posté le 27-07-2014 à 13:58:28

Déchéance d'une ...Chap. N° 1 - Un certain Galiléen

 

 

 

Représentation hypothétique de Jésus le Nazôréen

 

Première Religion Mondiale le CHRISTIANISME

 

« N’appeler personne « Père » sur la Terre, car un seul est votre « Père » celui qui est dans les cieux. » (Épitre des Apôtres IV : 1, Matthieu XXIII : 9 )

Alors pourquoi un « Très Saint Père = le Pape », pourquoi nommé un prélat « mon Père » ?

« Notre Père qui est aux cieux … », cela fait bien partie de la prière la plus importante de toute la chrétienté !

« Que ton Nom soit sanctifié », ton nom ce n’est pas ce nom vulgaire « Dieu », car « Dieu » il en existe des milliers, donc que « ton NOM » comme EL-SHADDAÏ qui signifie Dieu-SHADDAÏ, mais encore « Dieu au-dessus des Montagnes », cela est un « NOM » comme Très-Haut, Tout-Puissant, Roi des Âges, Éternel, Yahvé, etc.

Ce Nom est un nom « Saint » voilà pourquoi il est sanctifier qui signifie vénérer, adorer, glorifier et ce nom ce n’est pas celui de son fils, mais bien le sien à lui, le Dieu seul et unique !

Je viens en une ligne de la Bible, vous démontrer l’erreur du christianisme d’aujourd’hui, et sa déchéance.

Alors voici son histoire et votre liberté d’action car chaque humain est responsable de lui et c’est seul qu’il affrontera le Jugement du Père.

 

Histoire et déchéance de cette Religion

 

Chapitre N° 1

 

Un certain Galiléen –

 

Un hébreu – Juif en français

 

Voilà déjà quelques années que je vous écris sur les « Chrétiens » et leur religion. Beaucoup d’entre vous, mes semblables, ont dû penser que je n’étais capable que de critiquer cette religion et ses fidèles.

Dans un sens, ces humains n’ont pas tort, mais vu ma conscience, il m’est difficile de faire autrement car je recherche la vérité religieuse, « la vraie », et comme leur religion, le « Christianisme », est la plus importante de la Terre, avec en deuxième la religion musulmane, je suis bien obligé de faire découvrir à mes semblables toute l’hypocrisie et le mensonge de ces « religions ».

Le comble pour eux, est que je me considère comme un « Païen » et un « Infidèle », comme le conçoit le dogme chrétien et musulman, mais qu’en réalité, j’ai une certaine croyance spirituelle.

Comme vous le savez maintenant, ma croyance se limite à servir et vénérer un seul et unique « Dieu » que je nomme « EL-SHADDAÏ », qui est, entre parenthèse, le Dieu « DIEU » des « Chrétiens », en essayant de mettre en pratique ses Lois indéfectibles et les Enseignements de son Fils unique Jésus le Nazaréen, le Jésus-Christ des Chrétiens, qui n’est sûrement pas un « Dieu » comme la religion chrétienne le fait avaler à ses ouailles.

Un fait aussi, qu’il faut que je reconnaisse, je ne suis pas comme ces humains des deux sexes qui, sur le « Net » ou le « Web », écrivent des prières dans lesquelles la vénération d’un humain dont l’effigie est un morceau de pierre sculpté nommé « SAINT » accompagne leur « dieu » Jésus-Christ, fils du Dieu « DIEU ».

Certain vous cite un verset du livre « Bible », puis vous donne l’explication de ce verset au nom de leur « petit Dieu », Jésus-Christ, mais qui, en réalité, n’est que le fruit de leur pensé personnelle.

Tout ceci, vous me le pardonnerez, je ne sais pas le faire et si je viens à être dans l’obligation de l’exécuter, je l’effectue très mal car je ne peux pas commettre une action contraire à mon raisonnement intérieur, à ma conscience qui doit toujours être dans la lignée des Lois du « Dieu Unique » EL-SHADDAÏ et le l’enseignement de son Fils Bien-Aimé Jésus le Nazaréen.

Alors pour vous mes semblables, vous qui êtes à la recherche de la vérité réelle et pure, vous fidèles qui venez de plus en plus nombreux lire mes articles, moins nombreux bien entendu que si j’écrivais sur le labeur des fesses accompagnées d’images très explicites, je vais écrire la déchéance ainsi que la sournoiserie, fourberie de cette religion le « Christianisme ».

Les faits relatés ci-dessous, sont des faits indémontables car historiques et reconnus dans leur exactitude par tous les scientifiques et chercheurs spécialistes dans la matière.

Alors je sais que je vais en faire bondir beaucoup, qui, si ils le pouvaient, me lyncheraient ou me feraient rôtir contentieusement sur un magnifique bûcher en m’insultant de menteur et d’hérétique, mais malheureusement pour eux ce n’est que vérité.

Les origines du christianisme sont complexes et en grande partie méconnues. Il est difficile de se faire une idée exacte de la question. Même les plus excellents spécialistes sont divisés et ne se hasardent pas à formuler plus que des hypothèses probables.

Jésus le Nazaréen est la figure fondatrice du christianisme, sans toutefois en être le fondateur au sens historique. 

Le christianisme n'est pas sorti tout formé, son élaboration fut le fruit d'une histoire et d'un mûrissement longs et complexes.

Les chercheurs spécialistes du christianisme et de Jésus le Nazaréen écrivent :

« Il faut dire que le christianisme vit d’une particularité unique dans le monde des religions : le Seigneur (Jésus de Nazareth plus communément appelé Jésus le Nazôréen) dont il se réclame appartenait à une autre religion, le judaïsme, qu’il n’a jamais eu l’intention de quitter.

L’action de Jésus visait à réformer la foi d’Israël, entreprise à laquelle les autorités religieuses de l’époque se sont opposées.

C’est à l’échec de cette réforme que le christianisme doit sa naissance. »

 Référence :[ Daniel Marguerat, Enrico Norelli, Jean-Michel Poffet, éditions, Jésus de Nazareth. Nouvelles approches d'une énigme.]

« À la vérité, et considérant que Jésus le Nazôréen appartient davantage à la préhistoire du christianisme qu'à son histoire, on pourrait résumer ce parcours autour de quelques noms, théologiens évêques ou presbytres déclarés « Saint » à leur décès, figures emblématiques des moments-clés de la constitution du christianisme dans une perspective profane et diachronique.---{ caractère des phénomènes linguistiques étudiés du point de vue de leur évolution dans le temps. } Les Apôtres et premiers Disciples, puis les Pères Apostoliques qui deviendront deux siècles plus tard les Pères de l’Église et enfin l’Empereur Constantin Ier le Grand qui en fera une religion de l’Empire, sont les maçons du christianisme.

Le christianisme serait apparu selon la version la plus courante comme un mouvement de renouveau à l'intérieur du judaïsme du début de notre ère. Mais c'est en sortant de son terrain d'origine qu'il a acquis sa signification propre et son importance décisive.

Le désir se fait jour d'une morale personnelle plus austère et plus puritaine dans un monde ou un certain laxisme éthique et sexuel était monnaie courante. La recherche de fraternité dans un cercle communautaire pour faire face à une vie dure est patente. »

Philippe Camby, Poète et écrivain français de notre temps, né en 1952 … toujours vivant, … écrit :

« On commence à se douter que ce n'est pas le christianisme qui a conquis le monde antique, mais un mystère de salut fondé sur la valeur d'un sacrifice divin qui promettait la rédemption de tous les hommes de tous les temps, le salut de l'âme et la résurrection des corps »[]

C'est pourquoi la question se pose : Qui a réellement fondé le christianisme en tant que système religieux ?

Daniel Marguerat et les autres dans leur recherche sur le christianisme écrivent :

 « Le mouvement de Jésus, qui ne fut au commencement qu’une secte juive de croyants messianiques, fut peu à peu poussé, autant par ses succès auprès des non-juifs que par l’hostilité de la Synagogue, à se muer en un groupe religieux autonome.

L’histoire nous montre que ce processus d’autonomisation fut long et douloureux, inégal selon les régions de l’empire romain, que l’initiative ne revient pas aux premiers chrétiens, que le divorce dura au moins quatre siècles et que les liens nourriciers avec la culture juive n’ont jamais été rompus d’un coup. »

La Bible hébraïque est l'un des deux textes fondateurs du christianisme, qui la nomme Ancien Testament ou Premier Testament[]. Le Nouveau Testament, centré sur la personne de Jésus-Christ, est le second texte fondateur.

Le Nouveau Testament sert de référence aux chrétiens sur ces questions. Que sait-on de l'Église de Jérusalem et surtout de sa doctrine ?

Et il va sans dire que les Juifs de langue araméenne lisaient leurs écrits saints en hébreu — pas en grec.

Le christianisme s'est développé à partir du premier siècle dans le contexte des communautés juives du Moyen-Orient et en particulier les communautés juives hellénisées.

Pour confirmer ce que j’écris je cite :

« Le christianisme est né d’une réforme refusée, et à proprement parler, sa figure fondatrice ne lui appartient pas. De plus, comme l’homme de Nazareth n’a laissé derrière lui aucun document écrit, les témoignages qui retracent sa vie, ses mots, ses gestes, émanent des communautés qui ont véhiculé et interprété une tradition initialement portée par ses disciples.

Reconstruire la vie du Galiléen exige de remonter en deçà de ces témoignages croyants. Voilà qui explique l’épaisseur de l’« énigme Jésus » : derrière le texte des évangiles, les chercheurs scrutent l’obscurité pour deviner qui il fut et comment il apparut à ses contemporains

La multiplicité des sources documentaires le concernant et leur précocité font de lui le personnage historique le mieux attesté de toute l’Antiquité. »

« Les premières traces littéraires se lisent dans la correspondance de l’apôtre Paul, rédigée entre 50 et 58, soit une vingtaine d’années après sa mort. A l’échelle de l’Antiquité, un aussi bref laps de temps est exceptionnel. En outre, des travaux récents s’efforcent de reconstituer le texte d’une source archaïque des paroles de Jésus à laquelle ont recouru les évangélistes Matthieu et Luc ; sa fixation littéraire remonterait aux années 50, après une période de transmission orale.

Bref, mettre en doute l’existence de Yeshouah, rabbi de Nazareth, (Jésus le Nazôréen, Jésus-Christ pour les chrétiens) va à l’encontre de l’évidence.

Viennent ensuite les évangiles, dans l'ordre d'ancienneté : Marc a été rédigé vers 65 sur la base de traditions remontant aux années 40 ; Matthieu et Luc ont été rédigés entre 70 et 80 en amplifiant Marc ; Jean date de 90-95.

Ces écrits ne sont pas des chroniques historiques ; ils font mémoire de la vie du Galiléen, mais dans une perspective de foi qui présente à la fois des faits et leur lecture théologique. »

Référence :[ Daniel Marguerat, Enrico Norelli, Jean-Michel Poffet, éditions, Jésus de Nazareth. Nouvelles approches d'une énigme.]

Un fait important à ne pas oublier.

À l’ère de Jésus le Nazaréen la Palestine était un territoire de l’Empire Romain, donc un pays occupé par un ennemi. Cette occupation, comme toute occupation génère des groupes de résistances, mais en plus dans ces provinces de religion hébraïque, l’ancien Israël, des dissensions religieuses importantes existaient ce qui formait des groupes de pensées différentes, Pharisiens, Sadducéens, Zélotes, Esséniens, Johannites du courant baptiste (disciples de Jean le Baptiste).... qui ne s’aimaient pas beaucoup et étaient prêt à prendre les armes les uns contre les autres.

Cela l’occupant devait le gérer.

Il faut tenir compte du contexte global, religieux et culturel, du bassin oriental de la Méditerranée aux deux premiers siècles

Pendant la vie de Jésus le Nazaréen, la Palestine était en ébullition.

Je reprends mes références :

« Le critère de cohérence postule que Jésus ne fut pas un être absurde ou contradictoire ; une logique doit donc être recherchée entre ses paroles et ses gestes, ainsi qu'à l'intérieur de son discours.  Une logique de crise postule que toute reconstruction de la vie du Galiléen doit faire apparaître pourquoi, et sur quels points, a pu se déclencher le conflit mortel qui a opposé Jésus aux leaders religieux d'Israël.

Jésus perçoit l’aube du Royaume et inaugure ces temps derniers ; il le fait comprendre par ses paraboles et le réalise par ses guérisons.

Les titres christologiques que les évangiles décernent au Galiléen sont considérés, pour la plupart, comme le produit de la foi postpascale.

 Jésus ne s’est désigné ni comme le fils de Dieu, ni comme le Messie ; les évangiles synoptiques ne placent d’ailleurs jamais cette titulature sur ses lèvres. En revanche, il est jugé vraisemblable qu’il se soit désigné sous le titre de Fils de l’Homme et se soit attribué le titre de « Fils ».

L’élément le plus marquant est la mise en valeur de la judaïté de Jésus.

 Les biblistes ont en effet été conduits à repenser l’image du judaïsme ancien. Jusqu’ici, pour faire court, le paradigme [ le monde des idées chez Platon ] dominant opposait à un judaïsme étriqué, rigoriste et légaliste, la figure de Jésus vu comme le héros libre d’une religion du cœur.

 Une étude plus attentive des écrits juifs du premier siècle, y compris la littérature de Qumrân, a fait émerger l’image plus exacte d’un judaïsme divers et pluriel, où chaque courant revendique âprement face aux autres la justesse de sa doctrine.

Il en ressort que Jésus fut totalement juif.

Il fut un juif marginal et provocateur, certes, mais son message et son action n’excèdent pas le cadre du judaïsme palestinien de son temps.

 Je retiens aussi que Jésus n’a pas formulé de prétention messianique ; il n’a pas dit ce qu’il était, il a fait ce qu’il était – ce à quoi les premiers chrétiens ont réagi en déployant une titularisation christologique, qui est la réponse de la foi à sa venue. »

[ Réf. Daniel Marguerat, « La « troisième quête » du Jésus de l'histoire », Recherches de science religieuse 87, 1999, p.]

 Dans quelques jours je vous poserai la suite une fois écrite.

En attendant prenez soin de vous et portez-vous bien !

Amicalement !

Sig : JP.G. dit « GRAND-LOUP » ou « GRANDELOUPO »

 


Commentaires

 
 
 
posté le 20-07-2014 à 01:44:53

Secte, Religion ... Chap. N°11 - Le "Signe de la Croix"

 

 

 

 

 

 

Secte, Religion, Païenne, La Chrétienté

 

Pendant quelques chapitres je vais vous écrire la naissance d’une religion qui est aujourd’hui la première mondiale par le nombre de ses fidèles, mais aussi par tous les Ordres Monastiques ainsi que toutes les sectes se rattachant même indirectement à cette Religion-Mère qui fonctionne pour ces Dirigeants comme une secte.

Cette religion, embryon du judaïsme même si elle le nie, les écrits politiques historiques prouvant le contraire et confirmant sa naissance du judaïsme, prendra sa légitimité par un homme hors du commun des mortels un Galiléen du nom de Jésus le Nazôréen fils du charpentier de Nazareth.

Ces seules armes seront son Esprit de raisonnement, de réflexion, son Verbe, son Amour pour la race humaine, rappelant toujours les Lois indestructibles de son Père géniteur, que je nomme EL-SHADDAÏ ---{ Dieu au-dessus des Montagnes } --- comme Abram ou Abraham, son véritable NOM ayant été rendu « TABOU »  par les humains, qui l'ont supprimé de tous les « Écrits », en le remplaçant par un tétragramme « YHWH. » et que cette religion nomme vulgairement « Dieu ».

Ce Galiléen fait encore aujourd’hui couler beaucoup d’encre, car entouré d’un « Mystère » inexplicable de sa naissance à sa mort, doté d'une rare « Sagesse », d’une « Connaissance » de la matière et de l’immatériel du corps humain, d’un pouvoir incommensurable et d’une « Intelligence » phénoménale.

Il s’entoura de soixante-douze « Disciples » dans lequel il choisit douze « Apôtres » qui représentaient les douze Tributs d’Israël. Après les avoir enseignés sur les Lois et Préceptes de son Père géniteur, puis sur un Enseignement personnel, il les envoyât sur la surface de la Terre pour instruire tous les humains qui vivaient sur celle-ci faisant des « Disciples », leur inculquant ce onzième commandement.

Matthieu XIX : 19, XXII : 39, Marc XII : 31, etc

« Tu aimeras EL-SHADDAÏ ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme et

« Tu aimeras ton prochain comme toi-même ! »

Mais aussi :

« Aime ton frère (semblable) comme ton âme ; veille sur lui comme sur la pupille de ton œil. » --- Papyrus Oxyrhynque I ---

Ce bel homme, à l’image de son Père et de ceux qui vivent avec lui, de caractère dur, autoritaire, d'une grande force, au verbe haut, imposant la crainte, le respect, mais aussi la gentillesse et l’amour fut tout le long de sa vie parfaite sur la Terre, un « PARANGON. » 

De l'enseignement de cet homme, les humains en ont fait en à peine IV siècles { quatre cents ans }  une Religion d'Idolâtre

C'est cette histoire que j'écris ! ...

 

Dernières lignes du chapitre précédent

 

Moi le « PAÏEN » je suis un menteur ? …Un calomniateur ? …

Certes pas ! …

Il ne suffit que d’écouter les ouailles, les fidèles au sortir des Églises, Cathédrales, Chapelle après la messe ou autre cérémonie religieuse comme les enterrements ; ça pleure le « défunt » et sa dénigre en même temps sur « Lui, le Mort » et les autres humains qui sont présents ! …

Quelle hypocrisie !….. !

Comme disait un certain « Messie », je le cite : ( Mt 15 : 11, Év. De Thomas log. 14 ) 

…{ «  Ce qui est mauvais, ce n’est pas ce qui entre dans la bouche, mais, c’est ce qui en sort !… » }….

----- A méditer ! ……-------

 

Chapitre N° 11

 

Le « Signe de la Croix »

 

Je reviens sur la croix, je dirai plus exactement sur « le signe de la croix »

Un autre symbole très puissant de toute la chrétienté sans aucune exception, catholique, orthodoxe, protestant, c'est le signe de la croix. Pour toute cette chrétienté, la « CROIX » et son image représentent tout. Aucune prière, aucun culte ne peut se faire sans l’usage constant du « signe de la croix »

La croix est regardée comme le grand moyen d'enchantement, comme le grand refuge au moment du danger, comme la ressource infaillible contre toutes les puissances des Ténèbres.

Il suffit de regarder nos sportifs à la télévision qui se signe de la croix pour un but, un essai, une balle de tennis bien placé, être qualifié en natation, etc, remerciant je ne sais quel Dieu par ce signe.

Dans une Messe, les participants se signent trois ou quatre fois pendant l’office, si ce n’est plus. Dans une procession au passage de la statue, représentant un Saint ou une Sainte quelconque, portée par des fidèles souvent cagoulés en signe de pénitence, les ouailles se signent du « signe de la croix ».

Tous ces gestes machinales prouvent le degré d’idolâtrie de la chrétienté.

Mais d’où vient l’origine de cette signature sur eux-mêmes, ce signe de la Croix ?

En premier, la façon de se signer a toujours été un sujet de discorde entre les différents courants chrétiens,  Occident catholique, Orient orthodoxe, voir protestant selon la faction !

Selon les Églises et les pensées dogmatiques, les humains se signeront, la main ouverte, avec deux ou trois doigts, de droite à gauche ou inversement, et je ne m’aventurerai pas à évaluer les justifications théologiques de telle ou telle pratique. Il est plus judicieux de raisonner en examinant, si celui qui se signe, participe par cet acte de façon vivante à la présence spirituelle du Galiléen crucifié et ressuscité. Communie-t-il à ce don avec une foi et un amour qui le portent à partager le sort du Serviteur pour parvenir à la Gloire Céleste ?

Rien ne serait plus détestable que de reproduire et de prolonger les vaines et subjectives considérations d'une mauvaise dithyrambique. –( action de louer un dieu ou un saint pompeusement avec exagération) --

L'honneur et la dignité du signe de la croix serait le bienfait spirituel que l'on en tire et non ses règles d'accomplissement.

Cela est d'autant plus vrai que l’action de se signer, comme geste, n'est pas spécifiquement chrétien. Pas plus d'ailleurs que la forme de la croix, symbole de bonheur que l'on retrouve sur des sceaux, des pendentifs, des stèles bien avant l'ère chrétienne.

Les humains chrétiens adorent la croix avec tout le respect qui n'est dû qu’à l’Être Suprême, ce Dieu unique que je nomme EL-SHADDAÏ –( Dieu Shaddaï )—

Ce qu'on appelle maintenant la croix du christianisme, n'était nullement à l'origine un emblème chrétien, c'était le Tau mystique des Chaldéens et des Égyptiens, la vraie forme première de la lettre « T », l'initiale du nom de Tammuz,

En Égypte, la première forme de ce que l’on appellera la croix, n’était autre chose que la « Crux Ansata » ou le « signe de la vie », porté par Osiris et tous les autres dieux égyptiens.

Ce même signe que toute la chrétienté fait aujourd'hui était en usage dans les Mystères Babyloniens. Le paganisme l'employait pour les mêmes desseins mystiques, il l'entourait des mêmes honneurs.

Jamais les vertus magiques attribuées au signe de la croix, jamais le culte qu'on lui rend n'ont eu une pareille origine !

Le Tau mystique était marqué au moment du baptême sur le front de ceux qu'on initiait aux mystères et on l'employait de bien des manières différentes comme le plus sacré des symboles. ---[ TERTULLIEN,( 150 – 220 ) De prœscitt. Hœret., vol. II, ch. 40, p. 54 et note. Il dit que les initiés aux mystères par le baptême étaient marqués au front comme ses compatriotes chrétiens d'Afrique, qui commençaient à être marqués par le signe de la croix.

Tertullien, À ma femme, II, 9<cite> </cite><cite>; trad. E.-A. De Genoude :</cite>

« Chez eux point de signes de croix furtifs, point de timides félicitations, point de muettes actions de grâces »]

Le Tau mystique, symbole de la grande divinité, était appelé le signe de vie. On le portait sur le cœur comme une amulette. Ce signe de la croix fut reproduit sur les vêtements offi­ciels des « Prélats » de toute la chrétienté.

Les rois le portaient à la main, comme signe de leur dignité ou de l'autorité qu'ils tenaient de la divinité

Les Vierges Vestales de la Rome païenne le portaient suspendu à leurs colliers, comme le font aujourd'hui les religieuses

Les Égyptiens faisaient de même, et plusieurs des nations barbares avec lesquelles ils étaient en rapport, le faisaient aussi, comme le témoignent les monuments Égyptiens. Parlant des ornements de quelques-unes de ces tribus, Wilkinson dit :

« La ceinture était parfois richement ornée : hommes et femmes portaient des boucles d'oreille; souvent ils avaient une petite croix suspendue à un collier, ou au col de leur vêtement »  Tout ce qui est écrit ci-dessus vous pouvez les trouver dans les références suivante : {STEPHEN, L'Amérique centrale, tome II, p. 344. LAYARD, Ninive et Babylone, p. 211 et Ninive et ses ruines, tome II, p. 446. WILKINSON, tome I, p. 363. Père LAFITAN, Mœurs des sauvages américains, tome I, p. 442.}

Ce symbole païen le « T » devenu une croix vers le IIème siècle ap. EC était le signe du Dieu Chaldéen Tammuz, Dieu babylonien qui avait beaucoup d’adeptes dans tout le Bassin Méditerranéen particulièrement dans toute l’Afrique du Nord, Égypte comprise. Tertullien cité plus haut dans une déclaration montre à quel point la cité de Carthage était infectée de ce vieux levain. Les nouveaux chrétiens en inscrivant le Tau en tête des inscriptions et en mettant ce « signe de vie » sur les tombes n’avaient nullement l'intention de rappeler la crucifixion de Jésus le Nazaréen mais c'était simplement le résultat d'un profond attachement aux anciens symboles païens, attachement toujours puissant, chez ceux qui, malgré le nom et la profession de chrétiens, étaient encore, dans une large mesure, païens de cœur et de senti­ments...

C'est là et là seulement l'origine de l'adoration de la croix et du « signe de la croix »

       Chez les Babyloniens, la croix verticale était un symbole sacré. La croix était adorée des siècles avant le début de l’ère dite chrétienne.

Dans son ouvrage V. Gordon Childe ( New Light on the Most Ancient East, ed. De 1953, chap. IX « Cvilisation indienne au IIIème millénaire av. J-C » ) dit:

« Le svastika et la croix qui apparaissent souvent sur les sceaux et les plaques, étaient des symboles religieux ou magiques comme en Babylonie et en Elam dans les premiers temps de la préhistoire, mais ils conservent encore ce caractère dans l’Inde moderne comme ailleurs. »

« La croix était vénérée, adorée, au Mexique bien avant que les catholiques Espagnoles et Portugais n’y eussent pénétré. On y élevait de grandes croix de pierre pour implorer le Dieu de la pluie. »

« La croix adorée par beaucoup de nations ou regardée comme emblème sacré, était le symbole indubitable de Bacchus ou Tammouz, le Messie babylonien, car il était représenté ayant sur la tête un bandeau couvert de croix

Ce symbole du Dieu babylonien est aujourd’hui en honneur dans l’Europe Centrale comme la Mongolie, le Caucase et toute la Steppe »

La croix en tant que symbole remonte à une date inconnue de l’humain. De tous les temps, elle a été reconnue dans tous les pays du monde. Avant notre ère les Druides, Bouddhistes, Brahmans, Babyloniens utilisaient cet emblème.

Les druides considéraient que la grande branche de la croix symbolisait le chemin de la vie, et que les petites branches représentaient les trois conditions du monde spirituel 

Ce « signe de la croix » montre bien son origine païenne et prouve avec certitude que toute la chrétienté est dans l’idolâtrie et le paganisme.

Voici comment le pape Innocent III en 1100 s'exprime au sujet du signe de croix :

"Le signe de la croix doit se faire avec trois doigts, parce qu'on le trace en invoquant la Trinité, dont le prophète dit : Il a soutenu sur trois doigts la masse de la terre[][]. Il est tracé de haut en bas, et est ensuite coupé de droite à gauche, parce que Jésus-Christ est descendu du ciel en terre et a passé des Juifs aux Gentils. Certains, cependant, font le signe de la croix de gauche à droite, parce que nous devons passer de la misère à la gloire, tout comme le Christ a passé de la mort à la vie, et du séjour des ténèbres au paradis…"

Je continue

Vos « Dirigeants » Curé, Abbé, Évêque, Cardinal, Pasteur et autres, peut-être « Pape », « Pope » ne sont-ils pas homosexuel pour certains, pédophile pour d’autres, et tous « Fornicateurs » car un homme reste un homme et les Lois de la nature sont valable pour Tous, ils n’échappent pas à la règle.

 Quand je pense qu’ils vont jusqu’à marié des humains de même sexe au NOM de Jésus-Christ et de son Père qu’ils nomment « DIEU », alors que ce même Dieu a détruit deux cités à cause de ces actes …. ! ….. !…

Si vraiment ils croyaient sincèrement dans leur ministère, ils feraient comprendre la portée des actions de ces humains qui agissent contre nature, car le contre nature, l’homosexualité n’est pas de l’amour mais un vice intérieur profond cultivé volontairement par l’humain quel qu’il soit ! … Car ces humains savent en parfaite conscience qu’ils agissent mal, ils ont le « Libre Choix »

Cela me prouve bien que cette religion est vraiment une Religion IDOLÂTRE sans aucune morale !

Voilà pourquoi je resterai le « PAÏEN » toute ma vie !…                                  

Toute la liturgie chrétienne d’aujourd’hui n’est que transformation des Écrits Originels

Notre « BIBLE » d’aujourd’hui est une Bible modifiée.

Heureusement il y a des éditeurs qui impriment des Bibles avec la référence des Manuscrits, ainsi que le nom des traducteurs. Certes, elles valent un peu plus cher, mais au moins vous êtes sûr de posséder quelque chose d’authentique, si je peux encore écrire cela, non traficoté par des dogmes religieux et sectaires

Comme je vous l’ai écrit l’athéisme n’existe pas !…

Tous ceux qui se disent « Athée » sont des menteurs !…

Mon Temple, mon Église c’est ce « Ciel » infini au-dessus de ma tête, toute cette merveille de nature qui m’entoure…. !

ça !…c’est le vrai « DIEU » !…

pas d’images taillées, de statues, de peintures,…. !

pas de prières toutes faites !….

pas d’êtres humains, pour certains plus imparfait que moi, pour me confesser !…

 fini les Prêtres, les Pasteurs….….

Seul le « TRÈS-HAUT » et ma conscience !…..

Je sais que les conseilleurs ne sont pas les payeurs !…

Mais je vais enfreindre cette règle !..

Faites comme moi !…

Prenez cinq minutes par jour, regardez toute la vie autour de vous, puis scrutez votre conscience, sans aucune hypocrisie, tel que vous êtes, en bien ! en mal !…

Alors vous saurez ce que vous êtes sur cette Terre et vous chercherez la vérité de la vie avec ses innombrables questions !…

 Vous vous apercevrez que le « dieu » que vous avez prié n’est que matière destructible, mais que Celui qui est invisible au-dessus de votre tête est visible et indestructible à l’intérieur de vous…

Faites l’expérience pendant 3 mois, cela ne coûte rien, cinq minutes par jour , c’est tout !

 Nommez-le comme bon vous semble,…Très-Haut, Tout-Puissant, Maître de l’Univers, ou comme Abraham « EL-SHADDAÏ »…..etc… sauf ce nom vulgaire « DIEU »

« DIEU » est un mot hérité du latin « deus », lui-même issu d’une racine « Indo-Européenne »---{ DYEUS PITAR }---, « Père Ciel brillant »

 Je n’ai écrit qu’un centième de tout ce qu’il y a , à écrire.

Je reviendrai certainement sur l’histoire de « JÉSUS le NAZARÉEN », sur tous les textes détournés par le Vatican, et cela demande un certain temps. Sachant que la vérité pour certains n’est pas bonne à dire, je suis sûr que je me suis fait des ennemis, mais pour ceux-là je connais déjà leur fin, car ce sont des sots et des insensés, bornés comme des ânes avec des œillères, sans aucune réflexion personnelle et se mentant à eux-mêmes.

En attendant les prochains « Écrits » ou « Textes », vous laissant à votre réflexion, raisonnement, jugement personnel, portez-vous bien ! Prenez soins de vous et de votre maisonnée !

Salutations cordiales !

Sig : JP.G. dit « GRAND-LOUP » ou « GRANDELOUPO »

 


Commentaires

 
 
 
posté le 15-07-2014 à 02:00:47

Secte, Religion ... Chap. N°10 - La vraie Croix

Découverte de la Vraie Croix

 

Secte, Religion, Païenne, La Chrétienté

 

Pendant quelques chapitres je vais vous écrire la naissance d’une religion qui est aujourd’hui la première mondiale par le nombre de ses fidèles, mais aussi par tous les Ordres Monastiques ainsi que toutes les sectes se rattachant même indirectement à cette Religion-Mère qui fonctionne pour ces Dirigeants comme une secte.

Cette religion, embryon du judaïsme même si elle le nie, les écrits politiques historiques prouvant le contraire et confirmant sa naissance du judaïsme, prendra sa légitimité par un homme hors du commun des mortels un Galiléen du nom de Jésus le Nazôréen fils du charpentier de Nazareth.

Ces seules armes seront son Esprit de raisonnement, de réflexion, son Verbe, son Amour pour la race humaine, rappelant toujours les Lois indestructibles de son Père géniteur, que je nomme EL-SHADDAÏ ---{ Dieu au-dessus des Montagnes } --- comme Abram ou Abraham, son véritable NOM ayant été rendu « TABOU »  par les humains, qui l'ont supprimé de tous les « Écrits », en le remplaçant par un tétragramme « YHWH. » et que cette religion nomme vulgairement « Dieu ».

Ce Galiléen fait encore aujourd’hui couler beaucoup d’encre, car entouré d’un « Mystère » inexplicable de sa naissance à sa mort, doté d'une rare « Sagesse », d’une « Connaissance » de la matière et de l’immatériel du corps humain, d’un pouvoir incommensurable et d’une « Intelligence » phénoménale.

Il s’entoura de soixante-douze « Disciples » dans lequel il choisit douze « Apôtres » qui représentaient les douze Tributs d’Israël. Après les avoir enseignés sur les Lois et Préceptes de son Père géniteur, puis sur un Enseignement personnel, il les envoyât sur la surface de la Terre pour instruire tous les humains qui vivaient sur celle-ci faisant des « Disciples », leur inculquant ce onzième commandement.

Matthieu XIX : 19, XXII : 39, Marc XII : 31, etc

« Tu aimeras EL-SHADDAÏ ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme et

« Tu aimeras ton prochain comme toi-même ! »

Mais aussi :

« Aime ton frère (semblable) comme ton âme ; veille sur lui comme sur la pupille de ton œil. » --- Papyrus Oxyrhynque I ---

Ce bel homme, à l’image de son Père et de ceux qui vivent avec lui, de caractère dur, autoritaire, d'une grande force, au verbe haut, imposant la crainte, le respect, mais aussi la gentillesse et l’amour fut tout le long de sa vie parfaite sur la Terre, un « PARANGON. » 

De l'enseignement de cet homme, les humains en ont fait en à peine IV siècles { quatre cents ans }  une Religion d'Idolâtre

C'est cette histoire que j'écris ! ...

 

Dernières lignes du chapitre précédent

 

Le 20 Mai 325 à Nicée en Bithynie, il préside le premier  « Concile œcuménique » devant 250 à 300 Évêques.

Ils signèrent un --- « Symbole » --- [ un accord ] comportant le « CRÉDO », encore en usage aujourd’hui dans toutes les Églises et Monastères.

A ce Concile ils choisirent ------ { pour être plus près de la vérité, Constantin Ier et l’Évêque théologien Eusèbe de Césarée, son ami,  sélectionnèrent, et firent choisir…….} ---- les Évangiles, Lettres, Épîtres, pour former un « Codex »… =  « Livres » , qu’ils relièrent ensemble afin de former une  « Bible ».

Cette réunion de « Livres » choisis fut nommée le « Canon » du « Nouveau Testament » Ils en firent de même avec les Écrits Anciens du Judaïsme, nommé « Ancien Testament »

 Le sens du mot « Bible » fut transformé ce jour, en latin, « biblia ». 

Le mot « Bible » désignait dorénavant un ensemble de « Livres Sacrés ».

 

Chapitre N° 10

 

Adoration de la Croix

 

Il existait un nombre incalculable d’Églises.

A ce Concile toutes les Églises furent réunies en deux Églises, chacune avec son courant de pensés ; les Évêques qui acceptèrent le « Credo », ce fut l’Église « Orthodoxe », Orientale ….., les Évêques du courant « Arien » ----[ subordination du Fils au Père ]----fut l’Église de Rome, Occidentale.

Constantin était plus proche de l’orient, il installa le Siège à Byzance, nommé « La Nouvelle Rome ».

Puis il rebaptisa la ville « Constantinople » ------ depuis 1649 Istambul ------ et fit construire la Basilique « Sainte Sophie ».

A la fin de sa vie Constantin Ier, dit Le Grand, se rappela des « ariens » et, c’est leur chef, l’Évêque Eusèbe de Nicomédie, qui le baptisa sur son lit de mort en 337.

L’Église doit beaucoup à Constantin grâce à ses Lois :

En 325 il impose le repos « Dominical » …

Il autorise l’Église à recevoir des legs,…

En 329 pour renforcer le « Mariage », il devait y avoir une cérémonie religieuse ---- [ le « sacrement » du mariage, c’est lui ! ] ---- chrétienne avec un sacrement,…

Il punit l’adultère d’une femme avec son esclave,…

En 331 il restreint le droit au divorce,…

En 333 il autorise l’affranchissement des esclaves,…

En 336 il promulgue une Loi pénalisant la bâtardise. …

On ne dit plus les Églises mais « l’Église de Rome ».

Le « Christianisme » ne deviendra officiellement « Religion d’ÉTAT » que sous l’Empereur Théodose Ier en 380.

« Hélène », sa mère, chrétienne très croyante, en 326 entreprend un pèlerinage en Palestine à la recherche de la « Croix du Christ ».

Le bois de cette « Croix » fut découvert sur le lieu du calvaire appelé le « Golgotha » ---- [ lieu du crâne ] ---, après que l’on fît détruire le Temple de Vénus bâti par Hadrien, afin d’y ériger une Basilique --- { Basilique du Saint Sépulcre } --- C’est au cours de ce chantier qu’auraient été trouvées ces trois  « croix ».

Légende ou réalité ? ……

Retranscriptions des faits … !

« Hélène vint à Jérusalem, inspirée par Dieu.

Un signe céleste lui indiqua le lieu qu’elle devait creuser.

 Elle en retira trois croix, celle du Christ et celles des deux larrons. Hélène demeura perplexe car comment reconnaître parmi elles le bois sur lequel Jésus avait subi sa douloureuse agonie ?

Macaire, l’évêque de Jérusalem, qui assistait l’impératrice dans ses recherches, demanda qu’on amenât sur une civière une femme mourante. Au contact de la première croix, la moribonde demeura insensible : la seconde croix elle aussi, ne produisit aucun effet, mais à peine la femme eut-elle touché la troisième qu’aussitôt elle se leva et se mit à marcher avec entrain et à louer Dieu.

 Ce miracle permit ainsi de distinguer la « Vraie Croix ».

 Hélène fit trois parts de cette croix, l’une destinée à Jérusalem, la seconde à Constantinople, la troisième à Rome. »

Quelques données historiques grâce à l’archéologie.

Le matériel de torture Romain --- « La Crucifixion » ----, était composé de deux bois qui formaient un « ».

Le supplicié était attaché par les poignets à une traverse de bois, ---- nommée « stauros » en grec = « patibulum » en latin ---- qu’il portait jusqu’au lieu de supplice. Arrivé, il était cloué sur cette traverse par les poignets sans être détaché. --- { et non au milieu de la paume de la main } --- Cette traverse était fichée dans un pieu verticale, --- appelé « xylon » en grec, c’est à dire bois, et « crux » ou « furca » en latin ---- puis élevée, les pieds du condamné touchant presque le sol.

Le tout formait ce que les Romains appelaient un « Crux » = « T » …. d’où l’origine française « croix »

Pour « Jésus-Christ » le « patibulum » fut légèrement descendu pour laisser la place à une plaque de bois sur laquelle était inscrit :  « Jésus de Nazareth, Roi des Juifs » ------« I.N.R.I. », voulu par Ponce Pilate.

Le torturé mourrait par asphyxie, après de longues heures de souffrance. Pour certains, avant la tombée de la nuit, on leur fracturait les tibias.

Au IVème siècle l’Empire Romain étant devenu chrétien, ce supplice fut abandonné.

 On oublia les circonstances réelles de la mort du Christ et l’image de la « Croix » se modifia pour devenir un objet de piété et d’adoration.

Après ces quelques précisions, reprenons le cours des évènements avec « Hélène ».

L’importance de la découverte de cette relique, supposée le 3 mai 326, donna naissance à la fête religieuse de « l’Invention de la Sainte-Croix ».

Avant de terminer un peu d’histoire sur cette « croix »

L’usage de la croix en tant que symbole religieux remonte beaucoup plus loin que l’époque du Christ et n’est donc pas seulement d’origine chrétienne. Cela montre que la croix des Chrétiens est déjà universelle avant même l'arrivée de Jésus.

La croix n’était pas un symbole utilisé par les premiers chrétiens, car ils craignaient que ce symbole soit un signe qui les livre plus rapidement encore aux terribles persécutions romaines qui ont ensanglanté les premiers siècles du Christianisme.

Après la reconnaissance de la chrétienté par Constantin le Grand, mais surtout après les empereurs Théodose, pour l’Empire d'Orient et Gratien, pour l’Empire d'Occident, tous deux chrétiens, élèvent le christianisme au rang de seule religion officielle et obligatoire par l’Édit du 28 février 380, dit l'édit de Thessalonique.

L’empereur Gratien cesse alors de porter le titre de pontifex maximus (souverain pontife) du culte romain.

Ce titre est donné de nouveau à l’évêque de Rome des siècles plus tard.

Les chrétiens ne craignant plus les persécutions et encore plus à partir du Vème siècle, la croix commença à être représentée sur des sarcophages, se sont des cercueils en pierre, des lampes, des coffrets et d’autres objets. ---- [ Sir Wallis Budge ajoute dans Amulets and Talismans : « La croix ne devint pas le principal emblème et symbole de la chrétienté avant le IVe siècle. » ] ---

 

On utilise une véritable croix pour de nombreux rites.

La messe catholique et orthodoxe ne peut avoir lieu que si un crucifix est présent sur ou à côté de l'autel du sacrifice.

La croix est également portée lors des pèlerinages, des rassemblements et lors de cérémonies religieuses.

Deux fêtes marquent, dans le calendrier liturgique catholique romain, l'importance de cet objet :

 L’Invention de la Croix 3 mai et l'Exaltation de la Croix 14 septembre.

L’adoration de la « Croix » commence et devient le signe officiel de la « Chrétienté » et des « Chrétiens » début du Vème siècle

Mais il existe beaucoup de divisions dans cette religion, et, chacun dessinera sa propre « Croix » …Catholiques, Orthodoxes, Jérusalem, Malte, Templiers, etc.

Cet emblème, la « Croix », selon son dessin, servira de rassemblement pour s’entre-tuer avec ardeur et allégresse entre chrétiens. Depuis le Vème siècle jusqu'à nos jours les chrétiens avec leur emblème se massacreront sans aucune pitié sans aucun remord et tout cela au nom de Jésus-Christ.

Regardez bien une procession pour un Saint ou une Sainte quelconque en tête du cortège vous avez le curé qui porte en effigie un crucifix, et de chaque côté les emblèmes en porte-drapeau.

Voilà comment en IV siècle vous êtes devenu des « Idolâtre », Vous les « Chrétiens », qui nommez des personnes comme moi des « PAÏEN »…

Avec ce qui est écrit ci-dessus vous allez avoir beaucoup de mal à me prouver que votre religion n’est pas « Idolâtre »

Vos offices ne peuvent se faire sans cette « Croix » objet matériel façonné de mains d’humains.

Alors ? …

Comment pouvez-vous continuer à fréquenter ces Temples de l’Idolâtrie ? …

Où est passée l’Époque des Apôtres et Disciples ?…

Vous suivez vos dirigeants, Prêtres, Évêques, Cardinales, Papes, Popes, Pasteurs …,qui se servent du Nom de Jésus le Nazaréen en oubliant ses Enseignements, les Lois et Préceptes de son Père, pour vous entraîner vers votre perte.

Vous tous « Chrétiens » je commence à comprendre pourquoi les bases du « Mal » vous sont agréables, vanité, convoitise, orgueil, hypocrisie, mensonge, car se sont vos pierres de fondement, vos piliers, vos pierres angulaires ! … ! … !

Moi le « PAÏEN » je suis un menteur ? …Un calomniateur ? …

Certes pas ! …

Il ne suffit que d’écouter les ouailles, les fidèles au sortir des Églises, Cathédrales, Chapelle après la messe ou autre cérémonie religieuse comme les enterrements ; ça pleure le « défunt » et sa dénigre en même temps sur « Lui, le Mort » et les autres humains qui sont présents ! …

Quelle hypocrisie !….. !

Comme disait un certain « Messie », je le cite : ( Mt 15 : 11, Év. De Thomas log. 14 ) 

{ «  Ce qui est mauvais, ce n’est pas ce qui entre dans la bouche, mais, c’est ce qui en sort !… » }….

----- A méditer ! ……-------

En attendant les prochains « Écrits » ou « Textes », vous laissant à votre réflexion, raisonnement, jugement personnel, portez-vous bien ! Prenez soins de vous et de votre maisonnée !

Salutations cordiales !

 

Sig : JP.G. dit « GRAND-LOUP » ou « GRANDELOUPO »

 


Commentaires

 
 
 
posté le 06-07-2014 à 23:42:45

Secte, Religion ... Chap. N°9 - Constantin le grand

 

 

 

 

Pont de Milvius

 

 

 

Secte, Religion, Païenne, La Chrétienté

 

Pendant quelques chapitres je vais vous écrire la naissance d’une religion qui est aujourd’hui la première mondiale par le nombre de ses fidèles, mais aussi par tous les Ordres Monastiques ainsi que toutes les sectes se rattachant même indirectement à cette Religion-Mère qui fonctionne pour ces Dirigeants comme une secte.

Cette religion, embryon du judaïsme même si elle le nie, les écrits politiques historiques prouvant le contraire et confirmant sa naissance du judaïsme, prendra sa légitimité par un homme hors du commun des mortels un Galiléen du nom de Jésus le Nazôréen fils du charpentier de Nazareth.

Ces seules armes seront son Esprit de raisonnement, de réflexion, son Verbe, son Amour pour la race humaine, rappelant toujours les Lois indestructibles de son Père géniteur, que je nomme EL-SHADDAÏ ---{ Dieu au-dessus des Montagnes } --- comme Abram ou Abraham, son véritable NOM ayant été rendu « TABOU »  par les humains, qui l'ont supprimé de tous les « Écrits », en le remplaçant par un tétragramme « YHWH. » et que cette religion nomme vulgairement « Dieu ».

Ce Galiléen fait encore aujourd’hui couler beaucoup d’encre, car entouré d’un « Mystère » inexplicable de sa naissance à sa mort, doté d'une rare « Sagesse », d’une « Connaissance » de la matière et de l’immatériel du corps humain, d’un pouvoir incommensurable et d’une « Intelligence » phénoménale.

Il s’entoura de soixante-douze « Disciples » dans lequel il choisit douze « Apôtres » qui représentaient les douze Tributs d’Israël. Après les avoir enseignés sur les Lois et Préceptes de son Père géniteur, puis sur un Enseignement personnel, il les envoyât sur la surface de la Terre pour instruire tous les humains qui vivaient sur celle-ci faisant des « Disciples », leur inculquant ce onzième commandement.

Matthieu XIX : 19, XXII : 39, Marc XII : 31, etc

« Tu aimeras EL-SHADDAÏ ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme et

« Tu aimeras ton prochain comme toi-même ! »

Mais aussi :

« Aime ton frère (semblable) comme ton âme ; veille sur lui comme sur la pupille de ton œil. » --- Papyrus Oxyrhynque I ---

Ce bel homme, à l’image de son Père et de ceux qui vivent avec lui, de caractère dur, autoritaire, d'une grande force, au verbe haut, imposant la crainte, le respect, mais aussi la gentillesse et l’amour fut tout le long de sa vie parfaite sur la Terre, un « PARANGON. » 

De l'enseignement de cet homme, les humains en ont fait en à peine IV siècles { quatre cents ans }  

C'est cette histoire que j'écris ! ...

 

Dernières lignes du chapitre précédent

 

Cet Évangile ressemble étrangement en écriture à l’Évangile de Thomas !

Bizarrement le Vatican ne parle pas de ces Écrits mais les garde jalousement en le Apocryphe ».

Après ces quelques lignes, je peux me permettre de vous conseillez : 

« Vous Tous les « Chrétiens », Catholiques, Orthodoxes, Protestants, et vos innombrables Sectes, faites comme moi le « PAÏEN » …

Cherchez !…

Cherchez encore… !

Vous serez étonnés… !

Comme moi vous deviendrez « PAÏEN »…! »

 

Chapitre N° 9

 

Constantin le Grand

 

Un extrait de l’Évangile de Thomas et du premier Évangile de Matthieu en araméen ou il est écrit 

 JÉSUS a dit :

----« Que celui qui cherche ne cesse de chercher, jusqu’à ce qu’il trouve. Et quand il aura trouvé, il sera troublé ; quand il sera troublé, il sera émerveillé, et il régnera ;…et ayant régné il atteindra le repos. »

----« Le Royaume est à l’intérieur de vous ; et il est à l’extérieur de vous. Lorsque vous vous connaîtrez, alors on vous connaîtra ; et vous saurez que c’est vous les fils du PÈRE [ EL-SADDAÏ ]  vivant. »        

----« Reconnais ce qui est devant ta face, et ce qui t’es caché te sera dévoilé. Car il n’y a rien de caché qui ne sera manifesté, rien de couvert qui restera sans être dévoilé, et rien de ce qui a été enseveli qui ne sera soulevé. »…[ Papyrus Oxyrhynque 654.  Mt 10 :26, Mc 4 :22, Lc 8 :17 ; 12 :2.] 

Je vous laisse à votre réflexion car ces paroles-là, jamais vous entendrez un Curé les prononcer, cela détruirait leur « Dogmes ».

 Oui ! Approfondissez bien ces paroles de Jésus le Nazaréen.

L’empereur romain « Néron » en 64 ap. JC., par ses persécutions fit connaître cette « Secte », les « Nazôréens » ou les « Nazaréniens », qui prirent de l’ampleur.

C’est l’ère primitive du christianisme…. 200, 250 années passent

Les « Théologiens » de tout horizon s’affrontent ! …

Les chefs des « Assemblées » --- { les Églises } --- sont appelés « ÉVÊQUE », …[ l’Évêque de Rome, d’Antioche, de Jérusalem, de Philadelphie, de Smyrne, de Nicée,……]

Plus de 2000 Lettres, Épîtres, Évangiles circulent entre les Églises.

Comme toujours certains de ces responsables s’aperçoivent de la richesse …{ en propre, comme au figuré }…de toutes ces communautés désordonnées, alors ils fixent des règles, et en prennent le commandement.

Ils dotent ces communautés d’un « Conseil » avec à sa tête …{ le nom} …. un « Évêque » --- du grec « épiskopos » = surveillant, protecteur --- ou un « Presbytre » --- du grec « presbytéros » = ancien --- Le premier terme finira par l’emporter. L’Évêque sera assisté par un « Diacre » --- du grec « diakonos » = serviteur ---

Ils seront désignés comme « Les Pères Apostoliques », dont Ignace d’Antioche, Clément de Rome, Polycarpe de Smyrne, Papias, Hermas Le Pasteur, Hégésippe, etc.

 C’est Ignace d’Antioche qui décida que l’Évêque était le représentant de « DIEU » sur la Terre.

Étonnant ! … Non ! …

Quant à l’humilité conseillée par Jésus le Nazaréen ! … ? … ?

---[ le commencement de la corruption des Paroles de JÉSUS le Nazaréen]----

Ce sont ces mêmes « Dignitaires » qui, se réunissant en « Concile », comme celui de Carthage en 216 qui a réuni plus de 71 « Évêques » du Bassin Méditerranéen, compris ceux des Régions et Pays plus lointain, élaborèrent les Lois et Doctrines----{ dogmes }---du « Christianisme » naissant, et imposèrent un corpus de tous les textes qui circulaient, les choisissant, faisant autorité…

C’est le premier « CANON »….

A ce  « Colloque »  ils choisirent  les Évangiles « synoptiques » ….Matthieu, Marc, Luc……Les autres  « Conciles »  furent nommés  « œcuménique »  [ qui rassemble l’ensemble des Églises], « Concile œcuménique » de Nicée en 325, Constantinople en 381, Éphèse en 431,….. , ….,

Fin du Ier, début du IIème siècle les « Nazôréens » { premiers Chrétiens } commencent à conserver pieusement des reliques des Apôtres et Disciples ….vêtements, ossements, peintures, tableaux, sculptures,……et leur accordent une certaine dévotion.

 Les Évêques, et surtout les théologiens sont déclarés « SAINT » après leur décès.

Les décennies passent… !

IIIème siècle…!

Les « Nazôréens » ou « Nazaréens » sont appelés « CHRÉTIENS »….. !

 Jésus de Nazareth est nommé « Jésus-Christ » ---- du grec « Christos » = sauveur, salut, Messie, ou du langage courant oindre, enduire, graisser --- du latin « Crux » = Croix transformée en « Christ » = Jésus sur la Croix = « Jésus-Christ » ---

La « Chrétienté » stagne !…

Au gré des Empereurs Romains qui se succèdent, il y a, ou il n’y a pas de persécutions contre les chrétiens.

Cette « Religion » a bien changé !…

Il existe une multitude de courant qui se combattent pour imposer, « sa Doctrine », « sa Pensé » : adoptianisme, sabellianisme, donatisme, melècisme, apollinarisme, etc.

Les Évêques théologiens, Traducteurs, Docteurs de théologie, Copistes ou Scribes, transforment, suppriment, rajoutent les textes originels !

L’enseignement de Jésus-Christ, des Apôtres et Disciples de celui-ci et des premiers Chrétiens ---- les « Nazôréens », --- est bien loin !…

C’est la « Doctrine » des hommes, leurs pensés, leur façon de comprendre les « Écritures » qui fait « Loi » et « Foi » au « Nom de Jésus-Christ notre Seigneur » disent-ils, de ce « DIEU » égal à son « Père » … ! … ! --- [ je ne fait que les citer ]----

Nous voilà au début du IVème siècle …. !

L’Empereur romain Dioclétien -- 245-313, son règne 284 à 305 ----, est au pouvoir.

 En 293 il fait une « tétrarchie » de l’Empire { gouvernement à quatre }… Dioclétien, l’Orient….Maximien, l’Italie et l’Afrique….Galère, l’Illyrie et les régions du Danube….Constance, la Bretagne, la Gaule et l’Espagne.

A l’instigation de Galère, en 303, Dioclétien mène des persécutions très brèves, d’une cruauté inégalée, qui furent les plus meurtrières contre les Chrétiens --- La Grande persécution -- qui restera marquée dans les mémoires jusqu’au VIème siècle --- …

Il aura l’intelligence de céder le pouvoir à Constance en 305.

Constantin Ier, né à Naissus, aujourd’hui Nis en Serbie, le 27 Février 272 et mort le 22 mai 337 près de Nicomédie, fils de Constance et de sa première épouse Hélène.

Constantin Ier, en 305, rejoignit son père, Constance, devenu « Auguste » après l’abdication de Dioclétien et de Maximien Hercule, en Bretagne Grande ----  l’Angleterre actuelle, qui doit son nom à une peuplade germanique du Nord de l’Europe, les « Angles », qui venaient du Danemark, de Frise, des Iles de Fyn avec sa cité Odense, et de Sjaelland avec sa cité Copenhague ----- Un an après, en 306, son père étant décédé, il est proclamé « César » par ses troupes.

Puis il épousa la sœur de Maxence, Fausta, et prit le titre « d’Auguste »…….

En 311 il existe quatre « Augustes » dans l’Empire romain : Maximin Daïa neveu de Galère, Constantin, Licinius et Maxence.

Entre ces quatre c’est la guerre pour prendre le titre d’ « Empereur »…

En 312 Maxence qui a les faveurs de Rome se fait proclamer « Auguste » et rallie toute l’Italie à sa cause en accusant Constantin de parricide et de rebelle.

A l’est les deux « tétrarques », Licinius et Maximin Daïa s’opposent pour le contrôle de la partie Orientale de l’Empire.

Après avoir scellé une alliance avec Licinius ---- { qui épousa sa demi-sœur Constantina } ---, Constantin part à la conquête de l’Italie et de Rome.

Celui qui tiendrait la route de Rome aurait les faveurs du SÉNAT et serait « Empereur ».

 Les deux armées ----[ Constantin---Maxence] --- s’affrontèrent à SAXA RUBA …. { Les Roches Rouges } …, sur la via Flaminia à 10 Km au Nord-est de la Capitale. Maxence choisit de combattre devant le « PONT MILVIUS » qui enjambe le TIBRE. La possession de ce pont est essentielle pour Maxence…..c’est la route de Rome.

Nous sommes le 28 Octobre  312 au matin … 

Les troupes ?….

Constantin, ….1 à 4 pour 10 Maxence.. ! …

Environ 150.000 hommes vont se battre !…

Romains contre Romains …. !

Maxence dispose des cohortes prétoriennes et des troupes de protection de la ville, les « Vigiles »… ! ------ [ Eusèbe de Césarée et d’autres commentateurs,….ont estimé les forces….ils ont écrit : 1 à 4 soldats de Constantin contre 10 à Maxence…..] -----

Réalité ou Légende … ?

Avant la bataille les troupes de Constantin semblent battues, perdues… ! 

Sur de sa victoire Maxence fait construire un pont mobile … { fait de bateaux alignés }

 Son armé traverse et se positionne devant le Pont Milvius… !

Constantin implore ses « DIEUX »… !

Regarde le ciel ! …

Dans le ciel des nuages d’altitude fins, forment comme un « » et un « P » entremêlés et en plus le soleil les rend lumineux.

Constantin est, --- comme moi --- « païen », mais il y voit un « Signe », les lettres du mot « CHRIST » en grec, et regardant ces cirrus il a l’impression d’entendre une voix lui disant en grec :----traduit en latin---

-«  In hoc signo vinces » = « Tu vaincras par ce « signe » ».

 Alors Constantin jure que, s’il gagne cette bataille, il se fait « CHRÉTIEN ».

Dans l’élan il fait peindre en rouge les « signes » du ciel « X » « P » sur tous les boucliers de ses soldats, -- [ ce signe de la croix avec la lettre mélangée « XP » deviendra l’emblème de la chrétienté combattante de l’Empire d’Orient ]---- les exhorte, et les envoie au combat……

La lutte fait rage !…

Les troupes de Maxence se replient vers le pont !…

Les pertes en hommes pour Maxence sont énormes !…

Ses soldats sont maintenant acculés au « Pont Milvius »…!

 Alors que Maxence se repliait vers Rome en traversant un pont mobile, ses ingénieurs pris de panique sectionnèrent les amarres et les attaches de celui-ci… !

Les bateaux furent emportés dans la tourmente du fleuve, entraînant dans la mort, Maxence et plusieurs centaines d’hommes.

La victoire de Constantin est grandiose !…

Il est accueilli à Rome et est proclamé « Empereur » d’Occident.

Constantin respecte sa « parole » .

Il dédit sa victoire au « Dieu » des Chrétiens. Puis il interdit la persécution des chrétiens sur son empire, et la déclare religion d’État. 

Le 20 Mai 325 à Nicée en Bithynie, il préside le premier  « Concile œcuménique » devant 250 à 300 Évêques.

Ils signèrent un --- « Symbole » --- [ un accord ] comportant le « CRÉDO », encore en usage aujourd’hui dans toutes les Églises et Monastères.

A ce Concile ils choisirent ------ { pour être plus près de la vérité, Constantin Ier et l’Évêque théologien Eusèbe de Césarée, son ami,  sélectionnèrent, et firent choisir…….} ---- les Évangiles, Lettres, Épîtres, pour former un « Codex »… =  « Livres » , qu’ils relièrent ensemble afin de former une  « Bible ».

Cette réunion de « Livres » choisis fut nommée le « Canon » du « Nouveau Testament » Ils en firent de même avec les Écrits Anciens du Judaïsme, nommé « Ancien Testament »

 Le sens du mot « Bible » fut transformé ce jour, en latin, « biblia ». 

Le mot « Bible » désignait dorénavant un ensemble de « Livres Sacrés ».

Il vous faudra attendre quelques jours pour la prochaine lecture !

Portez-vous bien et prenez soin de vous !

Cordialement

Sig : JP.G. dit « GRANDELOUPO »

 


Commentaires

 
 
 
posté le 30-06-2014 à 11:41:53

Secte, Religion ... Chap. N° 8 -Premier Pontife, Étienne II

Secte, religion païenne, le christianisme

 

Pendant quelques chapitres je vais vous écrire la naissance d’une religion qui est aujourd’hui la première mondiale par le nombre de ses fidèles, mais aussi par tous les Ordres Monastiques ainsi que toutes les sectes se rattachant même indirectement à cette Religion-Mère qui fonctionne pour ces Dirigeants comme une secte.

Cette religion, embryon du judaïsme même si elle le nie, les écrits politiques historiques prouvant le contraire et confirmant sa naissance du judaïsme, prendra sa légitimité par un homme hors du commun des mortels un Galiléen du nom de Jésus le Nazôréen fils du charpentier de Nazareth.

Ces seules armes seront son Esprit de raisonnement, de réflexion, son Verbe, son Amour pour la race humaine, rappelant toujours les Lois indestructibles de son Père géniteur, que je nomme EL-SHADDAÏ ---{ Dieu au-dessus des Montagnes } --- comme Abram ou Abraham, son véritable NOM ayant été rendu « TABOU »  par les humains, qui l'ont supprimé de tous les « Écrits », en le remplaçant par un tétragramme « YHWH. » et que cette religion nomme vulgairement « Dieu ».

Ce Galiléen fait encore aujourd’hui couler beaucoup d’encre, car entouré d’un « Mystère » inexplicable de sa naissance à sa mort, doté d'une rare « Sagesse », d’une « Connaissance » de la matière et de l’immatériel du corps humain, d’un pouvoir incommensurable et d’une « Intelligence » phénoménale.

Il s’entoura de soixante-douze « Disciples » dans lequel il choisit douze « Apôtres » qui représentaient les douze Tributs d’Israël. Après les avoir enseignés sur les Lois et Préceptes de son Père géniteur, puis sur un Enseignement personnel, il les envoyât sur la surface de la Terre pour instruire tous les humains qui vivaient sur celle-ci faisant des « Disciples », leur inculquant ce onzième commandement.

Matthieu XIX : 19, XXII : 39, Marc XII : 31, etc

« Tu aimeras EL-SHADDAÏ ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme et

« Tu aimeras ton prochain comme toi-même ! »

Mais aussi :

« Aime ton frère (semblable) comme ton âme ; veille sur lui comme sur la pupille de ton œil. » --- Papyrus Oxyrhynque I ---

Ce bel homme, à l’image de son Père et de ceux qui vivent avec lui, de caractère dur, autoritaire, d'une grande force, au verbe haut, imposant la crainte, le respect, mais aussi la gentillesse et l’amour fut tout le long de sa vie parfaite sur la Terre, un « PARANGON. » 

De l'enseignement de cet homme, les humains en ont fait en à peine IV siècles { quatre cents ans }  une Religion d'Idolâtre

C'est cette histoire que j'écris ! ...

 

Dernières lignes du chapitre précédent

 

Certains critiques   littéraires :

---- « La littérature consacrée à Jésus ou attribuée aux Apôtres :

 « Ce qui favorise la suivie d’un Texte ou l’entrave, c’est le rapport qu’entretient le Texte avec la vérité doctrinal du moment. Cette remarque se vérifie à propos de la littérature Chrétienne, dite patristique du IIème et IIIème siècle et suivant. Ce n’est pas la vérité historique ni l’authenticité qui facilitèrent la suivie d’un Écrit ou sa mort. De nombreux « souvenirs » inauthentiques ont survécu, alors que d’innombrables « souvenirs » historiques se sont estompés----« le dogme »----// 

Certaines sentences de Jésus furent créées de toutes pièces pour répondre à un besoin pressant tel que :

 [ On créa à Antioche un système hiérarchique et, pour le conforté un Évêque « prophète chrétien » s’estimant inspiré, prononça pour la première fois la fameuse sentence ]

---Tu es Pierre et sur cette pierre je bâtirai mon Église------

 

Chapitre N°8

 

Véritable premier Pontife –



PAPE – Étienne II

 

De même, pour libéraliser les pratiques alimentaires en milieu pagano-chrétien on attribua une valeur normative à une vision :

--- celle de l’Apôtre Pierre qui, en prière, vit une foule d’animaux purs et impurs et reçut l’ordre d’en tuer et d’en manger sans distinction. ---Act. 10--9.16.] 

 Aujourd’hui nous connaissons la véracité de certains « ÉCRITS » plus véridiques que quelques livres canoniques du « Nouveau Testament » grâce aux archéologues qui confirment les écrits et traductions de Celse, Arius Justin, Méliton de Sardes, Origène, Clément d’Alexandrie, Eusèbe de Césarée,  Épiphane et tous les autres. » ----

Autre démonstration…

Au cours du VIIIème concile de l'Église à Constantinople en 869, Constantinople IV, il a été décrété la suppression de l'esprit dans le 11ème canon, l'âme comportant désormais une partie spirituelle.

C'est de cette époque que date la confusion entre âme et esprit.

Auparavant, on associait l'esprit à la pensée et l'âme au sentiment. La trichotomie, corps, âme et esprit, a été remplacée par la dichotomie, corps et âme. On est donc passé d'une vision de l'homme dans laquelle l'âme équilibre le conflit entre le corps et l'esprit à une vision dans laquelle le corps s'harmonise avec l'âme ou l'esprit.

Pour mettre de la confusion on ne fait pas mieux

Tout ce qui est écrit ci-dessus ne vient pas de moi, mais des discussions des Dirigeants de l’époque qui étaient Évêques.

Voici comment l’Église des Chrétiens en ait arrivé à nommer un Évêque « Pape » 

J’ai bien dit « ÉVÊQUES » et non « PAPE » !… !

Nous sommes en l’an 492, Gélase Ier est Évêque de Rome  --- { faussement appelé pape, car cette fonction n’existe pas encore. Encore un mensonge de « chrétien »  La preuve ci-dessous }

Gélase Ier fait parvenir à Anastase, l’empereur romain de l’époque, une lettre où il formule avec clarté le principe qui selon lui doit inspirer les relations entre [--- le terme exact est l’évêché de Rome ---] la « papauté » et l'Empire.

 « Deux pouvoirs, auguste Empereur, règnent sur le monde :

 Le pouvoir sacré des évêques et le pouvoir des rois.

 Le pouvoir des évêques l'emporte d'autant plus sur celui des rois que les évêques auront à répondre au tribunal de Dieu de tous les hommes, fussent-ils rois.

Votre pieuse majesté ne pourra donc qu'en conclure que personne, en aucun temps, sous aucun prétexte humain, ne pourra jamais se dresser contre la fonction absolument unique de cet homme que le précepte du Christ lui-même a placé à la tête de tous et que la Sainte Église reconnaît comme son chef. »

Comme je vous l’ai déjà écrit, je sais lire ! …

Il est bien écrit : « Le pouvoir de l’Évêque », et après qu’il est placé à la tête de tous comme « chef », au-dessus des Empereurs.

Il n’a pas écrit « Pape ou Pontife » ! …

---Petite histoire….751,….752,…Après JC.

L’Évêque Boniface couronne Pépin le Bref « Roi des Francs » à Soisson.

Environ trois ans après, en 754, le nouvel Évêque de Rome, Étienne II, fait appel à Pépin le Bref ; celui-ci à une dette d’honneur envers l’évêché de Rome. Pépin va battre les Lombards et offre tous les territoires conquis à Étienne II.

Étienne en profite pour ce déclaré « Pontife », c’est à dire « PAPE » de ces territoires.

 Ce sont les premiers « États Pontificaux ».

Pour asseoir définitivement son autorité avec les Pays Chrétiens, il couronne une seconde fois Pépin le Bref à l’abbaye de Saint-Denis « Roi des Francs » et « Patrice des Romains »,…c’est à dire Noble….., bénit Bertrade de Laon -- ( Berthe aux grands pieds ) --- femme de Pépin, puis sacre les deux fils de Pépin, Carloman Ier et Charles ( Charlemagne), roi.

Dès lors Pépin Bref se considère le ROI par la volonté de Dieu ; le principe de cette royauté durera onze cents ans en France.

Le véritable premier « PAPE » est né !…

Aux premiers siècles la « Clèrogamie » était autorisée, c’est à dire concubinage, mariage des gens d’Église, Prêtre, Évêque, Pape, Cardinal…

Ces dirigeants faisaient vœux de « Chasteté » ; chasteté signifiant une sexualité ordonnée, ne pas confondre avec la « Continence » qui signifie---« abstention de relations sexuelles »--- comme dans certains Monastères et Couvents.

La chasteté pour la personne « célibataire » est une sexualité non active, mais qui s’exprime par l’amitié, l’énergie donné pour l’autre,…pour la personne « marié » c’est la fidélité à l’autre, son attachement

Il faut attendre le concile œcuménique de « Vatican I »

Le 18 Juillet 1870 le pape PIE IX défini la primauté universelle du droit divin ----- « le PAPE est divinement révélé » ----- en conséquence  « l’infaillibilité pontificale » ……

Par la suite à ce même concile, il rend obligatoire la « Continence » pour tous les Prélats.

 Le mariage de ceux-ci est interdit.

Comment un homme aussi imparfait que Vous et Moi peut-il déclarer de telles forfaitures ?…

De tels blasphèmes …? … ?

Depuis ce jour ils, « ces Pontifes », se croient des représentants du  « TRÈS-HAUT » !…

Écœurant !…

Une autre réalité !…… Le Vatican !….

La bibliothèque du Vatican possède 1.600.000 livres antiques et modernes.  150.000 manuscrits, parchemins et documents d’archives. 100.000 documents et incisions. 8300 incunables-----du latin « berceau » enfance de l’imprimerie-----dont plusieurs dizaines en parchemin, + 300.000 monnaies et médailles, sans compter 20.000 objets d’art, mais voici le meilleur,…disons plutôt les meilleurs !….

Une petite parenthèse-------

Le Codex « Alexandrinus » datant du Vème siècle est conservé à la British-Library

Le Codex « Sinaïticus » découvert en 1844 dans le monastère de Sainte-Catherine au Sinaï est conservé au British-Muséum. Ce codex est de la même époque, de la même origine que le codex Vaticanicus-----320--330, IVème siècle.

 Le meilleur !…

Le Codex « Vaticanicus », manuscrit en « Vélin », écrit en grec « oncial »-----ancien grec-----, daté du IVème siècle, 320---330. 

Il s’agit de l’un des plus anciens manuscrits de la Bible, le plus complet, Ancien et Nouveau Testament confondus. C’est peut-être l’un des 50 exemplaires commandés par l’empereur « CONSTANTIN Ier » à Eusèbe de Césarée --265--339-- Évêque théologien et historien.

Un « CODEX » :

 C’est un assemblage de feuillets en parchemin, manuscrits, qui forme un parallélépipédique. Ceci est l’ancêtre du « Livre ». Le codex remplace les « Rouleaux »

Le Codex  « Vaticanus » ---- comme le « Sinaïticus » ----- en plus des « Livres » que nous connaissons, comprend, pour l’Ancien Testament le --- « Livre d’Hénoch » et le  « Livre des Jubilés » --- [--seule la Bible Éthiopienne a gardé ces Livres --] --, pour le Nouveau Testament, après l’Apocalypse de Jean il y a : Épître de Barnabé, Épître d’Hermas le Pasteur, Épître des Apôtres, Épître de Jacques, la Deuxième Épître de Pierre, la Deuxième et Troisième Épître de Jean,  Évangile de Pierre, Évangiles des Hébreux qui a été la source de l’évangile canonique de Matthieu,……en fin de Livre les Écrits de Papias, Épître de Clément de Rome, Deuxième Épître de Clément de Rome, la « Didaché » qui signifie « enseignement » appelé aussi « Doctrine des Douze Apôtres » , que je vous conseille de lire, moi le PAÏEN, et vous vous apercevrez que c’est le « Père », c’est-à-dire le Très-Haut --- « EL-SHADDAÏ » ---, qui est prié et non Jésus le Nazaréen, son Fils unique. LUI, il est le « Serviteur » de son « Père ». ……Les Lettres d’Ignace d’Antioche, aux Éphésiens, Magnésiens, Tralliens, Romains, Philadelphiens, Smyrniotes, à  Polycarpe de Smyrne, ces Lettres sont plus authentiques que certains Écrits Pauliniens.

Ma plus grande « utopie », mon plus grand « fantasme » serait de visiter ----  « l’Enfer ». -----

Je suis sûr, convaincu même, que dans cet « Enfer » je ferai des découvertes sensationnelles, merveilleuses, de quoi remplir mon   « Cœur » et mon « Esprit ».

Ah ! Excusez-moi !

 « L’Enfer » est une pièce de la bibliothèque du Vatican,  plus sécurisée que les plus importants coffres forts mondiaux,  où sont gardées jalousement des Écrits comme des Évangiles, Lettres, Épîtres, Livres, Documents …,----[ de véritables Manuscrits datés du IIème, IIIème, IVème siècle et suivant, car il ne faut pas oublier qu’il y avait plus de deux milles --2000-- Lettres et Epîtres qui circulaient dans tout le bassin Méditerranéen  à cette époque. Il y a de quoi faire tirer une langue de 15 mètres à tous les « Paléontologues » ]--- que l’on ne veut pas montrer au public pour des raisons … religieuses …ou moral

PAPIAS !

Cet homme peut connu des catholiques d’aujourd’hui, a fréquenté dans sa jeunesse quelques Apôtres et Disciples qui étaient avec Jésus le Nazaréen, tout particulièrement l’apôtre Jean. Il connaît les filles de l’apôtre Philippe, et est en relation avec Polycarpe de Smyrne son ami. Il a écrit un ouvrage de cinq Livres intitulé « Explication des Paroles de [ du Seigneur ] Jésus le Nazaréen ».

Il a lu le Ier Évangile de Matthieu ; cet Évangile est écrit en « Logia de Jésus »-----[ Jésus a dit ----- Jésus a fait ---]---- dans la langue hébraïque du Messie, « ….l’Araméen….. »

Cet Évangile ressemble étrangement en écriture à l’Évangile de Thomas !

Bizarrement le Vatican ne parle pas de ces Écrits mais les garde jalousement en le déclarant « Apocryphe ».

Après ces quelques lignes, je peux me permettre de vous conseillez : 

« Vous Tous les « Chrétiens », Catholiques, Orthodoxes, Protestants, et vos innombrables Sectes, faites comme moi le « PAÏEN » …

Cherchez !…

Cherchez encore… !

Vous serez étonnés… !

Comme moi vous deviendrez « PAÏEN »…! »

Prochainement la suite de ces Textes !

En attendant prenez soin de vous et de vos proches !

Portez-vous bien ! …

Salutations cordiales à tous

Sig : JP.G. dit  « GRANDELOUPO »

 


Commentaires

 
 
 
posté le 15-06-2014 à 02:26:15

Résurrection, Ascension ... Chap. N° 4 - Joseph d'Arimathie et le Sanhédrin

Embaumement du corps de Jésus le Nazaréen

Résurrection, Ascension, Pentecôte

 

Me voilà arrivé au quatrième chapitre  de la Résurrection à la Pentecôte et il y a un cinquième chapitre. L’Ascension est passée ainsi que la Pentecôte et je suis toujours entrain d’écrire sur le sujet.

Je reconnais que j’écris pour vous avec plaisir, me posant toujours la même question sachant impertinemment bien que jamais, oui, je dis bien, jamais  je n’aurai la réponse. En effet sur le nombre d’humains qui me lise tous les mois et qui augmente tout doucement mensuellement combien de ces Lectrices et Lecteurs ont changé leur mode de vie pour suivre le sentier caillouteux qui mène à ce Dieu seul et unique que vous nommez certainement comme moi, après une vérification sur la Bible, du nom d’EL-SHADDAÏ, « Dieu au-dessus des Montagnes ». Quand vous priez et que vous dites : « mon Père créateur, toi dans les cieux que ton nom résonne…. » Ton « Nom », oui vous lui avez donné un nom que vous pouvez glorifier : « Que ton Nom soit sanctifié … » là votre prière à un sens et Jésus le Nazaréen s’empresse d’amener votre prière de cœur à son Père car il est notre Roi et pour le moment notre médiateur, notre assesseur. Oui comme je l’ai écris ci-dessus j’espère que vous êtes un parangon pour vos semblables, c’est-à-dire un exemple pour eux.

Chacun de nous a une pierre d’achoppement alors c’est là que vous devez combattre jusqu’au jour où ce péché n’existe plus. Exemple vous êtes attiré vers le sexe opposé et vous êtes marié, des coups de canifs dans le contrat de mariage vous ne les comptez plus, alors là, sera votre campagne personnelle. Je vous ai mis cet exemple car c’est celui d’un ami qui aussitôt qu’il voyait un jupon, c’était plus fort que lui, il fallait qu’il saute dessus.

Un jour qu’il réparait ma télévision je me suis permis de parler de ses incartades. Après trois heures de discussion il me dit « T’as vu ce que tu me demandes ?  --- Oui je sais, mais pense un peu à Mimine puisque tu l’aimes et voilà plus de vingt ans que vous êtes ensembles ! », lui dis-je. Je n’ai rien fait juste lui faire travailler sa conscience ! Il a mis plus d’un an pour tout arrêter et aujourd’hui quand on en parle il se marre et me dit merci car il est plus attentionné envers son épouse ainsi que ses enfants, il a du temps à leur consacré et il se sent plus heureux qu’auparavant car il n’a plus besoin de mentir, de s’inventer des excuses et la conscience !...

Alors ! Oui, je pense à tout cela quand je vous écris, pour que vous soyez un maximum les « Enfants » de ce Dieu seul et unique, ce Dieu d’amour, ce DIEU SHADDAÏ !

 

Dernière phrase du chapitre précédent

 

Comme la « Bible » officielle ne nous offre aucun renseignement sur l’Ascension de Jésus le Nazaréen, quarante jours après sa mort par la torture romaine de la crucifixion et non la résurrection, continuons de nous instruire par la littérature apocryphe digne de foi.

Le « Procès » d’un « Jésus » par Pilate en Syrie-Palestine fut inscrit et conservé dans les archives romaines, Justin de Naplouse en fait référence dans son « Apologie » tout comme le prêtre théologien français Jean-Pierre Lémonon qui écrit :

« En consultant les Actes de Pilate, les Romains auquel Justin de Naplouse destine son œuvre, pourront vérifier la réalisation des prophéties dans les événements qui ont marqué la passion du Christ »

L’historien romain Tacite fait aussi référence aux « Actes de Pilate » dans les « Livres des Annales » qui couvrent la période du Procès de Jésus par Pilate jusqu’à la destruction du Temple de Jérusalem en 70 de l’EC.

Ci-dessus j’ai écrit le temps passé du crucifiement de Jésus le Nazaréen à sa résurrection, avec l’ensevelissement par Joseph d’Arimathie aidé par Nicodème et quelques femmes dont la Mère de Jésus le Nazaréen.

Joseph d’Arimathie faisait partie du Sanhédrin, tout comme Nicodème, qui lui en plus de Joseph, possédait un statut important au sein du Sanhédrin.

 

Chapitre N° 4

 

Joseph d’Arimathie et le Sanhédrin

 

Maintenant, mes semblables, Lectrices et Lecteurs, venant certainement de tous les horizons, je vous invite à faire un petit exercice de mémoire. Voilà plusieurs jours que Joseph d’Arimathie est sortie par on ne sait quel mystère de son cachot, la serrure de la porte ayant été scellée après que Joseph d’Arimathie fut jeté dedans et que Caïphe en présence d’Anne et des juifs, fit faire un double tour à la clef pour fermer la porte. Puis, devant l’assistance, Caïphe fit sceller par un sceau la serrure et les gonds de la porte et mit en faction des gardes romains devant celle-ci.

Caïphe, Anne, les prêtres, les lévites et les juifs avaient-ils peur de quoi pour prendre autant de protection contre un homme qui faisait partie des leurs ?

Je reviens aux écrits des Actes de Pilate.

Dans la nuit du samedi, jour de Sabbat, au dimanche minuit, premier jour de la semaine, Jésus le Nazaréen ressuscita délivrant de même Joseph d’Arimathie de sa prison le transportant chez lui et lui interdisant de sortir de sa maison pendant quarante jours.

Les « Juifs » le firent chercher dans toute la Galilée et la Judée sans le trouver.

Comme les écrits canoniques bibliques ne nous donnent aucun renseignement sur « l’Élévation » de Jésus le Nazaréen par obligation nous sommes obligés de croire à ces textes apocryphes avec quand même une foi importante envers EL-SHADDAÏ et son fils Jésus le Nazaréen. Ces textes suivent de très près les écrits canoniques puisqu’ils dévoilent assez bien l’hypocrisie du Sanhédrin, nous prouvant que le procès de Jésus n’était qu’une mascarade et qu’Anne et Caïphe cherchèrent vraiment à se débarrasser de Jésus par la mort.

Évangile de Nicodème XIII : 3 

3. Ces propos inquiétaient les Juifs. Ils dirent :

« Il ne faut pas que cette nouvelle s'ébruite et que tous se convertissent à Jésus. »

Et après avoir délibéré, ils se cotisèrent et remirent un bon pécule aux soldats avec cette consigne :

« Dites que la nuit, pendant que vous dormiez, ses disciples sont venus et l'ont dérobé. Si l'affaire parvient aux oreilles du gouverneur, nous nous chargeons de l'amadouer et nous vous épargnerons les ennuis. »

Les soldats empochèrent l'argent et firent comme on leur avait dit. (Mt XXVIII : 12-15)

De part les écrits bibliques je sais que pendant les quarante jours, de la résurrection à l’Ascension définitive, Jésus le Nazaréen est monté aux Cieux plusieurs fois retrouver sont Père géniteur, la première fois étant le premier jour de la semaine après avoir vu sa mère Marie, et non Marie de Magdala comme la chrétienté veut le faire avaler à ses ouailles, ce qui est d’une logique absolue, car c’est en son sein que Jésus le Nazaréen fut conçu en tant qu’être humain, pour recevoir par son Père son investiture.

Évangile de Nicodème XIV : 1-2

1. Phinéès, un prêtre, Adas, un docteur et Aggée, un lévite, s'étant rendus de Galilée à Jérusalem firent ce récit aux chefs de la synagogue, aux prêtres et aux lévites :

« Nous avons vu Jésus et ses disciples, assis sur la montagne appelée Milkom, et il disait à ses disciples :

 « Allez par le monde entier, proclamez à toute la création : celui qui croira et sera baptisé sera sauvé ; celui qui ne croira pas, sera condamné. Et voici les signes qui accompagneront ceux qui auront cru ; par mon nom ils chasseront les démons, ils parleront en langues nouvelles ; ils prendront des serpents, et s'ils boivent quelque poison mortel, ils n'en éprouveront aucun mal ; ils imposeront les mains aux malades et ceux-ci seront guéris. »

 Jésus parlait encore à ses disciples, quand nous le vîmes enlevé au ciel. »

2. Phinéès le prêtre, Adas le docteur et Aggée le lévite dirent aux chefs de la synagogue, aux prêtres et aux lévites :

« Si les paroles que nous avons dites et dont nous témoignons constituent un péché, eh bien, nous sommes ici devant vous. Faites de nous ce que bon vous semble. »

Ils prirent la loi et les firent jurer de ne répéter à personne ce qu'ils avaient dit. Puis, ils leur donnèrent à manger et à boire et les chassèrent de la ville, en leur donnant de l'argent et trois hommes pour les raccompagner jusqu'en Galilée. Et ils rentrèrent sans incident.

Mais les « Juifs » toujours dans la même crainte envoyèrent des missiles chercher Jésus le Nazaréen.

Évangile de Nicodème XV : 1

1. Nicodème se leva, et debout devant le Conseil, il dit :

« Vous parlez fort bien ! Mais, l'ignorez-vous donc, peuple du Seigneur ? Les gens qui sont descendus de Galilée craignent EL-SHADDAÏ ; ils ont assez de bien et sont parfaitement désintéressés. Ce ne sont pas des fanatiques. Ils vous ont affirmé sous serment qu'ils avaient vu Jésus sur le mont Milkom avec ses disciples, auxquels il enseignait tout ce que vous avez entendu là, puis ils l'ont vu enlevé au ciel. Mais nous avons omis de leur demander de quelle façon il avait été enlevé. »

« Et maintenant, écoutez-moi : envoyons des hommes par tout le territoire d'Israël et voyons si par hasard ce Jésus n'aurait pas été enlevé par un esprit et déposé sur l'une des montagnes. »

Cette idée convint à tous. Ils dépêchèrent des éclaireurs dans tout le pays d'Israël et ils cherchèrent Jésus, mais sans succès. A Arimathie, ils trouvèrent Joseph ; personne n'osa l'arrêter.

De source sûr et historique, en dehors des Apôtres, Jésus le Nazaréen fut aperçu pendant ces quarante jours par plus de cinq cents personnes qui après avoir conversé et fait plusieurs miracles, c’est élevé vers le ciel.

Plusieurs fois il alla voir les onze Apôtres pour aplanir leurs divergences, les enseigner sur le Royaume de son Père EL-SHADDAÏ en l’annonçant à leurs semblables, les fortifiant dans leur foi afin qu’ils aient le courage d’affronter le monde.

Revenons aux Actes de Pilate ou à l’Évangile de Nicodème

Les quarante jours après la résurrection étaient passés et Jésus le Nazaréen était monté aux Cieux définitivement et les Douze Apôtres n’avaient pas encore reçu le « Souffle d’Intelligence » d’EL-SHADDAÏ.

Le Sanhédrin convoque Joseph d’Arimathie, se dernier acceptant, se rend à Jérusalem et loge chez son ami Nicodème

Évangile de Nicodème XV : 5-6

5. Le lendemain, qui était un vendredi, chefs de la synagogue, prêtres et lévites se rendirent en hâte chez Nicodème. Celui-ci sortit à leur rencontre et leur dit :

« Paix à vous ! »

Ils firent écho : « Paix à toi et à Joseph, à toute ta maison et à la sienne ! »

Il les fit entrer. Tout le Conseil prit place et Joseph vint s'asseoir entre Anne et Caïphe. Mais nul n'osait lui adresser la parole.

Alors Joseph dit :

« Pourquoi m'avez-vous convoqué ? »

Ils firent signe à Nicodème de lui répondre. Celui-ci ouvrit la bouche et dit à Joseph :

« Eh bien, les vénérables docteurs, les prêtres et les lévites aimeraient entendre de toi une parole. » 

« Dites-moi donc laquelle », dit Joseph.

Anne et Caïphe prirent le livre de la loi et adjurèrent Joseph en ces termes :

« Glorifie le Dieu d'Israël et confesse son nom ! Adjuré par le prophète Josué, Achar ne faillit pas à ses serments, mais il lui révéla l'entière vérité, sans en omettre un mot. Toi non plus, ne nous cache rien. »

Joseph répondit : « Je ne vous cacherai rien. »

Ils lui dirent : « Nous étions très fâchés que tu aies demandé le corps de Jésus, que tu l'aies roulé dans un linceul tout blanc et déposé dans le tombeau. C'est pour cela que nous t'avons enfermé dans une maison sans fenêtre, que nous avons muni l'entrée de clés et de cachets, tandis que des gardes surveillaient ta captivité. Mais le lendemain, quand nous ouvrîmes la porte, tu avais disparu. Cela nous plongea dans de cruelles alarmes et jusqu'à hier, le peuple du Seigneur était tout désemparé. A présent donc, raconte-nous ce qui s'est passé. »

6. Joseph prit la parole : « Vous m'avez enfermé le vendredi, vers la dixième heure, et je suis resté là tout le sabbat. Mais à minuit, tandis que j'étais debout à prier, la maison où vous m'aviez enfermé se souleva par les quatre coins et une sorte d'éclair vint éblouir mes yeux. Épouvanté, je tombai à terre. Alors quelqu'un me prit par la main et m'enleva de l'endroit où je gisais, et une eau fraîche coula sur moi de la tête aux pieds, tandis que des effluves de myrrhe emplissaient mes narines. Il m'essuya le visage, m'embrassa et me dit :

« Ne crains pas, Joseph. Ouvre tes yeux et regarde quel est celui qui te parle. »

 Levant mon regard, je vis Jésus. Mes frayeurs redoublèrent. Je pensai que c'était un fantôme et je me mis à réciter les commandements. Mais il les récita avec moi. Or vous ne l'ignorez pas, quand un fantôme entend réciter près de lui les commandements, il prend la fuite. Voyant qu'il les disait avec moi, je m'écriai :

« Rabbi Élie! »

 Il me dit : « Je ne suis pas Elie. »

 « Qui es-tu, Seigneur », lui dis-je.

Et il me dit : « Je suis Jésus. Tu as demandé mon corps à Pilate, puis tu m'as enveloppé dans un pur linceul et tu as couvert mon visage d'un suaire, puis tu m'as déposé dans ton caveau neuf et tu as roulé une grande pierre à l'entrée de la tombe. »

Et je dis à celui qui me parlait : « Viens me montrer l'endroit où je t'ai placé. » Il me conduisit à cet endroit et me le montra. Le linceul y traînait encore, et le suaire qui avait couvert son visage. Alors j'eus la preuve qu'il était Jésus.

Il me prit par la main et toutes portes closes, me transporta au milieu de ma demeure. Il me conduisit auprès de mon lit et me dit :

« Paix à toi ! »

Il m'embrassa encore et ajouta :

« Tu ne sortiras pas de chez toi avant quarante jours. Car voici, je vais rejoindre mes frères, en Galilée. »

Ce texte qui est une répétition de celui posé un peu plus haut est là pour bien faire comprendre au lecteur que Jésus le Nazaréen ressuscita à minuit ou zéro heure ou encore milieu de la nuit, dans la nuit du Samedi jour de « Chabbat » au Dimanche premier jour de la semaine. De plus, ce texte dit apocryphe suit correctement les écrits des évangiles synoptiques ainsi que l’évangile de Jean. Il donne une confirmation du livre prophétique de Jonas qui resta trois jours et trois nuits dans le ventre d’un gros poisson tout comme Jésus le Nazôréen resta trois jours et trois nuits dans l’Hadès, soit exactement soixante-douze heures, nombre symbolique qui fait penser aux soixante-douze érudits qui traduisirent la Bible de l’hébreu au grec dans l’ile de Pharos où fut élevé le phare d’Alexandrie, puis aux soixante-douze Disciples choisit par Jésus le Nazaréen. (Luc X : 1, 17)

Je certifie que de sa « Résurrection » à son « Élévation » définitive Jésus le Nazôréen est monté plusieurs fois voir son Père géniteur et par la même je certifie encore une fois que Jésus le Nazaréen, le Jésus-Christ des chrétiens, n’est pas un « Dieu » et n’est pas l’égal de son Père, la Bible nous fournissant plusieurs preuves particulièrement pendant ces quarante jours.

Des preuves flagrantes, indémontables, qui j’espère vous feront réfléchir, raisonner, sur l’authenticité de mes écrits, et qui vous feront prendre le sentier qui mène à EL-SHADDAÏ, ce « Dieu » seul et unique, pour que vous deveniez ses « Enfants » afin de vivre sur cette Terre dans son Nouveau Royaume éternellement avec son fils engendré, non créé comme l’humain, comme notre Roi.

Jésus le Nazaréen vient de ressusciter et en premier va voir sa mère Marie.

Jean XX : 17

« Jésus lui dit : « Ne me touche pas, car je ne suis pas encore monté vers le Père. Mais va trouver mes frères et dis-leur : je monte vers mon Père et votre Père, vers mon Dieu et votre Dieu. » »

Comme déjà écrit, donc je réitère, maintenant qu’il a vu sa Mère, il monte aux Cieux recevoir par son Père son intronisation au Ciel en premier, puis sur la Terre au jour défini par son Père, mais pour l’heure il a son trône à la droite de son Père. Maintenant qu’il a reçu puissance et gloire par son Père géniteur il peut redescendre sur Terre investit de certaines tâches qu’il ne pouvait pas faire avant. Je vous fais constater en premier qu’il fait allégeance à son Père disant qu’il est son « Dieu » et qu’il est notre Père, je rajoute créateur, et notre « Dieu ».

Cela prouve que Jésus le Nazaréen n’est pas un « Dieu » puisqu’il nous dit bien que son Père est son « DIEU » !...

Là, vous ne pouvez me démentir, la preuve est flagrante, indémontable !

Continuons !

Matthieu XXVIII : 16-18

« Quant aux onze disciples, ils se rendirent en Galilée, à la montagne où Jésus leur avait donné rendez-vous.

Et quand ils le virent, ils se prosternèrent ; d'aucuns cependant doutèrent.

S'avançant, Jésus leur dit ces paroles :

« Tout pouvoir m'a été donné au ciel et sur la terre. » »

Comme dans l’Évangile de Nicodème, simplement que la Bible omet de citer le nom de la montagne en Galilée.

D’autres écrits prochainement, dans un peu plus d’une semaine !

Pour le moment soyez en accord avec votre conscience et essayez d’avoir un « Esprit SAIN » pour prier ce Dieu seul et unique son fils étant notre médiateur, lui qui doit attendre son couronnement comme notre Roi sur la Terre après les terribles tribulations des dernières générations.

Portez-vous bien et prenez soins de vous !

Salutations cordiales !

Sig : JP.G. dit « GRAND-LOUP » ou « GRANDELOUPO » 

 


Commentaires

 
 
 
posté le 08-06-2014 à 07:31:14

Sortie du Tombeau

 

Résurrection, Ascension, Pentecôte

 

Prologue

 

Sur ce thème j’arrive déjà à trois chapitres et le quatrième est en cours d’écriture espérant qu’avec l’action qui se passa à la Pentecôte je terminerai ce quatrième chapitre et que je reprendrai le cours normal de mes écritures.

L’éphéméride en Palestine et Syrie est 19h-6h sachant que la nuit survient rapidement par rapport à la latitude de Paris représentant la France.

Plus nous nous approchons de l’équateur et plus le temps jour-nuit est rapide. Cela est valable particulièrement pour la lever et le coucher du Soleil, celui-ci s’élevant presque en même temps que le jour ou la nuit.

Sans être tatillon je peux écrire qu’en Palestine il y a dix heures de nuit et que minuit est le milieu de celle-ci. Où j’habite disons Genève la nuit tombe à environ vingt-et-une heure, et le jour se lève à cinq heure trente minutes, ce qui fait que le milieu de la nuit chez-moi se trouve à une heure et quart.

 

Dernières phrases du chapitre précédent.

 

Comme déjà écrit Jésus décède sur la croix aux alentours de quinze heures. Á ce moment là, la crainte et l’effroi tombe sur tous les être vivants, à commencer par l’humain, car tremblement de terre au point de faire exploser la roche, tonnerre, éclairs, grondements dans le ciel, le Temple dans lequel le rideau du Saint-des-Saints se déchire de haut en bas, tous ces phénomènes durant plusieurs minutes, de quoi faire réfléchir les humains de Jérusalem !

 

Chapitre N° 3

 

Fermeture du tombeau à minuit !

 

Donc Jésus vient de « rendre l’âme », mais il restera encore quelques heures sur la croix. Joseph d’Arimathie va le soir réclamer le corps de Jésus le Nazaréen à Pilate afin de l’ensevelir. Après vérification de son centurion l’accord sera donné à Joseph de prendre le corps de Jésus par Ponce Pilate. Ceci se passe le soir, donc après le coucher du soleil.

Vous mes semblables faites bien attention à ce que j’écris !

Ces évènements se passent le mercredi soir après le décès de Jésus le Nazaréen. Le coucher du soleil ayant eut lieu, nous commençons la journée de jeudi veille du jour des « Préparation ». C’est le soir  et Joseph recouvre le corps de Jésus le Nazaréen aidé de Nicodème ce dernier ayant amené pour cent livres d’aromates, composés de myrrhe et d’aloès, ce qui correspond à environ trente-trois kilos, la livre romaine valant trois-cent-vingt-six grammes approximativement, pour momifier le corps avec des bandelettes comme le veut la Loi juive pour l’ensevelissement.

Je pense que pour préparer le corps comme le veut la Loi juive il faut un certain temps voir plusieurs heures, donc Joseph et Nicodème terminèrent leur travail dans la nuit et qu’ils fermèrent le tombeau à une heure avancée dans la nuit. Par respect pour la prophétie de Jonas il serait juste de dire que Joseph avec l’aide de Nicodème roulèrent la pierre pour fermer le tombeau sur les coups de minuit. Admettons que ce soit le cas ! De la nuit de Jeudi minuit à la nuit de Samedi-Dimanche minuit fin du « Sabbat » et début du premier jour de la semaine depuis cinq heures l’éphéméride donnant le coucher du soleil à 19h cela fait soixante douze heures, donc je peux, nous pouvons dire que Jésus le Nazaréen ressuscita à minuit ou zéro heure dans la nuit de Samedi à Dimanche.

Acte de Pilate ou Évangile de Nicodème XI : 3 à XIII : 2  -- Ceux que l’on nomme les « juifs » sont les humains qui forment le Sanhédrin, Caïphe étant le « Grand Prêtre », Joseph d’Arimathie et Nicodème faisant partie de ce Sanhédrin. L’histoire : Jésus le Nazaréen a été crucifié, et avec l’aide de Joseph d’Arimathie et de Nicodème, enseveli comme le veut la tradition juive, dans un tombeau vierge creusé dans le roc. Comme je le pense tous mes semblables non pas les écrits datant du Ier et début du IIème siècle sur les « Actes de Pilate » l’autre étant appelé « Évangile de Nicodème »

Pour une bonne compréhension je pose les « Actes de Pilate » 

XI.3.  « Survint un homme, appelé Joseph, membre du Conseil, il était d'Arimathie et il avait foi dans le Royaume d’EL-SHADDAÏ. Il s'approcha de Pilate et lui demanda le corps de Jésus le Nazaréen. Puis il le descendit de la croix, le roula dans un linceul tout blanc, et le plaça dans une tombe taillée dans le roc, où personne encore n'avait été mis. »

XII.1. « Quand ils surent que Joseph avait demandé le corps de Jésus, les Juifs le cherchèrent, lui et les douze hommes qui avaient soutenu que Jésus était né régulièrement; ils cherchaient aussi Nicodème et bien d'autres encore, qui étaient accourus devant Pilate pour lui faire connaître les bienfaits de Jésus.

Tous s'étaient cachés. Seul Nicodème parut devant les Juifs, parce qu'il était l'un des principaux d'entre eux. Et il leur demanda :

« Comment êtes-vous entrés dans la synagogue ? »

 Et les Juifs répondirent :

« Et toi, comment y es-tu entré ? Tu es son complice, partage donc le même sort que lui dans le siècle futur ! »

Nicodème répondit :

« Qu’il en soit ainsi ! Qu’il en soit ainsi ! »

A son tour, Joseph sortit et leur dit :

« Pourquoi vous êtes-vous irrités de ce que je demande le corps de Jésus ?

Voici, je l'ai placé dans mon tombeau neuf, après l'avoir enveloppé d'un linceul tout blanc, et j'ai roulé la pierre devant la porte du caveau. Mais vous, vous avez mal agi envers ce juste, que vous avez crucifié sans remords et que vous avez même transpercé d'un coup de lance. » -- ( cf : Mt : XXVII : 57-66, Mc XV : 42-46, Lc : XXIII : 50-56, Jean XIX : 38-42.)

Les Juifs empoignèrent Joseph et décidèrent de le faire garder jusqu'au lendemain du sabbat.

 « Sache bien, lui dirent-ils, que seule, l'heure nous empêche de te châtier, puisque le sabbat commence. Mais sache-le aussi, tu ne mérites pas même une sépulture. Nous jetterons ta chair aux oiseaux du ciel. »

Joseph riposta :

« Vous parlez avec l'arrogance de Goliath, qui insulta le Dieu vivant et le saint David ! Or EL-SHADDAÏ répondit par le prophète :

« A moi la vengeance ! C'est moi qui rétribuerai », dit le Seigneur.

Et aujourd'hui l'incirconcis selon la chair, mais circoncis par le cœur, a pris de l'eau et s'est lavé les mains, à la face du soleil, disant :

« Je suis pur du sang de ce juste ! »

A vous de voir ! Et vous avez dit à Pilate :

« Que son sang retombe sur nous et sur nos enfants ! »

En vérité, je crains que la colère du Seigneur déjà ne s'abatte sur vous et sur vos enfants, comme vous l'avez dit. »

Ces mots exaspérèrent les Juifs. Ils se saisirent de Joseph et l'enfermèrent dans une maison sans fenêtre, postèrent des gardes à l'entrée et scellèrent la porte derrière laquelle Joseph était captif ».

XII.2. «  Au sabbat, chefs de la synagogue, prêtres et lévites convinrent de se réunir à la synagogue le jour suivant. Les délibérations commencèrent tôt : quelle mort infligerait-on à Joseph ? Ils décidèrent de le faire comparaître séance tenante. Mais quand ils ouvrirent sa porte, ils ne le trouvèrent pas à l'intérieur. Le peuple entier fut stupéfait et même saisi de terreur quand il s'aperçut que les sceaux étaient intacts et que Caïphe avait gardé la clef. Et ils n'osèrent plus lever la main sur ceux qui devant Pilate avaient pris la défense de Jésus. »

XIII.1. « Ils siégeaient encore dans la synagogue, mal remis de leur étonnement, quand arrivèrent quelques membres de la garde que les Juifs avaient demandée à Pilate, et qu'ils avaient chargée de surveiller le tombeau de Jésus le Nazôréen et d'empêcher ses disciples de venir le prendre.

Ils racontèrent les événements aux chefs de la synagogue, aux prêtres et aux lévites :

« Il s'est fait un grand tremblement, et nous avons vu un ange descendre du ciel, et il a roulé la pierre qui fermait le caveau et s'est assis dessus. Il étincelait comme la neige et comme l'éclair. En proie à une grande frayeur, nous tombâmes, à moitié morts. Et nous entendîmes la voix de l'ange : il parlait aux femmes debout près du sépulcre :

 « Soyez sans crainte, vous !

Je sais que vous cherchez Jésus, le crucifié. Il n'est pas ici. Il est ressuscité selon ce qu'il avait dit !

Venez et regardez l'endroit où avait été déposé le Seigneur. Et vite allez dire à ses disciples qu'il s'est relevé d'entre les morts et qu'il est en Galilée. »

XIII. 2. «  Les Juifs dirent :

« Qui étaient ces femmes à qui il parlait ? »

« Nous ignorons qui elles étaient », répondirent les gardes.

Les Juifs : « Quelle heure était-il ? »

Les gardes : « Minuit. »

Les Juifs : « Et pourquoi ne les avez-vous pas arrêtées ? »

Les gardes : « Nous étions morts de peur, et désespérions de jamais revoir la lumière du jour. Comment aurions-nous pu les arrêter ? »

Les Juifs : « Aussi vrai que vit le Seigneur, nous ne vous croyons pas. »

Les gardes dirent aux Juifs : « Vous avez rencontré en cet homme des signes aussi grands et ne l'avez pas cru. Pourquoi croiriez-vous des gens comme nous ? Mais vous avez bien fait de jurer par la vie du Seigneur, car il est vivant ! »

Les gardes reprirent : « Il paraît que vous avez enfermé l'homme qui avait réclamé le corps de Jésus ; que vous avez scellé sa porte, mais quand vous l'avez ouverte, vous ne l'avez pas trouvé. Donnez-nous donc Joseph, et nous vous donnerons Jésus ! »

Les Juifs répondirent « Joseph est rentré chez lui. »

Les gardes répliquèrent :

« Et Jésus est ressuscité, c'est l'ange qui nous l'a dit. Il se trouve en Galilée. » »

Suite à ces écrits que pouvons-nous dire ? Joseph d’Arimathie fut enfermé par le Sanhédrin, « les juifs », qui sont des Prêtres et de la tribu des prêtres, les Lévites, le jour des « Préparations », veille du « Chabbat », mais quand ils vinrent le premier jour de la semaine pour le lapider, Joseph d’Arimathie n’était plus dans sa geôle.

Imaginez-vous le spectacle ? Surtout à cette époque où les Prophètes, guérisseurs, devins, prédicateurs étaient nombreux mais aussi la croyance polythéiste, avec leurs idoles.

Anne et Caïphe, pour être certains que personne ne viendrait délivrer Joseph, avaient scellé la serrure, Caïphe gardant les clefs avec lui et postant des gardes romains en faction devant la porte !

Á l’ère de Caïphe, Ponce Pilate, Tibère empereur romain, les « Prêtres » et « Lévites » juifs ressemblaient au niveau spirituel à nos Abbés, Curés, Évêques, Cardinaux, Popes, Pasteurs, Ayatollah, Imam et autres Anciens, Ainés, Papes de notre XXIème siècle, c’est-à-dire que les fondations sont bien loin, les fidèles suivant leur religion plus par tradition, que par amour du « Dieu » de leur croyance.

Comme déjà écrit la composition du Sanhédrin est de soixante-et-onze humains. Caïphe en est le chef incontestable, mais aussi incontesté et de plus il est le « Grand-Prêtre » du Temple. Parmi le Sanhédrin, comme le dirait la Bible, il y a douze justes, plus Nicodème qui fait partie des responsables du Sanhédrin et bien-entendu Joseph d’Arimathie, ce qui nous fait quatorze justes où humains craignant EL-SHADDAÏ.

Le saviez-vous ? En terme biblique le nombre douze correspond à l’unanimité et s’il est multiplié par deux comme en Apocalypse, « vingt-quatre vieillards » c’est un « signe » de témoignage. Par contre le nombre quatorze signifie en hébreu « David » et c’est un chiffre messianique  sur lequel je reviendrai, c’est une certitude.

Ce sont peut-être des « Écrits » apocryphes, que l’on doit garder caché, que l’on ne doit pas dévoiler sauf aux initiés, et pourquoi aux initiés ?

Il me semble que vous Lectrices et Lecteurs vous avez une boîte crânienne avec un cerveau à l’intérieur duquel sort « l’Esprit », puisque ce dernier est la pensé, réflexion, raisonnement relié au cœur, siège des sentiments, le tout formant l’appellation humaine « Intelligence », qui aide pour la « Compréhension et la Sagesse », mais qui n’est pas égalitaire selon les domaines de connaissance, car c’est éphémère, comme le vent, se renouvelant sans cesse jusqu’à notre dernier « Souffle de Vie », et que grâce à ce que je viens d’écrire vous êtes capable de comprendre les « Textes » apocryphes comme les initiés.

Sans esprit l’humain ne peut vivre, mais sans « Esprit » EL-SHADDAÏ n’existerait pas, donc l’Univers serait sombre, glacial et vide.

Pardonnez-moi, par mon « Esprit » je me suis égaré, donc ces livres apocryphes, que l’humain cache à ses semblables, sont et ont pour moi la même valeur que les « Écrits » dit par ces mêmes humains, inspirés divinement, donc « canoniques ».

Les exégètes et historiens, inspirée où pas, reconnaissent que toute cette littérature pieuse fut plus ou moins rognée, retranchée, ajoutée pendant plus de quatre siècles avant d’être fixée définitivement et arbitrairement.

Toujours manier les livres apocryphes avec prudence, et pourtant beaucoup de ces Évangiles, Lettres et Épîtres, non canoniques, sont plus authentiques que certains Écrits et Textes tel que l’Évangile de Thomas, Nicodème, Pierre, Protévangile de Jacques, et aussi Épître des Apôtres, Actes de Barnabé, de Pilate, les sept Lettres d’Ignace d’Antioche, de Polycarpe de Smyrne, d’Hermas le Pasteur, les Livres de Papias, etc.

Dans mes recherches personnelles pour que, de vous-même, vous vîntes vers ce Dieu seul et unique, ce Dieu que je nomme EL-SHADDAÏ, comme Abraham, j’ai ce qui s’appelle une embuche, car beaucoup de Lettres, Épîtres, Actes, même Évangiles du premier siècle avant J-C., et du premier siècle après Jésus le Nazaréen (J-C) sont traduites en Anglais  Angleterre, et Américain et vous me pardonnerez, mais c’est une langue que j’ai en horreur alors même avec trois années d’étude de cette langue obligatoire, j’étais le premier de la classe en commençant par la queue. Je reconnais qu’aujourd’hui elle me fait défaut, et que je suis toujours aussi nul avec cette langue que je déteste toujours autant, et pourtant cela ne m’a pas empêché d’avoir de nombreux amis du Royaume Unis et d’Irlande.

Je suis toujours étonné que ce livre « Bible » qui selon le Pays, la langue ou encore la confession, la canonicité n’est pas la même, alors que ce Livre universel devrait être traduit et écrit pour un maximum d’humains. Un exemple la Bible Éthiopienne, traduite en « Guèze » possède les « Livres d’Hénoch, les « Jubilés » pour l’Ancien Testament avec pour le Nouveau Testament en fin d’ouvrage vous avez les Lettres d’Ignace d’Antioche, de Polycarpe de Smyrne et d’Hermas le Pasteur, pour la Bible Orthodoxe dans le Nouveau Testament vous avez le Protévangile de Jacques qui est canonique, alors je me pose la question : pourquoi ce qui est bon pour la Turquie Orientale ne serai plus bon pour la Turquie Occidentale ?

Le premier est Orthodoxe et musulman en majorité alors que le second est Occidental donc Catholique et là bizarrement le « Protévangile de Jacques » est considéré comme un livre d’hérésies, bizarre, vraiment bizarre ! Cela me prouve combien j’ai raison de vous parler d’EL-SHADDAÏ.

Indirectement Jésus le Nazaréen nous a fait voir le comportement de la « Prêtrise », puisque souvent il a eu des altercations orageuses avec les Pharisiens et Sadducéens. Je reviendrai aussi par des textes Bibliques sur cette « Prêtrises » toutes confessions confondues.

Comme la « Bible » officielle ne nous offre aucun renseignement sur l’Ascension de Jésus le Nazaréen, quarante jours après sa mort par la torture romaine de la crucifixion et non la résurrection, continuons de nous instruire par la littérature apocryphe digne de foi.

Le « Procès » d’un « Jésus » par Pilate en Syrie-Palestine fut inscrit et conservé dans les archives romaines, Justin de Naplouse en fait référence dans son « Apologie » tout comme le prêtre théologien français Jean-Pierre Lémonon qui écrit :

« En consultant les Actes de Pilate, les Romains auquel Justin de Naplouse destine son œuvre, pourront vérifier la réalisation des prophéties dans les événements qui ont marqué la passion du Christ »

L’historien romain Tacite fait aussi référence aux « Actes de Pilate » dans les « Livres des Annales » qui couvrent la période du Procès de Jésus par Pilate jusqu’à la destruction du Temple de Jérusalem en 70 de l’EC.

Ci-dessus j’ai écrit le temps passé du crucifiement de Jésus le Nazaréen à sa résurrection, avec l’ensevelissement par Joseph d’Arimathie aidé par Nicodème et quelques femmes dont la Mère de Jésus le Nazaréen.

Joseph d’Arimathie faisait partie du Sanhédrin, tout comme Nicodème, qui lui en plus de Joseph, possédait un statut important au sein du Sanhédrin.

Vous venez de finir la lecture de ces faits religieux et historiques. Je le fais pour vous mes semblables afin que par vous-mêmes vous trouvâtes ce magnifique « Sentier » qui amène EL-SHADDAÏ dans votre esprit et votre cœur.

Portez-vous bien en prenant soins de votre maisonnée !

Salutations cordiales à « Tous » !

Sig : JP.G. dit « GRANDELOUPO » 

 


Commentaires

 
 
 
posté le 03-06-2014 à 05:31:21

Résurrection, Ascension ... Chap. N° 2 - Joseph d'Arimathie

Résurrection, Ascension, Pentecôte

Pour vous mes semblables, Lectrices et Lecteurs, j’écris sur la fête chrétienne de l’Ascension qui s’avère un peu plus long que ma pensée. Donc je poserai c’est deux fêtes ensemble et en plusieurs chapitres. J’ai aussi, pour être plus près de la vérité cherché sur Internet l’éphéméride de la Palestine à l’ère de la Pâque juive. Les saisons étant un fait perpétuel, le coucher et le lever du soleil est le même maintenant qu’à l’ère de Jésus le Nazaréen. Le jour de la crucifixion de Jésus le Nazaréen l’éphéméride était : lever du soleil 6h02, coucher du soleil 19h03.

Sur l’Ascension de Jésus le Nazaréen, je ne pensais pas écrire autant, mais avant l’Élévation de notre Roi sur la Terre, il y a sa résurrection et là à mon étonnement en cherchant je me suis aperçu que la Bible canonique n’écrivait pas tout. En effet il est intéressant de savoir que Jonas n’a pas été dans le ventre d’un gros poisson, trois jours et trois nuits, juste pour l’histoire.

Cela avait une signification car quand ce gros poisson rejeta Jonas sur la « sèche », c’est-à-dire la terre, c’était une préfiguration de ce qui arriverait à Jésus le Nazaréen qui fut rejeté du tombeau où si vous aimez mieux qu’il ressuscita de la tombe, ce qui le rendait comme un « Guerrier », vainqueur des « Ténèbres » car il venait de tuer la « Mort ».

Il m’a semblé normal de vous expliquer tout ce que la Bible canonique ne dit pas, voilà pourquoi je déborderai sur la Pentecôte, et que cette fête chrétienne sera passée quand j’écrirai dessus. Je pense que pour croire en quelque chose il est important de connaître l’histoire et comme cela touche notre Roi et sa résurrection, il fut normal pour moi d’écrire sur celui qui par son action, nous offre la vie éternelle par la volonté de son Père géniteur, notre Père créateur.


Dernières phrases du chapitre précédent.


Toujours avec la même sincérité, pour vous mes semblables, afin de vous guider vers ce « Dieu » unique, cet Être Suprême, je me pose là question si « Thomas lui répondit : « Mon Seigneur et mon Dieu » Jésus lui dit : », n’est pas un ajout grossier de copiste un peu zélé, car ce petit morceau de contexte biblique tenterait de nous faire croire que l’Apôtre Thomas considèrerait Jésus le Nazaréen comme un « Dieu », ce qui bien sûr supprimerait l’unicité d’EL-SHADDAÏ, Père géniteur de Jésus le Nazaréen et aussi le nôtre en temps que « Père créateur ». Je vous laisse seul juge, mais reconnaissez qu’EL-SHADDAÏ éclaire bien mon « Esprit ».

Toujours avec la même attention de vérité pour vous mes semblables, vous discernerez le temps qu’il y a eu entre le premier jour de la semaine, jour où sans doute Jésus le Nazaréen fut ressuscité de l’Hadès, mais également la visite le soir, avant le coucher du soleil, qu’il fit à ses Apôtres barricadés dans leur retraite par crainte des juifs, et cette seconde visite toujours au même endroit, huit jours après, où il se matérialise afin que les Apôtres le voient.

 

Chapitre N° 2

 

Joseph d’Arimathie

 

Ce chapitre XX de Jean se termine avec le « mystère » qui entourait Jésus le Nazaréen et ses Apôtres puisqu’il est venu de nombreuse fois les voir pendant cette période de quarante jours, de sa mort, à son « Élévation ou Ascension définitive », pour les enseigner et les fortifier dans leur foi.

Encore un fait étonnant Jean XX : 16-17

« Jésus lui dit :

« Marie ! »

Se retournant, elle lui dit en hébreu : « Rabbouni ! » - ce qui veut dire : « Maître ».

Jésus lui dit :

« Ne me touche pas, car je ne suis pas encore monté vers le Père. Mais va trouver mes frères et dis-leur : je monte vers mon Père et votre Père, vers mon Dieu et votre Dieu. » »

Le verset 17, qui commence à Jésus lui dit : « Ne me touche pas … » est un verset de renseignement sensationnel, et c’est là que je perçois l’immense attention que ce Dieu unique me porte m’offrant un peu du « Souffle » que reçurent les Apôtres par Jésus le Nazaréen, puis par EL-SHADDAÏ, pour que vous aussi, mes semblables, vous receviez l’intelligence et la compréhension dans votre cœur et votre esprit des « Écrits Bibliques » et de ce que je vous écris.

Juste un peu de logique ; Dimanche matin premier jour de la semaine, qui commence le Samedi, jour du « chabbat », après le coucher du soleil quand au crépuscule, trois étoiles moyennes sont visible à l’œil nu, Marie Madeleine ou de Magdala arrive au tombeau, pas tout-à-fait à l’aurore puisqu’il y avait encore des ténèbres, et voit la pierre enlevée que Joseph d’Arimathie avait roulé et que les romains avaient scellés, trois jours et trois nuits auparavant.

Une chose est certaine, au environ de six heure du matin, Jésus le Nazaréen est déjà ressuscité, et dans la matinée il n’est pas encore monté aux Cieux voir sont Père géniteur, le faisant après avoir parlé à Marie. Le soir, avant le coucher du soleil, quand Jésus le Nazaréen se matérialise dans la pièce où les « Onze » Apôtres sont claquemurés par crainte des représailles juives, il descendait de chez son Père géniteur logeant dans les Cieux, qui lui avait donné tout pouvoir et sa Royauté au Cieux comme il l’aurait sur la Terre. – cf, Mt XXVIII : 18

Souvenez-vous de la critique que je fis sur Thomas par crainte de la perte d’unicité du seul et unique « Dieu » que nous vénérons, j’écris nous, car je pense  que vous adorez, nous adorons le même « Dieu », et constatez ce que dit Jésus le Nazaréen : « je monte vers mon Père et votre Père, vers mon Dieu et votre Dieu » , il fait bien allégeance à son Père reconnaissant que c’est son Père qui « est EL-SHADDAÏ, qui est DIEU » et que c’est aussi « notre Père et notre Dieu ». Pensez bien, réfléchissez, raisonnez, à cette phrase biblique qui nous jette la vérité en pleine face, confirmant mes « Écritures ».                         

Vous mes semblables « chrétiens », il est temps pour vous de sortir de votre idolâtrie, et de vénérez qu’un seul et unique « Dieu » et pas trois en un, « Dieu Père, Dieu Fils, Dieu Saint-Esprit ou Esprit-Saint » comme vos dirigeants vous l’enseignent, mais pensez à ce que vous dit ce Dieu seul unique que je nomme, que vous nommez « EL-SHADDAÏ »

Apocalypse XVIII : 4-5

« Puis j’entendis une autre voix qui disait, du ciel :

« Sortez, ô mon peuple, quittez-la, de peur que, solidaires de ses fautes, vous n’ayez à pâtir de ses plaies ! »

Car ses péchés se sont amoncelés jusqu’au ciel, et EL-SHADDAÏ s’est souvenu de ses iniquités.

EL-SHADDAÏ demande bien aux humains qui se considèrent ses « Enfants » de sortir de

« Babylone la Grande » représenté au XXIème siècle par la chrétienté, ses « Enfants » formant la quantité d’un « Peuple ».

Revenons à nos moutons comme le dit si bien le terme populaire !

Matthieu XII : 38-40  --  Jésus le Nazaréen est en compagnie des scribes et des pharisiens qui en général sont des « Docteurs » de la Loi comme l’on disait à l’ère de Jésus, et il leur expliquait qu’un bon arbre donnera de bon fruit, mais qu’un arbre mauvais donnera de mauvais fruit, tout comme la plante ou la semence.

« Alors quelques-uns des scribes et des Pharisiens prirent la parole et lui dirent :

 « Maître, nous désirons que tu nous fasses voir un signe. »

Il leur répondit :

« Génération mauvaise et adultère ! elle réclame un signe, et de signe, il ne lui sera donné que le signe du prophète Jonas.

De même, en effet, que Jonas fut dans le ventre du monstre marin durant trois jours et trois nuits, de même le Fils de l'homme sera dans le sein de la terre durant trois jours et trois nuits. »

L’Évangile de Matthieu dit bien que Jésus le Nazaréen ne restera pas plus longtemps dans le tombeau ou si vous aimez mieux « la tombe », que Jonas resta dans le ventre du « gros poisson » -- Jonas I : 17

Le temps que Jésus le Nazaréen est resté dans le tombeau est un « Signe » et moi je pense à un « Signe Prophétique » dans le temps, car Jésus le Nazaréen a bien dit à ses Apôtres qu’il ressusciterait le troisième jour et son Père le fit renaître ce troisième jour entre la terminaison du jour sabbatique, le début du premier jour de la semaine et les prémices de l’aurore avant l’aube soit approximativement cinq heure du matin, où la dixième heure  du premier jour de la semaine. Fait étonnant, est que Jonas resta dans le ventre du « gros poisson » trois jours et trois nuits soit soixante-douze heures qui est aussi le temps que resta Jésus le Nazaréen dans le tombeau, et ce temps représente les érudits qui ont traduits la Bible en grecque, mais aussi le nombre de Disciples que Jésus le Nazaréen prit pour son ministère.

L’éphéméride du jour de la crucifixion jusqu’au premier jour de la semaine, ou si vous aimez mieux du jour de la mise au tombeau au jour de la constatation des femmes de la résurrection de Jésus le Nazaréen soit coucher du soleil 19h, lever du soleil 6h. Sachant que le lever du jour est approximativement une heure avant le lever du soleil.

Lisons la Bible pour connaître l’heure et le jour de l’ensevelissement !

Jésus le Nazôréen rend l’esprit vers la neuvième heure si l’on compte les heures à partir du lever du soleil soit d’après l’éphéméride 6h du matin, donc le cœur de Jésus s’arrête de battre vers 15h de l’après midi.

Matthieu XXVII : 45-53

« A partir de la sixième heure, l'obscurité se fit sur toute la terre, jusqu'à la neuvième heure.

Et vers la neuvième heure Jésus clama en un grand cri :

« Élie, Élie, lema sabachtani ? »

C’est-à-dire :

« Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné ? »

Certains de ceux qui se tenaient là disaient en l'entendant :

« Il appelle Élie, celui-ci ! »

Et aussitôt l'un d'eux courut prendre une éponge qu'il imbiba de vinaigre et, l'ayant mise au bout d'un roseau, il lui donnait à boire.

Mais les autres lui dirent :

« Laisse ! Que nous voyions si Élie va venir le sauver ! »

Or Jésus, poussant de nouveau un grand cri, rendit l'esprit.

Et voilà que le voile du Sanctuaire se déchira en deux, du haut en bas ; la terre trembla, les rochers se fendirent, les tombeaux s'ouvrirent et de nombreux corps de saints trépassés ressuscitèrent : ils sortirent des tombeaux après sa résurrection, entrèrent dans la Ville sainte et se firent voir à bien des gens. »

Luc XXIII : 44-47

« C'était déjà environ la sixième heure quand, le soleil s'éclipsant, l'obscurité se fit sur la terre entière, jusqu'à la neuvième heure.

Le voile du Sanctuaire se déchira par le milieu, et, jetant un grand cri, Jésus dit :

« Père, en tes mains je remets mon esprit. » Ayant dit cela, il expira.

Voyant ce qui était arrivé, le centenier glorifiait EL-SHADDAÏ, en disant :

« Sûrement, cet homme était un juste ! » »

Jean XIX : 25-30

« Jésus donc voyant sa mère et, se tenant près d'elle, le disciple qu'il aimait, dit à sa mère :

 « Femme, voici ton fils. »

Puis il dit au disciple :

« Voici ta mère. »

Dès cette heure-là, le disciple l'accueillit chez lui.

Après quoi, sachant que désormais tout était achevé pour que l'Écriture fût parfaitement accomplie, Jésus dit :

« J'ai soif. »

Un vase était là, rempli de vinaigre. On mit autour d'une branche d'hysope une éponge imbibée de vinaigre et on l'approcha de sa bouche.

Quand il eut pris le vinaigre, Jésus dit :

« C'est achevé »

et, inclinant la tête, il remit l'esprit. »

Seul l’Évangile de Matthieu rapporte que les tombeaux s’ouvrirent et que certains ressuscitèrent et se firent voir à leurs semblables. Ce que nous pouvons certifier par les écrits c’est que Jésus le Nazaréen, dans la neuvième heure après le lever du soleil soit la quinzième heure à compter du zénith, le cœur s’arrêta et il remit son « Esprit » dans les mains de son Père géniteur.

Avant que son corps ne soit détaché de la croix il se passa quelques heures. En effet le soir venu Joseph d’Arimathie alla voir Ponce Pilate pour récupérer le corps de Jésus le Nazaréen.

Matthieu XXVII : 57-60

« Le soir venu, il vint un homme riche d'Arimathie, du nom de Joseph, qui s'était fait, lui aussi, disciple de Jésus.

Il alla trouver Pilate et réclama le corps de Jésus. Alors Pilate ordonna qu'on le lui remît.

Joseph prit donc le corps, le roula dans un linceul propre et le mit dans le tombeau neuf qu'il s'était fait tailler dans le roc ; puis il roula une grande pierre à l'entrée du tombeau et s'en alla. »

Marc XV : 42-46

« Déjà le soir était venu et comme c'était la Préparation, c'est-à-dire la veille du sabbat, Joseph d'Arimathie, membre notable du Conseil, qui attendait lui aussi le Royaume d’EL-SHADDAÏ, s'en vint hardiment trouver Pilate et réclama le corps de Jésus

Pilate s'étonna qu'il fût déjà mort et, ayant fait appeler le centurion, il lui demanda s'il était mort depuis longtemps.

Informé par le centurion, il octroya le corps à Joseph.

Celui-ci, ayant acheté un linceul, descendit Jésus, l'enveloppa dans le linceul et le déposa dans une tombe qui avait été taillée dans le roc ; puis il roula une pierre à l'entrée du tombeau. »

Luc XXIII : 50-53

« Et voici un homme nommé Joseph, membre du Conseil, homme droit et juste.

Celui-là n'avait pas donné son assentiment au dessein ni à l'acte des autres. Il était d'Arimathie, ville juive, et il attendait le Royaume d’EL-SHADDAÏ.

Il alla trouver Pilate et réclama le corps de Jésus.

Il le descendit, le roula dans un linceul et le mit dans une tombe taillée dans le roc, où personne encore n'avait été placé. »

Jean XIX : 39-42

« Après ces événements, Joseph d'Arimathie, qui était disciple de Jésus, mais en secret par peur des Juifs, demanda à Pilate de pouvoir enlever le corps de Jésus. Pilate le permit. Ils vinrent donc et enlevèrent son corps.

Nicodème - celui qui précédemment était venu, de nuit, trouver Jésus - vint aussi, apportant un mélange de myrrhe et d'aloès, d'environ cent livres.

Ils prirent donc le corps de Jésus et le lièrent de linges, avec les aromates, selon le mode de sépulture en usage chez les Juifs.

Or il y avait un jardin au lieu où il avait été crucifié, et, dans ce jardin, un tombeau neuf, dans lequel personne n'avait encore été mis.

A cause de la Préparation des Juifs, comme le tombeau était proche, c'est là qu'ils déposèrent Jésus. »

Je viens de vous poser tous les textes évangéliques sur les évènements qui eurent lieu après la mort de Jésus le Nazaréen sur la croix. Maintenant c’est à nous de réfléchir, raisonner pour être dans la vérité du déroulement post-mortem de Jésus. Marc nous dit que Joseph vient chercher le corps de Jésus le Nazaréen dans la soirée, le jour de la « Préparation » veille du « Sabbat » ce qui semble impossible si l’on considère que Jésus le Nazaréen soit resté soixante-douze heures dans la tombe comme Jonas qui restât le même temps dans le ventre du gros poisson, soit la valeur de trois jours et trois nuits.

Matthieu lui ne parle que du soir venu donc nous pouvons déjà certifié que le corps de Jésus le Nazaréen fut remis à Joseph un soir, ce qui fait penser après le coucher du soleil et si c’est après le coucher du soleil, c’est au commencement d’un nouveau jour. Un rappel, Marie de Magdala le premier jour de la semaine, elle alla au tombeau où Jésus le Nazaréen avait été déposé, il faisait encore sombre, et elle trouva le tombeau vide.

Ce que je vais écrire maintenant vient de mon raisonnement, de ma réflexion personnelle, et cela n’engage que moi, mais vous mes semblables en lisant les versets bibliques des différents évangélistes peut-être avez-vous une autre idée, un autre calcul.

Jésus le Nazaréen est mort par la torture romaine le surlendemain du jour de la Pâque le lendemain étant une journée sabbatique puisque c’était un grand jour, un jour sabbatique puisque c’était le début des jours du « Pain sans Levain » exactement comme pour nous en cette année 2014 où le jour de la Pâque fut lundi soir entre les deux soirs le lundi toute la journée étant le jour de « Préparation », le « Sabbat » exceptionnel commençant le lundi soir jour de Pâque et aussi jour du « Pain sans Levain ».

De source historique nous savons que Caïphe le Grand Prêtre de Jérusalem fit arrêter Jésus le Nazaréen la nuit alors que la Loi juive l’interdit, mais mieux encore pendant un jour de Sabbat exceptionnel avec des accusations mensongères. Ce fait historique confirme mes écritures ci-dessus sur le jour du « Pain sans Levain ».

Ce qui fait que Jésus le Nazaréen fut crucifié quarante-quatre heures après le coucher du soleil le jour de Pâque, soit le mercredi à quinze heure, heure où Jésus le Nazaréen rendu son esprit à son Père.

Deux évangiles nous parlent du « soir venu » et nous savons, toujours parmi les écrits du Nouveau Testament, que Jésus le Nazaréen est resté dans la tombe comme le temps prophétique de Jonas dans le ventre du gros poisson, soit soixante-douze heures, qui représentent trois jours et trois nuits, simplement que Marc nous donne le détail du jour de la Préparation veille du « Sabbat. »  Si c’était vraiment ce jour là, jour de la « Préparation » veille du « Sabbat », Jésus le Nazaréen ne serait pas resté trois jours et trois nuits dans le tombeau puisque le premier jour de la semaine les femmes arrivent au tombeau au levé du soleil et mieux encore, Marie de Magdala qui les a toutes devancées, arrivant au tombeau juste avant le lever du jour, elle trouve le tombeau ouvert et vide, soit environ cinq heure du matin puisque le soleil se lève à 6h d’après l’éphéméride.

Sans trop me tromper, je pense que Marc, tout comme Matthieu et Jean pensaient à la veille du jour de la « Préparation » qui était la veille du Sabbat.

Comme déjà écrit Jésus décède sur la croix aux alentours de quinze heures. Á ce moment là, la crainte et l’effroi tombe sur tous les être vivants, à commencer par l’humain, car tremblement de terre au point de faire exploser la roche, tonnerre, éclairs, grondements dans le ciel, le Temple dans lequel le rideau du Saint-des-Saints se déchire de haut en bas, tous ces phénomènes durant plusieurs minutes, de quoi faire réfléchir les humains de Jérusalem !

Je continue à chercher et à écrire pour vous !

EL-SHADDAÏ ne nous a pas choisi, non, c’est nous humains qui librement, sans torture, sans menace, mais avec la sincérité de notre cœur qui l’avons choisi comme étant notre seul et unique « Dieu », et nous n’avons pas besoin d’images, de statues représentative puisque lorsque nous nous regardons dans une glace, c’est son image que nous voyons !

Cette vérité est flagrante indémontable, c’est pour cela que nous l’avons choisi comme notre Dieu.

Qu’il soit toujours dans votre cœur ! Prenez soins de vous et portez-vous bien !

Salutations cordiales

Sig : JP.G dit « Grandeloupo » 

 


Commentaires

 
 
 
 

Ajouter un commentaire

Pseudo : Réserve ton pseudo ici
Email :
Site :
Commentaire :

Smileys

 
 
 
Rappel article