seulement la Méditerranée avec le passage de Gibraltar, mais aussi un autre continent - l'Amérique - au-delà de l'océan, de l'Atlantique. Entre les deux est censée s'être trouvée autrefois une île aussi grande qu'un continent. Il faut songer que les régions de l'Asie connues à l'époque étaient beaucoup plus petites que la région gigantesque de l'Asie actuelle.
Une partie de la montagne fendue est Gibraltar et l'autre est soit Monte Hacho, soit Djebel Musa. Ces deux montagnes prises ensemble ont depuis lors été connues comme les « Colonnes d'Hercule ».
Cette « Ile » a-t ’elle vraiment existée ? Pas seulement dans l’esprit de Platon ? Existe-il des preuves ? Que disent les écritures anciennes ?
Alors voici quelques faits troublants et étranges pour un humain qui veut regarder « plus loin que le bout de son nez ! … ! » En effet le bananier, ceux qui le cultivent pour leur plaisir, savent qu’il se reproduit par la racine. Ces humains, enfin certains se sont demandés comment le bananier était venu dans les grandes et petites iles qui entourent le Brésil, sachant que c’est une plante tropicale.
Christophe Colomb quand il découvrit en premier les Antilles, puis le Brésil quel ne fut pas son étonnement quand en s’enfonçant dans les terres il remarqua les Temples de leurs Dieux en quadrilatère pyramidale, une réplique exacte des premières pyramides Égyptiennes. Aujourd’hui les géologues, archéologues et paléontologues reconnaissent que ces constructions dateraient sans se tromper de plus de 8 000 ans avant l’Ère Commune, (EC), juste quelques siècles après le « Déluge. » Questions ? Comment ces humains connaissaient-ils le système de levage des blocs cubiques, voire rectangulaires, mais plus étonnant, les formules de calcul arithmétiques et géométriques ? Quel était leur avance scientifique et technologique ? Ce n’est pas le même ingénieur qui a conçu les Temples pyramidales Égyptiens, Aztèques et Mayas ? Des siècles les séparent ! …
Un autre phénomène bizarre, nous savons qu’il existe deux genres d’éléphant, celui d’Afrique et celui de l’Inde, de Birmanie, mais jamais au Brésil, et pourtant dans les grottes de ce pays les archéologues avec les géologues trouvèrent des peintures représentant des éléphants d’Afrique, prouvant qu’il y a bien longtemps, cet animal vivait dans ce pays, le Brésil tout comme le bananier !
Pour eux la seul hypothèse plausible c’est qu’une « Île » grande comme un Continent aurait relié les Continents Africain et Américain, mais encore un fait beaucoup plus troublant
Tout ce que je vous écris en ce moment ne vient pas de moi, mais d’humains beaucoup plus érudits que moi.
L'Atlantique forme un grand bassin et est divisé en deux parties par une montagne sous-marine haute de plus de deux mille cinq cents mètres, la dorsale atlantique aussi appelée dorsale delphinienne. Le bassin occidental est en moyenne profond d'approximativement six mille cinq cents mètres et ainsi peut-être plus profond de deux mille mètres que la partie orientale de la dorsale atlantique, qui représente la ligne de fracture entre les continents d'où sort aujourd'hui encore du magma.
Les éruptions volcaniques sous-marines provoquent la formation de pierre-ponce qui par sa légèreté monte en surface et flotte et lors d’éruptions volcaniques intenses cette pierre-ponce peut se former d’un seul tenant perturbant même la navigation moderne. Les mouvements de vague de la mer érode la pierre-ponce en sable
Muck a démontré d’une façon particulièrement exacte de précision, « que justement d’après ses calculs la vitesse d’engloutissement de la grande île, l’Atlantide, était d'environ quatre à cinq centimètres par secondes qui la fit disparaître en 24 heures » Le déroulement de la catastrophe diluvienne concorde avec la description de Platon : tremblements de terre, inondations, fissurations de la terre, engloutissement du sol et enfoncement du fond de la mer.
On a vu nettement, lors de l'éruption du volcan insulaire relativement petit du Krakatoa en Indonésie en 1883, que les pierres ponces flottantes mettaient en péril la navigation, et l'empêchaient même parfois totalement, bien que la couche ne soit alors épaisse peut-être que de vingt-cinq centimètres. En se basant sur ces informations, Muck a calculé que l'épaisseur de la couche de pierres-ponces flottant dans l'océan après la catastrophe de l'Atlantide était de cent mètres. Platon confirme « la mer là-bas était impraticable . . ., il était impossible aux navires de la traverser, parce que la boue très épaisse l’empêchait ».
Même sur ce point, Platon décrit quelque chose d'inhabituel, mais c'est précisément à ces détails que l'on reconnaît le profond contenu de vérité de l'histoire. Tout simplement trop bien pour être inventée, et en harmonie avec nos connaissances les plus récentes !
Charles Berlitz et Otto Muck rapportent que l'on fait dans le fond marin auprès des Açores des découvertes caractéristiques qui devraient en fait se trouver à la surface de la Terre. Johannes Von Buttlar décrit dans son livre « La planète d’Adam » des découvertes correspondantes dans la région des Açores :
« Dans le cadre d’un projet de recherche accompli en 1973-1974 par l’université d’Halifax, des prélèvements par forage ont été effectués dans la dorsale média-atlantique, puis ont été analysés. Il apparut alors que la formation rocheuse actuellement située à huit cents mètres sous le niveau de la mer devait s'être formée autrefois au-dessus du niveau de la mer.
Les chercheurs suédois R. Mailaise et P. Kolbe avaient déjà fait en 1956 une découverte particulièrement intéressante. En effet, ils avaient réussi à identifier dans la dorsale atlantique à trois mille sept cents mètres de profondeur les vestiges de diatomées qui devaient avoir vécu il y a 10 000 à 12 000 ans dans des lacs d’eau douce. En 1998, le câble transatlantique dut être réparé à 750 km au nord des Açores. On s'aperçut, lors de la recherche de la coupure, que le fond marin consistait à cet endroit en vallées, sommets montagneux et rocs déchiquetés. Les prélèvements rocheux qui y avaient été faits à trois mille cent mètres de profondeur se révélèrent constitués de tachylite, verre basaltique. Mais comme la tachylite se forme exclusivement à pression atmosphérique, elle ne peut avoir été produite qu'au-dessus du niveau de la mer. En outre, la lave ne se décompose qu'après 15 000 ans, par conséquent la dorsale média-atlantique doit avoir été avant cette date une masse de terre. Cette théorie fut confirmée en 1977 par une expédition soviétique qui ramena au nord des Açores des blocs de roche - donc situés sur la surface terrestre - tirés de plus de deux mille mètres de profondeur »
Les actuelles îles des Açores sont les sommets montagneux de l'ancienne grande île de l'Atlantide. Platon n'a pas écrit à la première personne ce récit de l'Atlantide, et accuse de mensonge tous ceux qui veulent voir dans cette histoire un mythe. Socrate, le maître de Platon, constate dans le dialogue Timée : « . . . et en plus elle a le grand avantage de ne pas être un mythe inventé, mais une histoire vraie ». Les connaissances scientifiques actuelles confirment dans toute leur ampleur les indications géographiques et géologiques que Platon donne dans le récit sur l'Atlantide.
Réacteur atomique dans la nature
Dans une mine d'uranium à Oklo, au Gabon, on a trouvé en pleine nature du plutonium hautement radioactif. Or cet élément ne peut être produit artificiellement que par un bombardement neutronique - centrale nucléaire. En cherchant un peu plus l’origine de cette radioactivité ils trouvèrent un réacteur atomique. Les scientifiques qui se penchèrent sur cette trouvaille étonnante reconnaissent que dans la nature il ne peut pas y avoir de réaction en chaîne spontanée pour son refroidissement, mais pour que se déroule une réaction correspondante, il doit y avoir eu une énorme pression, telle que l'on ne peut en atteindre qu'à plus de dix mille mètres de profondeur. Le Déluge a sûrement détruit une centrale nucléaire, mais a aussi refroidit ce réacteur atomique.
Certains scientifiques sont convaincus que les humains antédiluviens métrisaient l’électricité, et avaient une science plus développée que la nôtre.
Je reviendrai sur ce thème dans peu de lignes !
L’humain est relativement jeune.
L’humain antédiluvien était de grande taille en comparaison de nous. Absolument !
En Italie fut découvert un squelette d’un homme qui devait mesurer trois mètres environ. L’homme contemporain le plus grand à été l’américain Robert Pershing Wadlow mort en 1940, dont la taille authentique était de 2,72 mètres.
Dans la Bible et dans l'épopée suméro-babylonienne de Gilgamesh, peut-être les écrits les plus anciens au monde après les « Livres d’Hénoch », on trouve souvent des mentions détaillées de géants censés avoir vécus avant le Déluge.
Vu la taille des pieds découvert à côté des empreintes de pas de dinosaures sur toute la surface de la Terre, il est raisonnable de penser que la taille moyenne de l’humain était d’environ trois mètres et surtout plus
Le Dr Dougherty a examiné pendant 10 ans la zone autour de Glen Rose, et la région de cette ville elle-même. Il a durant ce laps de temps documenté plus de 100 traces de pieds de dinosaures et 50 d'hommes, avec et sans empreintes de chaussure, ainsi que quelques autres découvertes curieuses. Les traces de pieds humains trouvées sont souvent très grandes et proviennent sûrement de personnes géantes. Le Dr Dougherty a trouvé une empreinte de pied d'une longueur de 54,61 cm et d'une largeur maximale de 20,32 cm dans la partie antérieure du pied.
Je reviendrai sur ces textes à l’écriture du Déluge et de la famille de Noé
Par l’histoire apprit à l’école, nous savons tous que beaucoup d’objets, même antédiluvien, furent découvert par des archéologues et des géologues. Le plus étonnant de ces objets, est peut-être ce marteau découvert à proximité de la petite ville de London au Texas dans la région de Paluxy River en 1934 par la famille Hahn.
Après un grand nombre d’examens circonstanciés par je ne sais combien d’Instituts de bonne renommée, ayant subi des visites par les microscopes électroniques les plus sophistiqués pour en connaître la structure et la composition, tous les scientifiques ayant participé à cet examen du marteau, reconnaissent leur ignorance.
En effet ils sont dans l’obligation d’accepter ces faits.
Le marteau a été façonné par des humains.
Qu’à l’époque de sa fabrication, la pression atmosphérique environnante n’était pas la même qu’aujourd’hui.
John Mackay, directeur du « Création Science Foundation » en Australie, avec d’autres experts américains ont émis la supposition que ces phénomènes à la surface du métal de ce marteau pourraient s'être formés sous une pression d'au moins deux atmosphères, avec protection simultanée contre le rayonnement ultraviolet, ce qui présuppose à vrai dire des conditions atmosphériques radicalement différentes des nôtres.
Aujourd’hui nous sommes dans l’incapacité de reproduire ce marteau car il est d’une dureté et pureté exceptionnelle et ne se corrode pas, en un mot ne rouille pas.
L’acier du marteau contient une haute teneur en chlore, ce qui est, dans nos aciéries modernes, totalement exclu. Cet outil ne peut provenir d’une fabrication moderne, donc il est impossible qu’il y ait supercherie.
Il reste une question : à quelle époque fut façonné ce marteau ?
En suivant l’étude géologique de la roche dans laquelle le marteau avec son manche fut soudainement emprisonné, l’équipe d’experts ainsi que John Maclay en déduisent que cet outil a un âge maximum de dix mille ans, voir sérieusement moins, mais est antédiluvien.
Tout ce que je viens d’écrire détruit la thèse de l’évolution, mais il y a encore plus convaincant.
Darwin écrit que l’évolution est une chaîne buissonnante ! …
Une chaîne buissonnante doit ressembler à un buisson, et pour moi un buisson est un amalgame de petits arbustes qui poussent dans tous les sens, se mélangeant, sans aucune règle, soit un fouillis de végétations.
Difficile de croire à l’Évolution au regard de l’harmonie de l’Humain, ce n’est pas une « chaîne de modifications buissonnante », ce n’est pas un enchevêtrement ?
Par contre Monsieur Lamarck, naturaliste {-biologiste -} « Français » avait constaté que la terre pouvait produire un nombre incalculable d’êtres vivants dans le monde des insectes et autres bestioles plus petites.
Darwin c’est servi des découvertes de Lamarck abusivement, en reportant celle-ci sur l’homme, … ce qui est absolument faux …, faisant sa fortune personnelle en lui donnant un « NOM » de biologiste complètement usurpé.
La confirmation, tous ces scientifiques, chercheurs, « Évolutionnistes », ne parlent que de l’homme !….
Pendant tout ce chapitre je vous ai écrit sur une Ile mystique, sur des découvertes étranges, qui malheureusement n’ont jamais fait la une des médias, voire même étouffées par les dirigeants religieux. Alors j’espère que ces écrits, vous les trouvez instructifs et qu’ils vous fortifient dans votre foi pour ce Dieu seul et unique que je nomme EL-SHADDAÏ
Portez-vous bien !
Salutations cordiales !
Sig : J-P. G. dit « GRANDELOUPO »
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