Les Prophéties se réalisent
Chap. N° 3
Prophéties
Hénochienne, une
vérité
Je reprends la continuité du chapitre précédent qui date d’un mois environ.
Pour une bonne compréhension je vous invite à relire le chapitre précédent, voir même celui d’avant.
Pour des raisons X et Y je fus dans une impossibilité d’écriture, j’espère que vous me pardonnerez, surtout que la santé n’a pas suivi et que, à cause des douleurs, j’ai augmenté considérablement la « Morphine ». Dans ces moments de douleurs insupportables l’esprit fonctionne vite et je suis obligé de reconnaître que je devenais méchant et irascible avec mon épouse qui ne pouvait rien faire, malheureusement, mais une chose est sûr, jamais je n’ai rendu EL-SHADDAÏ responsable de mes douleurs, et, jamais je ne l’ai maudit, au contraire, c’était un réconfort qui pendant quelques instant me faisait oublier ces maudites douleurs qui ne me laissèrent pas beaucoup de répit pendant trois semaines. Aujourd’hui cela va légèrement mieux, alors je vous écris pour que vous suiviez ce Dieu seul et unique en suivant ses Lois et Préceptes.
J’espère que vous en avez profité pour relire les chapitres précédents pour vous fortifier vers ce Dieu seul et unique que je nomme EL-SHADDAÏ nom biblique, puisqu’Abraham le nommait ainsi
Je reprends maintenant que je vous ai fourni quelques explications sur mon absence !
Poussons notre esprit plus loin que la prise de Jérusalem par Nabuchodonosor, et avant celle de Samarie avec la disparition du pays d’Israël et des Dix Tribus formant ce pays. Nous continuons d’avancer vers la naissance du monde. Il y a ce phénomène planétaire qui soit l’effondrement de la voûte céleste terrestre qui provoqua le Déluge. Pour m’expliquer un peu mieux c’est le désagrègement de la « Nuée » qui enveloppait la Terre, la protégeant de certains Ultra-Violets (UV) mortel pour l’humain et pour tout ce qui était vivant sur la Terre. Cette « Nuée » mettait la Terre sous serre et il y avait que quelques petites décennies entre l’équateur et les Pôles soit 0 aux pôles et 30° à l’équateur. Tous les êtres vivant mangeaient de l’herbe, des racines et des fruits ceci était valable pour les animaux sauvages, domestiques, et pour l’humain. Comme la Terre était une serre la végétation était immense et luxuriante. Sammaël après avoir séduit Ève désirait l’extinction de l’humain. Les femmes des hommes étaient belles alors il envoya deux cents Anges, ses Serviteurs, qui prirent forment humaine pour s’accoupler avec les femmes des hommes. De cet accouplement les progénitures étaient des géants, des monstres, qui détruisaient tout. Ces géants engendrèrent les Néphilims et les Néphilims des Elyouds et tous grandissaient selon leur gigantisme Genèse VI : 4 et suivant voir aussi Hénoch VI-X.
D’après la chronologie Hénochienne ce dernier serait mort quand les Anges de Sammaël s’accouplèrent avec les femmes des hommes. Ces Serviteurs apprirent à l’humanité les drogues, la botanique, les charmes et les remèdes. Ils leurs enseignèrent les métaux et les alliages pour façonner des armes, lance, épée, couteau, bouclier, cuirasse, mais aussi les bracelets, les parures les bagues, l’antimoine, le fard des paupières, toutes sortes de pierres précieuses ainsi que les teintures. De tout cela il en résulta une grande impiété.
Ces géants enseignèrent tout ce qui est mal aux humains et avec les animaux ils firent des accouplements des croisements contre nature qui engendrèrent des monstres avides de sang et de nourriture au point ou l’humain n’arrivait plus à se nourrir.
EL-SHADDAÏ façonna l’humain à sa ressemblance à son reflet avec un cerveau et sa matière grise là où siège tous les automatismes, mais aussi la mémoire. Ce cerveau est la centrale de commandement de nos mouvements. C’est là aussi que siège la pensée, la réflexion, le raisonnement, les sentiments en relations avec le cœur lieu aussi de la pensée cet ensemble cœur-cerveau que nous nommons « Esprit » L’homme et la femme deux êtres avec une grande similitude, et pourtant tellement différent. La femme porte en elle le secret de la reproduction, sans elle rien, mais l’homme lui possède le spermatozoïde reproducteur, donc sans l’homme rien ; les deux ont besoin l’un de l’autre pour la reproduction donc ils ne font qu’un. Contrairement à l’animal où l’acte sexuel est une nécessité pour la reproduction de l’espèce à un moment donné, l’acte sexuel pour l’humain est un plaisir.
EL-SHADDAÏ déposa l’Humain sur la Terre et insuffla un « Souffle de Vie » dans ses narines et l’humain respira. L’homme et la femme sont sur la Terre en Territoire d’Eden et ils donnent un nom à chaque plante, à chaque animal, plantigrade, ailé, rampant ainsi qu’à tous les insectes. N’oublions pas qu’ils sont parfaits et qu’ils ont une mémoire phénoménale. C’est à ce moment qu’EL-SHADDAÏ libère Sammaël et les Siens de leur torpeur.
Par ruse Sammaël fait violer l’interdiction divine par la femme. L’homme et la femme sont parfaits en tout et connaissent la sentence s’ils enfreignent l’interdiction divine. Et pourtant, volontairement, ils transgresseront cette interdiction faisant entrer le péché sur la Terre et le sang qui transporte la vie s’altèrera à la vitesse de reproduction de l’humain.
L’écriture est un don chez l’humain, mais c’est Hénoch le premier qui s’en servira. EL-SHADDAÏ le nomme son « Scribe de Justice » Manuscrit de la Mer Morte p.298, 322. Comme une prophétie c’est le premier qui dévoila aux humains les quatre saisons, et l’année de trois cent soixante cinq jours, l’âge qu’il vécut sur la Terre. Les « Livres Hénochiens » disparurent plusieurs fois de la surface de la Terre. Noé emporta avec lui dans l’Arche tous les « Livres » de son arrière grand-père qui était pour lui et pour tous ceux qui montèrent avec lui dans l’Arche une règle de conduite, de vie. Ces Lois, que l’on nommera « Lois Noachides » serviront de guide pour les humains, jusqu’à Abram qui sera appelé Abraham par EL-SHADDAÏ, auquel ce dernier ajoutera les Lois sur la circoncision et toutes ces Lois seront le guide spirituel des Hébreux, « Ceux qui passent », jusqu’à l’ère de Moïse sur les contreforts de la montagne du Sinaï après leur libération de l’esclavage égyptien.
Comme déjà écrit, ces « Livres Hénochiens » étaient considérés par les humains comme des « Livres » sataniques et souvent comme des livres hérétiques. Alors les dirigeants spirituels des humains les interdisaient et les faisaient brûler. Quatre à trois siècles avant Jésus le Nazaréen ces « Livres » réapparurent. Puis au quatrième, cinquième siècles après l’Ère Commune (EC), ces livres furent interdits et brûlés pour hérésie par les dirigeants du christianisme naissant, ces « Évêques », qui montèrent leur richesse sur le dos des pauvres. Il faudra attendre la fin des années mille sept-cents et le début des années mille huit-cents pour que les « Livres d’Hénoch » réapparaissent. Je suis convaincu que ces « Livres » bénéficient d’une protection divine. Livre d’Hénoch, p 567-568, LXXX ou LXXIX selon les versions 3-10
3. Les jours des pécheurs ne seront point complets.
4. Leurs semences manqueront dans les champs et dans les campagnes ; les travaux de terre seront bouleversés, rien ne viendra pour eux en son temps. La pluie restera dans les airs, et le ciel sera d’airain.
5. En ce temps-là les produits de la terre seront tardifs ; ils ne fleuriront point en leur temps, et les arbres retiendront leurs fruits.
6. La lune changera son cours, elle n’apparaîtra point en son temps ; le ciel brûlant et sans nuages sera visible, et la stérilité s’étendra sur la face de la terre. Des météores sillonneront le ciel ; car beaucoup d’étoiles, se détournant de leur course accoutumée, erreront dans l’espace.
7. Et les anges qui les régissent ne seront point là pour les faire rentrer dans leur route ; et toutes les étoiles se soulèveront contre les pécheurs.
8. Les habitants de la terre seront confondus dans leurs pensées ; ils pervertiront toutes les voies.
9. Ils transgresseront les commandements du Seigneur et se croiront des dieux ; cependant le mal ne fera que se multiplier au milieu d’eux
. 10 .Mais le châtiment céleste ne se fera pas attendre : ils périront tous.
Vous venez de lire le livre d’Hénoch et ci-dessous la prophétie du Quidam
Quand la Lune n’éclairera plus la Terre la nuit, à cause de sa pâleur,…
Quand ces astres ne se lèveront plus, ne se coucheront plus aux portes qui leurs étaient habituelles, …
Quand les famines, maladies, épidémies, se multiplieront sur toute la surface de la Terre, se déplaçant d’une région à l’autre, d’un Pays à l’autre, d’un Continent à l’autre, …
Quand tous les humains auront de la haine les uns pour les autres, …
Quand ils seront accablés, tourmentés, angoissés, …
Quand ils se confieront l’un à l’autre, d’une région à l’autre, d’une Nation à l’autre, d’un Continent à l’autre, à cause de leur détresse, …
Quand ils seront au point de non-retours par leurs actions exécrables, ignobles, infâmes, poussant l’horreur jusqu’à échanger, vendre, d’un bout de la Terre à l’autre des enfants, même ceux sortis à peine de la matrice de leur mère, pour assouvir leurs perversions, …
Quand les humains de toute la Terre, sans exception, accepteront Sodome et Gomorrhe, les hommes se mariant et s’aimant entr’ eux, les femmes de même, et qu’ils blasphèmeront tous, en claironnant qu’ils sont bénis de « Dieu », mon PÈRE, car « Dieu » est amour, …alors que leurs actes sont une abomination pour mon PÈRE ! …
Quand tout cela arrivera dans les mêmes décennies, ce « Temps » très cours………
Vous saurez, …vous, … « Veilleurs », « Fidèles », « Guetteurs », et « Sentinelles » que votre libération est proche ! …….
Car, …le Maître Créateur de l’Univers, EL-SHADDAÏ mon PÈRE, mélange, mélangera toutes ces parties l’une à l’autre, et elles se prêtent, prêteront assistance l’une à l’autre, et certaines laissent, laisseront une partie d’elles-mêmes, et prennent, prendront à la fois d’elles-mêmes et des autres, tandis-que certaines accomplissent, accompliront leur rôle et celui d’autres, en sorte que l’immense majorité des humains qui sont sur la Terre ne comprennent, ne comprendront pas que mon PÈRE visite la Terre et que sa « Colère » est « Grande » contre la race humaine.
Tous les humains de la Terre titubent, ils ont leur esprit et leur cœur embrouillés par l’ivresse de leur turpitude ; ils se balancent au gré de leurs perversions, de leurs pensées et actions monstrueuses, détestables, effroyables, exécrables, iniques,….ils se baignent, se complaisent dans leur infamie, ignominie, idolâtrie, ……….
Alors ! …… ? …
Mon PÈRE a plongé leur esprit dans une grande torpeur.
Car l’homme n’a pas été créé autrement que les Anges, il a été créé pour demeurer pur et juste, la mort qui corrompt toute chose les aurait épargnés, mais leurs connaissances les font périr. Le péché ne vient pas des Cieux mais résulte d’une transgression de l’humain. Le péché n’a pas été envoyé des Cieux sur la Terre, ce sont les humains qui l’ont établi d’eux-mêmes, c’est pour cela qu’ils sont voués à une grande malédiction. »…..
Comme déjà écrit, vous savez que j’habite à la campagne, votre village comptant huit à neuf cents âmes.
Je peux certifier que ce qui est écrit ci-dessus, particulièrement au sujet des arbres fruitiers et des baies sauvages, des semailles que font nos paysans, que la récolte ne vient pas en son temps. Cette année les pommes étaient infectes, immangeables, les cerisiers n’ont rien donné comme fruit, si, une misérable poignée et le goût était de l’eau, quant au jardin, les récolte furent nul au point que mon épouse ne veut plus faire de jardin.
Pour revenir à ces baies sauvages telles que les aronies, épines-vinettes, néfliers, argousiers, allouchiers, amélanchiers, sureaux, mûriers, framboisiers, les fruits de tous ces petits arbustes ne viennent pas au mois qu’ils devraient murir, soit en retard, soit en avance. De plus voilà des années que mon épouse fait avec ces baies sauvages des gelées, et pour certains de la pâte de fruit, et voilà deux ans où ma compagne n’arrive plus à faire des gelées fermes, elle sont à moitié liquide et le goût n’est plus aussi succulent.
Donc quand nous lisons les lignes prophétiques d’Hénoch nous sommes bien obligé d’y croire sauf se mentir à soit même. La nature tout doucement est entrain de changer. Vous, dans les grandes villes tous ces signes vous ne les voyez pas, pas contre vous en regardez d’autres, en particulier le comportement humain. Peu importe le lieu d’habitation de l’humain, partout, sur toute la Terre, il existe des « Signes » visibles à l’humain pour que ce dernier puisse les voir et les entendre. Un exemple, maintenant avec les réseaux sociaux vous pouvez converser avec un humain qui est à l’opposé du globe, avec internet si, il y a un tremblement de terre à Tokyo, cinq minutes après tout New York est informé.
« Quand ils se confieront l’un à l’autre, d’une région à l’autre, d’une Nation à l’autre, d’un Continent à l’autre, à cause de leur détresse, »
Ci-dessus la prophétie du Quidam qui aujourd’hui est une réalité puisque nous pouvons parler avec un humain qui vit à plus de dix mille kilomètres de notre habitation. Donc les humains peuvent se confier l’un à l’autre malgré la distance de séparation.
Voyons encore quelques écrits hénochiens : p 568 Hénoch LXXXI : 2-4
2.
Conserve, mon fils, les livres écrits de la main de ton père, et
transmets-les aux générations futures.
3.
Je t’ai donné la sagesse, à toi, à tes enfants et à ta
postérité, afin qu’ils la transmettent, cette sagesse supérieure
à toutes leurs pensées, à leur postérité. Et ceux qui la
comprendront ne dormiront point ; mais ils ouvriront leurs oreilles
pour la recevoir, afin de se rendre dignes de cette sagesse, qui sera
pour eux comme une nourriture céleste.
4. Bienheureux les justes, bienheureux ceux qui marchent dans la justice, qui ne connaissent point l’iniquité, et qui ne ressemblent point aux pécheurs dont les jours sont comptés.
Ce livre d’Hénoch qui fut dans les premiers Canons Bibliques fut déclaré hérétique par les humains car il développait en détail le chapitre six de la Genèse en parlant des Anges qui se révoltèrent contre EL-SHADDAÏ, parce qu’ils trouvaient les filles des hommes très belles, alors ils décidèrent de se matérialiser et de descendre sur la Terre pour s’accoupler avec les filles des hommes. Ce livre d’Hénoch fut l’affaire d’une chasse terrible par tous les Évêques du Bassin Méditerranéen et des pays limitrophe et brûlé par ces derniers qui commençaient à gérer la Mouvance de Jésus le Nazôréen pour en faire, grâce à Constantin le Grand, le « Christianisme » Pendant plus de mille quatre cents ans ce livre disparut de tout œuvre littéraire. Redécouvert en Éthiopie au XVIIIème siècle il fut déclaré par toute la chrétienté comme une œuvre venant d’un faussaire. En 1950 la découverte du « Livre d’Hénoch » dans les Manuscrits de la Mer Morte qui datèrent l’œuvre de III siècles avant l’EC, redonnèrent une légitimité à cette œuvre littéraire reconnaissant que ce n’était pas l’œuvre d’un faussaire.
Cet œuvre devenant gênant pour le christianisme les hautes autorités religieuses Catholiques, Orthodoxes et Protestantes, s’empressèrent de déclarer ce « Livre » comme apocryphe.
Voilà particulièrement la haine de la chrétienté pour ce livre : Hénoch XVIIIL : 2-7
2 - Et ainsi il va près de la terre, puis la terre est heureuse et fait développer ses fruits, et quand il part, alors la terre est triste, et les arbres et tous les fruits n'ont aucun florescence.
3 - Tout ceci il a mesuré, avec la bonne mesure des heures, et fixé une mesure par sa sagesse, du visible et de l'invisible.
4 - À partir de l'invisible il a rendu toutes les choses visibles, lui-même étant invisible.
5 - Ainsi je fais connaître à vous, mes enfants, et distribuez les livres à vos enfants, dans toutes vos générations, et parmi les nations qui auront le sens de craindre Dieu, laissez-les les recevoir, et puissent-ils venir à les aimer plus que toutes nourritures ou délicatesses terrestres, et à les lire et appliquer eux-mêmes pour eux.
6 - Et ceux qui comprennent pas le Seigneur, qui craignent pas Dieu, qui n'acceptent pas, mais rejettent, qui ne reçoivent pas les livres, un jugement terrible attend ces derniers.
7 - Béni est l'homme qui soutiendra leur joug et les traînera, parce qu'il sera libéré le jour du grand jugement.
N’oublions pas que ces « Livres » ont résisté à tout puisqu’ils ont traversé le Déluge par l’intermédiaire de Noé, puis les « Temps » puisque les trois fils de Noé reçurent un exemplaire ainsi que ses gendres ce qui fait que ces « Livres » furent largement diffusés.
Pensons aussi à Jean qui, dans son apocalypse, parle des images qui parlent Apocalypse XIII : 15
Je viens de vous écrire sur les prophéties qui sous nos yeux se réalisent avec les cyclones qui viennent de plus en plus nombreux et puissants ainsi que les tornades. Les inondations sont de plus en plus graves même sur des régions où elles ne devraient pas avoir lieu. Comme dans nos régions françaises où les saisons se mélangent et l’humain citadin cela ne le regarde pas. Et si vous regardez, écoutez, vous remarquerez les changements qui apparaissent sur l’être humain.
Je reviendrai certainement sur ce thème et maintenant je vais continuer sur ces jours de fêtes de Noël qui sont des jours de fêtes païennes.
Pour cette semaine l’écriture est finie. Je souhaite que cette lecture vous instruise en histoire religieuse, mais surtout vous amène vers ce Dieu seul et unique par votre cœur et votre esprit. Je pense que pour aimer un Dieu il faut connaître son histoire.
Portez-vous bien vous qui allez devenir les Enfants d’EL-SHADDAÏ si vous le désirez !
Salutations cordiales à tous !
Sig : JP.G. dit « GRANDELOUPO »
Les Prophéties se réalisent !
Chapitre N° 2
L’humain est libre par son cerveau, son « esprit », tu pourras m’empêcher de dire des vérités sur « toi », mais jamais tu ne pourras m’empêcher d’y penser ! Alors ….
Quand réfléchira-t-il ?
Maintenant que j’ai écrit sur notre spiritualité et pour dire vrai sur ma spiritualité car la vôtre je l’ignore mais la devine car si vous suivez mes écrits depuis plusieurs années aujourd’hui vous devriez faire partie des « Enfants » d’EL-SHADDAÏ.
Donc voyons voir ce que les prophètes écrivaient au sujet des « Derniers Temps » où du « Temps de la fin » ou encore l’ère des « Dernières Générations »
En premier regardons les prophéties les plus proches de nous donc je vais commencer par la « Prophétie du Quidam » Je ne changerai aucun mot de cette prophétie et si je viens à le faire je m’arrangerai à ne pas détourner l’esprit de la phrase. Ci-dessous une partie de la « Prophétie du Quidam » des chapitres N° 1, 2 & 3.
En premier c’est Jésus le Nazôréen qui parle aux habitants de l’Aride, nom donné à la Terre dans certains vieux manuscrits Bibliques.
« Être vivant à l’image de mon PÈRE, à notre ressemblance, vous avez les oreilles grandes ouvertes, vous écoutez, entendez une multitude de sons, mais, des « Trompettes » sonnent des paroles de « Vérité » juste à coté de vous, et vous ne les entendez pas, … vous êtes sourd !…
Vous écarquillez les yeux, vous voyez tout, même les minuscules poussières dans le reflet du soleil, tout ce qui bouge et se meut, tous les « Signes » vous les voyez et pourtant vous êtes aveugles ! …
Mon PÈRE est en « Grande Colère » !
Il visite la Terre !
Il a entendu ses cris, ses plaintes, ses gémissements, ses pleurs. Il regarde toute l’abomination des humains, leurs actes exécrables …Alors, Il met leur « esprit » en confusion, …endort leur cerveau pour qu’ils ne comprennent pas les « Signes »
El-Shaddaï, Yahvé-Sabaot, [il aurait pu écrire EL-SHADDAÏ des Armées, pour remplacer « Sabaot »] mon PÈRE s’exclame :
« Je visite la Terre, cette Planète Bleue comme il est écrit, … je vais compter le nombre de ceux qui sont éveillés, … qui ne dorment ni le jour, ni la nuit, ces « Serviteurs » toujours aux aguets. »
[en dehors de la Bible dans Isaïe, le terme « Serviteur » est employé pour les Anges officiant pour Sammaël, ce terme est le synonymes de Démons et je l’emploie souvent dans mes écrits quand je parle des Anges qui sont au service de Sammaël, là dans le contexte de la phrase « Serviteurs » aurait pu être remplacé par « Justes », « Fidèles » « Loyaux » « Féaux »]
« Toi, mon FILS qui les connaît tous par leur esprit, leur cœur, leur visage, ordonne à l’ « Armée des Anges » qu’elle se positionne pour la protection de chacun, car mon écœurement est grand, ils sont pires que les humains antédiluviens, et ma Colère sera proportionnelle à ce dégoût.
Je parcours la Terre jusqu’au moindre mètre carré, je compte ces « Serviteurs » mon FILS, je les compte ! …
Ce n’est pas ton « chiffre » ! … »
[Là, je pense qu’il y a une erreur d’écriture car le chiffre va se zéro à neuf (0-9) donc l’auteur pensait à une quantité, capacité, et sûrement une estimation donc il aurait pu écrire à la place de chiffre soit quantité ou estimation]
Le Fils maintenant va énumérer un certains nombres de fléau qui doivent arriver sur la Terre
« Je connais le « nombre » exact de ces « JUSTES », de ces « SERVITEURS », de ses « FIDÈLES » … Hors, de ton « chiffre » [de ta quantité], un grand nombre,……malgré la « Connaissance », « l’Intelligence », qu’ils ont reçu, …la « Sagesse » ils l’ont perdu, … avec tout ce qu’ils ont vu, constaté, tout l’enseignement que tu leur as donné en dedans de leur cœur, au-dedans de leur esprit, toute la protection des ANGES qu’ils ont eus, …… vont partir de leur propre volonté dans le tourbillon détestable du monde entraînant dans leur fuite en avant un nombre incalculable d’êtres humains.
Ordonne au « NÉANT » d’ouvrir ses « Grandes Portes » car ils sont plus infects que tous les autres ! …
Souffrances du corps, tortures de l’ « Esprit, de l’Âme » accompagneront leur voyage vers « NÉANT » et Arouchaz le fidèle gardien veillera à leur passage, car après lui il n’existe plus rien.
Tel est ma Volonté !
Tels sont les ordres de Yahvé-Sabaot ! »
Ayant lu cette « Prophétie » plus d’une dizaine de fois et l’ayant bien décortiquée, personnellement je pense que certaines catastrophes vont se produire dans un Continent, puis dans un autre espacé de quelques années et se rapprochant de plus en plus, dans plusieurs Continents ensemble, mais de telle sorte que les humains n’y prendront même plus attention, comme-ci cela devenait normal que la Terre bouge.
---« Quand la Terre grondera d’un Continent à l’autre, …
Quand le fond des Océans se réveillera, …
Quand toute la Terre tremblera sans cesse du Nord au Sud, de l’Est à l’Ouest, …
Quand les Vents souffleront comme jamais ils n’ont soufflé auparavant ! , même dans les lieux calmes, …
Quand les cyclones, tornades, ouragans se multiplieront, … défileront les uns derrière les autres, imitant l’espèce humaine, … faisant la concurrence de leur force et de leur grandeur.
Quand ils passeront dans des régions où ils ne sont pas destinés,…
Quand les écluses du ciel s’ouvriront plus qu’il n’est nécessaire dans des pays de sécheresse et de désert et quelles se refermeront dans des pays normalement arrosés, …
Quand, des Cieux, nous verrons le scintillement des embrasements de la Terre un lieu après l’autre, …
Quand il y aura guerres sur guerres, nations contre nations, religions contre religions, …[ les humains d’une même nation, d’une même religion se déchirant, s’entre-tuant ]
Quand des bruits de guerre parcourront la Terre, les peuples en grand tumulte, les nations conspirant, espionnant,….leurs Chefs dans l’inconstance, les Rois et les Présidents dans le trouble,…
Quand les femmes des hommes, pauvres et riches, échangeront les rapports naturels pour des rapports contre nature, …
Quand les hommes, pauvres et riches, se pareront, se maquilleront comme les femmes, se farderont plus que les jeunes filles, à la façon des rois, avec majesté et magnificence, délaissant l’usage naturel de la femme pour brûler de désir les uns pour les autres, perpétrant l’infamie d’homme à homme et recevant en leur personne l’inévitable salaire de leur égarement, …
Quand les hommes et les femmes, au regard de tous, pauvres et riches, souilleront sans-cesse le lit conjugal pour leurs propres plaisirs, …
Quand la Terre entière sera remplie de toute injustice, perversité, cupidité, malice, meurtre, dispute, fourberie, convoitise, …
Quand les mères rejetteront, abandonneront, délaisseront, leur nourrisson, les femmes enceintes avorteront, les nourrices laisseront là, leurs enfants, elles ne se retourneront pas, même à la mamelle elles n’en auront pas pitié, …
Quand les jeunes enfants auront perdu tous les fruits de leur jeunesse, qu’ils paraîtront des adultes, d’un âge avancé, avec des cheveux blancs comme les vieillards, …
Quand les pères et les fils s’affronteront, se tueront, les frères entr ’eux, les frères contre les sœurs, les sœurs contre leur mère, leurs frères, leur père, …
Quand les enfants s’élèveront contre les parents, ne respectant plus leur géniteur, …
Quand la femme abandonnera son mari, ses enfants, pour la couche d’un autre, …
Quand le père ira dans la couche de sa fille, et le fils dans le lit de sa mère, …
Quand l’amour s’enfuira devant la fornication, …
Quand les saisons se décaleront, leur altération évidente, …
Quand le fruit de la terre ne germera plus en son temps,…
Quand les semailles viendront en retard sur la terre et dans les champs, …
Quand le fruit des arbres sera retenu en son temps, …
Quand le soleil ne chauffera plus, mais brûlera, … »
Avant de continuer la « Prophétie du Quidam » qui est déjà terrible, voyons ce qu’Hénoch écrivait sur ses Livres, Livres qui devaient être retransmis de générations en générations et qui furent en premier dans les mains de ses enfants.
Avant de continuer je vais écrire une parenthèse sur mon raisonnement des « Livres » dit « Apocryphes ». Le terme « Apocryphe » signifie « qui ne doit pas être dévoilé » qui doit resté caché car réservé à ceux qui ont la « Connaissance », la « Connaissance » signifiant « réservé à une élite intellectuelle, les seules à comprendre le sens caché des écrits, car doté par « Dieu ? » d’une intelligence supérieur à la race humaine. »
Tout ce que je viens d’écrire ne vient pas de mon raisonnement personnel, mais des critiques littéraires, souvent d’origine chrétienne où assimilée.
Suite à mes recherches pour trouver la vérité, la vraie, pas celle que les Dirigeants des Sectes Protestantes, particulièrement les Témoins de Jéhovah et Adventistes du Septième Jour, qui veulent faire ingurgiter à leurs ouailles leur « Vraie Vérité » à eux, et pas une autre, j’ai remarqué, basé sur des faits historiques, que les plus grands démolisseurs de Textes Religieux, c’est-à-dire de Livres, Manuscrits, Parchemins, se sont les Dirigeants Religieux.
Je reconnais que les assaillants dans l’Antiquité et bien avant, avaient la fâcheuse manie de mettre le feu à tout et par ces actes les traces de l’évolution de la race humaine disparurent. Combien de Civilisations succombèrent, périrent faute de traces, de Genèse ? Quand j’étais môme ma grand-mère me disait toujours : « Les paroles s’envolent au sortir de la bouche, les écrits restent au bout de la plume ! » Force de constater qu’elle avait raison. Combien de Rouleaux de l’histoire religieuse et politico-religieuse hébraïque furent perdus par la première conquête Assyro-Babylonienne en 721 av. l’EC, année où Samarie, la capitale des Dix Tribus d’Israël, déposa les armes au pied de Sargon II, frère de Salmanasar V. En l’an 721 avant J-C, c’est la disparition du pays d’Israël sur toutes les cartes géographiques mondiales ; l’Histoire parlera de la disparition des « Dix Tribus d’Israël » et il faudra attendre 1948 ap. l’EC., pour que le pays d’Israël soit de nouveau réinscrit sur les Cartes Géographiques Mondiales. La capitale Samarie fut incendiée, donc disparition de beaucoup de Rouleaux, mais avec la déportation de plus de vingt-sept mille humains dans toute l’Assyrie beaucoup de Rouleaux suivirent cette déportation particulièrement les religieux, car à l’époque indirectement c’est la religion qui menait le monde et quatre-vingt dix-huit pourcent des humains suivaient une croyance, les Dieux de la guerre étant les plus importants. Puis il y a eu en 587 av. J-C une seconde conquête Assyro-Babylonienne par Nabuchodonosor dans le Royaume de Judas. Là, la ville de Jérusalem ainsi que le Temple furent complètement détruit. Après avoir pillé les richesses du Temple, l’Arche d’Alliance qui était dans le Temple, Nabuchodonosor ne le trouvât pas, il fit tout brûlé et déportât toute la population en dehors des vignerons et des métiers nécessaires pour la vigne, des agriculteurs et les métiers nécessaires pour l’agriculture. Les Prêtres et les Rouleaux suivirent les humains en déportations, car comme dit plus avant, à l’époque les conquérants respectaient la religion et les Dieux des vaincus. Donc les hébreux partirent pour Babylone avec leur religion monothéiste et ses écrits.
N’oublions pas aussi qu’à l’époque l’oral était plus important que l’écrit. Il faudra attendre la fin du deuxième siècle, et le début du troisième pour que l’écrit soit plus important que l’oral.
Encore une chose la Grande Bibliothèque d’Alexandrie comprenait, quand un soldat romain y mit le feu en 47 av. J-C, plus de cinq cent mille Rouleaux et Parchemins de toute l’histoire du Bassin Méditerranéen et des pays limitrophes. Ce fut la plus grande catastrophe mondiale de l’époque car sur l’histoire religieuse hébraïque nous aurions appris énormément comme sur toutes les religions, la royauté et la politique des pays conquérants comme les Perses, Assyriens, Philistins, Babyloniens, Grecque, Romains, etc …
Jésus le Nazaréen n’est pas encore né. Trois cents ans avant sa naissance, Ptolémée II Philadelphe, fils de Ptolémée Sôter 1er, est le Pharaon d’Égypte. Voulant connaître tous les sujets de son royaume et sous les conseils de Démétrios de Phalère il fait traduire la Bible, l’Ancien Testament au complet avec tous les « Livres » qui lui sont accolés en langue grecque étant un grand helléniste. Grâce à Ptolémée II certains traducteurs pour ne pas dire tous en profitent pour copier ce « Livre sacré » en plusieurs exemplaires dont l’un restera dans la synagogue d’Alexandrie. Par ces copies l’Ancien Testament et tous les livres qui l’accompagnent seront sauvés de la fournaise d’Alexandrie.
Jésus le Nazôréen est né. En imprimerie, qui n’existe pas encore, il faudra attendre entre seize et vingt siècles, selon le départ de la naissance des Codex qui, progressivement, remplaceront les Papyrus et les Rouleaux, ces derniers étant recopiés sur de grandes feuilles rectangulaires que l’on relie ensemble formant un volume que l’on nommera Codex. Plus facile à transporter, donc à cacher, mais aussi plus facile pour la lecture car l’on pouvait changer de chapitre en pleine lecture, chose impossible avec le Rouleaux. Avantage non négligeable, l’on pouvait écrire recto verso, donc économie sur le papyrus et le parchemin.
Dans une autre catégorie, j’avais écrit sur la naissance de l’écriture et fait étonnant aucun internaute ne m’avait contrarié. Donc de mémoire je vais réitérer ce que je pense sur l’écriture et l’Écriture.
Nous humains du XXIème siècle, nous nous considérons plus intelligent que les humains antédiluviens, ce qui est complètement faux.
Disons directement, la « Machine Humaine » est façonnée, aux reflets, à l’image, de celui qui nous a créés. Nous humains, nous sommes sa dernière création, puisque nous encore ébauche nous nous promenions dans le creux de sa main et nous n’étions pas vivant, là je reconnais que je fais vagabonder mon esprit et j’imagine l’artisan de l’humain qui comme le marionnettiste fait des essais sur une feuille blanche de sa nouvelle marionnette qu’il vient de créer, une carcasse squelettique en mouvement désordonné pour le moment.
L’humain fut le dernier « Être » vivant de la création, le dernier ouvrage, la dernière œuvre. Maintenant il faut croire ou ne pas croire. Un humain qui vit sur la Terre ne croyant en rien est pire qu’un animal sur la Terre ! Quel est son but ?
EL-SHADDAÏ réalisa l’humain bien après les animaux sauvages (?) et domestiques (?).
Ce Dieu remplit de « Sagesse » quand il créa la végétation, donna force à la terre de la Terre et à l’eau ruisselante jusqu’à la Mer de produire toute une multitude d’insectes volants, rampants, microscopiques pour nettoyer et aérer la terre et l’eau. Nous avons appris à l’école que l’eau se nettoyait par le frottement sur les roches si j’ai bonne mémoire.
Personnellement je tiens cet enseignement du médecin qui remplace notre médecin traitant, que nous avons surnommé « P’tit Chinois » dû vous vous en doutez à son apparence, donc il me disait au sujet de ma maladie : « Savez-vous que la terre produit entre mille deux-cents et mille quatre-cents nouveaux insectes chaque année pour autant qui disparaissent. Pour votre maladie et l’infection que vous avez aux jambes c’est à peu près la même chose. La médecine répertorie autant de nouveaux microbes que l’on ne sait pas soigner et qui disparaissent comme ils sont venus. Vous, vous faites partie de ces humains que l’on ne sait pas comment soigner, nous connaissons les microbes avoisinants, mais ce n’est pas exactement celui-là, donc les médicaments ne conviennent pas, ils atténuent un peu le mal et les microbes « mutants » arrivent à détruire les molécules médicamenteuses et nous médecins à tâtons, nous essayons de savoir et surtout de connaître ce microbe pour le combattre, le mieux pour vous c’est d’aller à Grenoble ou à Lyon, mais vous savez que là-bas vous serez le cobaye, c’est vous qui faites le choix »
Ma réponse fut ainsi : « Je sais bien « P’tit Chinois » que la solution se trouve peut-être à Grenoble ou à Lyon, mais vous savez très bien que je sortirai les pieds devant si je vais dans ces établissements ! Deux ans de souffrance, sans voir ma famille ou une fois par mois ! Non, vous qui avec Philippe m’avez fait gagner déjà plus de quatre années puisque jamais je n’arriverai à 65 ans et que cet âge est loin derrière moi, alors je reste et je continue à me faire soigner par de très bon Docteur et comme vous allez posséder votre Cabinet, je continuerai avec Philippe »
Aujourd’hui, j’ai les soixante dix hivers qui vont sonner à l’horloge. Je reconnais que j’ai un peu de mal à vous écrire, mais il est important pour moi de vous faire connaître ce Dieu seul et unique et que de par votre propre volonté vous sortiez de ce milieu où l’idolâtrie est reine, Apocalypse XVIII : 4-5, « Puis j'entendis une voix du ciel qui criait : « Sortez d’elle, mon peuple, quittez-la, de peur que, solidaires de ses fautes, associer à ses péchés vous n'ayez à pâtir de ses plaies ! Car ses péchés se sont amoncelés, agglutinés jusqu'au ciel, et EL-SHADDAÏ s'est souvenu de ses iniquités, de ses injustices ! » Comme il est écrit, vous mes semblables vous devez sortir de ce milieu où le mensonge, l’hypocrisie, l’idolâtrie sont les pierres angulaires de cette « Église », et là, j’emploie ce mot dans la signification de son origine qui signifie « Assemblée ».
J’espère que vous me pardonnerez mes petits égarements dans ce chapitre, mais un peu d’histoire, quelques dates historiques de référencement ne font pas de mal et au contraire fortifie notre foi envers ce Dieu seul et unique, son Fils, Jésus le Nazaréen étant notre médiateur, notre assesseur et paraclet disons plus simplement, notre assesseur et avocat devant son Père géniteur, ce fils faisant le relaie de nos pensés, de notre cœur, car c’est lui le « Prêtre » dont nous avons besoin, le « Grand Prêtre » à la façon de Melchisédech, Épître aux Hébreux V : 6. Voilà pourquoi nous n’avons plus besoin de Prêtre pour nous confesser où pour nous guider puisque nous avons Jésus le Nazôréen.
Pensant sincèrement que cette lecture tout doucement vous fortifie intérieurement pour avoir comme ces premiers humains de la « Mouvance de Jésus le Nazaréen » une foi inébranlable en EL-SHADDAÏ notre Père et notre seul « Dieu » ainsi qu’en notre Roi, notre médiateur, assesseur, mais aussi enseignant, je nomme son Fils Jésus le Nazôréen.
Prenez soins de vous et de votre maisonnée !
Salutations cordiales à Tous !
Sig : Jean-Paul G. dit « GRANDELOUPO »
Gardez bien ce second chapitre sous le coude car la semaine prochaine où dans une dizaine de jours vous en aurez besoin pour vous repérer et comprendre.
Les Prophéties se réalisent !
Chapitre N° 1
Rechercher ce
DIEU seul et
unique
Une fête chrétienne vient de finir puisque ce jour pour ces humains, les chrétiens, est un grand jour, c’est l’adoration, vénération de ces humains qui ont fait leur passage touristique sur la Terre auquel leurs semblables leur ont dédié une statue les représentant en état de prière ou méditation, les vivants venant se prosterner devant leur effigie fait de pierre, de bois peint.
Ce jour de l’adoration des statues destructibles, sans vie, est le plus grand jour de l’idolâtrie, la Bible de l’Ancien Testament dit : Exode XX : 3-6, « Tu n'auras pas d'autres dieux devant moi. Tu ne te feras aucune image sculptée, rien qui ressemble à ce qui est dans les cieux, là-haut, ou sur la terre, ici-bas, ou dans les eaux, au-dessous de la terre. Tu ne te prosterneras pas devant ces dieux et tu ne les serviras pas, car moi Yahvé, ton Dieu, je suis un Dieu jaloux qui punis la faute des pères sur les enfants, les petits-enfants et les arrière-petits-enfants pour ceux qui me haïssent, mais qui fais grâce à des milliers pour ceux qui m'aiment et gardent mes commandements. » Pour être un peu plus complet Deutéronome IV : 15-19, « Prenez bien garde à vous-mêmes : puisque vous n'avez vu aucune forme, le jour où EL-SHADDAÏ, à l'Horeb, vous a parlé du milieu du feu, n'allez pas vous pervertir et vous faire une image sculptée représentant quoi que ce soit : figure d'homme ou de femme, figure de quelqu'une des bêtes de la terre, figure de quelqu'un des oiseaux qui volent dans le ciel, figure de quelqu'un des reptiles qui rampent sur le sol, figure de quelqu'un des poissons qui vivent dans les eaux au-dessous de la terre. Quand tu lèveras les yeux vers le ciel, quand tu verras le soleil, la lune, les étoiles et toute l'armée des cieux, ne va pas te laisser entraîner à te prosterner devant eux et à les servir. » Comme vous venez de le lire, ces écrits de l’Ancien Testament sont acceptés par la Loi Dogmatique Chrétienne, alors pourquoi les dirigeants, qui au départ étaient des « évêques », ce terme signifiant « Serviteur », et qui aujourd’hui sont remplacés par ces hommes portant le pourpre cardinalice acceptent-ils cette idolâtrie flagrante ? ….
Étrange cette religion, qui en premier à ces prémices viennent tous de l’Enseignement de Jésus le Nazôréen. Les actions et paroles de Jésus le Nazaréen sont lointaines et celles que cette religion a gardées, sont dirigées de telle façon qu’elles sont loin du sens que voulait dire Jésus le Nazaréen.
Vous mes semblables j’essaie de vous faire comprendre l’histoire de notre foi, celle que nous devons chercher sans cesse. Comme vous le savez le « Dieu » des chrétiens est le même pour eux comme pour toutes les grandes religions de la Terre comme les musulmans ou la religion arabe qui nomme son dieu « AL-ILAH » et les musulmans ALLAH nom donné par Abu-Kasim Muhammad dit « Mahomet ».
Moi, Grandeloupo, suite à une recherche approfondie de la Bible je me suis aperçu que dans l’Univers tout porte un « NOM ». C’est de là que j’ai discerné l’hypocrisie chrétienne. IL nomme le Dieu de l’Univers, de ce nom vulgaire de « DIEU », car par haine contre le judaïsme les dirigeant du christianisme une fois celui-ci constitué, établi, ordonnancé par le Concile de Nicée en l’an 325 par la grâce de l’Empereur Romain Constantin le Grand qui déclara cette religion, le christianisme, religion de l’Empire et d’État, l’Empereur étant le « Pontifex-Maximus » de la dite religion.
Encore un mensonge chrétien avec Pierre le premier « Pape » alors qu’il faudra attendre l’an 752 quand Étienne II se déclara « Pontife » du Saint Siège à Rome quand il reçu des mains de Pépin le Bref les premiers États Pontificaux. Donc pour en revenir au Nom de l’Être Suprême, et pour être juste avec tous ceux qui sont croyants, pas forcément chrétiens, ou ces chrétiens qui, comme moi, remarquèrent toutes ces choses contradictoires, les enseignants nous rabâchant « Faites ce que je vous dis, mais ne faites pas ce que je fais », et aussi par respect pour le judaïsme, je nomme ce Créateur de toutes choses « EL-SHADDAÏ », comme Abraham le nommait, ce nom écrit tel quel, comme une plénitude, sept fois dans la Bible, Genèse XVII : 1, « Lorsqu'Abram eut atteint quatre-vingt-dix-neuf ans, Yahvé lui apparut et lui dit : Je suis EL-SHADDAÏ, marche en ma présence et sois parfait. » Vous mes semblables qui connaissez les écritures je vous ferai constatez que ce « Dieu » ne donne pas à Abraham sont véritable nom, il le fera quelques siècles plus tard avec « Son AMI Moïse », mais ce nom signifie « Dieu au-dessus des montagnes »
Maintenant tous, vous savez pourquoi je change ce nom vulgaire de « Dieu » et pour être juste je remplace le nom de « Yahvé » par celui d’EL-SHADDAÏ tout en respectant ce nom de « Yahvé » qui est un nom très approximatif du véritable nom de l’Être Suprême
Le Pape chrétien de nos jours, disons plus véridiquement de ce jour est « François » comme le Roi de France qui exerçât entre le quinzième et seizième siècle. De son nom véritable Jorge Mario Bergoglio né en l’an 1936 à Buenos Aires en Argentine et nommé « Pape » en l’an 2013, il fut avant Archevêque et Cardinal de Buenos Aires. C’est le premier Pape issu du Continent américain et le premier Pape non européen depuis le syrien Grégoire III
Selon le journal du Vatican les fidèles reviendraient dans les églises depuis que le Pape François est à la gouvernance de ce pays. Je constate alors que Sammaël Prince de la Terre devient de plus en plus puissant.
Dans mes écritures souvent je vous ai dit que vous ne verriez jamais mon visage, et cela est une certitude. Je le fais pour vous mes semblables, pour que vous cherchiez ce Dieu seul et unique par votre cœur, avec sincérité, et ne pas croire en un humain qui est comme vous peut-être plus imparfait que certains
Je vous écrits a fin de vous faire connaître mon Maître qui est ce Dieu seul et unique que je nomme EL-SHADDAÏ. Je suis comme beaucoup baptisé, confirmé par la « tarte dans la tronche », puis communion solennelle. Comme vous pouvez le voir j’ai suivi le parcours de beaucoup. Alors je suis croyant mais en y réfléchissant je me suis rendu compte que je faisais des prières toutes faites devant de la matière qui me répondrai jamais. Alors j’ai cherché un « Dieu » qui soit le véritable « Dieu », celui qui vous juge d’après votre cœur, celui que vous priez avec le cœur, avec des paroles qui viennent en bousculade mais seul vous contez ce que vous avez fait à celui qui est au-dessus de votre tête. Là, par votre cœur vous lui dites tout, simplement qu’il le sait déjà et là il vous juge sur l’honnêteté de votre esprit et de votre cœur. Et quand il vous pardonne vous le savez car au fond de vous vous êtes marqué au fer rouge.
Donc je vous écris un exemple dans les Actes de Jean É.C.A. tome I, p.992. L’histoire se passe à l’arrivé de Jean dans une petite bourgade qui se nomme Milet et toute la populace c’est réuni sur la place pour écouter les discours de Jean sur Jésus le Nazôréen et sur le Royaume des Cieux. Lycomède bourgeois de cette cité va chercher un ami peintre afin que celui-ci fasse un portrait de Jean, Lycomède étant très pieux
« Le premier jour le peintre esquissa les traits de jean et s’en alla. Le lendemain, il ajouta les couleurs et remit ainsi le portrait à Lycomède, qui fut rempli de joie ; celui-ci le suspendit dans sa chambre à coucher et le couronna. C’est ainsi que, plus tard, Jean qui savait la chose lui dit :
« Mon enfant bien aimé, que fais-tu lorsqu’au retour du bain tu vas t’isoler dans ta chambre ? Quand je prie, n’est-ce pas avec toi et les autres frères que je le fais ? Te caches-tu de nous ? »
Tout en parlant et plaisantant ainsi, Jean entra avec Lycomède dans la chambre à coucher : il vit le portrait couronné d’un vieillard et, placé devant le portrait, des lumières et des autels. Jean interpella Lycomède :
« Lycomède, que veut dire cette histoire de portrait ? Lequel de tes dieux se trouve-t-il peint ici ? Je vois en effet que tu vis encore en païen. »
Lycomède lui répondit :
« J’ai pour seul Dieu celui qui m’a réveillé de la mort avec mon épouse. Mais si, après EL-SHADDAÏ, les hommes qui sont nos bienfaiteurs doivent aussi être dieux, c’est toi l’homme peint sur ce portrait, toi que je couronne, embrasse et vénère puisque tu es devenu pour moi un bon guide. »
Jean, qui n’avais jamais vu son visage, lui dit :
Tu te moques de moi, petit enfant ! Est-ce là mon aspect ? Par ton Seigneur, comment me persuaderas-tu que ce portrait me ressemble ? »
Alors, Lycomède lui apporta un miroir. Il s’y regarda, puis considéra le portrait et dit :
« Par la vie du Seigneur Jésus le Nazôréen, ce portrait me ressemble ; ou plutôt non, mon enfant, pas à moi, mais à mon image charnelle. Car, si ce peintre qui a imité mon apparence veut me représenter dans un portrait, il n’y parviendra pas avec ces couleurs qu’il vient de me donner, avec des tablettes de bois, une esquisse, un habillement, un aspect, une figure, une apparence de vieillesse ou de jeunesse, bref avec tout ce qui est visible.
Mais toi Lycomède soit un bon peintre pour moi. Tu possèdes des couleurs que te donne par mon intermédiaire celui qui pour lui-même nous peint tous, Jésus, lui qui connait les figures, traits, aspects, dispositions et formes de nos âmes // Mais ce que tu viens de faire est puéril et imparfait : tu as peint le portrait d’un mort, au lieu du portrait d’un vivant dans une âme vivante. Non à nos yeux, que ces choses restent indignes d’être recherchées : tout cela est risible ! Préoccupons-nous plutôt de celles qui sont vraiment dignes d’être recherchées ! »
Ce passage nous fortifie contre l’idolâtrie car Jean dit bien que vénérer ce qui se trouve sur une image est puéril en effet une allumette et plus rien, plus d’image alors comment faites vous ? Vous ne priez plus !
La religion chrétienne nous apprend que, je le nomme comme eux, Jésus-Christ, viendra sur la Terre dans la dernière génération. Véridiquement le Roi spirituel de la Terre et ses environs est Sammaël et les siens. Jésus le Nazôréen, le Jésus-Christ de la chrétienté, est pour le moment Roi dans les Cieux, mais sûrement pas sur la Terre, la preuve c’est que son Père, EL-SHADDAÏ, lui donna son investiture le jour de sa résurrection, Évangile de Jean XX : 17, « Jésus lui dit : « Ne me touche pas, car je ne suis pas encore monté vers le Père. Mais va trouver mes frères et dis-leur : je monte vers mon Père et votre Père, vers mon Dieu et votre Dieu. » » la suite prouve que Jésus le Nazaréen est monté aux Cieux recevoir son investiture comme Roi dans les Cieux, mais en plus, le Père sacrant son Fils Roi de l’Univers Céleste, lui donne la possibilité de faire ce que son Père EL-SHADDAÏ fera quarante jours plus tard avec ces mêmes Apôtres avec une force beaucoup plus grande, ouvrir leur esprit à l’intelligence, là pour Jésus le Nazôréen est d’ouvrir l’esprit des Apôtres à la compréhension des écritures de l’Ancien Testament ainsi que les paroles de leur Maître sur les Paraboles et les Enseignements.
Remarquez bien ce que j’écris, il n’est pas question « d’Esprit-Saint » mais d’une « ouverture d’esprit à l’intelligence » c’est donner aux Apôtres une force d’intelligence intellectuelle qui se transforme en réflexion, raisonnement, compréhension, et les humains qui les côtoient, s’aperçoivent de leur grande intelligence sur les textes bibliques de l’Ancien Testament ainsi que de l’immense mémoire qu’ils ont des faits et gestes de Jésus le Nazôréen, ainsi que sur ses paroles ; ces Apôtres ont un esprit SAIN propre, limpide, sans tache, cristallin, rien à voir avec l’Esprit-Saint chrétien qui n’ouvre pas le cerveau à l’intelligence, mais est une recherche de sanctification, glorification, vénération.
L’été vient de finir en théorie puisqu’aujourd’hui nous battons des records de chaleur pour la saison automnale en France, à quelques kilomètres de Genève où j’ai mon domicile, ainsi que dans toute l’Europe
Dans le continent américain du nord, particulièrement vers le golfe du Mexique jamais il n’y a eu autant de tornades et de cyclones dans une décennie et ces phénomènes sont dans une spirale d’augmentation annuelle
Au niveau politique et mondiale nous avons l’impression que les gouvernements dirigent leur pays comme un homme ivre, si pour certains d’entre vous ce n’est pas encore flagrant, une chose est certaine nous en sommes aux prémices.
Depuis que je connais EL-SHADDAÏ, ce « Dieu » que j’ai cherché pendant plus de trois décennies et que, grâce à un animal, j’ai eu la certitude de son existence, je peux dire maintenant que voilà plus d’une décennie que je suis, comme je suis, loin d’être parfait, mais de se lever tous les matins en se sentant propre, « sans tache, limpide, cristallin serait mentir », et dire je vais passer une journée à continuer à me purifier, c’est-à-dire de marcher dans ce sentier qui mène à ce Dieu, seul et unique, sachant que sur cette Terre il envoya son propre fils qui fut toute son existence un parangon pour nous, et que maintenant, c’est notre Roi, non investit sur la Terre, non « Dieu », mais Roi dans les Cieux et l’Univers, qui en attendant son Royaume terrestre, que son Père EL-SHADDAÏ doit lui offrir nettoyé du « Péché », ce Père qui est aussi le nôtre, est devenu dans les Cieux notre assesseur, médiateur, paraclet comme le dit l’Apôtre Jean, qui signifie avocat, car quiconque mieux que lui connait la race humaine !....
N’oublions pas, qu’il est le « Fils » unique du Très-Haut, qu’il n’est pas un « Dieu » qu’il ne sera jamais « DIEU », que son Père géniteur est « son Dieu et notre Dieu » , Évangile de Jean XX : 17, cité juste un peu plus haut, qu’il fut façonné dans les entrailles de son Père géniteur par la force d’Esprit, la force cérébrale qui se loge dans un cerveau, cette matière grise tenue compressée dans une boite crânienne, même pour ce Dieu seul et unique inventeur de cette matière mole et compacte, centre névralgique des commandements autonomes comme la respiration, battement du cœur, foie, rate, vessie, mouvements, etc …. Nous humains nous sommes à la ressemblance des êtres vivants de l’invisibles comme les Anges du bien, les Veilleurs, les Anges du mal, les Démons et Serviteurs de Sammaël, et à l’image, au reflet d’EL-SHADDAÏ, donc ce Dieu, je suppose, doit avoir une tête avec une matière grise qui lui permette de réfléchir, raisonner, penser pour élaborer toute la gestion de l’Univers, possédant par là, une intelligence phénoménale, car pour concevoir l’homme, il faut une intelligence incommensurable. J’oublie que Moïse l’a vu de dos et que nous sommes bien son reflet avec une tête celle-ci attachée à un tronc par le cou, sur se tronc avec harmonie il y a les bras, membres supérieurs se terminant par la main, puis en bas du tronc les membres inférieures auxquels sont attachés les pieds instruments de marche et qu’équilibre le tout agencé avec style, goût et symétrie, homogénéité, une merveilleuse machine. Je sais que la matière des êtres célestes est autre chose que le corps humain et que notre Dieu comme son fils sont d’une matière différente de l’humain et des Anges mais tous se ressembles puisque Jacob c’est battu toute la nuit avec un être ressemblant à s’y méprendre à l’homme, qu’Abraham reçu trois représentant d’EL-SHADDAÏ qui mangèrent comme les humains et leur ressemblance était vraiment humaine, Jésus le Nazôréen après sa résurrection, mangea comme un humain avec ses Apôtres et il n’avait pas changé.
Tout cela, pour vous expliquer que les êtres vivants du monde invisible sont comme nous où pour être plus juste nous, à leur ressemblance, donc comme nous ils ont des sentiments et particulièrement l’Être Suprême. La Bible nous décrit tous ces êtres du monde invisible comme l’humain, avec des sentiments, un jugement car comme EL-SHADDAÏ et nous-mêmes ils possèdent un esprit et pour avoir un « esprit » il faut une matière qui possède les mêmes propriétés que la matière crise car c’est par elle que nous avons l’esprit et « l’esprit » qu’est-ce que c’est, si non de la réflexion, raisonnement, penser, mémoire, et par « l’esprit » la parole, le verbe, signe extérieur de la présence de « l’esprit », le même par ce petit instrument, ces petits muscles qui commande cet organe doux comme le miel acérée comme l’épée, aiguisée comme un couteau, responsable de la mort de tant d’humains, qui dévoile à son vis-à-vis, son semblable, le degré d’intelligence
Je vous laisse réfléchir sur ce que je viens d’écrire, la déduction vous la ferez certainement vous-mêmes. Comme écrit plus haut j’ai cherché ce « DIEU » seul, unique, SAIN qui est aussi Saint car je le sanctifie, glorifie, adore, vénère et personne d’autre, même pas son Fils. Mais ce fils je le considère à la place qui est la sienne c’est-à-dire comme un Roi, comme mon Roi et plus justement notre Roi. Jamais, je renie le Fils car l’on ne peut pas aimer l’Un et renier l’Autre. Donc vous mes semblables il est important pour vous de savoir et d’agir en conséquence, glorifier, vénérer, adorer EL-SHADDAÏ notre « DIEU », notre Père créateur, Père géniteur de Jésus le Nazôréen et nous pouvons prier ainsi : « Que ton nom soit sanctifié, toi, EL-SHDDAÏ, notre Père Créateur ….. » car nous ignorons son véritable nom, et terminer notre prière : « // toi Jésus le Nazôréen, notre Roi intercède auprès de ton Père géniteur, qui est notre Père, et qui est ton Dieu et aussi notre Dieu afin qu’il prenne attention à ma prière à mes doléances, soit mon avocat auprès de ton Père afin qu’il me pardonne les fautes, mes péchés, et que toutes les armées des cieux m’aident dans ma quête vers la perfection, afin que je respecte les Lois de mon Dieu et les enseignements que tu nous a laissé tel qu’aimer mon voisin, mon semblable même si je n’ai pas particulièrement des atomes crochus avec ….. »
Ceci est un genre de prière que vous pouvez faire avec vos mots, vos phrases, et puis mêmes si ces phrases ne sont pas bien tournées, EL-SHADDAÏ juge d’après le cœur et il sait ce que vous avez besoin.
Vous me pardonnerez mais je commencerai les prophéties des prophètes et Apôtres la semaine prochaine
J’espère et je souhaite de tout cœur que cette lecture fut un enseignement pour vous. Je reconnais que contrairement à mes semblables je ne vous écris pas des « prières », et pourquoi le ferai-je ? La prière est personnelle, elle vient du cœur et de l’esprit de réflexions, d’intelligence de chacun. Il vaut mieux une prière courte et sincère, plutôt que de réciter une dizaine de fois la même prière toute faite ! … Donc je vous écris l’histoire des cieux pour que de votre plein grès, avec amour, par amour pour ce Dieu seul et unique vous veniez vers lui en connaissant des faits historiques, en sachant ce que vous faite.
Marchez un pas vers Lui, Il en fait dix vers vous, cela je le certifie !
Portez-vous bien et prenez soins de vous et de votre maisonnée !
Salutations cordiales à tous !
Sig : Jean-Paul G. dit « GRANDELOUPO » et « Grand-Loup » pour ceux de ma race
Fête chrétienne des Saints,
Saintes et des Morts
Fête païenne le 31 Octobre
Halloween
Comme chaque année fin du mois d’Octobre et les deux premiers jours du mois de Novembre les fêtes païennes et religieuses se mélangent. Pour ceux qui ne me connaissent pas je vais faire une légère révision.
En effet tous les êtres humains croient en une force invisible supérieur à eux. L’athéisme, et pour cela je suis en accord avec les religions arabes, musulmans compris, n’existe pas, car à l’approche du « Dernier Souffle » tous les humains pensent à un « Dieu », à un Être invisible supérieur à eux, car il y a toujours la peur de l’inconnu.
Alors cet Être Suprême que toute la chrétienté nomme de ce nom vulgaire de « DIEU », moi je lui donne un nom biblique, celui « d’EL-SHADDAÏ », ce nom écrit sept fois dans le Livre de la Genèse de l’Ancien Testament. Chaque fois dans la Bible que je vois écrit ce nom commun de « Dieu », je le change en EL-SHADDAÏ. Uniquement par justice je met ce même nom en remplacement de « Yahvé » dans les écrits hébraïques.
Tout comme je n’écrirai jamais « Jésus-Christ » puisque la pensée première est Jésus Crux, Croix, qui dirige la pensé humaine vers un crucifix, objet d’idolâtrie, donc j’écrirai Jésus le Nazôréen ou Nazaréen.
Pour les Lectrices et Lecteurs je tenais à faire ce petit rappel
La Toussaint et la fête des Morts
Chapitre N° 1
Nous sommes en automne et voici que dans un peu plus de dix jours les fêtes anciennes arrivent, comme cette grande fête d’Halloween, mais aussi la « Toussaint » et le lendemain, la fête des morts.
Alors comment la fête de la « Toussaint » a-t-elle pris naissance ?
Est-ce une fête biblique ?
Existe-t-il un enseignement biblique qui nous oblige à vénérer des « Saints » ?
D’après le dogme catholique cette fête se fonde sur des textes bibliques tels que l’Apocalypse de Jean chapitre VII : 2-14, la première lettre de ce Jean dans le chapitre III, et l’évangile de Matthieu au chapitre V : 1-12.
Cette année je vous laisse chercher et lire ces versets bibliques et, si jamais vous veniez à trouver quelque chose qui se rapporte aux fêtes de l’Halloween, Toussaint, et morts, cela prouverait que j’aurai très mal lu et que je ne mérite pas votre attention, et de cela je ne le veux pas !
L’Apôtre Pierre a quitté Jérusalem laissant la ville entre les mains de Jean et de Jacques d’Alphée frère de Matthieu nommé aussi Lévi, le percepteur d’impôts, souvenez-vous …
L’Apôtre Pierre fut Évêque de la ville d’Antioche et c’est Évode qui le remplaçât après son départ vers l’an 60 de l’EC pour Rome.
Le mot « évêque » est la transcription française du mot latin episcopus, lui-même adapté du grec episkopos qui veut dire « surveillant », c'est-à-dire modérateur, tuteur, responsable d'une organisation.
Avant le christianisme, le terme « évêque » était utilisé pour désigner toutes sortes d'administrateurs dans le domaine civil, financier, militaire, judiciaire.
Le vocable « Évêque » à son origine désignait dans la Secte des Nazôréens, Nazaréniens, Nazaréens, Galiléens, Messianistes, de Jésus de Nazareth, un « surveillant » un « presbytre qui veut dire Ancien » un « parangon » un « enseignant ».
L’évêque était le « Pasteur », le « Berger » celui qui prenait attention à son troupeau et qui agrandissait celui-ci.
Le terme « Évêque » veut bien dire ce qu’il veut dire !
Mais je reviendrais sur ces noms « Pompeux du Christianisme », tel que « Évêque »
Le premier siècle est terminé, le second commence. Beaucoup sont morts dans les persécutions. En effet cette « Secte de Jésus, la Voix » dérangeait les politiques, mais surtout les « Grands Prêtres » des Temples païens qui voyaient un certains nombres de leurs fidèles déserter les lieux Saints, et la manne sonnante diminuait.
L’empereur Marc Aurèle, 121-180, avant de décréter la persécution contre les « Nazôréens » avait envoyé un courrier à Polycarpe de Smyrne.
Celui-ci lui répondit en ces termes :
« Je ne suis pas de ceux que vous nommez Nazôréens…, Nazaréens …, mais je suis « CHRÉTIEN » comme tous ceux qui suivent l’enseignement de Jésus le Nazôréen cet oint d’EL-SHADDAÏ son Père, que beaucoup appellent « Jésus » »….
Nous sommes au milieu du IIème siècle c’est-à-dire en 150, 155 de l’ère commune (EC) -- ( en effet il faut maintenant écrire – EC- plutôt que J-C car cette dernière n’est pas laïque, mais ce réfère à une religion. – ceci est de moi : Où va la connerie intellectuelle ?) –
Dans ce temps, Antioche était une ville riche et cosmopolite dans laquelle habitaient des juifs hellénisés et des païens. La ville avait donc connu des influences monothéistes. Évode, successeur de Pierre, l’Apôtre, celui-ci étant partie à Rome, était l’évêque de cette cité.
Évode portait le surnom de « chrétien » et c’est avec lui qu’est né le terme « Chrétien » pour les païens de langue grecque qui ont reçu le baptême. Nous sommes vers l’an 67, 68 et ce nom « chrétien » tombera dans l’oubli. »
Selon le Nouveau Testament, le mouvement de Jésus naît dans la mouvance de Jean le Baptiste dans les années 30 dans la région de la Palestine. Le nazoréisme puise sa source en Judée et en Galilée dans deux groupes de disciples de Jésus présents à Jérusalem avant la destruction du Temple en 70, d'une part les « jacobiens », communauté liée à la figure de Jacques le Juste que l’on nommera « les Hébreux » et, d'autre part, les « pétriniens », qui se réfèrent à la figure de Pierre que l’on appellera « les Hellénistes ».
François Blanchetière explique en 2007 dans « Reconstruire les origines chrétiennes : le courant « Nazaréen » » Bulletin du Centre de recherche français à Jérusalem, no 18, 2007 :
« Le concept de nazaréen a manifestement connu une évolution et il paraît anachronique d’utiliser les textes d’Eusèbe ou d’Épiphane qui datent du ive siècle pour parler des disciples de la communauté primitive. »
Toujours selon François Blanchetière écrit dans Enquête sur les racines juives du mouvement chrétien, p. 150, puis p.97 :
« PAÏEN est un terme qui n'apparaît dans le sens qui lui est resté aujourd'hui qu'au IVème siècle, il est donc anachronique pour parler des origines du mouvement chrétien ; c'est de plus un terme typiquement chrétien. Il conduit en conséquence et subrepticement à adopter un point de vue christiano-centrique, à la différence du terme plus objectif et neutre de polythéiste. »
« Alors que Justin parle des « mémoires des Apôtres », Papias, vers l’an 125 de l’EC, s'il faut en croire Eusèbe de Césarée qui, apparemment, le tenait en assez piètre estime pour ses vues millénaristes, Histoire ecclésiastique, 3, 39, et Irénée de Lyon, Contre les hérésies, 3, 1, 1, parlent de Matthieu ayant rédigé un évangile en araméen pour les « Hébreux » alors que Pierre et Paul annonçaient la bonne nouvelle, evangelium, à Rome. »
Simon Claude Mimouni, dans Les Chrétiens d'origine juive dans l'Antiquité, p. 127, écrit : « En effet, qu'il s'avère difficile de dissocier les Nazôréens des IVème et Vème siècle de ceux du Ier siècle, d'autant que l'appellation est clairement attestée par Tertullien au début du IIIème siècle, Contre Marcion, IV, 8.
Épiphane précise que la seule différence des Nazôréens avec les Juifs est « qu'ils ne s'accordent pas avec les juifs à cause de leur foi pour Jésus » et la seule différence avec les chrétiens est « qu'ils ne partagent pas l'avis des chrétiens par le fait qu'ils sont encore entravés par la Loi, la Torah, la circoncision, le Chabbat ou Sabbat et le reste ».
Vingt années viennent de s’écouler depuis la mort de Jésus le Nazaréen par la torture romaine de la crucifixion. Les Apôtres se sont dispersés loin de Jérusalem et des dissensions importantes virent le jour ainsi que les courants de pensées sur les enseignements de Jésus le Nazôréens.
Le conflit d’Antioche en fut une preuve, confirmant l’imperfection des Apôtres et des Disciples de la première heure, qui eurent le « Maître » comme compagnon.
Le conflit d'Antioche et la réunion de Jérusalem, que l'on date des années 48-52, peuvent être considérés comme les deux premiers épisodes connus de la longue saga de l'opposition, qui s'est développée à l'intérieur même du mouvement des disciples de Jésus le Nazôréen entre deux tendances : l'une maximalisant la portée de l'observance de la Torah, avec Jacques, et l’autre qui s’attachait plus aux paroles de Jésus comme Pierre, qu’à la Loi. Le conflit de Jérusalem ou d’Antioche vient sur le sujet épineux de la circoncision et pourtant d’une simplicité : Évangile de Thomas Logion 53 : « Ses disciples lui dirent : « La circoncision est-elle utile ou non ? » Il leur dit : « Si elle était utile, leur père les engendrerait circoncis de leur mère, mais la véritable circoncision en esprit est tout à fait utile. ». Cet Évangile est considéré comme apocryphe, quel dommage, car les paroles de Jésus le Nazaréen sont bien là et dans le premier évangile de Matthieu écrit en logia de Jésus, je pense que l’écriture aurait été la même.
La circoncision du cœur souvent EL-SHADDAÏ y revient ! …
Jérémie IV : 4
Circoncisez-vous pour EL-SHADDAÏ ôtez le prépuce de votre cœur, gens de Juda et habitants de Jérusalem, sinon ma colère jaillira comme un feu, elle brûlera sans personne pour éteindre, à cause de la méchanceté de vos actions.
Lévitique XXVI : 40-42
« Ils confesseront alors leurs fautes et celles de leurs pères, fautes commises par infidélité envers moi, mieux, par opposition contre moi.
Moi aussi je m'opposerai à eux et je les mènerai au pays de leurs ennemis. Alors leur cœur incirconcis s'humiliera, alors ils expieront leurs fautes.
Je me rappellerai mon alliance avec Jacob ainsi que mon alliance avec Isaac et mon alliance avec Abraham, je me souviendrai du pays. »
Dans les Actes des Apôtres, à la suite de cette réunion, une lettre écrite par les « colonnes » – c'est-à-dire Jacques, Pierre et Jean – et les anciens et de la communauté de Jérusalem est envoyée aux communautés d'Antioche, de Syrie et de Cilicie et probablement portée par ceux qu'une épitre de Paul appelle les « envoyés, apostoloi, apôtres, » de Jacques. Il y est demandé aux destinataires d'observer le compromis défini par l’Apôtre Jacques, Évêque de Jérusalem à l’époque. Cette lettre contient probablement les quatre clauses que la tradition chrétienne appelle « Décrets Apostoliques », et dont voici l'une des versions :
Les Actes des Apôtres XV : 27-29
« Nous vous avons donc envoyé Jude et Silas, qui vous transmettront de vive voix le même message.
L'Esprit Saint et nous-mêmes avons décidé de ne pas vous imposer d'autres charges que celles-ci, qui sont indispensables : vous abstenir des viandes immolées aux idoles, du sang, des chairs étouffées et des unions illégitimes. Vous ferez bien de vous en garder. Adieu. »
Si le culte des « Saints » commença vers le milieu du IIème siècle, Saül de Tarse, par ses écrits donne l’impression qu’il encourage ce culte, simplement que ce Disciple deux cents ans avant ignorait ce culte de l’adoration des reliques et des statues, donc je suis convaincu que ce sont des copistes peu scrupuleux ou trop enthousiastes, qui, leur conscience ne les dérangeant pas, tournèrent à leur façon quelques mots, phrases, paragraphes de ces écrits paulinien.
Ignace d’Antioche, successeur d’Évode en 69, employa ce terme de « chrétien » dans une lettre aux Magnésiens qu’il enverra vers les années 98,99 de l’EC, dans laquelle il ira jusqu'à employer le terme de « christianisme » par deux fois. Mais ce terme de « chrétien » comme la première fois tomba en désuétude.
C’est à Ignace que l’on doit le mot grec « kajolik’ov », « catholicos » pour définir l’Église de Jésus-Christ, Encyclopédie Universalis.
« Là où est le Christ, là est l’Église catholique », écrit Ignace d’Antioche qui le premier veut expliquer par ce mot l’universalité du salut
Puis Polycarpe dans un courrier à Marc Aurèle empereur romain, emploiera ce terme de « Chrétien ». Mais il faudra attendre encore 100 à 150 ans après lui pour que ce terme de « Chrétien » soit généralisé et entre dans l’écriture et le dialecte populaire. » (Soit entre 250 et 350 de J-C.)
Remarque : « Le mot « chrétien » n'est pas le mot usité habituellement par le Nouveau Testament pour désigner les disciples de Jésus. Ceux-ci s'appellent, ou sont appelés, la « Voie », « l'Église », « les Églises » ou les « Nazaréens », du nom de Nazareth, la ville d'origine de Jésus. »
La secte de « Jésus de Nazareth » ou plus couramment des « Nazôréens, Nazaréniens, Nazaréens » que l’on nommera christianisme se détériore. En effet des humains se sont aperçut que l’on pouvait devenir important et riche. On commence à établir une hiérarchie pyramidale. Il y aura conflit entre le titre Évêque et Presbytre et le premier l’emportera. L’Évêque devient important, ce n’est plus un « Pasteur », c’est un « Noble » un « Roi »
La base des croyants se rattachent à des souvenirs, alors ils vont à la quête des reliques, ossements, vêtements, objets, etc ..., des Apôtres et Disciples de la première heure et commencent à les vénérer.
Nous sommes maintenant à la fin du IIème siècle. Tous ceux qui ont connu les premiers Nazôréens, les disciples des Disciples de Jésus, sont tous décédés ou à un âge avancé. Les enseignements de Jésus de Nazareth sont bien loin. L’enseignement des humains commence à faire office de paroles sacrées.
La fête de la « Toussaint » n’existe pas encore.
L’évêque des prémices, c’est-à-dire l’enseignant, le gardien, le surveillant du « troupeau » n’est plus, maintenant c’est l’Évêque, le Chef, le Noble, le Roi, celui qui s’enrichie avec l’argent des pauvres. Le « Diacre » n’est plus le serviteur de ses semblables, c’est le serviteur de l’Évêque.
On parle maintenant de l’Évêque de Rome, Jérusalem, Éphèse, Constantinople, Laodicée, Antioche, Corinthe, etc, le Pape n’existe pas, mais l’Évêque Intendant, celui qui fut choisi par tous les autres Évêques des Églises de Rome et de sa banlieue, commence à prendre une certaine importance. Comme écrit ci-dessus au départ il fut choisi par la communauté de Rome, puis c’est élargi avec les villes avoisinantes, puis les provinces, pour devenir l’Évêque représentant l’Occident.
A Constantinople anciennement Byzance les « Assemblées » font comme à Rome et selon l’Empereur Romain qui est le Pontifex-Maximus de la nouvelle religion, le christianisme, le siège pontifical sera soit à Constantinople soit à Rome. Les Évêques Intendants des deux villes citées se feront une guerre sans merci où toute la sournoiserie intellectuelle et spirituelle n’aura de limite, même entre Évêque pour posséder le pouvoir religieux, juste en-dessous de l’Empereur. Historiquement Constantinople était nommé la « Nouvelle Rome »
La majorité des Empereurs Romains qui gouvernèrent l’empire pendant huit siècles étaient plus Orientaux qu’Occidentaux.
L’histoire est certaine le « PAPE » chrétien n’existe pas avant le milieu du huitième siècle. Le « Pape » de la chrétienté est le « Pontifex Maximus » c’est-à-dire l’Empereur de l’empire Romain.
La chrétienté démarre avec un énorme mensonge, l’Apôtre Pierre étant le troisième ou quatrième Évêque de cette ville et encore à l’ère de Pierre l’Évêque unique de Rome n’existe pas, car à Rome, il y a plusieurs « Assemblées », voilà pourquoi Pierre et le Disciple Saül de Tarse dit Paul se retrouvèrent à Rome dans les mêmes années tous deux étant Évêque d’une Église dans cette ville.
Nous sommes maintenant au IVème siècle. Constantin le Grand pour être Empereur de tout l’empire doit battre Maxence. Ce dernier tient la voie principale qui mène à Rome au Pont de Milvius. Le combat est inégal, car il est de un pour dix, soit un soldat de Constantin pour dix soldats de Maxence. Nous sommes le 28 Octobre 312. Constantin voit dans le ciel des nuages de haute altitude qui forme un chrisme. Constantin prend cela pour un signe « Divin » et jure qu’il se fera « chrétien » s’il gagne la bataille. Il fait mettre une croix en rouge sang sur tous les boucliers de ses soldats et part au combat. Il gagnera cette bataille et deviendra Empereur de l’empire Romain. Tenant sa promesse le « Christianisme » deviendra religion de l’empire, et les persécutions s’inversent.
Il n’y a toujours pas de fête de la « Toussaint »
Je reviendrais en détail sur tous ces sujets.
Tous ces Évêques sont déclarés « Saints » à leur mort.
La détérioration spirituelle de la secte des Nazôréens est grande surtout que depuis un siècle les fidèles sont nommés « chrétiens ». Plus de deux mille « Lettres et Épîtres » circulent dans tout le Bassin Méditerranéen. Les quatre Évangiles avec certaines Lettres et Épîtres des Apôtres Pierre, Jean et du Disciple Saül de Tarse, nommé Paul, ainsi que les Livres d’Hénoch, les Jubilés, les Antiquités Bibliques, sont réunies en « Codex » auquel est ajouté à la fin certaines Lettres d’Ignace d’Antioche, d’Hermas le Pasteur, de Polycarpe de Smyrne le tout formant le premier « Canon Biblique ».
En 325 au Concile de Nicée, Constantin le Grand avec son ami Eusèbe de Césarée, choisiront arbitrairement sur tous les « Écrits » ceux qui formeront le nouveau « Canon Biblique ».
Il y a une forte dissension entre les judéo-chrétiens et les hellénistes-chrétiens, surtout sur tous ces humains que l’on déclare « SAINT »
L'Ancien Testament utilise le terme hébreu « qodesh » qui signifie initialement « séparé » et par extension « pur », exempt de fautes, de taches. Le mot grec hagios reprend ce sens dans les écrits du Nouveau Testament.[]
« La sainteté appartient à Dieu », tel était le message inscrit sur la plaque d'or que portait le Grand Prêtre qui officiait dans le Temple de Jérusalem. Toutes notions primaires de sainteté se rattache à Dieu, qui par son action peut rendre sain en séparant, purifiant l'homme, le peuple ou le lieu.
Dans la nouvelle chrétienté cette action a été très vite déformée. Tout au long de l’Ancien Testament, on retrouve, comme dans le judaïsme, l’affirmation que seul EL-SHADDAÏ Dieu est Saint.
Par contre dans le « christianisme », cette Loi juive fut vite manipulée et en voilà la preuve flagrante. Il faut reconnaître qu’il y a des humains qui ont de l’imagination.
« De manière concise, la « sainteté » s'exprime comme le désir et la vocation de tout homme à rejoindre le Christ dans un état que l'on nomme « communion ». Par le baptême et l'adoption filiale qui s'ensuit, les chrétiens sont associés et appelés à cette sainteté, qui est une vocation universelle. Le « saint » est donc la personne qui parvient à cette proximité.
L’apôtre, je dirai plus exactement le Disciple Paul parle des saints pour désigner les chrétiens vivant dans telle ou telle ville. »
Vous constaterez par vous-même que le Disciple Paul, Saül de Tarse, considèrent des humains comme vous et moi, « saint » parce qu’ils sont chrétiens, donc nous sommes bien dans une action de vénération et non dans une pureté.
Et, voici la contradiction
« C’est, selon l'Évangile, une action impossible à l'être humain mais pas à Dieu. »
Là aussi, on parle de sainteté, mais pour EL-SHADDAÏ, nous pouvons écrire les deux orthographes car Il est « Sain » donc « Saint ».
Par la suite des écritures, je reviendrai sur les « Saints »
Le « Christianisme » étant devenu officiellement religion d’État en 381 au Concile de Constantinople sous l’Empereur Romain Théodose 1er --- 347-395 --- l’Église grecque décide de fêter les « Saints », tous les chrétiens martyrs, mort pour leur foi en les déclarants « Saints », après les Apôtres et les premiers Disciples de Disciples. Nous sommes à la fin du IVème siècle.
Petite anecdote
« « En 394, l’Empereur Romain Théodose 1er fut l’auteur du décret interdisant les Jeux olympiques accusés de diffuser le paganisme --- Les jeux ne seront rétablis que 1502 ans plus tard en Grèce ---. » »
Cette fête de la « Toussaint » a longtemps eu lieu après les Pâques ou suite à la Pentecôte. Au Vème siècle, elle est célébrée en Syrie le vendredi de Pâques[]. A Rome, une fête en l'honneur des saints et martyrs était célébrée le dimanche après la Pentecôte[].
Revenons à des faits authentiques, confirmés par les historiens !
Voici d'abord l'histoire de la consécration du Panthéon Temple des « Dieux » romains
Les Romains devenus maîtres de tout le Bassin Méditerranéen, de l’Europe Occidental et d’une partie de l’Asie, avaient construit un Temple énorme dans Rome, au milieu duquel ils avaient placé leur idole Mithra, Dieu de la lumière, et tout à l'entour étaient les idoles de toutes les provinces conquises la face tournée vers l'idole des Romains dont la naissance était fêté le 25 décembre.
Mais bientôt ce Temple ne suffit plus aux Romains, qui construisirent pour chaque Dieu un Temple particulier. Comme tous les Dieux ne pouvaient pas avoir un Temple à eux dans la ville, les Romains, pour mieux étaler leur foi, construisirent en l'honneur de tous les Dieux un Temple plus admirable encore que tous les autres, qu’ils nommèrent « Panthéon ».
Pour tromper le peuple, les prêtres des petits temples contèrent que la déesse Cybèle, qui était la mère de tous les dieux, leur était apparue. Cette déesse leur aurait dit que, si Rome voulait remporter la victoire sur toutes les nations, on eût à élever, à tous les dieux, ses fils, un Temple magnifique. Ce Temple fut donc construit sur une base circulaire, pour symboliser l'éternité des dieux.
Le Panthéon de Rome fut un édifice religieux antique situé sur le Champ de Mars, construit en -27 de J-C. au début du règne d’Auguste ( -63-+14 de J-C.) sur l'ordre d'Agrippa. Endommagé par plusieurs incendies, le Temple fut entièrement reconstruit en 123-125 d’EC sous Hadrien. Le plan du nouvel édifice est exceptionnel, sans précédent dans l’architecture romaine.
Pour vous expliquer l’importance de ce Temple voici ce qu’un écrivain Français contemporain dit :
« « J’étais remonté pour la structure même de l’édifice aux temps primitifs et fabuleux de Rome, aux temples ronds de l’Étrurie antique. J’avais voulu que ce sanctuaire de tous les Dieux reproduisît la forme du globe terrestre et de la sphère stellaire, du globe où se renferment toutes les semences du feu éternel, de la sphère creuse qui contient tout[]. C’était aussi la forme de ces huttes ancestrales où la fumée des plus anciens foyers humains s’échappait par un orifice situé au faîte. La coupole, construite d’une lave dure et légère, qui semblait participer encore au mouvement ascendant des flammes, communiquait avec le ciel par un grand trou alternativement noir et bleu. Ce temple ouvert et secret était conçu comme un cadran solaire. Les heures tournaient en rond sur ces caissons soigneusement polis par les artisans grecs ; le disque du jour y resterait suspendu comme un bouclier d’or ; la pluie formerait sur le pavement une flaque pure ; la prière s’échapperait comme une fumée vers ce vide où nous mettons les dieux. » » --- Marguerite Yourcenar dans les Mémoires d’Hadrien ---
Suite aux persécutions contre les païens sous Théodose 1er, le Panthéon fut fermé et tomba à l’abandon.
Pour cette semaine l’écriture est finie. Je souhaite que cette lecture vous instruise en histoire religieuse, mais surtout vous amène vers ce Dieu seul et unique par votre cœur et votre esprit. Je pense que pour aimer un Dieu il faut connaître son histoire.
Portez-vous bien vous qui allez devenir les Enfants d’EL-SHADDAÏ si vous le désirez !
Salutations cordiales à tous !
Sig : JP.G. dit « GRANDELOUPO »
Conscience, Esprit Sain
Chapitre N° 8
Femme et Conscience
Vous mes semblables, voilà pour certains plus de huit années que vous me lisez. Malgré la maladie j’ai toujours essayé de vous écrire au moins une fois par semaine ce qui n’a pas toujours été une chose facile, mais qu’est-ce-que je suis content de cela !
Un fait réel et étrange, il y a bien longtemps que cette maladie nosocomiale aurait due me faire quitter le monde des vivants, mais je suis toujours là, pour le plus grand bonheur de mon épouse et, même si mon toubib ne comprend pas, il est content et voudrait bien que cela continue, sachant très bien que plus les années avancent, plus la douleur est vive la « morphine » faisant de moins en moins effet.
Je continue à lire ce livre Bible, Ancien et Nouveau Testament afin de vous mettre sur le sentier qui mène vers ce Dieu seul et unique que je nomme « EL-SHADDAÏ », mais cela vous l’aviez remarqué
Dans notre vie de modernisme où la religion perd de son emprise, remplacée par les jeux vidéo, la boisson alcoolisée, la drogue et le sexe pour notre jeunesse, les parents abandonnant leurs rôle primordial d’éducateur, nous nous trouvons, nous qui voulons volontairement être les enfants d’EL-SHADDAÏ, comme à l’ère d’Abraham.
En effet si nous regardons autour de nous, nous ne trouvons qu’animosité, jalousie, convoitise, envieux de son prochain.
Vous, Lecteurs, vous devez impérativement tenir votre rôle d’homme, c’est-à-dire subvenir aux biens de la maison et de votre femme, offrir une éducation digne des lois d’El-Shaddaï et des enseignements de Jésus le Nazaréen à vos enfants, la fessé juste redresse l’enfant. Je sais très bien qu’aujourd’hui le salaire de l’homme ne suffit plus à faire vivre la famille, et que son épouse doit aussi travailler, mais si la famille comporte deux ou trois enfants, l’épouse peut travailler à mi-temps et tenir son rôle de femme.
La télévision a remplacé les discussions qu’il y avait entre parents et enfants en faisant le malheur de tous, le père ne connaissant plus sa progéniture et se s’apercevant plus des difficultés que ce dernier pouvait rencontrer dans la vie courante de sa jeunesse. La mère entrant de son travail plus ou moins fatiguée, pensant surtout à sa propre personne, à son aspect extérieur, cette beauté superficielle, néglige se qui faisait sa force, sa gloire, le respect de ses semblables, l’entretien de sa maisonnée.
Ce n’est pas un déshonneur de tenir son rôle de femme, bien au contraire c’est un honneur, une gloire, une couronne d’or sur la tête.
Vous, Lectrices, vous devez garder votre rôle de femme, et ce n’est pas un déshonneur d’être mère au foyer, au contraire, car si vous vivez dans les Lois d’El-Shaddaï et les enseignements de Jésus le Nazaréen, votre ménage sera riche, une femme bonne ménagère et cuisinière c’est de l’or dans un foyer.
En général c’est la femme qui tient la bourse du foyer. Par plusieurs exemples que j’ai autour de moi, ces personnes n’ayant pas mes convictions religieuses, donc je fais abstraction sur la croyance en El-Shaddaï, entre deux foyers la différence de budget est énorme. En effet c’est le foyer où la rentré d’argent est le moindre qui d’extérieur parait le plus aisé, pourquoi ? La maman ne travaille plus depuis l’accouchement de son deuxième enfant. Comme elle me le dit, Jean-Paul je vis mieux maintenant que quand je travaillais et les économies que nous faisons, sont principalement sur la nourriture, je n’ai plus l’essence du transport pour le travail, ni la cantine, enfin tout calculé, je suis bénéficiaire de rester à la maison, et crois-moi j’ai toujours quelque chose à faire, je ne m’ennuie pas.
A vous femme, ayez du respect pour votre époux, car si, il est l’homme de la maison, c’est vous indirectement qui la commandée.
Voici ce que dit la Bible, Siracide ou Ecclésiastiques XXVI : 1-4, 13-16
« Heureux l'époux dont la femme est excellente, le nombre de ses jours sera doublé
Une femme parfaite est la joie de son mari, il passera dans la paix toutes les années de sa vie.
Une femme excellente est une part de choix, attribuée à ceux qui craignent le Seigneur riches ou pauvres, leur cœur est en liesse, ils montrent toujours un visage joyeux. »
« La grâce d'une épouse fait la joie de son mari et sa science est pour lui une force.
Une femme silencieuse est un don du Seigneur, celle qui est bien élevée est sans prix.
Une femme pudique est une double grâce, celle qui est chaste est d'une valeur inestimable.
Comme le soleil levant sur les montagnes du Seigneur, ainsi le charme d'une jolie femme dans une maison bien tenue. »
Voilà quarante-trois ans que je suis avec mon épouse, et elle m’a donné quatre enfants. Comme tout couple nous avons eu des hauts et des bas, mais nous avons traversé toutes ces années ensembles et quant à quarante-sept ans j’ai été paralysé elle est restée auprès de moi.
Elle me disait qu’on ne vit pas avec le dessous de la ceinture mais avec le dessus.
De la part de nos relations ou de nos amis elle ne reçoit que des éloges, et elle est fière de sa maison. Je suis bien obligé de reconnaître que sans connaître les Lois d’El-Shaddaï et les enseignements de Jésus le Nazaréen elle a toujours tenue son rôle de femme en tout et pour elle cela n’a jamais été un déshonneur mais un honneur.
Proverbes XXXI : 10-12, 18-23, 25-29
« Une maîtresse femme, qui la trouvera ? Elle a bien plus de prix que les perles!
En elle se confie le cœur de son mari, il ne manque pas d'en tirer profit
Elle fait son bonheur et non son malheur, tous les jours de sa vie.
Elle sait que ses affaires vont bien, de la nuit, sa lampe ne s'éteint
Elle met la main à la quenouille, ses doigts prennent le fuseau.
Elle étend les mains vers le pauvre, elle tend les bras aux malheureux.
Elle ne redoute pas la neige pour sa maison, car toute sa maisonnée porte double vêtement.
Elle se fait des couvertures, de lin et de pourpre est son vêtement.
Aux portes de la ville, son mari est connu, il siège parmi les anciens du pays.
Avec sagesse elle ouvre la bouche, sur sa langue : une doctrine de piété.
De sa maisonnée, elle surveille le va-et-vient, elle ne mange pas le pain de l'oisiveté.
Ses fils se lèvent pour la proclamer bienheureuse, son mari, pour faire son éloge :
« Nombre de femmes ont accompli des exploits, mais toi, tu les surpasses toutes! » »
Quand elle entend une de ces filles parler à son mari, elle n’est plus étonnée si elle n’est pas heureuse.
Pensez bien à ce que je vais écrire. La femme doit soumission à son mari, et celui-ci lui doit le nécessaire pour vivre. La femme n’est pas l’égal de l’homme et jamais n’y sera mais c’est son complément. La femme ne peut vivre sans l’homme et l’homme ne peut vivre sans la femme, ils ne font qu’un car l’un a besoin de l’autre.
Le verbe étant l’homme, comme dans une phrase il faut un complément, pas de complément pas de phrase, mais aussi pas de verbe, pas de phrase.
Combien de nos semblables qui ne vont plus à l’Église, ne croyant plus à ses enseignements vont se marier dans ce Temple pour faire comme tout le monde. C’est pour la même raison qu’ils font marquer leur nourrisson au front du signe idolâtre de la croix par le baptême, qui, aujourd’hui n’a plus aucune signification, les Enseignements de Jésus le Nazaréen étant depuis longtemps dans les oubliettes.
Nous humains imparfaits nous nous trouvons dans cette jungle où l’impiété, l’idolâtrie, le sexe, la convoitise, l’argent règnent en maître. Les hommes ne sont plus des « hommes », et les femmes ne tiennent plus leur rôle de femme, d’épouse, arrivée à l’âge de la quarantaine elles quittent leur foyer en ne pensant qu’avec le dessous de la ceinture, voulant être l’égale de l’homme alors qu’elles savent dans leur font intérieure que jamais elles n’y arriveront, mais elles ont quand même abandonnés enfants et mari pour leur plaisir charnel et arrivée à soixante ans elles se retrouvent seules.
Ce que je viens d’écrire est faux ?
Malheureusement la vérité est là, et cela va continuer jusqu’au jour ou l’enfant ne sera plus qui est son père !
Et nous, enfants d’EL-SHADDAÏ nous devons nous battre pour rester intègre. Nous ne pouvons et ne devons représenter notre Dieu par de la matière, car comme la chrétienté, nous deviendrions idolâtres.
Voilà maintenant dix années que j’ai choisi ce Dieu invisible, que je nomme par ce nom que j’ai trouvé dans le Bible, comme Abraham le nommait, « Dieu au-dessus des Montagnes » soit EL pour « Dieu » et « SHADDAÏ » traduction au-dessus des Montagnes, son Nom.
Oui ! Il faut beaucoup de force !
Il n’est pas facile pour nous humains d’adorer un Dieu que l’on ne peut représenter, alors que sa représentation est partout, devant nos yeux, exemple quand nous regardons notre semblable dans la rue, c’est l’image de notre Dieux, quand nous regardons le ciel c’est sa force et sa puissance, et quand nous admirons la nature dans son ensemble nous voyons l’esprit et l’intelligence de notre Dieu, donc comme je l’ai écrit quelques lignes plus haut, pourquoi faire une image taillée puisqu’il est partout et qu’il est tout.
Nous humains qui voulons être ses enfants, il nous suffit de l’adorer sincèrement par l’esprit, notre esprit de réflexion, de raisonnement, et notre cœur pour le remercier de tout l’amour qu’il nous donne.
Si déjà nous avons le manger, le vêtement et un toit pour nous protéger des variations du ciel, nous possédons l’essentiel, et par notre travail nous pouvons avoir le surplus qui ne doit pas nous éloigner du Dieu seul et unique, notre Dieu SHADDAÏ.
Ce n’est pas parce que je prie EL-SHADDAÏ en premier, que je renie son Fils Jésus le Nazaréen ! Sans ce dernier nous n’aurions aucune espérance, cette espérance de vie éternelle sur cette magnifique Terre.
Simplement je suis son enseignement quand il nous demande de prier son Père en premier et non lui : « Notre Père qui est au Cieux, que ton NOM soit … »
Il ne sert à rien de réciter trois « Notre Père », en commettant l’idolâtrie devant un morceau de bois en forme de croix, et ne pas comprendre ce que l’on récite !
La prière doit venir du cœur, et de l’esprit par des mots sincères, les notre, avec notre façon de parler, et non des prières toutes faites que vous récitons machinalement, où le cœur et l’esprit sont absent.
Vous, Lectrices et Lecteurs, mes semblables, soyez le Nouveau Peuple de ce Dieu seul et unique, soyez, soyons ses enfants et considérons son Fils Jésus le Nazaréen, non comme un « Dieu », mais comme notre Roi, lui notre médiateur, et nous lui devons allégeance et respect en le priant comme il doit être, soumis à son Père, en faisant les volontés de celui-ci. Mais jamais il n’est l’égal de son Père qui reste notre seul Dieu.
Comme je le dis « l’Esprit-Saint » chrétien n’existe pas, encore moins quand on le considère comme une personne, et après qu’on le vénère comme un « Dieu ».
L’humain aujourd’hui ne croit plus en rien, tout du moins dans notre pays, la France, car nous sommes considérés comme un pays laïc. Les pays dit catholique comme l’Italie, l’Espagne, le Portugal sont aussi touchés par ce phénomène de perte de foi, sauf peut-être les pays d’Amérique du Sud. Les confessions protestantes anglo-saxonnes constatent aussi ce phénomène par la stagnation de leurs églises.
Donc au niveau planétaire l’humain ne croit plus en la spiritualité de ces religions mondiales mais il a trouvé de nouveaux dieux comme l’argent, le sexe, surtout le contre nature comme à l’époque de Sodome et Gomorrhe. Je suis un menteur ? Sûrement pas, il suffit de regarder tous ces jeux télévisés et vous ne faite que constater.
Apocalypse XVIII : 4-8
« Puis j'entendis une autre voix qui disait, du ciel :
« Sortez, ô mon peuple, quittez-la, de peur que, solidaires de ses fautes, vous n'ayez à pâtir de ses plaies !
Car ses péchés se sont amoncelés jusqu'au ciel, et EL-SHADDAÏ s'est souvenu de ses iniquités.
Payez-la de sa propre monnaie ! Rendez-lui au double de ses forfaits ! Dans la coupe de ses mixtures, mélangez une double dose !
|
A la mesure de son faste et de son luxe, donnez-lui tourments et malheurs ! Je trône en reine, se dit-elle, et je ne suis pas veuve, et jamais je ne verrai le deuil... Voilà pourquoi, en un seul jour, des plaies vont fondre sur elle : peste, deuil et famine ; elle sera consumée par le feu. Car il est puissant, le Seigneur EL-SHADDAÏ qui l'a condamnée. » » |
Nous humains de ce XXIème siècle, soyons les « Enfants d’EL-SHADDAÏ », rejoignions notre Père Céleste en sortant de tout ce milieu spirituel idolâtre, quel qu’il soit, même protestant, qui en premier ne reconnaît pas le virginité de la mère de Jésus le Nazaréen, ne croit pas aux « Saints », n’a pas de statuts ni de crucifix dans ces Temples, mais ce met en adoration devant la croix, car dans tous ces Temples il y a une grande croix de bois devant laquelle les fidèles prient.
Alors sortons, sortez de tout ce milieu, et priez avec votre cœur ce Dieu seul et unique, avec une conscience propre, sans tache, sans hypocrisie. En premier, pour certain de mes semblables le plus dur est d’arrêter d’être idolâtre, car depuis leur plus tendre enfance par les parents ils ont appris à se signer devant un crucifix, une croix, une statue de femme représentant la mère de Jésus le Nazaréen nommé « Sainte Vierge ».
Là je viens parler de la femme, car il faut bien l’admettre, c’est elle qui depuis notre naissance tient le plus de place dans notre vie.
La société la rend responsable de la première transgression devant EL-SHADDAÏ, prenant pour excuse l’animal le plus sensé du « Jardin d’Éden », mais il faut bien admettre que le premier humain de la Terre, l’Homme, pouvait refuser de prendre le fruit que sa femme lui présentait, même si celle-ci par des paroles de forfaiture lui vantait la qualité du fruit, surtout qu’il connaissait la sentence, donc !.....
Pour ce jour, je reste là mes écrits, vous laissant seul avec votre conscience.
D’autres écrits prochainement, dans un peu plus d’une semaine, peut-être sur le temps des dernières générations, mais il me faut l’aide d’EL-SHADDAÏ, car le sujet est complexe et il faut que je sois le plus près de la vérité, sinon en attendant sur les Enseignements de Jésus le Nazaréen.
Pour le moment soyez en accord avec votre conscience et essayez d’avoir un « Esprit SAIN » pour prier ce Dieu seul et unique son fils étant notre médiateur, lui qui doit attendre son couronnement comme notre Roi sur la Terre après les terribles tribulations des dernières générations.
Portez-vous bien et prenez soins de vous !
Salutations cordiales !
Sig : JP.G. dit « GRAND-LOUP » ou « GRANDELOUPO »
Représentation aléatoire du « Souffle d’Intelligence »
Conscience, esprit Sain
Dans les écrits qui suivent vous remarquerez que j’écris esprit « Sain », et que ce mot « sain » sera souvent écrit comme je viens de le faire. Il n’y a pas de faute d’orthographe car je parle de l’esprit « Sain », celui qui est pure sans tache, qui possède la « Sagesse » et l’ « Intelligence ».
L’autre « Saint » est une vénération, glorification, sanctification mais aucunement propre, pur, une preuve flagrante, réelle, indémontable puisque c’est l’esprit de la religion chrétienne, esprit d’idolâtrie, les fidèles se signant devant un crucifix fait de bois et devant une statue de pierre qui représente une femme.
Alors vous mes semblables dessillez vos yeux et vos oreilles pour devenir les enfants d’EL-SHADDAÏ, des enfants « Sains » et non « Saints ».
Dernières phrases du chapitre précédent
À partir de cet instant, les Apôtres, sans l’avoir appris, parlaient plusieurs langues et dialectes. Les gens de la rue voyant sortir les Apôtres de cette maison furent étonné de les entendre parler leur langue maternelle, grecque, latine, persane, sans compter les dialectes. Ceci, pour les gens de la rue, était la preuve visible qu’une chose incompréhensible s’était passé à l’intérieur de cette maison et que le Dieu d’Israël les avait visités. Il ne faut pas oublier que, en plus du pouvoir du langage, de l’Intelligence, Jésus le Nazaréen leur avait déjà donné quelques jours avant par un « souffle » la compréhension des « Écritures », ils reçurent d’EL-SHADDAÏ un pouvoir beaucoup plus grand, celui de ressusciter les morts.
Cette explication ne vient pas de moi, mais des humains qui furent témoins dans la ville de Jérusalem de ce phénomène et qu’ils l’ont écrit, cela devenant un fait historique, car tous les humains de haut rang de l’époque reconnurent que les Apôtres ainsi que les Disciples de la première heure, avaient une « Intelligence » remarquable pour leur époque.
Chapitre N° VII
Imperfection des Apôtres
Maintenant, aujourd’hui, il faut arrêter de ce mentir à soi-même, et reconnaître que les Apôtres, ce jour de la Pentecôte, recueillir par le « Souffle » d’El-Shaddaï, qui fut le coup de vent, un « Esprit SAIN », et non « Saint » car par ce dernier jamais, j’écris bien jamais, ils n’auraient pu parler plusieurs langues et idiomes, jamais ils n’auraient pu comprendre les « Écritures », jamais ils n’auraient pu ressusciter les morts, oui ils acquirent une chose saine, pure, parfaite et puissante.
Je reconnais que je ne vous parle pas de la Bible comme mes semblables le font. Je ne pose pas des versets bibliques à tort et à travers, histoire que vous pensiez que je suis un grand érudit. Là n’est pas mon objectif, mon but est de vous faire réfléchir sur la religion ayant comme visée de vous faire trouver le chemin de la vérité, celui qui mène vers l’Être qui nous a créés, ce Dieu seul et unique que je nomme comme Abraham et dont le Nom EL-SHADDAÏ est marqué sept fois dans la Genèse, dans les Bibles de bonne traduction.
Pour être le plus près de la vérité, je vous écris l’histoire réelle du christianisme, sa transformation d’un départ pur vers l’impur dû à la vanité, l’orgueil de beaucoup d’humains, transformant l’Enseignement de ce Galiléen en un enseignement idolâtre, avec des prières toutes faites, professant à leurs ouailles de ce signer, se prosterner devant des effigies de matière sans vie symbolisant un humain cloué faussement sur une croix ou devant une statue reproduisant une femme et un nourrisson.
De ce monde idolâtre je veux vous éloigner, mais vous êtes seul responsable de vous, de vos pensées, raisonnements, car EL-SHADDAÏ a bien fait les choses en nous sculptant à son image, à son reflet, nous laissant libre, complètement libre du choix de nos actions, de nos réflexions, par notre cœur et notre cerveau.
Tout au long de la lecture de ce Nouveau Testament il est question de « Saint-Esprit ou Esprit-Saint » toujours dans ce sens de vénération, apologie, panégyrique, louange, glorification, rarement dans la perception de pur, inaltéré, cristallin, angélique, propre, parfait, etc … Le Disciple Saül de Tarse, nommé Paul dans ses Lettres et Épîtres écrit souvent sur l’Esprit-Saint et j’ai trouvé un exemple à méditer :
I Corinthiens XII : 3-11 -- Paul est dans la cité de Corinthe et il parle aux humains qui ont optés de suivre les Lois d’El-Shaddaï et les enseignements de Jésus le Nazaréen. Un fait important à ne pas oublier ; des humains se faisaient baptiser par des presbytres et certains de ces humains devenaient des Disciples par imposition des mains au-dessus de leur tête plus un « Souffle » et fait surnaturel dû sans doute par le magnétisme de la position des mains à une certaine distance de la tête, l’Esprit de ces humains s’ouvrait, et pour être plus juste, miraculeusement ils discernaient, comprenaient certaines choses incompréhensibles pour un humain normal. Leur intelligence était développée ce qui leur permettait de parler et comprendre plusieurs langues et idiomes du Bassin Méditerranéen, de plus il pouvait guérir leurs semblables des maladies, sans avoir la possibilité de les ressusciter. Le pouvoir de ces humains est un fait réel et historique.
Avant de continuer, un petit rappel ; pour être en accord avec ce que je vous écris et dis, je remplace le terme vulgaire du Dieu « DIEU » des chrétiens par un nom biblique originel reconnu par les trois grandes religions mondiales, Judaïque, Chrétienne, Islamique, car c’est le nom qu’Abraham lui donnait soit, « Dieu au-dessus des Montagnes » qui donne comme nom « EL-SHADDAÏ »
Ce nom « EL-SHADDAÏ » est écrit sept fois dans la Genèse, et Job parle de lui comme le Dieu Shaddaï
« C'est pourquoi, je vous le déclare : personne, parlant avec l'Esprit d’El-Shaddaï, ne dit : « Maudit soit Jésus », et nul ne peut dire : « Jésus est Seigneur », s'il n'est avec l'Esprit Saint.
Il y a, certes, diversité de dons spirituels, mais c'est le même Esprit ; diversité de ministères, mais c'est le même Seigneur ; diversité d'opérations, mais c'est le même Dieu qui opère tout en tous.
A chacun la manifestation de l'Esprit est donnée en vue du bien commun.
A l'un, c'est un discours de sagesse qui est donné par l'Esprit ; à tel autre un discours de science, selon le même Esprit ; à un autre la foi, dans le même Esprit ; à tel autre les dons de guérisons, dans l'unique Esprit ; à tel autre la puissance d'opérer des miracles ; à tel autre la prophétie ; à tel autre le discernement des esprits ; à un autre les diversités de langues, à tel autre le don de les interpréter.
Mais tout cela, c'est l'unique et même Esprit qui l'opère, distribuant ses dons à chacun en particulier comme il l'entend. »
C’est en lisant ces versets, puis pour fortifier sa position d’Esprit en lisant le chapitre douze de la Lettre aux Romains, que nous comprenons le sens spirituel de ces « Écrits » qu’ils soient évangéliques ou que ce soit une Lettre, une Épître. Nous constatons que « l’Esprit-Saint » du premier verset serait, je dis bien serait la façon de penser d’El-Shaddaï, et ce dernier ne peut même pas penser « Maudit soit mon Fils » car cela serait un désaveu complet pour Jésus le Nazaréen, mais la fin du verset ressemble pour moi à une absurdité ou je ne l’ai pas compris car qui peut empêcher un humain de dire et penser, fut-il païen, que Jésus le Nazaréen est Seigneur à moins que ! … « S’il n’est avec l’Esprit-Saint »
Qu’est-ce-que « l’Esprit-Saint » dans cette phrase ?
Un être vivant et pensant ce qui contredirait le terme « Esprit » car ce dernier est invisible, intouchable, impalpable, c’est du vent, il vient, passe, et disparaît personne ne le sait personne ne l’a vu, sauf par le langage, l’écrit nous connaissons son existence.
Surtout quand nous lisons la suite des versets, nous constatons la diversité de « l’Esprit » et cette diversité se nomme « Intelligence », puisque parmi les humains il y en aura qui seront doués pour les prophéties, d’autres par la facilité de s’exprimer et d’expliquer, d’autres pour la guérison, d’autres encore pour leur « Sagesse spirituelle », leur science sur les mystères de la vie et de la nature, et d’autres encore …, chacun étant doué dans son domaine, tout cela étant dû grâce au cerveau ou siège « l’Esprit » d’intelligence, de compréhension, de raisonnement, de réflexion qui me permet en ce moment d’argumenter, développer, évoquer, exposer, démontrer, prouver, tout cela par « l’Esprit », mais cet « Esprit » n’est pas « Saint » et pourtant c’est bien « l’Esprit d’El-Shaddaï » qui me guide pour vous. Donc, là en ce moment El-Shaddaï guide mon « Esprit », ce qui fait que j’ai un « Esprit SAIN » puisque je vous oriente vers des pensés propres, sans tache, inaltérées, saines.
Comme vous l’observez, la différence entre « l’Esprit-Saint » du premier verset et « l’Esprit SAIN » que je viens de développer est énorme.
En votre âme et conscience lequel est le plus près d’El-Shaddaï, lequel reflète sincèrement les sentiments d’El-Shaddaï ?
Je ne répondrais pas à votre place car pour moi mon opinion est déjà faite !
Le dernier verset, le verset onze, suggère hypocritement que ce serait un spectre qui ferait la distribution de « l’Esprit » en effet il est écrit : « // c’est l’unique et même Esprit qui opère, distribuant ses dons à chacun en particulier comme il l’entend. »
N’avez-vous pas cette impression, que la fin du premier verset a une ressemblance avec ce dernier verset : « // personne, parlant avec l'Esprit d’El-Shaddaï, ne dit : « Maudit soit Jésus », et nul ne peut dire : « Jésus est Seigneur », s'il n'est avec l'Esprit Saint. »
Paul dit qu’un humain parlant avec l’Esprit d’El-Shaddaï ne peut pas maudire son Fils, Jésus le Nazaréen et c’est après que cela devient confus car qui peut empêcher un humain de penser :
« Jésus le Nazaréen est mon Seigneur » ? …
Tout en pensant cela cet humain n’a pas besoin de « l’Esprit Saint », son « Esprit SAIN » suffit amplement, par contre « l’Esprit-Saint » fait dire :
« // Jésus est Seigneur »
Le terme « Seigneur » signifie-t-il « Dieu », soit EL-SHADDAÏ ?
Cette tournure de phrase est tellement tortueuse que j’ai envie de pencher vers l’affirmation car il y a ce début et cette fin de rédaction : « // nul ne peut dire, Jésus est Seigneur, s’il n’est avec l’Esprit-Saint. »
Jésus le Nazaréen et l’Esprit-Saint existeraient en tant que deux entités bien distinctes, mais Jésus le Nazaréen ne peut être « Seigneur » s’il n’est pas en compagnie de « l’Esprit-Saint » A moins que ce ne soit l’humain qui ne possède nullement « l’Esprit-Sain » qui ne puisse dire : « Jésus est Seigneur » --- à « Sain » il n’y a pas une faute d’orthographe ----
Voyez ce que mon « Esprit » fait pour rechercher la vérité ! Avant d’écrire mon texte définitivement, je demande par une prière interne qu’El-Shaddaï m’aide, me montre la bonne direction, le bon raisonnement. EL-SHADDAÏ, être substance, Lui possédant un cerveau pour la réflexion, l’explication, le discernement, habitat de l’Esprit, nous à sa ressemblance, son reflet, détenant un cerveau ou siège l’Esprit, puisque nous sommes façonnés à son image, et c’est par « l’Esprit d’El-Shaddaï » que ce dernier m’offre une « Intelligence » permettant à mon « Esprit » de travailler et de comprendre le sens des « Écritures » comme ci-dessus. Si je n’écris pas, cette aide apporté par ce Dieu unique, son Fils étant le relayeur, disparaît comme le vent. Les personnes vivant à côté de moi ignorent ce à quoi je pense, ils le savent uniquement s’ils viennent lire par-dessus mon épaule.
Donc El-Shaddaï par son savoir offre « l’Intelligence » à un humain dans un domaine donné, spécifique et ce ne peut être « l’Esprit-Saint » des chrétiens, puisque l’Esprit est quelque chose de personnel, une allégorie, un concept, un noumène, ceci prouvant que « l’Esprit-Saint » n’existe pas, mais l’Esprit que donne El-Shaddaï et qu’il a en Lui depuis le commencement, c’est de « l’Intelligence ». Je viens involontairement de prouver que ce que j’ai écrit ci-dessus en parlant d’entités est faux puisque « l’Esprit-Saint » écrit ainsi n’existe pas.
Par cette réflexion, ce raisonnement, ayant un « Esprit Sain » je dis que ce verset 3 de I Corinthiens XII a été falsifié, particulièrement à partir de : « // nul ne peut… ».
Tout ce que je viens d’écrire, je le fais car l’Esprit d’El-Shaddaï est en moi, en effet c’est Lui qui guide mon raisonnement, mes réflexions, donc c’est par Lui que j’ai un « Esprit SAIN » et c’est grâce à cet Esprit SAIN que je peux démontrer, témoigner, prouver, argumenter, etc …, ma pensé sur un thème donné pour que mes semblables, volontairement, trouvent et suivent le chemin qui mène vers ce Dieu seul et unique celui que je nomme EL-SHADDAÏ.
En effet je vous parle toujours de ce Dieu unique et vous conseille de le prier Lui et non son Fils Jésus le Nazaréen, cela ne m’empêche absolument pas d’aimer ce Galiléen, mais je le prie comme il doit l’être comme le médiateur de mes pensées, de mes prières, non comme un Dieu car seul est Dieu son Père dont j’ignore le nom véritable voilà pourquoi je le nomme Dieu SHADDAÏ, soit EL-SHADDAÏ.
Jean V : 44
« Comment pouvez-vous croire, vous qui recevez votre gloire les uns des autres, et ne cherchez pas la gloire qui vient du Dieu unique. »
Éphésiens IV : 6
« // un seul Dieu et Père de tous, qui est au-dessus de tous, par tout et en tous. »
Mes semblables, tous sens exception, vous avez une « Conscience ». Cette « Conscience », chose invisible, intouchable, impalpable, vous devant une glace, votre double, fonctionne avec votre « Esprit », car elle vous parle au fond de vous-même. S’est-elle qui dirige vos pensées, vos actions en bien, en mal, qui vous donne cet haut-le-cœur, cette envie de vomir, qui vous tortille les tripes, et ce remord qui torture l’Esprit.
Comme promis je reviens sur les Apôtres en particulier.
Ce sont eux qui reçurent le « Souffle d’Intelligence » d’EL-SHADDAÏ, que le christianisme nomme « Esprit-Saint », ce « Souffle » leur donnant une certaine puissance, en particulier celle de ressusciter les morts. Simplement que ce pouvoir, seul eux le possédaient et ils ne pouvaient pas le transmettre à personne, même avec l’imposition des mains. De plus ce « Souffle » ne les a pas rendu parfait, loin sans faut, car les dissensions qui existaient entre eux étaient importantes. Quinze à vingt ans après le décès de Jésus le Nazaréen, les désaccords étaient tels, que même pour la Pâque ils ne se voyaient plus. Pierre était souvent en désaccord avec les pensées du Disciple Paul, Saül de Tarse de son vrai nom, mais aussi avec Jean. Il faut reconnaître que Jésus le Nazaréen avait bien choisi ses Apôtres parmi ses Disciples, et que ceux-ci avaient des caractères opposés et tellement différent. Du vivant de Jésus le Nazaréen ils se supportaient tant bien que mal, car le « Maître » les reprenait souvent sur leur comportement et leur façon de réfléchir, de raisonner, les traitants d’imbécile.
Les Apôtres malgré les pouvoirs qu’ils reçurent par Jésus le Nazaréen, puis par son Père El-Shaddaï, restèrent imparfaits. Tout en étant imparfait ils avaient le pouvoir de remettre les péchés d’un humain mais aussi de lui refuser ce pardon ce qui signifiait une mort spirituelle certaine pour cet humain. Je pense qu’avant de refuser le pardon à un humain ils devaient penser à cette phrase de Jésus :
« Que celui qui n’a jamais péché lui jette la première pierre. »
Pour pourvoir juger son prochain il faut soi-même être irréprochable. Beaucoup de responsables religieux sectaires devraient penser à ce que je viens d’écrire en particulier ces humains venant deux par deux sonner à votre porte, Bible en main, alors qu’ils ne comprennent pas le sens de ce qui est écrit dans ce livre, comme des insensés et des sots, mais qui veulent quand même vous enseigner.
Demander leur qu’ils vous lisent Jacques IV : 12
Et poser leur la question : « Pourquoi vous jugez-nous ? »
Oui pour reprendre son prochain il faut avoir de l’amour pour lui, faire preuve d’humilité, et surtout être un parangon.
Après la mort des premiers Disciples et Apôtres le sens spirituel de l’imposition des mains disparu petit à petit car l’imperfection humaine faisait qu’El-Shaddaï n’approuvait plus ce geste car il était fait avec un cœur hypocrite et vaniteux, donc les humains ne recevaient plus rien, mais ceux-ci continuèrent à faire ce geste dogmatique, devenu idolâtre.
D’autres écrits prochainement, dans un peu plus d’une semaine, peut-être sur le temps des dernières générations, mais il me faut l’aide d’EL-SHADDAÏ, car le sujet est complexe et il faut que je sois le plus près de la vérité, sinon en attendant sur les Enseignements de Jésus le Nazaréen.
Pour le moment soyez en accord avec votre conscience et essayez d’avoir un « Esprit SAIN » pour prier ce Dieu seul et unique son fils étant notre médiateur, lui qui doit attendre son couronnement comme notre Roi sur la Terre après les terribles tribulations des dernières générations.
Portez-vous bien et prenez soins de vous !
Salutations cordiales !
Sig : JP.G. dit « GRAND-LOUP » ou « GRANDELOUPO »
Conscience, esprit Sain
Dans les écrits qui suivent vous remarquerez que j’écris esprit « Sain », et que ce mot « sain » sera souvent écrit comme je viens de le faire. Il n’y a pas de faute d’orthographe car je parle de l’esprit « Sain », celui qui est pure sans tache, qui possède la « Sagesse » et l’ « Intelligence ».
L’autre « Saint » est une vénération, glorification, sanctification mais aucunement propre, pur, une preuve flagrante, réelle, indémontable puisque c’est l’esprit de la religion chrétienne, esprit d’idolâtrie, les fidèles se signant devant un crucifix fait de bois et devant une statue de pierre qui représente une femme.
Alors vous mes semblables dessillez vos yeux et vos oreilles pour devenir les enfants d’EL-SHADDAÏ, des enfants « Sains » et non « Saints ».
Dernières phrases du chapitre précédent
Luc XXIV : 49 -- Jésus est décédé voilà trois jours. Maintenant ressuscité par son Père, il se fait voir au onze Apôtres et après avoir mangé avec eux il leur insuffle « l’Esprit d’Intelligence » pour qu’ils comprennent les « Écritures » en attendant qu’ils reçoivent celui de son Père.
« Et voici que moi, je vais envoyer sur vous ce que mon Père a promis. Vous donc, demeurez dans la ville jusqu'à ce que vous soyez revêtus de la force d'en-haut. »
De vous-même vous constatez l’importance de l’orthographe d’un mot. Dans cet évangile de Jean, Jésus le Nazaréen souffle sur les Apôtres afin de leur ouvrir l’Esprit sur la compréhension des « Écritures », ainsi que leur sens. Là, si je sais lire, le mot « Saint » désigne la sanctification, vénération, glorification, ce qui rend le geste de Jésus le Nazaréen nul, caduc, car recevoir un « Esprit d’adoration » ne donne en aucun cas le discernement des « Textes prophétiques ». Alors Jésus le Nazôréen envoya un souffle « Sain » c’est-à-dire quelque chose qui allait rendre les Apôtres plus intelligent, j’en déduis que ce vent était un souffle pur, propre, sans tache, donc Jésus le Nazaréen a dit :
« Recevez « l’Esprit Sain » ! »
Chapitre N° VI
Souffle d’Intelligence
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Observez bien ce qu’une seule lettre peut faire ; nous passons d’une vénération à une perfection ce qui n’est pas la même chose. Le verset 49 de Luc donnant une confirmation de ce que je viens d’écrire et même plus, il prouve que Jésus le Nazaréen n’a pas la puissance de son Père car il convainc ses Apôtres à rester dans la ville jusqu’à « qu’ils soient revêtus de la force d’en haut », cette force étant bien entendu celle d’El-Shaddaï, Père de Jésus le Nazaréen. Les Actes des Apôtres I : 3-8 C'est encore à eux qu'avec de nombreuses preuves il s'était présenté vivant après sa passion ; pendant quarante jours, il leur était apparu et les avait entretenus du Royaume d’EL-SHADDAÏ – (de Dieu pour les chrétiens) Alors, au cours d'un repas qu'il partageait avec eux, il leur enjoignit de ne pas s'éloigner de Jérusalem, mais d'y attendre ce que le Père avait promis, ce que, dit-il, vous avez entendu de ma bouche : « Jean, lui, a baptisé avec de l'eau, mais vous, c'est dans l'Esprit Saint que vous serez baptisés sous peu de jours. » Étant donc réunis, ils l'interrogeaient ainsi : « Seigneur, est-ce maintenant, le temps où tu vas restaurer la royauté en Israël ? » Il leur répondit : « Il ne vous appartient pas de connaître les temps et moments que le Père a fixés de sa seule autorité. Mais vous allez recevoir une force, celle de l'Esprit Saint qui descendra sur vous. Vous serez alors mes témoins à Jérusalem, dans toute la Judée et la Samarie, et jusqu'aux extrémités de la terre. » Quand cette scène se passe, Apôtres et Disciples sont réunis dans une même pièce, mais Jésus le Nazaréen s’adresse aux Apôtres personnellement quand il leur demande de rester à Jérusalem. Vous mes semblables, vous qui êtes sans aucun doute chrétien, je vous demande de supprimer le « t » du mot « saint » et de relire le contexte avec « Esprit SAIN » vous comprendrez que l’atmosphère qui régnait dans la pièce était tout autre et que l’on parlait de pureté et non de vénération. Toujours en restant sur le même raisonnement ! |
Les Actes des Apôtres II : 1-11 -- La Pentecôte – Jésus le Nazaréen est décédé voilà quarante jours, mais il fut ressuscité par son Père EL-SHADDAÏ, ce Dieu seul et unique, que la chrétienté par hypocrisie nomme « Dieu », n’ayant pas l’honnêteté de lui donner un « Nom », afin que son corps ne goûte pas l’odeur de la mort, car il fallait une victoire complète sur celle-ci. De sources historiques certaines, ce Galiléen fut aperçut par plus de cinq-cents humains dans tout le pays, Judée, Samarie, Galilée, etc, pendant les quarante jours qui précédèrent son « Ascension » ou « Élévation » de la Terre. Pendant cette période les Apôtres et Disciples de Jésus le Nazaréen reçurent un enseignement privé et spécial qui donnèrent aux Disciples, Apôtres compris, certains pouvoirs, dont une « Intelligence » supérieur à la moyenne humaine de l’époque, ceci est un fait établi.
Comme beaucoup de mes semblables chrétiens, vous l’êtes peut-être, ne faites pas l’erreur de penser que Jésus le Nazaréen ne se présentait qu’aux Apôtres. Jean au chapitre vingt de son Évangile parle bien des « Disciples », donc quand Jésus leur dit : « Paix à vous » il dit ces paroles à ses « Disciples » et parmi eux il y a des Apôtres.
Par le « Souffle » de Jésus le Nazaréen, Disciples et Apôtres à égalité acquièrent une compréhension des « Écritures », mais aussi de certains « Mystères » des Cieux, sans compter sur la force intellectuelle et magnétique, si je peux m’exprimer ainsi, que Jésus le Nazaréen leur transmet par ce « Souffle » surnaturel.
Pour le moment et jusqu’au jour de la Pentecôte, Disciples et Apôtres ont les mêmes connaissances, mêmes pouvoirs, à égalité. Par ce que j’ai écrit ci-dessus et ce que je vais écrire ci-dessous, vous allez, obligatoirement si vous êtes honnête avec vous-même, constater que Jésus le Nazôréen n’est pas l’égal de son Père, la différence est énorme, comme-ci vous compareriez un éléphant et une puce, donc il ne peut-être un « Dieu » comme cette chrétienté veut le faire croire à ses ouailles, les éloignant du véritable « Dieu », donc, de la résurrection et de la vie éternelle un jour sur cette Terre.
« Le jour de la Pentecôte étant arrivé, ils se trouvaient tous ensemble dans un même lieu, quand, tout à coup, vint du ciel un bruit tel que celui d'un violent coup de vent, qui remplit toute la maison où ils se tenaient.
Ils virent apparaître des langues qu'on eût dites de feu ; elles se partageaient, et il s'en posa une sur chacun d'eux.
Tous
furent alors remplis de l'Esprit
Sain(t)
et commencèrent à parler en
d'autres langues, selon que l'Esprit
leur donnait de s'exprimer.
Or il y avait, demeurant à Jérusalem, des hommes dévots de toutes les nations qui sont sous le ciel.
Au bruit qui se produisit, la multitude se rassembla et fut confondue : chacun les entendait parler en son propre idiome.
Ils étaient stupéfaits, et, tout étonnés, ils disaient : « Ces hommes qui parlent, ne sont-ils pas tous Galiléens ?
Comment se fait-il alors que chacun de nous les entende dans son propre idiome maternel ?
Parthes, Mèdes et Élamites, habitants de Mésopotamie, de Judée et de Cappadoce, du Pont et d'Asie, de Phrygie et de Pamphylie, d'Égypte et de cette partie de la Libye qui est proche de Cyrène, Romains en résidence, tant Juifs que prosélytes, Crétois et Arabes, nous les entendons publier dans notre langue les merveilles --d’EL-SHADDAÏ,--de Dieu ! »
Qu’est-ce-que
cet « Esprit-Sain(t) »
de la Pentecôte ?
Nous venons de voir par les Évangiles ce que représente cet « Esprit-Saint » chrétien qui n’a rien avoir avec le véritable « Esprit SAIN » d’El-Shaddaï, lui qui possède un « Esprit », pur, propre, sans tache, sans même l’ombre du péché, donc « SAIN » clair comme le cristal, pur comme l’or précieux.
Comme déjà écrit je ne sais combien de fois, « l’Esprit » est invisible, éphémère comme un coup de vent voilà pourquoi ce Dieu seul et unique est obligé de le représenter comme une chose visible par l’humain, mais le plus proche de ce qu’est « l’Esprit ». Voilà pourquoi El-Shaddaï a symbolisé « l’Esprit » par ce qui ressemble à des langues de feu, et, pour être plus près de la réalité je dirai des flammèches de feu, celles qui quand vous faites un grand feu, naissent avec des formes bizarres, s’élèvent et disparaissent de l’âtre.
Ces humains, les Apôtres avaient déjà reçu le « Souffle d’Intelligence », ce « Souffle » que la chrétienté nomme « Esprit-Saint », terme très mal usité par la hiérarchie de cette religion, les Écritures disant que Jésus le Nazaréen « insuffla » ou « souffla » sur eux, donc il envoya un « Vent » sur ses Disciples et Apôtres, et ceux-ci furent ouvert à la compréhension des « Écritures » et pouvaient « remettre » c’est-à-dire absoudre, gracier, acquitter un humain de ses fautes, ses péchés passés, en un mot pardonner, mais si ils refusaient ce pardon à un humain, jamais celui-ci ne serait libéré, gracié de ses fautes. Cela, avant la Pentecôte leur donnait déjà une grande puissance, car il devenait des Juges de la résurrection, des Juges Célestes. Juger ses semblables devait être une charge lourde à porter, car là, il est question de vie ou de mort, l’alternative n’existant pas, donc refuser le pardon à un humain était dans le sens moral et spirituel quelque chose d’important et il fallait être, soi-même d’une tenue irréprochable.
Je reviendrai sur ce thème en fin d’écriture car il mérite réflexion !
En plus il était important que les humains qui étaient à proximité des Apôtres discernent la transformation « d’Esprit », intellectuelle de ces douze semblables, mais avant il fallait les interloquer, surprendre, confondre, stupéfier par quelque chose d’anormal, de crainte, car ils ne pouvaient voir n’étant pas dans la pièce.
Faisons un saut de deux mille ans en arrière !
Imaginons-nous ! La maison où ont l’habitude de venir les Apôtres et Disciples doit-être un habitat cossu, imposant. Les douze Apôtres sont réunis à l’intérieur pour converser et prier, pendant ce temps, dans la rue, autour de cette demeure des humains vont çà et là à leurs vacations, quand, soudain, un grand bruit, suivit d’un coup de vent bizarrement sur cette maison uniquement les surpris, les faisant sursauter, leur regard et attention les dirigeant vers cette bâtisse où étaient les Apôtres.
Quant aux Apôtres, chacun est un témoin visuel de l’autre constatant en dehors de ce bruit assourdissant, comme un coup de vent, qu’une flammèches de feu, comme les feux follets que l’on voit la nuit dans les cimetières, de cela j’en certifie l’existence ayant assisté à ce phénomène en roulant de nuit, passant devant le cimetière de Jouet et voyant celui-ci depuis le haut de la côte la descente faisant trois kilomètres, du haut de ma cabine de camion j’avais tout le temps d’admirer cette merveille de la nature, les feux follets, donc chaque Apôtre vit comme une petite flamme descendre au-dessus de la tête de son collègue et disparaître.
À partir de cet instant, les Apôtres, sans l’avoir appris, parlaient plusieurs langues et dialectes. Les gens de la rue voyant sortir les Apôtres de cette maison furent étonné de les entendre parler leur langue maternelle, grecque, latine, persane, sans compter les dialectes. Ceci, pour les gens de la rue, était la preuve visible qu’une chose incompréhensible s’était passé à l’intérieur de cette maison et que le Dieu d’Israël les avait visités. Il ne faut pas oublier que, en plus du pouvoir du langage, de l’Intelligence, Jésus le Nazaréen leur avait déjà donné quelques jours avant par un « souffle » la compréhension des « Écritures », ils reçurent d’EL-SHADDAÏ un pouvoir beaucoup plus grand, celui de ressusciter les morts.
Cette explication ne vient pas de moi, mais des humains qui furent témoins dans la ville de Jérusalem de ce phénomène et qu’ils l’ont écrit, cela devenant un fait historique, car tous les humains de haut rang de l’époque reconnurent que les Apôtres ainsi que les Disciples de la première heure, avaient une « Intelligence » remarquable pour leur époque.
Cette lecture vous oblige à vous scruter intérieurement car elle vous a posé des questions. Alors je suis heureux, car le « Souffle d’intelligence » vient à vous !
Portez-vous bien !
Cordiales salutations
Sig : JP.G. dit « Grand-Loup » ou « GRANDELOUPO »
Conscience, esprit Sain
Dans les écrits qui suivent vous remarquerez que j’écris esprit « Sain », et que ce mot « sain » sera souvent écrit comme je viens de le faire. Il n’y a pas de faute d’orthographe car je parle de l’esprit « Sain », celui qui est pure sans tache, qui possède la « Sagesse » et l’ « Intelligence ».
L’autre « Saint » est une vénération, glorification, sanctification mais aucunement propre, pur, une preuve flagrante, réelle, indémontable puisque c’est l’esprit de la religion chrétienne, esprit d’idolâtrie, les fidèles se signant devant un crucifix fait de bois et devant une statue de pierre qui représente une femme.
Alors vous mes semblables dessillez vos yeux et vos oreilles pour devenir les enfants d’EL-SHADDAÏ, des enfants « Sains » et non « Saints ».
Dernières phrases du chapitre précédent
Tout ce que je viens de vous écrire ce n’est pas grâce à « l’Esprit-Saint », mais plutôt avec un « esprit sain », celui qu’EL-SHADDAÏ aime, car c’est lui qui éclaire mon « Esprit ».
Pour en revenir à l’évangile de Matthieu sur ce passage biblique, Jésus le Nazaréen met en garde les Prêtres Pharisiens du Temple qui font partie du Sanhédrin, sur leurs actions et l’esprit qui les guide. Donc il faut savoir si l’auteur faisant parler Jésus, pense à l’Esprit d’El-Shaddaï ou à El-Shaddaï lui-même en tant que spectre, car en premier il y a faute d’orthographe puisque « l’Esprit, la pensée, réflexion, raisonnement est SAIN » et si c’est la matière qui contient l’esprit que je viens de citer, c’est-à-dire El-Shaddaï en tant qu’être alors il est « Sain » et « Saint » car propre, sans tache, parfait, mais aussi un Dieu seul et unique que tous les humains devraient vénérer, adorer, glorifier, sanctifier pour tous les bienfaits qu’il leur offre.
En effet les Pharisiens parlant en mal d’El-Shaddaï et de ses actions blasphèment contre la personne et contre les pensées de celle-ci.
Chapitre V
Esprit SAIN, pur, parfait, sans tache
Je continue sur l’orthographe de « l’Esprit-Saint » ou « Saint-Esprit » car selon cette écriture la pensé, l’action, voir le personnage, tout devient différent.
Matthieu III : 13-17
Alors Jésus arrive de la Galilée au Jourdain, vers Jean, pour être baptisé par lui.
Celui-ci l'en détournait, en disant :
« C'est moi qui ai besoin d'être baptisé par toi, et toi, tu viens à moi ! »
Mais Jésus lui répondit :
« Laisse faire pour l'instant : car c'est ainsi qu'il nous convient d'accomplir toute justice. »
Alors il le laisse faire.
Ayant été baptisé, Jésus aussitôt remonta de l'eau ; et voici que les cieux s'ouvrirent : il vit l'Esprit de Dieu descendre comme une colombe et venir sur lui.
Et voici qu'une voix venue des cieux disait :
« Celui-ci est mon Fils bien-aimé, qui a toute ma faveur. »
Luc III : 16, 21-22
« Jean prit la parole et leur dit à tous :
« Pour moi, je vous baptise avec de l'eau, mais vient le plus fort que moi, et je ne suis pas digne de délier la courroie de ses sandales ; lui vous baptisera dans l'Esprit Saint et le feu. »
Or il advint, une fois que tout le peuple eut été baptisé et au moment où Jésus, baptisé lui aussi, se trouvait en prière, que le ciel s'ouvrit, et l'Esprit Saint descendit sur lui sous une forme corporelle, comme une colombe. Et une voix partit du ciel :
« Tu es mon fils ; moi, aujourd'hui, je t'ai engendré. » »
Jean I : 32-33
« Et Jean rendit témoignage en disant :
« J'ai vu l'Esprit descendre, tel une colombe venant du ciel, et demeurer sur lui.
Et moi, je ne le connaissais pas, mais celui qui m'a envoyé baptiser dans l'eau, celui-là m'avait dit :
«Celui sur qui tu verras l'Esprit descendre et demeurer, c'est lui qui baptise dans l'Esprit Saint. » »
Comme vous pouvez le constater l’écriture d’un mot ou d’un terme de mots avec son orthographe a beaucoup d’importance. Trois évangélistes, deux Disciples, Matthieu et Luc, et un Apôtre, Jean, sur une même action, qui est le baptême de Jésus le Nazôréen, et une confirmation céleste orale de la parenté qui existe entre cet humain et le Dieu unique de tout l’univers, par l’écriture, le sens actif n’est pas le même. D’un côté vous avez « l’Esprit-Saint », de l’autre sûrement plus réel, uniquement « l’Esprit d’EL-SHADDAÏ » comme l’écrit Matthieu, et le mot « l’Esprit » dans la transcription de Jean l’Évangéliste.
Comme déjà expliqué, ces versets confirmant l’intégrité, l’exactitude de ma démonstration précédente sur l’invisibilité de « l’Esprit », il faut que cet « Esprit » soit matérialisé en quelque chose de visible pour l’œil humain.
En lisant l’histoire du baptême de Jésus le Nazôréen, -- Jésus-Christ pour le christianisme – nous constatons que les trois écrivains se complètent pour la représentation matériel de « l’Esprit », qui, contrairement à l’iconographie, n’est pas une colombe mais un être volant ressemblant à ce volatile, descendant des Cieux pour se fixer sur un humain bien précis dont une voix Céleste le désigne comme étant son « Fils Bien-Aimé », puis se confondre avec la tête humaine et disparaître dans l’invisible.
Reportons-nous, par notre cerveau c’est-à-dire l’esprit, à cette époque, sur les bords du Jourdain où Jean, le cousin direct de Jésus le Nazaréen, baptise ses semblables dans les eaux de ce fleuve, d’où son surnom de Baptiste, et que vient le tour de son cousin pour le baptême, ce qu’il fait, et une fois cette action faite, dans l’instant, les spectateurs involontaire de ce phénomène eurent l’impression que le ciel s’ouvrait comme un livre, entendant comme une voix de tonnerre prononcer la reconnaissance de Jésus le Nazôréen comme fils, en voyant cet être volatile étincelant et resplendissant descendre sur la tête de cet homme, restant un instant immobile au-dessus de celui-ci afin que toute l’assemblée humaine servit de témoin de ce prodige, avant de disparaître.
Les humains qui vissent cette manifestation surnaturelle ont dû être secoués et les images du baptême de Jésus le Nazaréen, restèrent, certainement, longtemps marquées dans leur esprit de mémoire comme un fer rouge.
Pour le Disciple Matthieu, cet animal volant ressemblant à une colombe c’est « l’Esprit d’EL-SHADDAÏ, -- l’Esprit de Dieu pour toute la chrétienté -- » qui descend sur son Fils, ce qui signifie que son père géniteur ne lui a pas tout donné à sa naissance, et que ce Fils si puissant soit-il sur la Terre, a besoin de son père pour avoir un degré supérieur d’Intelligence et de Sagesse pour suivre son ministère.
Le Disciple Luc parle de « l’Esprit-Saint », mais si la pensée est la même que l’évangéliste Matthieu ou Marc, c’est-à-dire que Jésus le Nazaréen reçoit de la part de son père une ouverture d’esprit donc d’Intelligence comme écrit ci-dessus, il y a une faute d’orthographe importante car l’esprit d’El-Shaddaï est avant toute chose « SAIN ». Tous les exégètes savent que les Évangiles ainsi que les Lettres et Épîtres du Nouveau Testament ont été remanié par des copistes sans scrupule qui ont ajouté, retranché, ajusté des mots et des phrases. L’exemple est avéré par :
« // lui vous baptisera dans l’Esprit-Saint et le feu. »
J’ai cherché ce que cela voulait dire. Eh bien, je dois l’avouer, sur ce coup je reste un nigaud, un humain peu instruit, et j’espérais qu’El-Shaddaï éclairerait mon esprit, mais rien, le vide. Peut-être que si je décomposais ?
« Lui » représente Jésus le Nazaréen, -- votre Jésus-Christ – « dans l’Esprit-Saint », je pense dans ce que médite El-Shaddaï, mais cela est impossible car on ne peut baptiser un humain dans une méditation, encore plus dans celle du Dieu unique. De plus, le baptême signifie se laver complètement, dans un sens péjoratif, changer de vie, de comportement, d’actions, de pensés, en abandonnant tout ce qui est mauvais, pour ce vêtir d’un habit propre, sans les taches du péché.
Donc « baptiser dans l’Esprit-Saint » devrait annoncer à ses semblables que l’on change d’esprit, fini médisance, fourberie, mensonge, fornication ou adultère, rapine, pensés belliqueuses, et bien d’autres, car l’humain par le baptême essayera d’avoir un « Esprit Sain ». Maintenant je commence à comprendre si l’on emploie le mot « Sain » dans le sens de net, immaculé, pur, nettoyé, mais aussi explicite, intelligent, franc, carré, clair, ce qui est « l’Esprit » d’El-Shaddaï, un « Esprit-Sain ».
Alors que vient faire le feu ?
Le feu représente la souffrance à cause des brûlures, mais aussi la destruction complète de quelque chose, la purification par l’anéantissement, car une fois le feu passé, il ne reste derrière lui que ruine, désolation, affliction et chagrin. Je suis obligé de dire que le terme « // et le feu » est un ajout de copiste.
Si avec attention nous relisons ce verset nous pouvons même dire que l’ensemble de mot « ; lui vous baptisera dans l’Esprit-Saint et le feu » est un ajout à ce verset. A moins que ce verset ne s’écrive à son origine ainsi : « Pour moi, je vous baptise avec de l'eau, mais vient plus fort que moi, et je ne suis pas digne de délier la courroie de ses sandales car lui vous baptisera par l'Esprit Sain. »
Comme vous venez de le lire je n’ai pour ainsi dire rien fait, juste supprimé le point-virgule que j’ai remplacé par une coordination, écrit le mot « sain » sans le « t » et supprimé « et le feu », mais le sens de la phrase prend tout de suite de l’intérêt car Jésus le Nazaréen ne baptise plus « dans », mais « par », et l’Esprit n’est plus une vénération, mais une pureté, une perfection.
Tout ce que je viens d’écrire ne vient que d’un raisonnement logique et, comme à chaque fois, n’engage que moi, toutefois reconnaissez que … !
Toujours dans ce contexte d’Esprit « Saint » ou d’Esprit « Sain », Jésus le Nazôréen prévient et encourage ses Apôtres et Disciples afin qu’ils perdent ou qu’ils atténuent leur angoisse au moment où … !
Luc XII : 11-12
« Lorsqu'on vous conduira devant les synagogues, les magistrats et les autorités, ne cherchez pas avec inquiétude comment vous défendre ou que dire, car le Saint Esprit vous enseignera à cette heure même ce qu'il faut dire. »
Marc XIII : 11
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« Et quand on vous emmènera pour vous livrer, ne vous préoccupez pas de ce que vous direz, mais dites ce qui vous sera donné sur le moment : car ce n'est pas vous qui parlerez, mais l'Esprit Saint. » Deux Évangélistes, pour le premier, le Disciple Luc, c’est le « Saint-Esprit », pour le second, le Disciple Marc, c’est « l’Esprit-Saint ». Je ne vais pas recommencer l’explication que j’ai déjà écrit précédemment au sujet du « Saint-Esprit et Sain Esprit », simplement que Luc donne une explication où l’aide à la personne sera donnée par « l’Esprit d’Intelligence », donc « Saint » devrait être écrit sans le « t », soit « SAIN » car la réflexion, le raisonnement sera donné au cerveau humain, au moment de parler, où sans réfléchir la langue se déliera. Pour Marc l’explication devient un peu plus compliquée. En effet comme déroulé ci-dessus dans le troisième chapitre de Luc, il semblerait que le texte après le point-virgule soit un ajout de copiste. Ce petit bout de phrase est insidieux, voir perfide car il laisserait supposer que « l’Esprit-Saint » est une personne invisible qui parlerait à leur place. Le christianisme ou la chrétienté, comme vous voudrez, se sert de petit bout de phrase comme celle-ci pour enseigner à leurs ouailles la « Sainte-Trinité » qui est une pure invention humaine. Plus je lis et relis ce verset onze avec ce qui est avant et ce qui est après, plus je suis convaincu que cette fin de phrase est un ajout de copiste, car « mais dites ce qui vous sera donné sur le moment » et « car ce n’est pas vous qui parlerez, mais l’Esprit-Saint » soient un pléonasme déguisé, voir sournois. Il ne faut pas oublier que les Évangiles sont l’histoire authentique, historique de la vie d’un homme hors du commun, un Galiléen nommé universellement par les humains Jésus-Christ, et que moi, le païen nomme Jésus le Nazaréen ou Nazôréen, pendant une période donné, dans ce que nous nommons « Antiquité », et de l’Enseignement moral et spirituel de vie qu’il a laissé pour la race humaine. Nous ne devons pas négliger que l’Ancien Testament est aussi l’histoire d’un peuple choisit par le Dieu seul et unique de tout l’Univers, mais aussi que cet ensemble de livres renferment les Lois et Enseignements de ce Dieu pour l’humanité universelle, voilà pourquoi ce Galiléen qui n’a jamais déclaré qu’il était le Fils de ce Dieu, mais un Fils d’Homme ou Fils de l’Homme, et qui nomma toujours ce Dieu « Père », affirma de son vivant, qu’il n’était pas venue sur Terre pour abroger les Lois et Préceptes de son Père géniteur, mais les accomplir. Après ce petit rappel historique, je continue, grâce à mon cerveau, où loge mon « esprit », qui est la forme invisible de mon raisonnement, de ma réflexion, de ma pensé, le tout pesant sur mes sentiments, sur mon cœur qui est automatiquement en relation avec cet « esprit », à écrire sur « l’Esprit-Saint et Saint-Esprit » des Évangiles incorporés dans le Nouveau Testament. Jean XX : 21-23 -- Jésus est décédé. Après être ressuscité de la mort par son Père, El-Shaddaï, il rend visite à ses Apôtres. « Il leur dit alors, de nouveau : « Paix à vous ! Comme le Père m'a envoyé, moi aussi je vous envoie. » Ayant dit cela, il souffla sur eux et leur dit : « Recevez l'Esprit Saint. Ceux à qui vous remettrez les péchés, ils leur seront remis ; ceux à qui vous les retiendrez, ils leur seront retenus. » » Luc XXIV : 49 -- Jésus est décédé voilà trois jours. Maintenant ressuscité par son Père, il se fait voir au onze Apôtres et après avoir mangé avec eux il leur insuffle « l’Esprit d’Intelligence » pour qu’ils comprennent les « Écritures » en attendant qu’ils reçoivent celui de son Père. « Et voici que moi, je vais envoyer sur vous ce que mon Père a promis. Vous donc, demeurez dans la ville jusqu'à ce que vous soyez revêtus de la force d'en-haut. » De vous-même vous constatez l’importance de l’orthographe d’un mot. Dans cet évangile de Jean, Jésus le Nazaréen souffle sur les Apôtres afin de leur ouvrir l’Esprit sur la compréhension des « Écritures », ainsi que leur sens. Là, si je sais lire, le mot « Saint » désigne la sanctification, vénération, glorification, ce qui rend le geste de Jésus le Nazaréen nul, caduc, car recevoir un « Esprit d’adoration » ne donne en aucun cas le discernement des « Textes prophétiques ». Alors Jésus le Nazôréen envoya un souffle « Sain » c’est-à-dire quelque chose qui allait rendre les Apôtres plus intelligent, j’en déduis que ce vent était un souffle pur, propre, sans tache, donc Jésus le Nazaréen a dit : « Recevez « l’Esprit Sain » ! » Avant les prochains écrits et par la lecture de ceux-ci demandez à ce Dieu unique d’acquérir la « Sagesse », car par elle, vous avancerez sur le chemin d’EL-SHADDAÏ et votre transformation de penser et d’action sur cette Terre vous mènera vers un début de Paradis sur celle-ci et une « Demeure » dans les Cieux en attendant votre résurrection. Portez-vous bien ! Cordiales salutations à Tous ! Sig : JP.G. dit « GRANDELOUPO » |
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