Élévation ou Ascension
L’Ascension ou l’Élévation
Pour vous mes semblables, Lectrices et Lecteurs, j’écris sur la fête chrétienne de l’Ascension qui s’avère un peu plus long que ma pensée. Donc je poserai c’est deux fêtes ensemble et en plusieurs chapitres. J’ai aussi, pour être plus près de la vérité cherché sur Internet l’éphéméride de la Palestine à l’ère de la Pâque juive. Les saisons étant un fait perpétuel, le coucher et le lever du soleil est le même maintenant qu’à l’ère de Jésus le Nazaréen. Le jour de la crucifixion de Jésus le Nazaréen l’éphéméride était : lever du soleil 6h02, coucher du soleil 19h03.
ChapN°1
Résurrection de Jésus le Nazaréen
Jésus le Nazaréen vient de décédé suite à la torture romaine de la crucifixion. En effet pour le gouvernement romain, ce Jésus déplaçant des foules juste avant la fête religieuse juive de la Pâque, était un trublion dans Jérusalem et cela ils ne pouvaient le tolérer.
Les ennemis de Jésus le Nazaréen ne venaient pas trop du pouvoir politique d’occupation de la Palestine, c’est-à-dire des romains, mais il avait plus à craindre du pouvoir religieux de Jérusalem, le Sanhédrin.
Le Sanhédrin groupe de soixante-et-onze membres qui, théoriquement, devaient représenter les douze tribus d’Israël, était une assemblée législative responsable du calendrier hébraïque, aux pouvoirs politiques importants puisqu’il avait le droit de regard sur les actions et décisions du Roi, mais aussi religieux, puisqu’il supervisait les activités du Grand Prêtre pour le Temple. A l’époque de Jésus le Nazaréen cette assemblée était composée de deux courants religieux importants les Sadducéens et les Pharisiens qui se faisaient une lutte féroce pour le pouvoir.
C’est ce pouvoir religieux qui n’appréciait pas la « Nouvelle Direction » que Jésus le Nazaréen donnait au judaïsme. Voilà pourquoi, sournoisement, ils se sont arrangés pour faire condamner ce dernier par les romains.
Depuis l’arrestation de Jésus le Nazaréen, les Apôtres, mais aussi ses Disciples se cachaient pour éviter de se faire arrêter et finir comme leur Maître, cloués sur la croix. C’est Joseph d’Arimathie qui prit possession du corps de Jésus le Nazaréen et après l’avoir enveloppé dans un linceul il le déposa dans le tombeau qu’il s’était fait tailler dans la roche, puis roula une grande pierre pour fermer celui-ci et s’en alla.
Le Sanhédrin craignant que les Apôtres dérobent le corps, scella la pierre du tombeau et installa une garde de soldat romain devant.
Le « Sabbat » en français, « chabbat » en hébreu est le jour de repos soit le septième jour. Pour les hébreux se jour de repos est le « Samedi » donc ce jour commence le vendredi après le coucher du soleil et se termine le samedi après le coucher du soleil à la vue des trois premières étoiles moyennes ce qui fait approximativement entre quarante et soixante minutes après le coucher du soleil, le jour de repos durant ainsi vingt-cinq heures environ. Le vendredi se nomme la « Parascève », ou « Préparation » car c’est le jour où l’on fait les préparatifs pour le sabbat
Matthieu XXVII : 62-63
« Le lendemain, c'est-à-dire après la Préparation, les grands prêtres et les Pharisiens se rendirent en corps chez Pilate et lui dirent :
« Seigneur, nous nous sommes souvenus que cet imposteur a dit, de son vivant : « Après trois jours je ressusciterai ! » »
Le Dimanche pour les hébreux est le premier jour de la semaine. Je vous pose toutes ces explications car cela va pouvoir déterminer le jour de la mort de Jésus le Nazaréen. Une chose est sûr, ce n’est pas un vendredi, donc le « Vendredi Saint » des chrétiens nous prouve involontairement le mensonge de toute la chrétienté avec ces « fameux jours saints ».
Matthieu XXVIII : 1-7
« Après le jour du sabbat, comme le premier jour de la semaine commençait à poindre, Marie de Magdala et l'autre Marie vinrent visiter le sépulcre.
Et voilà qu'il se fit un grand tremblement de terre : l'Ange du Seigneur descendit du ciel et vint rouler la pierre, sur laquelle il s'assit.
Il avait l'aspect de l'éclair, et sa robe était blanche comme neige.
A sa vue, les gardes tressaillirent d'effroi et devinrent comme morts.
Mais l'ange prit la parole et dit aux femmes :
« Ne craignez point, vous : je sais bien que vous cherchez Jésus, le Crucifié.
Il n'est pas ici, car il est ressuscité comme il l'avait dit. Venez voir le lieu où il gisait, et vite allez dire à ses disciples : Il est ressuscité d'entre les morts, et voilà qu'il vous précède en Galilée; c'est là que vous le verrez. Voilà, je vous l'ai dit. » »
Marc XVI : 1-2
« Quand le sabbat fut passé, Marie de Magdala, Marie, mère de Jacques, et Salomé achetèrent des aromates pour aller oindre le corps.
Et de grand matin, le premier jour de la semaine, elles vont à la tombe, le soleil s'étant levé. »
Luc XXIV : 4-12
« Et il advint, comme elles en demeuraient perplexes, que deux hommes se tinrent devant elles, en habit éblouissant.
Et tandis que, saisies d'effroi, elles tenaient leur visage incliné vers le sol, ils leur dirent :
« Pourquoi cherchez-vous le Vivant parmi les morts ?
Il n'est pas ici ; mais il est ressuscité. Rappelez-vous comment il vous a parlé, quand il était encore en Galilée :
Il faut, disait-il, que le Fils de l'homme soit livré aux mains des pécheurs, qu'il soit crucifié, et qu'il ressuscite le troisième jour. »
Et elles se rappelèrent ses paroles.
A leur retour du tombeau, elles rapportèrent tout cela aux Onze et à tous les autres.
C'étaient Marie la Magdaléenne, Jeanne et Marie, mère de Jacques. Les autres femmes qui étaient avec elles le dirent aussi aux apôtres ; mais ces propos leur semblèrent du radotage, et ils ne les crurent pas.
Pierre cependant partit et courut au tombeau. Mais, se penchant, il ne voit que les linges. Et il s'en alla chez lui, tout surpris de ce qui était arrivé. »
Je vous ai posé les versets bibliques des trois évangélistes afin que la résurrection de Jésus le Nazôréen soit le plus complet possible puisque chacun y va de son détail. En lisant ces versets cela nous permet de dire que se sont les femmes en premier qui constatent que Jésus le Nazaréen est ressuscité des morts par son Père. Cela nous apprend aussi que les Apôtres sont à onze dans un endroit de la ville de Jérusalem et que les Disciples sont dans un autre quartier de la ville.
Jésus ne monta aux Cieux tout de suite rejoindre son Père géniteur, et avant de continuer mon écriture personnelle je vais vous poser quelques versets du Disciple Luc l’Évangéliste
Luc XXIV : 13-21 --- Seul le Disciple Luc conte cette histoire ci-dessous. Nous sommes le premier jour de la semaine, le matin de bonne heure les femmes vont au tombeau pour embaumer le corps de Jésus le Nazaréen, mais celui-ci est déjà parti puisque ressuscité par son Père géniteur EL-SHADDAÏ. Ces femmes coururent prévenir les Apôtres et Disciples pour les prévenir de leur constat, mais ces derniers restent sceptiques sur l’évènement ne croyant pas les femmes. La scène ci-dessous se passe dans le début de l’après-midi de ce premier jour de la semaine, soit le Dimanche deux d’entre les Disciples ou Apôtres ayant décidés de quitter Jérusalem pour aller dans un petit bourg du nom d’Emmaüs situé à soixante stades soit à onze kilomètres environ
« Et voici que, ce même jour, deux d'entre eux faisaient route vers un village du nom d'Emmaüs, distant de Jérusalem de soixante stades, et ils conversaient entre eux de tout ce qui était arrivé.
Et il advint, comme ils conversaient et discutaient ensemble, que Jésus en personne s'approcha, et il faisait route avec eux ; mais leurs yeux étaient empêchés de le reconnaître.
Il leur dit :
« Quels sont donc ces propos que vous échangez en marchant ? »
Et ils s'arrêtèrent, le visage sombre.
Prenant la parole, l'un d'eux, nommé Cléophas, lui dit :
« Tu es bien le seul habitant de Jérusalem à ignorer ce qui y est arrivé ces jours-ci ! » -
« Quoi donc ? » leur dit-il.
Ils lui dirent :
« Ce qui concerne Jésus le Nazarénien, qui s'est montré un prophète puissant en œuvres et en paroles devant El-SHADDAÏ et devant tout le peuple, comment nos grands prêtres et nos chefs l'ont livré pour être condamné à mort et l'ont crucifié.
Nous espérions, nous, que c'était lui qui allait délivrer Israël ; mais avec tout cela, voilà le troisième jour depuis que ces choses sont arrivées ! » »
Je continue toujours le chapitre vingt-quatre de l’Évangile de Luc
Luc XXIV : 25-51 -- Je ne vais pas vous copier la Bible, mais pour la bonne compréhension je dois poser l’histoire jusqu’à son déroulement final. Là, vous ferez attention à la fin de ces versets ! Vous possédé un cerveau avec un esprit, alors je vous laisse à votre réflexion, raisonnement et constatations.
« Alors il leur dit :
« O cœurs sans intelligence, lents à croire à tout ce qu'ont annoncé les Prophètes !
Ne fallait-il pas que le Christ endurât ces souffrances pour entrer dans sa gloire ? »
Et, commençant par Moïse et parcourant tous les Prophètes, il leur interpréta dans toutes les Écritures ce qui le concernait.
Quand ils furent près du village où ils se rendaient, il fit semblant d'aller plus loin.
Mais ils le pressèrent en disant :
« Reste avec nous, car le soir tombe et le jour déjà touche à son terme. »
Il entra donc pour rester avec eux.
Et il advint, comme il était à table avec eux, qu'il prit le pain, dit la bénédiction, puis le rompit et le leur donna.
Leurs yeux s'ouvrirent et ils le reconnurent... mais il avait disparu de devant eux.
Et ils se dirent l'un à l'autre :
« Notre cœur n'était-il pas tout brûlant au-dedans de nous, quand il nous parlait en chemin, quand il nous expliquait les Écritures ? »
A cette heure même, ils partirent et s'en retournèrent à Jérusalem. Ils trouvèrent réunis les Onze et leurs compagnons, qui dirent :
« C'est bien vrai ! le Seigneur est ressuscité et il est apparu à Simon ! »
Et eux de raconter ce qui s'était passé en chemin, et comment ils l'avaient reconnu à la fraction du pain.
Tandis qu'ils disaient cela, lui se tint au milieu d'eux et leur dit :
« Paix à vous ! »
Saisis de frayeur et de crainte, ils pensaient voir un esprit.
Mais il leur dit : « Pourquoi tout ce trouble, et pourquoi des doutes montent-ils en votre cœur ? Voyez mes mains et mes pieds ; c'est bien moi ! Palpez-moi et rendez-vous compte qu'un esprit n'a ni chair ni os, comme vous voyez que j'en ai. » Ayant dit cela, il leur montra ses mains et ses pieds. Et comme, dans leur joie, ils ne croyaient pas encore et demeuraient saisis d'étonnement, il leur dit : « Avez-vous ici quelque chose à manger ? » Ils lui présentèrent un morceau de poisson grillé. Il le prit et le mangea devant eux. Puis il leur dit : « Telles sont bien les paroles que je vous ai dites quand j'étais encore avec vous : il faut que s'accomplisse tout ce qui est écrit de moi dans la Loi de Moïse, les Prophètes et les Psaumes. » Alors il leur ouvrit l'esprit à l'intelligence des Écritures, et il leur dit : « Ainsi est-il écrit que le Christ souffrirait et ressusciterait d'entre les morts le troisième jour, et qu'en son Nom le repentir en vue de la rémission des péchés serait proclamé à toutes les nations, à commencer par Jérusalem. De cela vous êtes témoins. » « Et voici que moi, je vais envoyer sur vous ce que mon Père a promis. Vous donc, demeurez dans la ville jusqu'à ce que vous soyez revêtus de la force d'en-haut. » Puis il les emmena jusque vers Béthanie et, levant les mains, il les bénit. Et il advint, comme il les bénissait, qu'il se sépara d'eux et fut emporté au ciel. » Pour être sûr de ma remarque où disons plutôt de mes remarques, je vais vous poser ce que conte Jean, fils Zébédée, celui que Jésus aimait le plus et auquel il confiât sa mère juste avant sa crucifixion. Jean XX : 19-22, 24-29 – Je vous pose ces versets de Jean, surnommé avec son frère ainé Jacques « Les fils du Tonnerre », la première série confirmant le premier jour de la semaine et la visite de Jésus le Nazaréen ressuscité à ses Apôtres afin de leur ouvrir l’Esprit pour qu’ils comprennent le sens des « Écritures » et des Prophéties. La deuxième série avec pour acteur l’Apôtre qui ressemblait le plus à Jésus le Nazaréen, au point que ceux qui les voyaient cote-à-cote pensaient qu’ils étaient jumeaux d’où le pseudonyme de « Didyme » à Judas Thomas, nommé plus couramment Jude Thomas, suite à la trahison de Judas Iscariote, Thomas ne croyant que ce qu’il voyait, et Jésus ressuscité profitant de cet Apôtre pour nous enseigner. « Le soir, ce même jour, le premier de la semaine, et les portes étant closes, là où se trouvaient les disciples, par peur des Juifs, Jésus vint et se tint au milieu et il leur dit : « Paix à vous ! » Ayant dit cela, il leur montra ses mains et son côté. Les disciples furent remplis de joie à la vue du Seigneur. Il leur dit alors, de nouveau : « Paix à vous ! Comme le Père m'a envoyé, moi aussi je vous envoie. » Ayant dit cela, il souffla sur eux et leur dit : « Recevez l'Esprit-Saint // » Mes semblables, vous qui, j’en suis convaincu, désirez faire parti des « Enfant » d’El-Shaddaï, il faut être prudent avec les « Écrits » Bibliques. Exemple ce qui est écrit juste au-dessus : « Recevez l’Esprit-Saint ». Venant de la bouche de Jésus le Nazôréen l’écriture devrait être ainsi : « Recevez l’Esprit-Sain ». Le premier rédigé signifie adorer, vénérer, glorifier, le deuxième signifie propre, sans tache, pur comme le cristal, blanc comme la neige, donc parfait. Comme souvent je l’écris « l’Esprit » est un amalgame de réflexion, raisonnement, pensé de penser, accolé aux sentiments, et qui est éphémère arrivant à la même vitesse qu’il disparaît, sauf si vous le coucher par écrit sur le papier, par la parole sur un magnétophone, par n’importe quel outil qui nous permet de garder vivant ce que nous avons dans le cerveau que l’on nomme « Esprit » Jésus le Nazaréen que fait-il ? Il leur envoie un « vent » puisqu’il souffle sur eux disant « Recevez » Pensez qu’en premier Jésus le Nazaréen par un « Souffle SAIN » offrit aux Apôtres la possibilité qu’ils comprennent Les Livres Sacrés de l’Ancien Testament mais aussi de certains Livres que la religion chrétienne considère comme apocryphe tel les « Livres d’Hénoch ». Suite de Jean « Or Thomas, l'un des Douze, appelé Didyme, n'était pas avec eux, lorsque vint Jésus. Les autres disciples lui dirent donc : « Nous avons vu le Seigneur ! » Mais il leur dit : « Si je ne vois pas dans ses mains la marque des clous, si je ne mets pas mon doigt dans la marque des clous, et si je ne mets pas ma main dans son côté, je ne croirai pas. » Huit jours après, ses disciples étaient de nouveau à l'intérieur et Thomas avec eux. Jésus vient, les portes étant closes, et il se tint au milieu et dit : « Paix à vous. » Puis il dit à Thomas : « Porte ton doigt ici : voici mes mains ; avance ta main et mets-la dans mon côté, et ne deviens pas incrédule, mais croyant. » Thomas lui répondit : « Mon Seigneur et mon Dieu ! » Jésus lui dit : « Parce que tu me vois, tu crois. Heureux ceux qui n'ont pas vu et qui ont cru. » » Toujours avec la même sincérité, pour vous mes semblables, afin de vous guider vers ce « Dieu » unique, cet Être Suprême, je me pose là question si « Thomas lui répondit : « Mon Seigneur et mon Dieu » Jésus lui dit : », n’est pas un ajout grossier de copiste un peu zélé, car ce petit morceau de contexte biblique tenterait de nous faire croire que l’Apôtre Thomas considèrerait Jésus le Nazaréen comme un « Dieu », ce qui bien sûr supprimerait l’unicité d’EL-SHADDAÏ, Père géniteur de Jésus le Nazaréen et aussi le nôtre en temps que « Père créateur ». Je vous laisse seul juge, mais reconnaissez qu’EL-SHADDAÏ éclaire bien mon « Esprit ». Toujours avec la même attention de vérité pour vous mes semblables, vous discernerez le temps qu’il y a eu entre le premier jour de la semaine, jour où sans doute Jésus le Nazaréen fut ressuscité de l’Hadès, mais également la visite le soir, avant le coucher du soleil, qu’il fit à ses Apôtres barricadés dans leur retraite par crainte des juifs, et cette seconde visite toujours au même endroit, huit jours après, où il se matérialise afin que les Apôtres le voient. Avant les prochains écrits et par la lecture de ceux-ci demandez à ce Dieu unique d’acquérir la « Sagesse », car par elle, vous avancerez sur le chemin d’EL-SHADDAÏ et votre transformation de penser et d’action sur cette Terre vous mènera vers un début de Paradis sur celle-ci et une « Demeure » dans les Cieux en attendant votre résurrection. Portez-vous bien ! Cordiales salutations à Tous ! Sig : JP.G. dit « GRANDELOUPO »
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Secte, Religion, Païenne, La Chrétienté
Pendant quelques chapitres je vais vous écrire la naissance d’une religion qui est aujourd’hui la première mondiale par le nombre de ses fidèles, mais aussi par tous les Ordres Monastiques ainsi que toutes les sectes se rattachant même indirectement à cette Religion-Mère qui fonctionne pour ces Dirigeants comme une secte.
Cette religion, embryon du judaïsme même si elle le nie, les écrits politiques historiques prouvant le contraire et confirmant sa naissance du judaïsme, prendra sa légitimité par un homme hors du commun des mortels un Galiléen du nom de Jésus le Nazôréen fils du charpentier de Nazareth.
Ces seules armes seront son Esprit de raisonnement, de réflexion, son Verbe, son Amour pour la race humaine, rappelant toujours les Lois indestructibles de son Père géniteur, que je nomme EL-SHADDAÏ ---{ Dieu au-dessus des Montagnes } --- comme Abram ou Abraham, son véritable NOM ayant été rendu « TABOU » par les humains, qui l'ont supprimé de tous les « Écrits », en le remplaçant par un tétragramme « YHWH. » et que cette religion nomme vulgairement « Dieu ».
Ce Galiléen fait encore aujourd’hui couler beaucoup d’encre, car entouré d’un « Mystère » inexplicable de sa naissance à sa mort, doté d'une rare « Sagesse », d’une « Connaissance » de la matière et de l’immatériel du corps humain, d’un pouvoir incommensurable et d’une « Intelligence » phénoménale.
Il s’entoura de soixante-douze « Disciples » dans lequel il choisit douze « Apôtres » qui représentaient les douze Tributs d’Israël. Après les avoir enseignés sur les Lois et Préceptes de son Père géniteur, puis sur un Enseignement personnel, il les envoyât sur la surface de la Terre pour instruire tous les humains qui vivaient sur celle-ci faisant des « Disciples », leur inculquant ce onzième commandement.
Matthieu XIX : 19, XXII : 39, Marc XII : 31, etc
« Tu aimeras EL-SHADDAÏ ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme et
« Tu aimeras ton prochain comme toi-même ! »
Mais aussi :
« Aime ton frère (semblable) comme ton âme ; veille sur lui comme sur la pupille de ton œil. » --- Papyrus Oxyrhynque I ---
Ce bel homme, à l’image de son Père et de ceux qui vivent avec lui, de caractère dur, autoritaire, d'une grande force, au verbe haut, imposant la crainte, le respect, mais aussi la gentillesse et l’amour fut tout le long de sa vie parfaite sur la Terre, un « PARANGON. »
De l'enseignement de cet homme, les humains en ont fait en à peine IV siècles { quatre cents ans } une Religion d'Idolâtre
C'est cette histoire que j'écris ! ...
Dernières lignes du chapitre précédent
Sans aucun doute ces Écrits déplaisaient, dérangeaient certains Dignitaires « Évêques »
Le résumé…..
« Un homme, du nom de Lycomède, que Jean l’Apôtre de Jésus le Nazaréen avait converti…. ( moderne au christianisme,…..à l’époque Secte des Nazôréen ou Nazaréen….) avec sa famille, demanda à l’un de ses amis peintre de faire le portrait de Jean. Cet homme suivi Jean dans toutes ses réunions, et réalisa un magnifique tableau. Il remit son œuvre fini à Lycomède, qui, à la vue du portrait fut rempli de joie. Celui-ci suspendit le tableau, le couronna ; il priait devant cette image peinte. Un jour Jean lui rendit visite. Il vit le portrait suspendu, couronné, avec placé devant des lumières et des autels.
Jean lui demanda :
« -Lequel de tes dieux se trouve-t-il peint ici ?
Je vois que tu vis comme un païen ! »
-« C’est toi l’homme peint sur ce portrait, toi que je couronne, embrasse, vénère puisque tu es devenu pour moi un guide. »
-« Mais ce que tu viens de faire est puéril et imparfait. Non que ces choses restent indignes d’être recherchées !….
Tout cela est risible !…
Recherche plutôt les choses qui sont vraiment dignes d’être recherchées ! »
Moi, le « Païen », si j’ai bien compris, Jean considérait que l’adoration d’une image, d’un portrait,…était une action « Idolâtre ».
Pourtant, vous « Chrétiens », c’est ce que vous faites !…
Je comprends pourquoi ces « ÉVÊQUES » ont déclaré hérétique ces Écrits, et les ont supprimés.
Vous tous les « Catholiques, Orthodoxes, les CHRÉTIENS », je vous laisse à vos réflexions, mais pour moi, « le PAÏEN », je suis fier d’être Païen.
Chapitre N°7
Suite, Dogmes du Christianisme
Je constate qu’à ce jour vous êtes toujours des « IDOLÂTRES », vous vous prosternez, signez bien devant des sculptures, statues, icônes comme des vitraux, tableaux…, je ne suis pas un menteur !…
Où est la différence entre « Vous », les « Bouddhistes », et nos «Ancêtres » devant les effigies de Jupiter, Osiris, Thor, Iran, Taranis, Teutatès, Ningishzida, Ouranas,…
Vous êtes comme EUX !…
Quelques exemples de vie de vos …fameux « Saints »… ces Évêques théologiens, historiens, traducteurs, …responsables de la déchéance de cette « Chrétienté ». Ce sont eux qui ont remanié les « Écrits Originaux », qui ont inventé vos « Lois dogmatiques, voir sectaires », et qui avec vanité, orgueil, autorité, hypocrisie et mensonges, prétextant l’ « inspiration Divine », en oubliant le primordial, l’enseignement originel de Jésus le Nazaréen, de ses Apôtres et Disciples, ont fait du christianisme primitif cette « Religion de trois milliards d’ouailles Idolâtres »
Voici un extrait de texte prophétique dicté à Moïse au Mont Horeb dans le Sinaï pendant les 40 jours…..extraits trouvés dans les grottes de la Mer-Morte à Qumran…
Manuscrits de la Mer Morte :
« ….//….les Pasteurs, Anciens, Presbytres, Prêtres, ces pécheurs, altèrent et récrivent les paroles de vérité ; ils en changent la plupart, ils mentent et forgent de grandioses fictions, ils rédigent des Écritures en leur « NOM ». Ces hommes détournent et corrompent beaucoup et ils disent des paroles mauvaises,[……..].. Si seulement ils écrivaient en leur « NOM » toutes mes paroles, fidèlement, sans les abolir ni les altérer, mais en rédigeant fidèlement les témoignages que je leur transmets !…..//… » ---- ( voir le Livre d’Hénoch CIV : 10 )
Vous comprenez maintenant pourquoi ces Évêques ont supprimé certains « LIVRES » ---- Énoch ou Hénoch, Baruch, Esdras, …----
Fête de Noël
Étonnant ! …
En 354 l’Évêque de Rome, LIBÈRE, --- évêque de Rome de 352 à sa mort 366 --- décide que la naissance de Jésus Christ est un 25 Décembre, jour où la Rome païenne célèbre la naissance de Mithra, « Sol Invictus » --- Dieu Invaincu ---
En choisissant cette date il assimile les fêtes païennes célébrées autour du solstice d’hiver, la fête du Sapin, de la bûche, les Saturnales commémorées dans toute l’Europe.
Parenthèse historique :
« Le mithraïsme était alors une religion concurrente du christianisme.
Son culte était surtout très populaire dans les armées, ce qui engagea une rivalité farouche entre les croyants des deux religions, à tel point que l'Église dut faire de nombreuses concessions au culte païen de Mithra ---- [ on sait par exemple aujourd'hui que c'est parce que le culte de Mithra se situait aux alentours de l'actuel solstice d'hiver que l'on fête Noël le 25 décembre.] --- »
Autre source :
« Dans la Rome païenne avaient lieu les « Saturnales », du 17 décembre aux « Calendes » de janvier, premier jour de l'an romain. L'une des fêtes, « Natalis Invicti » --- Nativité de l'Invaincu --- ou « Sol Invictus » --- Soleil Invaincu ---, célébrait justement la naissance de Mithra, dieu de la lumière, symbolisant la pureté, la chasteté et combattant contre les forces obscures, le 25 décembre par le sacrifice d'un jeune taureau »
Quelques siècles pus tard …
« FRANCOIS d’ASSISE »--------
[ Saint ]---François d’Assise---29/04/1182….03/10/1226-----
Fondateur de « l’Ordre des Franciscains ».
Son véritable nom est Jean Bernardone et son père le surnommait « Francesco » [ ancien le « François »-----Français---]. Comme « saint » Augustin d’Hippone, il mène « grande vie », et fait la guerre à la noblesse d’Assise et de Pérouse.
Il est emprisonné un an et contracte une maladie [ sans doute vénérienne] qui calme ses ardeurs. Nous sommes en 1203. Il faut attendre 1206 pour qu’il rentre en religion.
En 1223 François d’Assise invente la « CRÈCHE », pour un office religieux nocturne dans une grotte de Greccio en Italie, avec des personnages et des animaux vivants, tout particulièrement le bœuf et l’âne. Cet usage de la crèche ce fait à Noël dans la « Famille » franciscaine, puis se répand dans tous les foyers.
Suite à sa rencontre avec le Sultan à Damiette, port égyptien, on ajoutera les cloches et l’Angélus.
Quelques mots sains du vocabulaire des paroles et écrits des premiers « Croyants » qui ont été transformés de leur sens originel.
« Catholique » , maintenant protestant, orthodoxe, chrétien …
Ier, IIème siècle, Catholique du grec --- katholicos --- signifie « Universel »
« Église » bâtisse de pierre où autre, employée pour désigner certaines sectes
Ier, IIème siècle une Église du grec --- ékklésia --- était une « Assemblée »…
Donc :
Église Catholique = « Assemblée Universelle »
« Paroisse », Circonscription administrative rurale, ecclésiastique où s’exerce le ministère d’un curé
Ier, IIème siècle « Paroisse » du grec --- paroikien--- signifie --- « habiter auprès, vivre au milieu de » ---- lire la Genèse avec Abraham.
A l’ère Chrétienne « l’Assemblée ---[ Église]--- séjournant dans la « Paroisse » --- [ paroikousa ]--- de tel endroit … »
Le mot fut transformé en « paroikia », le latin en « parochia », et le français en « paroisse », mais en oubliant son sens premier.
Donc, cela signifiait :
Vivre au milieu de « L’Assemblée Universelle »
Tout au long de l’Ancien Testament, on retrouve, comme dans le judaïsme, l’affirmation que seul EL-SHADDAÏ est « Saint ».
« Saint », aujourd’hui ne signifie plus rien.
Dans le vocabulaire de « l’Église » primitive on appelait « SAIN » --- { je n’ai fait aucune faute d’orthographe car quelque chose de sain, comme bon à manger s’écrit ainsi }--- une personne baptisée, car elle se purifiait par le baptême en abandonnant ses anciennes mœurs. Vers la fin du IIème siècle, début de l’IIIème un Évêque important décréta que la personne était « sanctifiée » par le baptême et on les appelât « Saint ».
Quel détournement de ce mot !... !…
Car « Purifier » signifie rendre propre, mais « Sanctifier » signifie vénérer, adorer, le début vers « l’Idolâtrie »
Des mots comme ceux-ci, plus d’une centaine ont été détourné de leur sens primitif.
« CHRÉTIEN »
Paul faisait partie de la « secte des Nazaréens ». Lire la dénonciation de Tertul.
Le premier à employer le terme « Chrétien » est Polycarpe [69 ou 89----167] dans une Lettre envoyée à plusieurs Églises d’Asie Mineur et dans un courrier remis à l’empereur Marc-Aurèle ---{ 26 Avril 121 ---- 17 Mars 180 } --- :
« Je ne suis pas de ceux que vous nommez ----[ secte des Nazôréens….Nazaréen…] mais je suis « CHRÉTIEN » comme tous ceux qui suivent l’enseignement de Jésus le Nazôréen cet oint de Dieu son PÈRE, que beaucoup appellent « Christ »…. »
Il faudra attendre encore 100, 150 ans avant que le terme « Chrétien » soit dans le langage courant.
Celse, philosophe romain du II ième siècle écrivit :
« Certains Chrétiens - [Évêques de la secte de Jésus de Nazareth ]- ont remanié le Texte original de l’Évangile trois ou quatre fois, ou plus encore, et l’ont altéré pour pouvoir opposer des négations aux critiques. »
Plus tard Origène ---[185--254]---théologien grec, ennemi intellectuel de Celse reconnaîtra lui-même :
« Aujourd’hui le fait est évident. Il y a beaucoup de diversité dans les manuscrits, soit par la négligence de certains copistes, soit par l’audace perverse de quelques-uns uns à corriger le Texte, soit encore du fait de ceux qui ajoutent ou retranchent à leur gré en jouant le rôle de correcteurs des « Textes Originaux ». »
Certains critiques littéraires :
---- « La littérature consacrée à Jésus ou attribuée aux Apôtres :
« Ce qui favorise la suivie d’un Texte ou l’entrave, c’est le rapport qu’entretient le Texte avec la vérité doctrinal du moment. Cette remarque se vérifie à propos de la littérature Chrétienne, dite patristique du IIème et IIIème siècle et suivant. Ce n’est pas la vérité historique ni l’authenticité qui facilitèrent le suivie d’un Écrit ou sa mort. De nombreux « souvenirs » inauthentiques ont survécu, alors que d’innombrables « souvenirs » historiques se sont estompés----« le dogme »----//
Certaines sentences de Jésus furent créées de toutes pièces pour répondre à un besoin pressant tel que :
[ On créa à Antioche un système hiérarchique et, pour le conforté un Évêque « prophète chrétien » s’estimant inspiré, prononça pour la première fois la fameuse sentence ]
---Tu es Pierre et sur cette pierre je bâtirai mon Église------
Il vous faudra attendre quelques jours pour la prochaine lecture !
Portez-vous bien et prenez soin de vous !
Cordialement
Sig : JP.G. dit « GRANDELOUPO »
gSecte, Religion, Païenne, La Chrétienté
Pendant quelques chapitres je vais vous écrire la naissance d’une religion qui est aujourd’hui la première mondiale par le nombre de ses fidèles, mais aussi par tous les Ordres Monastiques ainsi que toutes les sectes se rattachant même indirectement à cette Religion-Mère qui fonctionne pour ces Dirigeants comme une secte.
Cette religion, embryon du judaïsme même si elle le nie, les écrits politiques historiques prouvant le contraire et confirmant sa naissance du judaïsme, prendra sa légitimité par un homme hors du commun des mortels un Galiléen du nom de Jésus le Nazôréen fils du charpentier de Nazareth.
Ces seules armes seront son Esprit de raisonnement, de réflexion, son Verbe, son Amour pour la race humaine, rappelant toujours les Lois indestructibles de son Père géniteur, que je nomme EL-SHADDAÏ ---{ Dieu au-dessus des Montagnes } --- comme Abram ou Abraham, son véritable NOM ayant été rendu « TABOU » par les humains, qui l'ont supprimé de tous les « Écrits », en le remplaçant par un tétragramme « YHWH. » et que cette religion nomme vulgairement « Dieu ».
Ce Galiléen fait encore aujourd’hui couler beaucoup d’encre, car entouré d’un « Mystère » inexplicable de sa naissance à sa mort, doté d'une rare « Sagesse », d’une « Connaissance » de la matière et de l’immatériel du corps humain, d’un pouvoir incommensurable et d’une « Intelligence » phénoménale.
Il s’entoura de soixante-douze « Disciples » dans lequel il choisit douze « Apôtres » qui représentaient les douze Tributs d’Israël. Après les avoir enseignés sur les Lois et Préceptes de son Père géniteur, puis sur un Enseignement personnel, il les envoyât sur la surface de la Terre pour instruire tous les humains qui vivaient sur celle-ci faisant des « Disciples », leur inculquant ce onzième commandement.
Matthieu XIX : 19, XXII : 39, Marc XII : 31, etc
« Tu aimeras EL-SHADDAÏ ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme et
« Tu aimeras ton prochain comme toi-même ! »
Mais aussi :
« Aime ton frère (semblable) comme ton âme ; veille sur lui comme sur la pupille de ton œil. » --- Papyrus Oxyrhynque I ---
Ce bel homme, à l’image de son Père et de ceux qui vivent avec lui, de caractère dur, autoritaire, d'une grande force, au verbe haut, imposant la crainte, le respect, mais aussi la gentillesse et l’amour fut tout le long de sa vie parfaite sur la Terre, un « PARANGON. »
De l'enseignement de cet homme, les humains en ont fait en à peine IV siècles { quatre cents ans } une Religion d'Idolâtre
C'est cette histoire que j'écris ! ...
Dernières lignes du chapitre précédent
Chapitre N°6
Dogmes du Christianisme
La « COMMUNION »
La « Communion » désigne, dans la religion chrétienne mais plus particulièrement chez les catholiques et les orthodoxes, l'actualisation du sacrifice de Jésus avec ses disciples, la veille de sa Passion. Ce repas est appelé la Cène par les chrétiens.
Cette « fraction » du pain, avec le vin --- ce fameux Mystère de l’Eucharistie qui n’en n’est pas un --- perpétue l’accord qui avait eu lieu entre EL-SHADDAÏ et son peuple à l’ère de Moïse.
Jésus le Nazaréen par ce geste de la « fraction » du pain confirmait l’alliance de son Père, surtout que cette « Cène » se passait pendant les fêtes de la Pâques c’est à dire la fête des Azymes qui durait sept jours.
La « communion », nommée aussi « Eucharistie », aujourd’hui n’est qu’une fausse commémoration de ce qu’aurait dit et fait Jésus le Nazaréen. L’Apôtre le plus proche de Jésus ce jour là, celui qu’il aimait le plus, n’écrit absolument rien sur cette « Cène ».
Le fait le plus étonnant, à ce dernier repas de JÉSUS le Nazaréen, ait qu’il n’a jamais dit :
« Faites ceci en mémoire de moi »
Cette phrase est une véritable invention !
Les quatre « ÉVANGILES » n’écrivent pas exactement la même chose pour ce repas de « la CÈNE ».
L’Apôtre Jean ne dit rien
L’Apôtre Matthieu et le Disciple Marc écrivent exactement la même chose.
Quant au Disciple Luc, c’est la véritable confusion
De source officielle nous savons aujourd’hui qu’il existe deux Évangiles de « LUC » une version courte et une version longue. Celle que nous avons dans nos Bibles est la version longue, c’est à dire la version courte remaniée avec d’énormes rajouts dû aux copistes comme
« Faites ceci en mémoire de moi ».
Je vais vous poser les versets de la Bible, Luc en premier 22 : 14 - 19, où par vous-même vous vous apercevrez de certaine anomalie et ensuite Matthieu 26 : 26 - 29, Marc 14 : 22 - 25 étant la même chose.
Luc 22 : 14 - 19
Lorsque l'heure fut venue, il se mit à table, et les apôtres avec lui.
Et il leur dit :
« J'ai ardemment désiré manger cette pâque avec vous avant de souffrir ; car je vous le dis, jamais plus je ne la mangerai jusqu'à ce qu'elle s'accomplisse dans le Royaume de Dieu. »
Puis, ayant reçu une coupe, il rendit grâces et dit :
« Prenez ceci, et partagez entre vous ; car, je vous le dis, je ne boirai plus désormais du produit de la vigne jusqu'à ce que le Royaume de Dieu soit venu. »
Puis, prenant du pain, il rendit grâces, le rompit et le leur donna, en disant :
« Ceci est mon corps, donné pour vous ; faites cela en mémoire de moi. »
Il fit de même pour la coupe après le repas, disant :
« Cette coupe est la nouvelle Alliance en mon sang, versé pour vous. »
Le terme « faites ceci … » prouve bien qu’il y a un ajout au texte, le point virgule en offre la certitude.
Si ces paroles avaient été vraiment prononcées par Jésus le Nazaréen, je vois difficilement Marc et Matthieu, sans parler de Jean, omettre celles-ci dans leur évangile
Vous venez de lire le texte de Luc, mais l’avez-vous lu avec attention, en comparaison avec les textes de l’Évangile de Matthieu et de Marc ? …
Matthieu 26 : 26 - 29
Or, tandis qu'ils mangeaient, Jésus prit du pain, le bénit, le rompit et le donna aux disciples en disant :
« Prenez, mangez, ceci est mon corps. »
Puis, prenant une coupe, il rendit grâces et la leur donna en disant :
« Buvez-en tous ; car ceci est mon sang, le sang de l'alliance, qui va être répandu pour une multitude en rémission du péché. ( des péchés ).
Je vous le dis, je ne boirai plus désormais de ce produit de la vigne jusqu'au jour où je le boirai avec vous, de nouveau, dans le Royaume de mon Père. »
Voilà les véritables paroles de « JÉSUS » :
« Je vous le dis, je ne boirai plus désormais de ce produit de la vigne jusqu'au jour où je le boirai avec vous, de nouveau, dans le Royaume de mon Père. »
Ni l’Apôtre Matthieu, ni le Disciple Marc ne citent cette phrase :
« Faites cela en mémoire de moi. »
Quant au sang de Jésus celui-ci réitère bien le sang de l’alliance fixé par son Père EL-SHADDAÏ avec Moïse : Exode 24 : 8,
« Moïse, ayant pris le sang, le répandit sur le peuple et dit :
« Ceci est le sang de l'Alliance que Yahvé a conclue avec vous moyennant toutes ces clauses. »
Je reviendrai sur ce thème important de la « Cène » ou devrai-je dire du commandement éternel de la célébration de la « Pâque »
Continuons
« Mariage », « Décès » « Divorce » idem … !
Dans le chapitre 24 du deutéronome le divorce est autorisé.
Dans Matthieu chapitre 19 : 7-9 la réponse de Jésus est un peu plus compliqué.
« Pourquoi donc, lui disent-ils, Moïse a-t-il prescrit de donner un acte de divorce quand on répudie ? » -
« C'est, leur dit-il, en raison de votre dureté de cœur que Moïse vous a permis de répudier vos femmes ; mais dès l'origine il n'en fut pas ainsi.
Or je vous le dis : quiconque répudie sa femme - pas pour « prostitution » - et en épouse une autre, commet un adultère. »
Vous constaterez que Jésus la Nazaréen parle de « Vos femmes » donc il est logique de penser qu’un homme avaient plusieurs femmes, comme il était courant à cette époque si vous pouviez les nourrir, vêtir, etc.
La confirmation est dans les « Questions de Barthélemy » où la réponse de Jésus le Nazaréen est plus claire.
Je cite :
Jésus à dit :
« Le fait de ne se marier qu’une fois est affaire de sainteté. En vérité je te le dis : après la troisième femme, celui qui pèche est indigne de mon Père. »
Tous ces Pasteurs, Évêques, Papes, Popes, Cardinaux au cours des siècles ont transformé les Écrits, puis en ont écrit d’autres de leur pure invention à leur avantage, prenant Jésus le Nazaréen, ce « Fils de l’Homme » et son Père « EL-SHADDAÏ » le Roi des Âges à témoin et responsable, puisqu’ils certifiaient qu’ils écrivaient,
« Sous une inspiration Divine »
Quel blasphème ! …
Simplement qu’ils donnent une confirmation du Livre d’Hénoch
En effet, Hénoch rapportant les paroles d’EL-SHADDAÏ sur les dirigeants religieux :
« Maintenant je vous dis un autre Mystère. Les Pasteurs, ces pécheurs, altèrent et récrivent les paroles de vérité. Ils en changent la plupart, ils mentent et forgent de grandioses fictions, ils rédigent des Écritures en leur Nom. Ces hommes détournent et corrompent beaucoup et ils disent des paroles mauvaises. Si seulement ils écrivaient en leur Nom toutes mes paroles, fidèlement, sans les abolir ni les altérer, mais en rédigeant fidèlement les témoignages que je leur transmets ! » { I Hénoch, CIV :10 p,619 }
Le début de l’idolâtrie du Christianisme.
Vers le milieu du IIIème siècle le « christianisme » produit des images religieuses, ----- de reliques, tombeaux, hommes, femmes, les Évêques appelant ces humains « SAINT » -------que ses adeptes vénèrent, mais les dirigeants comme les ouailles ne nomment pas ces images, sculptures, peintures, statues, « Idoles » mais les nomment « Icônes ». En 330 - 340 le culte de la « Croix » fait son apparition.
En 726 l’empereur byzantin LÈON III prend position, en public, contre le culte des « images » -----ou « icônes »----.
L’Évêque de Rome, Grégoire II, ne l’approuve pas.
Les persécutions commencent contre les adorateurs des reliques et des icônes.-----donc contre beaucoup de Chrétiens-----
En 754 l’empereur CONSTANTIN V, fils de LÉON III, convoque tous les Évêques de l’empire Romain, Orientaux et Occidentaux. En accord avec eux, comme son père, il condamne l’adoration des « Icônes » rappelant les « ÉCRITS BIBLIQUES », du Décalogue :---Exode ch.20 versets 4-6---
--- « Tu ne feras point d’images taillées -----------
Tu ne te prosterneras pas devant ces ----------- car je suis… » ---
Le premier Pontife « Pape » ÉTIENNE II approuve !
Après la mort de CONSTANTIN V en 775 les persécutions s’apaisent un peu. Il faut attendre 787 pour que le culte des images soit restauré grâce à IRÉNE épouse de LÉON IV fils de Constantin V.
Mais en 813 LÉON V provoque un second iconoclasme plus dur que le premier. Il faudra attendre 843 pour une restauration définitive de l’iconolâtrie.
Voici le résumé d’un texte des Actes de Jean. --- ( E.A.C. p 992-3-4 - chap.27 - 29 )
Ces Actes furent considérés comme hérétiques vers le milieu du IVème siècle, puis blasphématoire au Concile de Nicée en 787….condamnés à être brûlés avec beaucoup d’autres Écrits comme l’Épître des Apôtres.
Sans aucun doute ces Écrits déplaisaient, dérangeaient certains Dignitaires « Évêques »
Le résumé…..
« Un homme, du nom de Lycomède, que Jean l’Apôtre de Jésus le Nazaréen avait converti…. ( moderne au christianisme,…..à l’époque Secte des Nazôréen ou Nazaréen….) avec sa famille, demanda à l’un de ses amis peintre de faire le portrait de Jean. Cet homme suivi Jean dans toutes ses réunions, et réalisa un magnifique tableau. Il remit son œuvre fini à Lycomède, qui, à la vue du portrait fut rempli de joie. Celui-ci suspendit le tableau, le couronna ; il priait devant cette image peinte. Un jour Jean lui rendit visite. Il vit le portrait suspendu, couronné, avec placé devant des lumières et des autels.
Jean lui demanda :
« -Lequel de tes dieux se trouve-t-il peint ici ?
Je vois que tu vis comme un païen ! »
-« C’est toi l’homme peint sur ce portrait, toi que je couronne, embrasse, vénère puisque tu es devenu pour moi un guide. »
-« Mais ce que tu viens de faire est puéril et imparfait. Non que ces choses restent indignes d’être recherchées !….
Tout cela est risible !…
Recherche plutôt les choses qui sont vraiment dignes d’être recherchées ! »
Moi, le « Païen », si j’ai bien compris, Jean considérait que l’adoration d’une image, d’un portrait,…était une action « Idolâtre ».
Pourtant, vous « Chrétiens », c’est ce que vous faites !…
Je comprends pourquoi ces « ÉVÊQUES » ont déclaré hérétique ces Écrits, et les ont supprimés.
Vous tous les « Catholiques, Orthodoxes, les CHRÉTIENS », je vous laisse à vos réflexions, mais pour moi, « le PAÏEN », je suis fier d’être Païen.
Dans quelques jours je vous poserai la suite, une fois écrite.
En attendant prenez soin de vous et portez-vous bien !
Amicalement !
Sig : JP.G. dit « GRAND-LOUP » ou « GRANDELOUPO »
Pape recevant les Indulgences
Secte, Religion, Païenne, La Chrétienté
Pendant quelques chapitres je vais vous écrire la naissance d’une religion qui est aujourd’hui la première mondiale par le nombre de ses fidèles, mais aussi par tous les Ordres Monastiques ainsi que toutes les sectes se rattachant même indirectement à cette Religion-Mère qui fonctionne pour ces Dirigeants comme une secte.
Cette religion, embryon du judaïsme même si elle le nie, les écrits politiques historiques prouvant le contraire et confirmant sa naissance du judaïsme, prendra sa légitimité par un homme hors du commun des mortels un Galiléen du nom de Jésus le Nazôréen fils du charpentier de Nazareth.
Ces seules armes seront son Esprit de raisonnement, de réflexion, son Verbe, son Amour pour la race humaine, rappelant toujours les Lois indestructibles de son Père géniteur, que je nomme EL-SHADDAÏ ---{ Dieu au-dessus des Montagnes } --- comme Abram ou Abraham, son véritable NOM ayant été rendu « TABOU » par les humains, qui l'ont supprimé de tous les « Écrits », en le remplaçant par un tétragramme « YHWH. » et que cette religion nomme vulgairement « Dieu ».
Ce Galiléen fait encore aujourd’hui couler beaucoup d’encre, car entouré d’un « Mystère » inexplicable de sa naissance à sa mort, doté d'une rare « Sagesse », d’une « Connaissance » de la matière et de l’immatériel du corps humain, d’un pouvoir incommensurable et d’une « Intelligence » phénoménale.
Il s’entoura de soixante-douze « Disciples » dans lequel il choisit douze « Apôtres » qui représentaient les douze Tributs d’Israël. Après les avoir enseignés sur les Lois et Préceptes de son Père géniteur, puis sur un Enseignement personnel, il les envoyât sur la surface de la Terre pour instruire tous les humains qui vivaient sur celle-ci faisant des « Disciples », leur inculquant ce onzième commandement.
Matthieu XIX : 19, XXII : 39, Marc XII : 31, etc
« Tu aimeras EL-SHADDAÏ ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme et
« Tu aimeras ton prochain comme toi-même ! »
Mais aussi :
« Aime ton frère (semblable) comme ton âme ; veille sur lui comme sur la pupille de ton œil. » --- Papyrus Oxyrhynque I ---
Ce bel homme, à l’image de son Père et de ceux qui vivent avec lui, de caractère dur, autoritaire, d'une grande force, au verbe haut, imposant la crainte, le respect, mais aussi la gentillesse et l’amour fut tout le long de sa vie parfaite sur la Terre, un « PARANGON. »
De l'enseignement de cet homme, les humains en ont fait en à peine IV siècles { quatre cents ans } une Religion d'Idolâtre
C'est cette histoire que j'écris ! ...
Dernières lignes du chapitre précédent
En effet, les postes ecclésiastiques sont liés à des bénéfices.
Celui qui contrôle l'élection du prélat, contrôle indirectement le bénéfice[]. L'autorité universelle du Pape, proclamé par Grégoire VII depuis 1075 se heurte à l'autorité grandissante du souverain.
Le Pape peut lever des impôts réguliers ou exceptionnels dans tous les pays d'Occident.
L'Église catholique mettra, suite à la Réforme, un frein aux abus les plus criants. Néanmoins, la pratique perdure jusqu'à nos jours, encadrée d'abord par la Congrégation des « indulgences », créée par Clément VIII, 1592–1605, ses compétences sont transférées en 1908 au Saint-Office puis en 1917 à la Pénitencerie apostolique, qui en a toujours la charge.
Chapitre N° 5
Sacrements
Je cite :
« La doctrine des « indulgences » a été rappelée par le concile Vatican II puis la constitution apostolique, Indulgentiarum doctrina, de Paul VI, reprise dans le Code de droit canonique de 1983. Dans le Catéchisme de l'Église catholique de 1992, l'Église réaffirme son droit à octroyer les « indulgences », « en vertu du pouvoir de lier et de délier qui lui a été accordé par le Christ Jésus ». Elle précise que « l'indulgence » libère seulement de la « peine temporelle » du péché et non de la « peine éternelle » — c'est-à-dire de la privation de la « vie éternelle », de la communion avec Dieu.
De nouveau, elle rappelle que « l'indulgence » est accordée au pécheur non pas en vertu de ses pénitences seules, mais de la communion des saints. »
Quand je lis ces textes ci-dessus, je suis fier d’être un « PAÏEN », car cette phrase respire le mensonge, la vanité, l’orgueil. Elle est contraire aux Enseignements de Jésus le Nazaréen, Jésus-Christ pour vous.
Comment peut-on en arriver à un degré aussi important de prétention, d’arrogance ? …
Et vous, « Chrétiens », ce sont ces gens d’une insolence remarquable que vous écoutez et suivez, ces humains qui vous entraînent vers le « Néant », vers votre mort définitive.
Pourquoi continuez-vous à suivre leurs mauvais principes et cet « Enseignement » fallacieux ?
Cela est tellement simple pour vous !
La preuve je l’écris ci-dessous !
Même au Concile Vatican II, le IIème concile œcuménique du Vatican, plus couramment appelé Vatican II, est le XXIème concile œcuménique de l'Église catholique romaine. Il a été ouvert par le pape Jean XXIII en 1962 et clos sous le pontificat de Paul VI en 1965. Les paroissiens comportent encore, dans le chapitre consacré aux prières, une section sur les « indulgences. »
Ainsi, le Paroissien des fidèles publie une liste d'invocations indulgenciées : les invocations « Mon Jésus, miséricorde ! » ou « Cœur agonisant de Jésus, soyez mon amour » correspondent à 100 jours de pénitence, tandis que « Saint Joseph, patron de la bonne mort, priez pour nous » équivaut à 300 jours de pénitence.
J’ignore ce que vous allez penser en lisant ces lignes ci-dessus !
Effarant ces textes officiels de la religion chrétienne !
Avez-vous remarqué qu’un « Saint » a plus d’importance que « Jésus-Christ » puisque, invoquer une « Idole », là un saint en statue, remplace 300 jours de pénitence, alors qu’invoquer « Jésus », le fils d’EL-SHADDAÏ, de Dieu pour les chrétiens, ne supprime que 100 jours de pénitence ? …
Veuillez me pardonner, mais votre « Jésus-Christ », ne vaut pas un pet de lapin ! …
Tiens ! Comme vous considérez votre Jésus-Christ comme un « Dieu », alors c’est vraiment un minuscule « dieu » comparé aux « Saints » comme Saint Joseph ci-dessus qui lui doit être un grand « dieu » puisqu’il vaut trois fois plus ! … !
Je continue : le « BAPTÈME »
Un peu d’histoire ne vous fera pas de mal, à Vous Tous les Chrétiens !… []
Un catéchumène est dans la tradition chrétienne une personne qui n'est pas encore baptisée, mais qui s'instruit pour le devenir.
Le « BAPTÊME » à l’ère primitive du Christianisme signifiait …--- « se purifier » ---
Du Ier au IIIème siècle, il fallait, pour se faire baptiser, avoir l’âge de raison [----environ 15 ans ---] et il était fortement recommandé, conseillé même, d’être marié.
La personne se faisait « baptiser » devant un public pour que le peuple présent soit témoin de son acte volontaire. C’était un geste réfléchi, car par ce comportement devant cette assemblée, elle répudiait son ancienne vie, avec ses mœurs, ses Dieux, ses Idoles.
Sciemment elle acceptait de pratiquer les Lois et Préceptes du « TRÈS-HAUT », « EL-SHADDAÏ », Père de JÉSUS le NAZARÉEN, ainsi que tout l’enseignement de vie dicté par Celui-ci.
Par la grâce de « VOS » Dignitaires Évêques, puis Papes, Cardinaux….--- « ces MONSEIGNEURS » --- cette religion est devenue ce qu’elle est aujourd’hui ! …
Une religion pire que les religions « PAÏENNES » de l’antiquité !…
L’HYPOCRISIE, le MENSONGE, la VANITÉ, l’ORGUEIL … sont ses pierres fondamentales, sans parler de la fornication, homosexualité, pédophilie, etc … ! … !
La devise de cette religion :
« Faites ce que je vous dis, mais ne faites pas ce que je fais ! »
Histoire réelle de la naissance de notre Baptême tel qu’il se pratique aujourd’hui
AUGUSTIN d’HIPPONE,-----[ SAINT AUGUSTIN ]----- 354 - 430 -----, philosophe et théologien. [----loin, même très loin d’être un « SAINT », pour ma pensé personnelle !-----]
Dans sa jeunesse il participait allègrement aux « orgies Romaines », --- [ lire ses confessions,…truculent… ]---- puis il prend une concubine avec laquelle il reste 14 ans. Elle lui donne un fils ADÉODAT.
Augustin étudie l’astrologie, puis fait de la divination.
En 384, 386 il songea à se marier ; un riche mariage, mais il fallait attendre deux ans, la jeune fille n’ayant pas l’âge ---[ 15 ans ]--- Pour ce mariage il renvoya sa concubine.
Ne pouvant plus attendre il reprit une maîtresse.
Augustin se convertit au Christianisme à 32 ans et se fait baptiser le 25 Avril 387
Il est l’une des principales sources de la « doctrine du Péché Originel » et conseil le « Baptême » des enfants de bas âge pour supprimer ce -----« fameux PÉCHÉ »---
La formalisation du concept tient à une lecture de l'épître aux Romains, V :12 de Paul de Tarse explicitée par saint Augustin d'Hippone au IVème siècle.
Chercher l’erreur ! …
---Voici ce verset :
« C’est pourquoi, comme par un seul homme le péché est entré dans le monde, et par le péché la mort, et qu’ainsi la mort s’est étendue sur tous les hommes, parce que tous ont péché… »
Cet homme, « Saint Augustin », est un homme de guerre.
Il écrit :
« On fait la guerre pour obtenir la paix ».
Où sont les paroles de JÉSUS le NAZARÉEN :
« Tu aimeras tes ennemis comme toi même, tu ne les combattras par les armes, mais avec ton Cœur, ton Esprit, par l’amour, le respect, la bonté, la parole juste, douce et ferme à la fois … »
A la fin du XIIème siècle la mortalité infantile est considérable. Aussi la théologie évolue et autorise le baptême « quam primum »---[ dès que possible ]----. Au XIIIème siècle la pratique du « BAPTÊME » sur les nouveau-nés est généralisée.
C’est fini, le « VRAI BAPTÊME » a disparu !…!
Que reste-t-il aujourd’hui de cet engagement personnel, volontaire et pur ?……?…
Comme le disait Tertullien [ 150, 160-----230, 240 ] :
« On ne naît pas CHRÉTIEN, on le devient ! »
Plus déconcertant……!
« La CONFIRMATION »
La « Confirmation », plutôt appelée « Chrismation » est un sacrement de l'initiation chrétienne dans l'Église catholique, l'Église orthodoxe et dans certaines Églises réformées.
La « Confirmation » est le sacrement consistant à oindre d'huile « sainte » une personne baptisée afin qu'elle reçoive le don du Saint Esprit. Alors que par le baptême, le baptisé meurt et ressuscite avec le Christ, le confirmé est empli de l'Esprit Saint comme l'ont été les Apôtres le jour de la Pentecôte.
Pur invention de vos « Dirigeants », …ces Évêques, Papes, Popes, Pasteurs …
Le « Baptême » étant pratiqué à la naissance, il fallait, quelques années plus tard, confirmer ce sacrement qui n’avait plus aucune valeur d’où l’invention de cette « Confirmation » ---[ Chrismation ] ---
Là encore il faudra m’expliquer, encore une fois, qu’est-ce que c’est une huile « sainte », et ayant été moi-même confirmé comment ce fait-il que je ne fus pas plus intelligent après la cérémonie, puisque je recevais le « don du Saint Esprit »
Cette cérémonie de la chrismation, euh, « Confirmation » était complètement inconnue des premiers chrétiens et aucun Enseignement de Jésus le Nazaréen, de ses Apôtres et Disciples, ne fut dit, expliqué, écrit, même sur le Nouveau Testament.
Il faut attendre la fin du IIIème siècle et le début du IVème pour voir apparaître ce sacrement, car un « Intelligent » …, il y en a beaucoup chez les Chrétiens …, promulguât …[ sous influence Divine…. ?……. ?…soi-disant..]…, que la « Confirmation » …, etc …, etc …, …
Du VIème au Xème siècle cette « CONFIRMATION » ce faisait à Pâques avec un Évêque.
Tout comme cet autre « Intelligent », Évêque ou Prophète, qui lui aussi ……[ … sous influence Divine …]…sortit cette fameuse maxime :
--« Tu es Pierre et sur cette pierre je bâtirais mon Église » --- { Mt 16 : 18, }
…..disant avec un culot monstre que ce fut les paroles de Jésus Christ ressuscité.
Tous les exégètes ont prouvé que ce texte est un rajout grossier dans les « Écritures » car cette phrase ne représente à aucun moment la pensée de Jésus le Nazaréen et celle de ses Apôtres et Disciples.
Pour en terminé avec la confirmation, je certifie que vous ne serez pas plus intelligent après qu’avant et en plus vous ne serez pas plus près de votre Dieu, car tout est une question de conscience et de libre-choix.
La « MESSE ».
Le nom vient du latin missa (mittere, « envoyer ») qui signifie « renvoi ». C’est ce même mot qui a donné « mission ».
La « Messe », aux prémices du christianisme, était, quand un groupe de « Nazôréens » se retrouvait, la « fraction du pain » qu’il nommait « Eucharistie » ( Cf Ac 2:42 )
La « fraction » était une nécessité pratique afin de partager le pain consacré pour la communion des fidèles, et continuait à symboliser le partage et la charité fraternelle, afin que tous les assistants mangeassent à leur faim.
Dans le rituel de la Pâque juive, la fraction du pain symbolise les souffrances du peuple d’EL-SHADDAÏ, de Dieu, asservi par les Égyptiens, à la Messe, la fraction du pain symbolise de même les souffrances du Christ.
Le mot vient peut-être aussi de la formule finale de la messe :{ Ite, missa est }, « Allez, c'est l'envoi ». Par la formule { Ite missa est }, le diacre invite le peuple à partir car ce dernier a maintenant une mission d'évangélisation à accomplir après avoir été enseigné. Le peuple est « envoyé » en mission dans le monde.
La « Messe » était une réunion de croyants qui se restauraient entre eux mais qui avaient toujours en premier une pensée pour l’action que le Fils d’EL-SHADDAÏ avait fait.
A l’époque rien n’était dogmatique.
Aucun écrit dans les évangiles du Nouveau Testament ne dit qu’il faut pratiquer une messe tous les jours. Cela n’a jamais été un enseignement du « Fils de l’Homme »
Pur invention humaine.
J’ai même cherché dans les livres « Apocryphes », le mot n’existe même pas. J’ai aussi relu la « Didaché » des « Pères Apostoliques » pas une seule fois ils mentionnent la « Messe ».
Ils enseignent, quand des baptisés { le terme « chrétien » n’existe pas encore } se réunissent, qu’ils rompent le pain et qu’ils boivent du vin, en rendant « grâce » au « Seigneur ».
Ce n’est pas une « Messe » ! …
En 325 Constantin le Grand impose le repos « Dominical ».
Gélase Ier 492-496 profite de ce repos pour faire une « Messe » Dominicale, mais il faudra attendre le Concile de Trente --- 1545-1563 --- pour que cela soit inscrit dans la « Loi » Vaticane et devienne obligatoire.
Souhaitant que cette lecture vous fut agréable et bénéfique, en attendant les prochains Écrits, portez-vous bien en prenant soins de vous et de votre maisonnée.
Cordiales salutations à tous !
Sig : JP.G. dit « Grand-Loup » ou plus particulièrement « GRANDELOUPO »
Prologue
Lectrices, Lecteurs, ce jour je reprends les écrits de ce blog ou je les avais stoppés avec un grand rappel du dernier chapitre pour mémoire. Je stopperai ces écris pour les évènements importants de la religion chrétienne dans son ensemble afin de vous mettre devant l’évidence de l’invention festive de certains évènements tel que la « Pentecôte » ou avant de « l’Ascension » du « Jésus-Christ » que je nomme Jésus le Nazaréen ce qui était le véritable nom de son vivant ainsi que le nom de sa mouvance à Jérusalem et en Asie Mineur.
Chapitre N° 4
Purgatoire et « Indulgences »
Je cite les textes de vos livres car je trouve cela amusant, mais surtout navrant pour vous.
---- « « Le catéchisme pour adultes, publié par la Conférence des évêques de France en 1991 avec l'accord de la Congrégation pour la doctrine de la foi qui a donné le 23 janvier 1991 l'approbation du Saint-Siège, indique simplement ce qui suit :
« ...Pour parvenir à cette contemplation de Dieu, une « étape » de purification, appelée purgatoire, peut être nécessaire. Il ne s'agit ni d'un lieu, ni d'un temps ; on peut parler plutôt d'un état. En tout cas, le purgatoire, qui est bien une peine, n'est pas à concevoir comme une punition, par laquelle Dieu se vengerait en quelque sorte de nos infidélités. La communion avec Dieu, dans laquelle nous introduit la mort, nous fait prendre conscience douloureusement de nos imperfections et de nos refus d'aimer, et du besoin de nous laisser purifier par la puissance salvatrice du Christ.
C'est Dieu lui-même qui purifie et transforme. Mais la Tradition de l'Église catholique affirme que ceux qui sont au purgatoire bénéficient des prières et des supplications adressées en leur faveur à Dieu par leurs frères, et aussi de l'intercession des saints déjà introduits dans la béatitude de la vision de Dieu ». » » ----
Ce fameux « Purgatoire » va devenir une manne sonnante et trébuchante pour le giron de la Chrétienté avec cette invention nommée « INDULGENCE »
Dans l'Église catholique romaine, l’indulgence, du latin indulgere, « accorder », est la rémission totale ou partielle devant Dieu, El-Shaddaï pour moi, de la peine temporelle encourue en raison d'un péché déjà pardonné.
Selon la doctrine catholique, le péché est effacé par le sacrement du pardon, confession. Mais ce sacrement n'enlève pas la peine temporelle due au péché, qui se traduit généralement par un temps de purgatoire si elle n'est pas d'abord purgée sur terre par des actes de foi et de charité, actes de réparation.
Sa pratique, héritée du droit romain, remonte au IIIème siècle.
Il s'agit alors de réintégrer dans le giron de l'Église les chrétiens ayant apostasié pendant les persécutions. Au XIIème siècle, elle reçoit une définition juridique dans les décrétales pontificales : une distinction est clairement établie entre l'absolution, réservée à Dieu, et l'indulgence, qui permet la réconciliation avec l'Église.
L'indulgence est obtenue en contrepartie d'un acte de piété, pèlerinage, prière, mortification, effectué à cette fin dans un esprit de repentir.
Comme vous venez de le lire les Enseignements de Jésus le Nazôréen sont dans les « oubliettes ». Par contre la fertilité intellectuelle des Dirigeants de la chrétienté est très grande. Les humains vont jusqu’à expliquer ce qu’EL-SHADDAÏ, Dieu, pardonne et ce que l’Église justifie.
Remplacer EL-SHADDAÏ il faut le faire !... !
Suite à la grande peste qui eut lieu dans toute l’Europe en 1347 ou 1351 et qui dura cinq ans faisant plus de vingt-cinq millions de victimes, sans compter toutes les autres épidémies, la peur de la mort et de l'enfer eurent comme conséquence le développement du culte marial, des saints, des reliques et la pratiques des « indulgences. »
Le but est de gagner son paradis sur la terre même au prix d'un séjour au purgatoire[]. À la fin du XVème siècle, les indulgences sont un moyen de plus en plus en vogue pour réduire le nombre des années passées par une âme au purgatoire après sa mort.
N’oubliez pas que le « PURGATOIRE » est une invention humaine, mais pour vous fidèles lectrices et lecteurs, vous le savez puisque je vous l’ai déjà écrit ultérieurement.
Elle reflète l'angoisse des âmes[], par la question du salut.
Dès cette époque, on enregistre les premiers abus, la débauche de certains prêtres et moines qui vivent publiquement en concubinage, s'enrichissent avec l'argent des fidèles, principalement la simonie. Les fidèles marchandent auprès du prêtre un acte de charité, souvent sonnant et trébuchant.
[ La simonie est, pour les Chrétiens, l’achat et la vente de biens spirituels, tout particulièrement d’une charge ecclésiastique.]
Ainsi certains prélats devinrent des seigneurs, tirant des profits de la frappe de la monnaie et exerçant le droit de ban. Ils exploitèrent tous les moyens pour accroître leur puissance. Ils jouèrent sur la peur de l’enfer, extorquèrent des dons, et vendirent les sacrements.
Les charges épiscopales et cléricales, vendues, furent l’objet d’un véritable trafic. On vit même des dynasties d’évêques s’établir et de Papes. ]
Les « indulgences » sont par la suite vendues : dès que l'or tombe dans la sébile, l'âme s'échappe du purgatoire. La confusion du spirituel et du matériel accentue les phénomènes de désacralisation de cette époque. []De plus en plus, le fidèle se confesse, non pas poussé par la conscience de la foi, de sa faiblesse, mais par peur de la punition après la mort.
On monnaie également des dispenses à diverses obligations, les sommes ainsi récoltées finançant des édifices religieux ou permettant à certains prélats de mener grand train.
Ainsi la Tour de beurre de la cathédrale Notre-Dame de Rouen doit son surnom à la vente des dérogations accordées pour consommer des matières grasses pendant le carême.
Amorcée dès le XVème siècle et culminante au XVIème siècle, certains dénoncent la corruption de toute la société engendrée par le commerce des « indulgences. »
La naissance de l'imprimerie permet la diffusion d'éditions de bibles en langue vernaculaire ou si vous aimez mieux en langues vulgaires en montrant qu'elle ne fait mention ni des saints, ni du culte de la Vierge, ni du Purgatoire. Ce contact direct habitue le lecteur à avoir une relation personnelle avec les textes saints et à réfléchir par lui-même sur leur signification.
Le texte originel de la bible se trouve ainsi restauré.
A partir du milieu du XVème siècle, le pouvoir d'achat s'amenuise.
Mais ce qui affaiblit le plus l'Église catholique, c'est la perte de la sacralité. Les fidèles voient trop de fils de prêtres devenir prêtres, trop de clercs s'enrichir aux dépends des laïques, trop d'évêques vivant comme des grands seigneurs.
Les facteurs politiques ne sont pas absents non plus. Le développement des États se heurte à la puissance temporelle de l'Église. De plus en plus, les princes cherchent à intervenir dans le choix des membres du Haut-clergé, évêques, abbés.
En effet, les postes ecclésiastiques sont liés à des bénéfices.
Celui qui contrôle l'élection du prélat, contrôle indirectement le bénéfice[]. L'autorité universelle du Pape, proclamé par Grégoire VII depuis 1075 se heurte à l'autorité grandissante du souverain.
Le Pape peut lever des impôts réguliers ou exceptionnels dans tous les pays d'Occident.
L'Église catholique mettra, suite à la Réforme, un frein aux abus les plus criants. Néanmoins, la pratique perdure jusqu'à nos jours, encadrée d'abord par la Congrégation des « indulgences », créée par Clément VIII, 1592–1605, ses compétences sont transférées en 1908 au Saint-Office puis en 1917 à la Pénitencerie apostolique, qui en a toujours la charge.
Je ne fais que conter l’histoire de la religion la plus interplanétaire, celle du christianisme. Vous croyez que cela me fait plaisir d’écrire de tels textes ?... Cela me rend triste pour mes semblables, car ce qu’ils font en ce moment, moi le Païen de Grandeloupo, je l’ai pratiqué aussi.
Heureux humain que je suis aujourd’hui d’avoir ouvert les yeux ainsi que mon esprit de réflexion sur mes pratiques idolâtres, et d’avoir tout abandonné pour suivre le chemin qui mène vers le seul et véritable Dieu EL-SHADDAÏ.
Je réitère, je ne fais partie aujourd’hui d’aucune Secte, d’aucune religion de cette Terre, je mets en pratique le mieux que je peux les Lois d’EL-SHADDAÏ ainsi que les enseignements de son Fils unique, je cite Jésus le Nazaréen, mais surtout ce onzième commandement :
« Tu aimeras ton prochain comme toi-même, en particulier tes ennemis comme la pupille de ton œil. »
Faisant cela je suis, non nous sommes avec mon épouse, les plus heureux du monde et nous avons un aperçu de ce qu’est le Paradis.
Portez-vous bien et prenez soins de vous !
Salutations cordiales !
Sig : JP.G. dit « Grand-Loup » ou « GRANDELOUPO »
Échelle de Jacob
La Pâque le Lundi 14 Avril 2014
Lectrices et Lecteurs
Épilogue
Voilà maintenant sept jours que nous avons célébré la Pâque, et j’espère que vous tous qui me lisez, pour certains depuis plusieurs années et pour d’autres il y seulement quelques semaines, vous avez célébré cette Pâque dans la joie, avec l’amour d’EL-SHADAÏ et de son fils Jésus le Nazaréen.
Vous êtes venus parce qu’un ami, collègue, ou simplement familiale vous a parlé de mes écrits et que par curiosité vous êtes venu lire, puis par le cœur et l’esprit, car vous êtes à la recherche du véritable « Dieu ».
Ce jour, Dimanche toute la chrétienté va fêter « les Pâques » qui sont pour eux la résurrection de leur Jésus-Christ et ils vont faire comme les anciens babyloniens se signer devant le crucifix où une autre image taillée représentant un humain cloué sur une croix. Ce n’est pas un jour de libération, ni de renouveau pour eux, ils restent dans les Ténèbres !
Mes semblables, je conviens qu’il est dur pour nous d’aimer, de vénérer, d’adorer un « Dieu » que l’on ne peut représenter, un « Dieu » sans nom.
Erreur nous sommes peut être aujourd’hui comme il y a cinq mille ans, à l’ère d’Abraham puisque comme lui, nous nommons notre Dieu du nom d’EL-SHADDAÏ, « Dieu au dessus des Montagnes », mais comme lui soyons intègre avec notre Dieu SHADDAÏ, restons lui fidèle jusqu’à notre mort.
EL-SHADDAÏ est un Dieu sans visage où plus réellement un Dieu aux mille visages puisque quand nous croisons notre prochain dans la rue nous avons l’image de notre Dieu. Pourquoi lui façonner une statue, nous saurions dans l’obligation d’en fabriquer mille différentes et cela ne serai pas assez pour le représenter ?
Pensez à l’échelle de Jacob, c’est ce que nous faisons tous les jours. Nous montons à cette échelle en direction de ce Dieu seul, unique, celui que nous nommons EL-SHADDAÏ, car notre Dieu porte un « NOM » et que son nom est « SAIN » et « Saint », et en montant il nous arrive d’échapper un échelon et nous redescendons trois, quatre échelons plus bas, et nous nous reprenons et recommençons à monter notre échelle.
Ce Dieu sans visage pourvoie à nos besoins, il nous donne le manger, le vêtement, le toit pour nous protéger des intempéries, que désirez en plus si déjà nous avons tout cela ? …
Si vous avez lu l’Ancien Testament attentivement, vous avez dû vous apercevoir que la pauvreté ne devait pas exister sur la Terre. Cette pauvreté est venue par l’humain et à cause de l’humain !...
Alors aidons notre semblable, mais celui-ci doit donner de lui-même pour vous, si vous l’aider, car il n’est pas bon pour l’humain que ce dernier ne gagne pas ce qu’il mange. En effet il n’est pas bon que l’un vive au dépend de l’autre.
Je vous encourage vous mes semblables à prier EL-SHADDAÏ, mais aussi à vous regarder dans une glace tel que vous êtes afin de vous laver de vos fautes pour ne plus les commettre, c’est comme cela qu’il faut faire. Ne faites pas comme ces humains, Témoins de Jéhovah, et autres qui viennent à votre porte pour vous enseigner la Bible et qui sont incapable de la mettre en pratique. Nous les « Gentils », comme ils nomment, ils devraient nous aimer et non le contraire, ils se jugent entre eux alors qu’EL-SHADDAÏ dit : « Qui es-tu toi pour juger ton semblable »
N’oubliez jamais, je dis bien jamais que l’humain individuellement est responsable de lui, car c’est lui tout seul qui choisit son action ou sa pensé, en bien, en mal, personne ne le torture, ne le menace, donc seul il agit, comme bon lui semble, ne soyez pas comme Ève ou Adam, car volontairement ils ont transgressé une loi d’EL-SHADDAÏ, ne commettez pas volontairement la faute, le péché !
Aimons tous nos semblables sachant que nous aurons plus d’affinité pour certains que pour d’autres.
Pour terminer, pendant une bonne dizaine de jours je vais me reposer avant de reprendre mes écrits où je les avais laissé avant la Pâque.
Soyez fort comme le fut Abraham, afin que pour vos semblables pour soyez des parangons et prié ce Dieu unique qui a donné sont propre fils pour nous libérer du joug de la prêtrise, mais aussi pour que nous retrouvions la vie éternelle, le péché Adamique ayant été vaincu par Jésus le Nazaréen qui fut ressuscité par la volonté de son Père géniteur EL-SHADDAÏ, afin qu’il devienne le médiateur, l’assesseur des humains, entre ce dernier, car qui connait mieux l’humain que lui pour avoir vécu sur la Terre, et son Père.
Cette lecture est finie. Il reste vous et votre conscience pour venir vers ce Dieu que je nomme El-Shaddaï, ce Dieu unique qui, si vous le méritez, vous ressuscitera au temps voulu pour que vous viviez dans la joie et le bonheur éternellement.
Voilà un but magnifique pour vivre sur cette Terre qui fut créée dans la splendeur, pour le plaisir de l’humain en toutes choses, en suivant librement les Lois de ce Dieu Shaddaï et les Enseignements de son Fils Jésus le Nazaréen.
Portez-vous bien !
Salutations cordiales !
Sig : JP.G. dit « Grand-Loup » ou « GRANDELOUPO »
colea le 21-04-2014 à 11:55:02 # (site)
Bonjour, article qui m'a intéressée, mais j'ai remarqué une confusion courante qui confond chrétienté et catholicisme (encore faite hier sur les radios et à la télé). Les protestants sont chrétiens eux aussi et ne se signent pas, ne taillent pas de statue, et les croix dans les temples sont sans corps crucifié car Jésus est ressuscité et vivant, et donc n'est plus sur la croix.
Vivons de la bénédiction de Dieu qui ne se peut nommer car il dépasse nos connaissances humaines,
fraternellement,
Léa
repas de la Cène
La Pâque le Lundi 14 Avril
Enfin nous voilà arrivé au jour de Pâque. Lundi 14 Avril entre les deux soirs nous allons, selon notre région, commémorer le repas de la Pâque en pensant que les Enseignements de Jésus le Nazaréen et les Lois et Préceptes de son Père notre unique Dieu, sont notre « manne » venu du ciel, et le vin est le sang de l’alliance entre les humains et EL-SHADDAÏ.
Nous sommes son « Nouveau Peuple » car c’est nous qui avons choisit notre Dieu, pas de Prêtre, pour nous guider, car nous avons notre Pasteurs et quel Pasteurs ! Il n’yen a pas de plus grand, de plus sérieux car il nous mène vers les verts pâturages de son Père EL-SHADDAÏ.
Comme il sera écrit dans le développement ci-dessus avec notre cœur, sincérité, sans rien en échange, sauf l’amour, nous allons demain soir fêter la Pâque avec allégresse et la joie au cœur de savoir que nous ne serons pas seuls pour cette soirée.
Pour vous mes semblables au milieu du repas je demanderai à mon Maître EL-SHADDAÏ et à son Fils Bien-Aimé d’être votre armure, votre bouclier pour vous protéger des attaques sournoises et répétées de Sammaël qui n’apprécie pas que vous abandonniez son monde idolâtre pour Celui qui l’a bannit des Cieux.
Une certitude c’est que demain soir, à votre table et avec vous seront assis EL-SHADDAÏ et son Fils Bien-Aimé et que pensant à vous au milieu du repas visualisant la cène j’aurais la gorge serrée
Soyez tous bénis par El-Shaddaï !
Dernières phrases du chapitre précédent
Ève par convoitise, vanité et orgueil, baissa une branche de l’Arbre, prit un fruit, et le mangea. Puis dans le même élan, elle reprit un fruit, couru vers son mari Adam et avec des paroles de forfaitures fit manger le fruit à son époux.
Tous les deux étaient parfaits, pas de torture, pas de menace, ils étaient libres !
Voici leur défense devant EL-SHADDAÏ :
Ève : « C’est l’animal le plus sensé du Jardin qui m’a dit que je pouvais manger du fruit sans danger »
Adam : « C’est la femme que tu m’as donné qui par de belles paroles m’a dit que je pouvais manger du fruit sans danger »
Ils avaient le libre choix puisqu’ils connaissaient la sentence ! Quelle lâcheté devant l’action accomplie, ce n’est pas moi, c’est la faute à … Tout juste si ce n’est pas EL-SHADDAÏ qui est fautif !
C’est à cause de cette transgression volontaire que nous mourrons, mais c’est par la vie parfaite de Jésus le Nazaréen sur la Terre que nous allons pouvoir vivre éternellement. Voilà pourquoi son Père EL-SHADDAÏ l’a ressuscité d’entre les morts et que son corps n’a pas goûté les affres de la mort
Chapitre N° 8
Le Pain, le vin et l’Alliance
Venons-en au repas de la Pâque avec les paroles symboliques que Jésus le Nazaréen prononça ce jour là.
N’oublions pas que Jésus le Nazaréen a tout au long des « Écritures » été considéré comme le petit bétail et le soir du repas de la Pâque avec ses Apôtres, accompagnés de leur famille, Pierre, Philippe et sans doute d’autres comme André étaient mariés et que la Pâque devait se fêter en famille, c’était une obligation par la Loi, Jésus fit comprendre à l’assemblé que comme le jeune taureau, l’agneau, ou un autre petit bétail, lui aussi allait à l’abattoir.
Toujours garder à l’esprit qu’à ce repas il y avait aussi une viande rôtie, donc si Jésus à pris le pain en le rompant, c’est que ce pain symboliquement représentait quelque chose comme la nourriture spirituelle, mais en même temps remplaçait le petit bétail que représentait Jésus, et aussi il brisait les chaines de la prêtrise, tout comme le vin qui représentait le sang, le sang de la « Nouvelle Alliance » entre l’humain et El-Shaddaï, ce vin étant la vie pour le « Nouveau Peuple » d’El-Shaddaï.
Maintenant que je viens d’écrire le résumé des actions de Jésus le Nazaréen, je vais tenter le développement de cette soirée et des heures qui vont suivre jusqu’au sacrifice et après, la victoire par le Talion de la Lumière sur les Ténèbres.
Je sais exactement ce qui est arrivé, mais je ne sais pas comment m’exprimer correctement sans faire trop de répétition, afin que cette lecture ne soit pas trop rébarbatif pour vous, car je serai désireux de vous offrir le contraire soit, une lecture agréable et surtout compréhensive.
Jusqu’à la destruction total du second Temple de Jérusalem, les Apôtres qui étaient encore vivants ainsi que les Disciples de Jésus le Nazôréens, essayaient si ils n’étaient pas trop éloignés les uns des autres, à passer la Pâque ensemble.
Après la destruction de ce Temple, et la dispersion des hébreux dans toutes le Nations une page se fermait. En effet le « Peuple choisit d’El-Shaddaï » n’existait plus, et la circoncision de chair n’avait plus lieu d’exister et de plus cette action était considérée comme une mutilation, ce qui était interdit par la Loi de l’Empire de Rome.
Du point de vue spirituel, à partir de l’an 70 de l’EC, la fête de la Pâque, prenait une autre signification. Israël était fini et n’existait plus en tant que pays. La religion hébraïque portait le nom de « Judaïsme » et c’est du Judaïsme que la religion chrétienne prendra ses racines, même si le « Pape » tout comme le « Pope » nie énergiquement cette vérité.
Hénoch, Moïse, deux grands « Serviteurs » d’EL-SHADDAÏ ont vu la destruction du second Temple de Jérusalem, il serait par conséquent inadmissible que Jésus le Nazaréen ne soit pas au courant de cette destruction. Il est sûr et certain que quand Jésus le Nazaréen se retirait pour converser avec son Père géniteur, notre Dieu SHADDAÏ, ce que nous, nous appelons prier, que ce dernier ne lui ait pas prédit la destruction du Temple dans les années soixante-dix.
Jésus le Nazaréen est vivant et demande à un de ses Disciples d’aller chez un ami afin qu’ils préparent la Pâque.
Le soir venu, au coucher du soleil, Jésus le Nazaréen avec ses Apôtres et certains Disciples qu’il aimait bien, accompagnés de leur famille, femme et enfants, sa mère Marie qui vécut toute sa vie avec les Lois et Principes de ton Père géniteur, s’attablèrent pour participer à ce souper. Respectueux des Lois de son Père, Jésus le Nazaréen et toute la communauté commencèrent le repas entre les deux soirs, après le coucher du soleil. Au milieu du repas Jésus le Nazaréen prenant le pain sans levain … le mieux, lisons l’Apôtre Matthieu :
Matthieu XXVI : 26-30
Or, tandis qu'ils mangeaient, Jésus prit du pain, le bénit, le rompit et le donna aux disciples en disant : « Prenez, mangez, ceci est mon corps. »
Puis, prenant une coupe, il rendit grâces et la leur donna en disant : « Buvez-en tous car ceci est mon sang, le sang de l'alliance, qui va être répandu pour une multitude en rémission des péchés.
Je vous le dis, je ne boirai plus désormais de ce produit de la vigne jusqu'au jour où je le boirai avec vous,( Marc -- jusqu'au jour où je boirai le vin nouveau --) de nouveau, dans le Royaume de mon Père. »
Après le chant des psaumes, ils partirent pour le mont des Oliviers.
Jésus le Nazaréen vient de prononcer cette maxime alors qu’il sait que le Temple comme la ville où il a été construit, vont être rayé de la carte car Jérusalem sera complètement détruit en l’an 70 et la population dispersée dans tout l’Empire Romain car à Rome comme à Constantinople on ne voulait plus entendre parler des hébreux et de la Palestine.
Quant à ce repas, où en plein milieu de celui-ci, alors que les convives ont certainement déjà mangé ce pain azyme, Jésus prend un morceau de pain, le rompt, le donnant à ses Disciples, c’est-à-dire à ses Apôtres, mais aussi aux Disciples qui étaient assis à la table leur disant « Mangez ceci est mon corps, puis avec le vin buvez ceci est mon sang »
Que peux bien signifier ces actions ainsi que les paroles de Jésus le Nazôréen ?
Il y a plusieurs significations !
La Pâque comme nous allons la fêter dans peu de jours représente pour nous, comme à l’ère de Moïse une libération d’un esclavage, si à l’époque de Moïse l’esclavage était corporel, le notre jusqu’à la fin du XXème siècle était spirituel. En effet rien ne pouvait ce faire sans la religion et, à notre naissance dans les mois qui suivaient, nous étions marqués au fer rouge du sceau de Sammaël avec ce signe de croix sur le front le jour du baptême. Comme je vous l’ai déjà écrit le « Baptême » de Jean le Baptiste par immersion qui signifiait qu’on se lavait de notre ancienne vie pour revêtir la robe de notre nouvelle vie exempte du péché volontaire, devait être le signe de la « nouvelle alliance », mais ce baptême est vite devenu le baptême de l’idolâtrie, et cela Jésus le Nazaréen le savait.
Jésus le Nazaréen à ce repas faisait des actions prophétiques ainsi que ses paroles. En rompant le pain, il brisait nos chaînes que nous avons portées pendant dix-huit siècles comme des moutons, mais en même temps, comme El-Shaddaï dans le désert du Sinaï faisait tomber la manne pour nourrir son « Peuple », Jésus le Nazaréen venu du ciel était le pain de notre nourriture spirituelle par ses Enseignements par Paraboles.
« Que ceux qui ont des oreilles entendent !
« Que ceux qui ont des yeux voient ! »
Par l’intermédiaire de son Fils unique engendré et non créé comme l’humain, EL-SHADDAÏ nous ouvre les oreilles et les yeux afin de comprendre tous ces « Signes ».
Par cette nourriture saine nous pouvons atteindre la vie éternelle.
Le pain sans levain représente la vie, mais aussi la nourriture première de l’humain, ainsi que le vin en tant que boisson travaillé par celui-ci. Le pain est travaillé sur toute la terre depuis des millénaires, depuis que l’humain est sur la Terre, ainsi que le vin.
Si nous préparons notre pâte à pain le matin de bonne heure, et que nous la faisons cuire que l’après midi, la pâte façonnée aura fermenté naturellement donc aura fait du levain, c’est la nature qui veut se processus, voilà pourquoi notre pain fabriqué pour la Pâque nous le ferons cuire tout de suite. Je me suis un peu écarté de ce que j’écrivais, mais j’ai profité de ce que nous parlions du pain nourricier pour vous prévenir.
Je réitère, tout au long de son ministère Jésus le Nazaréen distribuait la « Manne » à l’humain, le pain quotidien, que son Père EL-SHADDAÏ nous distribuait par l’intermédiaire de son Fils.
Je suis un menteur, un hurluberlu ? Certes pas !
Écoutons les paroles de Jésus le Nazaréen !
Jean VI : 31-35, 37-38, 44-45 --- Les versets qui sont avant ceux-ci expliquent le miracle de la distribution du pain avec le poison à cinq mille hommes sans compter les femmes et les enfants, puis il y a le rappel de la distribution de la manne par El-Shaddaï à son peuple dans le désert du Sinaï.
« Nos pères ont mangé la manne dans le désert, selon ce qui est écrit :
« Il leur a donné à manger du pain venu du ciel. »
Jésus leur répondit :
« En vérité, en vérité, je vous le dis, non, ce n'est pas Moïse qui vous a donné le pain qui vient du ciel ; mais c'est mon Père qui vous le donne, le pain qui vient du ciel, le vrai ; car le pain d’El-Shaddaï, c'est celui qui descend du ciel et donne la vie au monde. »
Ils lui dirent alors : « Seigneur, donne-nous toujours ce pain-là. »
Jésus leur dit : « Je suis le pain de vie. Qui vient à moi n'aura jamais faim ; qui croit en moi n'aura jamais soif. »
« Tout ce que me donne le Père viendra à moi, et celui qui vient à moi, je ne le jetterai pas dehors ; car je suis descendu du ciel pour faire non pas ma volonté, mais la volonté de celui qui m'a envoyé. »
« Nul ne peut venir à moi si le Père qui m'a envoyé ne l'attire ; et moi, je le ressusciterai au dernier jour.
Il est écrit dans les prophètes :
« Ils seront tous enseignés par EL-SHADDAÏ. Quiconque s'est mis à l'écoute du Père et à son école vient à moi. »
Par ces versets Jésus le Nazaréen nous fais bien comprendre qu’il n’est pas un Dieu, mais que comme un Fils, il fait la volonté de son Père El-Shaddaï. Important, en plus il nous enseigne de suivre les Lois et enseignements de son Père en plus des siens car par la volonté de son Père, Jésus son Fils, donc notre Roi, nous ressuscitera. Par les autres versets ci-dessous vous allez comprendre le sens du repas de la Pâque.
Jean VI : 51, 54-57
« Je suis le pain vivant, descendu du ciel. Qui mangera ce pain vivra à jamais. Et même, le pain que je donnerai, c'est ma chair pour la vie du monde. »
« Qui mange ma chair et boit mon sang a la vie éternelle et je le ressusciterai au dernier jour.
Car ma chair est vraiment une nourriture et mon sang vraiment une boisson.
Qui mange ma chair et boit mon sang demeure en moi et moi en lui.
De même que le Père, qui est vivant, m'a envoyé et que je vis par le Père, de même celui qui me mange, lui aussi vivra par moi. »
Par ces versets nous pouvons saisir la puissance de l’Enseignement de Jésus le Nazaréen. Si nous prenons ces phrases au premier degré, nous sommes des cannibales puisque nous mangeons de la chair humaine et en second nous buvons son sang. Le second est encore plus grave puisque la Bible interdit de manger un animal avec son sang, alors ! …
Cherchons plutôt le sens spirituel de ces versets qui étrangement donnent une explication claire des gestes de Jésus au repas de la Pâque, car à ce souper il ne fait qu’un rappel de ce qu’il vient de dire à ces Apôtres et Disciples.
Je réitère, tout ce que Jésus le Nazaréen accomplit il ne le fait que part la volonté de son Père, avec un rappel souvent indirect, des prophéties.
En premier nous célébrons la Pâque pour remercier El-Shaddaï, notre Père, qui nous a envoyé la manne c’est-à-dire le pain journalier en la personne de son fils pour que nous ayons notre nourriture spirituelle par les Enseignements de ce dernier qui vont nous rendre meilleur surtout si nous mettons dans notre cœur d’aimer nos semblables comme nous- mêmes.
Par la coupe de vin, que Jésus le Nazaréen a offert en disant « ceci est mon sang, buvez en tous », comme humain et représentant l’humanité entière, il passait une « Nouvelle Alliance » avec son Père, une « Alliance éternelle », une « Alliance perpétuelle » qui, jamais ne pourra être effacée, comme l’Alliance qu’El-Shaddaï avait faite au pied du Mont Sinaï avec son « Peuple » qu’il avait, Lui, choisit, une promesse qu’il avait fait à la descendance d’Abraham, mais que les humains ont bafoué régulièrement.
Par Jésus le Nazaréen la « Prêtrise » est décimé comme la destruction du Temple de Jérusalem en l’an 70 de l’EC., comme la ville.
L’Autel est l’intérieur de l’humain, avec le cœur et le dedans du cerveau, l’esprit. L’humain qui va remplacer le « Grand Prêtre » sera le responsable de la cérémonie, car à partir de ce jour le Temple telle que nous le concevons n’existe plus.
Le Temple c’est l’humain !
Souvenez-vous je vous ai écrit ci-dessus l’autel spirituel, car les « Prêtres » après avoir égorgé le petit bétail, prenaient son sang et badigeonnaient le tour de l’autel du sacrifice pour la rémission des péchés.
Quand Jésus le Nazaréen et les Apôtres burent le vin c’est comme-ci ils badigeonnaient l’autel spirituel avec le sang du petit bétail, mais là, c’était l’autel intérieur de l’humain pour le pardon de ses fautes, et en même temps c’était la « Nouvelle Alliance » marqué par le sang représenté par le vin, et le vin devenait la « vie ».
Ce lundi 14, jour de Pâque pour nous, en espérant que vous allez être nombreux à fêter ce jour, car c’est un jour de joie, un jour de libération en tout, car quand nous allons boire le vin, symboliquement nous allons nettoyer notre conscience. Oui, je dis bien purifier, épurer cette conscience, car individuellement, chacun de nous demandera à El-Shaddaï, en dehors du pardon de nos fautes, l’aide qu’il a besoin pour suivre ses Lois et Préceptes et avoir la compréhension des enseignements de Jésus le Nazaréen.
Ne pensez surtout pas que vous mangez la chair de Jésus le Nazaréen, que vous allez boire son sang, car involontairement votre esprit va aller vers le cannibalisme, mais pensez que tous les jours vous recevez le pain nourricier, et le vin de l’Alliance, car sans pain l’humain meure de faim. Le pain nourriture première pour l’humain et là le pain est l’enseignement de Jésus le Nazaréen et celui de son Père géniteur qui est notre Père Céleste, notre créateur.
Le vin est cette « Nouvelle Alliance » entre nous humains et notre Dieu SHADDAÏ, cette Alliance, qui sera perpétuelle, car ce n’est pas lui qui nous a choisit, non !, c’est nous volontairement par notre esprit et avec notre cœur que nous l’avons choisit comme notre seul et unique Dieu. Voilà pourquoi tous les jours nous lui demandons notre « manne », car nous somme ses enfants, et jusqu’à notre mort nous lui serons fidèle.
Une certitude nous ressusciterons sur cette Terre qui sera vraiment un Paradis pour nous et Jésus le Nazaréen sera notre Roi en tant qu’humain et avec nous il mangera du pain et boira du vin.
Les seules paroles véridiques que Jésus a dites après avoir rompu le pain et but le vin sont celles-ci.
Matthieu XXVI : 29
« Je vous le dis, je ne boirai plus désormais de ce produit de la vigne jusqu'au jour où je le boirai avec vous, de nouveau, dans le Royaume de mon Père. »
Nous allons former le « Nouveau Peuple d’EL-SHADDAÏ », nous serons ses « brebis » et notre « Pasteur » sera Jésus le Nazaréen, car nous mettrons en pratique en plus de tous les autres enseignements et Lois, ce onzième commandement :
« Tu aimeras ton prochain comme toi-même »
« Aime ton frère (semblable) comme ton âme ; veille sur lui comme sur la pupille de ton œil. »
Si seulement nous mettions en pratique rien que ce onzième commandement de Jésus le Nazaréen, ce serait merveilleux, formidable, car admirons l’enchainement, si tu aimes ton prochain comme toi-même, tu ne convoiteras pas sa femme, ni tous ces biens matériels, tu ne le voleras pas, tu ne l’insulteras pas, tu ne seras pas hypocrite envers lui, tu l’aideras dans ses tâches si il a besoin de toi, etc …
Et nous crierons avec force et conviction :
« Notre Père, EL-SHADDAÏ, Toi qui est dans les Cieux de l’Univers, que ton nom soit sanctifié sur la Terre comme dans les Cieux, aide nous à être tes enfants, pardonne notre imperfection car chaque jour nous transgressons tes Lois et oublions les enseignements promulgués par ton Fils bien aimé, Jésus le Nazaréen, notre assesseur qui s’assoit à ta droite.
Nous voulons être ton « Peuple » avec ton Fils comme « Pasteur » voilà pourquoi nous célèbrerons la « Pâque » comme une « Nouvelle Alliance », entre Toi, EL-SHADDAÏ, l’unique Dieu et nous humains imparfait, créé à ton image par ta volonté. Nous savons que nous sommes aujourd’hui libres comme l’oiseau et que volontairement nous te choisissons comme notre Dieu, nous engageant avec sincérité, sans hypocrisie à suivre tes Lois et Préceptes ainsi que les Enseignements de ton fils Bien-Aimé, notre médiateur, notre assesseur entre Toi EL-SHADDAÏ et nous humains imparfaits. Par ton Souffle Sain apporte-nous intelligence et compréhension des « Écritures » afin que nous ne soyons pas ingrats comme nos ancêtres envers Toi.
Je réitère j’espère que vous serez nombreux à ce repas de la Pâque, car je serai avec vous par l’esprit, mais ce que je suis sûr c’est que ce Dieu Unique EL-SHADDAÏ et son Fils Bien-Aimé Jésus le Nazaréen seront à votre table, avec vous, pour manger cette Pâque.
Aujourd’hui est un grand jour pour vous mes semblables.
Pour tous les humains qui sont désireux de faire partie de l’Alliance avec ce Dieu unique, le véritable et seul Dieu SHADDAÏ, ce jour 14 Avril est un jour de preuves et de reconnaissances.
En effet, ce soir ou plutôt demain soir, tous mes semblables vont prouver à ce Dieu qu’ils respectent ses Lois et Préceptes, et qu’ils acquiescent les Enseignements de son Fils Jésus le Nazaréen.
Ce jour, ce soir, après le coucher du soleil dans notre région d’habitation, entre les deux soirs, c’est-à-dire après le coucher du soleil et avant la nuit noire, nous aurons consommés le repas « Pascal ».
L’après-midi, nous aurons façonné notre pain sans levain, préparé la viande du petit bétail à rôtir, et choisi notre vin rouge.
Ce soir en rompant le pain nous penserons que grâce à la perfection de Jésus le Nazaréen, le Fils Bien-Aimé d’EL-SHADDAÏ, la mort à été vaincu et que nous vivrons sur cette Terre éternellement au « Temps Défini » par ce Dieu unique.
En buvant ce vin nous remercierons EL-SHADDAÏ de son amour pour nous car il a laissé les humains torturés sont Fils uniquement pour supprimer le premier péché de l’humain qui l’a entraîné vers la mort.
Je réitère je ne pense pas que le sacrifice de Jésus le Nazaréen est pour la rémission de nos fautes une fois par an.
Toute l’année EL-SHADDAÏ nous pardonne nos fautes et nous corrige si nous allons vers Lui.
Ce Dieu seul et unique, notre Père spirituel au Cieux, EL-SHADDAÏ, a convenu avec nous ses « Enfants », nous qui formons son « Nouveau Peuple », une « ultime Alliance » en mettant dans notre cœur ses Lois et Préceptes plus les Enseignements de son Fils engendré, Jésus le Nazaréen, et nous volontairement, sincèrement, librement acceptons tout ce qui vient d’être écrit.
EL-SHADDAÏ ne nous a pas choisi, non, c’est nous humains qui librement, sans torture, sans menace, mais avec la sincérité de notre cœur qui l’avons choisi comme étant notre seul et unique « Dieu », et nous n’avons pas besoin d’images, de statues représentative puisque lorsque nous nous regardons dans une glace, c’est son image que nous voyons !
Cette vérité est flagrante indémontable, c’est pour cela que nous l’avons choisi comme notre Dieu.
Qu’il soit toujours dans votre cœur ! Prenez soins de vous et portez-vous bien !
Salutations cordiales
Sig : JP.G dit « Grandeloupo »
La Pâque le Lundi 14 Avril
Déjà le milieu de la semaine ! La Fête de la Pâque pour nous « Enfants » d’EL-SHADDAÏ est le lundi 14 Avril entre les deux soirs. Nous commencerons à manger cette Pâque vers 19h30mn, après le coucher du soleil selon notre région de France et nous terminerons vers 22h30mn, 23 h quand la nuit noire sera installé.
Notre discussion sera portée sur notre libération du joug religieux, puisque en parfaite conscience nous n’avons plus besoin de « Prêtres », nous n’avons plus besoin d’un humain qui nous représente devant un « Dieu », libre, complètement libre sommes-nous !
Jésus le Nazaréen par son exemple de vie sur la Terre, lui notre parangon, nous a apporté la vie éternelle sur cette Terre.
Donc lundi nous mangerons une viande rôtie, non bouillie avant, avec un pain sans levain, le tout accompagné d’un peu de vin rouge.
Je réitère pour le pain
Un peu de farine selon le nombre de personne, de l’eau, du sel, un œuf ou deux, un peu de beurre. Nous mélangeons le tout pour en faire une grosse boule de pâte qui ne colle pas aux doigts, puis nous divisons cette grosse boule en plusieurs petites, nous les aplatissons au rouleau à pâtisserie ou avec une bouteille pour faire des galettes de trois, quatre centimètres d’épaisseur, au four à 180°C, quand la galette dore sur le dessus théoriquement c’est bon, nous avons notre pain sans levain pour le soir.
Dernières phrases du chapitre précédent
Son propre Fils savait qu’en venant sur la Terre, cet humain allait le tuer, sinon il n’aurait jamais conté cette « Parabole »
Luc XX : 9-15
---« Jésus le Nazaréen se mit alors à dire au peuple la parabole que voici :
« Un homme planta une vigne, puis il la loua à des vignerons et partit en voyage pour un temps assez long.
Le moment venu, il envoya un serviteur aux vignerons pour qu'ils lui donnent une part du fruit de la vigne. Mais les vignerons le renvoyèrent les mains vides, après l'avoir battu.
Il recommença, envoyant un autre serviteur, et celui-là aussi, ils le battirent, le couvrirent d'outrages et le renvoyèrent les mains vides.
Il recommença, envoyant un troisième, et celui-là aussi, ils le blessèrent et le jetèrent dehors.
Le maître de la vigne se dit alors :
«Que faire ?
Je vais envoyer mon fils bien-aimé, peut-être respecteront-ils celui-là. »
Mais, à sa vue, les vignerons faisaient entre eux ce raisonnement :
«Celui-ci est l'héritier. Tuons-le, pour que l'héritage soit à nous. »
Et, le jetant hors de la vigne, ils le tuèrent. » »-----
Tout ce que j’écris est une réflexion et un raisonnement personnel qui me touche profondément, car je suis un humain, et comme lui je suis dans l’imperfection, mais j’ai ce « Libre-Choix », cette liberté absolue de mes pensées, raisonnement, réflexion, actions, donc je suis responsable de moi intégralement.
Ce n’est pas la faute d’EL-SHADDAÏ si certaines de mes actions sont bonnes ou mauvaises ! …
Chapitre N° 7
Nos chaînes d’esclave sont rompues
Nous sommes à l’ère de Jésus le Nazaréen. Le « Peuple » d’EL-SHADDAÏ est l’esclave des Nations. La Palestine est sous la domination de l’Empire Romain, Galilée, Samarie, Judée. Les hébreux livrés à eux même espèrent la venue d’un « Messie » qui les délivrera du joug romain comme leurs ancêtres ont été libérés de l’esclavage de Pharaon en Égypte. Le pays sous occupation est gouverné par les Religieux avec leur tendance. Tout est permis pour accéder au pouvoir. Il y a les Hasmonéens, les Sadducéens, puis les Pharisiens qui se font la guerre faisant et défaisant les alliances avec l’occupant. Il existe aussi cette secte importante des Esséniens qui vit en autarcie.
Comme tout pays sous occupation, il existe beaucoup de restrictions.
A la naissance de Jésus le Nazaréen que reste-t-il du « Peuple » d’EL-SHADDAÏ ?
Rien !
Il a choisi un « Peuple » qui n’a pas cessé de transgresser ses Lois, car comme tous les humains vivant sur cette Terre, grâce à leur « Esprit », faculté de réflexion, de raisonnement, ils étaient libres de choisir leur voie, mais la vanité, l’orgueil, la convoitise, l’idolâtrie étaient leur pierre angulaire. Avec les deux premiers humains de sa Création, dont nous aujourd’hui sommes les descendants, il avait eu l’expérience, malgré leur perfection.
Il y avait maintenant, à l’ère de Jésus, beaucoup d’humains qui connaissaient son Père, mais aussi ses Lois et Préceptes et qui les suivaient sans être de son « Peuple » c’est-à-dire juif.
Étant un Dieu de justice, il devait trouver anormal que des humains des « Nations » suivent ses Lois sans faire partie de son « Peuple ».
Il fallait donc créer une nouvelle « Alliance » !
Cette « Alliance » devait être l’équivalence d’Adam et d’Ève, c’est-à-dire la possibilité pour l’humain de recouvrer la perfection, et de vivre éternellement sur cette Terre.
Il avait demandé à son Fils Emmanuel, Jésus le Nazaréen sur la Terre, s’il désirait descendre sur la Terre en tant que matière, comme les humains.
« Si tel est ta volonté, Père, je le ferai » avait-il répondu.
Jean 8 :42 -- Comme souvent je vous l’écris, je remplace ce nom vulgaire de « Dieu » par son nom EL-SHADDAÏ, nom qui fut le sien pour les humains d’Abraham jusqu’à Moïse.
Jésus leur dit :
« Si EL-SHADDAÏ ( Dieu pour vous ) était votre Père, vous m'aimeriez, car c'est d’EL-SHADDAÏ que je suis sorti et que je viens. Je ne viens pas de moi-même, mais lui m'a envoyé. »
Confirmation que Jésus le Nazaréen fut engendré et non créé comme l’humain, il le dit lui-même : « c’est d’El-Shaddaï que je suis sorti »
Là je n’invente rien, il suffit de lire le chapitre 17 de l’évangile de Jean.
EL-SHADDAÏ par l’intermédiaire de ses Prophètes n’avait-il pas annoncé cette venue ?
Isaïe 42 : 1-5
« Voici mon Serviteur que je soutiens, mon élu en qui mon âme se complaît. J'ai mis sur lui mon esprit, il présentera aux nations le droit.
Il ne crie pas, il n'élève pas le ton, il ne fait pas entendre sa voix dans la rue, il ne brise pas le roseau froissé, il n'éteint pas la mèche qui faiblit, fidèlement, il présente le droit. Il ne faiblira ni ne cédera jusqu'à ce qu'il établisse le droit sur la terre, et les îles attendent son enseignement.
Ainsi parle le Seigneur EL-SHADDAÏ, Yahvé, qui a créé les cieux et les a déployés, qui a affermi la terre et ce qu'elle produit, qui a donné le souffle au peuple qui l'habite, et l'esprit à ceux qui la parcourent. »
Isaïe 52 : 13-15
« Voici que mon Serviteur prospérera, il grandira, s'élèvera, sera placé très haut.
De même que des multitudes avaient été saisies d'épouvante à sa vue, - car il n'avait plus figure humaine, et son apparence n'était plus celle d'un homme - de même des multitudes de nations seront dans la stupéfaction, devant lui des rois resteront bouche close, pour avoir vu ce qui ne leur avait pas été raconté, pour avoir appris ce qu'ils n'avaient pas entendu dire. »
Quel esprit doit avoir EL-SHADDAÏ pour cet « Humain » qu’il a créé à son image, celle de son Fils Bien-Aimé, à la ressemblance de tous les incorporels vivants dans l’immensité des Cieux ?
Avoir façonné la plus merveilleuse machine de l’Univers, la plus complexe, lui avoir laissé une liberté complète pour être comme « Lui », un « Dieu », capable de créée, d’inventée, fabriquée, modelée, sculptée, de l’avoir fait au départ parfaite, et regarder le résultat de cette liberté aujourd’hui, doit, dans le cœur de cet Être Suprême, être une immense déception, un chagrin incommensurable, une envie sans doute de tout détruire !
Mais il existe toujours sur la Terre des humains qui, sans trop le connaître, le vénèrent, l’adorent par le cœur et l’esprit en toute sincérité et c’est à cause d’eux qu’EL-SHADDAÏ ne détruit pas la race humaine !
Voici ce qu’EL-SHADDAÏ a prévu pour ses humains qui le choisissent comme leur seul et unique « Dieu »
Ce Dieu magnifique disait à leur sujet à son fidèle prophète Isaïe LXI : 8
« Car moi, EL-SHADDAÏ, qui aime le droit, qui hais le vol et l'injustice, je leur donnerai fidèlement leur récompense et je conclurai avec eux une alliance éternelle. »
Il veut conclure une « Alliance éternelle » avec son nouveau « Peuple » sous la juridiction de son Fils le Bien-Aimé. Lui, EL-SHADDAÏ, ne choisi plus un « Peuple » parmi les Nations, mais c’est les humains des Nations qui formeront sont « nouveau Peuple ».
Un onzième commandement sera ajouté qui sera le plus merveilleux par sa grandeur d’application.
« Tu aimeras ton prochain comme la pupille de ton œil, comme toi-même ! »
En effet, si tous les humains le mettaient en pratique, la Terre deviendrait sûrement un « Paradis »
Alors le dîner de la Pâque de Jésus le Nazaréen en compagnie de sa famille avec ses Apôtres et leur famille qu’elle en est la signification ? …
Je dis bien, famille, car qui fait la cuisine ?...
Il faut bien quelqu’un pour faire rôtir l’agneau, préparer les « Pains sans levain », faire le service de table, etc …Je ne vais pas réitérer ce que j’ai écris plus avant, mais vous devez reconnaître que je suis logique et que la « chrétienté » a une tendance à prendre ses ouailles et fidèles pour des imbéciles.
Occupons-nous maintenant du repas !
Voyons en premier ce qui est écrit sur la Bible avec les divergences et les ajouts de copiste ou d’Évêque se croyant inspiré par « Dieu », je ne dis pas EL-SHADDAÏ qui, LUI, est le véritable et unique DIEU.
Matthieu et Marc étant une plagia, j’écrirai seulement l’Évangile de Matthieu.
Nous sommes environ au milieu du repas. Je réitère, la Pâque devait être mangé en famille, voisins et amis, donc à ce dernier repas de Pâque à la table il y avait obligatoirement les Apôtres avec Judas Iscariote, mais aussi leur femme avec les enfants, quelques Disciples que Jésus la Nazaréen aimait bien avec leur famille, Marie la mère de Jésus qui devait être proche de son « Fils » ce qui faisait une belle table, son père nourricier, Joseph étant décédé vers l’an 26-27 de l’EC à un âge avancé. Quand j’écris âge avancé cela signifie que la fourchette de l’âge est fixée entre quatre-vingt-cinq ans et cent cinq ans.
Je peux certifier, sans trop me tromper que Marie de Magdala devait être avec sa famille pour la Pâque dans le village de Magdala.
Autre fait très important pour la suite des évènements, pour mes semblables qui sont à la recherche de la vérité historique, et non romancière, les convives qui étaient dans la maison pour la Pâque, devaient attendre l’aurore pour partir de la maison.
Matthieu XXVI : 26-30
Or, tandis qu'ils mangeaient, Jésus prit du pain, le bénit, le rompit et le donna aux disciples en disant : « Prenez, mangez, ceci est mon corps. »
Puis, prenant une coupe, il rendit grâces et la leur donna en disant : « Buvez-en tous car ceci est mon sang, le sang de l'alliance, qui va être répandu pour une multitude en rémission des péchés.
Je vous le dis, je ne boirai plus désormais de ce produit de la vigne jusqu'au jour où je le boirai avec vous,( Marc -- jusqu'au jour où je boirai le vin nouveau --) de nouveau, dans le Royaume de mon Père. »
Après le chant des psaumes, ils partirent pour le mont des Oliviers.
Vous constaterez que j’ai posé le verset 30 ( Marc verset 26 ) car il a une grande importance.
Comme je vous l’ai déjà écrit, quitte à me répéter, Jésus le Nazaréen est hébreu, et est venu sur Terre pour accomplir la Loi et non l’abroger.( Mt 5 : 17-19 ) Hors la loi dit qu’il n’est pas permis de sortir de la maison du repas pascal avant le lever du jour.
Exode 12 : 22
Puis vous prendrez un bouquet d'hysope, vous le tremperez dans le sang qui est dans le bassin et vous toucherez le linteau et les deux montants avec le sang qui est dans le bassin. Quant à vous, que personne ne franchisse la porte de sa maison jusqu'au matin.
Je constate que peu de mes semblables, particulièrement tous « ces Supers Enseignants de la Bible » que je lis sur le Net, n’ont remarqué ces versets 30 ou 26.
Avec ce verset et sachant que Jésus le Nazaréen était respectueux des Lois de son Père, EL-SHADDAÏ, il ne monta au mont des oliviers avec ses apôtres que le jour de la Pâque et la nuit qu’il parle est la nuit après la nuit du repas de la Pâque.
Alors Jésus leur dit : « Vous tous, vous allez succomber à cause de moi, cette nuit même. Il est écrit en effet : Je frapperai le pasteur, et les brebis du troupeau seront dispersées.
Mais après ma résurrection je vous précéderai en Galilée. »
J’écris ceci pour vous faire comprendre qu’il faut bien faire attention aux « Écritures », et ne pas croire trop vite à la parole de l’humain, car avec ce texte, le fameux jour chrétien du « Vendredi Saint » n’est que fadaise et faribole.
Voyons la signification des actes et paroles du Fils d’EL-SHADDAÏ, Jésus le Nazaréen.
Comme je l’ai écrit auparavant, EL-SHADDAÏ veut une « Nouvelle Alliance » perpétuelle avec son « Nouveau Peuple ». Il savait bien que la population de la Terre irait grandissante puisqu’il avait dit aux premiers humains : « Multipliez-vous et remplissez la Terre »
La Pâque, comme le printemps, doit être perpétuelle.
Il fallait une action importante pour remplacer l’immolation du petit bétail, mais aussi une symétrie théologique, spirituelle, de ce petit bétail.
J’écris petit bétail, car El-SHADDAÏ ne parle pas de l’agneau mais du petit bétail pour la Pâque, ( lire Exode 12 ) l’agneau faisant partie du petit bétail. Vous constaterez que pas un seul évangile ne parle d’agneau, et que quand, dans le Nouveau Testament, on parle de l’agneau, c’est uniquement en comparaison. ( « comme l’agneau ou la brebis que l’on mène à l’abattoir … » )
Il faut s’imaginer que le souper avec Jésus le Nazaréen, le soir, début de la Pâque , doit être une harmonie de l’« Alliance » perpétuelle entre EL-SHADDAÏ, son Père, et le « Nouveau Peuple » de celui-ci.
Au dîner Jésus prend le pain qui va remplacer le petit bétail, puis le vin qui va remplacer le sang pour la « Nouvelle Alliance », mais il faut obligatoirement que le sacrifice de l’immolation ait lieu pour que le symbolisme deviennent une action perpétuelle de la « Nouvelle Alliance ».
N’oubliez pas qu’EL-SHADDAÏ demandait pour le sacrifice de la Pâque un petit bétail sans tache, sans tare, âgé d’un an.
Je réitère que la Pâque existait depuis les temps immémoriaux. La Pâque dans le monde de l’époque, bien avant Moïse, à l’ère d’Abram, avait une très grande importance, car les rites avec le sacrifice de la plus belle bête étaient sensés protégé la maisonnée en éloignant les « Forces du Mal » pour l’année.
Dés l’hors, pour l’humanité, il fallait aussi un être sans tare, sans tache, comme les deux premiers humains avant leur transgression, pour que le sacrifice, l’immolation soit agréable à EL-SHADDAÏ, soit une fête, la fête de la « Nouvelle Alliance avec son Nouveau Peuple » et que celui-ci en face une fête de la mémoire perpétuelle jusqu’au « Temps » du Royaume d’EL-SHADDAÏ sur la Terre.
L’humain qui devait aller à l’holocauste devait être comme le petit bétail, sain, ( et non saint comme la religion chrétienne l’écrit, car ce qui est « saint » n’est pas sans tache puisque cela signifie « vénérer, adorer » ) sans tache, sans tare ce qui signifie que cet humain ne devait pas avoir la tare de naissance de tous les humains, la tare de la transgression, l’imperfection. En plus de ce qui vient d’être écrit, il fallait que cet humain incarne le « Grand Guerrier » contre les « Forces du mal », qu’il soit craint par celles-ci pour les « Nations Païennes. »
D’après la chrétienté, la torture de Jésus le Nazaréen et sa mort serait pour racheter les péchés des humains.
Pour cela il n’y avait pas besoin de la torture !
Cette torture et cette souffrance corporelle ne sert absolument à rien ! A moins d’avoir à faire à un « DIEU » machiavélique, qui se délecte des sévisses tortionnaires fait à son Fils unique, ce qui, vous en conviendrez, est loin d’être une preuve d’amour.
La mort était prévue, mais pas la torture, l’acharnement de haine que les humains ont eu envers cet homme, et en particulier la « Prêtrise ». Il ne faut pas oublier que tout le long du parcours, de sa prison au « Sommet du Crâne » nommé le « Golgotha », cet humain a été lapidé, fouetté avec des branchages flexibles et épineux, que les humains lui ont crachés dessus, invectivés de toutes sortes de noms, et qu’à l’arrivé au lieu de crucifixion cet homme était en sang des pieds à la tête ayant perdu énormément de sang.
Surtout qu’aujourd’hui, nous pouvons certifier que tout cela n’a servi à rien, puisque la déchéance de l’humain va grandissante. Moi-même je regarde en arrière seulement de quarante ans, et l’iniquité de cet humain a été multipliée par cinquante pourcent. Homosexualité, pédophilie, adultère, criminalité, etc tout cela est en augmentation constante et nous n’avons plus de grande guerre, ce qui prouve que c’est bien l’humain volontairement qui va vers sa perte.
Le baptême qui aurait du représenter le « Nouveau Peuple » d’EL-SHADDAÏ ne vaut plus rien.
Jésus le Nazaréen a été à l’abattoir comme le petit bétail, en sacrifice, en holocauste sur l’autel spirituel, afin de nous rappeler qu’il venait de mettre tous les humains de toutes les Nations à égalité.
Par sa vie sur la Terre il a prouvé à l’humain que la tare génétique dû aux deux premiers humains pouvait être supprimée, car il a vécu sur la Terre comme un humain, mais en gardant sa perfection, même si le vice de certains humains veulent qu’il ait eu des rapports sexuels avec la prostituée la plus connue de son époque, Marie de Magdala, et qu’il aurait même eu des enfants, ce qui est une impossibilité car ses enfants auraient été des « géants » au rapport de son ADN.
Jésus le Nazaréen a été l’équivalence d’Adam et Ève car par eux la mort de l’humain est venue et par le Fils d’EL-SHADDAÏ la mort fut vaincue, car l’humain pourra vivre éternellement comme à son origine.
Vous, mes semblables, n’oubliez jamais le comportement de ces deux humains qui étaient parfaits en corps et en « esprits ». Sans me tromper par mon raisonnement, ces deux humains avaient une intelligence phénoménale, comme la mémoire. Se sont eux qui donnèrent le nom aux plantes, arbres, fleurs, mais aussi aux animaux mâles et femelles, bêtes et bestioles.
Je certifie que le « serpent » n’existait pas, même au jardin d’Éden, la lecture biblique vous en donne la preuve infaillible !
Je suis dans l’incapacité de vous dire comment je connais ces faits, mais je les connais dans le plus profond de ma mémoire, et je ne vois pas l’avantage que je tirerai à vous mentir ou à être un hâbleur.
Je vous conte, en résumé, l’histoire des Cieux et de l’Humain. Sûrement je vous conterai un jour l’histoire des Cieux avec l’avènement du « mal »
Sammaël pris pour enveloppe l’animal le plus sensé du Jardin d’Éden, pour s’approcher d’Ève et converser avec elle. Plusieurs fois il vint la voir et l’amener devant l’arbre de la Connaissance, l’Arbre de Vie dont la senteur et la beauté était au dessus de toute la végétation du Jardin.
Par ces visites à Ève, tout doucement Sammaël lui mit en esprit l’envie de goûter au fruit de l’Arbre de Vie, celui de la Connaissance du Bien et du mal. Sentant Ève « mure » comme l’on dit en « Argo », Sammaël dans la peau de l’animal le plus sensé, vanta une dernière fois tous les mérites de l’Arbre de Vie en accompagnant cette dernière devant l’Arbre de la Connaissance du bien et du mal, ou l’Arbre de Vie, c’est le même, sans avant de faire jurer Ève de donner du fruit à son mari, Adam. Tous les deux arrivèrent devant l’Arbre de Vie en discutant et, l’animal le plus sensé disparue.
Ève par convoitise, vanité et orgueil, baissa une branche de l’Arbre, prit un fruit, et le mangea. Puis dans le même élan, elle reprit un fruit, couru vers son mari Adam et avec des paroles de forfaitures fit manger le fruit à son époux.
Tous les deux étaient parfaits, pas de torture, pas de menace, ils étaient libres !
Voici leur défense devant EL-SHADDAÏ :
Ève : « C’est l’animal le plus sensé du Jardin qui m’a dit que je pouvais manger du fruit sans danger »
Adam : « C’est la femme que tu m’as donné qui par de belles paroles m’a dit que je pouvais manger du fruit sans danger »
Ils avaient le libre choix puisqu’ils connaissaient la sentence ! Quelle lâcheté devant l’action accomplie, ce n’est pas moi, c’est la faute à … Tout juste si ce n’est pas EL-SHADDAÏ qui est fautif !
C’est à cause de cette transgression volontaire que nous mourrons, mais c’est par la vie parfaite de Jésus le Nazaréen sur la Terre que nous allons pouvoir vivre éternellement. Voilà pourquoi son Père EL-SHADDAÏ l’a ressuscité d’entre les morts et que son corps n’a pas goûté les affres de la mort
Pour ce jour je vous laisse à votre réflexion, votre raisonnement.
Portez-vous bien et prenez soins de votre maisonnée en accord avec les Lois d’EL-SHADDAÏ et les Enseignements de Jésus le Nazaréen !
Salutations cordiales à Tous !
Sig : JP.G. dit « GRANDELOUPO »
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