posté le 18-01-2015 à 01:56:33

Déchéance d'une Religion Chap. N° 14 - Nazôréen, interdiction Messie

 

Enseignement de Jésus le Nazôréen

 

Première Religion Mondiale

 

 

le CHRISTIANISME

 

« N’appeler personne « Père » sur la Terre, car un seul est votre « Père » celui qui est dans les cieux. » ( Épître des Apôtres IV :1, Matthieu XXIII : 9 )

Alors pourquoi un « Très Saint Père = le Pape », pourquoi nommé un prélat « mon Père » ?

« Notre Père qui est aux cieux », cela fait bien partie de la prière la plus importante de toute la chrétienté !

« Que ton Nom soit sanctifié… », ton nom ce n’est pas ce nom vulgaire « Dieu » car « Dieu » il en existe des milliers, donc que « ton NOM » comme EL-SHADDAÏ qui signifie Dieu-SHADDAÏ, mais encore « Dieu au-dessus des Montagnes », cela est un « NOM » comme Très-Haut, Tout-Puissant, Roi des Âges, Éternel, Yahvé, etc.

Ce Nom est un nom « Saint » voilà pourquoi il est sanctifier qui signifie vénérer, adorer, glorifier et ce nom ce n’est pas celui de son fils, mais bien le sien à lui, le Dieu seul et unique !

Je viens en une ligne de la Bible, vous démontrer l’erreur du christianisme d’aujourd’hui, et sa déchéance.

Alors voici son histoire et votre liberté d’action car chaque humain est responsable de lui et c’est seul qu’il affrontera le Jugement du Père.

 

Histoire et déchéance de cette Religion

 

Dernières lignes du chapitre précédent :

 

Je vais vous prouver une transgression des ordres de Jésus le Nazaréen.

 Le nom de « Jésus-Christ » signifie pour les chrétiens « Jésus sur la croix » ou « Jésus plus crux » en version latine.

Le terme grec « christos », participe passé d’un verbe qui signifie oindre, graisser, enduire.

 Ce terme fut adopté pour traduire le mot hébreu « Mashia » qui signifie envoyé d’EL-SHADDAÏ --( Dieu pour vous chrétiens ) --, sur lequel repose l’esprit d’EL-SHADDAÏ. Un « Mashia » est un personnage sacré, un envoyé d’EL-SHADDAÏ.

Pour rendre ce terme, « Mashia », les traducteurs de la Septante n’ont pas hésité à prendre le mot grec profane « christos », et du coup ont infléchi ce terme dans un sens religieux « Christos » signifiant « Messie, Oint » d’EL-SHADDAÏ. Ce sens est tellement affirmé que le terme ne sera pas traduit en latin, --( par Unctus ) -- mais simplement transcrit en « Christus » ce qui donner en français, « Christ ».

 

Chapitre N°14

 

Nazôréen, interdiction Messie

 

Les premiers Évangiles, Lettres et Épîtres furent écris en hébreu et en araméen pour une grande majorité, puis en grec. Il faut toujours se mettre à l’esprit que les Apôtres ainsi que les tous premiers Disciples de Jésus le Nazaréen étaient hébreux pur souche, peu hellénisé comme Luc l’Évangéliste, médecin de son état. Dans les « Écrits » originels, le terme « Messie, Oint » était le plus employé.

 C’est vers le milieu du deuxième siècle que les copistes, traducteurs remplaceront le terme « Messie » par le terme profane « Christos, Christ en langue française »

Au cours de sa vie Jésus était nommé Jésus de Nazareth, Nazôréen, Nazarénien, le Galiléen, mais jamais « Jésus-Christ ».

Ceci est un fait historique certifié

Matthieu II : 22-23,

« Mais, apprenant qu'Archélaüs régnait sur la Judée à la place d'Hérode son père, il --( Joseph ) -- craignit de s'y rendre. Averti en songe, il se retira dans la région de Galilée et vint s'établir dans une ville appelée Nazareth, pour que s'accomplît l'oracle des prophètes :

« Il -- ( Jésus ) -- sera appelé Nazôréen. »

Luc XVIII : 37 -- Il est question d’un aveugle :

« On lui annonça que c'était Jésus le Nazôréen qui passait. »

Luc XXIV : 19-20 -- la scène se passe sur la route qui mène au village d’Emmaüs, après sa résurrection, Jésus se mêle à un groupe d’humains qui se dirige vers ce village :

« « Quoi donc ? » leur dit-il.

Ils lui dirent :

« Ce qui concerne Jésus le Nazarénien, qui s'est montré un prophète puissant en œuvres et en paroles devant EL-SHADDAÏ ( Dieu ) et devant tout le peuple, comment nos grands prêtres et nos chefs l'ont livré pour être condamné à mort et l'ont crucifié. »

Actes des Apôtres II : 22-24

« « Hommes d'Israël, écoutez ces paroles. Jésus le Nazôréen, cet homme qu’EL-SHADDAÏ --( que Dieu )-- a accrédité auprès de vous par les miracles, prodiges et signes qu'il a opérés par lui au milieu de vous, ainsi que vous le savez vous-mêmes, cet homme qui avait été livré selon le dessein bien arrêté et la prescience d’EL-SHADDAÏ --( de Dieu )--, vous l'avez pris et fait mourir en le clouant à la croix par la main des impies, mais EL-SHADDAÏ --( Dieu )-- l'a ressuscité, le délivrant des affres de l'Hadès. »

III : 6 -- il s’agit d’un impotent au porte du Temple

« Mais Pierre dit :

 « De l'argent et de l'or, je n'en ai pas, mais ce que j'ai, je te le donne : au nom de Jésus ( Christ ) le Nazôréen, marche ! » -- {( ) ajout de copiste} »

VI : 14 -- arrestation d’Étienne et présentation devant le Sanhédrin

« « Nous l'avons entendu dire que Jésus, ce Nazôréen, détruira ce Lieu ci et changera les usages que Moïse nous a légués. » »

XXII : 8 -- Sur la route de Damas quand le Seigneur ce fait connaître à Saül de Tarse qui deviendra un de ses plus « grand » Disciple.

« Je répondis :

« Qui es-tu, Seigneur ? »

Il me dit alors :

 « Je suis Jésus le Nazôréen, que tu persécutes. » »

XXIV : 5 -- Quand Tertullus accuse le Disciple Paul, Saül de Tarse

« Cet homme, nous l'avons constaté, est une peste : il suscite des désordres chez tous les Juifs du monde entier, et c'est un meneur du parti des Nazôréens. »

XXVI : 9 -- Paul défend sa cause devant le Roi Agrippa

« « Pour moi donc, j'avais estimé devoir employer tous les moyens pour combattre le nom de Jésus le Nazôréen. » »

Tous ces versets bibliques prouvent bien que Jésus était nommé le « Nazôréen » ou Jésus de Nazareth jamais « Jésus-Christ ».

La transgression des ordres et paroles de Jésus le Nazaréen est grande. La marque de l’autorité humaine est impressionnante, car les copistes devaient bien se rendre compte de leurs erreurs.

Ce texte des Actes des Apôtres, XXII : 8, et les suivant, devraient vous faire réfléchir. Il me semble que Saül de Tarse était un grand persécuteur des « Nazôréens » et que Jésus était décédé quand il s’adressa à Paul en ces termes :

« Je suis Jésus le Nazôréen, celui … »

Ce qui nous prouve que les humains qui suivaient l’Enseignement de Jésus, étaient appelés les « Nazôréens » et non le terme de « Chrétien » qui n’existait pas encore. Comme écrit ci-avant, il faut attendre le milieu du IIème siècle pour que ce terme soit employé et uniquement dans la communauté d’Antioche. Le terme « Chrétien » deviendra courant à la fin du deuxième siècle, voir plus sûrement au début du IIIème siècle.

La preuve par ce Nouveau Testament qui relate les faits et gestes ainsi que les paroles de ce Galiléen du nom de Jésus fils adoptif de Joseph le Charpentier.

Jésus le Nazaréen interdit de dire qu’il est le « Mes’hia ou Mashia » en hébreu, « Christos » en grec transformé en « Christ » comme expliqué juste avant et le « Messie » en français.

Jésus le Nazaréen interdit aux démons :

Marc I : 23-25

Et aussitôt il y avait dans leur synagogue un homme possédé d'un esprit impur, qui cria en disant :

« Que nous veux-tu, Jésus le Nazarénien ? Es-tu venu pour nous perdre ? Je sais qui tu es : le Sain d’EL-SHADDAÏ [de Dieu ]. »

Et Jésus le menaça en disant :

« Tais-toi et sors de lui. »

Marc I : 34

Et Jésus guérit beaucoup de malades atteints de divers maux, et il chassa beaucoup de démons. Et il ne laissait pas parler les démons, parce qu'ils savaient qui il était.

Marc III : 11 - 12

Et les esprits impurs, lorsqu'ils voyaient Jésus, se jetaient à ses pieds et criaient en disant :

« Tu es le Fils de Dieu ! »

Et il leur enjoignait avec force de ne pas le faire connaître.

Luc IV : 41

D'un grand nombre aussi sortaient des démons, qui vociféraient en disant :

« Tu es le Fils de Dieu ! »

 Mais, les menaçant, Jésus ne leur permettait pas de parler, parce qu'ils savaient qu'il était le Messie. [ Christ ]

Jésus le Nazaréen interdit aux humains soignés de dire qui il était :

Marc I : 41- 44

Ému de compassion, il étendit la main, le toucha et lui dit :

« Je le veux, sois purifié. »

Et aussitôt la lèpre le quitta et il fut purifié.

Et le rudoyant, il le chassa aussitôt, et lui dit :

 « Garde toi de rien dire à personne ; mais va te montrer au prêtre et offre pour ta purification ce qu'a prescrit Moïse : ce leur sera une attestation. »

Marc V : 41 - 43

Et prenant la main de l'enfant, il lui dit :

 « Talitha koum ! »

Ce qui se traduit :

« Fillette, je te le dis, lève-toi ! »

Aussitôt la fillette se leva et elle marchait, car elle avait douze ans. Et ils furent saisis aussitôt d'une grande stupeur.

Et il leur recommanda vivement que personne ne le sût et il dit de lui donner à manger.

Marc VII : 33 - 36

« Le prenant hors de la foule, à part, il lui mit ses doigts dans les oreilles et avec sa salive lui toucha la langue.

Puis, levant les yeux au ciel, il poussa un gémissement et lui dit :

« Ephphatha ! »

 C'est-à-dire :

« Ouvre-toi ! »

Et ses oreilles s'ouvrirent et aussitôt le lien de sa langue se dénoua et il parlait correctement.

Et Jésus leur recommanda de ne dire la chose à personne ; mais plus il le leur recommandait, de plus belle ils la proclamaient. »

Marc VIII : 25-26

Après cela, il mit de nouveau ses mains sur les yeux de l'aveugle, et celui-ci vit clair et fut rétabli, et il voyait tout nettement, de loin.

Et Jésus le renvoya chez lui, en lui disant :

« N'entre même pas dans le village. »

Et pour terminer

Jésus le Nazôréen interdit aux Apôtres et Disciples de dire qu’il était le Messie :

Matthieu XVI : 15-20 -- Je ne vous poserai pas les versets 18 et 19 qui sont des versets ajoutés n’ayant rien à voir avec les paroles véritables de Jésus le Nazaréen. En effet ils font l’éloge d’un Apôtre au détriment des autres, supprimant l’humilité enseigné par Jésus le Nazaréen.

« Mais pour vous, leur dit-il, qui suis-je ? »

Simon-Pierre répondit :

 « Tu es le Messie [ (Christ) ], le Fils du Dieu vivant. »

En réponse, Jésus lui dit :

« Tu es heureux, Simon fils de Jonas, car cette révélation t'est venue, non de la chair et du sang, mais de mon Père qui est dans les cieux. »

Alors il ordonna aux disciples de ne dire à personne qu'il était le Messie [ ( Christ) ].

Jean I : 41

Il rencontre en premier lieu son frère Simon et lui dit :

« Nous avons trouvé le Messie »

Marc VIII : 29-30 et Luc IX : 21 qui est une plagia de Marc.

« Mais pour vous, leur demandait-il, qui suis-je ? »

 Pierre lui répond :

« Tu es le Messie [ (Christ) ]. »

Alors il leur enjoignit de ne parler de lui à personne.

Marc IX : 7-9

Et une nuée survint qui les prit sous son ombre, et une voix partit de la nuée :

 « Celui-ci est mon Fils bien-aimé ; écoutez-le. »

Soudain, regardant autour d'eux, ils ne virent plus personne, que Jésus seul avec eux.

Comme ils descendaient de la montagne, il leur ordonna de ne raconter à personne ce qu'ils avaient vu, si ce n'est quand le Fils de l'homme serait ressuscité d'entre les morts. »

Avoir autant d’interdiction et écrire tout au long de ce Nouveau Testament du « Jésus-Christ » dans les Évangiles est un non-respect de la parole de Jésus le Nazaréen et de l’homme qui s’est sacrifié pour permettre à cet humain de recouvrer la Vie Éternelle.

On aurait pu admettre que ce terme, « Jésus-Christ », soit pris dans les Actes des Apôtres, ainsi que les Lettres et Épîtres du NT si le sens avait été dans la direction de « Messie » « Oint » et non dans le sens de crux, « Croix ».

En effet le terme « Jésus-Christ » signifie bien aujourd’hui « Jésus-Croix » et aie bien interprété comme tel par les ouailles de toute la chrétienté. Voilà pourquoi pour commencer et terminer une prière ils se signent du « signe » de la croix en invoquant les trois « Dieux » de la chrétienté, le Père, le Fils, le Saint-Esprit confirmant par le « ainsi soit-il » tout cela agenouillé devant un morceau de bois, de pierre, de fer, représentant une croix avec l’effigie d’un humain fixé dessus.

L’idolâtrie devant toute sa splendeur ! …

Ce flagrant délit, vous le niez !

Et pourtant, quelle réalité !

Jésus le Nazaréen et son Père EL-SHADDAÏ doivent être dans un état d’écœurement, de colère en voyant tous ces humains dans ces Temples Chapelles, Églises, Cathédrales prier de la matière sans vie en invoquant leur NOM.

Autre chose, le terme « Nazôréen » fut appliqué à Jésus dont-il caractérisait l’origine, puis à ses sectateurs. Ce terme s’est maintenu dans le monde sémitique pour désigner les disciples de Jésus, tandis que le nom « chrétien » à partir du IIème siècle prévalu dans le monde gréco-romain.

Dans quelques jours la suite des écrits sur Jésus le Nazôréen et la chrétienté, alors pendant ce temps, prenez-soins de vous, portez-vous bien !

Salutations cordiales à tous !

Sig : JP.G. dit « Grand-Loup » ou « GRANDELOUPO »

 


Commentaires

 
 
 
posté le 11-01-2015 à 10:32:03

Déchéance d'une Religion Chap. N° 13 - Père Céleste

 

 

 

Description d’un chromosome humain

 

 

Première Religion Mondiale le CHRISTIANISME

 

Pendant quelques semaines je reprends le cours de mes écrits, avant que, comme chaque année, j’écrive sur la Pâque qui sera sans aucun doute pour tous ceux qui me lisent depuis plusieurs années une révision. Il est important pour nous, « Enfants » d’EL-SHADDAÏ, que nous respections la volonté de notre Père Créateur, qui est notre Dieu seul et unique, nous avons que lui et  aucun autre, même pas son Fils engendré Jésus le Nazôréen, que les chrétiens nomme Jésus-Christ en l’adorant comme un « Dieu » alors qu’il ne l’ait pas, voilà pourquoi ils sont idolâtres, je parle des chrétiens de tous bords, sectes comprises. En effet cette année exceptionnellement la Pâque, notre Pâque ce trouve être le soir du vendredi saint des chrétiens.

 

« N’appeler personne « Père » sur la Terre, car un seul est votre « Père » celui qui est dans les cieux. » ( Épître des Apôtres IV :1, Matthieu XXIII : 9 )

Alors pourquoi un « Très Saint Père = le Pape », pourquoi nommé un prélat « mon Père » ?

« Notre Père qui est aux cieux … », cela fait bien partie de la prière la plus importante de toute la chrétienté !

« Que ton Nom soit sanctifié… », ton nom ce n’est pas ce nom vulgaire « Dieu » car « Dieu » il en existe des milliers, donc que « ton NOM » comme EL-SADDAÏ qui signifie Dieu-SHADDAÏ, mais encore « Dieu au-dessus des Montagnes », cela est un « NOM » comme Très-Haut, Tout-Puissant, Roi des Âges, Éternel, Yahvé, etc.

Ce Nom est un nom « Saint » voilà pourquoi il est sanctifier qui signifie vénérer, adorer, glorifier et ce nom ce n’est pas celui de son fils, mais bien le sien à lui, le Dieu seul et unique !

Je viens en une ligne de la Bible, vous démontrer l’erreur du christianisme d’aujourd’hui, et sa déchéance.

Alors voici son histoire et votre liberté d’action car chaque humain est responsable de lui et c’est seul qu’il affrontera le Jugement du Père.

 

Histoire et déchéance de cette Religion

 

Dernières lignes du chapitre précédent :

 

Zacharie 14 : 9

« Alors EL-SHADDAÏ --{ Yahvé }-- sera roi sur toute la Terre. En ce jour-là, EL-SHADDAÏ --{  Yahvé }-- sera unique, et son nom unique. »

NT Matthieu 4 : 10, 23 : 9

« Alors Jésus lui dit :

 « Retire-toi, Satan ! Car il est écrit : C'est le Seigneur { EL-SHADDAÏ } ton Dieu que tu adoreras, et à Lui seul tu rendras un culte. » »

« N'appelez personne votre « Père » sur la terre : car vous n'en avez qu'un, le Père céleste. »

NT Jacques 2 : 19, 4 : 12

« Toi, tu crois qu'il y a un seul Dieu ? Tu fais bien. Les démons le croient aussi, et ils tremblent. »

« Il n'y a qu'un seul Législateur et Juge, celui qui peut sauver ou perdre. Et toi, qui es-tu pour juger le prochain ? »

Si j’avais été un peu plus courageux j’aurai pu vous remplir la page de textes bibliques où les écrivains citent un « Dieu seul et unique »

Entre parenthèse, jamais un Témoin de Jéhovah ne vous citera ce verset biblique de Jacques, alors quand ils viennent sonner à votre porte et qu’ils veulent vous parler de bible, citez-leur ce verset et attendez la réaction.

Tout au long de cette Bible, qui représente l’Écriture Sacré, il n’est question que d’un « Dieu » seul et unique que je nomme EL-SHADDAÏ. Le Christianisme jusqu’à nouvel ordre accepte bien l’Ancien Testament comme un Livre Chrétien ainsi que le Nouveau Testament !

Vous, Chrétiens, vous êtes bien en accord avec ce que je viens d’écrire ?

Vous ne pouvez pas nier !

Alors je viens de vous prouver que la « Sainte Trinité » est une pure invention et qu’elle contredit les versets de l’Ancien et du Nouveau Testament cités ci-dessus !

 

 

Chapitre N° 13

 

Père Céleste,

 

Père Terrestre titre de procréation.

 

Pour mes semblables qui écrivent que j’insulte leur religion et que j’écris avec haine contre les chrétiens, ils feraient mieux de reconnaître, qu’au contraire, j’ai beaucoup d’amour pour eux, car je leur fait constater tous les travers de leur religion, leur prouvant qu’ils sont sur une mauvaise voie en suivant aveuglément leurs mauvais « Pasteurs ».

Je ne suis pas responsable de la vanité, de l’orgueil de ces Évêques, puis de ces Papes, Popes, Pasteurs accompagnés par leurs Cardinaux qui mélangent religion et politique, ne pensant qu’à remplir leurs coffres forts d’or et de pierres précieuses, dédaignant le vœux de pauvreté, mais appauvrissant leurs ouailles, ceux-ci les écoutant, les suivant comme des sourds et des aveugles, transformant les paroles et écrits d’EL-SHADDAÏ et de son Fils unique Jésus le Nazaréen.

Ce n’est pas moi qui aie décrété cette aberration de « consubstantialité » qui déclare que le Fils d’El-Shaddaï et l’Esprit-Saint sont de même substance que le Créateur, ce qui en découle que le Fils, le Père et l’Esprit-Saint sont la même personne en formant un seul Dieu en trois personnes distinctes, comme une Trimurti.

Ce n’est pas de la méchanceté de dire et d’écrire que ce qui est écrit ci-dessus n’a rien à voir avec les paroles d’Enseignements de Jésus le Nazaréen

Ce n’est pas être contre les semblables chrétiens et les haïr en leur prouvant que leur « Trinité » n’existe pas comme le Saint-Esprit. Au contraire c’est une preuve d’amour envers eux, que de leur dire que les enseignements oraux originels ont été détournés, falsifiés, remaniés.

Tout être humain chrétien ou autre un peu sensé reconnaîtra que pour porter le titre de « Père » il faut avoir conçu. Un homme avant d’avoir donné la vie n’ai qu’un « Monsieur » parmi ses semblables, mais le jour où il conçoit, il a l’honneur de porter ce titre de « PAPA », il est « Père ». Pour être le « FILS » d’un humain, il faut que celui-ci nous ait engendrés, sinon nous ne sommes rien. De plus vous constaterez, quoique vous disiez, que dans la nature, quel qu’elle soit, le « Père » et le « Fils » forment bien deux êtres différents, sinon ce serait du clonage, chose impossible puisque le clonage n’existe pas dans tout l’univers à l’exception de l’humain, qui à son image corps terrestres et son image substance visible dans l’invisible de l’humain.

Si cette logique indémontable, incontournable est une loi de physique et de chimie pour tous les êtres vivants sur cette Terre, animal et humaine, alors ma logique est encore plus durement soudée, donc indestructible pour l’Être qui nous a créé à son image, à leur « ressemblance Père, Fils, Incorporels ».

En effet si, « Dieu pour vous chrétien », EL-SHADDAÏ, porte le Titre de « PÈRE » comme sur la Terre, c’est qu’il a engendré.

Je dis et j’écris bien engendré, à ne pas confondre avec créer, terme qui a une toute autre signification.

L’humain est une création comme toutes choses, Jésus le Nazaréen, par-contre est un être engendré, sorti des entrailles de son Père géniteur EL-SHADDAÏ.

Tout le long des Écritures EL-SHADDAÏ -- Dieu pour les Chrétiens -- est considéré avec une très grande affirmation comme étant le seul et unique « DIEU », mais aussi comme un « Père » à la vue de la création et tout particulièrement dans le Nouveau Testament comme un « PÈRE » en tant que géniteur de son Fils Jésus le Nazaréen.

IL est « PÈRE » Céleste au sens propre du mot, car étant androgyne il enfanta son Fils unique Jésus le Nazaréen. En effet celui-ci est sorti de ses entrailles, donc il engendra ce Fils à sa ressemblance mais non androgyne comme Lui. Ce Fils, comme il se doit, est de la même substance moléculaire, chromosomique que son Père mais comme il n’est pas androgyne cela en fait deux Êtres Célestes différents.

Par ces explications logiques indéracinables, vous êtes chrétiens, obligés d’admettre que votre Jésus-Christ, Jésus le Nazôréen pour moi, est différent de son Père géniteur, qu’il n’est pas son égal, donc il n’est pas « Dieu » , seulement son Fils. Le dogme de la Trinité vient de prendre du plomb dans l’aile, quand à la Sainte -Trinité, ce dogme peut prendre la direction du placard à balaies.

Autre fait qui le rend différent de son Père génétique, c’est sa venue sur Terre comme tout être humain.

En effet son Père EL-SHADDAÏ la engendré une seconde fois, si je puis m’exprimer ainsi en introduisant dans le corps parfait d’une femme, exempte de la tare originaire  dû à la transgression des deux premiers humains, un spermatozoïde dans l’ovule féminin en un mot une « injection in-vitro ».

Ce que l’être humain est capable de faire difficilement, est pour EL-SHADDAÏ, une opération bénigne puisqu’il connaît le secret de la conception étant le créateur de la « machine » femme.

Jésus le Nazaréen aurait bien pu venir sur Terre comme les Anges que vit Abraham ou comme ceux antédiluviens ou comme Élie, si son Père EL-SHADDAÏ l’avait voulu. Si cela avait été le cas, l’équivalence avec les deux premiers humains ne tenait plus.

En prenant vie par la voie régulière de la femme il devenait comme son Père le voulait, supérieur à Adam et Ève qui, eux, furent créés, tandis que son Fils Jésus le Nazaréen restait engendré sur la Terre, comme il fut engendré dans les Hauteurs Célestes. Tout en étant « Homme » il restait supérieur à l’Homme, la descendance de l’humain venant d’une création, mais « Lui » était engendré voilà pourquoi dans les Écritures il est appelé « Fils d’Homme » ou « Fils de l’Homme ».

De plus, au niveau des Lois Célestes, Jésus le Nazaréen, Fils incontesté d’EL-SHADDAÏ, devenait par sa naissance terrestre le ROI de la Terre, confirmant les Écritures, empêchant SAMMAËL, dont la Terre et ses environs sont son Royaume pendant le « Temps Défini » fixé sur les « Tables Célestes » , d’être le ROI perpétuel de la Terre car ne pouvant se transformer en humain sans perdre sa liberté d’action sur la Terre.

Comme je l’ai écrit plus avant, Jésus le Nazaréen étant né comme un humain, et avait cinquante pourcent de l’ADN de sa Mère Marie, et cinquante pourcent de l’ADN de son Père géniteur EL-SHADDAÏ, ce qui en faisait un être exceptionnel sur la Terre dans l’harmonie du corps voilà pourquoi il imposait le respect et l’autorité et qu’il ne pouvait pas être cet être malingre et chétif comme le représente la chrétienté.

Au contraire, Jésus le Nazaréen, Fils d’EL-SHADDAÏ, non créé comme l’humain, mais engendré, devait être un très bel homme, d’un aspect imposant, aux lignes générales fines représentant la légèreté et la finesse féminine, avec une carrure dégageant une certaine force. N’oublions pas que le métier de son père nourricier, Joseph, était charpentier et qu’à l’époque ce métier faisait partie de ces métiers très durs comme le forgeron, ces humains ayant une force certaine. Comme l’on dirait aujourd’hui : « Ce n’étaient pas des pourris ! »

Comme je l’ai déjà écrit, cet homme exceptionnel devait, rien qu’au regard, dégager crainte, respect, autorité, avec cet aspect d’amour, de gentillesse, de « Grand Sage ».

Si, il avait été fluet, asthénique, souffreteux, malingre, comme la chrétienté le représente, pensez-vous que des hommes comme Jean et son frère André, qui étaient pêcheurs de métier, donc ils avaient un certain gabarit de muscles et de force, auraient tous quittés, bateau, amis, famille pour le suivre ?

Certainement pas ! …

Comme je l’ai écrit ci-dessus il devait imposer force, autorité, respect !

Par sa perfection de vie, même en faisant le métier de son « Père » nourricier, puis pendant trois ans et demi son ministère terrestre, il devenait et était l’équivalence des deux premiers humains, vainquant la « MORT » dû à la transgression volontaire de ces deux premiers humains, pour permettre aux humains ressuscités et au petit nombre de survivant du « Jour de Colère de son Père EL-SHADDAÏ », de vivre éternellement sur la Terre.

Sa mort par crucifixion, marquant comme un sceau, l’esprit des humains, leur prouvant sa victoire sur la « MORT », son corps terrestre n’ayant pas goûté l’odeur de la terre, mais Lui, Jésus le Nazaréen, étant bien vivant puisque pendant quarante jours après sa crucifixion il vécut avec ses Apôtres et Disciples pour les enseigner avant de rejoindre son géniteur, son « Père Céleste ».

Les historiens déclarent et écrivent que Jésus le Nazaréen fut aperçut par plus de cinq cents humains dignes de foi après sa mort par la torture romaine de la crucifixion.

Quant à « l’Esprit-Saint » que les chrétiens vénèrent je serai curieux de savoir d’où il vient et à qui, il appartient !

Si c’est l’esprit d’EL-SHADDAÏ, il faut adorer et vénérer EL-SHADDAÏ, lui-même, car il est substance, donc matière, nous à son image, à son reflet, comme nous nous regardons dans une glace nous voyons notre image, notre reflet.

Cet Être Suprême doit avoir un cerveau pour raisonner, réfléchir, penser, c’est ce que l’on appelle l’esprit, sinon comment aurait-il pu créer l’Univers avec la Terre et poser l’humain dessus à son image comme un « Dieu » ? …

Par cette écriture vous comprenez la justesse de ma pensé qui est due à mon raisonnement par mon esprit !

Là, EL-SHADDAÏ étant un Être vivant, il ne peut être « esprit » car ce que nous humain appelons « Esprit » est spectral, fantomatique, voir ectoplasme c’est à dire la vision d’être humain ayant déjà vécu sur la terre, par contre Il possède un « esprit ». Le médium voit l’image, mais vous, vous ne voyez rien sauf les constatations visuelles que veut bien vous faire voir ce médium par un jeu d’écritures, de sons ou toutes autres formes d’actions. C’est aussi ce médium qui vous donnera l’interprétation de tous ces « signes », et là ! …

Comme vous pouvez vous en apercevoir « l’esprit » ne peut être matière car l’esprit est la pensé, le raisonnement, la réflexion et tout cela est éphémère. Si je ne couchais pas par l’écrit mes pensées, mes réflexions, celles-ci disparaîtraient de mon cerveau comme un coup de vent, puis plus rien.

N’ai-je pas raison ?

Difficile de me contredire !

Car « l’esprit » c’est du vent, c’est passager, puisque la réflexion, le raisonnement, la pensé, sont « Esprit »

La démonstration est faite, « l’ESPRIT-SAINT » du christianisme n’existe pas, mais « l’esprit sain » lui existe, car c’est une réflexion, un raisonnement, une pensé, propre sans tache, parfaite et qui reste éphémère le temps de son existence, prouvant par ce qui reste en acte, ce que j’ai écrit juste avant.

Cela prouve l’imperfection humaine, et, ce que le raisonnement de certains hommes théologiens chrétiens, de par leurs richesses, vaniteux et orgueilleux ont déclaré être sous « Inspiration Divine » pour détourner l’Enseignement de Jésus le Nazaréen, le transformant, pour en arriver à la religion telle qu’elle est aujourd’hui, c’est-à-dire une religion faite par les humains idolâtres et mauvais en « esprit ».

Je vais vous prouver une transgression des ordres de Jésus le Nazaréen.

 Le nom de « Jésus-Christ » signifie pour les chrétiens « Jésus sur la croix » ou « Jésus plus crux » en version latine.

Le terme grec « christos », participe passé d’un verbe qui signifie oindre, graisser, enduire.

Ce terme fut adopté pour traduire le mot hébreu « Mashia » qui signifie envoyé d’EL-SHADDAÏ --( Dieu pour vous chrétiens ) --, sur lequel repose l’esprit d’EL-SHADDAÏ.

Un « Mashia » est un personnage sacré, un envoyé d’EL-SHADDAÏ.

Pour rendre ce terme, « Mashia », les traducteurs de la Septante n’ont pas hésité à prendre le mot grec profane « christos », et du coup ont infléchi ce terme dans un sens religieux « Christos » signifiant « Messie, Oint » d’EL-SHADDAÏ. Ce sens est tellement affirmé que le terme ne sera pas traduit en latin, --( par Unctus ) -- mais simplement transcrit en « Christus » ce qui donner en français, « Christ ».

Cette lecture vous oblige à vous scruter intérieurement car elle vous a posé des questions. Alors je suis heureux, car le « Souffle d’intelligence » vient à vous !

Portez-vous bien !

Cordiales salutations

Sig : JP.G. dit « Grand-Loup » ou « GRANDELOUPO »
 


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posté le 04-01-2015 à 16:46:07

Fêtes fin d'année, chap.N°7 - Épiphanie, Rois Mages

 

Galette, couronne des Rois

 

Les fêtes de fin

 

& début d’année

 

Une nouvelle année commence, le cycle des quatre saisons reprend son cours avec l’allongement des jours. Je souhaite que vous preniez de la force intérieure pour EL-SHADDAÏ, pour ce Dieu seul et unique car avant lui il n’en existait pas et s’il venait à disparaître l’Univers entier  disparaîtrait. J’espère qu’EL-SHADDAÏ veillera encore cette année sur moi, mais cela est moins sûr car mon temps devrait être déjà terminé sur cette Terre et je suis toujours là pour vous écrire. Alors si pendant deux mois vous n’avez plus d’écrit sur ce blog, c’est que ce Dieu aura estimé que le temps était venu de dormir en attendant ma résurrection car je serai toujours quelque chose sur cette Terre et mon double, mon enveloppe spirituelle aura été jugé, sois j’errerai comme des millions d’humains autour de la Terre et ses environs, soit je serai dans une demeure à me reposer en attendant ce retour terrestre, soit je partirai pour le néant et même la terre ne se souviendra plus de moi. Il faudra que l’un de vous prenne la relève et enseigne ses semblables avec la vérité historique sur toutes les religions, sur la puissance de ce Dieu seul et unique et surtout la vérité sur son fils engendré, je parle de Jésus le Nazaréen, tout en restant dans l’incognito, dans  l’humilité.

Ce que je viens d’écrire il fallait que je le dise car je ne suis pas éternel et je suis convaincu qu’EL-SHADDAÏ guidera l’un de vous pour me remplacer.

Portez-vous bien dans l’amour d’EL-SHADDAÏ et de son fils Jésus le Nazôréen !

 

Chapitre N° 7

 

 

L’Épiphanie, les Rois mages

 

Le Solstice d’Hiver est passé avec ces nuits les plus longues, le double du jour. Puis il y a la fête chrétienne de la Nativité instauré par l’Évêque de Rome, Libère qui officiât comme tel de 352 à sa mort en 366. Il est le premier Évêque à désigner Rome comme le « Siège Apostolique » sous le règne de l’Empereur Constance II, 337-361, dont le successeur sera Julien, 361-364, suivi de Jovien, 364-364, suivi de Valens pour l’Orient, 364-378 et Valentinien pour l’Occident, 364-367 suivi de Gratien et pour l’Orient Théodose qui réunira l’Orient et l’Occident, mais le « Siège Apostolique » sera à Constantinople.

Comme ce sont les Empereurs Romains qui sont les dirigeants de l’Église chrétienne et qui sont les « Pontifex Maximus », donc les « Pontifes » de la religion chrétienne et non l’évêque de Rome comme la chrétienté veut nous l’apprendre, je mets dans mes écrits de l’histoire pour vous prouver que cette religion c’est bâtie sur le mensonge. Non comme un religieux, mais en fin politicien il profita du cahot à la tête de l’Empire Romain pour assoir Rome comme « Siège Apostolique », ce qui lui vaudra d’être exilé en Macédoine pendant un peu plus de trois ans avant de revenir dans les grâces de Constance II.

Pendant ces trois décennies de capharnaüm impérial, les chrétiens se battaient entre chrétiens, mais aussi chrétiens contre païens, les troupes romaines impériales contre les barbares aux frontières de l’empire. De 361, mort de Constance II, à 378, la venue de Théodose 1er à la tête de l’empire, se fut une période d’assassinats, meurtres, trahisons et magouilles au sommet de l’État. La religion n’était guère mieux puisque c’était les arianismes contre les donatistes.

L’Empereur Constance II exile Libère en Macédoine, qui sera accompagné du Diacre Damase 1er, qui lui succédera après sa mort en 366. Quand Libère décède c’est un autre Diacre, Ursin qui est élu Évêque de Rome. Cela n’a pas du plaire à Damase et ses partisans qui le consacre Évêque de Rome en la Basilique de Saint Laurent de Lucine le 1er Octobre 366. Le Préfet de la ville de Rome exile Ursin et ses partisans qui sont retranchés dans une église. Ils sont attaqués par les partisans de Damase. L’échauffourée dans l’église se termine dans un bain de sang avec plus de cent trente morts.

Déjà à cette époque, les richesses de la religion chrétienne sont importantes, et les Diacres qui administrent ce trésor sont en général irréprochables et sont là pour faire fructifier ce luxe, or et pierres précieuses doivent entrer dans la besace de l’Église. Dans trois siècles c’est-à-dire dans le VIIème et VIIIème siècle sous l’Évêque de Rome, Étienne II, qui en 752, prendra le titre de « Pontife », c’est-à-dire « PAPE » quand Pépin le Bref, Roi des Francs lui offrira les premiers États Pontificaux.

Le véritable Pape de Rome est né !

On dira l’Église de Rome !

Autre hypocrisie cachée et aussi grande, si ce n’est plus. Le christianisme du IVème siècle surtout après le Concile de Nicée, avait dans son cœur la haine du judaïsme rendant ceux-ci responsable du crucifiement de leur « Dieu ». Le christianisme ne doit son essor que depuis la victoire de Constantin le Grand à la bataille du Pont de Milvius le 28 octobre 312.

Nous sommes à la veille de l’hiver et il existe quatre Empereurs pour gouverner l’empire. Les deux plus importants, Maxence et Constantin. Constantin marche sur Rome avec ses troupes pour être élu par le Sénat de Rome comme un « César Auguste » de tout l’Empire. Maxence qui, lui vit à Rome veut la même chose par le Sénat. Celui qui sera maître de la route de Rome, sera maître et protecteur de Rome. Maxence emmène ces troupes à dix kilomètres de Rome sur la via Flaminia, la route de Rome, et devant le Pont de Milvius qui enjambe le Tigre, fleuve tumultueux  il fait un autre pont avec des grande barques attachées les unes aux autres pour faire traverser ses cohortes prétoriennes qui s’installent devant le pont. Si l’on suit Eusèbe de Césarée, historien chrétien de l’époque, les forces en présences étaient de un contre dix. Constantin évaluant les forces avant la bataille et se sait perdu d’avance. Dans le ciel des nuages de haute altitude forment un chrisme, avec les deux lettres mélangées, XP, qui sont en grec les deux premières lettres du dieu chrétien. Constantin croit beaucoup en ces signes divinatoires et regardant encore le ciel il croit entendre ceci : « In hoc signo vinces » qui signifie : « Par ce signe tu vaincras ». Regardant ce ciel une troisième fois, il jure qu’il embrassera la religion chrétienne si, il a la victoire. En un mot il promet que si, il a la victoire il se fait baptiser chrétien. Un soldat de Constantin contre dix à Maxence. Constantin le grand convoque tous les chefs de bataillon et fait peindre en rouge et en grand les deux lettres XP entremêlées sur tous les boucliers de ses soldats. Ils partent au combat après plusieurs heures les troupes de Maxence reculent. Un survivant dira : « Ce n’est pas des hommes que nous avions en face de nous, mais des diables, le ventre ouvert ils combattaient encore ». Les soldats de Maxence acculés contre le pont montaient dans les barques. Des vigiles prenant peur sectionnèrent les amarres des bateaux qui furent emportés par ce fleuve tumultueux, Maxence et plusieurs centaines d’hommes perdirent la vie.

Constantin remporta une large victoire, et il respecta sa parole se faisant chrétien. En l’an 312, fin octobre, le christianisme qui ne représentait que dix pourcent de la population, devint la religion de l’empire romain.

Byzance devenait « Constantinople », aujourd’hui Istambul, ville impériale et siège de la chrétienté l’empereur étant le « Pontifex Maximus » c’est-à-dire le « Pape » de cette religion.

Donc l’Évêque de Rome, Libère constate que le christianisme n’a pas de « Dieu » naissant dans la longue nuit du 24 au 25 Décembre. Depuis le Concile de Nicée en l’an 325 de l’EC ou J-C, où le Canon Biblique fut arbitrairement choisit avec les Livres de l’Ancien Testament, et ceux du Nouveau Testament, le christianisme est devenu la religion de l’Empire Romain et les persécutions contre les chrétiens se sont arrêtées, et maintenant se sont les païens que l’on persécute.

Libère, en 354 décréta que Jésus-Christ était né un 25 Décembre comme un Dieu.

Libère affirme même avec force : « Dans la nuit du 24 au 25 Décembre un Dieu de Lumière nous ait né en la personne de Jésus-Christ pour sauver le genre humain lui offrant la vie éternelle. »

Il sera appelé « Fils de Dieu, Lumière des Lumières » qui deviendra « Fils de la Lumière » comme le Dieu romain Sol Invictus. Voilà comment, par un décret humain, est né un « dieu » en la personne de Jésus-Christ dans la nuit du 24 au 25 décembre et qui remplacera le Dieu « Sol Invictus » né lui aussi, bien avant Jésus-Christ, dans la nuit du 24 au 25 décembre sachant que l’anniversaire de « Sol Invictus » était interdit puisque païen. Seul la Nativité de Jésus-Christ était autorisée. Par là vous mesurez le degré d’hypocrisie qui existait à cette époque.

Vous mes semblables chrétiens je ne vous écris que la vérité historique rédigée dans nos livres d’histoires par des païens. Ce sont vos dirigeants, du Pape à l’Évêque, qui vous mentent !

Le Jésus-Christ des chrétiens vient de naître dans la nuit du 24 au 25 Décembre, date entrée dans le dogme de la chrétienté, ses « Haut-Fonctionnaires » sachant que c’est du « pipo » puisque c’est l’un des leur, Libère, qui en 354 décréta, arbitrairement cette date du mois de décembre.

Théoriquement d’après la loi juive huit jours après le Jésus-Christ devrait être circoncis par le Grand Prêtre responsable de la synagogue du lieu où habitent les parents. La bible ne fait aucun commentaire sur le lieu de la circoncision.

Jésus-Christ étant né un 25 Décembre, la chrétienté de tous bords en faisant grand tintamarre, huit jours après devrait être le jour de la circoncision, soit le 02 Janvier. La chrétienté Orthodoxe comme Catholique ayant basé la naissance de Jésus-Christ sur le mensonge, elle n’est pas gêné de ne pas respecter les huit jours qu’EL-SHADDAÏ impose pour la circoncision, Genèse XVII : 10-12 « Et voici mon alliance qui sera observée entre moi et vous, c'est-à-dire ta race après toi : que tous vos mâles soient circoncis. Vous ferez circoncire la chair de votre prépuce, et ce sera le signe de l'alliance entre moi et vous. Quand ils auront huit jours, tous vos mâles seront circoncis, de génération en génération. » En effet le septième jour la chrétienté célèbre une messe en l’honneur de la circoncision de Jésus-Christ.

Je suis sûr qu’un grand nombre d’entre vous à constaté que je nommais le Fils de « Dieu » « Jésus-Christ ». Comme ce que j’écrivais, était basé sur le mensonge, je ne pouvais pas inclure le Fils d’EL-SHADDAÏ, « Jésus le Nazôréen » dans cette mascarade de tromperies, duperies, donc il était normal pour moi d’écrire « Jésus-Croix », c’est ce que Jésus Christ veut dire, dans ce contexte de boue, domaine de Sammaël.

Le Jésus-Christ des chrétiens est la même personnalité que je nomme Jésus le Nazôréen, comme les prophètes l’avaient annoncé Matthieu II : 22-23,

« Mais, apprenant qu'Archélaüs régnait sur la Judée à la place d'Hérode son père, il --( Joseph ) -- craignit de s'y rendre. Averti en songe, il se retira dans la région de Galilée et vint s'établir dans une ville appelée Nazareth, pour que s'accomplît l'oracle des prophètes :

Il -- ( Jésus ) -- sera appelé Nazôréen. »

Voilà pourquoi, respectueux des prophètes, je nomme le Fils d’EL-SHADDAÏ, le dieu « Dieu » de la chrétienté, « Jésus le Nazôréen » et non Jésus-Christ qui devrait en théorie signifier Jésus-Messie, Jésus-Oint, mais qui précise Jésus-Crux, Jésus-Croix, « Jésus-Christ ».

« Épiphanie » est un mot d’origine grecque qui signifie manifestation, apparition. Le terme est bien antérieur au christianisme puisque les « Épiphanes » sont dans la culture grecque, les divinités  qui apparaissent aux hommes comme Zeus, Athéna, Hermès, Héra, Poséidon, Aphrodite, Artémis, Dionysos, Apollon, Arès, Déméter, etc, etc … qui font partie des douze Dieux de l’Olympe fête de la Rome Antique.

Pendant les quatre premiers siècles la fête de l’Épiphanie n’existe pas, seul à lieu le 6 Janvier une fête romaine païenne la fête des Lumières, où plus exactement la fête de la « Lumière » qui fait partie des Saturnales. En effet, le Solstice d’Hiver, la nuit la plus longue qui faisait approximativement le double du jour était à son apogée ainsi que les deux trois nuits qui la suivaient. Ce summum des Ténèbres finissait le 25 Décembre date d’anniversaire de la naissance des Dieux Mithra et Sol Invictus qui représentaient la « Lumières ». Ce cycle du Solstice d’Hiver finissait dans un nombre de jours hautement symbolique, douze jours et nuits à partir du 25 Décembre, douze heures, douze mois, douze dieux olympiens, et furent ajoutés à tous ceux-là par le christianisme, les douze tribus d’Israël, les douze Apôtres, ce qui faisait terminer ce cycle le 6 Janvier. C’est le moment où les jours commencent à s’allonger de façon sensible, visible par l’humain et que la promesse de la nuit solsticiale est tenu.

L’Épiphane ou l’Épiphanie est la célébration du retour manifeste de la « Lumière », cette dernière étant maître sur les « Ténèbres ». Ce cycle du Solstice d’Hiver comprenait ce jour le plus court où plus exactement la nuit la plus longue avec celles qui suivaient, où dans toute l’Europe, en Asie Mineur avec la péninsule Arabique, plus tous les pays d’Afrique du Nord dont les côtes maritime faisaient partie du Bassin Méditerranéen, les humains vénéraient les mêmes « Dieux », seul le nom changeait et pas obligatoirement. Le dieu « Lune » est mâle, tandis que le « Soleil » est femelle. En Asie Mineur, péninsule Arabique ainsi que l’Afrique du Nord le dieu lune est « Méni » et dans les iles Angles et Saxonnes le dieu lune est « Méné » et il arrive souvent que ce nom soit interverti comme en Ésaïe ou Isaïe LXV.

Dans ce cycle il y a la venue des trois Rois Mages relaté dans l’Évangile de Matthieu II : 1-2, « Jésus étant né à Bethléem de Judée, au temps du roi Hérode, voici que des mages venus d'Orient arrivèrent à Jérusalem en disant : « Où est le roi des Juifs qui vient de naître ? Nous avons vu, en effet, son astre à son lever et sommes venus lui rendre hommage. » » La Bible ne donne aucunement le nombre de ces Rois, par contre par les écrits apocryphes, la Tradition les mets au nombre de trois, représentant tous les habitants de la terre puisque l’un était blanc, l’autre d’une couleur cuivré et le troisième noir, du nom respectif de Gaspar, Melchior et Balthazar.

Théoriquement l’Épiphanie, fête chrétienne se fête le 6 Janvier, mais qui était dans l’antiquité et les quatre premiers siècles, le christianisme n’existant pas, une fête romaine importante puisqu’elle était la terminaison du cycle des fêtes du Solstice d’Hiver, Noël pour nous, et des Saturnales. En France comme en Belgique l’Épiphanie se fête le premier dimanche après le jour de l’an, par contre en Espagne le jour du 6 Janvier est chaumé.

La galette des Rois que l’on mange le jour de l’Épiphanie a son origine païenne. En effet, lors des Saturnales les romains désignaient un esclave comme « Roi » d’un jour. Les Saturnales étaient en effet une fête d’inversion des rôles afin de déjouer les jours néfastes de Saturne. Au cours du banquet, au début ou à la fin des Saturnales, selon les différentes époques de la Rome antique, au sein de chaque grande famille les Romains utilisaient la fève d’un gâteau comme « bulletin de vote » pour élire le « Saturnalicius princeps » qui signifie « Maître des Saturnales  ou Roi du désordre »

Pour assurer une distribution aléatoire des parts de galette, il était de coutume que le plus jeune se plaçât sous la table et nommât le bénéficiaire de la part qui était désignée par la personne chargée du service, d’où l’usage toujours vivant de « tirer les rois ». 

Ce gâteau devait obligatoirement être rond et de couleur jaune sur le dessus car il représentait le « Dieu » soleil, celui qui allait réchauffer la terre pour les semailles à venir.

L’Épiphanie est une fête chrétienne qui célèbre la venue du Messie, « Lumière des Lumière », « qui c’est fait chair » c’est-à-dire incarné dans le monde, mais c’est aussi l’hommage que les Rois mages lui portent. Souvenez vous de ces paroles ci-dessus dites par des Évêques voulant faire croire que leur « Jésus-Christ » est un « Dieu » puisque de par lui-même il c’est fait chair. Par vous- mêmes, chrétiens, ces paroles vous les avez entendues tout comme moi, je n’ai rien inventé ! Mais par un raisonnement « Sain » et je vais même pousser le bouchon encore plus loin, par un « Esprit SAIN », c’est EL-SHADDAÏ qui pose son spermatozoïde dans l’ovule féminin, où pour être plus clair dans l’œuf féminin, la Bible prenant le terme de « couvrir ». Par cette action « Jésus le Nazôréen » peut appeler EL-SHADDAÏ « Père », car il est vraiment son « Père » puisqu’il l’a engendré, et EL-SHADDAÏ sans mentir peut dire, ce qu’Il a fait, « Celui-ci est mon « Fils Bien-Aimé » le jour où Jean le Baptiste baptisa Jésus dans le Jourdain.

Cela prouve que Jésus le Nazôréen n’est pas un Dieu, et n’est pas « Dieu », mais qu’il est le « Fils » légitime engendré par EL-SHADDAÏ, son Père,  et que ce « Fils » peut appeler dans l’intimité ce Dieu seul et unique, El-Shaddaï, « PAPA ».

Autre chose, personnellement je suis convaincu que l’épisode du Pont de Milvius eut lieu par la volonté divine, afin d’assoir cette nouvelle religion qui après quatre siècles ne représentait que dix pourcent de toute la communauté religieuse païenne.

En 325 Constantin le Grand réuni un Concile à Nicée où, sous les conseils de son ami Eusèbe de Césarée sera formé le premier « Canon Biblique » avec l’Ancien Testament et le Nouveau Testament codex où les Livres, Lettres et Épîtres furent choisies arbitrairement. En plus des nombreux Évangiles qui circulaient dans tout le Bassin Méditerranéen et les pays limitrophes plus de deux milles Lettres et Épîtres s’échangeaient entre « Assemblées » ou « Églises »

Historiquement, quand en 325 au Concile de Nicée Constantin le Grand décréta qu’il serait le « Pontifex Maximus » du christianisme nouvellement instauré c’est-à-dire le « Pape » de cette religion de l’Empire. Eusèbe de Césarée nous écrit un peu sur l’homme et sa prestance comme chef incontesté et incontestable de cette religion.

« Constantin se connaît fort bien, et sait que les vertus qu'il possède, sont des dons du Ciel. Il porte seul la robe de pourpre pour marque de son autorité, et mérite seul d'avoir cette autorité parce qu'il implore jour et nuit le secours du Père céleste, et qu'il brule du désir de parvenir à son Royaume.

Il lève les yeux au ciel, pour y chercher l'idée de la domination, qu'il exerce sur la terre. Il garde dans l'étendue de ses États, la même forme de gouvernement, que Dieu garde dans tout l'univers. Il use du droit que Dieu a accordé à l'homme seul, d'imiter son pouvoir Monarchique.

C'est de sa main que nôtre Empereur très-chéri de Dieu, a reçu la souveraine puissance, pour gouverner son État, comme Dieu gouverne le monde. Le Fils unique de Dieu règne avant tous les temps, et régnera après tous les temps avec son Père. Notre Empereur qui est aimé par Jésus-Christ, règne depuis plusieurs années par un écoulement, et une participation de l'autorité divine. Le Sauveur attire au service de son Père, le monde qu'il gouverne comme son royaume, et l'Empereur soumet ses sujets à l'obéissance de Jésus-Christ. Le Sauveur commun de tous les hommes chasse par sa vertu divine, comme un bon Pasteur, les puissances rebelles qui volent dans l'air et qui tendent des pièges à son troupeau. Le Prince, Constantin, qu'il protège, défait avec son secours les ennemis de la vérité, les réduit à son obéissance, et les condamne au châtiment qu'ils méritent.

Avouons-donc qu'il n'y a point d'autre Empereur que le nôtre, puisqu'il n'y en a point qui soit libre comme lui, ni qui soit comme lui au dessus des parlions, et qui méprise les plaisirs, et se prive même de ceux qui sont innocents, et légitimes. Il est maître de sa colère et de son courage. Il est vainqueur non seulement des ennemis étrangers dont il a dompté l'orgueil, mais des domestiques, et de ses propres mouvements dont il a réprimé la violence, il imite Dieu comme son modèle, et le représente comme un miroir. Il représente la tempérance, la justice, la valeur, la pièce, la sagesse dont Dieu lui a donné et le commandement, et l'exemple. »

Vous constatez les éloges qu’écrivait Eusèbe de Césarée sur l’Empereur Constantin le Grand, son ami.

Bien avant le Concile de Nicée en 325, au deuxième, troisième siècle les Assemblées ou Églises se guerroyaient entr-elles pour des courants de pensés dogmatiques qui devenaient, deux décennies après, hérétiques.

En l’An 330 de l’E.C., cinq ans après le Concile de Nicée, les cinquante Codex Bibliques commandés par Constantin 1er, interpellé plus généralement sous le « Titre » de « Constantin le Grand », Empereur de l’Empire Romain et « Pontifex Maximus » de la religion de l’Empire, le « Christianisme », pour offrir à ses amis, ce Codex qui deviendra le premier « Canon  Biblique » qui comportera « l’Ancien Testament » avec quarante-six Livres, dite Bible des « Septante » ou de la « Dispersion », plus vingt-sept Livres qui comprendront quatre Évangiles, dont trois synoptiques plus, un l’Évangile de Jean suivit des vingt-deux Lettres et Épîtres, plus l’Apocalypse de Jean l’Apôtre qui formeront le « Nouveau Testament ».

Tout au long de l’année les fêtes dites chrétiennes ne sont ni plus, ni moins que des fêtes païennes déguisées. L’esprit pur originel de cette religion fut quatre siècles plus tard, bâtit sur les fondations du mensonge, devenu pierre angulaire de cette religion.

« Sortez d’elle mon « Peuple » ! », dit EL-SHADDAÏ, « car c’est la mère de l’impureté, pire qu’une « Prostituée » déguisé en « Ange de Lumière » pour la perdition d’un grand nombre ! »

Et moi Grandeloupo, je dis qu’elle se tient comme une « Mère Maquerelle », le sourire aux lèvres, fardée comme une princesse, avec un couteau planqué dans la ceinture.

Alors comme le dit EL-SHADDAÏ, sortez volontairement de cette mer de mensonges et de couardises, vous mes semblables, vous qui êtes libre de faire partie des « Enfants » d’EL-SHADDAÏ, car vous seul êtes responsable de vous !

Portez-vous bien et prenez soins de votre maisonnée !

Salutations cordiales !

Sig : JP.G. dit « Grandeloupo »

 


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posté le 28-12-2014 à 06:53:58

Fêtes de fin d'année, chap. N°6 - Une religion dont les fondations ...

Crèche

 

Les fêtes de fin & début d’année

 

Nous arrivons à l’avant dernier chapitre de ce que nous pouvons nommer « Les fêtes du Solstice d’Hiver et du commencement d’une année nouvelle ». Théoriquement, non pas le premier Janvier, mais le 2 Janvier toute l’Église Chrétienne devrait commémorer le baptême de leur Jésus-Christ né un 25 Décembre puisque ses parents sont de confession Judaïque et que huit jours après la naissance l’enfant mâle doit-être circoncis. Que nenni ! La chrétienté même cela, elle ne le respecte pas puisque les Prélats font une Messe pour la commémoration de la circoncision de leur Jésus-Christ un 1er Janvier.

Par vous-mêmes, tout au long de ces cinq chapitres, vous avez constaté que cette religion mondiale, le « Christianisme » avait comme fondation et pierre angulaire le « mensonge ». Je n’ai fait qu’écrire l’histoire véridique de cette religion, je n’ai rien inventé, les historiens ont conté l’histoire de cette religion que j’ai copié pour vous enseigner. Le sentier d’EL-SHADDAÏ est un chemin de vérité et non de mensonges, son enseignement est véridique, il suffit de regarder, écouter et la vérité explose devant nos yeux. Nous ne sommes pas obligé de suivre les Lois et Préceptes d’EL-SHADDAÏ, ni de suivre les Enseignements de son fils, Jésus le Nazôréen, vivant sur cette Terre pire que les animaux, car eux n’ont pas la notion du temps, ni la douleur spirituelle, et la mort ils ne connaissent pas. Mais nous, tout cela nous le connaissons puisque nous possédons l’intelligence.

L’intelligence, nommé aussi « Esprit » chose volatile, qui parfois nous torture par notre conscience. C’est par cette intelligence que nous pouvons choisir, après avoir constaté l’existence réelle de ce Dieu seul et unique, car qui a poser la Terre en orbite autour du soleil afin qu’il y ait la vie ? Qui a fait tourné la Terre sur elle-même à une certaine vitesse afin qu’il existe le jour, la nuit, mais aussi les saisons ? Qui a pris la gestion des animaux et des plantes, des bêtes et bestioles ? Qui ?

Je vous laisse à votre réflexion, raisonnement !... !

Cette semaine est la fin de l’année, alors réjouissez-vous, mangez, buvez, dansez, mais comme EL-SHADDAÏ aime, sans excès, car ce Dieu aime la joie et les rires, et si vous venez à boire plus que le corps ou l’esprit accepte, rentrez chez vous ou allez vous coucher pour ne pas péché contre EL-SHADDAÏ ! Le lendemain risque d’être amer !

 

Noël, 1er jour de l’année

Dernières phrases du chapitre précédent

En premier un condensé historique rapide de cette fête de la Nativité, c’est-à-dire Noël.

C'est après la conversion de l'Empire romain au christianisme que le 25 décembre reçut une nouvelle fonction, celle de célébrer la naissance de celui qui était maintenant appelé la « Lumière du Monde » et le « Soleil de Justice ».

En 425, l'empereur d'Orient Théodose II codifie officiellement les cérémonies de la fête de Noël, fête désormais exclusivement chrétienne

En 440, l’Évêque de Rome, Sixte III, institua la Messe de Minuit.

En 506, le Concile d’Agde fait de Noël une fête d’obligation.

En 529, l’empereur byzantin Justinien le Grand en fait un jour chômé. Progressivement, la fête de Noël fut imposée dans toutes les contrées de l'empire carolingien

En 461 en Irlande

En 604 en Angleterre

En 615 en Suisse

En 754 en Allemagne

En 865 dans les pays scandinaves

En 997 en Hongrie

A partir du XIIème siècle, Noël était devenue la plus grande et la plus populaire des fêtes de l'Occident et de l’Orient chrétien.

Les faits historiques de toutes ces fêtes chrétiennes de fin et début d’année sont des fêtes ou l’hypocrisie de cette religion est au maximum, car ce sont des Saturnales déguisées.

 

Chapitre N°6

 

Une religion dont la fondation est

 

le mensonge, le Christianisme

 

Pour certain il faut toujours des preuves alors en voici une ci-dessous.

Justinien Ier ou Justinien le Grand, né le 11 Mai 483 en Illyrie et décédé le 14 Novembre 565, fut empereur byzantin de 527 jusqu’à sa mort en 565.

Justinien se conçoit comme l'élu de Dieu, son représentant et son vicaire sur la terre. Il se donne pour tâche d’être le champion de l’orthodoxie dans ses guerres ou dans le grand effort qu’il fait pour propager la foi orthodoxe, soit dans la façon dont il domine l’Église et combat l’hérésie.

Il veut gouverner l’Église en maître, et, en échange de la protection et des faveurs dont il la comble, il lui impose sa volonté, se proclamant Empereur et Prêtre, comme un Pontifex-Maximus. L’action législative de Justinien s’inscrit dans la durée, avec une attention toute particulière pour l’Église. En effet, l’empereur est un chrétien sincère et il s’estime, le dirigeant suprême de l’Église.

Le christianisme est, d’un point de vue institutionnel et juridique, religion d’État. C’est en cela qu’il règle avec une minutie pointilleuse les conditions de recrutement des membres du clergé, leurs statuts, l’organisation de l’administration des biens ecclésiastiques.

C’est lui, l’Empereur, qui gère toute l’Église de l’époque la séparation entre l’Orient et l’Occident ne sera effective qu’au XIème siècle.

Pour mémoire le 6 Janvier était fêté à la fois la Nativité, l’Adoration des Mages et le baptême de Jésus-Christ. Seule l’Église arménienne a conservé l’usage ancien de cette date.

Ces lignes sont encore une preuve que le « Pontife » de Rome, le « Pape » nommé aussi de ce titre honorifique exécrable « Très Saint Père », celui qui, par dogme succède, soi-disant, à l’Apôtre Pierre qui n’a jamais été le premier Évêque de cette cité, puisqu’en l’an 60 il était Évêque d’Antioche, fait historique indémontable, ce qui fait qu’obligatoirement il y avait à Rome un autre Évêque, Pierre ne fut que le troisième ou quatrième, n’existe pas encore puisque c’est l’Empereur Romain Justinien qui le chef incontestable de l’Église.

N’en déplaise à certains de mes semblables, mais c’est encore le mensonge qui prédomine dans cette religion, le christianisme.

Pour terminer, il reste l’histoire de la crèche mis sous le sapin de Noël avec le bœuf et l’âne, plus tous ces offices idolâtres dans ces Temples nommés Cathédrale, Église, Chapelle, dans la nuit du 24 au 25 Décembre.

Pour les chrétiens, Noël est la fête de la Nativité, une des fêtes religieuses les plus importantes de l'année. Chaque année, au début de l'Avent, 1 à 4 semaines avant Noël, les familles catholiques installent dans leur maison une crèche qui représente la scène. La crèche sera rangée après l'Épiphanie début janvier.

La « crèche » doit théoriquement représenter le milieu dans lequel Jésus le Nazaréen serait né.

Comme la Bible fait un silence de plomb sur la naissance du Fils d’EL-SHADDAÏ, la troisième Bible sera ma référence. [Écrits Apocryphes Chrétiens]

Les parents de Jésus le Nazaréen avec les enfants de Joseph trouvent une grotte aux alentours de Bethléem. Il en existe beaucoup autour de cette ville et les voyageurs s’en servaient comme refuge pour passer la nuit, cela les protégeaient des animaux sauvages, mais aussi des humains néfastes qui ne vivent que la nuit afin de commettre leurs mauvaises actions.

C’est dans cette grotte que Marie accouchera sans douleur, sans l’aide d’une sage-femme. Quand celle-ci arrivera à la grotte, elle verra Marie donner le sein à l’enfant alors qu’une femme est considéré comme impure pendant huit jours pour un mâle et ne peut nourrir son enfant.

Voyant cela cette sage-femme voudra vérifier la « nature » de Marie. Elle s’apercevra de la virginité de Marie après l’accouchement et maudira ce jour pour son manque de confiance, son manque de foi.

Protévangile de Jacques XIX : 1-3, XX : 1-4 cela commence par une discussion entre la Sage-Femme et Joseph

19.1. Et je vis une femme qui descendait de la montagne et elle m'interpella :

--- « Eh, l'homme, où vas-tu ? »

« Je vais chercher une sage-femme juive. » 

« --- Es-tu d'Israël ? »

« Oui » !

« --- Et qui donc est en train d'accoucher dans la grotte ? »

Et Joseph dit à la sage-femme : « C'est Marie, ma fiancée; mais elle a conçu de l'Esprit saint, après avoir été élevée dans le temple du Seigneur. »

 « C'est ma fiancée. »

« --- Elle n'est donc pas ta femme ? »

« C'est Marie, celle qui a été élevée dans le temple du Seigneur. J'ai été désigné pour l'épouser, mais elle n'est pas ma femme, et elle a conçu par le « Souffle d’Intelligence. »

«--- Est-ce la vérité ? »

« Viens et vois ! »

Et elle partit avec lui, et ils s'arrêtèrent à l'endroit de la grotte.

Une obscure nuée enveloppait celle-ci. Et la sage-femme dit :

«--- Mon âme a été exaltée aujourd'hui car mes yeux ont contemplé des merveilles : le salut est né pour Israël. »

Aussitôt la nuée se retira de la grotte et une grande lumière resplendit à l'intérieur, que nos yeux ne pouvaient supporter. Et peu à peu cette lumière s'adoucit pour laisser apparaître un petit enfant. Et il vint prendre le sein de Marie, sa mère. Et la sage-femme s'écria :

« Qu'il est grand pour moi ce jour ! J'ai vu de mes yeux une chose inouïe. »

Et la sage-femme sortant de la grotte, rencontra Salomé et elle lui dit :

« Salomé, Salomé, j'ai une étonnante nouvelle à t'annoncer : une vierge a enfanté, contre la loi de nature. »

Et Salomé répondit :

« Aussi vrai que vit le Seigneur mon Dieu, si je ne mets mon doigt et si je n'examine son corps, je ne croirai jamais que la vierge a enfanté. »

XX : 1-4

Et la sage-femme entra et dit :

« Marie, prépare-toi car ce n'est pas un petit débat qui s'élève à ton sujet. »

A ces mots, Marie se disposa. Et Salomé mit son doigt dans sa nature et poussant un cri, elle dit :

« Malheur à mon impiété et à mon incrédulité ! J'ai tenté le Dieu vivant ! Et voici que ma main se dessèche, sous l'action d'un feu. »

Et Salomé s'agenouilla devant le Maître, disant :

« Dieu de mes pères, souviens-toi que je suis de la lignée d'Abraham, d'Isaac et de Jacob. Ne m'expose pas au mépris des fils d'Israël, mais rends-moi aux pauvres. Car tu sais, ô Maître, qu'en ton nom je les soignais, recevant de toi seul mon salaire. »

Et voici qu'un ange d’EL-SHADDAÏ parut, qui lui dit :

« Salomé, Salomé, le Maître de toute chose a entendu ta prière. Étends ta main sur le petit enfant, prends-le. Il sera ton salut et ta joie. »

Et Salomé, toute émue, s'approcha de l'enfant, le prit dans ses bras, disant :

« Je l'adorerai. Il est né un roi à Israël et c'est lui. »

Aussitôt Salomé fut guérie, et elle sortit de la grotte, justifiée. Et voici qu'une voix parla :

 « Salomé, Salomé, n'ébruite pas les merveilles que tu as contemplées, avant que l'enfant ne soit entré à Jérusalem. »

Une femme était impure pendant quinze jours après l’accouchement, donc elle ne pouvait donner le sein avant cette purification. Là, Marie donne le sein, après l’accouchement sans aucune douleur, à l’enfant ce qui prouve sa pureté.

Par cette action EL-SHADDAÏ donne la confirmation au monde que la mère et l’enfant sont de corps parfait.

Alors pourquoi un livre comme le Nouveau Testament, livre écrit soi-disant sous « inspiration Divine », fait-il abstraction de cette perfection corporelle de Marie ainsi que de Jésus le Nazaréen celui-ci ayant été modelé en son sein, donc naissant humain sans la tare génétique donné à la descendance humaine par Adam et Ève suite à leur transgression volontaire d’une Loi d’EL-SHADDAÏ ?

Vous comprenez pourquoi les humains ont déclaré ce Livre apocryphe !

La naissance de Jésus le Nazaréen un 25 décembre est entrée dans les mœurs et fait partie des dogmes indémontables des Églises Chrétiennes avec le soir du 24 décembre une « Messe de la Nuit » à minuit.

Giovanni di Pietro Bernardone --- 1182-1226 --- est un religieux catholique italien. Fils d’un riche commerçant, il mène la belle vie et organise des sorties orgiaques avec ses condisciples. Puis il participe à la guerre contre la noblesse d’Assise et de Pérouse. En 1202 il est pris et condamné à un an de prison. Pendant cette captivité il sera atteint d’une maladie « honteuse » qui calmera ses ardeurs. (Maladie sexuelle de l’époque inconnue aujourd’hui)

Giovanni di Pietro Bernardone entrera en religion en l’an 1206.

Je reconnais que là …, je me suis tenue légèrement hypocrite car en écrivant ces quelques lignes ci-dessus, je me délectais ! …

En effet, ce Monsieur Bernardone est quand même un grand « SAINT » de la chrétienté puisqu’il porte le nom de « Saint François d’Assise ».

Nous devons à Monsieur d’Assise la crèche, car en 1223 il fit jouer les gens de son village de Greccio la scène de la « Nativité » auquel il ajouta le bœuf et l’âne en plus des Rois Mage, des bergers, des paysans, avec Joseph, Marie, et pour représenter l’enfant il avait mis une grande hostie dans le berceau. Tous ces gens jouèrent le jeu un 24 décembre à la messe de minuit dans une grotte de Greccio.

L’année suivante, suite à un voyage de François d’Assise chez le Sultan Damiette, les cloches furent ajoutées pour annoncer l’heure des offices et de la prière.

Tous les ans l’Ordre des Franciscains réitérait la crèche et l’hostie fut remplacée par un réel nourrisson.

Cette coutume de la crèche de Noël se propagea dans toute la chrétienté.

Une tradition datant du VIIème siècle faisait de la messe de Noël une succession de trois messes : la première messe s’appelait « messe des Anges », la seconde « messe des Bergers » et la troisième « messe du Verbe divin ». Ces trois messes étaient mieux connues sous le nom de « messe de Minuit », « messe de l’Aurore » et « messe du Jour ».

Le terme exacte est « Messe de la Nuit », mais la dénomination de « Messe de Minuit » est restée dans le jargon populaire, les prélats officiants généralement à minuit.

Depuis le concile œcuménique de Vatican I en 1870 une quatrième messe fut ajoutée :

 Messe de l'Emmanuel, célébrée la veille au coucher du soleil ;

Messe de la nuit ;

Messe de l’Aurore, célébrée avant le lever du jour ;

Messe du jour de Noël.

Revenons à l’ère de l’Empire Romain !

Cette période de fin d’année était la fête des Saturnales dans toute l’Europe, où l’on vénérait le sapin car il restait toujours vert, mais on le mettait dans l’âtre car il dégageait une odeur agréable, de plus il crépitait et mille étoiles partaient de sa combustion. En Afrique du Nord et au Moyen-Orient le sapin était remplacé par le palmier.

Dans l’antiquité comme au Moyen-âge on mettait dans l’âtre une bûche qui devait brûler une dizaine de jours qui représentait le cycle des nuits les plus longues de l’année. Selon les régions et les croyances la bûche était d’essence différente.

A cette fête païenne est venue s’ajouter la religion avec ses « Dieux ». Dans le Nord de l’Europe c’est le Dieu « Odin » que l’on vénérait et dans l’empire romain c’était le Dieu « Saturne »

D'après les poètes latins Ovide, Fastes, Virgile, Énéide, Saturne détrôné par son fils Jupiter, et réduit à la condition de simple mortel, vint se réfugier en Italie, dans le Latium, où il rencontra le dieu du commencement, Janus. Avec lui, il inventa l'âge d'or : l'égalité des conditions fut rétablie ; aucun homme n'était au service d'un autre. C'était pour rappeler la mémoire de cet âge heureux, que les humains commémoraient à Rome et dans l’Empire, les Saturnales, d'abord du 17 au 22 décembre puis plus tard du 17 au 25 décembre

Pendant ces fêtes, ils suspendaient la puissance des maîtres sur leurs esclaves, et ceux-ci avaient le droit de parler et d'agir en toute liberté. Tout ne respirait alors que le plaisir et la joie. Les tribunaux et les écoles étaient en vacances. Il n'était permis ni d'entreprendre aucune guerre, ni d'exécuter un criminel, ni d'exercer d'autre art que celui de la cuisine. Ils s'envoyaient des présents, et ils donnaient de somptueux repas. De plus tous les habitants de la ville cessaient leurs travaux, la population se portait en masse vers le mont Aventin, comme pour y prendre l'air de la campagne. Les esclaves pouvaient critiquer les défauts de leurs maîtres, jouer contre eux, et ceux-ci les servaient à table.

Les hommes et les femmes portaient des guirlandes autour du cou et s'offraient toutes sortes de menus-cadeaux en terre cuite. Les gens sacrifiaient aussi symboliquement un mannequin représentant un jeune homme, pensant ainsi transmettre la vitalité du personnage à la nouvelle année. Cette fête des sigillaires, « ancêtre » de la Saint Sylvestre, concluait les festivités à la fin du mois de décembre.

Un marché spécial avait lieu, le sigillaria. Des figurines étaient suspendues au seuil des maisons ainsi qu’aux carrefours.

Tous les Romains criaient dans la rue :

« Bonnes Saturnales ! ».

Les humains du XXème et XXIème siècle pensaient avoir tout inventé avec leur Marché de Noël, alors que tout cela existait déjà dans l’Antiquité et au Moyen-Âge !

Les Saturnales, bien entendu, honoraient Saturne, le dieu du feu, nommé Kronos ou Cronos dans la mythologie grecque.  Saturne était le dieu du Soleil et des semailles parce que la chaleur de ce Soleil était nécessaire pour permettre l’ensemencement et la croissance des cultures. La planète Saturne a hérité ce nom plus tard car, parmi toutes les planètes, ses anneaux et sa couleur rouge brillant représentait le mieux le dieu du feu !

En 46 avant notre ère, Jules César décide que le Jour de l’An, auparavant célébré à l’équinoxe de mars, serait fixé au 1er janvier, le mois de Janus qui se trouve être le Dieu des portes et des commencements, celui-ci avait deux faces, l’une tournée vers l’avant, l’autre vers l’arrière.

En France, le Jour de l’an n’a pas toujours été le 1er Janvier. La nouvelle année commence à cette date en vertu de l'Édit de Roussillon du 9 août 1564, promulgué par le Roi Charles IX.

Cette lecture finie nous laisse toujours dans une recherche de vérité, et par les écrits canoniques difficiles pour un humain réfléchi de trouver la vérité. Alors demandons à EL-SHADDAÏ qu’il nous éclaire en esprit, afin que nous trouvions la vérité et surtout sa voie, qui nous mène vers lui, ce Dieu seul et unique.

Portez-vous bien, prenez soin de vous et de votre maisonnée !

Salutations cordiales à Tous !

Sig : JP.G. dit « GRANDELOUPO »

 


Commentaires

 
 
 
posté le 21-12-2014 à 16:52:54

Fêtes de fin d'année, chap. N°5 - L'Évêque de Rome, Libère, invente ....

 

 

Les fêtes de fin & début d’année

Cette semaine dans la nuit du 24 au 25 décembre sera la nuit de tous les menteurs de la terre. Le plus important le religieux, le christianisme avec plus de trois milliards de baptisés qui vont fêter la naissance de leur « Dieu » « Jésus-Christ », date inventée de toute pièce par l’Évêque de Rome, le Pape n’existant pas encore, encore un mensonge de la chrétienté puisque le « Pape » de cette religion était l’Empereur Romain de l’époque soit le « Pontifex Maximus », donc je reprends, l’Évêque de Rome Libère qui en 354 déclara la naissance de Jésus-Christ le 25 Décembre comme les Dieux Mithra et Sol Invictus. L’autre mensonge, celui-là païen, est le mythe, ou la légende du « Père Noël » qui passe par la cheminée amener des cadeaux aux enfants. Je reconnais que cette légende est merveilleuse et a son origine dans les pays scandinave à l’époque antique où les humains adoraient le Dieu « Odin ». On racontait aux enfants que le « Père Odin » aidé de ses Lutins montait dans son immense traineau céleste tiré par une vingtaine de renne et dans les aires parcourait toute la Scandinavie distribuant des présents aux enfants pour leur faire oublier la rigueur de l’hiver. Le dilemme pour les parents est de dire à leurs enfants qu’ils leur ont menti toutes ces années avec un Père Noël qui n’existe pas, alors que c’est une légende. Je me souviens qu’à Noël je ne touchais comme cadeau qu’une orange, mais qu’est-ce qu’elle était bonne ! Et aujourd’hui les enfants des pauvres qu’ont-ils comme cadeaux ? Quand je pense que l’un de mes enfants dépense 500€ de cadeaux par enfant, je suis écœuré !

Oui ! Je réitère, c’est la nuit du mensonge, alors vous mes semblables ne soyez pas dans le mensonge, car EL-SHADDAÏ a en horreur du mensonge, mais rien ne vous empêche de faire la fête puisque c’est une époque de réjouissances, mais dans la vérité, sens adoration du sapin et de cette crèche à son pied.

Rester dans la vérité et plus tard vos enfants seront vous remercier

Pour le moment je vous laisse à votre lecture ci-dessous, pour que vous deveniez les enfants d’EL-SHADDAÏ, et que vous ayez toujours à l’esprit que nous pouvons ressusciter sur une Terre merveilleuse où le mal n’existera plus.

Noël,  1er jour de l’année

Dernières phrases du chapitre précédent

Le christianisme n’existe pas pendant les deux premiers siècles et si l’on veut aller dans ce sens alors faut dire que le christianisme à ses tous débuts est oriental car il commence en Palestine à Jérusalem, puis en Galilée, Samarie, Judée. Pour la Diaspora ce christianisme helléniste commence à Alexandrie en Égypte, puis en Asie Mineure à Antioche de Syrie pour se propager en Séleucie, Galatie, Anatolie, Macédoine et en Grèce avec les villes de Tarse,  Troie, Corinthe, Thessalonique, Athènes, Rome ne venant que quelques années plus tard. A l’ère de Saul de Tarse, puis Jean, le christianisme est inexistant, seul existe réellement des « Assemblées », des « Églises » de la « Voie de Jésus de Nazareth », « de la Mouvance de Jésus le Nazôréen, Nazaréen », « des Messianistes » peut importe le nom qu’ils avaient pour les autorités romaines ce n’était qu’une secte du judaïsme sans grande importance, mais qui troublait l’ordre public car considérée comme des cannibales et des incestueux puisque d’un côté il mangeait le corps d’un homme et de l’autre ils se nommaient frères et sœurs.

Il faudra attendre le milieu du deuxième siècle, début du troisième pour que l’on balbutie le nom de chrétien et de christianisme. Grâce à la Diaspora juive la « Mouvance de Jésus le Nazôréen ou les Messianistes » s’étendait jusqu’en Éthiopie et en Inde bien avant Rome. Chaque « Assemblée ou groupe d’Assemblées qui portait aussi le nom d’Église » était indépendant.

Pendant tout ce troisième siècle, -- (200-299) --, presque toutes les décennies, un nouveau courant d’idée naissait et déclarait le précédent d’hérétique, ce qui, obligatoirement créait des dissensions, et les humains essayaient de faire accepter leurs concepts par les armes et les vainqueurs faisaient de leurs desseins, inspirations, des dogmes

 

Chapitre N°5

Évêque de Rome,

Libère invente un Dieu  le 25-12- 354

Cette Secte judaïque qui commence à prendre de l’ampleur n’est pas encore structurée par une centralisation.

Le judéo-nazoréisme, nazaréisme est une doctrine chrétienne et les Nazôréens furent une des premières appellations que prirent les chrétiens sur la base du titre de Nazaréen ou Nazôréen donné à Jésus.

« Ainsi s'accomplit ce que le Seigneur avait dit par les prophètes : Il sera appelé Nazôréen. » Matthieu II : 23 

Actes des Apôtres II : 22

 « Hommes d'Israël, écoutez ces paroles. Jésus le Nazôréen, cet homme qu’EL-SHADDAÏ a accrédité auprès de vous par les miracles, prodiges et signes qu'il a opérés par lui au milieu de vous, ainsi que vous le savez vous-mêmes, cet homme qui avait été livré selon le dessein bien arrêté et la prescience d’EL-SHADDAÏ, vous l'avez pris et fait mourir en le clouant à la croix par la main des impies, mais EL-SHADDAÏ l'a ressuscité, le délivrant des affres de l'Hadès. »

Actes des Apôtres III : 6

« Mais Pierre dit : « De l'argent et de l'or, je n'en ai pas, mais ce que j'ai, je te le donne : au nom de Jésus Christ le Nazôréen, marche ! »

Le terme judéo-chrétien désigne en premier lieu les premiers chrétiens, et plus spécifiquement ceux d'origine juive qui continuaient à observer les prescriptions de la Loi mosaïque après leur conversion au christianisme.

Le montanisme est un mouvement chrétien hétérodoxe du IIe siècle fondé par le prophète Montanus en Phrygie

Le docétisme désigne un ensemble de pensées christologiques du début du christianisme. Les théologiens docètes interprètent littéralement le verset de l’évangile selon Jean où il est écrit []que « la Parole se fit chair ». A cause de ces courants de pensé les « chrétiens » seront considérés comme des cannibales et persécutés.

Comme mouvement de pensés il y avait le priscillianisme, le pélagianisme, le nestorianisme, le monophysisme qui amèneront tous des dogmes au christianisme et qui, quelques décennies après, seront autant de doctrines condamnées comme des hérésies par les premiers conciles œcuméniques.

A tous ceux cités ci-dessus il faut ajouter le Gnosticisme, Sabellianisme, Homéisme, Anoméisme, Homoiousisme, Ébionisme et Elkhasaïsme, Cérinthiens, Symmachiens, et Esséniens.

Et les deux plus importants courants de discorde du début du christianisme, l’Arianisme et le Donatisme.

L’arianisme est un courant de pensée des débuts du christianisme, dû au théologien alexandrin de langue grecque, Arius – 256-336- né en  Cyrénaïque, aujourd’hui la Lybie, dans la région des cinq cités, de l’École théologique d’Antioche de Syrie. L'arianisme défend la position selon laquelle la divinité du Très-Haut est supérieure à celle de son Fils fait homme.

Suite à sa victoire au Pont de Milvius en l’an 312, Constantin le Grand déclare le christianisme religion d’Empire. Dès lors cette religion qui stagnait à tout juste dix pourcent prit son envole et en quelques décennies devint la première religion de l’empire romain.

Quelques années plus tard, l’empereur d’Orient Valens favorise à l’inverse certains évêques ariens. Au milieu du quatrième siècle, les évêques Photin à Sirmium, Valens à Mursa en Pannonie et son voisin Ursace à Sinqidunum en Mésie sont ariens. Cet ancrage arien proche du Danube concourt à la conversion à l’arianisme des Wisigoths et des Vandales  par l’évêque mi – goth, mi – grec, Wulfila.

Enfin, de 361 à 381, les trinitaires contre-attaquent. L'empereur Théodose 1er qui leur est favorable convoque le premier Concile de Constantinople qui tranche en faveur de l'orthodoxie trinitaire et antisubordinatianiste et trinitaire, selon le dogme proclamé par le Symbole de Nicée-Constantinople.

Revenons maintenant à Jésus le Nazaréen

Comme écrit plus avant EL-SHADDAÏ aime sincèrement l’humain, et il sait que tous les humains ne vivent pas que pour la luxure, mais qu’un petit nombre l’aime et le cherche sincèrement, alors à ce petit nombre il fallait lui donner un « Espoir », une sorte de récompense pour sa fidélité, et quoi de plus merveilleux que de lui redonner la « Vie Éternelle ». Oui, mais il y a cette transgression commise par des êtres parfaits, ces deux premiers humains, homme et femme, donc obligatoirement il fallait une équivalence, un humain parfait, qui soit assez fort pour résister aux attaques du Prince de la Terre, Sammaël, que les humains nommeront « Satan », pour vaincre « Dame Mort », résultante de la première transgression humaine.

Voilà pourquoi le Père, EL-SHADDAÏ, après avoir conversé avec son Fils Emmanuel, ils convinrent d’un commun accord, que lui, Emmanuel viendrait sur la Terre pour servir la cause de l’Humain. Chacune des deux parties avait pesé la dangerosité de l’action et il fallait beaucoup d’amour entre les deux et une obéissance parfaite au « Père ». En effet, pour le Fils, c’était comme une mise à l’épreuve, un test consentant, mais un test de fidélité et d’amour quand même, et pour le Père c’était de voir faillir son fils dans l’épreuve et de tout perdre, son unique Fils, mais aussi son « Défit » contre Sammaël et la perte définitive de l’humain.

Ce fut pour sauver l’Humain que, dans une nuit de fin septembre début octobre un enfant du nom de Jésus le Nazôréen, le Jésus-Christ des chrétiens,  sortit de la matrice de sa mère, sans que celle-ci ne goûtât aux douleurs de l’accouchement. Étant parfaite de corps elle put donner le sein à sa progéniture, sans attendre la semaine de purification comme l’exigeait sa religion hébraïque. De plus, seul d’un corps parfait, exempt du défaut des deux premiers humains, pouvait naître un humain parfait sans la tare génétique adamique.

Luc II : 8

« Il y avait dans la même région des bergers qui vivaient aux champs et gardaient leurs troupeaux durant les veilles de la nuit. »

Cette seule phrase nous informe de la saison. Nous ne sommes pas en hiver, ni au Solstice d’Hiver puisque les bergers sont encore dans les pâturages à garder les troupeaux la nuit.

Jésus le Nazaréen, est né entre -7 à -5 avant J-C., disons plutôt avant l’EC., vers la fin du mois de Septembre ou le début du mois d’Octobre puisque les bergers sont encore dans les pâturages avec leur troupeaux la nuit, la saison des pluies n’étant pas encore là.

Adam Clarke Commentary cite volume 5, page 370, édition New York :

« Il était habituel pour les Juifs d’envoyer leurs brebis au désert aux alentours de la Pâque, et de les ramener au bercail au début des premières pluies.  Pendant le temps de leur sortie les bergers les surveillaient nuit et jour. Comme ces bergers n’avaient pas encore ramené leurs brebis au bercail, on peut supposer que le mois d’octobre n’avait pas encore commencé et que, conséquemment, Jésus-Christ n’est pas né un 25 décembre, parce que les troupeaux étaient encore dans les champs la nuit. Il n’aurait pas pu naître plus tard qu’en septembre, mois de « Tishri » en hébreu. En nous basant sur ces faits seulement, l’idée d’une nativité en décembre devrait être abandonnée. Le pacage des bêtes la nuit dans les champs est un fait chronologique. »

Luc II : 9-13, 15-18, 20  voilà un style de confusion de copiste en plus de rajout grossier, car en premier le terme « Seigneur » remplace « Dieu » dans la traduction grecque, ainsi que pour les chrétiens, donc EL-SHADDAÏ pour moi, et en second « qui est le Christ Seigneur » est un ajout inadmissible de copiste car Seigneur remplaçant « Dieu » on veut vous prouvez que le Messie, Jésus le Nazaréen, est un « Dieu ». Que de fourberie pour vous éloigner de la vérité ! entre ( ) l’original

« --- Il y avait dans la même région des bergers qui vivaient aux champs et gardaient leurs troupeaux durant les veilles de la nuit.

L'Ange d’EL-SHADDAÏ – (du Seigneur) -- se tint près d'eux et la gloire d’EL-SHADDAÏ – (du Seigneur) -- les enveloppa de sa clarté. Ils furent saisis d'une grande crainte.

Mais l'ange leur dit :

« Soyez sans crainte, car voici que je vous annonce une grande joie, qui sera celle de tout le peuple. Aujourd'hui vous est né un Sauveur, dans la ville de David.

Et ceci vous servira de signe : vous trouverez un nouveau-né enveloppé de langes et couché dans une crèche. »

Et il advint, quand les anges les eurent quittés pour le ciel, que les bergers se dirent entre eux :

 « Allons jusqu'à Bethléem, voyons ce qui est arrivé, que le Seigneur EL-SHADDAÏ nous a fait connaître. »

Ils vinrent donc en hâte et trouvèrent Marie, Joseph et le nouveau-né couché dans la mangeoire.

Ayant vu, ils firent connaître ce qui leur avait été dit de cet enfant, et tous ceux qui les entendirent furent étonnés de ce que leur disaient les bergers.

Puis les bergers s'en retournèrent, glorifiant et louant EL-SHADDAÏ pour tout ce qu'ils avaient entendu et vu, suivant ce qui leur avait été annoncé. --- »

Comme la lecture est vraiment plus agréable quand tout est remis dans le sens de vérité !

Comme souvent, cela c’est passé dans les Cieux avant que ce ne soit sur Terre. Comme écrit en avant, Jésus le Nazôréen est passé dans les cieux par les stades de développement jusqu’à ce qu’il soit « mature », qu’il ait l’âge de raison, l’âge où il devient responsable de lui-même, de ses actes.

Ce Dieu Shaddaï, par amour pour l’humain, envoya son Fils sur la Terre comme un humain, puisqu’il mit son spermatozoïde dans l’ovule d’une femme qui fut rendu parfaite de corps, après avoir, à l’âge de trois ans supprimé la tare adamique.

Nous sommes en 325 et le christianisme n’a pas de fête sur la naissance d’un « dieu » pendant les « Saturnales » et le « Solstice d’Hiver » en son sein.

Alors d’où vient ce nouveau « dieu », « Jésus-Christ » né un 25 décembre, lui aussi ?

Pour le moment dans tout l’Empire on fête le « Solstice d’hiver » ainsi que la naissance des divinités Sol Invictus et Mithra.

A cette époque la fête de la naissance de Jésus le Nazaréen n’existe pas.

Pourtant croyant et non croyant font tous la fête pendant une quinzaine de jours car chacun à quelque chose à fêter, les uns le sapin avec la bûche, les autres la naissance des Dieux.

Nous sommes au milieu du IVème siècle.

L’Évêque de Rome, Libère, en 354 de l’EC, décide que la chrétienté devait aussi fêter la naissance d’un « Dieu ».

Libère en déclarant officiel la naissance de Jésus le Nazaréen un 25 décembre, faisait du funambulisme, renforçant la pensée dogmatique de ceux qui considéraient Jésus le Nazaréen comme un « dieu », détournant les fêtes païennes du Solstice de l’hiver, des naissances le 25 décembre des divinités Sol Invictus et Mithra en les intégrant à une fête religieuse qui en n’était pas une, puisque non existante.

L’histoire a de temps en temps une réalité comique, car une festivité païenne devenir une fête religieuse tout en restant festive à une date où aucune fête de la dite religion existe, cela tient du « miracle » si je peux m’exprimer ainsi.

La fête chrétienne de la « Nativité » date de l’an 354.

Le 25 Décembre 354 naissait un « Dieu » créé de toutes pièces par les humains, disons plus véridiquement, généré par un humain, chef incontesté et incontestable d’une religion, le « Christianisme ». Par cet homme, Libère, cette religion naissance venait de ce concevoir un « DIEU » du nom de « Jésus-Christ » qui venait de naître un 25 décembre comme tous les « Dieux » païen de l’Empire Romain.

Tout ce que les prophètes prédirent se réalise en cet humain, car à partir de ce jour tout ce que Jésus le Nazaréen avait dit se trouvera détourné, transformé, et les écrits et paroles d’humains feront foi. Pour ceux qui ont eut la chance de lire les « Livres d’Hénoch », les « Prophéties de Moïse » et de trouver la « Sagesse » entre les lignes du « Nouveau Testament », la vérité prophétique leur éclaire l’esprit, la pensée, la réflexion et le raisonnement, car les « Écrits » sont entrain de se découvrir tout doucement.

Que celui qui possède la « Sagesse » ouvre les yeux et les oreilles !

N’oublions pas les faits historiques !

Le « Christianisme » ne prend de l’ampleur que depuis le Concile de Nicée en l’an 325, depuis que Constantin le Grand déclare le « Christianisme » comme religion de l’empire, décrétant un nombre certain de Lois en faveur de cette religion. De plus comme tous les Empereurs qui vont succéder Constantin le Grand, ils seront les « Pontife Primat » de cette religion qui aura tantôt sont siège à Rome et tantôt son siège à Constantinople anciennement Byzance, c’est-à-dire que cette religion sera pendant un temps Orientale et pendant un autre Occidentale et pendant tous ces siècles jamais, je dis bien jamais il n’y aura de « Pontife », de « Pape » à Rome, puisque se sera l’Empereur d’Empire le « Pontife Primat » ou le « Pontifex Maximus ». A Rome, comme à Constantinople, il n’y aura qu’un évêché, du IIème au VIIIème siècle. Empereur de l’Empire Romain Occidentale Gratien refusera de porter le titre de « Pontifex Maximus » et donnera certain pouvoir religieux à l’Évêque de Rome Damas 1er, mais Théodose 1er son successeur reprendra ce titre en réunifiant les deux Empires, l’Orient et l’Occident, et le siège religieux ne sera pas Rome mais Constantinople où en 381 sous son initiative et son commandement il y aura un Concile pour condamné l’arianisme pensées trinitaires difficile à comprendre comme de toute évidence la « Sainte Trinité » pilier du dogme chrétien ainsi que de l’idolâtrie chrétienne.

Tout ce que je vous écris vous ne pouvez me démentir puisque c’est l’histoire du christianisme. En 380, par l’Édit de Thessalonique le christianisme devient officiellement religion d’Empire et les persécutions s’inverse, ce sont les païens qui sont persécutés par les chrétiens, ces derniers étant aussi barbare dans les tueries et les massacres au nom de Jésus-Christ. Les « Enseignements » de Jésus le Nazôréen sont loin, dans les oubliettes !

Puisque nous sommes dans les faits historiques, continuons !

Le Nouveau Testament de la Bible ne dit rien, ceux que les humains élevèrent au rang de Saint, je parle de ces Pères de l’Église, qu’ont-ils fait pour que ce 25 décembre soit la naissance de celui qu’ils nomment « Christ » ?

En premier un condensé historique rapide de cette fête de la Nativité, c’est-à-dire Noël.

C'est après la conversion de l'Empire romain au christianisme que le 25 décembre reçut une nouvelle fonction, celle de célébrer la naissance de celui qui était maintenant appelé la « Lumière du Monde » et le « Soleil de Justice ».

En 425, l'empereur d'Orient Théodose II codifie officiellement les cérémonies de la fête de Noël, fête désormais exclusivement chrétienne

En 440, l’Évêque de Rome, Sixte III, institua la Messe de Minuit.

En 506, le Concile d’Agde fait de Noël une fête d’obligation.

En 529, l’empereur byzantin Justinien le Grand en fait un jour chômé. Progressivement, la fête de Noël fut imposée dans toutes les contrées de l'empire carolingien

En 461 en Irlande

En 604 en Angleterre

En 615 en Suisse

En 754 en Allemagne

En 865 dans les pays scandinaves

En 997 en Hongrie

A partir du XIIème siècle, Noël était devenue la plus grande et la plus populaire des fêtes de l'Occident et de l’Orient chrétien.

Les faits historiques de toutes ces fêtes chrétiennes de fin et début d’année sont des fêtes ou l’hypocrisie de cette religion est au maximum, car ce sont des Saturnales déguisées.

Vous mes semblables ouvrez les yeux, les oreilles regardez la vérité devant et autour de vous et constatez la véracité de tout ce que vous venez de lire. Prenez le chemin qui mène à ce Dieu seul et unique celui que je nomme EL-SHADDAÏ comme Abraham.

Passez cette semaine de fêtes en accord avec les Lois et Principes d’EL-SHADDAÏ, en adorant glorifiant que Lui seul et pas un autre Dieu, surtout ce piège de « Jésus-Christ » Dieu chrétien, car « Jésus le Nazôréen ou Nazaréen » comme je le nomme n’est pas un « Dieu » et jamais ne sera « Dieu », comme jamais il n’est né un 25 Décembre, alors encore une fois soyez prudent, un seul et unique « Dieu » EL-SHADDAÏ !

Portez-vous bien !

Salutations cordiales !

Sig : JP.G. dit « GRANDELOUPO »

 


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posté le 15-12-2014 à 04:44:12

Fêtes fin d'année, chap.N°4 - Mithra, Sol Invictus

 

Mithra Dieu de la roche

Les fêtes de fin & début d’année

Vous mes semblables, tout comme mon épouse et moi-même sommes à l’image au reflet d’EL-SHADDAÏ, ce Dieu seul et unique, donc comme lui nous avons les cinq sens, l’ouïe, la vue, l’odorat, le goût et le toucher qui sont des automatismes et en plus de cela un cerveau et un cœur où loge l’Esprit et les « Sentiments » réunissant par un fil électrique invisible ces deux organes qui travaillent ensembles et qui sont inséparables. En effet le cœur alimente le cerveau en oxygène, et le cerveau commande au cœur son fonctionnement d’automatisme, si, il arrête son commandement le cœur stoppe, si pour une chose ou une autre le cœur s’immobilise, le cerveau n’est plus alimenté en oxygène et ne peut plus fonctionner. Autre chose pour vous prouver que l’Esprit et le cœur fonctionne en binôme par les sentiments comme l’amour, la colère, le chagrin, l’anxiété, la joie, le fou-rire, car il y a une relation direct « Cœur-Esprit », comme le « gros-cœur », « gorge-serrée », « picotement du cœur ou fourmillement », etc.

Pour faire toute sa « Création » par le « Verbe » ou la « Parole », il fallait de la part d’EL-SHADDAÏ une grande réflexion avant d’ouvrir la bouche, donc un « Esprit Sain », pur, propre, limpide, cristallin, en un mot « parfait ». C’est ce qu’Il a toujours eu ! Il suffit de regarder la gestion de la Planète Terre ! Simplement le cycle de son arrosage et des cours d’eau, magnifique ! Quelle intelligence et quelle « Sagesse » ! Seul un « Esprit SAIN » peut créer une telle perfection et non un « Esprit Saint » car la vénération, glorification, sanctification, ne gère rien, il n’y a pas de sagesse, de perfection dans un « Esprit Saint », juste l’honneur.

Mais je peux écrire que l’Esprit SAIN d’El-Shaddaï  mérite d’être « Saint » comme tout son « Être ».

Je réitère, pour vous mes semblables, vous qui venez me lire de plus en plus nombreux, dans votre cœur, la sincérité, par votre « Esprit » vous recherchez la voie qui mène vers ce Dieu seul et unique, que je nomme comme Abraham, EL-SHADDAÏ, par votre « Esprit SAIN », vous faites cette recherche, car « l’Esprit-Saint » du christianisme n’existe pas, l’Esprit est éphémère, impalpable, invisible, voilà pourquoi à la Pentecôte le « Souffle d’Intelligence » d’El-Shaddaï était représenté par une flammèche qui descendait sur la tête de chaque Apôtre car c’était « l’Esprit SAIN » de ce Dieu que chacun recevait selon ce qu’il avait besoin.

 

Noël, 1er jour de l’année

Dernières phrases du chapitre précédent

Si nous raisonnons un peu, tout sur la Terre commence par quelque chose de microscopique, puis se développe jusqu’à être mature, une herbe, fleur, feuille, arbre, fruit, bestiole, animal et nous humains. Donc il est juste de penser que Jésus le Nazaréen a suivi cette évolution, même si il était dans les Cieux, car même là, cela commence par l’infiniment petit pour devenir une planète ou une étoile.

Maintenant vous comprenez pourquoi Jésus le Nazôréen n’est pas un « Dieu » et n’est pas égal à son Père, car ce dernier aura toujours une « Connaissance » plus grande que son Fils, celle du temps. En écrivant ceci je détruis le dogme de la « Sainte Trinité ».

Par « l’Ancien Testament » tout absolument tout a été dit sur l’humain, tous les exemples pour l’enseignement de ce dernier ont été écrits sans aucune exception. Il y a même des actions approuvés par ce « Dieu » difficile à comprendre comme le vol du droit d’aînesse par Jacob ainsi que sous l’influence de sa mère Rébecca et avec son aide, celui-ci prit aussi par forfaiture la bénédiction de son père à son frère Ésaü parti à la chasse, profitant de la cécité de son père, Isaac, ce choix de Moïse qui est quand même un assassin.

 

Chapitre N°4

Mithra, Sol Invictus

Je reviendrai sur Jésus le Nazôréen un peu plus loin et revenons à l’évolution de l’humain, pas la microbienne de Darwin, non par évolution je pense au spirituelle, à l’intelligence

Les Celtes, Saxons, Angles et les Nordiks, comme pour les Arabes avec leur Dieu Lune Nanna, célébraient la naissance de leur Dieu Lune, Mané, un 25 décembre.

Dans la mythologie scandinave, dont les peuples sont « Vikings » nommé aussi « Normand », Yule est le moment de l'année où Heimdall, dieu de la lumière et de la lune, fils des neuf mères appelées les vierges ou filles de Geirrendour, de son trône situé au Pôle Nord, accompagné des Æsirs, l'Ansuzgardaraiwo, revient visiter ses enfants, les descendants de Jard l’un des innombrables noms du Dieu Nordique Odin. Ils visitent ainsi chaque foyer pour récompenser ceux qui ont bien agi durant l'année, et laissent un présent dans leur chaussette. Yule est aussi une fête où les gens de leur côté, et les dieux du leur, se rencontrent pour partager un repas, raconter des histoires, festoyer et chanter. Le Yule est célébré chaque année le 21 décembre.

 Cette fête nordique et scandinave durait douze jours, du solstice d’hiver  à la nouvelle année

Isaïe LXV : 11-12

« Quant à vous tous qui abandonnez EL-SHADDAÏ, qui oubliez ma montagne sainte, qui dressez à Gad une table, qui versez à pleine coupe des mixtures pour Meni, je vous destinerai à l'épée, tous, vous courberez l'échine pour être massacrés, car j'ai appelé et vous n'avez pas répondu, j'ai parlé et vous n'avez pas écouté; vous avez fait ce qui est mal à mes yeux, vous avez choisi ce qui me déplaît. »

Pour montrer le rapport qu'il y a entre une contrée et une autre, et la persistance invétérée des anciennes coutumes, il est bon de remarquer que Jérôme de Stridon, 347 – 420 de l’EC, Docteur et Père de l’Église, commentant les paroles d'Ésaïe sur l'usage de dresser une table pour Gad et d'offrir des libations à Meni, déclare que de son temps c'était encore la coutume dans toutes les villes et surtout en Égypte et à Alexandrie, de préparer des tables et de les charger de toutes sortes de mets recherchés et des coupes contenant du vin nouveau, le dernier jour du mois et de l'année: la foule en tirait des présages sur la fertilité de l'année.

En Écosse et dans les pays Scandinaves les humains fêtaient le dernier jour de l’année, nommé Hogmanay, qui est toujours de rigueur aujourd’hui simplement que le vin nouveau est remplacé par un grand verre de whisky.

Les racines de Hogmanay remontent peut-être aux fêtes païennes du Solstice d’Hiver parmi les scandinaves, incorporant les coutumes de la célébration gaélique du nouvel an, Samhain. En Europe, elles étaient devenues les fêtes des Saturnales, un évènement festif romain de l'hiver. 

Dans le sud de l'Écosse, la communauté sait qu’à Hogmanay, ou la veille du nouvel an, parmi ceux qui observent encore les vieilles coutumes, ils préparaient une table avec des gâteaux et autres friandises qu’ils offraient, certains distribuant des galettes de gruau et de fromage à ceux qui n'en voyaient jamais, qu'à cette occasion, le tout accompagné d’une boisson forte entrant pour une large part dans le menu du jour.

Comment une légende païenne devient un culte religieux.

Adonis, d’une grande beauté, un commun des mortels Grecs, était l’amant d’Aphrodite, mais un jour Adonis, aimant chasser, parcourut la forêt et affronta un sanglier. L'animal blessé le chargea et le jeune Adonis s'effondra, blessé mortellement à la jambe. Adonis était appelé Tammuz, dieu Babylonien du Moyen-Orient et de la Syrie.

Dans bien des pays, on sacrifiait au dieu Adonis un sanglier pour expier l'injure que, d'après la légende, un sanglier lui avait faite.

La fable raconte que le Phrygien Attès, le bien-aimé de Cybèle, dont l'histoire était identifiée à celle d'Adonis, mourut de la même manière.

Aussi Diane qui, représentée ordinairement dans les mythes populaires comme une chasseresse, était en réalité la grande mère des dieux. D'après Théocrite, Vénus se réconcilia avec le sanglier qui tua Adonis, parce que le jour où on l'amena enchaîné à ses pieds, il se défendit éloquemment, en disant qu'il n'avait point tué son époux par méchanceté, mais simplement par accident.

Le jour de Noël, les Saxons du continent offraient un sanglier en sacrifice à la Déesse Soleil, à cause de la perte de son bien-aimé Adonis. À Rome il y avait une coutume semblable ; le sanglier formait le centre principal de la fête de Saturne.

Par contre au Solstice d’Hiver égyptien on offrait une oie à la déesse Osiris. Rome fut sauvé grâce aux oies sacrées de Junon qui gardaient les portes du Temple de Jupiter. En Amérique du Nord pour Noël et le Jour de l’an il doit y avoir de l’oie sur la table si l’on veut que l’année soit bonne.

Pendant le Solstice d’Hiver période sombre, nos ancêtres honoraient le dieu Saturne, Kronos et dans tout l’Empire romain les Saturnales, fête qui durait jusqu’aux Calendes, c’est-à-dire jusqu'à la nouvelle lune, qui était le premier jour du mois, soit une dizaine de jours.

Il est à noter que la fixation à la date du 25 décembre du Solstice d’hiver est due à une erreur commise par l'astronome Sosigène, lors de la réforme du calendrier à l'initiative de Jules César en l’an 46 avant l’EC qui fixa les débuts des saisons avec un retard de un ou deux jours par rapport à la réalité. Jules César en profitât pour instaurer le 1er Janus, c’est-à-dire Janvier comme le commencement de l’année nouvelle.

Virtuellement chaque civilisation possède son dieu du feu ou dieu soleil. Les Égyptiens et parfois les Romains l’appellent Vulcain. Les Grecs l’ont appelé Kronos, tout comme les Phéniciens mais ils l’appelaient aussi Saturne. Les Babyloniens l’appelaient Tammuz, Tam signifie « rendre parfait » et muz « feu », en tant que Nemrod ressuscité en la personne de son fils, Moloch ou Baal comme l’appelaient aussi les druides. Tous ces titres étaient en fait les différents noms de Nimroth, le Nemrod de la Bible, fils de Koush, fils de Cham, fils de Noé

Nemrod est considéré comme le père de tous les dieux babyloniens dont Mithra

Mithra est une divinité indo-européenne. Plusieurs documents hittites confirment son existence dès le IIème millénaire avant J.-C. Dans la Perse antique, le culte obtint une véritable importance.

Il se développa à Rome probablement à partir du premier siècle de notre ère, sans que l'on sache exactement quand et comment il fut introduit dans l'empire et s'est principalement répandu en Italie, en Grande Bretagne, sur le Rhin et le Danube.

Ce culte à Mithra, le Mithragan, avait pris beaucoup d’ampleur à Rome, et dans les garnisons ou l’on célébrait le jour de sa naissance, victoire de la Lumière sur les Ténèbres, Soleil Invaincu, Sol Invictus, un 24 ou 25 décembre avec faste.

Le culte de ce dieu Mithra, Soleil Triomphant, eut son apogée sous l’Empereur Aurélien né le 9 Septembre 214-215 et mort au mois septembre en l’an 275, il régna comme Empereur Romain de l’an 270 à sa mort en l’an 275. À la suite de la crise du IIIème siècle, l'empire était au bord de la dislocation, l'Empereur Aurélien, vainqueur de la reine Zénobie et restaurateur de l'ordre, décida d'instaurer un culte commun à tout l'Empire afin de renforcer le lien commun entre les provinces. En effet chaque cité, chaque province, restait attachée aux cultes locaux, dont les rites et les formes pouvaient varier considérablement.

Puis suite à certaines campagnes militaires, les soldats romains reviendront avec une nouvelle divinité, « Sol Invictus », Soleil Invaincu. Cette « divinité » est un mélange de la mythologie d’Apollon et d’un culte indo-européen sur la divinité de « Mithra », dieu mystère qui se serait créé lui-même à partir de la roche. Aujourd’hui en France il reste quelques vestiges de ce culte dont les Temples étaient le plus souvent des grottes naturelles décorées aux emblèmes de ce Dieu. Pour être un fidèle de ce culte au dieu Mithra, il fallait être initié par un adepte de ce Dieu.

Ce nouveau culte devait être pour cela suffisamment neutre pour être accepté par les différentes populations de l'empire romain.

Aurélien choisit pour ce faire un culte solaire, le Soleil étant censé être universel, le culte de Sol Invictus, le Soleil Invaincu, et il déclare ce « Dieu » patron principal de l’Empire romain, lui assurant une place officiel à Rome. Il lui dédie un Temple au Champ de Mars, qui sera orné avec les butins rapportés de Palmyre. Ce temple sera servi par un collège de prêtres, les « Pontifices Solis », « Pontifes du Soleil » et fit du culte de Sol Invictus une sorte de religion de l'État, et non une religion d'État, se substituant au culte impérial tombé en désuétude. Cette initiative n'annonce pas, le monothéisme, car la nouvelle divinité, loin d'être exclusive des autres, se superposait simplement aux autres cultes, et reste fondamentalement polythéiste.

Il pense qu’il est le protégé de l’astre majeur, Soleil, garant de la création et dispensateur de vie, gouverneur du Cosmos, lui, Aurélien, étant son représentant légal sur la Terre. Empereur de la théologie solaire, Aurélien entend refaire l’unité morale de l’Empire autour du Soleil, proposant à ses contemporains un monothéisme sur la divinité du Soleil, « Sol Invictus ».

Aurélien en sera le « Pontife Primat », et, en tant que tel, décrétera la date anniversaire de la naissance du Dieu « Sol Invictus » le 25 décembre.

Cette date coïncidera avec la naissance du dieu « Mithra » qui fait partie des divinités importantes de Rome.

La grande fête du Soleil Invaincu avait lieu le 25 décembre, soit la date du Solstice d'Hiver selon le calendrier Julien : c'était le « Dies Natalis Solis », « Jour de naissance du Soleil ». -- Natalis a donné Natale en italien, Noël  en français. -- »

Donc pendant cette période de fin d’année, mais aussi du début de l’Hiver, jour du Solstice, qui est la première nuit la plus longue puisqu’elle fait le double du jour, les deux où trois nuits suivantes auront le même temps, est une période festive de deux semaines. Les Ténèbres ne sont plus gagnants, la nuit perdant de son temps, la lumière reprenant ses droits, le soleil remontant pour chauffer la terre afin qu’elle soit prête pour les semailles de printemps.

Pendant cette période les humains vont vénérer, adorer, glorifier une multitude de Dieux et Déesses particulièrement une journée qui sera la journée de la « Naissance » de certaines divinités.

Nous comptons nos années à partir de l’ère commune, (EC), qui commence par « moins un plus un » le zéro n’existant pas ou si vous aimez mieux à partir de la naissance d’un certain Galiléen sur le calendrier grégorien retouché en l’an 525 de J-C. par un moine, Denys le Petit, qui fit une erreur de 7 à 5 ans avant J-C sur « l’Anno Domini Nostri Yésus Christi »

Les trente premières années, Jésus le Nazôréen fait partie des quidams. A partir de l’an 30 il commence son ministère qui durera trois ans et demi jusqu’à sa crucifixion en l’an 33 de l’EC. Les exégètes modernes pensent qu’il est né vers l’an -7 ou -5 avant J-C., avant la mort en -4 av. l’EC., d’Hérode 1er le Grand et personnellement je pense qu’il avait quarante ans quand il décéda, le nombre quarante étant hautement symbolique dans les écritures Bibliques.

Jésus le Nazaréen de son vivant avait pris avec lui soixante douze Disciples dont douze seront choisis pour être ses Apôtres. Très peu mourront de mort naturelle, et tomberont comme leur « Maître » par la torture sous les persécutions mais ils auront eut le temps de faire des Disciples que l’on nommera « Pères Apostoliques » jusqu’au milieu du deuxième siècle, et leurs « Disciples » porterons le titre de « Pères de l’Église ».

Du vivant des Apôtres ceux-ci firent parmi les hébreux de Jérusalem en premier, puis de Galilée, Judas, Samarie de nombreux baptisés dont les adeptes portaient le nom de la « Voie de Jésus le Nazôréen » la « Mouvance » de Jésus de Nazareth », « de Jésus le Nazôréen, Nazaréen, Nazarénien », tous considéré comme une secte du judaïsme. Cette évangélisation prit aussi parmi les hébreux de la « Diaspora », les hellénistes d’Asie Mineure particulièrement dans la ville cosmopolite d’Antioche de Syrie dont l’Apôtre Pierre fut Évêque jusqu’en l’an 60, remplacé par Évode quand Pierre partit évangéliser Rome. 

Nous sommes à un peu plus de la moitié du premier siècle. Dans une ville comme Jérusalem, Samarie, Tibériade, Chypre, Antioche de Syrie, Alexandrie, Rome et tant d’autres cités, il y avait plusieurs « Assemblées ou Églises » dont les responsables, les enseignants étaient des Évêques, Presbytres, Anciens qui veillaient au « troupeau » d’EL-SHADDAÏ, les baptisant en son « NOM » et non avec les paroles de forfaiture comme « baptisé au Nom du Père, du Fils, et du Saint-Esprit, plus un Amen en faisant le « Signe de la Croix », ou « Signe de Croix », signe ostentatoire de Sammaël.

En l’an 70, au mois de Septembre, le neuvième jour, jour pour jour le « Second Temple » , comme le « Premier » sous Nabuchodonosor II en 587 avant l’EC, est rasé par l’armé romaine ainsi que la ville de Jérusalem, les habitants seront massacrés sans aucune distinction, un véritable carnage et le peu de survivant seront dispersés dans tout l’Empire. Les humains de la « Mouvance de Jésus le Nazaréen » nommés aussi les « Messianistes » seront prévenus bien avant et iront se réfugier en Transjordanie dans la petite ville de Pella. Pendant presque dix ans les hébreux vont être privés de chefs spirituels de l’an 66 à 74 où un Sanhédrin verra le jour à Yavné, non loin de l’ancienne cité de Jérusalem.

Fin du premier siècle, début du second, le christianisme en tant que religion n’existe pas encore, ainsi que le terme « chrétien ». Il n’y a pas non plus de « Nouveau Testament », seul existe la traduction de « l’Ancien Testament » et d’autres écrits hébraïque sacrés en langue Grec et certainement copte demandé par le Pharaon Égyptien Ptolémée II Philadelphe à soixante douze érudits hébreux, se sera la traduction des « Septante », mais jusqu’au Concile de Nicée en l’an 325  plus de deux mille Lettres et Épîtres circuleront dans le Bassin Méditerranéen, Mer Noire et Caspienne ainsi que les pays limitrophes.

Fin du deuxième, -- 199 --, début du troisième, -- 200 --, jusqu’au début du quatrième, -- 300 --, siècle : des humains se sont aperçut que dans cette « secte judaïque » naissante et brouillon il y avait un « Nom » à se faire, ainsi qu’une notoriété avec une monnaie sonnante, en donnant un peu et en recevoir beaucoup. Les humains qui avaient la chance de savoir lire et qui entraient dans ces « Assemblées », ces « Églises », prenaient rapidement des responsabilités puisqu’ils pouvaient lire, la Lettre ou l’Épître que l’on avait reçue d’une congrégation lointaine. Si en plus cet humain avait une bonne hygiène de vie, qu’il c’était fait baptisé, il se retrouvait Presbytre ou Évêque d’une petite Assemblée. Si il était venu dans cette Église par la foi, avec un cœur sincère, sans hypocrisie, par amour pour ce Dieu seul et unique, El-Shaddaï, qu’il faisait preuve d’humilité devant ses semblables, alors aucun risque, mais celui qui commençait par ces responsabilités à prendre la grosse tête, faire le paon, et qui avait le verbe haut, alors les paroles de Jésus le Nazôréens tombaient dans les fosses, les oubliettes, et seules comptaient les paroles de cet humain qui expliquait à son auditoire comment il comprenait le verbe et les Enseignement de Jésus le Nazaréen, ainsi que les Lois et Préceptes d’EL-SHADDAÏ. Cet homme là, sur le dos de ses semblables, se faisait un « Nom avec les richesses qui vont avec » car vous aviez toujours des humains qui suivaient ces mauvais hommes comme les moutons de Panurge.

Ce qui est malheureux, c’est que j’écris la vérité !

Le christianisme n’existe pas pendant les deux premiers siècles et si l’on veut aller dans ce sens alors faut dire que le christianisme à ses tous débuts est oriental car il commence en Palestine à Jérusalem, puis en Galilée, Samarie, Judée. Pour la Diaspora ce christianisme helléniste commence à Alexandrie en Égypte, puis en Asie Mineure à Antioche de Syrie pour se propager en Séleucie, Galatie, Anatolie, Macédoine et en Grèce avec les villes de Tarse,  Troie, Corinthe, Thessalonique, Athènes, Rome ne venant que quelques années plus tard. A l’ère de Saul de Tarse, puis Jean, le christianisme est inexistant, seul existe réellement des « Assemblées », des « Églises » de la « Voie de Jésus de Nazareth », « de la Mouvance de Jésus le Nazôréen, Nazaréen », « des Messianistes » peut importe le nom qu’ils avaient pour les autorités romaines ce n’était qu’une secte du judaïsme sans grande importance, mais qui troublait l’ordre public car considérée comme des cannibales et des incestueux puisque d’un côté il mangeait le corps d’un homme et de l’autre ils se nommaient frères et sœurs.

Il faudra attendre le milieu du deuxième siècle, début du troisième pour que l’on balbutie le nom de chrétien et de christianisme. Grâce à la Diaspora juive la « Mouvance de Jésus le Nazôréen ou les Messianistes » s’étendait jusqu’en Éthiopie et en Inde bien avant Rome. Chaque « Assemblée ou groupe d’Assemblées qui portait aussi le nom d’Église » était indépendant.

Pendant tout ce troisième siècle, -- (200-299) --, presque toutes les décennies, un nouveau courant d’idée naissait et déclarait le précédent d’hérétique, ce qui, obligatoirement créait des dissensions, et les humains essayaient de faire accepter leurs concepts par les armes et les vainqueurs faisaient de leurs desseins, inspirations, des dogmes

La suite de cette écriture dans quelques jours !

Souhaitant que cette lecture vous ait été agréable, portez-vous bien et prenez soins de votre maisonnée !

Salutations cordiales

Sig : JP.G. dit « GRAND-LOUP » ou « GRANDELOUPO »

 


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posté le 07-12-2014 à 11:16:59

Fêtes fin d'année, chap.N°3 - Étrange ! Les Hébreux sont toujours là

 

Les fêtes de fin & début d’année

A l’origine, quand l’humain façonné, modelé, sculpté par les mains de ce Dieu seul et unique, El-Shaddaï, et qu’il fut posé sur la Terre, il était parfait en tout, corps, matériel, et esprit, spirituel. Après la transgression volontaire de la femme, puis de l’homme par faiblesse devant cette dernière, le sang qui transporte la vie était parfait pour que l’humain vive éternellement, mais le grain de sable de la dégénérescence par cette violation du seul interdit mettait ce sang dans l’imperfection entraînant la mort. Le sang transportant la vie de l’humain se détériore à la vitesse de sa multiplication ainsi que sa perfection générale. Une chose est sûre, si EL-SHADDAÏ ne fait rien l’humain va vers sa propre destruction, car le sang sera tellement dégénéré qu’il ne transportera plus la vie et l’humain s’éteindra de la surface de la Terre !

Mon raisonnement est mauvais ? Certes non !

Constatez par vous-même ! A l’ère de Jésus le Nazaréen vous pouviez vous marier entre cousin germain sans que votre progéniture soit trisomique. En l’an 1800 de l’EC cela faisait déjà des enfants légèrement trisomiques avec des mariages entre cousins du second degré. En 1910 la planète Terre comptait un milliard huit cents mille âmes, aujourd’hui en 2014 nous sommes sept milliards d’humains. La consanguinité même minime entraîne sur la progéniture du couple des dérèglements prouvant l’exactitude de ce que je viens d’écrire ci-dessus.

Par ce raisonnement, regardant tout ce qui se produit en ces jours sur la planète Terre, je certifie que le prélude de certaines prophéties est en cours à l’heure que j’écris et à l’heure où vous me lirez.

L’année prochaine je vous dévoilerai les prophéties, pour l’instant je vous laisse à votre lecture ci-dessous sur le christianisme afin que de vous-même vous recherchiez le chemin qui mène vers ce Dieu seul et unique.

 

Noël, 1er jour de l’année

 

Dernières phrases du chapitre précédent

 

Je vous ai conté très rapidement dans l’histoire des Cieux la naissance du « Mal »

 Je reconnais que mes écrits sur le « Déluge » obligent tous lecteurs à une réflexion qui lui sera personnelle, selon son cœur, son « esprit » c’est-à-dire son raisonnement et sa foi envers un Être Suprême qui est supérieur à toutes les choses de l’Univers, mais qui prouve aussi notre degré d’ignorance.

N’oublions pas que le livre « Bible » est un codex misogyne, phallocentrique, où la femme doit avoir un droit de réserve, voilà pourquoi il n’est question que des trois fils de Noé, et comme déjà écrit, certains livres apocryphes font allusions aux filles de Noé. De plus il est logique de penser que ce « Livre » ne parle que des enfants qui sont restés en accord avec les Lois du Créateur. Pour moi je suis convaincu, et j’ai la certitude que pour construire cet immense bâtiment de bois ils étaient plus de quatre hommes.

 

Chapitre N°3

Étrange !

 

Les Hébreux toujours présents

Je me réfère à un humain très réputé dans le monde scientifique surtout dans son domaine de la paléontologie et la géologie je parle du Docteur Hans-Joachim Zillmer qui écrit :

« Quand un scientifique . . . en blouse blanche, fait une remarque quelconque destinée au grand public, alors on ne le comprend peut-être pas, mais dans tous les cas on le croit . . . Ils possèdent le monopole de la formule -  « Il est scientifiquement prouvé » - cette formule magique semble exclure d'emblée toute possibilité de contradiction… »

Cet homme à la réputation mondiale pose ces questions qui sont intéressantes pour un homme de foi :

« Comment expliquer que les côtes de l'Antarctique figurent sur les cartes maritimes anciennes, comme si elles n'avaient jamais été recouvertes de glace ?

Comment expliquer aussi ce sceau sumérien, vieux de 4 5 00 ans, qui montre l'emplacement de toutes les planètes du système solaire alors qu'à l'époque on ne pouvait même pas les distinguer à l'œil nu ?

Et comment justifier les traces de pas humains à côté de celles d'un dinosaure, découvertes par centaines dans les plaines texanes de la Paluxy River et ailleurs dans le monde ? »

Et encore plus étonnant par cet autre humain spécialiste des animaux antédiluviens qui prouve la coexistence de certains animaux et des hommes.

Paul C. Serena expert en sauriens écrit

« J’ai trouvé récemment des os pétrifiés de dinosaures, de sauriens aquatiques et de crocodiles primitifs géants dans la même couche de la surface du Sahara, où se trouvait en même temps un os de vache et des os humains pétrifiés. L'ère tertiaire séparant prétendument la coexistence des dinosaures et des hommes constitue une période fantôme. Qui dit crocodile dit obligatoirement de l’eau en grande quantité. »

Je suis entrain d’écrire sur les festivités du Solstice d’Hiver, et me voilà parti sur le « Déluge ». Pardonnez-moi de tout mélanger, mais tout ce tient car à la lecture des notes de certains scientifiques, je suis maintenant convaincu que le « Déluge » planétaire a existé. Alors l’histoire sur la dispersion soudaine des humains selon leur aspect et leur idiomes devient de plus en plus plausible au fur et à mesure des découvertes scientifiques des paléontologues réputés de bonne foi ainsi que les géologues et archéologues qui par leurs découvertes viennent certifier cette dispersion humaine par la morphologie squelettique du genre humain.

Demandez à un expert scientifique d’une morgue, qui selon le squelette, vous donnera l’origine de l’humain, si il est asiatique, européen, indien, africain, américain du nord, du sud, peau-rouge, homme, femme etc… Tout ce système squelettique de l’humain détruit toute évolution, et nous oblige à reconnaître qu’à un moment donné la morphologie de l’humain changea brusquement d’après son aspect. Tous tellement différent et pourtant semblable puisque la machine humaine est exactement la même et le sang qui est la vie est inchangé, rouge pour tout le monde.

Tous ces humains qui se sont dispersés, ne croyait au départ qu’à un seul « Dieu ». C’est par la suite qu’ils commencèrent à invoquer les astres et particulièrement les deux luminaires de la Terre.

A l’ère d’Abram, qui portera plus tard le nom d’Abraham, les humains croyaient en une multitude de divinité. Son père Térakh était un adorateur du Dieu « Sîn », le Dieu Lune, voilà pourquoi il quitta la cité de Ur à coté de Babylone pour monter vers la source de l’Euphrate ou il y avait la cité d’Harân, qui s’écrit aussi « Harran », ville pastorale, et ces nomades, comme le clan de Térakh, étaient appelés les « Hébreux » qui signifiait « Ceux qui passent »

A Babylone et toutes les cités mésopotamiennes adorent la Déesse Mère sidérale, Astarté qui porte le nom de Ishtar, né au solstice d’hiver vers le 25 Décembre, nommé aussi Reine des Cieux, épouse de Baal, qui porte le nom de Dumuzi, Tammuz, voilà pourquoi elle est la Déesse de la fertilité, des semailles, et tout ce qui touche à la reproduction, à la fécondité, mais aussi de la guerre car c’est une Déesse belliqueuse d’où ces sacrifices d’enfants, de vierges en son honneur et celui de son époux. Jérémie XIX : 5, « Car ils ont construit des hauts lieux de Baal, pour consumer au feu leurs fils, en holocauste à Baal; cela je ne l'avais jamais ordonné, je n'en avais jamais parlé, je n'y avais jamais songé ! », XXXII : 35, « Ils ont construit les hauts lieux de Baal dans la vallée de Ben-Hinnom pour faire passer par le feu leurs fils et leurs filles en l'honneur de Molok ce que je n'avais point ordonné, ce à quoi je n'avais jamais songé : commettre une telle abomination pour faire pécher Juda ! »

Dans la péninsule arabique il est dit qu’elle c’est transformée en une pierre noire et elle est confondue avec la météorite  qui c’est enchâssée dans un quadrilatère. C’est cette fameuse « Pierre Noire » que les musulmans adorent à la Mecque en faisant sept fois le tour, récitant des incantations au Dieu « Al-Ilah » transformé en « Allah » par ce fin politicien et homme de guerre « Abu-Kasim-Muhammad » nommé vers sa quarantième année « Mahomet ».

L’humain de cette époque, deux millénaires avant Jésus le Nazaréen, avait par son apparence, mais aussi au niveau intelligence, et de ses défenses immunitaires un reste certain de la perfection adamique, le sang n’étant pas encore à un degré de détérioration important puisque les frères et sœurs qui concevaient un enfant suite leur relation sexuel n’en faisaient pas des trisomiques comme de nos jours, et il était courant d’avoir des mariages entre cousins germains sans risque d’avoir un enfant difforme où ayant une tare cérébrale.

Ce qui prouve que le sang était encore pur si je puis m’exprimer ainsi.

A l’ère de Jésus le Nazaréen le mariage entre frère et sœur était interdit car leur progéniture commençait à avoir des problèmes de conception. Le sang n’avait plus la pureté de l’époque sumérienne, akkadienne, du Moyen-Égypte, ce que nos chercheurs nomment « l’âge de bronze ».

Un clan dénommé « les Hébreux », « Ceux qui passent », les descendants d’Abraham, suite à une famine très dure en Palestine et dans la Péninsule Arabique durent se réfugier en Égypte et ils y restèrent quatre cents ans. Le clan « Hébreux » devint un peuple « en terre étrangère », mais pas n’importe quel « Peuple » puisqu’il fut choisit comme tel par le seul et unique Dieu de l’Univers, celui qu’Abraham et ses descendants nommaient EL-SHADDAÏ en pays d’Égypte.

Genèse XVII : 1-7

« Lorsqu'Abram eut atteint quatre-vingt-dix-neuf ans, Yahvé lui apparut et lui dit :

« Je suis El Shaddaï, marche en ma présence et sois parfait.

  J'institue mon alliance entre moi et toi, et je t'accroîtrai extrêmement. »

Et Abram tomba la face contre terre. Dieu lui parla ainsi :

« Moi, voici mon alliance avec toi : tu deviendras père d'une multitude de nations.

Et l'on ne t'appellera plus Abram, mais ton nom sera Abraham, car je te fais père d'une multitude de nations.

Je te rendrai extrêmement fécond, de toi je ferai des nations, et des rois sortiront de toi.

J'établirai mon alliance entre moi et toi, et ta race après toi, de génération en génération, une alliance perpétuelle, pour être ton Dieu et celui de ta race après toi. »

Faites bien attention à ce texte biblique ci-dessus qui annonce prophétiquement que la descendance d’Abram deviendra un « Peuple » et qu’El-Shaddaï sera leur « Dieu »

Moïse au Mont Sinaï où il y resta quarante jours et quarante nuits

Exode VI : 2-3

« EL-SHADDAÏ parla à Moïse et lui dit :

« Je suis Yahvé.

Je suis apparu à Abraham, à Isaac et à Jacob comme El-Shaddaï, mais mon nom de Yahvé, je ne le leur ai pas fait connaître. » »

Comme vous pouvez le lire, je n’ai rien inventé, et comme le nom à l’origine n’est pas Yahvé, puisque le véritable « Nom » fut rendu tabou par la « Prêtrise », je le nomme comme Abraham et sa descendance jusqu’à Moïse, EL-SHADDAÏ, et je suis fier de le nommer ainsi puisque là était son véritable « Nom » pendant une époque.

Ce « Peuple Hébreux » va indirectement faire l’histoire du Bassin Méditerranéen.

En effet, l’histoire de ce peuple est tragique, mais fait étrange, a résisté à l’érosion du temps. Combien de « Peuples » et de civilisation ont disparu ? Eux les « Hébreux » que l’on appelle « Juif » en français, sont toujours là. Après la destruction de leur ville symbole Jérusalem en l’an 70 de l’EC, ils furent dispersés sur la Terre entière et leur pays Israël rayé des cartes pendant presque deux mille ans. Il a fallut le génocide hitlérien avec plus de six millions de juif décimés dans les camps de concentration, pour réveiller la honte mondiale devant l’horreur, et en 1948 leur redonner leur pays d’origine, une partie de la Palestine qui représentait l’ancien pays d’Israël et la capitale Jérusalem fut coupé en deux, une partie arabe et l’autre hébraïque où il restait comme un vestige un morceau de mur de l’ancien Temple que l’on nomma le mur des « Lamentations ».

Ceci est un mystère comme l’histoire de leur religion basée sur la fidélité humaine envers le « Dieu » « Créateur » de l’Univers, Fondateur des Lois de physique et chimie universelles, perpétuelles, sempiternelles, et « Créateur » de l’humain.

L’histoire de ce « Peuple » avec sont « Dieu » est là pour nous faire réfléchir à ce que nous sommes. Toute l’histoire de l’humain est contée dans ce livre que nous nommons « Ancien Testament ». En effet le comportement de l’humain est écrit là, dans cet « Ancien Testament » avec le Dieu de tout l’Univers, tout le Cosmos, Créateur de notre Galaxie avec son luminaire où tout ce tient comme raccordé par un fil invisible avec une planète « Bleue » appelée Terre que l’on reconnaît dans tout l’Univers, seul endroit où il y a la « Vie », traîtrise, fidélité jusqu’à la mort, iniquité, toutes les choses exécrables, abominables que l’humain peut faire, idolâtrie, parjure tout y est, tout à été dit, tout à été fait, il n’y a plus rien à dire, à croire que Sammaël au sujet de l’humain avait raison, il est indécrottable !

Mais, EL-SHADDAÏ aime cet humain, c’est son œuvre, son plus bel ouvrage de toute la création, par sa complexité physique et chimique, et par sa beauté puisqu’il la fait à son image à son reflet, à leur ressemblance, Père et Fils, et il le posa sur la Terre comme un « Dieu », car cet humain pouvait créer, inventer, sculpter, modeler, tout comme son créateur.

Alors je vais me faire des ennemis parmi les croyants de la chrétienté car je certifie qu’EL-SHADDAÏ créa l’humain et le façonna seul sans l’aide de personne.

Isaïe XIVL : 24

« Ainsi parle El-Shaddaï, ton rédempteur, celui qui t'a modelé dès le sein maternel, c'est moi, EL-SHADDAÏ, qui ai fait toutes choses, qui seul ai déployé les cieux, affermi la terre, sans personne avec moi. »

Isaïe XVL : 12, 18

« C'est moi qui ai fait la terre et créé l'homme qui l'habite, c'est moi qui de mes mains ai déployé les cieux, et qui ai donné des ordres à toute leur armée. »

« Car ainsi parle EL-SHADDAÏ, le créateur des cieux : C'est lui qui est Dieu, qui a modelé la terre et l'a faite, c'est lui qui l'a fondée; il ne l'a pas créée vide, il l'a modelée pour être habitée. Je suis EL-SHADDAÏ, il n'y en a pas d'autre. »

Ce livre dit pourtant que l’Homme, c’est-à-dire l’Humain fut façonné à son image, son reflet à Lui, El-Shaddaï, mais à leur ressemblance. Quelle ressemblance ? Celle du Père et du Fils, ou celle de tous les incorporels qui vivent dans les Cieux ?

Volontairement je prends la ressemblance du « Père et du Fils » puisque ce dernier fut engendré et non créé dans les Cieux. Toujours par les mêmes écrits, mais plus particulièrement les apocryphes, nous savons où plutôt devinons que le « Fils unique » Emmanuel de son nom dans les Cieux, et de Jésus le Nazôréen comme moi, Grandeloupo je le nomme, le Jésus-Christ des chrétiens, fut engendré après la création de tout l’Univers dont notre Galaxie, mais avant la création du premier incorporel, Sammaël ou Samaël, peut importe l’orthographe, celui-là même qui se rebella contre son Concepteur, et par qui naquit le « MAL ». Sachant qu’Emmanuel fut engendré il est logique de penser qu’il est passé par tous les stades de la conception interne, ventriculaire, mais aussi par tous les stades du développement externe jusqu’à l’âge de raison.

En conséquence, EL-SHADDAÏ nous prouve à nous humains, qui cherchons toujours le litigieux, la faille qu’il était vraiment seul pour modeler, sculpter, façonner cet humain ainsi que son lieu de résidence, « sans personne avec Lui ».

Pour être un « Fils » il faut un Père géniteur, et une partie femelle pour le concevoir, car ce mystère là, celui de la conception nous ne sommes pas prêts de le découvrir puisque le « Fils » lui-même ne connaît pas ce « mystère ». Comme déjà écrit, EL-SHADDAÏ est androgyne, c’est donc la partie féminine de son être qui par sa propre volonté façonna son fils Jésus le Nazaréen voilà pourquoi ce Dieu connaît tout le film de l’enfantement, ce que son propre fils ignore, car pour cela, il aurait fallu que lui aussi soit androgyne, et que par sa propre volonté il puisse enfanter, mais ce n’est pas le cas voilà pourquoi il existe dans tout l’Univers un seul et unique « Dieu », EL-SHADDAÏ, et son « Fils » unique n’est pas un « Dieu » et jamais, j’écris bien jamais il ne serait être « son Père c’est-à-dire DIEU ». Ceux qui écrivent, comme dans le Nouveau Testament, ainsi que certains Pères Apostoliques, et tous les Pères de l’Église que Jésus-Christ est « Dieu » vous entraînent sur le chemin de l’erreur et du mensonge. !

 Je tiens aussi à vous apprendre que la vie des bêtes, bestioles, animaux et humaine commence par un œuf ! 

Éh oui !

J’ai raison !

Si nous raisonnons un peu, tout sur la Terre commence par quelque chose de microscopique, puis se développe jusqu’à être mature, une herbe, fleur, feuille, arbre, fruit, bestiole, animal et nous humains. Donc il est juste de penser que Jésus le Nazaréen a suivi cette évolution, même si il était dans les Cieux, car même là, cela commence par l’infiniment petit pour devenir une planète ou une étoile.

Maintenant vous comprenez pourquoi Jésus le Nazôréen n’est pas un « Dieu » et n’est pas égal à son Père, car ce dernier aura toujours une « Connaissance » plus grande que son Fils, celle du temps. En écrivant ceci je détruis le dogme de la « Sainte Trinité ».

Par « l’Ancien Testament » tout absolument tout a été dit sur l’humain, tous les exemples pour l’enseignement de ce dernier ont été écrits sans aucune exception. Il y a même des actions approuvés par ce « Dieu » difficile à comprendre comme le vol du droit d’aînesse par Jacob ainsi que sous l’influence de sa mère Rébecca et avec son aide, celui-ci prit aussi par forfaiture la bénédiction de son père à son frère Ésaü parti à la chasse, profitant de la cécité de son père, Isaac, ce choix de Moïse qui est quand même un assassin.

Ces textes que je vous écris c’est pour vous faire comprendre comment l’humain à détourné quelque chose de pure, sincère au départ avec une immense foi et une grande espérance. Au départ Jésus le Nazaréen n’est pas pris pour un Dieu, seul EL-SHADDAÏ est « Dieu ».

Raisonnez, réfléchissez, mais aussi prenez soins de vous et de votre maisonnée !

Salutations cordiales à Tous !

Sig : JP.G. dit « GRANDELOUPO »

 


Commentaires

 
 
 
posté le 01-12-2014 à 01:21:57

Fêtes fin d'année, chap.N°2 - Naissance du Mal, Dieux et Déesses

 

 

Naissance du Mal

 

Les fêtes de fin & début d’année

 

Noël, 1er jour de l’année

 

Voilà ce qui nous différentie du monde animal, nous avons un « Esprit » !

Et « l’Esprit » qu’est-ce que c’est ?

C’est la réflexion, le raisonnement, la pensé, la compréhension, le tout réuni se nommant « l’Intelligence » qui n’est pas répandue égalitairement entre chaque humain. Ce n’est pas forcément le plus intelligent qui réfléchira sainement. EL-SHADDAÏ ce « Dieu » seul et unique, notre Père et notre Dieu à un Esprit SAIN car son Intelligence incommensurable a permis la création de tout l’Univers, mais aussi le planète Terre pour la fixer à une certaine distance du soleil, la faire tourner sur elle-même à une certaine vitesse, lui poser un satellite pour l’éclairer la nuit qui aurait une influence sur elle, comme exemple les grandes marées, tout cela pour qu’il y ait la vie sur la Terre. Puis la création de la vie par son « Souffle de vie » car tout respire sur la terre des plantes, bêtes, bestioles, animaux, jusqu’à l’humain qu’il façonna de ses propre mains. Pour créer tout cela il fallait un Esprit SAIN

Sans ce Dieu nous n’existerions pas et nous ne serions pas là à lire les écrits d’un quidam qui nous guide vers ce Dieu unique.

 

Dernière phrase du chapitre précédent

Si l’on fêtait le soleil, pour la même époque on fêtait aussi la lune. 

-2600, -2400 de l’EC., à l’ère d’Abraham,  celui-ci montait avec son père et tout le clan familial de la ville d’Ur à côté de Babylone, vers la ville de Harran situé presque à la source de l’Euphrate, pour fêter le Dieu Lune Sîn, dieu Babylonien, Assyrien, Sumérien, Akkadien qui se nommait aussi Anna(r) ou Zu-en.

Dans beaucoup de pays La Lune était mâle et le Soleil femelle. Le Seigneur Lune était le grand objet de culte des pays sémitiques, et ce Seigneur Lune était né un  24 décembre, ce qui montre clairement que la naissance qu'ils célébraient n'avait aucun rapport nécessaire avec le cours du soleil.

Nous lisons dans la « Philosophie Sabéenne » de Stanley :

« Le vingt quatrième jour du dixième mois, c'est-à-dire décembre, selon le calendrier Arabe, ceux-ci célébraient le jour de la naissance du Seigneur, c'est-à-dire, la Lune ».

 

Chapitre N° 2

 

Naissance du Mal, Dieux et Déesses

 

Les humains se créèrent un nombre incalculable de Dieux et de Déesses et les adorèrent à la place de l’Être Suprême, mais tous croyaient en un Dieu supérieur aux autres.

Sur toute la Terre, le Soleil et la Lune représentaient les Déesses et les Dieux voilà pourquoi beaucoup de prêtrises considéraient la naissance de ces divinités au Solstice d’Hiver.

Les siècles ont passé depuis la dispersion de l’humain. Des Peuples et des Nations sont nés. Les humains croient en plusieurs Dieux, mais il y en a un qui est supérieur à tous ces Dieux. La fête du « Solstice d’Hiver » est une fête planétaire qui se fera à la vitesse de rotation de la Terre selon  la latitude et la longitude. Le Solstice d’Hiver représente une période de temps que les humains comprirent très vite. Comme écrit dans le premier chapitre la nuit du Solstice d’Hiver faisait à une heure près le double du jour. Trois ou quatre nuits suivant le Solstice ne bougeait pas et doucement la quatrième ou cinquième nuit commençait à diminuer minute par minute. C’est la fin de la période sombre. Pour la prêtrise c’est le début de la victoire de la lumière sur les ténèbres, ces derniers représentant la force du mal. Mais c’est aussi l’annonce du renouveau très proche. Le temps du jour deviendra supérieur au temps de la nuit.

Ce sera aussi l’anniversaire de naissance de beaucoup de Dieux puisque ce solstice représente la victoire de la Lumière sur les Ténèbres                                                                                             

Le solstice d’Hiver était fêté sur la Terre entière comme il convenait dans la région du globe ou vous étiez. Dans l’hémisphère sud le Solstice d’Hiver se fêtait quand dans notre hémisphère Européen nous étions en été. En effet ce Solstice d’Hiver avait cette réputation, et toutes les fêtes qui l’accompagnaient, de la fin des « Ténèbres » et du renouveau de la « Lumière ». Le soleil reprenait du temps sur la nuit, et la terre se réchauffait signe du renouveau de la nature.

Maintenant raisonnons et réfléchissons à la vitesse de l’évolution humaine. Que penseraient nos aïeux du XVI, XVIIème siècle, s’ils revenaient aujourd’hui, sur Terre, avec nos ordinateurs, voitures, avions et toutes les armes de guerre ? Ce serait un avancement vertigineux !

Et si nous raisonnons bien, en deux mille ans, la vitesse de l’évolution humaine ! Nous somme à l’ère de Jésus le Nazaréen et en lisant l’histoire nous avons cette impression que c’était hier !

Le « Déluge » ?

Quatre mille ans avant Jésus le Nazaréen peut-être plus et encore, alors la dispersion des peuples trois mille ans avant Jésus le Nazaréen ! Une chose est sûr l’être humain est jeune sur la Terre. La Bible positionne Abram le fils de Térakh cinq cents ans après la Tour de Babel, mais à l’ère de la Tour de Babel quel était l’âge moyen d’un humain.

 Nous savons d’après la généalogie biblique que l’âge des humains descendit très rapidement car le père d’Abraham, Térakh mourut à l’âge de deux cent cinq ans et que le fils de ce dernier cité ci-avant mourut à l’âge de cent soixante-quinze ans. (Genèse XI : 10 et +)

 Nous savons aussi par la Bible qu’à partir de Moïse plus un seul humain ne dépassera les cent vingt ans de vie sur la Terre.

Petite constatation personnel, tout au long de ce parcours biblique il y a toujours eu un humain qui croyait en ce Dieu seul et unique et pour cela il faut connaître l’histoire qui s’est passé dans les Cieux bien avant que l’homme ne soit sur la Terre.

A la création de l’Univers et de tous les vivants des Cieux, à l’époque où il n’existait qu’un Ciel, le mal n’existait pas. EL-SHADDAÏ dans son immense sagesse créa des Êtres à sa ressemblance avec un cerveau pour réfléchir, raisonner, avec des sentiments afin qu’ils soient libre de leur choix. C’est le premier de ces Êtres créés qui un jour se rebella contre son Créateur, Celui qui lui avait donné la vie.

« Le sujet de discorde fut la création de l’Homme, l’humain, façonné à l’image identique de son Fondateur, à son reflet et à leur ressemblance, eux les vivants qui seront invisibles à l’œil de l’humain. Cet Être seul et unique, ce Dieu Concepteur de tout l’Univers, Lui seul à l’origine de toutes les Lois immuables de physique et chimie, dont la puissance incommensurable est  supérieur au milliardième de la bombe « H »,  admira son œuvre posé dans ses mains et tous les vivants de l’invisible à la vue de l’Homme, de l’humain, se prosternèrent devant l’image identique de l’Être Suprême, voilà pourquoi il fut écrit que tout humain crachant à la face de son semblable, crache à la face de l’Être Suprême, que je nomme EL-SHADDAÏ.

Sammaël qui venait des environs de la Terre vit l’Homme, l’humain façonné à l’image d’EL-SHADDAÏ dans le creux de sa main et toute la milice en admiration devant l’œuvre magnifique de Création d’EL-SHADDAÏ. Alors Michel demanda à Sammaël de se prosterner devant l’ouvrage de Celui qui les avait créés, avant que ce dernier ne s’irritât contre lui. Sammaël refusa énergiquement de se prosterner devant l’image d’EL-SHADDAÏ et se mit même en colère contre ce Dieu, qui était l’unique Dieu de tout l’Univers, car estimait-il que l’Homme, l’humain modelé avec de la terre et de l’eau ne valait rien par rapport à sa, à leur constitution. Michel supplia Sammaël de faire preuve d’humilité en ce prosternant devant l’Homme qui était à l’image, au reflet identique de leur Maître, de leur Dieu, qui était le seul Dieu existant dans tout l’Univers. Sammaël avait le cœur dur et était obstiné. Il refusa autoritairement de se prosterner devant l’image de son Fondateur et d’admirer l’Homme. Puis il mit l’Être Suprême au « Défit » devant l’Homme, l’humain disant qu’il installerait son trône en face de celui d’EL-SHADDAÏ et que pas un seul humain, pas un seul, ne servirait EL-SHADDAÏ, et ne suivraient ses Lois et Préceptes, mais que, au contraire, toute la race humaine le servirait et suivrait, écouterait ses Lois à « Lui » Sammaël et le glorifierait, l’adorerait, le vénérerait comme étant le seul véritable Dieu.

. L’Être Suprême se mit en colère et jeta des Cieux Sammaël et tous ceux qui le suivirent dans sa voie et il les fit tomber dans un profond sommeil.

 Le « Mal » venait de naître !

L’humain était de toute sa création la plus belle œuvre réalisée, voilà pourquoi il admira son ouvrage et qu’il le posa délicatement sur la Terre.

 Au bout d’un « Temps des Temps » Sammaël et les siens furent réveillés, mais entre-temps l’Homme à l’image d’EL-SHADDAÏ, à son reflet et à leur ressemblance avait été déposé sur la Terre et une compagne lui avait été donnée.

A son réveil, EL-SHADDAÏ, lui donna comme Royaume la Terre et ses environs pour lui Sammaël et tous les siens, et, pour respecter le « Défit », délimita le « Temps ».

Sammaël avec Ève et Adam eut sa première victoire qu’il faillit concrétiser au « Déluge », mais il y eu Noé et les siens.

Emporté par la colère contre l’humain, oubliant le « Défit », l’Être Suprême voulut supprimer toute sa création. »

Je viens de vous écrire très rapidement et grossièrement l’histoire des Cieux et comment le « Mal » est venu sur la Terre, mais l’histoire est plus complexe que cela car il y a certains mystères que dans le plus profond de moi-même, je suis dans « l’interdiction » de l’écrire car j’ai déjà essayé, mais tout ce mélange dans mon esprit, mon cerveau, et rien de cohérent ne sort.

Nous sommes toujours à ce XXIème siècle dans le « Temps des Temps » accordé à Sammaël et aux siens.

Maintenant revenons à l’ère d’Abraham et sa descendance. Les humains ont de multiples Dieux et Déesses pour lesquels les Prêtres officient avec des représentations statuaires aux quelles les humains amènent des offrandes pour avoir une vie meilleur.

L’humain évolue très vite sur la Terre par de multiples inventions et découvertes. Il y a maintenant quatre grandes fêtes mondiales. La fête du Printemps qui est une fête pastorale et agraire où l’on offre aux Dieux un bouc, un taureau pour que ceux-ci protègent les troupeaux pendant toute la saison et que les femelles soient productives ce qui deviendra la Pâque, puis les Pâques. Pour les agriculteurs se sera la fête des semailles. L’autre grande fête est celle de la moisson époque où l’on récolte le blé et autres céréales, puis il y a la fête de la vigne où l’on récolte le raisin pour en faire du vin, et la dernière celle du Solstice d’hiver qui est la date anniversaire de la naissance de multiple Dieux et Déesses.

Ci-dessous les remarques de quelques écrivains comme --KITTO, vol. IV, p. 66.-- WILKINSON, vol. V, p. 10 -- 

« Le nom de Gad se rapporte au dieu de la guerre, car il signifie attaquer mais aussi celui qui assemble, et sous ces deux idées on peut l'appliquer à Nemrod, qui était un dieu soleil en tant que premier guerrier célèbre, voir la Bible dans la Genèse X, pour avoir, réuni les hommes en communautés sociales.

Le nom de Meni, celui qui compte, semble un synonyme de Cush ou Chus, couvrir ou cacher, mais aussi compter ou démontrer. Le vrai sens du nom de Cush est donc « celui qui compte ou le calculateur » car tandis que Nemrod son fils était le propagateur du système idolâtre de Babylone, il était réellement, plus tard, en qualité de Mercure, Dieu romain, le créateur de ce système, car il apprit aux hommes à s'approcher de la Divinité par des prières et des sacrifices et comme l'idolâtrie et l'astronomie sont étroitement unies, il devait être habile dans la science des nombres.

Or, Cush, est le premier qui découvrit les nombres, la géométrie, l'astronomie, les jeux de hasard, d'échecs et il était, d'après une allusion au sens du nom de Cush, probablement appelé « Nombre, le père des dieux et des hommes ». En Chaldéen le (i) prend souvent la forme du (e) final, ainsi Meni correspond à Mené, celui qui compte, en hébreu. Nebû, fils de Mardouk assimilé à la planète Mercure le dieu de Babylone, était le même dieu qu’Hermès, dieu grec, lui-même assimilé au dieu romain Mercure.

Cela montre l'emphase de la sentence divine annonçant à Balthazar son destin:

Daniel V : 25-28,

« L'écriture tracée, c'est : Mené, Mené, Teqel et Parsîn.

Voici l'interprétation de ces mots : Mené : El-Shaddaï a mesuré ton royaume et l'a livré ; Teqel : tu as été pesé dans la balance et ton poids se trouve en défaut ; Parsîn : ton royaume a été divisé et donné aux Mèdes et aux Perses.», ce qui revient à dire: « Celui qui compte est compté. » La coupe était l'emblème de Cush d'où l'usage de lui verser la boisson sacrée. Or, Mercure, le calculateur en Égypte, identifié à la lune qui sert à compter les mois, était appelé seigneur de la lune et comme distributeur du temps il tenait une branche de palmier, emblème d'une année.

Ainsi, Gad était le dieu du soleil et Meni, le dieu Lune. »

Comme en Égypte ou Isis est la déesse lunaire, considéré comme une « Déesse Mère » qui serait né au solstice d’hiver c’est-à-dire fin décembre.

Sans beaucoup d’erreurs, je peux certifier qu’une grande partie de l’humanité, bien avant la naissance d’un certain Galiléen, fêtait le solstice d’hiver, car beaucoup de divinité étaient nées à cette époque. Le paganisme et le religieux se mélangeaient de telle manière qu’il était difficile d’établir une frontière.

  Autour du Bassin Méditerranéen, en montant jusqu’en Europe centrale, disons comme frontière les fleuves, d’un côté le Danube, le Rhin, l’ile Angle, de l’autre l’Indus, toute l’Asie Mineure, la péninsule Arabique et l’Afrique du Nord, les Empires se font et se défont, Mèdes, Perses, Assyriens, Babyloniens, Grecques et Romains. Les divinités changent souvent de nom, tout en gardant leur statut originel tel que Cybèle, Reine des Cieux, nommée aussi Astarté déesse de Babylone, tout comme Tammuz qui est Adonis chez les Grecs et ainsi de suite.

Babylone au XVIIIème siècle av. l’EC., était le centre du monde civilisé. Cette ville, où plutôt cette région était le centre de la propagation du paganisme jusqu’aux extrémités de la Terre.

Ainsi les coutumes du Solstice d’Hiver qui existent encore aujourd’hui sous l’appellation « Fêtes de Noël et de fin d’année » jettent une lumière étonnante sur les révélations de la grâce faite à toute la Terre, au sens spirituel, prouvant à l’humanité qui veut bien réfléchir, le pouvoir de Sammaël qui se nomme aussi Béliar, Mastéma, Satan, Belzébuth, plus tous les autres, et ses émissaires Shémêhaza, Hermoni, Baraqiel, Aratagif, Kokabiel, Sahriel, etc …, sur l’humain, en l’influençant sur l’idolâtrie, les science occultes comme l’astrologie, la divination, le spiritisme, le charme et l’enchantement pour travestir la vérité.

Vous mes semblables, sans entrer dans toutes ces sciences occultes, je peux certifier que, Sammaël à d’énormes pouvoir sur la surface de la Terre et sur la race humaine, qu’il peut, ce servant d’humains, se déguiser en « Ange de Lumière », mais qu’il peut au moyen des ondes existantes autour de la planète Terre, faire apparaître une « Madone », mais aussi jouer le rôle antique des guérisseurs, comme à Lourdes où dans d’autres lieux de la Terre, les « Marchands du Temple » étant à son service, l’argent étant leur « Dieu », faisant fortune par le manque de raisonnement de la race humaine.

Oui ! Comme souvent je l’écris, l’humain est responsable de lui individuellement. Ne faites pas comme Ève ou Adam en rejetant votre propre faute sur autre chose, ayez le courage de reconnaître votre faute, votre péché, cette action est le début du sentier qui mène à ce Dieu unique, votre dieu « Dieu » que je nomme EL-SHADDAÏ.

Je vous ai conté très rapidement dans l’histoire des Cieux la naissance du « Mal »

 Je reconnais que mes écrits sur le « Déluge » obligent tous lecteurs à une réflexion qui lui sera personnelle, selon son cœur, son « esprit » c’est-à-dire son raisonnement et sa foi envers un Être Suprême qui est supérieur à toutes les choses de l’Univers, mais qui prouve aussi notre degré d’ignorance.

N’oublions pas que le livre « Bible » est un codex misogyne, phallocentrique, où la femme doit avoir un droit de réserve, voilà pourquoi il n’est question que des trois fils de Noé, et comme déjà écrit, certains livres apocryphes font allusions aux filles de Noé. De plus il est logique de penser que ce « Livre » ne parle que des enfants qui sont restés en accord avec les Lois du Créateur. Pour moi je suis convaincu, et j’ai la certitude que pour construire cet immense bâtiment de bois ils étaient plus de quatre hommes.

Vous mes semblables ouvrez les yeux, les oreilles regardez la vérité devant et autour de vous et constatez la véracité de tout ce que vous venez de lire. Prenez le chemin qui mène à ce Dieu seul et unique celui que je nomme EL-SHADDAÏ comme Abraham.

Portez-vous bien !

Salutations cordiales !

Sig : JP.G. dit « GRANDELOUPO »

 


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