posté le 26-05-2015 à 00:15:20

Conscience Esprit Sain Chap. N° 4 - Esprit c'est du Vent

Conscience, esprit Sain

 

Dans les écrits qui suivent vous remarquerez que j’écris esprit « Sain », et que ce mot « sain » sera souvent écrit comme je viens de le faire. Il n’y a pas de faute d’orthographe car je parle de l’esprit « Sain », celui qui est pure sans tache, qui possède la « Sagesse » et l’ « Intelligence ».

 L’autre « Saint » est une vénération, glorification, sanctification mais aucunement propre, pur, une preuve flagrante, réelle, indémontable puisque c’est l’esprit de la religion chrétienne, esprit d’idolâtrie, les fidèles  se signant devant un crucifix fait de bois et devant une statue de pierre qui représente une femme.

Alors vous mes semblables dessillez vos yeux et vos oreilles pour devenir les enfants d’EL-SHADDAÏ, des enfants « Sains » et non « Saints ».

 

Dernières phrases du chapitre précédent

 

Le nouveau Dieu aujourd’hui se nomme « Argent » et « Sexe » sans compter ses sous-dieux chanteurs, footballeurs et autre humains.

Il ne faut pas oublier, qu’aujourd’hui en 2013, l’humain ne se sert que de douze pourcent de son cerveau dans toute sa vie. Un fait évident, les humains de l’antiquité étaient beaucoup plus intelligents que nous, cela il faut le reconnaître, car aujourd’hui nous sommes incapables de construire une pyramide, et plus récemment une cathédrale, un château fort malgré les engins de terrassement et de levage que nous possédons.

Tout ce que j’explique, à vous mes semblables, c’est par l’esprit et grâce à l’esprit que je le fait comme déjà démontré plus haut.

Le Nouveau Testament, parle du « Saint Esprit », dans les Évangiles, les Actes des Apôtres, les Lettres et Épîtres de Paul, Pierre, Jean, Jacques, mais dans quel sens, celui de la pureté ou celui de la vénération ?

La réponse est sans équivoque !

 

Chapitre IV

Esprit, du Vent

 

Uniquement dans le sens de vénération car tout au long de ces livres formant le Nouveau Testament le mot « Saint » est écrit dans le sens de la sanctification, glorification, vénération et non dans un sens de perfection, de pureté, de propreté, ou le péché n’existe pas, ne serait-ce que son ombre !

Je me pose cette question, est-ce que dans ce Nouveau Testament le mot, disons plutôt le terme, « Saint-Esprit » ou « Esprit-Saint » désigne l’esprit de penser, de raisonnement, de réflexion d’El-Shaddaï ou EL-SHADDAÏ lui-même ?…

Pour commencer, voyons le début de ce Nouveau Testament par l’écrit des Évangiles

Matthieu I : 18-21 ; conception miraculeuse de l’enfant qui portera le nom de « El-Shaddaï sauve » égal Emmanuel et plus communément Jésus.

« Or telle fut la genèse de Jésus-Christ. Marie, sa mère, était fiancée à Joseph : or, avant qu'ils eussent mené vie commune, elle se trouva enceinte par le fait de l'Esprit Saint.

Joseph, son mari, qui était un homme juste et ne voulait pas la dénoncer publiquement, résolut de la répudier sans bruit.

Alors qu'il avait formé ce dessein, voici que l'Ange du Seigneur lui apparut en songe et lui dit :

« Joseph, fils de David, ne crains pas de prendre chez toi Marie, ta femme : car ce qui a été engendré en elle vient de l'Esprit Saint ; elle enfantera un fils, et tu l'appelleras du nom de Jésus : car c'est lui qui sauvera son peuple de ses péchés. » »

Ces quatre versets étant lu, essayons de comprendre !

Comme expliqué bien avant un « esprit » ne peut rien faire car il développe des ondes volatils, exemple notre réflexion en ce moment, si je ne l’écrivais pas il ne resterait rien.

Nous sommes l’image d’El-Shaddaï, son reflet, donc ce Dieu « Shaddaï » doit être formé de milliard d’ondes inconnues de l’humain qui lui donne une image, une silhouette, nous à sa ressemblance, avec une tête possédant toutes les caractéristiques de nous, humains, donc pourvu d’un cerveau, plus les autres sens, l’ouïe, la vue, l’odorat, le langage, le goût, la pensé de raisonnement, réflexion, de cœur, de sentiments ajouté à cela la sensation du touché. Toute cette réflexion nous donne un Dieu qui est substance, donc de matière que nous ignorons, mais qui, comme nous, possède et envoie des milliards d’ondes comme le langage par la parole.

J’en déduis que dans les versets ci-dessus, El-Shaddaï, -- Dieu pour la chrétienté – est considéré comme un spectre, fantôme, farfadet, elfe, revenant qui dans le langage courant se nomme « Esprit » et là  c’est un « Esprit » de sanctification, d’adoration, donc il aurait été plus juste d’écrire que Marie se trouva enceinte par le « Souffle Sain » d’El-Shaddaï.

« L’ange du Seigneur, » c’est-à-dire d’El-Shaddaï, annonce à Joseph que l’enfant de Marie fut engendré par « l’Esprit Saint », donc par El-Shaddaï lui-même, alors pourquoi ne pas avoir écrit que Marie fut enceinte par la « puissance de création » de ce Dieu Shaddaï – Dieu pour les chrétiens – cela aurait été plus clair et sûrement plus juste.

En effet, pour le Créateur de l’Univers et de l’humain, homme et femme, lui qui modela, sculpta ces deux derniers de ses propres mains où est la difficulté d’introduire un spermatozoïde dans l’ovule féminin par son propre « Souffle ».

Ce n’est pas possible ? Pourtant il existe un terme humain qui dit :

« Ce vent froid me glace les os ! »

Comme-ci ce vent traversait vêtement et chair humaine jusqu’à l’os. Alors le « Souffle Sain » de ce Dieu Shaddaï peut bien traverser un peu de chair humaine jusqu’à l’ovule pour y déposer un spermatozoïde !

Le mot « Sain » est bien écrit, sans faute d’orthographe, puisque je pense à un « Souffle » parfait, propre, sans tache, pur.

Je vais maintenant écrire d’autres versets d’un autre Évangile, en l’occurrence celui du Disciple Luc, médecin de son état, le plus lettré des écrivains du Nouveau Testament.

Luc I : 10-17 ; Zacharie est le Grand Prêtre du Temple de Jérusalem dédié à Yahvé, nom que les hébreux donnent à leur Dieu et que moi je nomme EL-SHADDAÏ. Zacharie est dans le « Saint des Saints » lorsqu’un ange d’El-Shaddaï lui rend visite pour lui annoncer que sa femme enfantera dans l’année malgré son âge avancé. Zacharie doute des paroles de l’ange, ce qui lui vaudra d’être muet jusqu’à la naissance de l’enfant.

« Et toute la multitude du peuple était en prière, dehors, à l'heure de l'encens.

Alors lui apparut l'Ange du Seigneur, debout à droite de l'autel de l'encens.

A cette vue, Zacharie fut troublé et la crainte fondit sur lui mais l'ange lui dit :

« Sois sans crainte, Zacharie, car ta supplication a été exaucée ; ta femme Élisabeth t'enfantera un fils, et tu l'appelleras du nom de Jean.

Tu auras joie et allégresse, et beaucoup se réjouiront de sa naissance.

Car il sera grand devant le Seigneur ; il ne boira ni vin ni boisson forte ; il sera rempli d'Esprit Saint dès le sein de sa mère et il ramènera de nombreux fils d'Israël au Seigneur, leur Dieu.

Il marchera devant lui avec l'esprit et la puissance d'Élie, pour ramener le cœur des pères vers les enfants et les rebelles à la prudence des justes, préparant au Seigneur un peuple bien disposé. » »

Avant toute chose il faut savoir que la traduction grecque des « Septante » remplace de nom de Yahvé pour les hébreux, El-Shaddaï pour moi, Dieu pour les chrétiens par le terme « Seigneur ». Oui, mais le terme « Seigneur » est aussi employé pour le remplacement du nom de Jésus-Christ, Jésus le Nazôréen ou Jésus le Nazaréen pour moi. Donc en lisant les versets ci-dessus, il existe une confusion importante car le terme « Seigneur » est le substitue de qui, El-Shaddaï ou Jésus le Nazôréen ?...

J’ai alors lu le chapitre complet de cet évangile de Luc. Sans me tromper, je suis fermement convaincu que l’auteur de la traduction a bien changé le nom d’El-Shaddaï {Yahvé} par le terme « Seigneur ».

Cela nous amène à ce début de phrase : « il sera rempli d’Esprit Saint dès le sein de sa mère //… ». Pensez aux écritures précédentes sur le sujet de l’Esprit. Le vocable « Esprit Saint » est faux, car je ne vois pas Jean, fils du Prêtre Zacharie, recevoir une vénération, une glorification, une sanctification dans le ventre de sa mère, celle-ci étant en train de le modeler, sculpter par le mystère de l’enfantement en son sein.

Vous mes semblables chrétiens reconnaissez que ma remarque est juste et saine ! Vous ne pouvez pas m’en tenir rigueur, au contraire car vous constatez que je ne suis pas l’ennemi des chrétiens, mais que j’ai de l’amour pour eux car je serai désireux qu’ils dessillent, justement leur « Esprit », ainsi que leurs oreilles et leur vue.

Jean qui portera le nom de « Baptiste » à l’âge adulte que reçoit-il d’El-Shaddaï pendant sa conception ?

Il n’acquiert pas « l’Esprit-Saint » puisque cet « Esprit Saint » n’a aucune existence et que cette écriture biblique est fausse. Alors quand arrive le moment de la fabrication du cerveau que reçoit Jean ? Il reçoit le « Souffle d’Intelligence » d’El-Shaddaï ce qui lui permettra, comme un prophète, d’annoncer la venue d’un homme « Oint » par El-Shaddaï pour sauver, non ce peuple hébreu qui l’a rejeté, mais un « Nouveau Peuple » formé de tous les humains des nations.

Jean le Baptiste a prouvé à ses semblables de son époque qu’il avait un esprit « Sain » rien que par ses prêches qui emmenait d’une remarquable intelligence par ses connaissances des « Écritures »

Je suis sûr qu’il y a quelques petits malins qui vont me dire que le terme « Seigneur » est pour Jésus-Christ car il est écrit : « et il ramènera de nombreux fils d’Israël au Seigneur, leur Dieu. Il marchera devant lui avec l’esprit et la puissance d’Élie //préparant au Seigneur un peuple bien disposé. »

En considérant que Seigneur est pour Jésus-Christ, on peut dire que Jésus-Christ est un Dieu, ce qui bien entendu est complètement faux, puisqu’il n’y a qu’un seul et unique Dieu, le Dieu SHADDAÏ Père de Jésus le Nazôréen, le Jésus-Christ des chrétiens.

Un autre « écrit » dans le Nouveau Testament, toujours sur la signification de « l’Esprit-Saint », qui réellement devrait être un « esprit sain »

Matthieu XII : 31-32

« Aussi je vous le dis, tout péché et blasphème sera remis aux hommes, mais le blasphème contre l'Esprit ne sera pas remis.

Et quiconque aura dit une parole contre le Fils de l'homme, cela lui sera remis ; mais quiconque aura parlé contre l'Esprit Saint, cela ne lui sera remis ni en ce monde ni dans l'autre. »

Ici, dans l’évangile de Matthieu, le terme « Esprit » remplace le nom du Créateur de toutes choses. Toujours sur une réflexion de logique, comme déjà écrit ultérieurement, il ne peut y avoir « esprit » si, il n’y a pas matière pour loger cet « esprit » puisque « l’esprit » est volatil comme le vent, Jésus le Nazaréen le fait bien comprendre à Nicodème.

Jean III : 8

« Le vent souffle où il veut et tu entends sa voix, mais tu ne sais pas d'où il vient ni où il va. Ainsi en est-il de quiconque est né de l'Esprit. »

Dans ce contexte biblique Jésus le Nazôréen essaie de faire comprendre à Nicodème, que lui, Jésus est né de l’Esprit, et non d’un rapport amoureux entre deux humains, homme et femme, mais que c’est par le « Souffle ou l’Esprit », comme le vent, de son Père que Marie sa mère est entrée dans l’enfantement et personne ne connaît le jour et l’heure exact de cette action d’où ces paroles de Jésus juste avant :

Jean III : 6

« Ce qui est né de la chair est chair, ce qui est né de l'Esprit est esprit. »

Et là, Jésus le Nazôréen, fait comprendre à Nicodème qu’il est les deux puisqu’il est né deux fois, une fois aux Cieux, une fois en chair et il faut ajouter à cela la subtilité de la parole qui dévoile « l’Esprit », en effet ce que je viens d’écrire est né de mon « Esprit » et si je ne le couche pas sur ce papier cela reste « esprit » et s’envole, comme le vent.

Tout ce que je viens de vous écrire ce n’est pas grâce à « l’Esprit-Saint », mais plutôt avec un « esprit sain », celui qu’EL-SHADDAÏ aime, car c’est lui qui éclaire mon « Esprit ».

 Pour en revenir à l’évangile de Matthieu sur ce passage biblique, Jésus le Nazaréen met en garde les Prêtres Pharisiens du Temple qui font partie du Sanhédrin, sur leurs actions et l’esprit qui les guide. Donc il faut savoir si l’auteur faisant parler Jésus, pense à l’Esprit d’El-Shaddaï ou à El-Shaddaï lui-même en tant que spectre, car en premier il y a faute d’orthographe puisque « l’Esprit, la pensée, réflexion, raisonnement est SAIN » et si c’est la matière qui contient l’esprit que je viens de citer, c’est-à-dire El-Shaddaï en tant qu’être alors il est « Sain » et « Saint » car propre, sans tache, parfait, mais aussi un Dieu seul et unique que tous les humains devraient vénérer, adorer, glorifier, sanctifier pour tous les bienfaits qu’il leur offre.

En effet les Pharisiens parlant en mal d’El-Shaddaï et de ses actions blasphèment contre la personne et contre les pensées de celle-ci.

Avant les prochains écrits et par la lecture de ceux-ci demandez à ce Dieu unique d’acquérir la « Sagesse », car par elle, vous avancerez sur le chemin d’EL-SHADDAÏ et votre transformation de penser et d’action sur cette Terre vous mènera vers un début de Paradis sur celle-ci et une « Demeure » dans les Cieux en attendant votre résurrection.

Portez-vous bien !

Cordiales salutations à Tous !

Sig : JP.G. dit « GRANDELOUPO »

 

 

 


 


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posté le 17-05-2015 à 04:31:30

Conscience Esprit Sain Chap. N° 3 - La Parole dévoile l'esprit

Conscience, esprit Sain

 

Dans les écrits qui suivent vous remarquerez que j’écris esprit « Sain », et que ce mot « sain » sera souvent écrit comme je viens de le faire. Il n’y a pas de faute d’orthographe car je parle de l’esprit « Sain », celui qui est pure sans tache, qui possède la « Sagesse » et l’ « Intelligence ».

 L’autre « Saint » est une vénération, glorification, sanctification mais aucunement propre, pur, une preuve flagrante, réelle, indémontable puisque c’est l’esprit de la religion chrétienne, esprit d’idolâtrie, les fidèles  se signant devant un crucifix fait de bois et devant une statue de pierre qui représente une femme.

Alors vous mes semblables dessillez vos yeux et vos oreilles pour devenir les enfants d’EL-SHADDAÏ, des enfants « Sains » et non « Saints ».

 

Dernières phrases du chapitre précédent

 

Sagesse de Salomon I : 1-7

« Aimez la justice, vous qui jugez la terre, ayez sur El-Shaddaï de droites pensées et cherchez-le en simplicité de cœur, parce qu'il se laisse trouver par ceux qui ne le tentent pas, il se révèle à ceux qui ne lui refusent pas leur foi.

Car les pensées tortueuses éloignent d’El-Shaddaï, et, mise à l'épreuve, la Puissance confond les insensés.

Non, la Sagesse n'entre pas dans une âme malfaisante, elle n'habite pas dans un corps tributaire du péché.

Car la Sagesse, éducatrice, fuit la fourberie, elle se retire devant des pensées sans intelligence, elle s'offusque quand survient l'injustice.

La Sagesse est un esprit ami des hommes, mais elle ne laisse pas impuni le blasphémateur pour ses propos ; car EL-SHADDAÏ est le témoin de ses reins, le surveillant véridique de son cœur, et ce que dit sa langue, il l'entend.

L'esprit d’El-Shaddaï en effet remplit le monde, et lui, qui tient unies toutes choses, a connaissance de chaque mot. »

 

Chapitre N° III

 

La « Parole » dévoile l’esprit

 

 

Proverbes VIII : 22-31, 1-14, 17-21

 

La Sagesse :

 « EL-SHADDAÏ m'a créée, prémices de son œuvre, avant ses œuvres les plus anciennes.

Dès l'éternité je fus établie, dès le principe, avant l'origine de la terre.

Quand les abîmes n'étaient pas, je fus enfantée, quand n'étaient pas les sources aux eaux abondantes.

Avant que fussent implantées les montagnes, avant les collines, je fus enfantée; avant qu'il eût fait la terre et la campagne et les premiers éléments du monde.

Quand il affermit les cieux, j'étais là, quand il traça un cercle à la surface de l'abîme, quand il condensa les nuées d'en haut, quand se gonflèrent les sources de l'abîme, quand il assigna son terme à la mer - et les eaux n'en franchiront pas le bord -, quand il traça les fondements de la terre, j'étais à ses côtés comme le maître d'œuvre, je faisais ses délices, jour après jour, m'ébattant tout le temps en sa présence, m'ébattant sur la surface de sa terre et trouvant mes délices parmi les enfants des hommes.

La Sagesse n'appelle-t-elle pas ? L’Intelligence n'élève-t-elle pas la voix ?

Au sommet des hauteurs qui dominent la route, au croisement des chemins, elle se poste; près des portes, à l'entrée de la cité, sur les voies d'accès, elle s'écrie :

« Humains ! C'est vous que j'appelle, ma voix s'adresse aux enfants des hommes.

Simples ! Apprenez le savoir-faire, sots, devenez raisonnables.

Écoutez, j'ai à vous dire des choses importantes, j'ouvre mes lèvres pour dire des paroles droites.

C'est la vérité que mon palais proclame, car le mal est abominable à mes lèvres.

Toutes les paroles de ma bouche sont justes, en elles rien de faux ni de tortueux.

Toutes sont franches pour qui les comprend, droites pour qui a trouvé le savoir

Prenez ma discipline et non de l'argent, le savoir plutôt que l'or pur.

Car la sagesse vaut mieux que les perles, et rien de ce que l'on désire ne l'égale. »

« Moi, la Sagesse, j'habite avec le savoir-faire, je possède la science de la réflexion.

La crainte d’El-Shaddaï est la haine du mal. Je hais l'orgueil et l'arrogance, la mauvaise conduite et la bouche torse.

A moi appartiennent le conseil et la prudence, je suis l'entendement, à moi la puissance !

J'aime ceux qui m'aiment, qui me cherche avec empressement me trouve.

Chez moi sont la richesse et la gloire, les biens stables et la justice.

Mon fruit est meilleur que l'or, que l'or fin, mes produits meilleurs que le pur argent.

Je marche dans le chemin de la justice, dans le sentier du droit, pour procurer des biens à ceux qui m'aiment, et remplir leurs trésors. »

Par tous ces versets bibliques nous constatons qu’El-Shaddaï possède un esprit de « Sagesse ».

En effet quand nous percevons la gestion de l’Univers, de notre système solaire, de ce fil invisible qui tient les planètes entre-elles, la distance par rapport au soleil, la rotation autour de celui-ci et sur elle-même, tout cela ne peut être l’œuvre que d’une immense Sagesse. Mais encore la distance soleil-Terre, vitesse de rotation de cette dernière autour de son astre lumineux et sur elle-même, qui donne les saisons sur la Terre, en plus de l’attraction terrestre, tout cela permettant la vie sur cette Terre de l’infiniment petit à l’animal le plus gros et l’arbre le plus haut et gros, sans compter cette législation de la verdure, de la bestiole et de l’animal, tout cela prouve l’immense Intelligence et Sagesse de Celui qui en a posé les fondements.

Pour créer l’humain il fallait avoir une immense « Sagesse »

Regardez-vous dans un miroir et admirez cette merveilleuse machine qu’il vous renvoie. Créé l’homme, puis la femme, deux magnifiques machines qui furent conçues en ressemblance et tellement différentes, même en génétique. L’ossature est la même et pourtant le squelette féminin à les os moins gros et plus ovale, le cerveau est moins gros et d’une densité moindre, en son sein elle porte les mystères de l’enfantement, la peau et les muscles ventraux sont beaucoup plus élastiques, la pilosité, etc, etc. Dans un sens péjoratif la femme ne voit pas les choses de la vie comme l’homme, sa génétique est faite de telle manière qu’elle peut faire des petits travaux longs et répétitifs.

Suite à tous ce que je viens d’écrire la logique me donne le raisonnement suivant. Avant toute chose il faut un « esprit », mais l’esprit est invisible alors comment voir l’esprit ?

Par constatation l’animal n’a pas d’esprit, car toutes ses actions il les commet par instinct ou par le dressage.

Alors comment savons-nous que l’humain possède un « esprit » ?

Par la « Parole », le « Verbe » qui est l’intonation, et ses actions, en bien, en mal !

En effet la parole qui donne le langage exprime l’esprit, s’il n’y a pas d’esprit la « Parole » n’existe pas, puisque cette parole est l’expression de l’esprit. La parole qui est un son sur plusieurs gammes est invisible, mais grâce au son elle prouve son existence et le son lui est une onde.

Regardez comme la chaine est merveilleuse bien étudiée !

Nous partons sur plusieurs fréquences d’ondes qui forment le son de la parole. La parole, elle, prouve l’existence de l’esprit et, si je peux m’exprimer ainsi, développe toutes les pensées de cet esprit, cet esprit étant notre réflexion, notre raisonnement. Si je ne parle pas, tout le monde humain ignore ce que mon esprit développe, et là, en ce moment vous le savez parce que je l’écris, et le travail de mon esprit reste marqué, par contre si je parle, ces paroles s’envolent à jamais et il ne reste plus rien ou presque, à moins que par votre écoute, vous, vous reteniez une partie de toutes ces paroles.

Involontairement je viens de vous démontrer que l’esprit, c’est-à-dire la pensée, tout comme la parole, est éphémère.

Ayez toujours à l’esprit que nous sommes l’image, le reflet d’EL-SHADDAÏ.

Comme prouvé ci-dessus par les écrits d’Hénoch, El-Shaddaï pensa à la création de l’univers et le mit par écrit. Toutes ses pensées furent pures, sans tâches, donc saines. Tout cela nous confirme une chose très importante pour la foi, c’est que « l’Esprit-Saint » des chrétiens ne peut avoir une existence, même comme un être vivant. Cela est une impossibilité puisque l’ « ESPRIT » en tant que tel est éphémère comme prouvé ci-dessus. Je suis bien obligé de dire que la religion chrétienne nous ment avec son « Esprit-Saint » qu’elle considère comme étant comme un être substance avec bien entendu un cerveau pour la réflexion, le raisonnement, mais en plus la parole pour le développement de l’esprit « Esprit ».

Reconnaissez que mon raisonnement est d’une logique indémontable !

Tout ce que nous pensons avec notre cerveau s’envole à la vitesse de la lumière, mais El-Shaddaï par son immense Sagesse, a fait notre cerveau de telle sorte qu’une partie de nos pensées restent en mémoire, simplement, qu’avec le temps, tout doucement, cette mémoire s’estompe. Si je n’écrivais pas mon raisonnement il ne resterait absolument rien. Donc tout ce que nous pensons, est éphémère.

Je reconnais que j’appuis cette idée de pensée, de réflexion, car il est important de connaître la vérité, et de constater que l’esprit est quelque chose de volatilisable, de bref. Notre raisonnement si nous ne le mettons pas par écrit est passager, fugace, temporaire.

El-Shaddaï a créé toute chose par la pensée, la réflexion et seulement après il ordonna avec la « parole » que les choses se fissent.

Simplement que tout est lié par un fil invisible car tout se tient l’un à l’autre et pour créer cela il faut avoir une Intelligence et une mémoire phénoménale.

Il est prouvé scientifiquement que, si une seule des planètes de notre système solaire venait à dévier de son chemin qui lui fut impartie à son origine, tout le système solaire partirait dans un trou noir, qui est le « Néant »

Et pour faire tout cet Univers et toute cette vie terrestre avec les Lois de physique et de chimie indémontable et perpétuelle il faut avoir un Esprit SAIN, et là je ne fais pas de faute d’orthographe puisque je considère que la pensée, la réflexion, le raisonnement, les sentiments qui s’y attachent sont propres, sans tâche, purs comme le Crystal, donc je réitère, « Sain » et non « Saint » qui signifie vénérer, glorifier, adorer, quoique pour El-Shaddaï nous pouvons aussi considérer sont esprit comme « Saint ».

Par ma réflexion personnelle, mon juste raisonnement sans aucune vanité, je viens de détruire « l’Esprit-Saint » chrétien et prouver à mes semblables que cette religion c’est construite sur le mensonge, l’esprit étant une chose passagère, l’esprit étant le raisonnement, la pensée, la réflexion et qui n’est visible que par la parole ou l’action comme l’écriture.

Par notre cerveau ou loge en terme général « l’Esprit », nous pouvons raisonner, réfléchir, penser, ces trois termes étant reliés à des sentiments en bien, en mal. C’est grâce à « l’Esprit » que nous pouvons prier El-Shaddaï sans que les humains qui nous entourent le sachent.

C’est aussi grâce à cet « Esprit » que nous pouvons réfléchir sur notre condition d’humain.

Pensez-vous qu’EL-SHADDAÏ créa l’humain pour que celui-ci vive misérablement, riche ou pauvre, car aucun des deux ne vie heureux. L’humain c’est multiplié sur la Terre en se détériorant petit à petit. Une preuve irréfutable : il y a trois mille ans les frères et sœurs qui commettaient l’inceste et qui avait un enfant, ce dernier ne naissait pas avec une tare, aujourd’hui l’enfant naît mongolien ou trisomie. Il y a deux siècles en arrière, à l’ère Napoléonienne, les humains cousins germains pouvaient se marier et avoir des enfants sans que ceux-ci ne soient atteints des maladies citées ci-dessus ; il faut dire que la Terre avait une population de un milliard et demi et qu’au début du XXème siècle la population était de un milliard huit-cent mille individus. Malgré les deux guerres mondiales ou le nombre de morts fut phénoménale, aujourd’hui un siècle plus tard nous sommes sept milliard d’humains.

Là, je vous laisse à votre réflexion personnelle !

Le modernisme aurait dû, théoriquement rendre l’humain plus heureux et lui laisser du temps pour qu’il puisse constater les bienfaits de la création. C’est le contraire qui se passe !

Les Temples, les Églises se vident de leurs fidèles car l’humain ne croit plus en rien. La majorité des humains vous dira qu’ils sont croyant non-pratiquant. Il faut aussi reconnaître que par internet les humains ont découvert que leur religion était une religion construite autour du mensonge et de l’idolâtrie pour toutes les religions terrestres, même musulmane puisqu’ils adorent un humain, entre autre Abu-Kasim Muhammad, plus connu sous le nom de Mahomet, et en second une pierre noire enchâssée dans un quadrilatère qu’ils nomment Kaaba qui se trouve à la Mecque en Arabie Saoudite.

Le nouveau Dieu aujourd’hui se nomme « Argent » et « Sexe » sans compter ses sous-dieux chanteurs, footballeurs et autre humains.

Il ne faut pas oublier, qu’aujourd’hui en 2015, l’humain ne se sert que de douze pourcent de son cerveau dans toute sa vie. Un fait évident, les humains de l’antiquité étaient beaucoup plus intelligents que nous, cela il faut le reconnaître, car aujourd’hui nous sommes incapables de construire une pyramide, et plus récemment une cathédrale, un château fort malgré les engins de terrassement et de levage que nous possédons.

Tout ce que j’explique, à vous mes semblables, c’est par l’esprit et grâce à l’esprit que je le fait comme déjà démontré plus haut.

Le Nouveau Testament, parle du « Saint Esprit », dans les Évangiles, les Actes des Apôtres, les Lettres et Épîtres de Paul, Pierre, Jean, Jacques, mais dans quel sens, celui de la pureté ou celui de la vénération ?

La réponse est sans équivoque !

Avant les prochains écrits et par la lecture de ceux-ci demandez à ce Dieu unique d’acquérir la « Sagesse », car par elle, vous avancerez sur le chemin d’EL-SHADDAÏ et votre transformation de penser et d’action sur cette Terre vous mènera vers un début de Paradis sur celle-ci et une « Demeure » dans les Cieux en attendant votre résurrection.

Portez-vous bien !

Cordiales salutations à Tous !

Sig : JP.G. dit « GRANDELOUPO »

 


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posté le 01-05-2015 à 01:15:30

50 av.JC – les humains  - Vercingétorix

 

 

Notre conscience, esprit sain

 

Chapitre N°1

 

Tous peuvent venir à

 

EL-SHADDAÏ

 

Comme je vous l’écris souvent, je suis un humain comme vous, avec mes qualités et mes défauts, comme vous, je suis un humain imparfait. Je ne suis pas supérieur à vous, car comme vous, tous les jours je dois lutter contre les tentations néfastes que Sammaël me tend, nous offre, sur un plat judicieusement garni afin que chaque humain puisse puiser avec une extrême facilité.

Comme exemple ?

Aujourd’hui votre parole, par la langue, dira un peu plus de mots grossiers, ou toujours par la langue, vous aurez tendance à calomnier plus facilement vos semblables, ou si au magasin la caissière se trompe en votre faveur, ne rien dire en empochant se supplément d’argent, etc, … Une multitude de petites fautes insignifiantes, machinales qui vont s’échelonner tout le long de la journée et qui le soir dans votre lit, vous donneront mauvaise conscience envers El-Shaddaï, rendant difficile votre endormissement.

Et si vous désirez trouver le sommeil il ne vous reste plus qu’à demander pardon à El- Shaddaï de cette mauvaise journée où, les « Principes » de ce Dieu Shaddaï, votre Dieu seul et unique, ont été oubliés involontairement.

Cet exemple est valable pour moi aussi, pour d’autres fautes encore plus subtiles, plus profondes, s’approchants encore plus de ce que je pourrai appeler la « perfection ».

En, effet tous les soirs, il est bon de faire un examen de conscience de la journée. Cet examen vous permettra de corriger vos fautes, jusqu’à la disparition totale de ce ou ces péchés. El- Shaddaï est un Dieu patient, qui sait très bien que pour corriger tel péché il vous faudra beaucoup plus de temps, que pour fustiger tel autre péché, car c’est un Dieu d’amour pour ses enfants, et comme un Père il nous fait comprendre où sont nos fautes afin que nous éradiquions cette faute, ce péché de notre esprit, de notre action, de notre langage, de notre cœur.

Bien sûr que je prends exemples sur moi-même et sur ma « Petite Vieille », mon épouse depuis quarante-trois ans. Toute ma vie j’ai cherché un véritable Dieu et je ne l’ai trouvé que quand « Lui », ce Dieu unique que je prie aujourd’hui, et pour lequel je démarche auprès de vous,  a bien voulu ce faire connaître.

Un peu de recul : j’ai fait ma vie qui est loin d’être une vie de « Saint »

Il est vrai que toute ma vie j’ai cherché au fond de moi le sentier qui mène vers un « Dieu » unique, un véritable DIEU.                        

Sur cette autoroute de spiritualité j’ai écouté des personnes qui me disaient que leur « Dieu » était le Dieu unique, celui qui donnait la « Vie Éternelle ». Sans compter ceux qui me contaient que par le « Dieu Jésus-Christ » je ressusciterais et que j’aurai la vie éternelle. Alors avec tous ces Dieux qui donnent la vie éternelle qui soi-disant ressusciteraient, nous allons nous retrouver à cette résurrection plus de quarante milliards d’êtres humains qu’il faudra nourrir. Avec sept milliards d’individus, deux milliards meurent de faim, alors ! …

Oui je connaissais la nature, son fonctionnement, la vie, la mort, mais je ne connaissais toujours pas ce « Dieu » unique. Je fréquentais ces gens du « Milieu », et tous allaient à l’église blablataient à un Prélat dans le confessionnal toutes leurs « conneries », puis allaient s’agenouiller dix minutes réciter je ne sais quoi à je ne sais qui ! A la sortie du Temple froidement vous sortait :

« Tu viens Polo, on va chez le Gus ramasser un peu d’oseille voir si ces Dames ont tapiné correctement »

J’arrivais à la quarantaine et toujours pas de véritable « Dieu » Ah !... Des « dieux » !... Les humains m’en ont donné à toutes les sauces

La cinquantaine toujours pas de « Dieu véritable », mais suite à une ablation de la rate à quarante-cinq ans, en cadeau de bienvenue l’hôpital m’a offert un de ces microbes inguérissables qui vous entraine très rapidement vers « DAME MORT » que l’on nomme maladie « Nosocomiale. ». Je sais qu’il ne me reste plus beaucoup de temps à passer sur cette Terre En cinq ans le corps c’est détérioré à une vitesse phénoménale. Maintenant il me faut des béquilles, puis un lit médicalisé, un rehausseur pour les toilettes, plus l’aide d’une personne pour les toilettes intimes, enfin je suis un « légume » ou presque !

Et cette maladie que personne ne connaît !

Ce que je vous écris, c’est toujours cette période de temps entre mes quarante-cinq ans et la cinquantaine. Je n’ai toujours pas trouvé ce Dieu unique. J’ai fait jouer mes relations pour récupérer mon permis de conduire. Puis j’ai peut-être fait le mauvais choix, car désirant continuer à travailler je suis passé par la COTOREP ! … J’ignorais qu’à l’âge de la retraite ils nous coupaient tous, Ceci fait partie des injustices des Lois Françaises. Moins vous en faites et plus vous touché par l’État.

La cinquantaine était passé, le microbe continuait à faire son travail, et toujours pas de « Dieu » dans le sens où je considérais qu’il en existait bien un au-dessus de ma tête, la–haut dans cette immensité, un véritable Dieu qui soit un « Dieu », c’est-à-dire seul et unique. C’est à cette époque que, à ce Dieu, que je ne voulais pas appeler « Dieu », je demandais sans trop y croire, une chose, pas pour moi, non, mais pour mon compagnon de misère et dans les deux heures qui suivirent, je fus exaucé.

Quel fut mon étonnement !

Quelqu’un au-dessus de ma tête écoutaient mes prières et les mettaient en œuvres !

N’y croyant pas trop, il y aura bien un moment où j’aurai besoin de lui et qu’il se fera connaître comme le Seul et Véritable Dieu de tout le Cosmos, l’Univers.

Des prières j’en ai récité et des toutes faites genre « Notre Père, Mea-culpa, je vous salue Marie » Du vent ! Des Prières pour le vent !

Enfin les cinquante ans étaient déjà entamés, et juste des prémices d’un « Dieu » Enfin rien !

Le second événement allait venir beaucoup plus rapidement que je ne le pensais. La chose est vague dans mon esprit. Enfin, il advint, quelques  temps plus tard, de demander à ce « Dieu » une énormité. Je ne me souviens plus exactement, mais ce que je sais est tellement énorme qu’il était impossible pour moi qu’un « Dieu » accepta cette demande. Non n’ayez crainte ce n’est pas de l’argent, ou de gagner une grosse somme au tierce, où de quelque chose de similaire, de matériel.

Une chose est sûr, c’est que cette énormité me fut offert dans l’heure qui suivi, mon épouse en était ébahi. Ce ne pouvait-être que le véritable « DIEU » qui me poussa à ouvrir ce livre BIBLE de Jérusalem, à feuilleter les pages et à tomber exactement sur ce que je cherchais. Non pas un verset comme ces Chrétiens, Témoins de Jéhovah, Évangéliques, Adventiste du 7ème jour, Étudiant de la Bible, Scientologue, etc, non pas un verset mais un ensemble de phrases qui se succèdent le tout formant ce que je cherchais. J’appelais mon épouse et lui laissait lire les trois ou quatre feuilles.

Mon épouse :

« Mis à notre époque c’est exactement ce que tu cherchais, j’en déduis, que tu as trouvé ce que tu cherchais, le véritable « DIEU »

Pas de prière juste la pensé et le cœur et ce jour-là EL-SHADDAÏ, je ne le nommais pas ainsi me fit voir son sentier. Tu es libre de le prendre ou de continuer ton chemin.

Comme écrit plus haut, même à cette époque je n’étais pas un « Saint »

Nous relisions sans cesse ces passages bibliques, et nous nous serrâmes fort, l’un contre l’autre car ce « Dieu » avait exaucé notre prière dans l’heure où nous avions réclamé nous avions reçu.

Maintenant j’ouvrai ce livre bible, en quête de la vérité. L’Être-Suprême comme je le nommais maintenant guidait mon Esprit. Quand j’écris Esprit ici, c’est l’Esprit d’Intelligence, le Souffle de l’Être-Suprême

Job XXXII : 6-9

« Et il prit la parole, lui, Élihu, fils de Barakéel le Buzite, et il dit :

« Je suis tout jeune encore, et vous êtes des anciens. Aussi je craignais, intimidé, de vous manifester mon savoir.

Je me disais : « L'âge parlera, les années nombreuses feront connaître la sagesse. »

A la vérité, c'est un esprit dans l'homme, c'est le souffle de Shaddaï qui rend intelligent.

Le grand âge ne donne pas la sagesse, ni la vieillesse l'intelligence de ce qui est juste. »

J’avançais maintenant, non erreur, nous avancions sur le Sentier de l’Être-Suprême. Que de joie, que de bonheur !

La maladie faisait son travail !

Oui, mais l’humain que j’étais, se transforma aussi dans le sens spirituel. Que de combats personnels tous les jours il fallait engager. Pendant cette période de deux à trois ans, j’ai combattu contre « DAME MORT » et j’ai perdu beaucoup d’humains qui se considéraient des amis, disons plutôt de bonne relation.

C’est pendant cette période que je fis connaissance d’un QUIDAM qui entra dans ma vie étrangement et il resta au sein de notre demeure façon de parler. Le soir nous dissertions pendant des heures où il m’enseigna volontairement ou involontairement, le fait est que j’appris beaucoup de cet humain Bible en main, il me fit voir le NOM de ce « DIEU » unique qu’il nommait comme Abraham « EL-SHADDAÏ » qui signifie « Dieu au-dessus des Montagnes. »

Puis il m’enseigna d’autres livres considérés comme apocryphes par la religion des hommes. Grâce à cet humain et avec l’aide du « Souffle d’Intelligence » j’ai trouvé des livres remarquables.

Depuis ce temps EL-SHADDAÏ m’a donné ce qui est inimaginable pour le commun des mortels.

Moi, le voyou, homme autoritaire, bagarreur, qui a commis adultère, fornication, qui dans sa vie à connu le milieu carcéral, même dans la cinquantaine, il a fallu que je trouve le véritable « DIEU » pour que je quitte cette vie de débauche et que je me transforme sincèrement intérieurement pour que ce « DIEU » me pardonne tous ces péchés, ces fautes, car aujourd’hui je me souviens du jour où EL-SHADDAÏ a absous ces péchés et ce n’est pas une absolution d’un humain, cela je le confirme.

Je me suis même permis de lui demander une « VIE ».

JE certifie que ce Dieu EL-SHADDAÏ m’a donné la « VIE » que je lui demandais. Cet humain vit toujours, et pour les gens qui sont au courant, par le travail et le comportement de cette enfant tous disent : « Cette enfant lui a bien été donnée, elle n’a pas connue les douleurs de la délivrance, son enfant n’a jamais connu les maladies enfantines et autres, un médecin il l’ignore, maintenant à l’école elle est une des meilleurs de sa classe »

La personne intéressée ait bien obligé de reconnaître que cette enfant a quelque chose de plus que ses sœurs.

Je ne vous conterais pas toutes les choses merveilleuses que nous avons vues, mon épouse et moi, car vous nous traiteriez de menteurs, en nous prenant pour des simples d’esprits, des hâbleurs, charlatans, fanfarons, esbroufeurs, mythomanes, etc.

Une chose est certaine, si je vous écris depuis plusieurs années alors que je devrais être en terre depuis longtemps, c’est pour vous faire connaître ce Dieu seul et unique, ce Dieu SHADDAÏ, qui est le père géniteur de Jésus le Nazaréen, celui que vous nommez Jésus-Christ, ce dernier n’étant pas un Dieu, ni l’égal de son Père, mais notre Roi sur la Terre et pour le moment notre « Médiateur ».

J’ignore si tous mes semblables qui sont venus dans notre Paradis ont essayé de trouver le sentier qui mène à EL-SHADDAÏ ou l’ont tout simplement rejeté. Parmi mes propres enfants je sais, qu’il y en a un qui s’en fou royalement, que l’autre ne veut pas l’admettre et pourtant lui !..., qu’une autre est sur le chemin de l’Être-Suprême sans le savoir, quand à ma dernière fille elle pense à EL-SHADDAÏ quand cela l’arrange, comme les chrétiens, sans les idoles tel que les croix statues ou tout autres objets qui lui ferait penser à l’idolâtrie.

Je certifie qu’EL-SHADDAÏ n’est pas responsable de la maladie « nosocomiale » contracté à l’hôpital, par contre je sais qu’il est responsable de tous ces jours de vie supplémentaire et qui met dans l’étonnement les deux médecins qui me suivent, en premier notre médecin de famille qui avait prophétisé à mon épouse que je n’arriverai jamais jusqu’à soixante-cinq ans, et je suis aujourd’hui dans ma soixante-neuvième année, ce qui est pour lui incompréhensible car je vie sur cette Terre contre la logique médicinale, et il en est de même pour le spécialiste qui me suit depuis dix ans à l’hôpital.

Je vous écris cette partie de ma vie pour vous prouver qu’EL-SHADDAÏ pardonne beaucoup de péchés, mais je n’ai jamais commis le contre-nature. Si vous faites un pas vers Lui, il en fait dix vers vous, et si vous allez vers Lui avec sincérité, sans hypocrisie, il aplanît le sentier qui  mène à Lui car il désire que vous soyez son enfant, et comme un père il vous aimera, vous cajolera, et vous corrigera quand vous fauterez, tout cela je le confirme pour l’avoir vécu.

Comme je l’ai été, vous êtes seul pour faire votre choix, seul de votre décision, car comme ce Dieu que je vénère, comme nous sommes son image, son reflet, nous sommes de petit Dieu sur la Terre, nous sommes responsable de nous-même devant sa face, libre de notre choix, car contrairement à l’animal qui vie par instinct, nous pouvons réfléchir, raisonner, penser puisque nous sommes inventeur, créateur, et volontairement nous choisissons la vie ou le néant.

Croyez-vous sincèrement que la vie que nous menons sur la Terre était celle prévue par celui qui nous a créés ? … ?

Je reviendrai sur cette réflexion !

Pour ce jour je vous laisse à votre réflexion, votre raisonnement.

Portez-vous bien et prenez soins de votre maisonnée en accord avec les Lois d’EL-SHADDAÏ et les Enseignements de Jésus le Nazaréen !

Salutations cordiales à Tous !

Sig : JP.G. dit « GRANDELOUPO »

 


Commentaires

 
 
 
posté le 13-04-2015 à 01:42:13

Déchéance d'une religion Chap. N° 18 - Mauvais Pasteurs

Première Religion Mondiale le CHRISTIANISME

 

« N’appeler personne « Père » sur la Terre, car un seul est votre « Père » celui qui est dans les cieux. » (Épître des Apôtres IV : 1, Matthieu XXIII : 9)

Alors pourquoi un « Très Saint Père = le Pape », pourquoi nommé un prélat « mon Père » ?

« Notre Père qui est aux cieux … », cela fait bien partie de la prière la plus importante de toute la chrétienté !

« Que ton Nom soit sanctifié », ton nom ce n’est pas ce nom vulgaire « Dieu » car « Dieu » il en existe des milliers, donc que « ton NOM » comme EL-SADDAÏ qui signifie Dieu-SHADDAÏ, mais encore « Dieu au-dessus des Montagnes », cela est un « NOM » comme Très-Haut, Tout-Puissant, Roi des Âges, Éternel, Yahvé, etc.

Ce Nom est un nom « Saint » voilà pourquoi il est sanctifier qui signifie vénérer, adorer, glorifier et ce nom ce n’est pas celui de son fils, mais bien le sien à lui, le Dieu seul et unique !

Je viens en une ligne de la Bible, vous démontrer l’erreur du christianisme d’aujourd’hui, et sa déchéance.

Alors voici son histoire et votre liberté d’action car chaque humain est responsable de lui et c’est seul qu’il affrontera le Jugement du Père.

 

Histoire et déchéance de cette Religion

 

Dernières lignes du chapitre précédent :

 

En effet « l’Esprit » est la manière de penser, de réfléchir, de raisonner sur un thème, par exemple sur le Créateur, c’est une « Intelligence », et une fois tout ce déroulement accompli il ne reste qu’une partie inscrit dans la mémoire afin qu’il y ait souvenance.

Qui peut toucher, palper l’esprit ?

Personne car « l’esprit » est comme le vent !

Cela vous prouve, nous prouve que ce « Saint-Esprit » ou « Esprit-Saint » est une menterie absolue et qu’il ne peut exister !

Comme écrit avant ce sont les cardinaux qui élisent l’Evêque de Rome, et l’élection de Damase Ier s’est faite dans le sang puisqu’il y eut plus de cent trente morts. A sa mort en 384 les cardinaux élièrent Sirice Évêque de Rome en remplacement de Damase Ier.

Celui-ci affirmera la primauté de Rome sur les questions doctrinales, sacerdotales et apostoliques. Une lettre envoyée à l’Évêque de Tarragone, Himérius, par Sirice qui donnait son opinion et qui reprenait les dispositions des Conciles de Nicée en 325 et celui de Sardique en 343, fut appelés décrétale en devenant une loi pour l’ensemble de l’Église.

C’était la première fois qu’une opinion devenait loi d’où le nom de cette missive « décrétale ».

 

 

Chapitre N° 18

 

Mauvais Pasteurs

 

Les Évêques se succédèrent à Rome en prenant de plus en plus d’importance sur tous les autres évêchés. La richesse de l’Église et les fastes cérémonials prenant de plus en plus d’ampleur.

Comme souvent je le répète, l’Enseignement de Jésus le Nazôréen est dans les oubliettes, seul son « Nom » apporte gloire et fortune grâce à la trahison, l’hypocrisie, le mensonge, le meurtre ou l’assassinat.

La crosse est le bâton pastoral des évêques et des abbés, insigne de leur pouvoir.

La crosse, nommée dans l’antiquité « houlette » était un grand bâton de berger qui d’un côté était incurvé et creusé comme une gouttière, servant à jeter des mottes de terre ou des pierres aux moutons, chèvres, cabris, boucs qui s’éloignaient du troupeau, et de l’autre en forme de pointe pour piquer l’animal qui ne voulait pas marcher, mais surtout pour faciliter la marche du berger. Ce grand bâton soulageait le berger de sa station debout par appui du corps en avant comme un trépied. La partie arrondie servait à saisir aisément le petit bétail par la patte arrière, sans se baisser, ni effrayer l’animal par l’approche du berger.

Les Évêques prirent ce bâton de berger comme un symbole de leur fonction, le nom de houlette étant remplacé par « Crosse », cette « crosse » signifiant bâton de celui qui dirige, conseille, et secourt, houlette du bon pasteur, marchant à la tête du troupeau des fidèles, signe d'une autorité paternelle.

Les trois symboles de la crosse sont : solide pour soutenir les faibles, recourbé pour rattraper ceux qui s'égarent et pointue pour piquer ceux qui hésitent.

En résumé et pour finir le « Cérémonial » des Évêques donne la liste des insignes épiscopaux : l’anneau, la crosse, la mitre, la croix pectorale.

La crosse est le bâton pastoral des évêques et des abbés, insigne de leur pouvoir.

La crosse avait initialement la forme d'un tau grec T, mais à partir du XIIe siècle son extrémité supérieure a pris la forme recourbée qui est aujourd'hui la plus répandue, en volute. Cette forme est aussi celle de la houlette du berger, image très emblématique.

Dans l'Empire romain depuis Théodose, le titre de cardinalis était donné à des officiers de la couronne, à des généraux d'armée, au préfet du prétoire en Asie et en Afrique, parce qu’ils remplissaient les principales charges de l'empire.

Les cardinaux étaient à l'origine les membres du clergé de Rome, dépendants de l'évêque de Rome qu'ils avaient la charge d'élire. On distinguait trois ordres de cardinaux : les cardinaux évêques des diocèses circonvoisins, évêchés suburbicaires, les cardinaux prêtres, titulaires des paroisses ou titres de la ville de Rome, et les cardinaux diacres, responsables des diaconies romaines.

Cette prérogative de la ville de Rome ne fut réellement effective qu’à partir du VIIIème siècle. En effet sous l’empire romain depuis Constantin le Grand, ce sont les Empereurs qui sont Pontife Maximus de l’église en générale et le siège est à Constantinople qui était nommé la « Nouvelle Rome ». Ce sont eux qui décrètent les Conciles et élisent des Évêques. Seule la ville de Rome aura se statut particulier de l’élection d’un Évêque principal qui représentera tous les autres Évêques de la région romaine. Cet Évêque de Rome prendra de plus en plus d’importance et de pouvoir. Il faudra attendre l’effondrement de l’Empire Romain puis l’aide de Pépin le Bref à l’Évêque de Rome Étienne II qui lui offrit les premiers États Pontificaux ce dernier prenant illico le titre de Pontife de Rome. Le véritable premier Pape de Rome était né et ce fut cet « Étienne II ».

En 1059, au moment de la réforme grégorienne de l’Église, le pape Nicolas II définit avec plus de précision le statut des Cardinaux et leur accorda un rang supérieur aux autres évêques de l'Église. En 1179, le pape Alexandre III fit adopter par le IIIe concile du Latran la règle, encore en vigueur, de la majorité des deux tiers pour l'élection d'un nouveau pape. En 1181, les cardinaux prêtres de Rome acquirent le pouvoir d'élire seuls le pape, à l'exclusion du clergé et du peuple de Rome. Ils obtinrent par-là la prééminence sur les évêques.

Dans les tous premiers siècles, après le décès de Jésus le Nazôréen, les Évêques ne portaient aucun bâton avec eux il faut attendre le Xème ou le XIème siècle pour voir les Évêques avec ce signe d’autorité et de prestance oubliant la signification de cette « crosse » car aujourd’hui elle ne sert qu’à dévoiler la richesse de celui qui l’a en main par les sculptures en or gravées tout autour.

Ce sont de mauvais « berger » !

Et la Bible en juxtaposition avec « Israël » et la prophétie du comportement humain dans les dernières générations, décrit bien ces mauvais « Pasteurs ».

Je reconnais que ce qui va être écrit ci-dessous sera un peu long, mais c’est EL-SHADDAÏ lui-même qui peint le « Berger » et le mauvais Pasteur à Ézéchiel.

Ézéchiel XXXIV : - (---) remplace Yahvé

« Fils d'homme, prophétise contre les Pasteurs {---}, prophétise. Tu leur diras : Pasteurs, ainsi parle le Seigneur EL-SHADDAÏ (---). Malheur aux Pasteurs {---} qui se paissent eux-mêmes. Les Pasteurs ne doivent-ils pas paître le troupeau ?

Vous vous êtes nourris de lait, vous vous êtes vêtus de laine, vous avez sacrifié les brebis les plus grasses, mais vous n'avez pas fait paître le troupeau.

Vous n'avez pas fortifié les brebis chétives, soigné celle qui était malade, pansé celle qui était blessée. Vous n'avez pas ramené celle qui s'égarait, cherché celle qui était perdue. Mais vous les avez régies avec violence et dureté.

Elles se sont dispersées, faute de Pasteur, pour devenir la proie de toutes bêtes sauvages. Elles se sont dispersées.

Mon troupeau erre sur toutes les montagnes et sur toutes les collines élevées, mon troupeau est dispersé sur toute la surface du pays, nul ne s'en occupe et nul ne se met à sa recherche.

Eh bien! Pasteurs, écoutez la parole d’EL-SHADDAÏ (---).

Par ma vie, oracle du Seigneur EL-SHADDAÏ (---), je le jure : parce que mon troupeau est mis au pillage et devient la proie de toutes les bêtes sauvages, faute de Pasteur, parce que mes Pasteurs ne s'occupent pas de mon troupeau, parce que mes Pasteurs se paissent eux-mêmes sans paître mon troupeau.

 Eh bien ! Pasteurs, écoutez la parole d’EL-SHADDAÏ (---).

Ainsi parle le Seigneur EL-SHADDAÏ (---).

Voici, je me déclare contre les Pasteurs. Je leur reprendrai mon troupeau et désormais, je les empêcherai de paître mon troupeau. Ainsi les Pasteurs ne se paîtront plus eux-mêmes. J'arracherai mes brebis de leur bouche et elles ne seront plus pour eux une proie.

Car ainsi parle le Seigneur EL-SHADDAÏ (---) : Voici que j'aurai soin moi-même de mon troupeau et je m'en occuperai.

Comme un Pasteur s'occupe de son troupeau, quand il est au milieu de ses brebis éparpillées, je m'occuperai de mes brebis. Je les retirerai de tous les lieux où elles furent dispersées, au jour de nuées et de ténèbres.

Dans un bon pâturage je les ferai paître, et sur les plus hautes montagnes  {---} sera leur pacage. C'est là qu'elles se reposeront dans un bon pacage; elles brouteront de gras pâturages sur les montagnes {---}.

C'est moi qui ferai paître mes brebis et c'est moi qui les ferai reposer, oracle du Seigneur EL-SHADDAÏ (---).

Je chercherai celle qui est perdue, je ramènerai celle qui est égarée, je panserai celle qui est blessée, je fortifierai celle qui est malade. Celle qui est grasse et bien portante, je veillerai sur elle. Je les ferai paître avec justice.

Quant à vous, mes brebis, ainsi parle le Seigneur EL-SHADDAÏ (---). Voici que je vais juger entre brebis et brebis, entre béliers et boucs.

Non contents de paître dans de bons pâturages, vous foulez aux pieds le reste de votre pâturage; non contents de boire une eau limpide, vous troublez le reste avec vos pieds.

Et mes brebis doivent brouter ce que vos pieds ont foulé et boire ce que vos pieds ont troublé.

Eh bien! Ainsi leur parle le Seigneur EL-SHADDAÏ (---) : Me voici, je vais juger entre la brebis grasse et la brebis maigre.

Parce que vous avez frappé des reins et de l'épaule et donné des coups de cornes à toutes les brebis souffreteuses jusqu'à les disperser au dehors, je vais venir sauver mes brebis pour qu'elles ne soient plus au pillage, je vais juger entre brebis et brebis.

Je susciterai pour le mettre à leur tête un Pasteur qui les fera paître, mon serviteur David : c'est lui qui les fera paître et sera pour eux un Pasteur.

Moi, EL-SHADDAÏ (---), je serai pour eux un Dieu, et mon serviteur David sera prince au milieu d'eux. Moi, EL-SHADDAÏ (---), j'ai parlé.

Je conclurai avec eux une alliance de paix, je ferai disparaître du pays les bêtes féroces. Ils habiteront en sécurité dans le désert, ils dormiront dans les bois.

Je les mettrai aux alentours de ma colline, je ferai tomber la pluie en son temps et ce sera une pluie de bénédictions.

L'arbre des champs donnera son fruit et la terre donnera ses produits; ils seront en sécurité sur leur sol. Et l'on saura que je suis EL-SHADDAÏ (---) quand je briserai les barres de leur joug et que je les délivrerai de la main de ceux qui les asservissent.

Ils ne seront plus un butin pour les nations, et les bêtes du pays ne les dévoreront plus. Ils habiteront en sécurité, sans qu'on les trouble.

Je ferai pousser pour eux une plantation célèbre; il n'y aura plus de victimes de la famine dans le pays, et ils n'auront plus à subir l'insulte des nations.

Et vous, mes brebis, vous êtes le troupeau humain que je fais paître, et moi, je suis votre Dieu, oracle du Seigneur EL-SHADDAÏ (---). »

Quelle prophétie !... ! Une merveille d’espoir et de réalité !

Voyons maintenant ce que l’Apôtre Jean écrit dans son Évangile.

Jean X : 1-18, 25-29

« En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui n'entre pas par la porte dans l'enclos des brebis, mais en fait l'escalade par une autre voie, celui-là est un voleur et un brigand. Celui qui entre par la porte est le pasteur des brebis.

Le portier lui ouvre et les brebis écoutent sa voix, et ses brebis à lui, il les appelle une à une et il les mène dehors.

Quand il a fait sortir toutes celles qui sont à lui, il marche devant elles et les brebis le suivent, parce qu'elles connaissent sa voix.

Elles ne suivront pas un étranger, elles le fuiront au contraire, parce qu'elles ne connaissent pas la voix des étrangers. »

Jésus leur tint ce discours mystérieux, mais eux ne comprirent pas ce dont il leur parlait.

Alors Jésus dit à nouveau :

 « En vérité, en vérité, je vous le dis, je suis la porte des brebis.

Tous ceux qui sont venus avant moi sont des voleurs et des brigands, mais les brebis ne les ont pas écoutés.

Je suis la porte. Si quelqu'un entre par moi, il sera sauvé. Il entrera et sortira, et trouvera un pâturage.

Le voleur ne vient que pour voler, égorger et faire périr. Moi, je suis venu pour qu'on ait la vie et qu'on l'ait surabondante.

Je suis le bon Pasteur. Le bon Pasteur donne sa vie pour ses brebis.

Le mercenaire, qui n'est pas le Pasteur et à qui n'appartiennent pas les brebis, voit-il venir le loup, il laisse les brebis et s'enfuit, et le loup s'en empare et les disperse.

C'est qu'il est mercenaire et ne se soucie pas des brebis.

Je suis le bon Pasteur. Je connais mes brebis et mes brebis me connaissent, comme le Père me connaît et que je connais le Père, et je donne ma vie pour mes brebis.

J'ai encore d'autres brebis qui ne sont pas de cet enclos, celles-là aussi, il faut que je les mène, elles écouteront ma voix, et il y aura un seul troupeau, un seul Pasteur. C'est pour cela que le Père m'aime, parce que je donne ma vie, pour la reprendre.

Personne ne me l'enlève, mais je la donne de moi-même. J'ai pouvoir de la donner et j'ai pouvoir de la reprendre, tel est le commandement que j'ai reçu de mon Père. »

Jésus leur répondit : « Je vous l'ai dit, et vous ne croyez pas. Les œuvres que je fais au nom de mon Père témoignent de moi, mais vous ne croyez pas, parce que vous n'êtes pas de mes brebis.

Mes brebis écoutent ma voix, je les connais et elles me suivent. Je leur donne la vie éternelle, elles ne périront  jamais et nul ne les arrachera de ma main.

Mon Père, quant à ce qu'il m'a donné, est plus grand que tous. Nul ne peut rien arracher de la main du Père. »

Ces Évêques depuis mille huit cents ans ne ressemblent-ils pas à des loups, des voleurs et des brigands ?

Avez-vous bien lu les paroles dites par EL-SHADDAÏ et celles de son Fils Jésus le Nazôréen.

« Moi, EL-SHADDAÏ (---), je serai pour eux un Dieu, et mon serviteur David sera prince au milieu d'eux. Moi, EL-SHADDAÏ (---), j'ai parlé. »

Le serviteur David ici représente bien Jésus le Nazaréen, Jésus-Christ pour vous chrétien ! Vous êtes bien en accord avec moi, car je n’invente rien, et tous vos Prélats diront comme moi !

Donc ce serviteur David, préfigurant Jésus le Nazaréen, n’est pas un Dieu mais il est « Prince » au milieu des brebis qui représentent les « humains » et EL-SHADDAÏ sera leur Dieu.

Pour confirmer dans Jean, Jésus le Nazaréen dit bien qu’il est le bon Pasteur et qu’il n’y aura qu’un seul troupeau car il réunira toutes les brebis, soit tous les humains qui entendent sa voix pour vivre éternellement, quant à son Père il dit bien qu’il est plus grand que tout. Par cette phrase Jésus le Nazaréen reconnait qu’il n’est pas l’égal de son Père, et que celui-ci est l’unique Dieu car nul ne peut rien arracher de la main de ce Père.

Et voici une manière de le prier !

Psaumes XXIII :

« EL-SHADDAÏ (---) est mon berger, rien ne me manque.

Sur des prés d'herbe fraîche il me parque. Vers les eaux du repos il me mène, il y refait mon âme; il me guide aux sentiers de justice à cause de son Nom.

Passerais-je un ravin de ténèbres, je ne crains aucun mal car tu es près de moi; ton bâton, ta houlette sont là qui me consolent.

Devant  moi tu apprêtes une table face à mes adversaires; d'une onction tu me parfumes la tête, ma coupe déborde.

Oui, grâce et bonheur me pressent tous les jours de ma vie; ma demeure est la maison d’EL-SHADDAÏ  (---) en la longueur des jours. »

Je viens de vous poser la merveilleuse prophétie du Dieu seul et unique EL-SHADDAÏ, qui est aussi votre Dieu « Dieu », mais moi le païen j’arrête l’hypocrisie et je lui donne un « NOM », pas un Nom de mon invention, mais le nom qu’un pasteur de troupeaux, bien avant Moïse, du nom d’Abraham, donna à cet Être invisible à ses yeux, le jour que ce Dieu c’est fait connaître à un humain.

I Pierre II : 3-8

« Si du moins vous avez goûté combien le Seigneur est excellent.

Approchez-vous de lui, la pierre vivante, rejetée par les hommes, mais choisie, précieuse auprès d’EL-SHADDAÏ.

Vous-mêmes, comme pierres vivantes, prêtez-vous à l'édification d'un édifice spirituel, pour un sacerdoce sain, en vue d'offrir des sacrifices spirituels, agréables à EL-SHADDAÏ par Jésus Christ.

Car il y a dans l'Écriture : Voici que je pose en Sion une pierre angulaire, choisie, précieuse, et celui qui se confie en elle ne sera pas confondu.

A vous donc, les croyants, l'honneur, mais pour les incrédules, la pierre qu'ont rejetée les constructeurs, celle-là est devenue la tête de l'angle, une pierre d'achoppement et un rocher qui fait tomber »

Vous constaterez que j'ai écrit « sacerdoce sain », et que volontairement j'ai supprimé le « t », afin que le sens réel de cette phrase soit dans la pensée de l'auteur car il ne parle pas d'un sacerdoce de vénération, adoration, glorification, mais d'un sacerdoce pur, propre, sans tache.

Il y a tant à écrire sur cette plus grande religion mondiale qui est la porte-parole de SAMMAËL, Prince de ce monde pour encore un « Temps » et qui par son emblème de la croix nous prouve à nous humains éclairés et réfléchis que cette religion est idolâtre et qu’au jour de la colère d’EL-SHADDAÏ ses statues, crucifix et autres s’écrouleront comme un château de carte. Pour le moment elle entraîne avec elle la mort d’un nombre incalculable d’humains qui ne reverront jamais plus cette Terre car ils sont retournés dans le néant.

Vous mes semblables ouvrez les yeux, les oreilles regardez la vérité devant et autour de vous et constatez la véracité de tout ce que vous venez de lire. Prenez le chemin qui mène à ce Dieu seul et unique celui que je nomme EL-SHADDAÏ comme Abraham.

Portez-vous bien !

Salutations cordiales !

Sig : JP.G. dit « GRANDELOUPO »

 


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posté le 03-04-2015 à 01:30:02

Pâque, Vendredi 03 Avril 2015, chap. N° 8 - Jour de Pâque, notre libération

PÂQUE, année 2015

 

Petit Texte d’introduction

 

Aujourd’hui, Vendredi 03 Avril nous allons célébrer la Pâque comme notre Dieu, que nous nommons comme Abraham, EL-SHADDAÏ, nous le demande. « Entre les deux Soirs », après le coucher du soleil soit à 20h20mn, et la nuit noire, 23h30mn 24h, nous consommerons la Pâque avec comme pour chez nous une petite entrée, puis une viande rôtie, si c’est un gigot ou une épaule d’agneau ou une autre viande possédant un os nous ferons attention a ce qu’il ne soit pas brisé, accompagné de ses légumes, avec un pain sans levain que nous aurons confectionné nous même ou commandé spécialement à notre boulanger, le tout arrosé avec un vin rouge. Au cours du repas nous demanderons la bénédiction à EL-SHADDAÏ avant de fractionner le pain, et en donner à toute la tablée, et nous ferons la même chose avant de boire le vin en demandant à notre Dieu qu’il bénisse ce vin, et nous lui demanderons qu’il daigne nous pardonner nos fautes. Tout cela sera fait par le responsable de table, et rien ne vous empêche avant de consommer le pain et le vin de faire une prière intérieure et personnelle.

Alors mes semblables il me semble qu’en huit chapitres j’ai essayé de vous faire comprendre la Pâque, car nous somme notre propre sanctuaire, et Jésus le Nazôréen nous à libéré de l’emprise religieuse, et du coup de celui de Sammaël Roi de la Terre et ses environs pour le moment, celui que la populace nomme « Prince » de ce monde.

Bonne lecture et bonne Pâque !

Qu’EL-SHADDAÏ, ce Dieu seul et unique, vous guide comme un Père aimant ses Enfants, qu’il vous bénisse, pardonnant vos fautes, tout ceci par notre médiateur et assesseur Jésus le Nazôréen notre Roi aux Cieux, et avec empressement nous attendons son investiture sur la Terre.

 

Dernières phrases du Chapitre précédent

 

J’ai commencé ce chapitre en disant qu’il fallait quelque chose qui marque l’esprit de l’humain, et bien c’est fait, car déjà en premier, trois heures de Ténèbres, surtout à l’époque où tous les humains croyaient en plusieurs Dieux pour gérer leur journée, et plus grave encore pour les Israélites, qui par cette nuit en pleine journée voyaient la colère de leur Dieu, mais ils avaient le cœur fermé et ils ne voulaient pas admettre la messianité de Jésus le Nazôréen. Matthieu XXVII : 54, « Quant au centurion et aux hommes qui avec lui gardaient Jésus, à la vue du séisme et de ce qui se passait, ils furent saisis d'une grande frayeur et dirent : « Vraiment celui-ci était fils d’EL-SHADDAÏ » Luc XXIII : 48, « Et toutes les foules qui s'étaient rassemblées pour ce spectacle, voyant ce qui était arrivé, s'en retournaient en se frappant la poitrine. » Par ces versets nous nous apercevons de la terreur, de l’angoisse, de la peur que les humains cosmopolites de Jérusalem et des alentours avaient, car des écrits apocryphes ajoutent que quand Jésus le Nazôréen remit son esprit à son Père le ciel s’était encore obscurcit, que la terre tremblait à faire bouger les montagnes, que le tonnerre se faisait entendre avec force, que les roches se fendirent et les tombeaux des Justes s’ouvrirent.

 

 

 

Chapitre N° 8

 

Jour de Pâque, notre liberté

 

Alors pourquoi toute cette torture et tout ce sang versé, sachant que le sang c’est la vie ?

Jésus de Nazareth, nommé Jésus le Nazôréen va au supplice de la crucifixion romaine comme l’agneau ou le petit bétail va sur l’esplanade du Temple se faire égorger par le Grand Prêtre sur l’autel du Sain pour l’expiation des péchés humains. Considérons que la croix est l’autel du sacrifice, simplement que Jésus meurt par asphyxie ce qui est de l’étouffement et cela ne va pas avec les Écritures. A moins que sa mort soit due à une perte de sang trop importante, mais son agonie dure quand même trois heures.

Avec la lance le centurion transperce le coté droit de Jésus, donc il pénètre la lance dans le foie de Jésus le Nazôréen et immédiatement de la blessure sort de l’eau et du sang. Cette réaction du corps de Jésus est hautement symbolique puisqu’il y a la purification par l’eau et la vie éternelle par le sang, le sang étant l’âme de tout être vivant. Pour l’humain, le sang siège du principe vital est sa marque personnelle de reconnaissance, son ADN, l’unique dans tout l’Univers, depuis la création de cette magnifique machine, qui comporte en elle plus de mille deux cents usines de transformation chimique, mais aussi contradictoire car le sang qui est la vie, depuis la transgression des deux premiers humains, transporte aussi la mort, la marque du « péché ».

Le sacrifice définitif de Jésus le Nazôréen eut lieu hors de la ville de Jérusalem, Épître aux Hébreux XIII : 12 « C’est pourquoi Jésus aussi, pour sanctifier le peuple par son propre sang, a souffert hors de la porte. » , comme les Grands Prêtres faisaient avec les animaux sacrifiés, Lévitique XXVI : 27« Quant au taureau et au bouc offerts en sacrifice pour le péché et dont le sang a été porté dans le sanctuaire pour faire le rite d'expiation, on les emportera hors du camp et l'on brûlera dans un feu leur peau, leur chair et leur fiente. » pour l’expiation des péchés du peuple d’Israël, mais pour Jésus c’est pour l’expiation des péchés du monde.

EL-SHADDAÏ par amour pour sa plus belle création, l’humain, qui dès son origine avait été conçu pour vivre indéfiniment sur cette Terre, homme et femme, à l’image, au reflet de leur concepteur, qui par une transgression volontaire d’une seule Loi d’interdiction, amenèrent leur propre mort, ainsi qu’a leur descendance, envoya son propre fils engendré dans les Cieux, pour être une seconde fois engendré, mais en tant qu’humain, afin que ce dernier recouvre la vie éternelle.

Il faut reconnaître que Jésus le Nazaréen avait « fourni le bâton pour se faire frapper » par ses ennemis quand ceux-ci répétèrent cette maxime, Matthieu XXVI : 61, « Cet homme a dit : Je puis détruire le Sanctuaire d’EL-SHADDAÏ et le rebâtir en trois jours. » simplement que Jésus prophétisait la destruction du Temple, ainsi que tout ce qui le symbolisait, particulièrement le culte des hébreux, avec la disparition des « Grands Prêtres », substitué par Jésus seul, puisqu’il était, Psaumes CX : 3-4, « A toi le principat au jour de ta naissance, les honneurs sacrés dès le sein, dès l'aurore de ta jeunesse. EL-SHADDAÏ l'a juré, il ne s'en dédira point « Tu es prêtre à jamais selon l'ordre de Melchisédech.» »,  et par là même devenait à lui seul le Temple Nouveau par sa résurrection, après trois jours dans l’Hadès. Matthieu XVII : 22-23, « Le Fils de l'homme va être livré aux mains des hommes, et ils le tueront, et, le troisième jour, il ressuscitera. » Jésus en trois jours avait reconstruit le « Nouveau Temple Céleste », mais cela les juifs ne le comprirent pas, car ce « Temple là » devenait indestructible.

 EL-SHADDAÏ  en accord avec son fils, et celui-ci faisant et obéissant aux volontés de son Père, construisait la Jérusalem Céleste et ce Dieu seul et unique en était la pierre angulaire. Il savait l’humain dans sa généralité indécrottable, et pourtant sur toute la Terre païenne, comme parmi son peuple choisi, les hébreux, un petit nombre le cherchait et sans le connaître essayait de suivre ses Lois dans leur cœur, et c’est pour ce petit nombre d’humains qu’il envoya son fils sur la Terre parce que ce dernier devait mourir en répandant son sang, car le sang est l’accord de scellement de toute « Alliance », et l’Alliance qu’EL-SHADDAÏ avait fait avec les humains à l’ère de Moïse devenait caduc. Épître aux Hébreux VIII : 6-13, « Mais à présent, Jésus le Nazôréen a obtenu un ministère d'autant plus élevé que meilleure est l'alliance dont il est le médiateur, et, fondée sur de meilleures promesses. Car si cette première alliance avait été irréprochable, il n'y aurait pas eu lieu de lui en substituer une seconde. C'est en effet en les blâmant qu’EL-SHADDAÏ déclare : « Voici que des jours viennent, dit le Seigneur El-Shaddaï, et je conclurai avec la maison d'Israël et la maison de Juda une alliance nouvelle, non pas comme l'alliance que je fis avec leurs pères, au jour où je pris leur main pour les tirer du pays d'Égypte. Puisqu'eux-mêmes ne sont pas demeurés dans mon alliance, moi aussi je les ai négligés, dit le Seigneur El-Shaddaï. Voici l'alliance que je contracterai avec la maison d'Israël, après ces jours-là, dit le Seigneur El-Shaddaï : Je mettrai mes lois dans leur pensée, je les graverai dans leur cœur, et je serai leur Dieu et ils seront mon peuple. Personne n'aura plus à instruire son concitoyen, ni personne son frère, en disant : « Connais le Seigneur EL-SHADDAÏ », puisque tous me connaîtront, du petit jusqu'au grand. Car je pardonnerai leurs torts, et de leurs péchés je n'aurai plus souvenance. » En disant : alliance nouvelle, il rend vieille la première. Or ce qui est vieilli et vétuste est près de disparaître. » Le Père de Jésus le Nazôréen conclut bien une nouvelle alliance avec les humains, puisque son fils est établi pour l’éternité « Grand Prêtre » parce qu’il fut parfait sur la Terre donc supérieur à la descendance d’Aaron, les prêtres lévites pécheurs et mortels. Cette supériorité sur les prêtres lévitiques fut démontrée lors de son ministère par la remise des péchés de beaucoup d’humains.

La chrétienté par les deux premiers versets du premier chapitre de Jean voit là Jésus comme étant « le Verbe », et par la même déclare la divinité de ce dernier. Ne vous laissez pas tromper !

Il n’existe qu’un seul et unique « Dieu », c’est EL-SHADDAÏ, Père géniteur de Jésus le Nazôréen, son fils par deux fois, dans les Cieux, et humain sur la Terre, ce fils étant déjà Roi dans les Cieux en attente de son avènement sur la Terre comme Roi, le jour où Sammaël et les Siens seront endormis, le péché n’existera plus sur la Terre pour un « Temps »

Je reviens à Jésus le Nazôréen. Grâce à lui nous n’avons plus besoin de « Grand Prêtre », et encore moins de Prêtres, comme toute la hiérarchie chrétienne quel qu’elle soit, même le protestantisme qui fait aussi partie de la chrétienté, car un seul est « Prêtre » pour tous les humains c’est Jésus le Nazôréen, notre médiateur, assesseur devant EL-SHADDAÏ notre Dieu seul et unique.

Quand Jésus le Nazôréen institua l’Eucharistie, le jour de la Pâque, il le fit par des gestes solennelles et précis, bénédiction du pain puis du vin à El-Shaddaï, rappelant le rituel sacerdotal des Prêtres Hébreux quand ils immolaient pour son Père un taureau, un bouc ou tous autres animaux purs pour le sacrifice de la Pâque. Comme écrit ci-dessus Jésus le Nazaréen par sa perfection est le Grand Prêtre du Temple des Cieux, mais aussi du Temple spirituel terrestre.

 Attention à ne pas confondre le symbolisme du dernier repas terrestre de Jésus, avec la réalité car quelle explication donner aux paroles de Jésus quand il dit Luc XXII : 15-16, « J'ai ardemment désiré manger cette Pâque avec vous avant de souffrir ; car je vous le dis, jamais plus je ne la mangerai jusqu'à ce qu'elle s'accomplisse dans le Royaume d’EL-SHADDAÏ. » Matthieu XXVI : 26-29, « Or, tandis qu'ils mangeaient, Jésus prit du pain, le bénit, le rompit et le donna aux disciples en disant : « Prenez, mangez, ceci est mon corps. », « Puis, prenant une coupe, il rendit grâces et la leur donna en disant : « Buvez-en tous ; car ceci est mon sang, le sang de l'alliance, qui va être répandu pour une multitude en rémission des péchés. Je vous le dis, je ne boirai plus désormais de ce produit de la vigne jusqu'au jour où je le boirai avec vous, de nouveau, dans le Royaume de mon Père. »

En plus de ces versets il y a ceux de Jean VI : 48-51« Je suis le pain de vie. Vos pères, dans le désert, ont mangé la manne et sont morts ; ce pain est celui qui descend du ciel pour qu'on le mange et ne meure pas. Je suis le pain vivant, descendu du ciel. Qui mangera ce pain vivra à jamais. Et même, le pain que je donnerai, c'est ma chair pour la vie du monde. » », puis les versets suivant pour être complet, 53-58 « Alors Jésus leur dit : « En vérité, en vérité, je vous le dis, si vous ne mangez la chair du Fils de l'homme et ne buvez son sang, vous n'aurez pas la vie en vous. Qui mange ma chair et boit mon sang a la vie éternelle et je le ressusciterai au dernier jour. Car ma chair est vraiment une nourriture et mon sang vraiment une boisson. Qui mange ma chair et boit mon sang demeure en moi et moi en lui. De même que le Père, qui est vivant, m'a envoyé et que je vis par le Père, de même celui qui me mange, lui aussi vivra par moi. Voici le pain descendu du ciel ; il n'est pas comme celui qu'ont mangé les pères et ils sont morts ; qui mange ce pain vivra à jamais. »

Vous venez de lire ce que Jean à écrit dans son Évangile en l’an 85-95 de l’EC. Jésus le Nazaréen est décédé voilà une soixantaine d’années. La mouvance de Jésus le Nazôréen c’est développée à partir de la Galilée et de Jérusalem en particulier. Les Apôtres étaient tous des Hébreux, et la majorité des Disciples aussi, dont une petite partie était hellénisée. Mettez-vous à la place de ces humains dont le Temple, pilier et origine de leur foi, vient d’être rasé en l’an 70. En plus de cela le Nouveau Testament tel que nous le connaissons n’existe pas, seule circulent des feuillets écrits par des différents Disciples et Apôtres qui ont connu Jésus le Nazaréen. L’histoire de ce dernier ce conte de bouche à oreille, car tout l’enseignement est oral.

Pensez à ces humains qui entendent « manger le corps du Messie ou de Jésus de Nazareth et buvez son sang, car son corps est le pain de vie ainsi que son sang ». Ceux qui font cela, qui mangent de la chair humaine et boivent le sang sont considérés par leurs semblables comme des cannibales et des vampires. En lisant les versets ci-dessus au premier degré ces pensées, ces raisonnements sont normaux.

Jésus le Nazôréen à lui seul est un « Temple » et par ces actions au repas de la Pâque, avec ces paroles, lui le seul Grand Prêtre parfait, donne une plénitude de formulation en sept points qui représente cette perfection, car il se définit lui-même étant le vrai pain de vie, la vraie lumière, Jean VIII : 12, « De nouveau Jésus leur adressa la parole et dit : « Je suis la lumière du monde. Qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres, mais aura la lumière de la vie. » », la porte par laquelle entre les brebis dans le royaume de son Père, ces dernières représentent les humains, le bon Pasteur car un bon Pasteur donne sa vie pour ses brebis car elles le connaissent et lui les connaît ; la résurrection Jésus répondant à Marthe la sœur de Lazare qu’il allait ressusciter, Jean XI : 25-26, « Jésus lui dit : « Je suis la résurrection. Qui croit en moi, même s'il meurt, vivra ; et quiconque vit et croit en moi ne mourra jamais. Le crois-tu ? » » ; la route, le chemin qui par son enseignement mène à son Père, car nous connaissons son Père, EL-SHADDAÏ notre Dieu, mais aussi son Fils engendré, Jésus le Nazôréen notre Roi, qui est pour le moment en ces vingt et un siècles notre assesseur, médiateur, en attendant son « Investiture Royale » sur la Terre, et nous ne pouvons aimer l’un et ignorer l’autre, surtout que le Fils de notre Dieu seul et unique a versé son sang pour que nous recouvrions la vie éternelle ; la vraie vigne et avant toute chose voyons ce que dit Jean XV : 1-2, « « Je suis la vigne véritable et mon Père est le vigneron. Tout sarment en moi qui ne porte pas de fruit, il l'enlève, et tout sarment qui porte du fruit, il l'émonde, pour qu'il porte encore plus de fruit. », là encore l’image est explicite puisque l’humain est le sarment et le verset complète bien la pensée, « Je suis la vigne ; vous, les sarments. Celui qui demeure en moi, et moi en lui, celui-là porte beaucoup de fruit ; car hors de moi vous ne pouvez rien faire. »

Jésus le Nazaréen se considère comme le pain de vie au sens spirituel car qui avale son enseignement en Esprit, acquière le Sagesse, Proverbe IX : 1-2, « La Sagesse a bâti sa maison, elle a taillé ses sept colonnes, elle a abattu ses bêtes, préparé son vin, elle a aussi dressé sa table. », versets suivant 5-6, « Venez, mangez de mon pain, buvez du vin que j'ai préparé ! Quittez la compagnie des ignorants et vous vivrez, prenez donc le chemin où se tient l'intelligence. », car la Sagesse était au commencement de tout et Jésus le Nazaréen Fils engendré d’EL-SHADDAÏ, portait la Sagesse de son Père avec un certain mystère puisqu’il se sert des définitions de la Sagesse pour dire aux humains de suivre ses voies  en la recherchant, Sagesse de Salomon IX : 13-18, Proverbe IX : 1-6 et pour confirmer vous allez reconnaître que mon étude est bien faite puisque Jésus Ben Sira quelques trois siècles avant la naissance de Jésus le Nazaréen écrivit en parlant de la Sagesse, Ecclésiastiques ou Siracide XXIV : 19-22, «  Venez à moi, vous qui me désirez; et rassasiez-vous de mes produits. Car mon souvenir est plus doux que le miel, mon héritage plus doux qu'un rayon de miel. Ceux qui me mangent auront encore faim, ceux qui me boivent auront encore soif. Celui qui m'obéit n'aura pas à en rougir et ceux qui font mes œuvres ne pécheront pas. », une autre traduction du dernier verset : «  Ceux qui me mettent en lumière auront la vie éternelle. », et Jean dans son évangile écrit IV : 13-14, « Jésus lui répondit : « Quiconque boit de cette eau aura soif à nouveau ; mais qui boira de l'eau que je lui donnerai n'aura plus jamais soif ; l'eau que je lui donnerai deviendra en lui source d'eau jaillissant en vie éternelle. » Quelle similitude !

Faisant mes recherches pour vous expliquer la signification des derniers quarante-huit heures de Jésus, je pourrai vous écrire encore deux chapitres. Donc je vais résumer et me réserver pour l’année prochaine, à moins que j’écrive dans ce que je vous dis sur « Nom et Enseignements de Jésus le Nazôréen »

Pour moi, suite à mes recherches et une conviction intérieure certaine, Jésus le Nazôréen vécut sur la Terre une quarantaine d’année, ce chiffre étant hautement symbolique, dans la perfection absolue, sans commettre le moindre péché. Par un « Ministère » qui dura, toujours pour moi, quarante mois, c’est-à-dire un peu plus de trois ans, il se fit connaître des humains des Nations, et par là même son Père, seul et unique « Dieu » de tout l’Univers, de tout ce qui existe de l’infiniment petit à l’infiniment grand.

Ce Père qui est son « Dieu » et notre « Dieu », Jean XX : 17, offrit son propre Fils pour sauver l’Humain, par amour pour celui-ci, sa plus belle création de l’Univers, et pour cimenter définitivement la « Nouvelle Alliance », obligatoirement il fallait la marque du sang, Exode XXIV : 6-8, ce sang siège de la vie, qui est aussi l’encre du document Céleste. Voilà pourquoi il était impératif que Jésus le Nazôréen meurt en versant son sang, car sa représentativité multiple en tant que Grand Prêtre, petit bétail pour le sacrifice sans tare, ni tache, le pain et le vin de vie, et l’efficacité absolue et définitif de son sacrifie, Épitre aux Hébreux XII : 22-24, une seule et unique fois, Épitre aux hébreux IX : 11-12, 26, 28, il n’y eut personne comme lui, avant lui, comme il n’y aura plus jamais un humain comme lui, son propre sang faisait l’encre de l’écriture et sa personne le sceau pour sceller à jamais et perpétuelle cette « Nouvelle Alliance » avec un « Nouveau Peuple », Épitre aux Hébreux VII : 25-27, formé de tous les humains de toutes les Nations et peuplades.

L’essentiel c’est que le sacrifice soit accepté par EL-SHADDAÏ, en ressuscitant son Fils de l’Hadès nous avons la plus belle des réponses !

Dans son dernier repas, celui de Pâque d’après les évangiles synoptiques, en plein milieu, Jésus le Nazaréen prit sa fonction de « Grand Prêtre », Épître aux Hébreux VII : 11, 17, par des gestes précis et solennels du rituel hébreu à l’intérieur du Saint des Saints, bénédiction à EL-SHADDAÏ du pain en le rompant, et de la coupe de vin, greffe les rites sacramentels du culte nouveau qu’il instaure.

Ce soir Vendredi 03 Avril, après le coucher du soleil, soit 20H20, donc vers 21H, 21H30, le responsable de la table, homme ou femme, va répéter ces gestes de Jésus le Nazôréen, non en mémoire de « lui » comme mensongèrement toute la chrétienté le dit, mais en mémoire de notre délivrance de la « Prêtrise », ou le pain représente l’enseignement spirituel ainsi que la sagesse de Jésus le Nazôréen, et le vin représentant le sang devant EL-SHADDAÏ, ce sang répandu devant l’autel en expiation de nos péchés par le sacrifice du fils d’EL-SHADDAÏ, l’autel étant notre corps.

Voici ci-dessous les paroles prophétiques de notre Dieu seul et unique, celui que nous adorons avec sincérité au plus profond de notre conscience et de notre subconscient, celui que nous nommons EL-SHADDAÏ.

Amos VIII : 9-12,

« Il adviendra en ce jour-là - oracle du Seigneur EL-SHADDAÏ - que je ferai coucher le soleil en plein midi et que j'obscurcirai la terre en un jour de lumière.

Je changerai vos fêtes en deuil et tous vos chants en lamentations; je mettrai le sac sur tous les reins et la tonsure sur toutes les têtes.

J'en ferai comme un deuil de fils unique, sa fin sera comme un jour d'amertume. Voici venir des jours - oracle d’EL-SHADDAÏ - où j'enverrai la faim dans le pays, non pas une faim de pain, non pas une soif d'eau, mais d'entendre la parole d’EL-SHADDAÏ.

On ira titubant d'une mer à l'autre mer, du nord au levant, on errera pour chercher la parole d’EL-SHADDAÏ et on ne la trouvera pas ! »

Je regrette sincèrement de ne pas vous avoir posé toutes les explications que j’ai en tête suite à la lecture de plus d’une trentaine de versets prophétisant et expliquant les actions et geste de Jésus le Nazôréen comme son entrée à Jérusalem monter sur un ânon et puis encore cette confusion entre les évangiles synoptiques et celui de Jean sur le jour de la Pâque . ….

Ce soir soyez heureux car c’est un jour de réjouissance pour nous enfants d’EL-SHADDAÏ, car nous sommes libre de l’emprise religieuse, notre Temple c’est nous même, l’autel notre corps, le Saint des Saint notre conscience.

Alors réjouissez-vous mes semblables, chantez, dansez, mangez, buvez, priez aussi, tout cela dans l’allégresse en harmonie avec les Lois de notre Dieu et les enseignements de son Fils notre Roi !

Salutations cordiales !

Bonne Pâque !

Sig : JP.G. dit « GRANDELOUPO »

 


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posté le 31-03-2015 à 17:46:03

Pâque, Vendredi 03 Avril 2015, chap. N° 7 - Le Jour où Jésus est mort

PÂQUE, année 2015

 

Petit Texte d’introduction

 

Aujourd’hui dernier jour du mois, dans trois jours le Vendredi 03 Avril, « Entre les Deux Soirs », nous allons fêter la « Pâque » comme notre Dieu seul et unique, celui qui porte un « Nom », un vrai, pas une vulgarité, que nous nommons avec cœur et fierté EL-SHADDAÏ, nous demande de commémorer une fois l’an. En effet grâce au sacrifice de son fils engendré, Jésus le Nazôréen, nous sommes libérés du carquois religieux, de ces Prêtes et Pasteurs fourbes, mensongers, travaillant pour Sammaël et les Siens, Roi de la Terre et de ses environs pour le moment, notre Prêtre pour toujours à la manière de Melchisédek,(Épitre aux Hébreux VII : 17) celui qui voilà plus de deux mille ans, pour nous délivrer de la transgression des deux premiers humains et pour sceller une « Nouvelle et dernière Alliance » dans le sang siège de la vie, il accepta la torture romaine de la crucifixion, afin que son Père le ressuscite pour que l’humain recouvre la vie éternelle.

Attention, vous mes semblables, nous ne sommes pas des cannibales, et dans trois jours nous n’allons pas manger le corps de Jésus, ni boire son sang comme des vampires. Nous mangerons la viande rôtie d’un petit bétail, qui représente l’immolation de Jésus sur la croix de torture qui se substitue à l’autel du sacrifice, et nous boirons le vin qui représente le sang du petit bétail, et là nous représentons les quatre coins de l’autel qui étaient badigeonnés du sang du sacrifice en expiation des péchés.

J’essaie d’être clair dans la signification de tout ce que Jésus le Nazôréen à fait pour nous les derniers quarante huit heures de sa vie, mais je reconnais que j’ai du mal à m’exprimer, veuillez me pardonner !

 

Dernières phrases du Chapitre précédent

 

Et pour compléter Matthieu XXVI : 67-68, « Alors ils lui crachèrent au visage et le giflèrent ; d'autres lui donnèrent des coups en disant : « Fais le prophète, Christ, dis-nous qui t'a frappé. » Ce sont les premiers outrages et premières invectives contre Jésus le Nazôréen, mais aussi la première prophétie à son sujet qui se réalise, EL-SHADDAÏ  parlant de son « Serviteur », et je vous invite, vous mes semblables à lire ce chapitre complet ainsi que le précédent,  cela touchera votre cœur j’en suis certain. Isaïe L : 6, « J'ai tendu le dos à ceux qui me frappaient, et les joues à ceux qui m'arrachaient la barbe; je n'ai pas soustrait ma face aux outrages et aux crachats. »

Jésus le Nazaréen est moqué comme « Prophète » à cause de ses paroles sur le Temple et sans doute plus précisément comme « Messie-Prophète », c’est-à-dire comme prétendu Grand Prêtre eschatologique qui veut établir un « Nouveau Temple ».

Le « Tribunal » était un bâtiment construit en partie sur l’esplanade du Temple et ouvrait ses portes au petit matin, soit au levé du jour et c’est là que Caïphe convoqua le Sanhédrin au complet, grands prêtres et scribes pour questionner une seconde fois Jésus le Nazôréen, car Caïphe voulait sa mort coûte que coûte. Cette seule séance solennelle du Sanhédrin fut une session formelle et définitive pour donner la mort à Jésus le Nazôréen. Tous le condamnèrent, et pour ne pas se salir les mains l’envoyèrent à Ponce Pilate, Procurateur de la Judée de l’an 26 à 36 de J-C.

 

 

Chapitre N°7

 

Le jour où Jésus est mort

 

Matthieu XXVII : 27 parle du « prétoire », qui était la résidence du Prêteur, mais là, il semble que ce soit l’ancien palais du Roi Hérode le Grand où s’installait régulièrement le Procurateur quand il montait de Césarée à Jérusalem. Ce palais était distinct de la résidence familiale des Asmonéens, qui était proche du Temple et où Hérode Antipas, fils d’Hérode le Grand, Tétrarque de Galilée  de l’an -4 av. J-C à 39 ap. J-C, reçu Jésus le Nazôréen envoyé par Ponce Pilate, Luc XXIII : 7-12, « Et s'étant assuré qu'il était de la juridiction d'Hérode, il le renvoya à Hérode qui se trouvait, lui aussi, à Jérusalem en ces jours-là. Hérode, en voyant Jésus, fut tout joyeux ; car depuis assez longtemps il désirait le voir, pour ce qu'il entendait dire de lui ; et il espérait lui voir faire quelque miracle. Il l'interrogea donc avec force paroles, mais il ne lui répondit rien. Cependant les grands prêtres et les scribes se tenaient là, l'accusant avec véhémence. Après l'avoir, ainsi que ses gardes, traité avec mépris et bafoué, Hérode le revêtit d'un habit splendide et le renvoya à Pilate. Et, ce même jour, Hérode et Pilate devinrent deux amis, d'ennemis qu'ils étaient auparavant. » Certains cherchent le « Prétoire » dans la forteresse d’Antonia, au nord du Temple, mais cette localisation ne s’accorde ni avec les habitudes des procurateurs, telles que nous les font connaître les anciens textes, ni avec l’usage du mot « Prétoire » qui ne peut se déplacer ainsi, ni avec les mouvements de Pilate et de la foule juive dans les récits évangéliques de la Passion surtout celui de Jean.

Jésus le Nazôréen est envoyé une première fois à Ponce Pilate qui, ne trouvant rien de répréhensible contre cet homme sur la loi romaine l’envoie à Hérode Antipas. Lire ci-dessus !

Hérode vêtit Jésus d’un vêtement splendide pour le ridiculiser, qui était un habit d’apparat que les princes portaient à cette époque quand il devait défiler devant le peuple, avant de se séparer de lui en le renvoyant à Pilate.

Les soldats romains de la garnison d’Hérode avant de renvoyer jésus le Nazôréen à Ponce Pilate, avec des branches flexibles d’un arbuste épineux comme il en poussait beaucoup à cette époque, façonnèrent une couronne et la posèrent avec brutalité sur la tête de Jésus en l’invectivant de toutes sortes de mots, Matthieu XXVII : 27-31 « Alors les soldats du gouverneur prirent avec eux Jésus dans le Prétoire et ameutèrent sur lui toute la cohorte L'ayant dévêtu, ils lui mirent une chlamyde écarlate puis, ayant tressé une couronne avec des épines, ils la placèrent sur sa tête, avec un roseau dans sa main droite. Et, s'agenouillant devant lui, ils se moquèrent de lui en disant : « Salut, roi des Juifs ! » et, crachant sur lui, ils prenaient le roseau et en frappaient sa tête. Puis, quand ils se furent moqués de lui, ils lui ôtèrent la chlamyde, lui remirent ses vêtements et l'emmenèrent pour le crucifier. » La chlamyde était ce grand manteau rouge que portait les romains pour se protéger des intempéries.

Les juifs s’étaient moqués de Jésus comme « Prophète », les romains le ridiculisent comme « Roi » ; ces deux scènes reflètent bien les deux aspects religieux et politique du procès de Jésus

Pour la seconde fois Jésus est présenté devant Ponce Pilate, mais cette fois ci il est avec une couronne d’épine sur la tête et comme vous le savez c’est un endroit qui saigne facilement et beaucoup. Pour la seconde fois Pilate ne trouva rien contre Jésus, mais la foule menée par les Grands Prêtres du Sanhédrin voulait la crucifixion de Jésus le Nazôréen au point de faire libérer un certain Barabbas, brigand de son état.

La foule était dans un état quasi insurrectionnel, alors Ponce Pilate infligea à Jésus la flagellation de cinquante coups de fouet et ils l’emmenèrent à la crucifixion.

Contrairement aux écrits bibliques Jésus le Nazôréen n’a pas fait exception, comme tout condamné après avoir été flagellé, il fut attaché au « patibulum », traverse de bois qui selon le bois pesait entre trente cinq et cinquante cinq kilogrammes et formait une croix avec le corps du condamné. Pour Jésus en plus du « patibulum » il fallait porter le « stripes crucis », qui est le bois ou le poteau vertical de la croix utilisée pour le supplice de la crucifixion par les romains, ce bois que l’on encochait sur place pour recevoir le patibulum ce qui faisait un Tau.

Pour Jésus le Nazaréen les romains responsables de la crucifixion durent encocher le stripes crucis pour laisser la place au « titulus » sur lequel était écrit en trois langues, latin, grec et hébreu « Jésus de Nazareth, Roi des Juifs »

Comme vous le savez depuis longtemps je fais mon possible pour écrire la vérité. Les évangiles synoptiques écrivent toutes sur un certain Simon de Cyrène qui aurait donné un coup de main à Jésus pour porter sa croix, chose impossible sachant que le « patibulum », c’est-à-dire la traverse faisait deux mètres cinquante pour le minimum à trois mètres en général voir plus car les romains mesurait l’envergure de l’humain de main à main et ajoutaient de chaque coté trente à quarante centimètres. Je vous laisse le soin d’imaginer cette croix et de voir l’impossibilité de la porter à deux. Marc XV : 21, « Et ils requièrent, pour porter sa croix, Simon de Cyrène, le père d'Alexandre et de Rufus, qui passait par là, revenant des champs. », Luc XXIII : 26, « Quand ils l'emmenèrent, ils mirent la main sur un certain Simon de Cyrène qui revenait des champs, et le chargèrent de la croix pour la porter derrière Jésus. » Quand à Jean cette scène est absente de ses écrits.

Alors, maintenant, écrivons la vérité !

Jésus le Nazaréen est attaché les bras en croix sur la « patibulum » qu’il porte et qui doit peser une cinquantaine de kilos. N’oublions pas que Jésus est aux abords du Temple et qu’il doit traverser toute la ville de Jérusalem pour aller au lieu de la crucifixion qui est le Golgotha qui signifie Lieu du Crâne. Simon de Cyrène lui est à quelques longueurs derrière Jésus le Nazaréen et porte le « stipes crucis ». Comme je le dis souvent, par notre esprit faisons nous un film de tous ces événements de l’aube au dernier souffle de cet humain. Après le couronnement, puis la flagellation, cinquante coups de fouet, les épaules et le dos devaient être lacérés et cela devait saigner. Le vêtement, plus le poids du « patibulum » sur les épaules devaient, par le frottement, occasionner d’énormes souffrances. Il fallait avoir une certaine force ainsi qu’une résistance à la douleur, sans compter que de la prison au lieu de crucifixion il y avait un minimum de deux à trois kilomètres dans les ruelles de la ville où pendant tout le parcours les humains en dehors des insultes et des crachats vous lançaient des pierres, vous frappaient avec des badines épineuses, donc arrivé au lieu de la crucifixion Jésus le Nazôréen avait perdu beaucoup de sang. Tout le long du parcours on sent la haine de l’humain contre lui. Jésus est en sang et on peut le suivre à la trace en suivant les gouttes de sang à terre.

Arrivé au Lieu du Crâne le « patibulum » est fixé au « stipes crucis », pour Jésus de Nazareth un peu en dessous pour laisser la place au « titulus » avec son inscription en trois langues. Jésus est fixé au patibulum qu’il vient de porter de la prison à ce Lieu par des clous aux poignets, puis avec un autre clou juste en dessous de la cheville prenant les deux pieds et le crucifié était élevé  entre cinquante centimètres et un mètre du sol, la hauteur de ses pieds, pour permettre au sacrificateur de casser les tibias pour que le crucifié meure avant la nuit.

Tout ce que je viens d’écrire c’est passé entre l’aube et la troisième heure. De cette heure jusqu’à la sixième heure se fut le temps de la crucifixion. Marc XV : 25, « C'était la troisième heure quand ils le crucifièrent. » A la sixième heure Jésus le Nazaréen ainsi que les deux larrons qui furent crucifiés avec lui, étaient élevés comme suppliciés. Cette action particulière est une prophétie d’Isaïe en LIII : 12, qui dit : « C'est pourquoi il aura sa part parmi les multitudes, et avec les puissants il partagera le butin, parce qu'il s'est livré lui-même à la mort et qu'il a été compté parmi les criminels, alors qu'il portait le péché des multitudes et qu'il intercédait pour les criminels. » Maintenant de loin la foule pouvait voir Jésus de Nazareth et les deux brigands sur leur croix. Luc XXIII : 33-34, « Lorsqu'ils furent arrivés au lieu appelé Crâne, ils l'y crucifièrent ainsi que les malfaiteurs, l'un à droite et l'autre à gauche. Et Jésus disait : « Père, pardonne-leur : ils ne savent ce qu'ils font. » Puis, se partageant ses vêtements, ils tirèrent au sort. » Sur le partage de ses vêtements, c’est l’accomplissement d’une prophétie que le Roi David fait dans l’un de ses chants, Psaume XXII : 19, « ils partagent entre eux mes habits et tirent au sort mon vêtement. » C’est à partir de cette heure, la sixième, jusqu’à la neuvième heure que Jésus le Nazôréen et les deux malfaiteurs agonisaient par la torture de la crucifixion. Jean XIX : 19-20, « Pilate rédigea aussi un écriteau et le fit placer sur la croix. Il y était écrit : « Jésus le Nazôréen, le roi des Juifs ». Cet écriteau, beaucoup de Juifs le lurent, car le lieu où Jésus fut mis en croix était proche de la ville, et c'était écrit en hébreu, en latin et en grec. » C’est aussi à partir de cette heure, la sixième que les ténèbres viennent sur la Terre. De cette sixième heure, depuis l’aube ce qui correspond à la moitié du jour complet soit midi pour nous jusqu’à la neuvième heure qui coïncide à la quinzième heure de la journée soit trois heure de l’après-midi, il fait nuit sur toute la Terre.

Continuons ces derniers instants par la Bible, Luc XXIII : 35-37« Le peuple se tenait là, à regarder. Les chefs, eux, se moquaient : « Il en a sauvé d'autres, disaient-ils ; qu'il se sauve lui-même, s'il est le Christ de Dieu, l'Élu ! » Les soldats aussi se gaussèrent de lui : s'approchant pour lui présenter du vinaigre, ils disaient : « Si tu es le roi des Juifs, sauve-toi toi-même ! » et Matthieu XXVII : 39-43, « Les passants l'injuriaient en hochant la tête et disant : « Toi qui détruis le Sanctuaire et en trois jours le rebâtis, sauve-toi toi-même, si tu es fils d’EL-SHADDAÏ, et descends de la croix. » Pareillement les grands prêtres se gaussaient et disaient avec les scribes et les anciens : « Il en a sauvé d'autres et il ne peut se sauver lui-même ! Il est roi d'Israël : qu'il descende maintenant de la croix et nous croirons en lui ! Il a compté sur El-Shaddaï ; qu’EL-SHADDAÏ le délivre maintenant, s'il s'intéresse à lui ! Il a bien dit : Je suis fils d’EL-SHADDAÏ ! » Pour terminer nous allons rester avec Matthieu et Jean car toute les prophéties doivent se réaliser comme l’a dit Jésus le Nazaréen à ses Apôtres et Disciples quand ils consumaient le repas de la Pâque. Matthieu XXVII : 45-46, « A partir de la sixième heure, l'obscurité se fit sur toute la terre, jusqu'à la neuvième heure. Et vers la neuvième heure Jésus clama en un grand cri : « Éli, Éli, lema sabachtani ? », c'est-à-dire : « Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné ? » Prophétie par le Roi David Psaumes XXII : 2, « Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné? Loin de me sauver, les paroles que je rugis! » Matthieu XXVII : 48, « Et aussitôt l'un d'eux courut prendre une éponge qu'il imbiba de vinaigre et, l'ayant mise au bout d'un roseau, il lui donnait à boire. » Prophétie du Roi David Psaumes LXIX : 22,  « Pour nourriture ils m'ont donné du poison, dans ma soif ils m'abreuvaient de vinaigre. » Jésus est sur la croix et apercevant sa mère avec l’Apôtre qu’il aimait le plus dit : Jean XIX : 26-27, « Jésus donc voyant sa mère et, se tenant près d'elle, le disciple qu'il aimait, dit à sa mère : « Femme, voici ton fils. » Puis il dit au disciple : « Voici ta mère. » Dès cette heure-là, le disciple l'accueillit chez lui. » Puis Jésus dit « J’ai soif », un centurion monta à ses lèvres à l’aide de sa lance une éponge imbibé de vinaigre, il prit une gorgée et expira. Matthieu XXVII : 50, « Or Jésus, poussant de nouveau un grand cri, rendit l'esprit. » Pour être complet il faut aussi ce qu’écrit Jean. Les évangiles synoptiques écrivent la Passion après le jour de la Pâque. Jean au contraire voit la Passion avant la Pâque ce qui est impossible, voilà pourquoi il écrit très peu sur le repas de la Pâque, mais il écrit qu’en même, alors pourquoi cette confusion ? Jean XIX : 31-37 « Comme c'était la Préparation, les Juifs, pour éviter que les corps restent sur la croix durant le sabbat - car ce sabbat était un grand jour -, demandèrent à Pilate qu'on leur brisât les jambes et qu'on les enlevât. Les soldats vinrent donc et brisèrent les jambes du premier, puis de l'autre qui avait été crucifié avec lui. Venus à Jésus, quand ils virent qu'il était déjà mort, ils ne lui brisèrent pas les jambes, mais l'un des soldats, de sa lance, lui perça le côté et il sortit aussitôt du sang et de l'eau. Celui qui a vu rend témoignage - son témoignage est véritable, et celui-là sait qu'il dit vrai - pour que vous aussi vous croyiez. Car cela est arrivé afin que l'Écriture fût accomplie : Pas un os ne lui sera brisé. Et une autre Écriture dit encore : Ils regarderont celui qu'ils ont transpercé. » Confirmation du Psaumes XXXIV : 21, « EL-SHADDAÏ garde tous ses os, pas un ne sera brisé. » Autre, Exode XII : 46, « On la mangera dans une seule maison et vous ne ferez sortir de cette maison aucun morceau de viande. Vous n'en briserez aucun os. » Là il s’agit du repas de la Pâque. Encore une confirmation prophétique dans Zacharie XII : 10, « Mais je répandrai sur la maison de David et sur l'habitant de Jérusalem un esprit de grâce et de supplication, et ils regarderont vers moi. Celui qu'ils ont transpercé, ils se lamenteront sur lui comme on se lamente sur un fils unique; ils le pleureront »

Nous sommes à la neuvième heure, dans le Temple le rideau qui sépare le « Saint » du « Saint des Saints » se déchire en son milieu de haut en bas, la terre se met à trembler avec force puisque les roches se fendent, les tombeaux s’ouvrent permettant la résurrection des « Justes » puisqu’ils vont se faire voir à leur proche, le tonnerre gronde. Les humains qui viennent de vociférer sur Jésus le Nazôréen ont une grande peur, se rendant compte de leur erreur, mais c’est trop tard, ils viennent d’être marqué au fer rouge car de ce jour jusqu’à la fin de leur vie ils vont s’en souvenir.

J’ai commencé ce chapitre en disant qu’il fallait quelque chose qui marque l’esprit de l’humain, et bien c’est fait, car déjà en premier, trois heures de Ténèbres, surtout à l’époque où tous les humains croyaient en plusieurs Dieux pour gérer leur journée, et plus grave encore pour les Israélites, qui par cette nuit en pleine journée voyaient la colère de leur Dieu, mais ils avaient le cœur fermé et ils ne voulaient pas admettre la messianité de Jésus le Nazôréen. Matthieu XXVII : 54, « Quant au centurion et aux hommes qui avec lui gardaient Jésus, à la vue du séisme et de ce qui se passait, ils furent saisis d'une grande frayeur et dirent : « Vraiment celui-ci était fils d’EL-SHADDAÏ » Luc XXIII : 48, « Et toutes les foules qui s'étaient rassemblées pour ce spectacle, voyant ce qui était arrivé, s'en retournaient en se frappant la poitrine. » Par ces versets nous nous apercevons de la terreur, de l’angoisse, de la peur que les humains cosmopolites de Jérusalem et des alentours avaient, car des écrits apocryphes ajoutent que quand Jésus le Nazôréen remit son esprit à son Père le ciel s’était encore obscurcit, que la terre tremblait à faire bouger les montagnes, que le tonnerre se faisait entendre avec force, que les roches se fendirent et les tombeaux des Justes s’ouvrirent.

Avant les prochains écrits et par la lecture de ceux-ci demandez à ce Dieu unique d’acquérir la « Sagesse », car par elle, vous avancerez sur le chemin d’EL-SHADDAÏ et votre transformation de penser et d’action sur cette Terre vous mènera vers un début de Paradis sur celle-ci et une « Demeure » dans les Cieux en attendant votre résurrection.

Portez-vous bien !

Cordiales salutations à Tous !

Sig : JP.G. dit « GRANDELOUPO »

 


Commentaires

 
 
 
posté le 28-03-2015 à 03:02:04

Pâque Vendredi 03 Avril 2015, chap.N° 6 - Un dernier repas

PÂQUE, année 2015

 

Petit Texte d’introduction

 

Vendredi 03 Avril « Entre les deux Soirs » nous allons, nous les « Enfants » d’EL-SHADDAÏ, fêter la Pâque comme notre Père Créateur nous le demande. Cette année la Pâque pour nous sera un jour considéré comme sacré par toute la chrétienté puisque ce jour sera pour eux le « Vendredi Saint », jour qui, entre parenthèse, n’est pas plus « Saint » que les autres jours, plus idolâtre cela est une certitude puisqu’un nombre incalculable d’humains vont se signer plus de quatorze fois devant de la matière sans vie, donc j’ai bien dit c’est le jour de fête de l’idolâtrie.

Éloignons nous de ces actes exécrables pour EL-SHADDAÏ !

Vendredi 03 Avril nous mangerons une viande rôtie avec une galette de pain sans levain, accompagné d’un verre de vin. Pain sans levain : mélanger de la farine de blé avec une autre farine si vous le désirez, un peu d’eau du sel un œuf un peu de beurre très malléable, on mélange le tout pour faire une belle pâte qui ne colle pas aux doigts ou au bol, puis on étale la pâte avec le rouleau à pâtisserie ou avec une bouteille, nous découpons la pâte en plusieurs galettes, au four à 220°C ou thermostat « 8 » que l’on aura fait chauffé avant, nous enfournons pour 20, 30 minutes que la pâte soit doré sur le dessus, c’est fini. Avant de mettre au four mon épouse badigeonne le dessus de la pâte avec un jaune d’œuf et fait des dessins avec la fourchette.

 

 

Dernières phrases du Chapitre précédent

 

Deux mois après cette Pâque, par l’intermédiaire de Moïse, EL-SHADDAÏ conclu une Alliance avec son Peuple.

Exode XXIV : 6-8

Moïse prit la moitié du sang et la mit dans des bassins, et l'autre moitié du sang, il la répandit sur l'autel.

Il prit le livre de l'Alliance et il en fit la lecture au peuple qui déclara : « Tout ce qu’EL-SHADDAÏ a dit, nous le ferons et nous y obéirons. »

Moïse, ayant pris le sang, le répandit sur le peuple et dit : « Ceci est le sang de l'Alliance qu’EL-SHADDAÏ a conclue avec vous moyennant toutes ces clauses. »

Cette Alliance ne tenait plus à l’époque de Jésus car les humains avaient abandonné El-Shaddaï leur Dieu voilà pourquoi Saül de Tarse dit dans son épitre aux Hébreux IX : 15-20

Voilà pourquoi il est médiateur d'une nouvelle alliance, afin que, sa mort ayant eu lieu pour racheter les transgressions de la première alliance, ceux qui sont appelés reçoivent l'héritage éternel promis.

Car là où il y a testament, il est nécessaire que la mort du testateur soit constatée.

Un testament, en effet, n'est valide qu'à la suite du décès, puisqu'il n'entre jamais en vigueur tant que vit le testateur.

De là vient que même la première alliance n'a pas été inaugurée sans effusion de sang.

Effectivement, lorsque Moïse eut promulgué au peuple entier chaque prescription selon la teneur de la Loi, il prit le sang des jeunes taureaux et des boucs, avec de l'eau, de la laine écarlate et de l'hysope, et il aspergea le livre lui-même et tout le peuple en disant :

« Ceci est le sang de l'alliance qu’EL-SHADDAÏ a prescrite pour vous. »

N’oubliez pas que le sang est le siège de la vie et que la vie éternelle ne peut venir que par la purification du sang, puisque le péché fut retransmis par le sang et que le sang perdait de sa pureté à la vitesse de reproduction de l’humain.

 

 

Chapitre N°6

 

Un dernier repas

 

Pour remplacer l’immolation du petit bétail à la Pâque il fallait une action importante, comme le jour de délivrance de l’esclavage égyptien qui fut une nuit et un jour mémorable dans l’esprit des humains, mais aussi une symétrie théologique et spirituelle, de ce jour, afin que les humains soient marqués profondément dans leur cœur et leur esprit.

Ce n’est pas le repas de la Pâque où certes il y eut deux actions importantes puisque Jésus le Nazôréen est le petit bétail avec son sang préfiguré par le vin

Il faut s’imaginer que le souper avec Jésus le Nazaréen, le soir, début de la Pâque, doit être une harmonie de l’« Alliance » perpétuelle entre EL-SHADDAÏ, son Père, et les humains qui vont former le « Nouveau Peuple » de celui-ci.

Au dîner Jésus prend le pain qui va remplacer la viande rôtie du petit bétail, puis le vin qui va remplacer le sang pour la « Nouvelle Alliance », mais il faut obligatoirement que le sacrifice de l’immolation ait lieu pour que le symbolisme deviennent une action perpétuelle de la « Nouvelle Alliance ».

N’oubliez pas qu’EL-SHADDAÏ demandait pour le sacrifice de la Pâque un petit bétail sans tache, sans tare, âgé d’un an.

Je réitère que la Pâque existait depuis les temps immémoriaux. La Pâque dans le monde de l’époque, bien avant Moïse, à l’ère d’Abram, avait une très grande importance, car les rites avec le sacrifice de la plus belle bête étaient sensés protégé la maisonnée en éloignant les « Forces du Mal » pour l’année.

Dés l’hors, pour l’humanité, il fallait aussi un être sans tare, sans tache, comme les deux premiers humains avant leur transgression, pour que le sacrifice, l’immolation soit agréable à EL-SHADDAÏ, soit une fête, la fête de la « Nouvelle Alliance avec son Nouveau Peuple » et que celui-ci en fasse une fête de la mémoire perpétuelle jusqu’au « Temps » du Royaume d’EL-SHADDAÏ sur la Terre.

L’humain qui devait aller à l’holocauste devait être comme le petit bétail, « Sain », ( et non saint comme la religion chrétienne l’écrit, car ce qui est « saint » n’est pas sans tache puisque cela signifie « vénérer, adorer, glorifier, » ) sans tache, limpide, cristallin, sans tare ce qui signifie que cet humain ne devait pas avoir la tare de naissance de tous les humains, la tare de la transgression, l’imperfection. En plus de ce qui vient d’être écrit, il fallait que cet humain incarne le  « Grand Guerrier » contre les « Forces du mal », qu’il soit craint par celles-ci pour les « Nations Païennes. »

Jésus le Nazôréen par une naissance dans un corps parfait, puisque Marie à l’âge de trois ans fut lavée par EL-SHADDAÏ de la tare adamique, naquit parfait et il vécut sur cette Terre, pendant plusieurs décennies sans commettre le moindre péché. Le jour de sa crucifixion, comme il l’a expliqué à ses Apôtres et Disciples au souper de la Pâque, il représentait le petit bétail que l’on immolait le jour de la Pâque, cet animal sans tache, Jésus le Nazôréen sans péché, sain en tout. Avec une poignée d’hysope trempée dans le sang du petit bétail l’on badigeonnait les montants et linteau de la porte du Temple pour la rémission des péchés.

Je réitère, j’aurai aimé connaître l’ADN du sang de Jésus le Nazôréen, car le sang de cet « Homme » devait être parfait, comme les deux premiers humains avant leur transgression. Donc si Jésus le Nazaréen tout au long de sa vie devait commettre ne serait-ce qu’un péché, si petit soit-il, le sang n’était plus parfait et l’action sacrificielle de Jésus le Nazôréen pour sauver l’humain ne tenait plus, car le symbolisme de la Loi du Talion n’existait plus.

Jésus le Nazôréen devait être parfait en tout, de sa naissance à sa mort, de son premier « souffle », à son dernier « souffle » comme humain sur la Terre, et cela je vous le rappel assez souvent. Agissant ainsi il devenait notre parangon, notre exemple, nous prouvant que l’on pouvait vivre sur la Terre parfait des dizaines d’années, sans commettre le péché, une question de volonté !

Je reviens à ce que j’ai écrit au début de ce chapitre. Il fallait une action qui marque l’esprit humain, que ceux vécurent ces instants soit marqué au fer rouge, et que, oralement l’on conte ce jour pendant plusieurs décennies.

Pareillement je l’ai écrit plusieurs fois, Jésus le Nazôréen était un bel homme, d’une stature harmonieuse, imposant le respect. Ce n’est pas ce freluquet maladif, malingre, valétudinaire, chétif que nous présente la chrétienté sur ses sculptures, peintures, iconographies !

Quand il démarra son ministère, il fallut qu’il laisse l’entreprise de charpente à des humains de confiance, sachant qu’il n’allait pas revenir, mais pour commencer il partit avec une bourse sans aucun doute bien remplie. Pour que des humains abandonnent tout pour le suivre, il devait avoir une certaine autorité, une stature de dirigeant, qui imposait la crainte, le respect, mais en plus un quelque chose, en le regardant, attirant, qui vous poussait à le suivre sans rechigner.

Il choisit soixante douze Disciples et parmi eux ses douze Apôtres qui vont le suivre pendant tout son ministère, et parmi eux, deux évangélistes, Matthieu le collecteur d’impôts et Jean celui qu’il aimait le plus, puisque sur la croix il lui confia sa mère, et parmi ses Disciples deux évangélistes, le plus jeune Marc et un médecin Luc.

Le 14 Nissan qui est aussi le mois d’Abib, est le premier mois de l’année lunaire, qui est à cheval sur notre mois de Mars et Avril. Ce mois commence le jour de la nouvelle lune à l’équinoxe de Printemps, après le coucher du soleil et le jour de Pâque est le quatorzième jour après cette nouvelle lune, après le coucher du soleil qui est le commencement du quinzième jour, premier jour des Pains sans Levain, ainsi que « l’Entre deux Soirs », où le repas de la Pâque doit être consommé.

Nous sommes le soir de Pâque et imaginez-vous une grande pièce avec une grande table où Jésus le Nazôréen serait assis au milieu, sa mère à coté de lui, puis à coté et face à lui ses Apôtres avec leur famille ainsi que plusieurs Disciples avec femme et enfants. A cette table, cela est une certitude, ils sont un grand nombre ! Ils ont commencé à manger, -- Jean XIII : 2-10, -- et bien avant que Jésus ne fasse ce que l’on nommera l’Eucharistie, ce dernier ce ceignant avec des habits comme un esclave, lavera et essuiera les pieds de ses Apôtres et Disciples présents dans la pièce, devant tous les convives, afin de leur faire comprendre l’humilité, particulièrement à ses Apôtres qui se chiffonnaient pour savoir lequel d’entre eux était le plus grand. – (Luc XXII : 24-27)

La Pâque fut officialisée comme un jour de fête pour EL-SHADDAÏ par son « Peuple », mais aussi un jour de commémoration de la délivrance de l’esclavage égyptien, par des cris et des larmes, nuit de peur et d’angoisse car les Anges de leur Dieu supprimaient tous les premiers-nés du pays d’Égypte, et, au lever du jour, le départ vers la liberté, la joie au cœur.

Deux mois après au pied du Mont Sinaï par l’intermédiaire de Moïse EL-SHADDAÏ signait une Alliance avec son Peuple, Exode XXIV : 6, « Moïse prit la moitié du sang et la mit dans des bassins, et l'autre moitié du sang, il la répandit sur l'autel. », l’autel est celui de ce Dieu seul et unique, puis Moïse continua, v7« Tout ce qu’El-Shaddaï a dit, nous le ferons et nous y obéirons. » et pour conclure le v8, « Moïse, ayant pris le sang, le répandit sur le peuple et dit : « Ceci est le sang de l'Alliance qu’EL-SHADDAÏ a conclue avec vous moyennant toutes ces clauses. »

Revenons à Jésus qui est en plein repas pascal, et il vient de faire le lavement des pieds de ses Apôtres et Disciples. Tous les convives sont à table et mange cette viande rôtie avec un pain Azyme, comme le veut son Père géniteur, le tout accompagné par une coupe de vin rouge.

Il sait que dans un peu plus de vingt quatre heures, Judas Iscariote va le vendre à Anne et Caïphe Grand Prêtre du Temple de Jérusalem. Jésus demande son attention et à ce moment il invente ce que la chrétienté va appeler « l’Eucharistie ». Jésus sait que c’est son dernier repas sur cette terre alors il leur dit, Luc XXII : 15-16, « J'ai ardemment désiré manger cette Pâque avec vous avant de souffrir ; car je vous le dis, jamais plus je ne la mangerai jusqu'à ce qu'elle s'accomplisse dans le Royaume d’EL-SHADDAÏ. » d’autres traduction termine «  dans le Royaume de mon Père. » Pour continuer j’ai choisi Matthieu qui est moins confus que Luc. Matthieu XXVI : 21, « Et tandis qu'ils mangeaient, il dit : « En vérité je vous le dis, l'un de vous me livrera. » quelques instants après Jésus le Nazôréen commence son action, Matthieu XXVI : 26, « Or, tandis qu'ils mangeaient, Jésus prit du pain, le bénit, le rompit et le donna aux disciples en disant : « Prenez, mangez, ceci est mon corps. », la seconde action de bénédiction Jésus ne la fait pas tout de suite comme la Bible pourrait nous le faire penser, mais quelque instants après, Matthieu XXVI : 27-29, « Puis, prenant une coupe, il rendit grâces et la leur donna en disant : « Buvez-en tous ; car ceci est mon sang, le sang de l'alliance, qui va être répandu pour une multitude en rémission des péchés. Je vous le dis, je ne boirai plus désormais de ce produit de la vigne jusqu'au jour où je le boirai avec vous, de nouveau, dans le Royaume de mon Père. »

Le repas est fini et au petit matin Jésus avec ses Apôtres et Disciples montent au Mont des Oliviers, comme me semble-t-il, ils avaient souvent l’habitude de le faire. Le soir venu tous descendent à Gethsémani, dont le nom signifie « pressoir à huile » qui est en bas du Mont des Oliviers. Jésus sait qu’il va être livré cette nuit. Il prévient ses Apôtres et Disciples qu’ils vont être orphelins, Matthieu XXVI : 31-32, « Alors Jésus leur dit : « Vous tous, vous allez succomber à cause de moi, cette nuit même. Il est écrit en effet : Je frapperai le pasteur, et les brebis du troupeau seront dispersées ; Mais après ma résurrection je vous précéderai en Galilée. » Pierre d’une voix forte jurera qu’il ne succombera pas, et Jésus prophétisera lui disant qu’il l’aura renié trois fois avant que le coq ne chante. Ce qui fut vrai !

Ce soir là à Gethsémani Jésus se retira du groupe des Apôtres et Disciples, avec Pierre, André et Jean les deux frères Zébédée pour prier. Matthieu XXVI : 38, « Alors il leur dit : « Mon âme est triste à en mourir, demeurez ici et veillez avec moi. » Là, Jésus est amer, car il s’aperçoit que l’humain est ancré dans le péché, dans les profondeurs de la terre. Comme tout humain, il voudrait échapper à la mort, mais il doit faire la volonté de son Père géniteur. Matthieu XXVI : 39, « Étant allé un peu plus loin, il tomba face contre terre en faisant cette prière : « Mon Père, s'il est possible, que cette coupe passe loin de moi ! Cependant, non pas comme je veux, mais comme tu veux. » Puis il revient vers les trois Apôtres, et les trouve endormi. Il les réveille leur demandant de rester debout et de prier avec lui. Il retourne à un jet de pierre pour prier son Père, Luc XXII : 43-44, « Alors lui apparut, venant du ciel, un ange qui le réconfortait. Entré en agonie, il priait de façon plus instante, et sa sueur devint comme de grosses gouttes de sang qui tombaient à terre », et comme un humain, car c’est un humain, au sens figuré, il boit la coupe de l’amertume et l’approche de la mort l’effraie un peu. Ces deux versets de Luc ci-dessus ont été supprimés par les copistes dans les évangiles synoptiques de Matthieu et Marc. Attestés dès le IIème siècle de leur existence par de nombreux témoins, ils présentent le style et la manière de Luc. Leur omission où plus véridique leur suppression s’explique par le souci d’éviter un abaissement jugé trop humain de Jésus. Il ressent dans toute sa force l’effroi que la mort inspire à l’humain. Il éprouve et exprime le désir naturel d’y échapper, tout en le réprimant par l’acceptation de la volonté paternel. Quand il revient pour la troisième fois, trouvant  les Apôtres endormis, Matthieu XXVI : 45-46, « Alors il vient vers les disciples et leur dit : « Désormais vous pouvez dormir et vous reposer : voici toute proche l'heure où le Fils de l'homme va être livré aux mains des pécheurs. Levez-vous ! Allons ! Voici tout proche celui qui me livre. »

La Loi juive interdisait l’arrestation d’un humain la nuit, il fallait attendre l’aube, et pourtant pour Jésus le Nazôréen, certains prêtres qui composaient le Sanhédrin ont passé outre, en compagnie de l’Apôtre Judas Iscariote, des soldats romains, et de toute sorte d’individus qui voulaient voir Jésus en prison. Ils l’arrêtèrent et l’amenèrent pour un premier interrogatoire chez Anne durant la nuit, et au petit matin, à la première heure, ils le conduisirent à Caïphe, le Grand Prêtre du Temple de Jérusalem, au « Tribunal », bâtiment construit dans l’enceinte du Temple en partie sur l’esplanade de ce dernier. Caïphe convoqua le Sanhédrin au complet, Grands Prêtres et Scribes, pour questionner et juger Jésus le Nazôréen dans une séance solennelle car il cherchait à le tuer.

Pour Judas Iscariote, la nuit d’avant il avait bafoué la loi religieuse en quittant la table de la Pâque, après la fraction du pain et la bénédiction du vin, sortant de la maison, la nuit, pour aller vendre Jésus le Nazôréen pour trente pièces d’argent.

Cette nuit, pour nous prouve l’imperfection humaine, fut-il Apôtre, puisque Pierre par trois fois péchera par le mensonge en reniant connaître Jésus le Nazaréen et ses Disciples.

Jésus le Nazôréen arrêté les Apôtres et autres Disciples ayant peur pour leur vie quitteront Jérusalem, et d’autres comme les onze Apôtres avec quelques Disciples  s’enfermeront, se barricaderont après le crucifiement de celui qui fut leur Maître et Enseignant.

Quant à Judas Iscariote, s’apercevant que Jésus de Nazareth allait être condamné, sa conscience le travaillant il eu des remords et partit au Sanhédrin rende les trente pièces d’argent. Les grands prêtres ayant ramassé cet argent achetèrent le « Champ du Potier » car c’était l’argent du sang. Ce terrain était situé à proximité de la Porte de la Poterie à Jérusalem, donne sur la vallée de la Géhenne, au sud de la ville. Il y a là un gisement d’argile qui au temps d’Achaz 736-716 av. L’EC., était exploité comme terre à foulon. Ce champ du Potier est probablement le champ du foulon dans Isaïe VII : 2

Jésus le Nazaréen fut vendu pour trente pièces d’argent, Matthieu XXVII : 9-10, « Alors s'accomplit l'oracle de Jérémie le prophète : Et ils prirent les trente pièces d'argent, le prix du Précieux qu'ont apprécié des fils d'Israël, et ils les donnèrent pour le champ du potier, ainsi que me l'a ordonné le Seigneur », cela fait penser obligatoirement à El-Shaddaï se plaignant de n’avoir reçu des Israélites, en la personne de son prophète Zacharie, qu’un salaire dérisoire, le prix d’un esclave à cette époque. Zacharie XI : 11-13, « L’Alliance fut donc rompue en ce jour-là, et les marchands de brebis qui m'observaient surent que c'était là une parole d’EL-SHADDAÏ. Je leur dis alors : Si cela vous semble bon, donnez-moi mon salaire, sinon n'en faites rien. Ils pesèrent mon salaire : trente sicles d'argent. EL-SHADDAÏ me dit : Jette-le au fondeur, ce prix splendide auquel ils m'ont apprécié ! Je pris donc les trente sicles d'argent et les jetai à la Maison d’El-Shaddaï, pour le fondeur. » Il faut bien reconnaître que d’un coté comme de l’autre, la valeur est creuse, le prix de l’humain, la valeur du « Dieu », vraiment insignifiante.

Autre signification, l’argile est rouge et le premier humain fut façonné avec l’argile, mais c’est aussi la couleur du sang, et le sang c’est la vie. Ce champ était aussi nommé « Champ du Sang » car les Israélite à l’ère de Jérémie faisaient des sacrifices humains à Baal.

Au début de ce chapitre je vous ai dit qu’il fallait quelque chose qui marque l’esprit de l’humain afin que l’on se souvienne de ce jour mémorable pendant des décennies.

Maintenant tout va aller très vite !

Chronologie entre  la première heure et la troisième heure.

Pendant la nuit Jésus est emmené en premier chez Anne, beau-père de Caïphe, après que Judas Iscariote par un baiser le désigna parmi les Apôtres, Disciples, et autres gens présents. Là, chez Anne il fut une première fois interrogé puis à l’aube envoyé chez le Grand Prêtre Caïphe. Pendant ce déplacement la valetaille lui mis un voile sur la tête puis le frappait disant, Luc XXII : 63-65, « Les hommes qui le gardaient le bafouaient et le battaient ; ils lui voilaient le visage et l'interrogeaient en disant : « Fais le prophète ! Qui est-ce qui t'a frappé ? » Et ils proféraient contre lui beaucoup d'autres injures », car c’était à l’époque un jeu de devinettes bien connu puisqu’il datait des temps anciens. Et pour compléter Matthieu XXVI : 67-68, « Alors ils lui crachèrent au visage et le giflèrent ; d'autres lui donnèrent des coups en disant : « Fais le prophète, Christ, dis-nous qui t'a frappé. » Ce sont les premiers outrages et premières invectives contre Jésus le Nazôréen, mais aussi la première prophétie à son sujet qui se réalise, EL-SHADDAÏ  parlant de son « Serviteur », et je vous invite, vous mes semblables à lire ce chapitre complet ainsi que le précédent,  cela touchera votre cœur j’en suis certain. Isaïe L : 6, « J'ai tendu le dos à ceux qui me frappaient, et les joues à ceux qui m'arrachaient la barbe; je n'ai pas soustrait ma face aux outrages et aux crachats. »

Jésus le Nazaréen est moqué comme « Prophète » à cause de ses paroles sur le Temple et sans doute plus précisément comme « Messie-Prophète », c’est-à-dire comme prétendu Grand Prêtre eschatologique qui veut établir un « Nouveau Temple ».

Le « Tribunal » était un bâtiment construit en partie sur l’esplanade du Temple et ouvrait ses portes au petit matin, soit au levé du jour et c’est là que Caïphe convoqua le Sanhédrin au complet, grands prêtres et scribes pour questionner une seconde fois Jésus le Nazôréen, car Caïphe voulait sa mort coûte que coûte. Cette seule séance solennelle du Sanhédrin fut une session formelle et définitive pour donner la mort à Jésus le Nazôréen. Tous le condamnèrent, et pour ne pas se salir les mains l’envoyèrent à Ponce Pilate, Procurateur de la Judée de l’an 26 à 36 de J-C.

Tout au long de l’année les fêtes dites chrétiennes ne sont ni plus, ni moins que des fêtes païennes déguisées. L’esprit pur originel de cette religion fut quatre siècles plus tard, bâtit sur les fondations du mensonge, devenu pierre angulaire de cette religion.

« Sortez d’elle mon « Peuple » ! », dit EL-SHADDAÏ, « car c’est la mère de l’impureté, pire qu’une « Prostituée » déguisé en « Ange de Lumière » pour la perdition d’un grand nombre ! »

Alors comme le dit EL-SHADDAÏ, sortez volontairement de cette mer de mensonges et de couardises, vous mes semblables, vous qui êtes libre de faire partie des « Enfants » d’EL-SHADDAÏ, car vous seul êtes responsable de vous !

Portez-vous bien et prenez soins de votre maisonnée !

Salutations cordiales !

Sig : JP.G. dit « Grandeloupo »

 


Commentaires

 
 
 
posté le 22-03-2015 à 05:21:52

Pâque Vendredi 03 Avril 2015, chap.N° 5 - Commémoration, libération, ...

PÂQUE, année 2015

 

 

Petit Texte d’introduction

 

Dans deux semaines c’est la « Pâque » pour nous, nous humains imparfaits, mais qui volontairement, sincèrement dans notre cœur, sans hypocrisie, désirons intensément qu’EL-SHADDAÏ, nous considère comme ses « Enfants ». Oui nous voulons être ses « Enfants », Lui notre Père créateur, et qu’Il soit notre seul et unique Dieu !

Voilà pourquoi nous allons fêter cette Pâque comme EL-SHADDAÏ nous le demande, le vendredi 03 Avril 2015, « Entre les deux Soirs », c’est-à-dire entre 20h20 et 23h30, nous consumerons cette Pâque par une viande rôtie d’un petit bétail, et si c’est une volaille nous ferons attention à ne pas briser les os, ainsi que l’os du gigot d’agneau si c’est le cas, et si c’est une viande rouge nous la ferons rôtir et pas à la poêle. Elle sera accompagnée d’un pain sans levain ou d’une galette de pain sans levain, le tout arrosé par un verre de bon vin rouge chacun selon sa bourse. Nous mangerons cette Pâque en famille si cela est possible ou avec un ami, un voisin, et si nous sommes seul au sein de la famille, et bien nous fêterons cette Pâque seul, car en réalité, jamais nous serons seul, EL-SHADDAÏ et son Fils engendré seront avec nous c’est une certitude, et nous romprons le pain, et nous dégusterons ce verre de vin rouge, car nous serons l’autel d’EL-SHADDAÏ, et ce verre de vin rouge représente le sang de la vie en pardon de nos péchés.

De tout ce sens spirituel que je viens de faire allusion, j’espère que je vous l’aurai expliqué correctement pour ce merveilleux jour de Pâque.  

 

Dernières phrases du Chapitre précédent

 

Pour être certain que ce jour de délivrance, ce jour de renouveau, son « Peuple » s’en souvienne, il exigea que chaque année, à la même époque, ce « Peuple » commémore cette liberté, cette délivrance par la fête de la Pâque, et ceci à perpétuité.

Exode 12 : 24

« Vous observerez cette disposition comme un décret pour toi et tes fils, à perpétuité. »

Exode 13 : 10

« Tu observeras cette loi au temps prescrit, d'année en année. »

Pendant des centaines d’année EL-SHADDAÏ veilla sur ce « Peuple » ingrat et infidèle.

Pour faire comprendre à ce « Peuple » toutes ses mauvaises actions Il lui envoya des « Prophètes »  qu’il assassina. Il l’envoya en exil sous la domination des Nations, et à son retour ce « Peuple » respecta les Lois et Préceptes d’EL-SHADDAÏ pendant quelques petites années, puis il recommença à faire ce qui déplaisait à son Dieu.

Ce « Peuple » choisi par EL-SHADDAÏ était indécrottable, alors il le livra dans la main des Nations. Le dernier Prophète qu’Il donna à ce « Peuple » fut Malachie qui prophétisa après la reconstruction du Temple de Jérusalem ( - 400 av. J-C.)

 

 

Chapitre N° 5

 

Commémoration, libération,


c’est la Pâque



Avant mon explication personnelle sur le sacrifice de Jésus le Nazaréen, je vais être ce que je suis, un « Païen » pour la chrétienté, et je vais réfléchir comme tel.

« Prenez et manger ceci est mon corps »

« Prenez et buvez ceci est mon sang »

Je ne peux accepter et accéder à votre religion chrétienne car vous êtes des cannibales. En effet vous mangez de la chair humaine et vous buvez du sang humain.

Vos Prêtres font cela tous les jours et vous, vous ne valez guère mieux puisque c’est ce que vous faites le Dimanche à la messe quand vous communiez.

Vous mangez bien le corps de Jésus le Nazaréen, votre Jésus-Christ, et buvez bien son sang ! …

Je ne suis pas un menteur ? …

Ce que je viens d’écrire est bien l’explication de vos Dirigeants !

Vous-mêmes, chrétiens, c’est bien ce que vous écrivez, affirmez sur le Net !

Donc j’ai raison vous êtes des cannibales !

Même nos « Dieux » païens n’acceptent pas le cannibalisme ! Alors vous êtes pire que toutes les religions de la Terre !

A moins que toutes vos explications soit erronées, ce que personnellement je pense, car dans votre religion il y a tellement d’inventions comme la « Trinité », le « Saint Esprit » qui serait un troisième Dieu, La Messe, le Purgatoire, le Confessionnal, etc …

La Bible, surtout l’Ancien Testament fut traduit en grec par soixante douze érudits hébreux sous la dynastie des Ptolémée, plus particulièrement sous Ptolémée II Philadelphe. Démétrios de Phalère déclarera une fois la traduction terminée et lecture faite à la Cour que c’était une traduction « Divine ». Pour le Nouveau Testament déclaré aussi d’inspiration divine, il est très difficile aujourd’hui de reconnaître les originaux, tellement les Évangiles, Lettres et Épîtres ont été retouchés. En effet nous savons aujourd’hui qu’il y a eu des ajouts, retranchements, de mots, tournures de phrases par des copistes peu scrupuleux. Exemple connu de tous les exégètes avec l’Évangile de Marc qui s’arrête au chapitre XVI : 8, tout le reste n’est que des ajouts datant du milieu du deuxième siècle jusqu’au début du troisième. Que le terme « Christ » ne fut accolé à Jésus à partir du quatrième siècle après le pèlerinage en 326-327 à Jérusalem de la mère de l’Empereur Constantin le Grand, Pontifex-Maximus de la religion chrétienne, devenu religion de l’Empire Romain. Le « Pape » tel que la chrétienté nous le dit n’existait pas à cette époque puisque c’était l’empereur romain qui était le véritable chef de cette Église.

Le véritable premier « Pape » chrétien fut Étienne II, Évêque de Rome, qui prit ce titre de « Pontife » en 754. En effet à cette date Rome est en conflit contre le Roi des Lombard, et demande une aide militaire au Roi des Francs, Pépin le Bref, ce dernier lui étant redevable de la destitution des Mérovingiens. Pour Pépin le Bref c’est une dette d’honneur et il vole au secours d’Étienne II. Il bat les Lombards et offre tous les États conquit à Étienne II.

C’est la « Donation de Pépin », et ce sont les premiers États Pontificaux. En remerciement le « PAPE » Étienne II sacre une seconde fois Pépin le Bref, Roi des Francs à Saint Denis ainsi que ses deux fils Carloman et Charles, ce dernier deviendra « Charlemagne ». Pendant dix sept siècles en France le Roi est Roi par la volonté divine, voilà pourquoi le premier-né mâle succédera à son père.

Cette explication historique étant dite continuons sur les repas bibliques

Comme déjà écrit dans le chapitre précédent deux dates pour un repas. Ce que par la Bible nous pouvons certifier après une lecture réfléchie de Matthieu XXVI : 1-2, 6-7, puis de Jean XII : 1-3 que le repas était bien fait chez Simon le Lépreux, que Lazare était invité ainsi que ses deux sœurs, Marie et Marthe, qui faisaient le service de table.

Maintenant la confusion du jour, qui dit la vérité, Matthieu ou Jean ?

Après pour le parfum qui dit vraie Matthieu ou Jean car c’est sur la « Tête » ou sur les « Pieds », c’est une femme, ou Marie la sœur de Marthe et de Lazare ?

Qui croire ?

Pour éviter une confusion comme ci-dessus voyons la chronologie de ces premiers jours de la fête de Pâque.

Le repas de la Pâque doit avoir lieu le 14 Nissan après le coucher du soleil. Ce 14 Nissan est un jour de « Préparation ». Après le coucher du soleil commence le premier jour des « Pains sans levain » qui doit durer sept jours et ce premier jour est un jour sabbatique, un jour sanctifié pour EL-SHADDAÏ. Donc le soir du 14 Nissan commence « l’Entre deux Soirs » du repas de la Pâque tel que nous le connaissons aujourd’hui qui dure du coucher du soleil jusqu’à la nuit noire totale, période de temps où nous devons consommer la Pâque. A l’ère de Jésus il n’était pas permis de sortir de la maison avant le lever du jour et avant de se quitter tous les participants récitait le Hallêl qui sont des psaumes de CXIII à CXVIII.

Ces Psaumes sont une glorification à son Père EL-SHADDAÏ, puisqu’ils commencent par « Alléluia » qui signifie « Louez Jah. »

 Jésus monta au Mont des Oliviers avec ses Apôtres et Disciples dans la journée sabbatique de la Pâque et du premier jour des « Pains sans Levain »

Voyons en premier ce qui est écrit sur la Bible avec les divergences et les ajouts de copistes ou d’Évêques se croyant inspiré par « Dieu », je ne dis pas EL-SHADDAÏ qui, LUI, est le véritable et unique DIEU.

Matthieu et Marc étant une plagia, j’écrirai seulement l’Évangile de Matthieu.

Nous sommes environ au milieu du repas.

Matthieu 26 : 26-30

Or, tandis qu'ils mangeaient, Jésus prit du pain, le bénit, le rompit et le donna aux disciples en disant : « Prenez, mangez, ceci est mon corps. »

Puis, prenant une coupe, il rendit grâces et la leur donna en disant : « Buvez-en tous car ceci est mon sang, le sang de l'alliance, qui va être répandu pour une multitude en rémission des péchés.

Je vous le dis, je ne boirai plus désormais de ce produit de la vigne jusqu'au jour où je le boirai avec vous,( Marc -- jusqu'au jour où je boirai le vin nouveau --) de nouveau, dans le Royaume de mon Père. »

Après le chant des psaumes, ils partirent pour le mont des Oliviers.

Vous constaterez que j’ai posé le verset 30 (Marc verset 26) car il a une grande importance.

Comme je vous l’ai déjà écrit, quitte à me répéter, Jésus le Nazaréen est hébreu, et est venu sur Terre pour accomplir la Loi et non l’abroger.( Mt V : 17-19 ) Hors la loi dit qu’il n’est pas permis de sortir de la maison du repas pascal avant le lever du jour.

Exode XII : 22

Puis vous prendrez un bouquet d'hysope, vous le tremperez dans le sang qui est dans le bassin et vous toucherez le linteau et les deux montants avec le sang qui est dans le bassin. Quant à vous, que personne ne franchisse la porte de sa maison jusqu'au matin.

Avec ce verset et sachant que Jésus le Nazaréen était respectueux des Lois de son Père, EL-SHADDAÏ, il monta au Mont des Oliviers avec ses apôtres le jour de la Pâque et la nuit qu’il parle est la nuit après la nuit du repas de la Pâque.

Matthieu XXVI : 31-32

Alors Jésus leur dit : « Vous tous, vous allez succomber à cause de moi, cette nuit même. Il est écrit en effet : Je frapperai le pasteur, et les brebis du troupeau seront dispersées.

Mais après ma résurrection je vous précéderai en Galilée. »

Comme je l’ai écrit ci-dessus, nous sommes le 15 Nissan. Quand Jésus dit « vous allez succomber à cause de moi » c’est la nuit qui commence après cette journée sabbatique, c’est-à-dire le début de la journée du 16 Nissan après le coucher du soleil, qui met un terme à la journée sabbatique.

Autre remarque Jean XIII : 30 --- Nous sommes dans la nuit de la Pâque où, comme cité plus avant, il est interdit de quitter la maison avant le lever du jour, et pourtant Judas Iscariote quitta l’assemblée pour aller vendre Jésus le Nazaréen.

« Aussitôt la bouchée prise, il sortit ; il faisait nuit. »

C’est aussi au cours de se repas que Jésus le Nazôréen, par le « lavement des pieds » de ses Apôtres faisait, Lui le Maître, preuve d’une grande humilité.

Jean XIII : 2-5

Au cours d'un repas, alors que déjà le diable avait mis au cœur de Judas Iscariote, fils de Simon, le dessein de le livrer, sachant que le Père lui avait tout remis entre les mains et qu'il était venu d’EL-SHADDAÏ et qu'il s'en allait vers EL-SHADDAÏ, il se lève de table, dépose ses vêtements, et prenant un linge, il s'en ceignit.

Puis il met de l'eau dans un bassin et il commença à laver les pieds des disciples et à les essuyer avec le linge dont il était ceint.

Ce geste, où plutôt cette action, n’a absolument rien à voir avec le cérémonial de la Pâque, comme certains chrétiens, surtout de confession protestante, voudraient nous le faire avaler. Cette action n’est qu’une action d’humilité, une véritable humilité jusqu’à s’abaisser à laver la partie la plus sale de l’humain, ( toujours par l’esprit se référer à l’époque de la scène et à la situation ) même si l’on est un « Maître, un Enseignant. »

Ce n’est pas le cas de vos, Cardinaux, Évêques, avec leur Pape, qui font ce simulacre du lavement des pieds avec des moines comme acteurs, devant une foule de fidèles.

Où est l’humilité de Jésus le Nazaréen ? …

La vanité et l’orgueil voilà le geste du lavement de pieds de ces Prélats ! …

La fête de la Pâque est la plus importante pour EL-SHADDAÏ car, en dehors de la première alliance qu’il avait faite avec Abraham confirmé avec le fils de ce dernier du nom d’Isaac, elle est perpétuelle.

Cette première Alliance entre EL-SHADDAÏ et l’humain ce fit avec Abraham et toute sa descendance de génération en génération par l’action de la circoncision et les humains chaque année avaient une fête pastorale et agraire autour de l’équinoxe du printemps comme je vous l’ai expliqué au premier chapitre.

Suite à une très grande sécheresse les descendants de Jacob, soit soixante dix personnes environ s’installèrent en Égypte quand Joseph l’un des fils de Jacob était « Grand Chambellan ». C’est à partir de là que se forma le « Peuple d’EL-SHADDAÏ » pendant quatre siècles. Les hébreux devenaient plus nombreux que les indigènes, voilà pourquoi ils deviennent des esclaves.

Après, Pharaon ne voulait pas se séparer d’une main d’œuvre bon marché, d’où sont entêtement à garder cette manne de travailleurs pour construire ces Temples gigantesques.

Le jour de délivrance des Hébreux est bien choisi par EL-SHADDAÏ

Quatorze jours après l’équinoxe de Printemps qui est le jour de la nouvelle lune, ce sera un jour de commémoration, un jour noir, un jour qui marquera l’esprit humain, mais aussi un jour de renouveau, un jour de libération, ce jour sera appelé « Pâque », car il faut aussi le dire c’est une nuit de terreur, c’est un jour de pleurs, c’est un jour de joie.

 Juste un rappel

Une préparation quatre jours avant ce jour de Pâque

Exode XII : 1-8

 « EL-SHADDAÏ dit à Moïse et à Aaron au pays d'Égypte :

« Ce mois sera pour vous en tête des autres mois, il sera pour vous le premier mois de l'année….//

Parlez à toute la communauté d'Israël et dites-lui : Le dix de ce mois, que chacun prenne une tête de petit bétail par famille, une tête de petit bétail par maison.

Si la maison est trop peu nombreuse pour une tête de petit bétail, on s'associera avec son voisin le plus proche de la maison, selon le nombre des personnes. Vous choisirez la tête de petit bétail selon ce que chacun peut manger.

La tête de petit bétail sera un mâle sans tare, âgé d'un an. Vous la choisirez parmi les moutons ou les chèvres.

Vous la garderez jusqu'au quatorzième jour de ce mois, et toute l'assemblée de la communauté d'Israël l'égorgera au crépuscule.

On prendra de son sang et on en mettra sur les deux montants et le linteau des maisons où on le mangera.

Cette nuit-là, on mangera la chair rôtie au feu ; on la mangera avec des azymes et des herbes amères.

EL-SHADDAÏ, prépare son jour de Pâque, avec des dates fixes pour que les humains aient le temps de la préparation, choisir le nombre de personnes pour ce repas, puis l’animal, couper le bois nécessaire à la cuisson, affûter les outils pour égorger, dépecer, préparer les ustensiles pour badigeonner les linteaux et montants des portes. Le 14 Nissan est un jour de préparation, donc il faut réunir les animaux dans une même pièce et badigeonner le linteau et les montants de la porte afin que les premiers nés des animaux ne meurent pas quand les Anges d’EL-SHADDAÏ passeront dans tout le pays d’Égypte pour ôter la vie au premier né des humains, mais aussi des animaux.

Voici le texte biblique, Exode XII : 12-19

« Cette nuit-là je parcourrai l'Égypte et je frapperai tous les premiers-nés dans le pays d'Égypte, tant hommes que bêtes, et de tous les dieux d'Égypte, je ferai justice, moi, EL-SHADDAÏ

Le sang sera pour vous un signe sur les maisons où vous vous tenez. En voyant ce signe, je passerai outre -- par-dessus -- et vous échapperez au fléau destructeur lorsque je frapperai le pays d'Égypte.

Ce jour-là, vous en ferez mémoire et vous le fêterez comme une fête pour -EL-SHADDAÏ, dans vos générations vous la fêterez, c'est un décret perpétuel.

Pendant sept jours, vous mangerez des azymes. Dès le premier jour vous ferez disparaître le levain de vos maisons car quiconque, du premier au septième jour, mangera du pain levé, celui-là sera retranché d'Israël.

Le premier jour vous aurez une sainte assemblée, et le septième jour, une sainte assemblée. On n'y fera aucun ouvrage, vous préparerez seulement ce que chacun doit manger.

Vous observerez la fête des Azymes, car c'est en ce jour-là que j'ai fait sortir vos armées du pays d'Égypte. Vous observerez ce jour-là dans vos générations, c'est un décret perpétuel.

Le premier mois, le soir du quatorzième jour, vous mangerez des azymes jusqu'au soir du vingt et unième jour.

Pendant sept jours il ne se trouvera pas de levain dans vos maisons, car quiconque mangera du pain levé sera retranché de la communauté d'Israël, qu'il soit étranger ou né dans le pays. »

El-SHADDAÏ ne fait pas cela de gaité de cœur, c’est même de l’amertume pour Lui, voilà pourquoi il fait manger ce repas accompagné d’herbes amères. Cette Pâque représente une commémoration triste, effrayante, amer pour ceux qui l’on vécu, puis une joie de liberté, d’un renouveau, d’une autre vie.

Deux mois après cette Pâque, par l’intermédiaire de Moïse, EL-SHADDAÏ conclu une Alliance avec son Peuple.

Exode XXIV : 6-8

Moïse prit la moitié du sang et la mit dans des bassins, et l'autre moitié du sang, il la répandit sur l'autel.

Il prit le livre de l'Alliance et il en fit la lecture au peuple qui déclara : « Tout ce qu’EL-SHADDAÏ a dit, nous le ferons et nous y obéirons. »

Moïse, ayant pris le sang, le répandit sur le peuple et dit : « Ceci est le sang de l'Alliance qu’EL-SHADDAÏ a conclue avec vous moyennant toutes ces clauses. »

Cette Alliance ne tenait plus à l’époque de Jésus car les humains avaient abandonné El-Shaddaï leur Dieu voilà pourquoi Saül de Tarse dit dans son épître aux Hébreux IX : 15-20

Voilà pourquoi il est médiateur d'une « Nouvelle Alliance », afin que, sa mort ayant eu lieu pour racheter les transgressions de la première alliance, ceux qui sont appelés reçoivent l'héritage éternel promis.

Car là où il y a testament, il est nécessaire que la mort du testateur soit constatée.

Un testament, en effet, n'est valide qu'à la suite du décès, puisqu'il n'entre jamais en vigueur tant que vit le testateur.

De là vient que même la première alliance n'a pas été inaugurée sans effusion de sang.

Effectivement, lorsque Moïse eut promulgué au peuple entier chaque prescription selon la teneur de la Loi, il prit le sang des jeunes taureaux et des boucs, avec de l'eau, de la laine écarlate et de l'hysope, et il aspergea le livre lui-même et tout le peuple en disant :

« Ceci est le sang de l'alliance qu’EL-SHADDAÏ a prescrite pour vous. »

N’oubliez pas que le sang est le siège de la vie et que la vie éternelle ne peut venir que par la purification du sang, puisque le péché fut retransmis par le sang et que le sang perdait de sa pureté à la vitesse de reproduction de l’humain.

Cette lecture finie nous laisse toujours dans une recherche de vérité, et par les écrits canoniques difficiles pour un humain réfléchi de trouver la vérité. Alors demandons à EL-SHADDAÏ qu’il nous éclaire en esprit, afin que nous trouvions la vérité et surtout sa voie, qui nous mène vers lui, ce Dieu seul et unique.

Portez-vous bien, prenez soin de vous et de votre maisonnée !

Salutations cordiales à Tous !

Sig : JP.G. dit « GRANDELOUPO »

 


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